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Heute — 21. November 2025Haupt-Feeds

USA : Mamdani va rencontrer Trump

21. November 2025 um 18:32

Le nouveau maire de New York, Zohran Mamdani, a déclaré, jeudi 20 novembre, qu’il était « prêt, quoi qu’il arrive » pour sa rencontre avec Donald Trump à la Maison Blanche aujourd’hui, assurant qu’il comptait aborder avec le président la question du « coût de la vie ».

« Il ne s’agit pas d’une relation avec une seule personne. Il s’agit d’une relation entre la ville de New York et la Maison Blanche », a-t-il assuré lors d’une conférence de presse, ajoutant que « ses intérêts dépassent le cadre de toute personne en particulier ».

Il faut dire que Zohran Mamdani est un opposant farouche à Donald Trump, qu’il accuse notamment de défendre avant tout les Américains les plus riches, alors qu’il a été élu sur des promesses liées au pouvoir d’achat.

« J’ai rencontré de nombreux New-Yorkais qui ont voté pour le président Trump et ils m’ont dit qu’ils l’avaient fait à cause de la crise du coût de la vie », a également déclaré le maire démocrate.

De son côté, Trump n’a pas cessé de qualifier ce socialiste autoproclamé de « communiste », menaçant de « geler » les fonds fédéraux destinés à la ville.

Un certain apaisement semble toutefois s’opérer ces derniers jours : la réunion a été organisée à la demande du nouveau maire, et Donald Trump s’est montré positif dès le départ, assurant même, il y a quelques jours, qu’il souhaitait que « tout se passe bien à New York »…

Parmi les principales promesses de campagne du nouveau maire, âgé de 34 ans, figurent l’augmentation du nombre de logements à loyer modéré, de bus et de crèches gratuites.

À rappeler que Zohran Mamdani a été élu maire le 4 novembre avec plus de 50% des voix face à ses deux adversaires, dont l’un était l’ancien gouverneur démocrate Andrew Cuomo, lors d’une élection qui a mobilisé plus de 2 millions d’électeurs, un niveau de participation jamais vu depuis 1969.

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États-Unis : forte croissance des salaires, mais 4,4 % de chômage en septembre

21. November 2025 um 16:31

L’économie américaine a enregistré une hausse impressionnante des créations d’emplois en septembre, plus du double des estimations, mais dans le même temps, le taux de chômage a légèrement augmenté, alors qu’il était prévu qu’il reste inchangé.

En particulier, le rapport américain sur l’emploi de septembre, qui n’a pas été publié en raison de la fermeture des administrations, a montré un rythme d’embauche extrêmement soutenu avec 119 000 nouveaux emplois non agricoles.

Ce chiffre représente plus du double de l’estimation moyenne des analystes, qui tablait sur 50 000 nouvelles embauches, et contraste fortement avec la baisse de 4 000 embauches enregistrée avant le mois d’août, selon les données révisées. Il est à noter que le chiffre de juillet a également été revu à la baisse, à 72 000 nouvelles embauches (soit 7 000 de moins que le chiffre initialement annoncé).

Malgré la forte croissance des salaires, le taux de chômage aux États-Unis a légèrement augmenté pour atteindre 4,4%, alors que les estimations moyennes du marché prévoyaient qu’il resterait inchangé à 4,3%.

Autrement, les salaires horaires moyens ont augmenté de 0,2% sur une base mensuelle et de 3,8% sur une base annuelle, contre des prévisions de 0,3 et 3,7% respectivement.

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L’Égypte maintient ses taux d’intérêt et prévoit quand l’inflation diminuera

21. November 2025 um 15:16

Le Comité de politique monétaire de la Banque centrale d’Égypte a décidé, jeudi 20 novembre, de maintenir les taux de dépôt et de prêt au jour le jour, ainsi que le principal taux directeur de la Banque centrale, respectivement à 21, 22 et 21,5%.

Le comité a indiqué dans un communiqué que la décision de maintenir le taux d’intérêt inchangé reflète son évaluation des dernières évolutions et prévisions en matière d’inflation depuis sa précédente réunion.

Les indicateurs mondiaux laissent entrevoir une reprise continue de la croissance économique, même si les perspectives restent affectées par l’incertitude concernant les politiques commerciales et les tensions géopolitiques persistantes, rappelle le communiqué.

« Compte tenu de ces conditions, les banques centrales des marchés développés et émergents ont adopté une approche prudente en assouplissant leurs politiques monétaires ».

Le communiqué a également relevé l’évolution des marchés des matières premières, où les prix du pétrole sont restés globalement stables tandis que ceux de nombreux produits agricoles ont baissé. Toutefois, des risques de hausse persistent quant à l’évolution de l’inflation, notamment en raison d’éventuelles perturbations des chaînes d’approvisionnement.

