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Cawtar: Plus de 210 femmes renforcent leur leadership

28. Oktober 2025 um 21:38

Plus de 210 femmes ont bénéficié du projet « Leadership transformatif au féminin : pour un développement local inclusif » (2022-2025), initié par le Centre de la Femme Arabe pour la Formation et la Recherche (CAWTAR) en partenariat avec l’Agence espagnole de coopération internationale.

Ce programme, mené dans les régions intérieures des gouvernorats de Gafsa (Gtar et Snad) et de Nabeul (Béni Ayache), vise à renforcer la participation des femmes et leur intégration socio-économique à travers des actions économiques, sociales et environnementales.

Plus de 70 d’entre elles ont été formées et accompagnées dans leurs activités. Parmi les réalisations notables, le recyclage des déchets organiques en compost naturel à Gtar et Béni Ayache, ainsi que la valorisation de la laine de mouton à Snad, ainsi que la création d’une coopérative féminine pour gérer la production.

Mariem Jerbi, coordinatrice du projet, a insisté sur la volonté de pérenniser ces initiatives via des partenariats locaux. Soukaina Bouraoui, directrice exécutive de CAWTAR, a souligné que ce leadership transformateur exige une évolution personnelle constante, où le leader ne se contente pas de décider seul mais partage son pouvoir pour permettre à d’autres de s’engager et se développer.

À l’occasion de la clôture, la ministre Asma Jebri a salué ce projet comme une composante essentielle de la vision nationale qui fait de la femme un acteur clé du développement économique, social et politique. Une exposition a également mis en valeur les produits artisanaux développés par ces groupes féminins.

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Soukaina Bouraoui : « Le leadership féminin pour promouvoir le développement durable »

28. Oktober 2025 um 19:20

Ce mardi 28 octobre 2025, le Centre de Formation et de Recherche des Femmes Arabes (CAWTAR) organise à Tunis, un atelier majeur autour du thème « leadership transformatif au féminin: pour un développement local inclusif” (2022- 2025) ». En partenariat avec l’Agence Espagnole de Coopération Internationale au Développement, cette rencontre marque la clôture d’un projet de trois ans, visant à renforcer le leadership collectif des femmes dans les régions intérieures des gouvernorats de Gafsa et Nabeul.

Rencontrée en marge de cet événement, Soukaina Bouraoui, Directrice Exécutive du Centre de la Femme Arabe pour la Formation et la Recherche “CAWTAR”, revient sur les enjeux actuels du leadership collectif transformatif et son importance dans une gouvernance locale inclusive. Ce concept, encore nouveau, met l’accent sur un leadership qui ne se limite pas à la position mais implique une compétence active, qui s’apprend et se partage.

Ce leadership transformateur exige une évolution personnelle constante, où le leader ne se contente pas de décider seul mais partage son pouvoir pour permettre à d’autres de s’engager et se développer. C’est un processus collectif essentiel dans les structures telles que les Groupements de Développement Agricole (GDA), coopératives et associations, où la prise de décision partagée renforce la confiance et l’implication.

L’objectif, selon elle,  est de mieux travailler ensemble dans les territoires en incluant toutes les composantes sociales : femmes, jeunes, personnes porteuses d’handicap  et acteurs locaux comme les radios communautaires. Plus précisément, Soukaina Bouraoui estime qu’une gouvernance locale inclusive favorise ainsi le partenariat entre acteurs publics et associatifs pour dynamiser l’économie verte et durable via des projets concrets, comme le recyclage des déchets agricoles dans le Sud du pays, en lien avec des agences spécialisées et les municipalités.

Par ailleurs, Soukaina Bouraoui souligne dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com aussi l’importance du rôle des femmes agro-entrepreneures, soutenues par des initiatives comme la plateforme commerciale mise en place par le ministère de la Femme, afin de renforcer leur autonomie et leur accès aux marchés nationaux et internationaux.

Enfin, à l’approche des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes, » CAWTAR prévoit de relancer une application d’alertes accessible aux femmes en situation de handicap, une innovation qui vise à mieux protéger toutes les victimes et à mobiliser l’opinion publique par le relais des journalistes », conclut-elle.

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Procès d’Abir Moussi : audience prévue le 31 octobre à la Cour d’appel de Tunis

28. Oktober 2025 um 18:40

Le comité de défense informe l’opinion publique que Abir Moussi, « détenue depuis le 3 octobre 2023 comparaitra le vendredi 31 octobre 2025 devant une chambre criminelle de la Cour d’appel de Tunis. »

Elle est poursuivie en vertu de l’article 24 du décret-loi n°54 de 2022 relatif à la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication, à la suite d’une plainte déposée par l’Isie à son encontre, suite à des déclarations faites lors d’une conférence de presse du Parti Destourien Libre, dont elle est présidente, le 9 décembre 2022, au cours de laquelle ce parti a exprimé son opposition au processus électoral législatif.

