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Heute — 10. Januar 2025Haupt-Feeds

La Tunisie au CES de Las Vegas : Une première historique pour l’innovation

Von: hechmi
10. Januar 2025 um 10:33

CES 2025Pour la première fois, la Tunisie a participé au CES de Las Vegas (du 7 au 11 janvier 2025) avec un pavillon national. Cette initiative, fruit d’une collaboration entre plusieurs organismes tunisiens et internationaux, visait à promouvoir les startups et entreprises technologiques tunisiennes, à encourager les investissements dans le secteur numérique et à créer des liens avec les compétences tunisiennes basées aux États-Unis.

Bien que cette participation ait été un succès en termes de visibilité, des défis structurels et culturels restent à surmonter pour assurer la pérennité et la compétitivité des entreprises tunisiennes sur le marché mondial.

Les experts présents ont appelé à une stratégie claire pour capitaliser sur les opportunités offertes par des événements comme le CES. En favorisant l’innovation et en renforçant les collaborations internationales, la Tunisie aspire à consolider sa position dans l’écosystème technologique global. Cette participation au CES pourrait ainsi marquer un tournant dans la promotion de l’excellence tunisienne dans les technologies innovantes.

Cette initiative inédite, fruit d’un partenariat stratégique entre CONECT– Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie, l’Ambassade des États-Unis en Tunisie, le programme PROMISE, l’Association Tuniso-Américaine des Jeunes Compétences (TAYP), et en étroite collaboration avec l’Ambassade de Tunisie à Washington D.C., bénéficiant du soutien du projet « Startups et PME Innovantes » financé par la Banque Mondiale, et mis en oeuvre par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) en partenariat avec Smart Capital, marque une nouvelle étape dans le développement de l’écosystème entrepreneurial tunisien.

ReNile lève 450 000 dollars américains pour accélérer son expansion en Égypte et au Moyen-Orient

10. Januar 2025 um 10:25

La startup égyptienne ReNile, spécialisée dans l’agritech, a levé 450 000 dollars américains pour consolider ses activités sur le marché local et lancer ses opérations en Arabie saoudite.

Créée en 2017, ReNile développe des solutions d’agriculture intelligente visant à améliorer la productivité agricole grâce à la technologie. Elle propose une gamme complète de produits pour surveiller et optimiser la qualité de l’eau, du sol et de l’air.

Ses systèmes IoT permettent aux agriculteurs de suivre les conditions, d’automatiser les processus et d’augmenter leur efficacité. Cette nouvelle levée de fonds, obtenue auprès d’investisseurs non révélés, permettra à ReNile d’élargir ses activités et de s’implanter également au Koweït.

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Gestern — 09. Januar 2025Haupt-Feeds

EdVentures d’Égypte investit six chiffres dans les startups ed-tech Schoolz et Ibn Sina

09. Januar 2025 um 10:52

Le fonds de capital-risque égyptien EdVentures a annoncé un investissement de plusieurs centaines de milliers de dollars dans deux startups ed-tech égyptiennes: Schoolz et Ibn Sina Training Academy.

Lancée en 2020 par Abdel Monsef Ismail, Ayman Hamza et Hosni Ahmed, Schoolz est une plateforme technologique qui offre des solutions de transport étudiant fiables, abordables et sécurisées. De son côté, Ibn Sina, fondée en 2017, propose des programmes de formation médicale spécialisés, incluant des cours en traduction médicale, codage et marketing digital.

Grâce à ce nouveau financement, EdVentures porte son portefeuille à 24 startups. Filiale d’investissement de Nahdet Misr, EdVentures est le principal fonds de capital-risque axé sur les technologies éducatives dans la région Mena. Ces investissements ont été réalisés dans le cadre de son programme innovant EdTech Ventures Studio (EDVS).

Schoolz et Ibn Sina Training Academy figurent parmi les 10 startups sélectionnées pour participer au tout premier bootcamp EDVS.

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Le cap des 1 000 startups labélisées dépassé en 2024: quelles sont les principales tendances?