Croissance économique égyptienne

Sur le plan intérieur, la Banque centrale prévoit une légère hausse du taux de croissance du PIB réel à 5,2% au troisième trimestre 2025, contre 5% au deuxième trimestre de la même année. Cette progression s’explique par la forte croissance des secteurs manufacturier (hors hydrocarbures), du commerce et du tourisme. Les estimations indiquent que la production continuera de se rapprocher de son potentiel maximal, qui devrait être atteint d’ici la fin de l’exercice 2025-2026.

Quant au marché du travail, le taux de chômage était de 6,4% au troisième trimestre 2025, contre 6,1% au trimestre précédent.

Taux d’inflation

Le communiqué explique que, concernant l’évolution de l’inflation, le taux annuel d’inflation globale s’est établi à 12,5% en octobre 2025, contre 11,7% en septembre 2025. De même, le taux annuel d’inflation sous-jacente a progressé à 12,1% en octobre 2025, contre 11,3% en septembre 2025…

Le taux d’inflation annuel global devrait augmenter à la fin du quatrième trimestre 2025, sous l’effet de la hausse des prix de l’énergie, avant de diminuer à nouveau au cours du second semestre 2026, pour se rapprocher de l’objectif de la Banque centrale d’Égypte.

« Toutefois, les anticipations d’inflation restent soumises à des risques de hausse tant au niveau mondial que national, notamment le risque d’escalade des tensions géopolitiques, la relative stabilité de l’inflation des prix des services et les effets, s’ils dépassent les prévisions, des mesures d’assainissement budgétaire. Ces risques exigent un suivi attentif de l’évolution de l’inflation et de son incidence sur sa trajectoire au cours de la période de prévision, et imposent une approche prudente du cycle d’assouplissement monétaire », ajoute le communiqué.

Le Comité de politique monétaire a déclaré avoir décidé d’adopter une approche attentiste en maintenant inchangés les taux d’intérêt directeurs de la Banque centrale, ce qui est approprié pour maintenir une politique monétaire qui permettra de contenir les pressions inflationnistes, de stabiliser les anticipations et de rétablir la trajectoire descendante de l’inflation.

Enfin, le comité a affirmé qu’il continuerait d’évaluer ses décisions réunion par réunion, soulignant que ces décisions dépendent des attentes, des risques environnants et des données émergentes, et qu’il n’hésiterait pas à utiliser tous les outils disponibles pour parvenir à la stabilité des prix en orientant l’inflation vers son objectif de 7% (±2 points de pourcentage) au quatrième trimestre 2026, en moyenne.

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Japon : Sanae Takaichi dévoile son plan de relance de 117 milliards d’euros

21. November 2025 um 13:01

La Première ministre japonaise, Sanae Takaichi, confirme que son gouvernement a approuvé un programme visant à stimuler l’activité économique. Ce plan, qui prévoit des dépenses publiques de 117 milliards d’euros, est fiscalement « responsable ».

« Ce dont le Japon a besoin maintenant, ce n’est pas de s’affaiblir par des mesures d’austérité excessives; mais de renforcer sa puissance nationale grâce à des politiques budgétaires proactives ». C’est ce qu’a déclaré Sanae Takaichi.

« En favorisant une économie forte et en augmentant le taux de croissance, nous réduirons le ratio dette publique/PIB et parviendrons à une résilience budgétaire et à la confiance des marchés », a ajouté la cheffe du gouvernement nippon.

A cet égard, l’agence de presse Kyodo et d’autres médias japonais ont affirmé que les mesures prévues coûteront 21,3 billions de yens (117 milliards d’euros) et visent à atténuer les effets de l’inflation sur les ménages et les entreprises.

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Zelensky accepte de « travailler » sur le plan de paix de Trump en Ukraine

21. November 2025 um 12:45

Le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, a déclaré, jeudi 20 novembre, avoir accepté de travailler sur le plan de paix élaboré par les États-Unis et la Russie, dans le but de « parvenir à une fin juste à la guerre ». 

Dans un communiqué de la présidence ukrainienne, Kiev annonce avoir reçu officiellement le plan de Washington. Lequel peut donner un nouvel élan aux efforts diplomatiques visant à mettre fin au conflit. « Les parties se sont engagées à travailler sur les dispositions du plan de manière à parvenir à une fin juste à la guerre ». C’est encore ce qu’indique le communiqué publié après la rencontre de Zelensky avec des hauts gradés américains à Kiev.

Selon le même communiqué, Zelensky prévoit de discuter dans les prochains jours avec le président Trump « des possibilités diplomatiques existantes et des points clés nécessaires pour parvenir à la paix ».

Rappelons que l’envoyé spécial du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, a présenté à Kiev un document en 28 points. Il s’était entretenu auparavant à Miami avec Rustam Umerov, actuel secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien et ancien ministre de la Défense.

Le projet exigerait que l’Ukraine abandonne le reste du Donbass encore sous contrôle de Kiev et réduise de moitié la taille de son armée. Il demanderait également à Kiev de renoncer à certaines catégories d’armements clés et prévoit la fin de l’aide militaire américaine. Un soutien pourtant vital pour la défense du pays.