Le comité rappelle que « Abir Moussi bénéficie d’une mise en liberté provisoire prononcée au premier degré et que la condamnation initiale à deux ans de prison n’est ni exécutoire immédiatement ni définitive, faisant l’objet d’un appel suspensif. »

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Budget 2026 : plus d’impôts, moins de subventions, prévient Ridha Chkoundali

28. Oktober 2025 um 10:01

Le budget de l’État pour 2026 s’élève à 79,6 milliards de dinars, en hausse de 3 milliards par rapport à 2025. Cette augmentation repose principalement sur les ressources fiscales, qui grimperont de 44,5 à 47,8 milliards, faisant de la loi de finances 2026 une loi essentiellement fiscale. C’est ce qu’a affirmé l’expert en économie Ridha Chkoundali via son post Fb.

Il part du constat que les ressources non fiscales augmenteront légèrement à 4,8 milliards. En revanche, l’emprunt intérieur baisse de 22,9 à 19,9 milliards, reflet d’une contrainte plus qu’un choix : le gouvernement, incapable de mobiliser pleinement les emprunts extérieurs pourtant prévus à 6,1 milliards en 2025 et seulement partiellement réalisés, a dû compenser par un recours accru à l’emprunt intérieur.

Pour 2026, il estime que l’emprunt extérieur est budgété à 6,8 milliards de dinars, en hausse par rapport à 2025. Mais la réticence et les difficultés à mobiliser ces fonds risquent de contraindre encore une fois l’État à augmenter l’emprunt intérieur. Cette situation souligne l’absence d’une vision claire de politique économique et le caractère contraint, non volontaire, de la politique d’autofinancement prônée.

Par ailleurs, un milliard de dinars reste non catégorisé dans les ressources, sous la rubrique « autres ressources ».

Côté dépenses, Ridha Chkoundali souligne une réduction des subventions à 9,8 milliards (5,2 % du PIB), un pas important vers la réforme réclamée par le FMI. Le remboursement de la dette intérieure et extérieure s’allège respectivement de 800 et 700 millions de dinars.

Quant aux dépenses salariales, elle augmentent cependant de 900 millions de dinars, avec plus de 51 000 nouveaux recrutements prévus. Mais leur poids dans le PIB diminue légèrement, s’approchant de l’objectif de 12 % fixé par le FMI.

« La vraie hausse des dépenses concerne l’investissement public, porté à 6,5 milliards de dinars (+1,1 milliard dinars).  Un signal positif à condition d’améliorer nettement le taux de réalisation des projets, encore faible (45 %). Il est crucial que l’emprunt auprès de la Banque centrale finance majoritairement ces dépenses de développement plutôt que la consommation courante », conclut-il.

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Gestern — 27. Oktober 2025Haupt-Feeds

Budget 2026 – Ridha Chkoundali : hausses ciblées, baisses surprenantes

27. Oktober 2025 um 14:42

La répartition des budgets des ministères pour 2026, hors dépenses de financement, urgences et crédits non alloués, s’élève à 5,7454 milliards de dinars contre 5,3016 milliards en 2025. C’est ce qu’a révélé l’expert en économie, Ridha Chkoundali via son post fb.

Ridha Chkoundali estime que le gouvernement ne prévoit pas de créer la Cour constitutionnelle en 2026. Tout en ajoutant que le ministère des Finances n’a pas alloué de budget à cette fin.  En revanche, un budget de 10 millions de dinars est attribué au Conseil supérieur de l’Education, récemment créé.

Et poursuivre : « Deux ministères voient leurs crédits diminuer : celui de l’Économie et de la Planification subit une baisse de 62,7 millions de dinars, jugée acceptable dans la perspective de l’achèvement des consultations pour le plan quinquennal 2026-2030. En revanche, la forte réduction de 110,22 millions de dinars du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie étonne. Surtout dans le contexte de la crise du Groupe chimique de Gabès et des demandes de démantèlement des unités, ainsi que face à la croissance notable (+30 % au T2 2025) du secteur du phosphate. « 

Avant d’ajouter : « Ce secteur nécessite des investissements importants, notamment pour le renouvellement du matériel de transport ferroviaire et des équipements. Le ministère du Tourisme subit également une baisse de crédits de 7,6 millions de dinars; malgré une croissance de près de 7 % au deuxième trimestre. Un secteur qui aurait besoin de davantage de soutiens pour consolider sa reprise. Sur le plan social, la plupart des augmentations budgétaires sont attribuées à l’Éducation (+656 millions de dinars), aux Affaires sociales (+612,5 millions), à la Santé (+350 millions) et aux Transports (+190,8 millions), soit un total de près de 1,81 milliard de dinars. »

