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Heute — 03. November 2025Haupt-Feeds

L’innovation durable d’Epson au service de la région META-CWA

03. November 2025 um 13:45
Neil Colquhoun

Interview par Neil Colquhoun, Président d’Epson META-CWA (Moyen-Orient, Türkiye, Afrique, Asie centrale et occidentale)

À une époque où la durabilité et l’innovation redéfinissent les industries, Epson se distingue en développant des technologies conçues pour minimiser l’impact environnemental tout en maximisant la valeur pour ses clients. À la tête de cette transformation se trouve Neil Colquhoun, Président d’Epson META-CWA (Moyen-Orient, Türkiye, Afrique, Asie centrale et occidentale). Depuis le lancement de cette nouvelle structure régionale en 2024, Epson a affiné sa stratégie locale, en investissant dans des solutions durables, l’engagement client et le développement des talents. Dans cet interview, Neil Colquhoun, partage sa vision de l’innovation guidée par la durabilité, l’importance stratégique de la région META-CWA et la culture d’entreprise qui soutient la réussite du groupe.

La durabilité est un mot-clé aujourd’hui, mais comment Epson la transforme-t-elle en véritable innovation ?

Pour Epson, la durabilité n’est pas une tendance, c’est un principe fondateur. Inspirés par notre philosophie japonaise Sho-Sho-Sei, qui signifie « efficace, compact et précis », nous concevons des produits qui réduisent les déchets, économisent l’énergie et maximisent leur longévité. Notre technologie sans chaleur (Heat-Free) élimine par exemple le besoin de chaleur dans le processus d’impression, ce qui réduit considérablement la consommation d’énergie et la maintenance. Avec nos imprimantes EcoTank, nous avons supprimé les cartouches, réduisant ainsi drastiquement les déchets plastiques et les coûts d’impression pour les utilisateurs. Dans nos activités R&D, nous intégrons systématiquement des principes de conception durable, allant du matériel recyclable aux composants longue durée, en passant par des solutions visuelles à faible consommation énergétique comme les projecteurs laser. Tout cela aide nos clients à réduire leur empreinte carbone sans compromettre la performance.

La création de la région META-CWA en 2024 marque une étape importante, quelle vision stratégique a guidé cette initiative ?

La création de la région META-CWA — qui couvre le Moyen-Orient, la Türkiye, l’Afrique ainsi que l’Asie centrale et occidentale — était une étape naturelle. En nous séparant de la structure européenne, nous avons donné à nos équipes la flexibilité nécessaire pour répondre plus rapidement aux besoins des clients et adapter nos offres aux spécificités locales. Nous avons également soutenu cette transition par un investissement de plus de 13 millions de dollars dans la logistique, l’infrastructure de service et les capacités d’engagement client. Un moment fort de cette stratégie a été l’ouverture de notre Epson Innovation Centre à Dubaï, une installation d’un million de dollars qui présente nos dernières solutions, offre des formations et favorise la co-création avec nos partenaires et clients. Cette focalisation régionale nous permet d’accélérer à la fois notre croissance et nos initiatives de durabilité dans certains des marchés les plus prometteurs au monde.

De quelle manière Epson accompagne-t-elle les ambitions de durabilité propres aux différents pays et marchés de la région META-CWA ?

Notre rôle est double : innover de manière responsable et aider nos clients à atteindre leurs propres objectifs de durabilité. Qu’il s’agisse de gouvernements cherchant à réduire leur consommation d’énergie, d’écoles voulant diminuer leurs coûts, ou d’entreprises souhaitant limiter leur empreinte carbone, Epson propose des solutions qui s’alignent sur ces ambitions. Notre gamme étendue répond également aux besoins des PME et PMI : grâce à nos technologies, ces petites structures peuvent réaliser des économies significatives tout en progressant vers leurs objectifs de durabilité. Nos technologies sans chaleur et EcoTank, ainsi que nos solutions visuelles à faible consommation, illustrent parfaitement la façon dont l’innovation peut répondre à la fois aux enjeux environnementaux et aux impératifs économiques.