L’acceptation d’un tel plan constituerait un revers majeur pour Kiev…

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Gestern — 20. November 2025Haupt-Feeds

Allemands : trop épargnants, trop pessimistes

20. November 2025 um 19:54

Les Allemands épargnent plus que nécessaire sur leurs comptes bancaires, ce qui nuit à l’économie de leur pays, avertissent des économistes, qui réclament des mesures et des informations de la part du gouvernement. Un économiste danois parle d’un « pessimisme allemand » excessif.

D’après un sondage de l’institut YouGov publié mercredi 19 novembre, 75 % des Allemands estiment qu’il est conseillé d’épargner actuellement, malgré la réalité des augmentations de salaires.

Selon Katharina Gangl, directrice de l’Institut de Nuremberg pour les décisions de marché (NIM), cela est principalement dû à la récente inflation qui a suivi la période de pandémie.

Le problème, comme le souligne Gangl sur n-tv, c’est que lorsque les consommateurs dépensent moins pour leurs achats, cela nuit à l’autre volet, à savoir le commerce, l’emploi, les salaires et les recettes fiscales.

Il propose même que le gouvernement impose une taxe sur les comptes d’épargne bancaires , non pas tant pour que l’État perçoive de l’argent, mais plutôt comme un « signal d’alarme » pour les citoyens.

« Attention, un compte d’épargne n’est peut-être pas le meilleur endroit pour protéger votre argent des politiciens », déclare Gangl, fidèle à son habitude, et conseille aux consommateurs de ne pas laisser tout leur argent à la banque, mais de choisir des investissements.

Cependant, selon le sondage YouGov, 49 % des personnes interrogées affirment pouvoir actuellement économiser un montant équivalent ou supérieur à celui de l’année dernière.

Le « pessimisme » allemand est sans fondement, souligne l’économiste danois Erik Fossing Nielsen qui, dans une interview accordée au magazine Der Spiegel, affirme que le pessimisme en Allemagne est excessif, notamment par rapport aux États-Unis.

« Nous vivons une époque où le monde semble de plus en plus dangereux et instable. L’Allemagne, pourtant, jouit d’une stabilité remarquable. Certes, des risques et des bouleversements existent, mais ils sont loin d’être aussi graves que dans d’autres régions du monde. Voyez l’évolution de la situation politique aux États-Unis. La Chine, elle aussi, prend une mauvaise direction sur les plans politique et économique. L’Allemagne et l’Europe, en revanche, se caractérisent par des politiques fondamentalement saines, même si leur mise en œuvre est souvent décevante », déclare Nielsen, qui a travaillé de nombreuses années pour la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, ainsi que pour Goldman Sachs et UniCredit.

Répondant à une question sur le leadership des États-Unis, par exemple dans le domaine des nouvelles technologies, l’économiste danois note que la production économique par habitant aux États-Unis est de 90 000 $, tandis qu’en Allemagne, elle est de 60 000 $ et de 75 000 $ selon les différentes pondérations.

« Mais vous savez quoi ? Je préférerais vivre en Allemagne avec 75 000 dollars qu’aux États-Unis avec 90 000 dollars », dit-il avec son humour habituel, expliquant qu’aux États-Unis, d’énormes sommes d’argent sont gaspillées sans raison, notamment dans le domaine de la santé, qui coûte beaucoup plus cher qu’en Allemagne, « mais avec des résultats bien pires ».

De plus, il souligne que l’espérance de vie en Allemagne est actuellement supérieure de trois ans à celle des États-Unis. Il cite même une étude récente de l’université Brown, qui a démontré que les Américains les plus riches vivent autant que les Allemands aux revenus plus modestes.

Nielsen parle également de « tristesse européenne », qui se traduit par des plaintes constantes à l’égard de nos pays, même s’il reconnaît que l’image que l’Allemagne a d’elle-même est un problème, mais aussi une raison de son succès.

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Grande-Bretagne : l’inflation chute à 3,6 % en octobre

20. November 2025 um 19:44

L’inflation au Royaume-Uni est tombée à 3,6 % en octobre, contre un pic de 3,8 % en septembre (son niveau le plus élevé en 18 mois), selon les données officielles publiées mercredi 19 novembre. Il s’agit de la première baisse depuis mai, ce qui apporte un certain « soulagement » au gouvernement et à la Banque d’Angleterre.

Tant la Banque d’Angleterre que les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à ce que l’indice des prix à la consommation tombe à 3,6 % en octobre, après que l’inflation en septembre ait été inférieure aux 4 % que la banque centrale avait précédemment prévus.

Cependant, la Banque d’Angleterre (BoE) a suspendu sa baisse trimestrielle des taux au début du mois et la chancelière de l’Échiquier, Rachel Reeves, a déclaré qu’elle chercherait à éviter les mesures fiscales et budgétaires susceptibles d’augmenter l’inflation dans son budget annuel du 26 novembre.