Et de conclure : « Ces hausses devront toutefois se traduire concrètement en améliorations des services. Ce que le ministère devra justifier lors des débats parlementaires. Les ministères de l’Intérieur et de la Défense nationale bénéficient aussi d’augmentations importantes, respectivement de 308,8 millions et 569 millions de dinars. Enfin, les crédits alloués à la présidence du gouvernement et à la présidence de la République augmentent modestement, de 13,5 millions et 15,4 millions de dinars respectivement. »

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Cameroun : et de huit pour Paul Biya

27. Oktober 2025 um 12:21

Paul Biya, 92 ans, a été réélu président du Cameroun avec 53,66 % des voix, face à Issa Tchiroma Bakary, 79 ans, indique le Conseil constitutionnel. Au pouvoir depuis 1984, cette élection constitue donc son huitième mandat à la tête du pays.

D’ores et déjà, des affrontements ont éclaté dimanche entre forces de l’ordre et manifestants de l’opposition soutenant Issa Tchiroma Bakary. Ils ont fait quatre morts.

Ce dernier revendique la victoire à la présidentielle avec 54,8% des voix, selon son propre décompte. Tout en rejetant les résultats officiels du Conseil constitutionnel qui donnent la victoire de Paul Biya avec 53,66 %. M. Bakary indique, dans une vidéo publiée sur Facebook, qu’il s’agit d’une « falsification » et d’un « bourrage des urnes ».

Après avoir appelé à des manifestations pacifiques, les partisans de M. Bakary se sont mobilisés dans plusieurs villes du pays.

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Tunisie – BERD : renforcement de la coopération pour le développement 2026-2030

27. Oktober 2025 um 12:04

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh a rencontré ce lundi 27 octobre 2025 une délégation composée de plusieurs conseillers du conseil d’administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), actuellement en visite de travail en Tunisie.

Les échanges ont principalement porté sur la coopération financière et technique en cours entre la Tunisie et la BERD, ainsi que sur les perspectives de son renforcement dans la prochaine phase.

Lors de cette réunion, à laquelle participait également la directrice du bureau de la Banque à Tunis, Nodira Mansurova, le ministre a exprimé sa satisfaction quant à la qualité des relations bilatérales. Tout en soulignant sa volonté de les renforcer et de diversifier leurs domaines dans le cadre du plan de développement 2026-2030.

De son côté, Emily Keenan, cheffe de la délégation, a précisé que cette visite vise à s’informer en détail sur l’état d’avancement des différents axes et programmes de coopération entre la BERD et la Tunisie. Ainsi qu’à mieux saisir les orientations et priorités de développement pour la période à venir. Et ce, afin d’assurer une bonne coordination dans la préparation des futurs programmes de travail.

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Répartition du budget de l’Etat de 2026 : les grandes tendances sectorielles

27. Oktober 2025 um 11:42

Le projet de loi de finances 2026 (PLF 2026) prévoit des ajustements notables dans la répartition des crédits alloués aux différents ministères. Confirmant ainsi les priorités gouvernementales pour la prochaine année en termes de budget de l’Etat. 

Avec des chiffres exprimés en millions de dinars, le budget alloué aux ministères fait apparaître des augmentations significatives et quelques baisses, reflétant les défis économiques et sociaux auxquels le pays fait face. C’est ce qu’a révélé l’expert en économie Ridha Chkoundali.

Au premier rang des bénéficiaires figure le ministère de l’Éducation.  Cette hausse traduit la volonté de renforcer le secteur éducatif face aux exigences de modernisation et de développement des compétences.

En outre,  le ministère de la Femme, de l’Enfance et des Seniors bénéficie d’une légère hausse, selon la TAP. Ce qui témoigne d’une attention accrue aux groupes vulnérables.

De plus, les ministères de la Jeunesse et des Sports, de l’Environnement et de la Justice enregistreraient t eux aussi des augmentations de leurs budgets respectifs. Tout comme le ministère de la Défense ainsi que de l’Intérieur. 

En somme, la répartition budgétaire de 2026 met en lumière la priorité donnée à l’éducation, la santé, la sécurité, et les services sociaux.  Ce qui met en valeur l’orientation sociale du PLF2026. Tout en intégrant des ajustements budgétaires adaptés à la conjoncture économique du pays.

 

 

 

 

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Renforcement des liens sino-tunisiens au cœur de la première édition du « Prix de l’amitié »

25. Oktober 2025 um 10:21

L’ambassade de Chine en Tunisie a organisé le 24 octobre 2025 la cérémonie de remise des prix de la première édition du Concours « Prix de l’amitié sino-tunisienne », destiné à valoriser les meilleurs articles et vidéos portant sur la modernisation chinoise.