09. Januar 2025 um 08:33

Au cours de l’année 2024, le nombre des startups labelisées a dépassé le cap des 1 000, une réalisation importante pour ce projet. Selon les statistiques présentées, 1 999 startups ont présenté leurs candidatures. Actuellement, il y a 938 labels actifs. En même temps, 441 pré-labels ont été attribués, dont 371 sont passés au stade du label. En même temps, il y a eu également 62 retraits de labels.

Les chiffres, collectés par Entrepreneurs of Tunisia, montrent que 35,8% des startups sont fondées par des femmes et 79% ont été lancées par plus d’un fondateur.

Des entités ont pu dépasser les frontières, et nous avons 36 startups qui opèrent en France, 7 en Grande-Bretagne, 4 en Allemagne et aux États-Unis, 3 à Dubaï, 2 à Montréal, Belgique, Suisse, Russie et en Chine. Il y a aussi des startups qui ont pu s’installer aux Pays-Bas, au Maroc, Ontario, Turquie et en Corée du Sud.

Par secteur, le premier est le Software, Big Data & Analysis avec 164 startups. Viennent ensuite le E-commerce & Marketplace (138) et Média, Gaming & Othercreative content (82).

Par régions, le Grand-Tunis arrive premier avec 689 startups, dont 478 à Tunis et 126 à l’Ariana. Nous trouvons également Sousse avec 1126 entités et Sfax avec 54. Nabeul compte 41 startups et Bizerte 18. Monastir arrive ensuite avec 15 jeunes pépites, Médenine également (dont 3 à Djerba).

Paradoxalement, 14 gouvernorats abritent moins de 10 startups chacune, ce qui confirme la réalité sur laquelle nous avons toujours insisté: il y a peu de dynamique économique à l’intérieur du pays. Tant qu’il n’y a pas de tissu industriel avec lequel il est possible de coopérer, il est difficile de s’imposer en tant que jeune entreprise. Nous avons un exemple choquant, celui de Siliana, où il n’y a aucune startup! La zone ouest du pays ne compte que 45 startups, ce qui est très peu, alors que nous sommes certains qu’un grand nombre de promoteurs de startups dans les villes côtières provient de ces zones.

In fine, quelle que soit la taille de la société, les défis sont les mêmes. Sans vraies solutions, le gap entre les régions va s’aggraver, ancrant les différences socioéconomiques qui secouent le pays.

 

 

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Les startups africaines ont levé 2,2 milliards de dollars en 2024

08. Januar 2025 um 08:07

L’écosystème africain des startups a enregistré des changements notables dans la répartition des financements entre ses régions en 2024. Toutefois, le Kenya, le Nigeria, l’Égypte et l’Afrique du Sud continuent à dominer. Le rapport Africa  The Big Deal a révélé que ces quatre pays ont accaparé 84% de tous les financements de startups sur le continent. En tout, les startups africaines ont levé 2,2 milliards de dollars, -25% en glissement annuel.

Par région, l’Afrique de l’Est a attiré la plus grande partie des capitaux, et ce, pour la deuxième année consécutive. Ses startups ont pu mobiliser 725 millions de dollars, en repli de 18% par rapport à 2023. Le Kenya a été le fer de lance de la région, attirant 638 millions de dollars, avec 29% de tous les fonds levés sur le continent. La Tanzanie arrive derrière dans la région, avec 53 millions de dollars, se classant ainsi au septième rang sur le continent, suivie de l’Ouganda avec 19 millions de dollars.

L’Afrique de l’Ouest a enregistré des opérations de 587 millions de dollars de financement. Le Nigeria a attiré plus de 400 millions de dollars. Parmi les autres pays performants, il y a le Ghana (68 millions de dollars), le Bénin (50 millions), la Côte d’Ivoire (33 millions) et le Sénégal (22 millions).

Côté baisse, il y a l’Afrique du Sud qui a vu les flux financiers vers ses startups reculer de 34%, à 395 millions de dollars. Idem pour l’Afrique centrale qui n’a pu lever que 5 millions de dollars en 2024, soit plus de dix fois moins que son total en 2023.