Certains économistes estiment que la hausse du salaire minimum, les augmentations d’impôts pour les employeurs et autres prélèvements annoncés l’an dernier ont ajouté jusqu’à 1 point de pourcentage à l’inflation britannique, qui reste la plus élevée parmi les principales économies développées.

Plus tôt ce mois-ci, la Banque d’Angleterre a prévu que l’inflation resterait supérieure à son objectif de 2 % jusqu’à mi-2027, principalement en raison d’une croissance des salaires plus rapide que ce que de nombreux responsables politiques de la Banque d’Angleterre jugent compatible avec l’objectif d’inflation, compte tenu de la faible croissance de la productivité.

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FMI : La croissance du G20 sera la plus faible depuis la crise de 2009

20. November 2025 um 18:32

Le Fonds monétaire international (FMI) assure que les 20 plus grandes économies mondiales ne connaîtront qu’une croissance de 2,9 % en 2030, sous la pression de l’incertitude et des politiques protectionnistes, ce qui représente les prévisions à moyen terme les plus pessimistes du Fonds depuis la crise financière mondiale de 2009.

Dans un rapport au G20, le FMI a identifié une série de défis auxquels est confrontée l’économie mondiale, notamment les pressions sur les finances publiques et le vieillissement de la population dans les économies avancées.

Le rapport indique que certaines économies du G20 (États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon et Corée du Sud) devraient connaître une croissance économique de seulement 1,4 % en 2030. Par contre, les économies de marché émergentes du G20 (Argentine, Brésil, Chine, Inde, Indonésie, Mexique, Russie, Afrique du Sud et Turquie) enregistreront une croissance plus forte, pouvant atteindre 3,9 %.

A noter que les dirigeants du G20 tiennent un sommet en Afrique du Sud en début de semaine prochaine, sans les présidents américain, Donald Trump, et chinois, Xi Jinping.

Le Fonds monétaire international a exhorté les pays à coopérer afin de réduire les barrières commerciales et de limiter l’incertitude qui affecte les perspectives de croissance, et a exhorté les membres du G20 à adopter des « feuilles de route claires et transparentes pour la politique commerciale ».

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Epstein : Trump donne son feu vert à la publication du dossier

20. November 2025 um 16:36

Donald Trump a signé, mercredi 19 novembre, une loi visant à rendre public le dossier Jeffrey Epstein.

« Je viens de signer la loi pour rendre public le dossier Epstein ! » C’est ce qu’a déclaré le président républicain, en lettres majuscules, dans un message de près de quatre cents mots où il accusait les Démocrates de tenter de dissimuler la « vérité » sur le courtier en Bourse et conseiller en investissements millionnaire décédé dans une prison new-yorkaise en 2019; avant d’être jugé pour une série de crimes sexuels sur des victimes, notamment des mineures.

L’affaire Epstein – avec lequel Trump, alors homme d’affaires, avait entretenu des relations amicales pendant des années – est devenue une épine dans son pied ces derniers temps, alors même que c’est lui qui alimentait les théories du complot et promettait des révélations fracassantes pendant sa campagne électorale.

La ministre de la Justice de son gouvernement, Pamela Bondi, a assuré lors d’une conférence de presse que les documents relatifs à l’affaire Epstein seraient rendus publics dans les 30 jours, comme l’exige la loi, promettant une « transparence maximale ».

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Plan de paix US : Kiev sommée de réduire son armée

20. November 2025 um 16:11

Les États-Unis ont élaboré un plan visant à mettre fin à la guerre en Ukraine et ont exhorté le président Volodymyr Zelensky à l’accepter. Ce projet, présenté comme une base de négociation, demanderait à Kiev de céder des territoires et de renoncer à certaines capacités militaires jugées essentielles.

Selon plusieurs sources, le texte prévoit notamment une réduction significative des forces armées ukrainiennes. Washington souhaiterait que Kiev accepte les éléments centraux de ce plan.

Comme l’a rapporté mercredi 19 novembre le Financial Times, l’envoyé spécial du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, a présenté cette semaine à Kiev un document en 28 points. Il s’était entretenu auparavant à Miami avec Rustam Umerov, actuel secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien et ancien ministre de la Défense.

Le projet exigerait que l’Ukraine abandonne le reste du Donbass encore sous contrôle de Kiev et réduise de moitié la taille de son armée. Il demanderait également à Kiev de renoncer à certaines catégories d’armements clés et prévoit la fin de l’aide militaire américaine. Un soutien pourtant vital pour la défense du pays.

L’acceptation d’un tel plan constituerait un revers majeur pour Kiev. Alors que la Russie poursuit ses avancées dans l’est du pays et que l’administration Zelensky est fragilisée par un scandale de corruption ayant conduit à la suspension des ministres de l’Énergie et de la Justice.

