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Gestern — 06. September 2025Haupt-Feeds

Études à l’étranger : La BCT augmente les plafonds des transferts en devises

06. September 2025 um 12:13

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié vendredi une nouvelle circulaire révisant les plafonds et modalités des transferts en devises pour les études et stages à l’étranger, visant à faciliter la mobilité des étudiants tunisiens.

Hausse des plafonds pour frais d’études et de séjour

Selon la nouvelle circulaire les frais d’installation passent de 4000 à 6000 dinars par année universitaire ou scolaire.

Les frais de séjour sont désormais fixés à 4000 dinars par mois, contre 3000 dinars auparavant.

Une nouveauté importante concerne les stages académiques à l’étranger, qui peuvent désormais bénéficier des transferts en devises pour frais d’études et de séjour, alors qu’ils nécessitaient auparavant des autorisations spéciales.

Modes de transfert et garanties

Les étudiants pourront effectuer leurs transferts via virements, chèques ou cartes de paiement internationales nominatives, dédiées aux allocations d’installation et de séjour.

La circulaire introduit également des garanties nouvelles :

  • Dossier simplifié avec possibilité de documents provisoires en l’absence du certificat d’inscription, régularisation obligatoire sous trois mois.
  • En cas de refus de visa ou d’abandon des études, les fonds transférés doivent être récupérés en 15 jours et rétrocédés en dinars dans un délai de 60 jours.

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Tunisie: La BCT revoit à la hausse les transferts en devises pour études à l’étranger 

Von: walid
06. September 2025 um 12:49

La Banque centrale de Tunisie (BCT) vient de réviser les montants des transferts pour études à l’étranger, conformément à une nouvelle circulaire fixant les conditions et modalités des transferts en devises au titre des frais d’études et de stages académiques à l’étranger, publiée vendredi.

En effet, BCT a établi de nouveaux plafonds : le montant alloué aux frais d’installation passe de 4 000 à 6 000 dinars par année universitaire ou scolaire. Quant aux frais de séjour, ils sont désormais fixés à 4 000 dinars par mois, contre 3 000 dinars auparavant.

Autre nouveauté, les stages académiques à l’étranger sont désormais éligibles aux transferts en devises pour frais d’études et de séjour, alors qu’ils nécessitaient auparavant des autorisations spéciales et n’étaient pas pris en charge par les circulaires précédentes.

Les transferts peuvent être effectués non seulement par virements et chèques, mais également via des cartes de paiement internationales nominatives, spécialement dédiées aux allocations d’installation et de séjour.

Enfin, la circulaire instaure de nouvelles garanties. Les étudiants devront fournir un dossier simplifié, avec possibilité d’utiliser des documents provisoires en cas d’absence du certificat d’inscription, mais avec obligation de régulariser sous trois mois.

En cas de refus de visa ou d’abandon des études, les fonds transférés devront être récupérés dans un délai de 15 jours et rétrocédés en dinars dans les 60 jours.

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La BCT assouplit les transferts de devises pour les étudiants à l’étranger

05. September 2025 um 20:03

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié la circulaire n°2025-10 révisant les conditions des transferts en devises pour les étudiants tunisiens à l’étranger.

Le changement principal étend les règles aux stages académiques, qui étaient auparavant soumis à des autorisations spéciales. La définition de l’année universitaire est passée de neuf à dix mois, de septembre à juin. Les plafonds des allocations ont été augmentés : les frais d’installation sont rehaussés à 6000 dinars par an et les frais de séjour à 4000 dinars par mois. Les frais d’inscription continuent d’être transférés sur présentation de factures. La circulaire permet également de transférer des fonds pour une année préparatoire de langue. Enfin, les étudiants doivent rapatrier les fonds dans un délai de 60 jours en cas de refus de visa ou d’abandon des études.