Enfin, l’Afrique du Nord a mobilisé 478 millions de dollars l’année dernière, soit 22% du financement total du continent. La baisse a été également sensible avec un repli de 35% par rapport à 2023. L’Égypte a contribué à 84% du total de la région avec 402 millions de dollars. Le Maroc, en revanche, a fait preuve de résilience, levant 70 millions de dollars et se classant cinquième au classement général. L’année n’était pas exceptionnellement bonne pour la Tunisie, où une bonne partie des startups se cherchent encore.

 

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Elokencia : La startup tunisienne qui réinvente les réunions grâce à l’intelligence artificielle

06. Januar 2025 um 11:38

Les réunions professionnelles, souvent perçues comme improductives et chronophages, coûtent chaque année des milliards aux entreprises. Consciente de cette problématique universelle, Elokencia, une startup tunisienne innovante, a développé une solution basée sur l’intelligence artificielle pour transformer les réunions en véritables leviers de productivité.

Avec une ambition claire et un positionnement audacieux, Elokencia se prépare à révolutionner la manière dont les entreprises collaborent et prennent des décisions.

 Une problématique mondiale : les réunions improductives

Les réunions professionnelles sont devenues un mal nécessaire dans le monde de l’entreprise. Cependant, leur inefficacité entraîne des pertes considérables :

À l’échelle mondiale :

  • Un employé consacre en moyenne 31 heures par mois à des réunions jugées inutiles.
  • 54 % des employés quittent une réunion sans savoir quelles actions entreprendre.
  • Les entreprises américaines gaspillent chaque année 37 milliards de dollars en réunions mal structurées.

En France :

  • Une entreprise moyenne perd près de 132 133 € par an, soit l’équivalent de trois salaires annuels bruts, à cause de réunions inefficaces.

Des chiffres qui soulignent l’urgence pour les entreprises de trouver des solutions innovantes pour optimiser leurs réunions.

 La solution d’Elokencia : une plateforme SaaS boostée par l’IA

Elokencia a mis au point une plateforme SaaS intelligente dotée d’un assistant virtuel basé sur l’intelligence artificielle. Cette solution transforme l’ensemble du processus de réunion pour en maximiser l’efficacité :

  • Avant la réunion : la plateforme aide à définir des objectifs clairs et prépare un ordre du jour structuré.
  • Pendant la réunion : elle encadre les discussions pour garantir des échanges productifs et encourage la participation active.
  • Après la réunion : elle assure un suivi automatisé des décisions prises, propose des recommandations concrètes et facilite leur mise en œuvre.

En plus de ces fonctionnalités, la plateforme offre un tableau de bord analytique enrichi par une analyse comportementale, permettant aux entreprises de diagnostiquer les points faibles de leurs réunions et d’améliorer continuellement leurs processus collaboratifs.

Un objectif clair : conquérir le marché international

Basée en Tunisie, Elokencia se concentre sur les PME internationales, qui représentent un marché stratégique en quête de solutions innovantes et abordables. Avec un lancement commercial prévu pour juin 2025, Elokencia ambitionne de devenir un acteur clé de la transformation des réunions professionnelles à travers le monde.

Grâce à sa solution, les entreprises pourront non seulement gagner en efficacité, mais aussi réduire significativement leurs coûts et améliorer leur gouvernance.

Byrsa Fund I : un partenaire stratégique pour accompagner Elokencia

Pour accélérer son développement, Elokencia a obtenu un financement stratégique du Byrsa Fund I, géré par Dido Capital Partners. Ce fonds, dédié au soutien des startups innovantes en Tunisie, se donne pour mission l’accompagnement des startups  à fort potentiel.

Le soutien de Byrsa Fund I marque une étape clé pour Elokencia, lui permettant de finaliser sa technologie, de structurer son déploiement international, et de se positionner comme un leader dans l’optimisation des réunions professionnelles.