En déplacement en Turquie, mercredi 19 novembre pour rencontrer Recep Tayyip Erdogan, Zelensky doit recevoir jeudi des responsables militaires américains à Kiev. Ces initiatives diplomatiques ont entraîné mercredi la plus forte hausse des obligations souveraines ukrainiennes depuis plusieurs mois.

Des terres contre des garanties ?

Selon Axios, qui cite un responsable américain, le nouveau plan prévoirait que l’Ukraine cède une partie de l’est du pays qu’elle ne contrôle déjà plus. Et ce, en échange de garanties de sécurité américaines destinées à protéger Kiev et les pays européens contre une nouvelle agression russe.

Un diplomate européen a estimé qu’il pourrait s’agir d’une tentative de l’administration Trump « d’acculer Kiev ». Tout en rappelant qu’aucune solution viable ne saurait ignorer la position de l’Ukraine ni celle des alliés européens. Un autre diplomate a jugé que la proposition de réduire l’armée ukrainienne ressemblait davantage à une demande russe qu’à une initiative crédible.

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Déchets d’aluminium : l’UE prête à imposer de nouvelles restrictions

19. November 2025 um 19:56

La Commission européenne prévoit d’introduire des restrictions sur les exportations de déchets d’aluminium de l’Union européenne afin d’empêcher leur départ massif et le risque potentiel de laisser l’industrie européenne sans capacité suffisante. C’est une déclaration du commissaire européen au Commerce, Maros Šefčovič.

Les exportations de déchets d’aluminium de l’UE ont atteint un niveau record de 1,26 million de tonnes en 2024, selon l’association professionnelle European Aluminium, soit environ 50 % de plus qu’il y a cinq ans.

La majeure partie de ces exportations est destinée à l’Asie, d’après Reuters. Les droits de douane américains ont encore aggravé la situation.

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L’Inde demeure le deuxième client du pétrole russe

19. November 2025 um 17:42

Les achats de pétrole brut de New Delhi auprès de la Russie se poursuivent malgré les sanctions américaines imposées à Rosneft et Lukoil.

L’Inde a conservé sa place de deuxième plus grand acheteur de pétrole brut russe en octobre, après la Chine, selon les données d’un groupe de réflexion européen publié mardi 18 novembre 2025.

Le 22 octobre, les États-Unis ont imposé des sanctions à Rosneft et Lukoil, les plus grands producteurs de pétrole russes, afin de faire pression sur Moscou pour qu’elle mette fin au conflit ukrainien.

Le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur (CREA) a indiqué dans son analyse mensuelle des exportations russes de combustibles fossiles, publiée le 13 novembre, que l’Inde a dépensé 2,9 milliards de dollars en pétrole brut russe en octobre, ce qui représente 81 % des achats de combustibles fossiles de New Delhi auprès de ce pays.

Les importations indiennes de pétrole brut russe ont progressé de 11 % en octobre par rapport au mois précédent, selon l’agence. La CREA a également fait état d’une hausse de 8 % des importations totales. Si les importations des raffineries privées représentaient plus des deux tiers du total indien, celles des raffineries d’État ont quasiment doublé leurs volumes de pétrole russe en octobre.

La raffinerie de Vadinar, située dans l’État indien du Gujarat, dans l’ouest du pays, sanctionnée par l’UE et détenue en partie par Rosneft, aurait augmenté sa capacité de production à 90 % en octobre.

Le rapport de la CREA indique qu’après les sanctions de l’UE en juillet, la raffinerie importe du pétrole brut exclusivement de Russie.

En octobre, ses importations en provenance de Russie ont enregistré une hausse de 32 % par rapport au mois précédent, atteignant ainsi leur plus haut niveau depuis février 2022. Les exportations de la raffinerie, en revanche, ont chuté à leur plus bas niveau depuis mai 2023.

En septembre, 34 % des importations de pétrole de l’Inde provenaient de Russie, selon les données de Kpler. En moyenne, environ 1,8 million de barils de pétrole russe sont arrivés chaque jour en Inde en octobre.

Les États-Unis ont imposé des droits de douane de 50 % sur les importations de pétrole indien, dont 25 % à titre de mesures de réciprocité et le reste à titre de sanction pour l’importation de pétrole russe.

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Plus de 200 milliards prêtés : la Chine finance d’abord… les États-Unis

19. November 2025 um 16:27

Selon une étude portant sur les activités de crédit de Pékin, les États-Unis sont le principal bénéficiaire des prêts chinois à l’échelle mondiale…

Selon un rapport publié mardi 18 novembre par AidData, un laboratoire de recherche de l’Université de William & Mary, les prêts et dons accordés par la Chine entre 2000 et 2023 ont totalisé 2 200 milliards de dollars, répartis dans 200 pays et toutes les régions du monde.