Epson META-CWA couvre une vaste zone géographique et culturelle. Comment cultivez-vous une culture d’entreprise unificatrice ?

La diversité est l’une de nos plus grandes forces. Notre équipe regroupe plus de 40 nationalités à travers 80 pays, et nous célébrons cette richesse à travers une culture forte de DEIB (Diversité, Équité, Inclusion et Sentiment d’Appartenance). En Tunisie, par exemple, nous sommes fiers de notre ratio hommes-femmes de 50 % à 50 % et nous veillons à ce que chaque contribution individuelle soit valorisée. Nous investissons également beaucoup dans le développement des talents grâce à des programmes comme l’Epson Graduate Programme ou encore les programmes pour hauts potentiels. Pour reconnaître les réussites, nous avons lancé les President’s Awards, construits autour de nos quatre principes directeurs : Artisanat, Attention, Créativité et Collaboration. Notre objectif est de créer un environnement de travail où chacun se sent à sa place, est encouragé à innover et peut s’épanouir tant sur le plan personnel que professionnel.

Epson a récemment annoncé un partenariat avec Bose. Pouvez-vous nous en dire plus sur cette collaboration ?

C’est en effet un développement très enthousiasmant. Epson s’est associée à Bose, leader mondial de l’audio, pour créer une nouvelle génération de projecteurs intégrant la technologie Sound by Bose. La première série de produits a été lancée en septembre 2025 aux États-Unis et en Chine, avant une extension progressive à d’autres marchés mondiaux. En combinant la technologie de projection efficace, compacte et précise d’Epson avec l’expertise audio de Bose, nous proposons une solution tout-en-un offrant une expérience audiovisuelle immersive. Ces projecteurs sont conçus pour s’adapter à une grande variété de contenus et de besoins, enrichissant ainsi l’expérience visuelle par une qualité sonore exceptionnelle. Epson et Bose partagent un objectif commun : offrir toujours plus de valeur aux clients en associant nos expertises complémentaires. Ce partenariat va continuer à se développer, avec de nouvelles innovations à venir.

Quels sont, selon vous, les développements les plus prometteurs qui attendent Epson META-CWA dans les années à venir ?

Ce qui m’enthousiasme, c’est la possibilité de combiner innovation et durabilité à grande échelle. Nos investissements dans la région, qu’il s’agisse d’infrastructures ou de talents, posent les bases d’un impact durable. L’Innovation Centre de Dubaï n’est qu’un début : nous voulons co-créer avec nos clients et partenaires des solutions qui répondent à des défis réels. En parallèle, nous construisons une équipe forte, diversifiée et engagée. Lorsque l’on associe durabilité, innovation et capital humain, les possibilités deviennent illimitées.

 

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Du Sud à la capitale : ELIFE met les territoires au cœur de l’innovation

03. November 2025 um 14:14

Le programme d’incubation ELIFE, piloté par la Fondation Tunisie pour le Développement, lancera l’initiative « Régions en action ». Et ce, à l’occasion de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat, prévue du 17 au 23 novembre 2025 sur le thème « Ensemble, nous construisons ».

Cette initiative ambitionne de valoriser le dynamisme entrepreneurial des territoires tunisiens. Tout en renforçant la collaboration entre les acteurs régionaux. Deux événements phares ponctueront cette édition.

Le Sud tunisien sera à l’honneur les 11 et 12 novembre à Djerba, avec un programme centré sur le renforcement de l’accompagnement entrepreneurial dans la région. Au menu : un focus group, un hackathon, des sessions de pitch et la remise d’un prix d’excellence.

La capitale accueillera quant à elle, les 20 et 21 novembre, une série d’ateliers collaboratifs dédiés à l’innovation et à l’entrepreneuriat. Avant une cérémonie de clôture qui réunira les talents entrepreneuriaux de toutes les régions du pays.