Pour plus d’information, veuillez contacter la start up sur :

management@elokencia.com

 

LA TUNISIE QUI GAGNE | Agaman : Quand la nature tunisienne inspire un choix de vie pour reconnecter les consommateurs avec des produits naturels

03. Januar 2025 um 10:25

Ecoresponsabilité, amour de la nature et une conviction profonde de la nécessité de fuir toutes les huiles ou les produits cosmétiques industriels et se protéger contre des composants jugés cancérigènes. Les ingrédients naturels n’occasionnent pas d’allergies et n’agressent pas le corps, tout au  contraire, leur fonction curative se conjugue souvent avec leur fonction beauté. Extraits de plantes, huiles naturelles foisonnent de vitamines et d’anti-oxydants. C’est la raison pour laquelle, une Kairouanaise portant le nom de Bihar Lassoued titulaire d’un Master en Marketing entrepreneurial et innovation et passionnée d’entrepreneurial vert de tourisme intérieur , diving  et brodrie a choisi de fonder « Agaman » un nom berbère qui signifie « naturel ». Ne dit-on pas que la nature est la meilleure école et puis comme l’atteste l’écrivain Louis Fortin « Ce qui est naturel n’est jamais disgracieux.”

Entretien :

Quelle a été votre motivation pour créer Agaman ?

Nihar Lassoued - AGAMANAGAMAN est un rêve d’enfance : bâtir un projet qui conjugue passion pour la nature et impact durable qui illustre à la perfection un engagement sans faille envers des produits authentiques et respectueux de l’environnement.. AGAMAN est bien plus qu’une entreprise, c’est un choix de vie, une bataille où nous militons pour reconnecter les consommateurs avec des solutions naturelles. En me positionnant dans le domaine des superaliments et des plantes médicinales, mon ambition est de promouvoir un mode de vie sain tout en respectant notre environnement. Mon parcours m’a conduite à créer un projet où bien-être, préservation de la biodiversité et soutien aux communautés locales sont au cœur de chaque action.

Pensez-vous le marché national assez mûr pour accepter et consommer les produits bio ?

Le marché tunisien montre une ouverture croissante pour les produits naturels et biologiques, en particulier depuis la crise sanitaire liée au coronavirus. Cette période a sensibilisé la population à l’importance de prendre soin de sa santé de manière préventive et naturelle. De plus en plus de Tunisiens recherchent aujourd’hui des alternatives plus saines, conscientes des bienfaits des produits biologiques pour le bien-être et pour l’environnement. C’est dans ce contexte qu’AGAMAN se positionne, répondant à une demande en forte évolution pour des produits authentiques, sains et respectueux de la nature.

Quel est votre modèle économique ?

Notre modèle économique repose sur une approche intégrée et durable. Chez AGAMAN, nous cultivons, transformons et commercialisons des superaliments et plantes médicinales en valorisant chaque étape de la chaîne, de la production à la distribution. Nous proposons une gamme diversifiée de produits naturels, tels que des poudres, des huiles essentielles, et des tisanes, répondant aux besoins de bien-être de nos clients tout en promouvant une agriculture respectueuse de l’environnement.

Nous adoptons également un modèle direct, en collaborant avec des partenaires locaux pour limiter les intermédiaires et maximiser la traçabilité de nos produits. En diversifiant nos canaux de distribution (vente en ligne, magasins spécialisés, et partenaires locaux), nous assurons une accessibilité optimale à nos produits. De plus, notre engagement dans la formation et le soutien aux communautés locales renforce notre mission sociale, tout en nous aidant à construire un réseau solide de partenaires engagés.

Avez-vous effectué des levées de fonds et auprès de qui ?

Nous avons effectué une levée de fonds dans le cadre de notre développement. À travers le programme Tunisia Jobs, nous avons obtenu un petit financement qui nous a permis de renforcer notre capacité de production et de poursuivre notre mission de valorisation des produits naturels et de soutien aux communautés locales. De plus, grâce au programme WIDU, nous avons reçu un autre fonds très modeste qui nous a été d’un grand apport mais nous avons aussi suivi des sessions d’encadrement pour renforcer nos compétences. Ces soutiens essentiels nous aident à atteindre nos objectifs et à renforcer notre impact de manière durable.

Chez AGAMAN, notre stratégie de développement s’articule autour de plusieurs initiatives visant à accroître notre présence et notre impact, tant au niveau national qu’international.