Longtemps considérée comme un créancier des pays en développement à travers son initiative « la Ceinture et la Route », la Chine se tourne désormais vers les économies avancées, en soutenant les infrastructures stratégiques et les chaînes d’approvisionnement de haute technologie dans des secteurs tels que les semi-conducteurs, l’intelligence artificielle et les énergies propres…

Plus des trois quarts des prêts chinois à l’étranger financent désormais des programmes et des activités dans les pays à revenu intermédiaire supérieur et les pays à revenu élevé.

« Une grande partie des prêts accordés aux pays riches est axée sur les infrastructures critiques, les minéraux critiques et l’acquisition d’actifs de haute technologie, tels que les entreprises de semi-conducteurs », explique Bradley Parks, directeur exécutif d’AidData et principal auteur de l’étude.

D’après l’étude, les États-Unis ont reçu la plus grande part des crédits du secteur public chinois, soit plus de 200 milliards de dollars pour près de 2 500 programmes et activités.

Les entités étatiques chinoises sont « actives dans tous les recoins des États-Unis », finançant la construction d’installations de GNL au Texas et en Louisiane, de centres de données en Virginie du Nord, de terminaux à l’aéroport international John F. Kennedy de New York et à l’aéroport international de Los Angeles, du gazoduc Matterhorn Express et de l’oléoduc Dakota Access, rapporte AidData.

Pékin a financé l’acquisition d’entreprises de haute technologie, tandis que des institutions de prêt appartenant à l’État chinois ont accordé des facilités de crédit à de nombreuses entreprises du classement Fortune 500, dont Amazon, AT&T, Verizon, Tesla, General Motors, Ford, Boeing et Disney, indique le rapport.

La part des prêts aux pays à faible revenu et à revenu intermédiaire inférieur est tombée à 12 % en 2023, contre 88 % en 2000. Pékin a également réduit ses prêts pour les projets d’infrastructure dans les pays du Sud, dans le cadre de son initiative « Une ceinture, une route ».

Dans le même temps, elle a porté à 76 % en 2023 la part de ses prêts aux pays à revenu intermédiaire et élevé, contre 24 % en 2000. Ainsi, le Royaume-Uni, par exemple, a reçu 60 milliards de dollars, tandis que les pays de l’Union européenne en ont reçu 161 milliards.

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Repli du pétrole après l’augmentation des stocks américains

19. November 2025 um 15:32

Les prix du pétrole ont baissé, mercredi 19 novembre, sur les marchés asiatiques après la publication d’un rapport périodique faisant état d’une hausse des stocks américains, ce qui a contribué à dissiper les inquiétudes concernant l’impact des sanctions occidentales sur la Russie.

Le Brent, référence mondiale du pétrole, est tombé à environ 64 dollars le baril après avoir progressé mardi, tandis que le West Texas Intermediate, référence américaine du pétrole, s’est approché des 60 dollars le baril.

Cette situation fait suite à la publication, la semaine dernière, d’un rapport de l’American Petroleum Institute (API) – organisme financé par l’industrie pétrolière américaine -, faisant état d’une augmentation de 4,4 millions de barils des stocks de pétrole brut, ainsi que d’une hausse des stocks de produits raffinés.

Selon Bloomberg News, les sanctions américaines contre les géants pétroliers russes Rosneft et Lukoil devraient entrer en vigueur dans les prochains jours, dans le cadre des efforts visant à accroître la pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine…

« Le prix du pétrole brut reste stable », a déclaré Vandana Hari, fondatrice de la société d’analyse Vanda Insights, basée à Singapour, partagée entre les prévisions de surproduction et les inquiétudes concernant les perturbations de l’approvisionnement russe, ajoutant que « le facteur de prime de risque est fluctuant ».

Signe d’une forte augmentation de l’offre, le volume de pétrole brut transporté par pétroliers a atteint un nouveau record à l’approche de l’échéance des sanctions américaines, soulignant l’ampleur du problème. Selon Vortexa Ltd., près de 1,4 milliard de barils ont été transportés la semaine dernière vers des destinations désignées ou vers des unités de stockage flottantes.

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Monde sous pression : Moody’s pointe une croissance fragile et une bulle IA menaçante

19. November 2025 um 14:10

La croissance mondiale devrait rester stable mais modérée, les marchés émergents conservant pour la plupart une dynamique plus soutenue que ceux des pays avancés, selon le dernier rapport « Perspectives macroéconomiques mondiales 2026-2027 de Moody’s Ratings » publiées mardi 18 novembre.

En ce qui concerne le commerce, l’agence avertit que la probabilité d’un découplage entre la Chine (A1 négatif) et les États-Unis (Aa1 stable) a augmenté avec l’accroissement des restrictions commerciales et de l’incertitude, même si d’autres grandes économies pourraient continuer à renforcer leurs relations.

Perspectives mitigées pour la croissance mondiale

La croissance du PIB mondial réel devrait se situer entre 2,5 % et 2,6 % en 2026 et 2027, contre 2,6 % en 2025 et 2,9 % en 2024.

Selon le le même rapport, les économies avancées devraient croître d’environ 1,5 % par an au cours des deux prochaines années, tandis que les marchés émergents devraient croître d’environ 4,0 %.