Wan Li, ambassadeur de Chine en Tunisie, a salué la participation active de plus de 60 œuvres soumises par des Tunisiens venus de divers horizons.

Ce concours, lancé en mai, avait pour thème “ La modernisation chinoise à mes yeux”. Les travaux primés reflètent des témoignages personnels de visiteurs tunisiens en Chine, mettant en lumière la transformation rapide du pays en termes économiques, sociaux, technologiques et culturels.

L’ambassadeur a souligné que ce modèle constitue une source d’inspiration importante pour les pays en développement, dont la Tunisie, en quête de modèles adaptés à leurs réalités.

Selon Wan Li, la réussite chinoise tient d’abord à un leadership central fort, en déclarant: « Le parti Communiste chinois garantit, à travers une planification stratégique et une capacité d’adaptation, une modernisation unique qui rassemble la société autour d’objectifs communs.  »

Il a également mis en avant l’approche centrée sur le peuple, visant à assurer une amélioration équitable des conditions de vie, ainsi que la voie du développement autonome tout en restant ouverte à la coopération internationale. L’ambassadeur a rappelé la volonté exprimée par le Président Xi Jinping de voir la modernisation comme un droit inaliénable de tous les pays.

Il a encouragé la Tunisie, dont le potentiel industriel et humain est prometteur, à poursuivre cette démarche. Depuis l’instauration d’un partenariat stratégique sino-tunisien en 2024, les coopérations se multiplient, dans un esprit de partage d’expériences et construction d’un avenir commun.

En conclusion, Wan Li a appelé à intensifier les échanges culturels et intellectuels entre les deux nations afin de nourrir la compréhension mutuelle et la créativité, éléments essentiels pour approfondir durablement l’amitié et la coopération sino-tunisiennes.

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Ridha Chkoundali: un appel à plus de clarté sur les emprunts directs à la BCT

25. Oktober 2025 um 09:56

L’expert en économie Ridha Chkoundali appelle via sa page Fb, les députés et membres du Conseil des régions et provinces à exiger transparence et rigueur dans la gestion des emprunts directs auprès de la Banque centrale de Tunisie.

Il demande au ministère des Finances de présenter un tableau détaillé des dépenses liées aux 7 milliards de dinars empruntés en 2024 ainsi qu’à ceux prévus pour 2025, afin d’éclairer les débats avant un troisième emprunt consécutif.

Selon lui, ce troisième emprunt, qui équivaut au déficit total du budget 2026, doit impérativement être encadré. S’il sert à financer des projets productifs, cela peut être bénéfique, sous réserve que le montant soit plafonné. En revanche, s’il est utilisé pour couvrir les dépenses courantes comme les salaires et subventions, le risque est double : un frein à l’investissement privé et une inflation financière à terme. Ridha Chkoundali insiste pour que ce cadre d’utilisation soit inscrit dans la loi, un décret ou un arrêté avant le début de l’année, et qu’il soit contraignant pour l’État.

Il invite par ailleurs les deux chambres à organiser chacune une séance dédiée : le Conseil des régions et districts pour définir les priorités de dépenses sur la base du plan quinquennal 2026-2030, et l’Assemblée des représentants du peuple pour étudier les impacts économiques, financiers et sociaux de ces emprunts.

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Nebgha Driss: « COTUNACE : 40 ans d’héritage et une vision digitale pour l’avenir »

25. Oktober 2025 um 00:21

À l’occasion du 40ème anniversaire de la COTUNACE, Nebgha Driss, PDG de la compagnie, a dressé un bilan tout en ouvrant des perspectives ambitieuses pour l’avenir.

“Quarante ans dans la vie d’une entreprise, ce n’est même pas la moitié du chemin, “rappelle-t-elle, dans une déclaration à leoconomistemaghrebin.com soulignant que la durée légale des entreprises tunisiennes est de 99 ans.

Plus encore, elle met l’accent sur l’héritage des dirigeants qui l’ont précédé. “ Nous sommes le produit de leur œuvre, de leurs décisions stratégiques. Il est essentiel de leur rendre hommage et de cultiver la continuité dans notre mission. “ Pour elle, , la reconnaissance des anciens dirigeants est la clé pour porter encore plus loin le drapeau de la COTUNACE, “toujours dans la même direction et toujours de succès en succès. “

Face à l’enjeu que représente cet anniversaire, la PDG insiste sur la nécessité d’anticiper les défis du présent et de l’avenir. Parmi eux, la digitalisation occupe une place centrale. “Les chantiers sont engagés, “ affirme Nebgha Driss, évoquant le lancement prévu début 2026 d’un accès en ligne pour les clients.