S’agissant du développement national, nous visons :

  • le renforcement de la présence locale : nous forgeons des partenariats avec des distributeurs locaux, des magasins bio et des coopératives dédiées aux produits naturels pour rendre les produits AGAMAN accessibles à un large public en Tunisie ;
  • la sensibilisation des consommateurs : grâce à des campagnes éducatives sur les bienfaits du Moringa/citronnelle et la traçabilité de nos produits, nous souhaitons renforcer la notoriété d’AGAMAN en Tunisie ;
  • expansion de notre gamme : pour répondre à la demande locale, nous prévoyons de diversifier nos offres avec des produits dérivés de la Moringa/citronnelle, incluant compléments alimentaires tisanes thérapeutiques et ligne agroalimentaire…, afin d’étendre notre portée et répondre aux besoins de différents segments de marché.

A l’international nous comptons :

  • cibler les marchés internationaux : l’Europe, l’Amérique ainsi que les pays où les produits naturels et responsables gagnent en popularité ;
  • avoir une certification internationale : nous nous engageons à obtenir des certifications de qualité qui répondent aux normes internationales, afin de garantir que les produits AGAMAN soient en conformité avec les exigences des marchés étrangers ;
  • participer à des événements internationaux  en étant plus présents aux salons et foires internationaux spécialisés dans les produits bio pour développer notre réseau avec des distributeurs et des acteurs de l’industrie qui partagent notre vision.
  • nous planchons également sur la mise en place d’une stratégie de vente en ligne pour rendre les produits AGAMAN accessibles aux consommateurs internationaux.

Notre but ultime est de positionner AGAMAN en tant qu’acteur incontournable dans le secteur des produits naturels, tout en contribuant à l’essor de notre entreprise en Tunisie et au-delà.

AGAMANComment vous comparez-vous à vos concurrents en termes de part de marché et de moyens technologiques ?

AGAMAN se distingue de ses concurrents par son engagement envers la qualité et le respect des normes, bien que nous soyons encore en phase de développement sans technologies avancées. Nos produits sont soigneusement emballés dans des contenants écologiques, ce qui, associé à notre communication efficace, nous permet de fidéliser une clientèle soucieuse de l’environnement. Grâce à cette approche, nous avons réussi à occuper une part importante du marché et à renforcer notre image de marque dans le secteur des produits naturels.

Vos plus grands problèmes actuellement ?

Je préfère plutôt défis qui sont l’optimisation de nos processus de production et l’adoption de nouvelles technologies. En tant que petite entreprise en développement, nous n’avons pas encore les moyens d’implémenter des technologies avancées, ce qui limite parfois notre capacité à augmenter la productivité et à améliorer l’efficacité.

Par ailleurs, la concurrence croissante sur le marché des produits naturels nous incite à investir davantage dans notre différenciation tout en assurant une qualité constante.

Enfin, nous cherchons également à renforcer nos ressources pour mieux structurer notre expansion, notamment en vue d’accéder à de nouveaux marchés et d’élargir notre présence internationale.

Jugez-vous les facilités accordées par l’Etat suffisantes ?

Bien que les efforts de l’État pour soutenir les entreprises soient respectables, ils ne sont pas encore suffisants. En particulier, les démarches administratives peuvent être très longues, ce qui complique notre développement.

De plus, nous souhaitons voir une communication plus efficace avec les jeunes entrepreneurs, afin que leurs ambitions soient mieux alignées avec les opportunités offertes. Cela pourrait favoriser un environnement plus dynamique et réactif pour les entreprises en phase de développement comme AGAMAN.

Entretien conduit par Amel Belhadj Ali

En bref : ———————————-

Agaman, un projet d’entrepreneuriat vert

  • Fondatrice : Bihar Lassoued, titulaire d’un Master en marketing entrepreneurial et innovation.
  • Mission : Promouvoir un mode de vie sain grâce à des produits naturels (superaliments, plantes médicinales) tout en préservant la biodiversité et en soutenant les communautés locales.
  • Chiffres clés : Financements via Tunisia Jobs et WIDU pour renforcer la production.
  • Modèle économique : Approche intégrée, de la culture à la distribution, avec focus sur la traçabilité et la collaboration locale.
  • Défis : Optimisation technologique, expansion internationale et complexité administrative.
  • Ambition : Positionner Agaman comme un leader des produits bio en Tunisie et à l’international.