Pour les États-Unis, Moody’s note que la croissance du PIB s’est maintenue jusqu’à présent, mais que l’économie ralentit, avec une faible croissance des embauches et des revenus, ce qui correspond à la phase finale d’un cycle économique.

Le marché du travail s’affaiblit, mais la solide consommation des ménages et les investissements dans l’intelligence artificielle (IA) ont soutenu une forte croissance du PIB, ce qui a conduit à des révisions à la hausse des prévisions pour 2025 (croissance de 2 % contre 1,5 % précédemment) et 2026 (1,8 % contre 1,5 % précédemment).

Pour leur part, les perspectives de l’Europe s’améliorent légèrement, la consommation des ménages étant soutenue par la stabilité de l’emploi et des salaires, l’assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) et les investissements dans les infrastructures et les technologies vertes.

L’augmentation des dépenses publiques de l’Allemagne (notation stable Aaa) en matière d’infrastructures et de défense, ainsi que l’augmentation des dépenses de défense dans d’autres pays, devraient profiter à l’ensemble de la région, même si ce sera de manière inégale.

Cependant, le dynamisme économique de la France devrait ralentir, l’incertitude politique et budgétaire freinant l’investissement des entreprises et les embauches et maintenant la consommation des ménages à un niveau modéré au moins jusqu’à mi-2026.

Les exportations chinoises et le soutien gouvernemental continuent de compenser la faiblesse de l’économie intérieure. L’économie chinoise devrait croître de 5 % en 2025, soutenue par les mesures de relance gouvernementales et la vigueur des exportations, même si l’entreprise prévoit un ralentissement progressif de la croissance du PIB réel à 4,2 % d’ici 2027. Les fondamentaux économiques nationaux restent fragiles, avec une consommation inégale, un faible niveau de crédit aux entreprises et un repli des investissements en capital fixe.

La politique monétaire à différentes étapes 

Les banques centrales se trouvent à différents stades de normalisation de leur politique monétaire. Les politiques monétaires divergent à l’échelle mondiale : la Réserve fédérale américaine assouplit sa politique en raison des inquiétudes liées au marché du travail, tandis que d’autres banques centrales adoptent des approches plus prudentes. Les politiques monétaires des marchés émergents varient également : les banques centrales chinoise et indonésienne assouplissent leur politique, tandis que la Banque de réserve de l’Inde maintient la sienne.

Les risques

L’entreprise prévient que les risques sont nombreux, notamment les tensions géopolitiques et les perturbations potentielles du commerce et des marchés.

Une correction des valorisations des entreprises technologiques pourrait déclencher une importante vague de ventes sur le marché boursier américain.

Les tensions géopolitiques, les perturbations commerciales et l’instabilité politique accentuent l’incertitude.

Des politiques monétaires divergentes et des marchés obligataires fragiles, sujets à des périodes de forte volatilité, risquent d’exacerber les turbulences financières.

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Les Allemands font des économies sur leurs cadeaux de Noël

18. November 2025 um 19:49

En moyenne, les Allemands dépenseront 263 euros en cadeaux de Noël cette année. Soit 34 % de moins que l’an dernier. Seul un Allemand sur dix prévoit de dépenser davantage. Tandis que 6 % déclarent ne pas offrir de cadeaux du tout. C’est ce que révèle une enquête de l’institut YouGov Deutschland réalisée pour le compte de la Fédération allemande du commerce de détail (HDE). Une tendance similaire avait été observée fin 2023.

Une enquête similaire menée en octobre par le cabinet de conseil EY a révélé que chaque Allemand dépensera en moyenne 259 euros en cadeaux cette année. Les principales raisons de cette modération en matière de dépenses sont « la forte inflation de ces dernières années, la conjoncture économique actuelle fragile et la résurgence des craintes liées à la diminution du nombre d’emplois », explique à l’AFP Dirk Seng, analyste chez EY.

« Intempéries… »                                                             

« Le climat de consommation en Allemagne est défavorable », selon Katharina Gangl, directrice de l’Institut du comportement du consommateur de Nuremberg. « Le désir d’économiser s’est généralisé depuis fin 2024 ». Et ce, en raison de l’incertitude géopolitique générale, mais aussi des craintes d’un retour de l’inflation.

De son côté, le directeur du cabinet de conseil BBE affirme que « la chasse aux bonnes affaires sera la principale caractéristique des fêtes de fin d’année ». Les premières conclusions sont attendues dès le Black Friday, le 28 novembre. Les enquêtes montrent que les consommateurs comparent les prix plus souvent et plus minutieusement qu’auparavant, et reportent fréquemment leurs achats s’ils ne les jugent pas absolument nécessaires.