Créé pour stimuler l’innovation dans l’écosystème tunisien des nouvelles technologies, le programme ELIFE propose un accompagnement adapté aux défis de création d’emplois et de valeur, particulièrement dans les régions de l’intérieur. Il vise à réduire les disparités territoriales, améliorer l’employabilité des jeunes et développer leurs compétences entrepreneuriales.

Organisée depuis 2008 par le Réseau mondial de l’entrepreneuriat, la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat mobilise chaque année quelque 10 millions de participants dans 200 pays. L’édition 2025 marque sa 18e année consécutive et met l’accent sur la collaboration, invitant entrepreneurs, mentors et partenaires à unir leurs forces pour concrétiser des projets ambitieux.

Avec TAP

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40e CIHFE : la Tunisie participe à une réunion stratégique sur innovation, technologie et développement régional

Von: walid
03. November 2025 um 11:52

La Tunisie participera à la quarantième réunion du Comité Intergouvernemental de Haut Fonctionnaires et Experts (CIHFE) pour l’Afrique du Nord, qui se tiendra du 11 au 13 novembre 2025, à Rabat (Maroc), sur le thème : « Renforcer la mobilisation des ressources intérieures par l’innovation et la technologie en Afrique du Nord ».

Organisé à l’initiative du Bureau de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA) en Afrique du Nord, le CIHFE sera l’occasion pour les représentants des pays membres, des acteurs et des experts d’Algérie, Egypte, Libye, Maroc, Mauritanie, Soudan et Tunisie d’évaluer les résultats obtenus par le Bureau de la CEA pour l’Afrique du Nord, au cours de l’année écoulée et de convenir des priorités stratégiques pour l’année à venir, en mettant l’accent sur l’intégration régionale et la mise en œuvre des ODD.

D’après la CEA, la mobilisation des ressources intérieures a un rôle essentiel à jouer dans l’indépendance budgétaire des pays et leur capacité à tracer des trajectoires de développement résilientes.

« En exploitant efficacement les ressources financières intérieures à travers des systèmes fiscaux efficaces, à l’épargne publique et aux dépenses publiques, les pays peuvent accroître leur capacité à financer les services publics essentiels et les investissements stratégiques à long terme tout en limitant leur dépendance à d’autres ressources, telles que l’aide au développement, les investissements directs étrangers (IDE) ou la dette souveraine, obtenant ainsi une plus grande stabilité à leur planification économique » a encore indiqué la CEA.

Parallèlement au CIHFE, le Bureau de la CEA en Afrique du Nord tiendra, le 12 novembre 2025, une réunion d’experts (EGM) sur le même thème.

Cette réunion sera l’occasion de se pencher sur les avancées effectuées en matière de mobilisation des ressources domestiques en Afrique du Nord et examiner les opportunités d’améliorations supplémentaires, une attention particulière étant accordée au rôle de l’innovation, de la transformation digitale et de la technologie dans le renforcement des ressources domestiques en soutien à la mise en œuvre des ODD, et identifier les opportunités de coopération Sud-Sud et de partage d’expérience.

Les documents issus du CIHFE et de l’EGM seront soumis à la session 2026 de la Conférence des ministres africains des Finances, de la Planification et du Développement Economique (COM2026) prévue, en mars 2026, au Maroc. Elle aura pour thème : « Croissance par l’innovation: exploiter les données et les technologies de pointe pour la transformation économique de l’Afrique ».

Créée en 1958 par le Conseil économique et social (ECOSOC) des Nations Unies, la CEA, l’une des cinq commissions régionales, a pour mandat d’appuyer le développement économique et social de ses États membres, d’encourager l’intégration régionale et de promouvoir la coopération internationale pour le développement de l’Afrique.

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LA TUNISIE QUI GAGNE | Class Quiz : Comment Class Quiz rend l’éducation numérique accessible à tous

31. Oktober 2025 um 10:25

Ingénieure en mécatronique formée à l’ENISo, Sabrine Ibrahim a cofondé ENVAST, un laboratoire de solutions numériques, où est née Class Quiz en 2019. Depuis, elle consacre toute son énergie à ce projet éducatif qu’elle pilote aux côtés d’Achref Daouahi. Sans financement initial, mais avec une vision claire et une foi inébranlable dans le pouvoir du numérique au service de l’apprentissage, elle trace un chemin audacieux, accessible et profondément humain.