Cette transformation numérique facilitera l’accès à l’information et améliorera l’accompagnement des entreprises. La COTUNACE travaille également à fournir aux banques partenaires des outils leur permettant de mieux suivre les opérations communes, optimisant ainsi la synergie entre financement bancaire et assurance crédit.

Sur le plan des innovations, la PDG met l’accent sur le développement de produits d’assurance adaptés aux nouvelles exigences des opérateurs, tant à l’export qu’au marché local. « La protection des échanges locaux prend une importance croissante, particulièrement dans le contexte économique actuel et suite aux récentes évolutions législatives, comme la nouvelle loi sur le chèque. »

Depuis la fusion avec sa filiale Assurecrédit en 2014, la compagnie s’emploie à concevoir des solutions sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises, en tenant compte de leur secteur et de leur taille.

Concernant le projet de loi de finances 2026, qui suscite déjà de nombreux débats, Nebgha Driss se montre pragmatique : “Quelles que soient les décisions prises, notre rôle est d’accompagner les entreprises pour assurer leur stabilité et leur développement. “

Pour conclure, elle lance un message d’ouverture et d’engagement renouvelé : “Après 40 ans, nous n’avons pas encore tout fait. Chaque jour, de nouvelles entreprises naissent et beaucoup ne connaissent pas encore la COTUNACE. Nous irons donc vers elles, y compris via du porte-à-porte, pour leur offrir la tranquillité d’esprit nécessaire à leur croissance. Notre mission est de surveiller le risque, pour qu’elles puissent se concentrer pleinement sur leur cœur de métier. “

Ainsi, la COTUNACE affiche plus que jamais sa volonté d’accompagner durablement les acteurs économiques tunisiens, avec un regard résolument tourné vers le futur.

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40 ans, et toujours au sommet : la Cotunace dévoile sa nouvelle identité

25. Oktober 2025 um 00:08

La célébration des 40 ans de la Cotunace, le 24 octobre 2025, a été bien plus qu’une simple commémoration d’anniversaire : elle s’est imposée comme un hommage vibrant aux pionniers qui ont façonné l’histoire et façonnent encore le présent de cette institution phare de l’assurance-crédit en Tunisie.

Depuis sa création en 1984, la Cotunace a été synonyme de stabilité et d’innovation dans un secteur économique en constante évolution. L’événement a mis en lumière le rôle essentiel joué par les premiers bâtisseurs de la compagnie, sans lesquels son succès et son rayonnement régional n’auraient pas été possibles. Plusieurs témoignages d’anciens collaborateurs et dirigeants ont souligné les défis surmontés, la vision partagée et la détermination qui ont présidé à la construction patiente d’un leader national.

De ce fait, ces récits personnels ont donné corps à l’identité nouvelle dévoilée dans la soirée du vendredi 24 octobre 2025 : un logo moderne et dynamique symbolisant non seulement la protection et la maîtrise du risque, mais aussi l’esprit d’équipe et la solidarité qui ont toujours animé la Cotunace. Le bleu du demi-cercle évoque la sécurité offerte aux entreprises tunisiennes, tandis que l’orange traduit l’énergie permanente d’une institution tournée vers l’avenir.

La Cotunace affirme sa volonté de rester fidèle

De ce fait, cet événement a également rappelé le lien indéfectible entre passé, présent et futur. Plus précisément, en rendant hommage aux pionniers, la Cotunace affirme sa volonté de rester fidèle à ses valeurs fondatrices tout en s’adaptant aux nouvelles réalités du marché régional et international, où la dynamique d’exportation et l’intégration africaine jouent un rôle croissant.

Par ailleurs, les chiffres présentés lors de la cérémonie témoignent de la performance continue de la compagnie : en 2024, elle a assuré plus de 2,3 milliards de dinars tunisiens en capitaux, avec une progression notable de ses résultats financiers. La part croissante de l’Afrique dans ses activités traduit également l’ouverture de la Cotunace vers de nouveaux horizons économiques.

Finalement, cette célébration du quarantième anniversaire n’a pas seulement rappelé un passé glorieux, elle a aussi lancé un message clair à tous les acteurs économiques. Car une chose est sûre: la Cotunace reste aujourd’hui un acteur incontournable, forte d’un héritage précieux, prête à relever les défis de demain.

Cet hommage aux pionniers a indéniablement renforcé le sens de l’appartenance et la motivation des équipes actuelles, s’inscrivant dans une stratégie globale de modernisation affichée par la nouvelle identité visuelle.

In fine, la Cotunace, 40 ans et pas une ride, continue son voyage vers l’avenir avec confiance et ambition.