18 % du chiffre d’affaires en quelques jours

Pour la HDE, la période de Noël et du Nouvel An est cruciale. Car elle représente 18 % du chiffre d’affaires annuel du commerce de détail. Comme l’explique à l’AFP le président de l’association, Alexander von Preen : « Cette année, la plupart des commerçants semblent plutôt prudents, voire pessimistes ». Ainsi, « 80 % des consommateurs seront plus mesurés dans leurs dépenses ». Tandis que « 83 % seront plus attentifs aux prix comme critère d’achat ».

A cet égard, notons que les cadeaux de Noël les plus populaires sont les jouets, les livres, les produits cosmétiques et les chèques-cadeaux. Certains offrent aussi des vêtements, des chaussures, voire de l’argent. Enfin, seule une personne sur trois achète ses cadeaux en ligne. Mais ce pourcentage est en constante augmentation.

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Les stablecoins pourraient contraindre la BCE à revoir sa politique monétaire

18. November 2025 um 18:00

La Banque centrale européenne pourrait être contrainte à revoir sa politique monétaire. Et ce, si une « fuite » des stablecoins provoquait des chocs économiques. C’est ce qu’a déclaré Olaf Sleijpen, président de la Banque centrale néerlandaise, dans une interview au Financial Times.

« Si les stablecoins continuent de croître au même rythme aux États-Unis […] ils deviendront à un moment donné d’importance systémique », a affirmé Olaf Sleijpen, gouverneur de la Banque centrale néerlandaise. Il s’exprimait de la sorte lors d’une interview accordée au Financial Times et publiée le lundi 17 novembre.

Par ailleurs, il a ajouté que ces jetons numériques pourraient présenter des risques pour la stabilité financière, l’économie et l’inflation en Europe. Une évolution qui pourrait contraindre la BCE à intervenir.

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Les exportations automobiles chinoises ont bondi de 15,7 % en 10 mois

18. November 2025 um 16:08

Les exportations automobiles chinoises ont progressé de 15,7 % en glissement annuel au cours des dix premiers mois de 2025. C’est ce qu’indiquent les données publiées mardi 18 novembre par l’Association chinoise des constructeurs automobiles.

La Chine a exporté plus de 5,6 millions de véhicules entre janvier et octobre 2025. Auxquels s’ajoutent 2,01 millions de véhicules à énergies nouvelles. Soit une augmentation annuelle de 90,4 %.

Ainsi, les exportations automobiles de la Chine ont augmenté de 22,9 % rien qu’en octobre par rapport à la même période l’année dernière. Tandis que ses exportations de véhicules à énergies nouvelles ont bondi de 99,9 %, relève l’agence Xinhua.

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L’euro numérique fera ses premiers pas dès fin 2027

18. November 2025 um 12:23

La BCE travaille méthodiquement pour garantir les aspects techniques de l’émission de l’euro numérique. C’est ce qu’a assuré, lundi 17 novembre, Piero Cipollone, membre du directoire de la Banque centrale européenne, devant le Parlement européen.

Piero Cipollone indique que la décision finale du Conseil des gouverneurs de la BCE concernant l’émission d’un euro numérique ne serait prise qu’après l’adoption de la législation. Si les législateurs européens approuvent le règlement l’instituant au cours de l’année prochaine, une phase pilote pourrait être mise en œuvre et les premières transactions pourraient être effectuées dès mi-2027. Tandis qu’il pourrait être prêt pour sa première émission en 2029.

Il a déclaré que les consommateurs, les commerçants et les banques « en bénéficieront tous ». Tandis que la réduction de la dépendance à l’égard des fournisseurs non européens renforcera également la résilience, l’autonomie et la sécurité économique du continent.

Il n’a pas partagé les inquiétudes exprimées par les banques quant à l’augmentation des coûts de transaction induite par l’avènement de l’euro numérique. D'(ailleurs, il affirme que les banques européennes perdent déjà des commissions sur les systèmes de cartes et de paiement internationaux. Avec l’euro numérique, souligne-t-il, « le modèle de rémunération garantira que les banques en tireront profit ».

« L’euro numérique offrira une forme numérique de monnaie qui complétera les billets et les pièces que nous connaissons, garantissant ainsi que les paiements – physiques et numériques – continueront de fonctionner en permanence, sans dépendre de décisions prises en dehors de l’Europe. »

L’euro numérique sera une solution de paiement numérique européenne basée sur une infrastructure européenne – tous les fournisseurs sélectionnés sont des ressortissants de l’UE et sont contrôlés par des ressortissants de l’UE.

« Parallèlement, cela protégera notre souveraineté monétaire même avec l’expansion des monnaies stables — qui sont actuellement principalement libellées en devises étrangères — et des cryptomonnaies fiduciaires », déclare encore M. Cipollone.

« Les fonctionnalités en ligne et hors ligne de l’euro numérique se complèteront, alliant la commodité des paiements numériques à la durabilité et à l’accessibilité des espèces. Permettant ainsi l’utilisation de l’euro numérique dans toutes les situations, des plateformes de commerce électronique aux zones reculées sans couverture réseau », conclut-il.

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