Ajé : la startup nigériane de commerce social dépasse 7 500 utilisateurs

28. Dezember 2024 um 10:45

Ajé, une plateforme de commerce social alimentée par la blockchain, a atteint plus de 7 500 utilisateurs en seulement 12 mois.

Grâce à ses services d’entiercement sécurisés, ses portefeuilles multi-devises et sa gestion efficace des litiges, Ajé facilite un commerce sûr et transparent sur les marchés émergents. Avec plus de 1 000 transactions protégées réalisées et une augmentation de 32 % des interactions mensuelles, la plateforme séduit de plus en plus d’utilisateurs.

Ajé bénéficie de partenariats stratégiques avec Startupbootcamp, Microsoft Azure et ALX, renforçant sa position pour élargir ses opérations. Elle prévoit une levée de fonds de 500 000 dollars pour accélérer sa croissance, atteindre 1 million de transactions d’ici 2026 et optimiser ses services pour des marchés sous-desservis, notamment en Afrique.

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Yassir-KooL: une acquisition marquante en 2024

27. Dezember 2024 um 10:24

Dans son classement des 10 meilleures opérations de fusion-acquisition de startups tech africaines en 2024, Disrupt Africa a mis en avant l’acquisition de la startup tunisienne KooL par Yassir, leader algérien des services de mobilité et de livraison en Afrique.

En juin 2024, Yassir a acquis KooL, une startup spécialisée dans la livraison de repas et fondée en mars 2021. KooL s’est imposée comme la référence en matière de livraison de repas à Tunis, grâce à la qualité exceptionnelle de son service et à ses partenariats exclusifs avec les marques les plus prestigieuses de Tunisie.

L’écosystème des startups tech africaines a traversé une année 2024 difficile, marquée par une pénurie globale de capitaux. Cependant, une reprise commence à se faire sentir, et des success stories telles que des acquisitions et des sorties de marché jouent un rôle clé dans l’attraction des investisseurs locaux et internationaux vers le secteur tech africain.

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Talaty lève des fonds pour déployer ses solutions IA et promouvoir l’inclusion financière en Afrique francophone

24. Dezember 2024 um 10:59

La fintech marocaine Talaty, fondée en 2022 par Soulaimane Lahrech, Simo Bernoussi, Ilyas Oudghiri et Zakaria E., réinvente le financement des PME grâce à ses solutions basées sur l’IA. Sa plateforme innovante, dédiée aux institutions financières, offre des prêts instantanés en optimisant les évaluations de crédit et en réduisant les coûts opérationnels et les défauts jusqu’à 90 %.

Après avoir levé des fonds auprès de Witamax et Renew Capital, Talaty prévoit de consolider sa présence au Maroc et d’explorer de nouveaux marchés voisins.

« Cet investissement représente une étape importante dans notre mission commune de déployer des solutions de financement basées sur l’IA à travers le Maroc et l’Afrique francophone, afin d’autonomiser les entreprises locales et de promouvoir l’inclusion financière. » a déclaré Hiba Mrani Alaoui, associée gérante chez Witamax.

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2024 : une année encore difficile pour le financement des startups technologiques en Afrique

23. Dezember 2024 um 15:12

À l’instar de 2023, l’année 2024 a été marquée par des défis importants pour les levées de fonds des startups technologiques en Afrique. Le secteur continue de ressentir les effets de la pénurie de capitaux à l’échelle mondiale.

Cependant, des signes de reprise commencent à apparaître, laissant espérer que 2025 sera une année plus favorable. Voici un aperçu des 10 plus grandes levées de fonds de 2024.

MNT-Halan (157,5 millions de dollars américains)

En juillet, la fintech égyptienne MNT-Halan a levé 157,5 millions de dollars américains pour soutenir son expansion géographique imminente.

Fondée en 2018, MNT-Halan vise à bancariser les populations non bancarisées en proposant des solutions électroniques pour remplacer l’argent liquide. Son écosystème digital intègre des services de microcrédit, des solutions de paiement, des financements pour les particuliers, et du e-commerce.