La Cotunace en chiffres clés (2024)

Capitaux assurés : 2 333 MDT (+6,5%)
Primes émises : 13,4 MDT (+4,7%)
Résultat technique : 2,9 MDT (+14,7%)
Résultat comptable net : 4,3 MDT (+11,3%)
Part de l’Afrique dans le total des exportations assurées :
Performances cumulées 1984-2024
Contrats souscrits : 4 042
Capitaux assurés : 45 174 MDT
Indemnisations export et ventes locales (risque commercial) :
Indemnisations risques politiques : 117 MDT

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Mohamed Ali Nafti souligne l’engagement des Nations unies pour un multilatéralisme renouvelé

24. Oktober 2025 um 12:44

À l’occasion des 80 ans de la création des Nations unies, le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a rappelé l’importance historique et stratégique de cette organisation, fondée sur un ensemble de principes et de valeurs nobles, qui incarnent les espoirs des peuples pour un système international plus humain et solidaire.

Il a souligné que la Charte des Nations unies porte en son préambule l’engagement à défendre la dignité humaine, à protéger les générations futures des ravages de la guerre, et à établir des relations internationales fondées sur le droit, la coopération, et non la confrontation.

Le ministre a insisté sur l’adhésion ferme et constante de la Tunisie au multilatéralisme, considéré comme un levier essentiel pour renforcer la solidarité internationale et affronter les défis mondiaux sécuritaires et de développement, qui sont de plus en plus complexes et imbriqués. La participation active de la Tunisie à des événements internationaux majeurs récents, tels que la conférence “le Sommet pour l’avenir” de 2024 et la 80e session de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, illustre cet engagement.

Mohamed Ali Nafti a également souligné le rôle clé de l’académie diplomatique tunisienne, qui forme les nouvelles générations de diplomates tunisiens, fidèles aux valeurs de paix, de coopération et de solidarité. Il a rappelé que la Tunisie, dès son accession officielle à l’ONU en 1945, a suivi un parcours équilibré en soutenant les fondements du droit international, la légitimité internationale et l’égalité souveraine des États.

Le ministre a fait valoir que l’histoire de la Tunisie dans l’ONU est marquée par une défense constante des droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, un appui actif aux mouvements de libération nationale, une promotion du dialogue interculturel, et une participation soutenue aux missions de maintien de la paix.
Face à des défis croissants, notamment les conflits armés, les crises humanitaires, les violations du droit international, le changement climatique, les déséquilibres économiques et sociaux, Mohamed Ali Nafti a insisté sur la nécessité d’un effort collectif pour renforcer la capacité de résistance du système multilatéral et retrouver la confiance nécessaire pour une gouvernance plus efficace. Il a mis en lumière les échecs actuels, notamment dans la gestion des crises comme celle qui sévit à Gaza, appelant à un engagement renouvelé pour protéger les droits fondamentaux et les principes de justice.

Le discours rappelle aussi l’importance du soutien à la cause palestinienne, la Tunisie faisant front en faveur de l’établissement d’un État indépendant souverain avec Jérusalem pour capitale.

Enfin, le ministre a exprimé son soutien à l’initiative du Secrétaire général des Nations unies pour une réforme profonde de l’organisation, avec une feuille de route claire consolidant la légitimité internationale et le respect du droit. Il a insisté sur le fait que ni la dignité humaine, ni le développement ne doivent être exclusifs à certains, et que la Tunisie restera un partenaire actif et responsable dans l’édification d’un ordre mondial plus juste, équilibré, respectueux des peuples et de leurs droits inaliénables.

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Nafaâ Laribi appelle à la défense des droits et à la transparence judiciaire pour Abir Moussi

23. Oktober 2025 um 16:44

Lors d’une conférence de presse, le 22 octobre 2025, le comité de défense de Maître Abir Moussi, soutenant qu’elle est détenue arbitrairement depuis octobre 2023, a exposé les graves irrégularités entourant sa détention. De même qu’il est revenu sur sa comparution prévue le 24 octobre 2025 devant le tribunal de première instance de Tunis.

Le post de Nafaâ Latibi, membre du comité de défense d’Abir Moussi, évoque plus de 30 avocats qui ont déposé des recours contre des décisions ministérielles. Lesquelles, dixit l’intéressé, violent la Constitution et mènent à des promotions judiciaires illégales qui remettent en cause l’indépendance de la justice.

Dans ce contexte, le comité de défense dénonce la nullité du procès à venir du fait de la composition illégale de la chambre pénale. De même qu’il annonce sa demande officielle au Parlement pour qu’une séance plénière soit convoquée. Et ce, afin de dénoncer les violations du système judiciaire, fragilisant la légitimité républicaine.