Entretien :

En lançant Class Quiz sans financement, vous avez misé sur la force d’une idée. Qu’est-ce qui vous a donné cette confiance ?

Class Quiz n’est pas né d’un coup de tête, mais d’une expérience préalable qui nous a permis de mieux comprendre les besoins du marché. Dès le lancement, nous avons fait le pari de vendre l’application rapidement. Et ce pari s’est révélé juste : près de mille téléchargements dès la première semaine. Ce fut pour nous la confirmation qu’un vrai besoin existait.

Pourquoi n’avez-vous pas cherché à effectuer des levées de fonds ?

En 2018, les opportunités de financement pour les projets au stade d’idée étaient rares. Nous avons donc choisi l’autofinancement, misant sur les premières ventes pour démontrer la viabilité du modèle. Ce choix nous a permis de garder le cap et de bâtir une base solide avant d’envisager l’entrée d’investisseurs.

Comment imaginez-vous l’enfant tunisien ou arabe de demain, interagissant avec le savoir à travers le numérique ?

L’enfant de demain aura accès à une infinité de ressources. Notre mission est de lui offrir un accompagnement personnalisé, adapté à son niveau, ses centres d’intérêt et son rythme. Le numérique doit devenir un levier d’épanouissement, non une source de distraction.

« Le numérique offre un accès infini au savoir. Notre mission est d’en faire un levier d’épanouissement, pas une source de distraction. »

Si vous aviez carte blanche pour transformer l’éducation en Tunisie, quelle serait votre première décision ?

Je commencerais par former les enseignants à l’usage d’outils numériques simples et accessibles. Cela leur permettrait de gagner du temps et de se recentrer sur l’essentiel : l’accompagnement humain des élèves.

Quel rêve vous anime pour Class Quiz dans cinq ans ?

Nous avons une ambition claire : faire de Class Quiz une référence régionale dans l’apprentissage ludique et accessible, en le déployant sur l’ensemble des marchés francophones, notamment en France et en Afrique.

Qu’aimeriez-vous transmettre aux jeunes filles qui vous regardent comme un modèle ?

Je veux leur dire de croire en elles, d’oser rêver grand et de persévérer. Peu importe d’où l’on vient, on peut accomplir de grandes choses avec du travail et de la détermination.

Dans un monde saturé d’applications, comment cultiver l’âme d’un projet éducatif?

Nous avons choisi de nous concentrer sur le primaire, socle de tout apprentissage. Grâce à la gamification, aux mascottes et à l’intelligence artificielle, nous proposons une expérience motivante, sans jamais perdre la dimension humaine.

« Je commencerais par former les enseignants aux outils numériques. C’est la clé pour recentrer leur rôle sur l’accompagnement humain. »

Si vous pouviez collaborer avec une figure mondiale de l’éducation ou de la tech, qui serait-ce et pourquoi ?

Duolingo. Nous partageons une même vision : rendre l’apprentissage ludique et accessible. Leur expertise en expérience utilisateur et en gamification nous inspire énormément.

Comment Class Quiz pourrait contribuer à réduire les fractures éducatives entre régions, langues ou milieux sociaux ?

Nous proposons un abonnement très abordable et des modes de paiement flexibles, y compris le paiement à la livraison. Grâce à des partenariats avec des fondations comme Orange, nous permettons à des écoles rurales d’accéder gratuitement à Class Quiz.

« Grâce à Class Quiz, l’erreur devient un jeu, un défi à relever. C’est ainsi que la confiance se reconstruit. »

 

Quelle est, selon vous, la plus belle réussite que Class Quiz ait permise chez un enfant ?