Cette levée de fonds, dont 40 millions de dollars américains proviennent de l’International Finance Corporation (IFC), ouvre la voie à une expansion internationale. Parmi les investisseurs figurent Development Partners International, Lorax Capital Partners, ainsi que des fonds gérés par Apis Partners LLP, Lunate, et GB Corp.

Moniepoint (110 millions de dollars américains)

En octobre, la fintech nigériane Moniepoint a levé 110 millions de dollars américains dans le cadre d’un financement de série C pour accélérer sa croissance sur le continent africain, devenant ainsi une nouvelle licorne africaine.

Fondée sous le nom de TeamApt en 2015, Moniepoint est un écosystème financier complet, offrant à plus de 10 millions d’entreprises et particuliers des outils de paiement, de gestion bancaire, de crédit et de gestion d’entreprise.

Leader en matière d’acquisition de commerçants au Nigeria, la startup traite 17 milliards de dollars américains par mois pour ses clients, tout en restant rentable. Le financement a été mené par le fonds ADP III de Development Partners International, avec la participation du Google Africa Investment Fund et de Verod Capital, ainsi que de Lightrock, un investisseur existant.

Moove (100 millions de dollars américains)

En mars, Moove, une fintech spécialisée dans le financement de véhicules pour les chauffeurs d’applications de transport et de livraison, a levé 100 millions de dollars américains pour soutenir son expansion sur de nouveaux marchés. Uber et le fonds souverain Mubadala ont dirigé ce tour de table.

NALA (40 millions de dollars américains)

En juillet, la fintech NALA, fondée en Tanzanie, a levé 40 millions DE DOLLARS AM2RICAINS pour accélérer son expansion internationale et développer ses propres infrastructures de paiement.

NALA facilite les transferts d’argent rapides et sécurisés depuis l’Europe, le Royaume-Uni et les États-Unis vers plusieurs pays africains. L’entreprise prévoit d’étendre ses activités en dehors de l’Afrique et de lancer Rafiki, une plateforme B2B visant à poser les bases des paiements pour le prochain milliard d’utilisateurs.

Yellow Card (33 millions de dollars américains)

En octobre, la fintech panafricaine Yellow Card a levé 33 millions de dollars américains lors d’un tour de série C pour financer son expansion mondiale et des initiatives stratégiques.

Lancée au Nigeria en 2019, Yellow Card est le premier opérateur Stablecoin en Afrique. Présente dans 20 pays, elle a traité plus de 3 milliards de dollars américains de transactions. Ce financement, mené par Blockchain Capital, soutiendra notamment l’amélioration des API et des widgets de l’entreprise.

SunCulture (27,5 millions de dollars américains)

En avril, la société kenyane SunCulture, spécialisée dans les solutions solaires d’irrigation, a levé 27,5 millions de dollars américains pour développer ses produits et soutenir sa croissance.

SunCulture fournit aux petits exploitants agricoles des solutions technologiques et financières pour augmenter leurs rendements agricoles tout en réduisant les coûts. Ce tour de table a attiré des investisseurs tels que Reed Hastings et EDF Group.

Roam (24 millions de dollars américains)

En février, la startup kényane Roam, anciennement Opibus, a levé 24 millions de dollars américains pour accélérer sa production de motos et bus électriques destinés au marché africain.

Paymob (22 millions de dollars américains)

En septembre, la fintech égyptienne Paymob a ajouté 22 millions de dollars américains à son tour de série B, portant le total à 72 millions de dollars américains. L’entreprise étend ses activités dans la région MENA et continue d’innover dans les services financiers.

Pula (20 millions de dollars américains)

En avril, Pula, une entreprise kenyane spécialisée dans l’assurance agricole, a levé 20 millions de dollars américains pour élargir son offre d’assurance et atteindre davantage d’agriculteurs.

OneOrder (16 millions de dollars américains)

En mai, la startup égyptienne OneOrder, qui propose une plateforme d’approvisionnement pour l’industrie de la restauration, a levé 16 millions de dollars américains pour s’étendre dans la région du Golfe.

Source: Disrupt Africa

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