Ainsi, les défenseurs rappellent que la détention de la présidente du Parti Destourien Libre (PDL), Abir Moussi, est illégale, sans mandat valable, ni jugement exécutoire. Ce qui constitue une infraction grave reconnue par un groupe de travail de l’ONU appelant à sa libération immédiate.

Ils réclament donc la publicité totale de l’audience, l’accès libre au tribunal pour la société civile; ainsi que la retransmission du procès à la télévision nationale.

Enfin, ils insistent sur l’importance d’assurer la sécurité et des conditions de transport adaptées à son état de santé fragile pendant ses déplacements judiciaires. Tout en impliquant la responsabilité directe des autorités pénitentiaires.

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Phosphate Tunisie – Maroc : comparaison n’est pas raison!

23. Oktober 2025 um 16:02

La production de phosphate constitue une ressource économique importante pour la Tunisie comme pour le Maroc. Et ce, bien que les approches relatives à la gestion environnementale présentent des différences notables.

Par exemple, au Maroc, les autorités ont cessé les rejets en mer depuis 2009. Illustrant ainsi un suivi rigoureux des effluents industriels liés à cette production. En Tunisie, les rejets de phosphogypse dans le Golfe de Gabès se poursuivent, avec un volume estimé à environ 13 000 tonnes par jour. Ce qui soulève des enjeux importants pour l’écosystème marin et la biodiversité.

Concernant la pollution de l’air, les installations marocaines disposent de dispositifs avancés de filtration et de monitoring. Ce qui permet de limiter l’impact atmosphérique; même si la pollution demeure un sujet à surveiller autour des sites de production. En Tunisie, notamment dans les régions de Gabès et Gafsa, des phénomènes tels que les pluies acides sont observés. Ce qui met en lumière la nécessité de renforcer les infrastructures pour mieux maîtriser la qualité de l’air et préserver la santé des populations environnantes.

Pour la gestion des déchets solides, au Maroc une surveillance régulière contribue à éviter leur accumulation excessive près des zones industrielles. En Tunisie, des initiatives de gestion des déchets pourraient permettre de mieux encadrer le stockage et le traitement des déchets. Et ce, afin de réduire les risques environnementaux et sanitaires.

La surveillance des nappes phréatiques est activement menée au Maroc pour limiter la contamination industrielle. En Tunisie, des cas de pollution des eaux souterraines autour de Gafsa indiquent l’importance d’accroître les mécanismes de contrôle pour protéger les ressources en eau potable et soutenir l’agriculture locale.

Globalement, le secteur phosphatier marocain a bénéficié d’investissements significatifs pour moderniser ses infrastructures et renforcer les contrôles environnementaux. La Tunisie, quant à elle, poursuit ses efforts pour adapter son modèle de gestion. De même qu’elle souhaite encourager davantage d’innovations technologiques et de régulations adaptées. Ce qui permettra d’allier développement économique et préservation environnementale.

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Les syndicats seront auditionnés sur la révision du décret 54

23. Oktober 2025 um 13:45

Le député Faouzi Addas, membre de la Commission de législation générale, a fait savoir sur les ondes de Mosaïque fm que ses collègues ont convenu de convoquer le Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt), l’Ordre des avocats et le Syndicat des magistrats pour les entendre au sujet de la proposition de loi portant révision du décret 54.

Ces auditions s’inscrivent dans le calendrier des priorités de la Commission, suivies par la proposition de loi relative à la répression des agressions contre les éducateurs et la loi sur la propriété intellectuelle.

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Enfance, jeunesse en crise : violence et harcèlement en hausse

22. Oktober 2025 um 18:57

Aujourd’hui, l’observation d’un phénomène inquiétant prend de l’ampleur dans tous les horizons : la hausse des mots violents, des moqueries et des comportements de harcèlement, aussi bien dans la sphère scolaire qu’en ligne. Si, il y a encore une dizaine d’années, ces comportements étaient relativement limités ou encadrés, ils semblent aujourd’hui devenir une norme inquiétante, alimentée par l’omniprésence des réseaux sociaux et la dégradation des valeurs éthiques.

Selon une étude mondiale menée par UNICEF en 2024, près de 46% des adolescents âgés de 13 à 17 ans ont été victimes de cyberharcèlement au moins une fois, et 58% ont été témoins de comportements de violence ou de moquerie en ligne sans intervenir.

Le harcèlement scolaire, aussi appelé « bullying », connaît aussi une recrudescence. Selon le secrétaire général du Syndicat de l’enseignement secondaire, Mohamed Essafi, a qualifié, lors de son intervention sur les ondes de Mosaïque fm ( Il y a quelques mois de cela)  la situation de la violence scolaire en Tunisie de « catastrophique », soulignant qu’elle est devenue une réalité quotidienne dans de nombreuses écoles, surtout dans les zones urbaines et grandes villes, davantage que dans les régions rurales.