Nous avons transformé l’échec en opportunité. Lorsqu’un élève se trompe, il ne voit plus cela comme une faute, mais comme un défi à relever. Si un enfant garde confiance en lui et continue d’apprendre grâce à cela, alors c’est notre plus belle victoire.

Comptez-vous vous internationaliser ?

Oui, nous préparons activement notre expansion à l’international, en commençant par la France et les pays d’Afrique francophone.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Class Quiz, née en 2019 au sein d’ENVAST, propose un apprentissage ludique et accessible.
  • Sans financement initial, l’équipe a misé sur l’autofinancement et la preuve par les ventes.
  • L’application accompagne les enfants du primaire grâce à la gamification et à l’intelligence artificielle.
  • Class Quiz s’engage à réduire les inégalités éducatives, notamment en zones rurales.
  • L’objectif : devenir la référence francophone de l’éducation numérique en cinq ans.

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La France, puissance scientifique : 61,5 milliards d’euros investis chaque année dans la recherche

29. Oktober 2025 um 09:39

La France consacre chaque année 61,5 milliards d’euros à la recherche scientifique, soit 2,18 % de son PIB, selon les données publiées par Campus France. Cet effort constant place la recherche au cœur des priorités nationales, soutenant un vaste réseau d’universités, de grandes écoles, d’organismes publics et d’entreprises.

Une communauté de plus de 430 000 professionnels

Le pays compte 431 100 acteurs de la recherche, parmi lesquels professeurs, ingénieurs, techniciens et personnels d’appui. Près de 267 000 exercent des fonctions scientifiques de haut niveau — directeurs de recherche, maîtres de conférences ou chercheurs en entreprise.
La répartition entre secteurs révèle une majorité de chercheurs dans le privé (60 %) contre 40 % dans le public. Les femmes représentent 26 % de l’ensemble, un taux encore inégal mais en progression.

Ouverture internationale et diversité des profils

L’Hexagone attire largement les talents venus d’ailleurs : 41 % des doctorants inscrits dans les écoles françaises sont étrangers. Le CNRS illustre cette ouverture, recrutant environ 30 % de chercheurs étrangers chaque année depuis 2010.
Cette dimension internationale se traduit dans la production scientifique : 54 % des publications françaises résultent d’une collaboration internationale, confirmant l’ancrage mondial de la recherche tricolore.

Distinctions et innovation au rendez-vous

La France se distingue également par son palmarès de 73 prix Nobel, la plaçant au quatrième rang mondial. L’innovation s’exprime aussi à travers la propriété intellectuelle : 25 000 demandes de brevets européens ont été déposées par des organismes publics français entre 2001 et 2020, soit 40 % de l’ensemble des dépôts issus d’instituts publics européens.
Cette vitalité témoigne d’un écosystème scientifique solide, combinant excellence académique, ouverture internationale et capacité d’innovation.

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Conférence à Beit Al Hikma | Ecosystème d’innovation et transfert technologique

28. Oktober 2025 um 11:44

Le Pr Mohamed Dahmani Fathallah donnera une conférence sur le thème : «Ecosystème de l’innovation et du transfert de technologie. Le savoir comme levier de la souveraineté économique», le jeudi 30 octobre 2025, à 15h00, au siège de l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts (Beït al-Hikma), à Carthage-Hannibal.

A l’heure où la puissance industrielle et les ressources naturelles ne suffisent plus à garantir l’indépendance des nations, la souveraineté économique repose, désormais, sur la maîtrise du savoir et des technologies, estime le Pr Mohamed Dahmani Fathallah, professeur de biotechnologie moléculaire et expert en biotechnologie de la santé, qui expliquera, au cours de sa conférence, comment un écosystème national d’innovation et de transfert de technologie peut devenir un véritable levier de souveraineté et de prospérité.

​Le conférencier cherche à familiariser le public avec les concepts de base de l’innovation et du transfert de technologie. Et le sensibiliser aussi à l’importance du savoir comme levier de la souveraineté et de la richesse dans le monde d’aujourd’hui.

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