Selon lui, il est urgent de « tirer la sonnette d’alarme » face à ce phénomène qui a atteint un niveau difficile à ignorer, déplorant en même temps le manque de volonté réelle pour en venir à bout.

Les chiffres officiels confirment la gravité : durant l’année scolaire 2022-2023, 23 800 cas de violence scolaire ont été enregistrés, dont 312 incidents graves principalement contre les enseignants.

Entre 2023 et 2024, ce phénomène a augmenté de 19%, plaçant la Tunisie au deuxième rang dans la région méditerranéenne en termes de violence scolaire.

Ces données traduisent une situation alarmante, qui nécessite une prise en charge urgente et coordonnée pour protéger les élèves et le corps enseignant ainsi que pour restaurer un climat scolaire serein.​
Les conséquences psychologiques sont lourdes : dépression, isolement, baisse de l’estime de soi, voire pensées suicidaires.

Le rôle des parents et de l’éducation

Face à cette montée de violence, la question demeure : que font les parents et les éducateurs ? La tolérance ou l’inaction peuvent faire le jeu des harceleurs. La responsabilité de prévenir le harcèlement revient surtout à l’entourage, à l’école et à la société toute entière.
Il est nécessaire d’instaurer une communication ouverte avec les jeunes, de leur apprendre le respect de l’autre et de leur faire prendre conscience des conséquences de leurs actes, en particulier en ligne où l’anonymat encourage parfois la brutalité.

La lutte contre le cyberharcèlement

Les plateformes sociales, en partenariat avec les gouvernements, cherchent à mettre en place des systèmes de signalement plus efficaces, mais il reste encore beaucoup à faire. La sensibilisation doit aussi passer par des programmes éducatifs intégrés dans les écoles, avec des campagnes de prévention et des ateliers de sensibilisation.

Le respect et l’éthique doivent redevenir des valeurs fondamentales, afin de contrer cette crise silencieuse qui menace le bien-être des enfans  et l’harmonie sociale. Chaque acteur a un rôle à jouer : familles, écoles, institutions et médias. La lutte contre le harcèlement, sous toutes ses formes, doit devenir une priorité pour préserver notre société de demain.

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Le ministère de l’Emploi lance SIGAF 

22. Oktober 2025 um 15:20

Le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a inauguré le système d’information intégré de gestion des activités de formation professionnelle (SIGAF). Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de numérisation des services et d’amélioration de la qualité de gestion du secteur.

Moez Ouertani, coordinateur du projet, a fait savoir sur les ondes de Mosaïque que ce système vise à moderniser la gestion des établissements privés de formation professionnelle en digitalisant toutes les étapes, depuis la création jusqu’à la délivrance des diplômes. Il comprend également des services dédiés aux diplômés, tels que la classification, l’équivalence avec les diplômes étrangers et la certification numérique des titres.

Moez Ouertani a souligné que cette numérisation simplifiera les démarches administratives et réduira la charge des administrations régionales et centrales, permettant ainsi de concentrer les efforts sur le suivi et la qualité. Par ailleurs, les diplômes délivrés seront authentifiés électroniquement grâce à un système d’interconnexion entre les différentes institutions publiques.

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Mohamed Ali Malouche à la tête du conseil de Deloitte Afrique

21. Oktober 2025 um 20:14

Un Tunisien de renom, Mohamed Ali Malouche, nommé à la tête du conseil régional de Deloitte Afrique, incarne l’excellence africaine et la connexion dynamique entre la Tunisie et le monde.

Mohamed Ali Malouche a été promu récemment Managing Partner Consulting Services chez Deloitte Afrique, couvrant 19 pays d’Afrique francophone. Il dirige désormais les activités de conseil intégrées, notamment en stratégie, risques, fusions-acquisitions, digital et cybersécurité, pour accompagner la transformation des secteurs public et privé.

Avant cette nomination, il a piloté la practice “Public Sector” chez Deloitte Afrique, contribuant pendant plus de sept ans à la modernisation des administrations publiques sur le continent. Basé entre la Tunisie et Washington DC, il enseigne à Georgetown University l’Entrepreneurship & Innovation in Africa, combinant expertise académique et professionnelle.

Parallèlement, en tant que fondateur et président de Tunisian American Young Professionals (TAYP), il agit depuis plus de dix ans pour renforcer les liens économiques et entrepreneuriaux entre la Tunisie et les États-Unis.

Mohamed Ali Malouche représente fièrement la diaspora tunisienne à l’international, valorisant le potentiel économique du pays auprès d’investisseurs mondiaux.

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