Avec TAP

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 05 septembre 2025

05. September 2025 um 13:06

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.897 2.974
Euro EUR 1 3.371 3.449
Yen Japonais JPY 1000 19.336 20.065
Livre Sterling GBP 13 3.859 4.005
Franc Suisse CHF 10 35.464 36.988

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Tunisie – Près de 25 Mrds de dinars de réserves de change ou 108 d’importations

04. September 2025 um 10:31

Les réserves en devises de la Tunisie se sont établies à 24 860 millions de dinars (ou 25,860 milliards de dinars) au 29 août 2025, ce qui correspond à une couverture de 108 jours d’importations, selon les données publiées par la Banque centrale de Tunisie.

Une semaine plus tôt, le 22 août, ces réserves s’élevaient à 24 640 millions de dinars, couvrant alors 107 jours d’importations, d’après la même source.

 

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 03 septembre 2025

03. September 2025 um 14:12

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.903 2.980
Euro EUR 1 3.369 3.447
Yen Japonais JPY 1000 19.339 20.068
Livre Sterling GBP 13 3.845 3.990
Franc Suisse CHF 10 35.521 37.047

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 02 septembre 2025

02. September 2025 um 13:24

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.892 2.969
Euro EUR 1 3.373 3.452
Yen Japonais JPY 1000 19.339 20.067
Livre Sterling GBP 13 3.871 4.017
Franc Suisse CHF 10 35.528 37.054

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Banque postale en Tunisie : solution aux inégalités régionales ou nouvelle utopie ?

01. September 2025 um 20:20
La Poste
Banque Postale

Cela parait étonnant et pourtant c’est vrai. En cette période où de nombreux « économistes ultralibéraux » ne voient que l’issue de la privatisation pour résoudre les difficultés des entreprises publiques, d’autres parties dont des bailleurs de Fonds estiment qu’il y a un besoin réel de créer de nouvelles entreprises publiques. Objectif : satisfaire les besoins urgents d’importants pans de la société tunisienne en produits et services que l’Etat et les privés n’ont pas pu assurer, jusqu’à ce jour.

Une entreprise publique est particulièrement recommandée. Il s’agit de la création d’une Banque postale, un projet en stand-by depuis des années. Actuellement le projet de loi portant création de cet établissement financier est relancé. Il est soumis, depuis juillet 2025, au parlement sur l’initiative d’un groupe de députés.

Concrètement, fort de plus 1200 bureaux postaux répartis sur tout le territoire du pays, de 4 millions de détenteurs de comptes d’épargne représentant 25% de l’épargne du pays et de 2 millions de comptes courants, le projet de Banque postale a toutes les chances de réussir.

Ce type de banque, inspiré d’expertises réussies dans des pays développés comme la France, l’Italie et le Japon, se propose de fournir des services de proximité aux communautés enclavées, c’est-à-dire dans les contrées où les banques classiques ne sont pas présentes…

La Banque postale va jouer sur le levier de la proximité pour fournir un service qu’elle n’offre pas, à ce jour, à savoir l’octroi de crédits. Elle va permettre à d’importants pans de la population et des entreprises localisés à l’intérieur du pays d’accéder à des financements appropriés pour lancer leurs projets. C’est en quelque sorte une banque inclusive.

« Avec plus de 1 200 bureaux et 4 millions d’épargnants, la Poste a toutes les cartes en main pour réussir sa mutation en banque. »

Les bailleurs de fonds soutiennent la création de la banque postale

Cette banque bénéficie du soutien du gouvernement tunisien (a l’exceptions du ministère des finances, de la BCT…) et des bailleurs de fonds. Ces derniers se sont constamment préoccupés des difficultés que rencontrent, à l’intérieur du pays, simples citoyens, PME-micro entreprises, régions et secteurs, pour accéder à un financement bancaire.

C’est d’ailleurs, en prévision de la création de cette banque que l’Union européenne a mis à la disposition de la Poste tunisienne, depuis 2016, un don d’un million d’euros. Ce financement est dédié au cofinancement de plans d’action visant la promotion des différents métiers de la Poste et l’amélioration de leur management.

Pour sa part, la BERD (Banque européenne de reconstruction et du développement) appuie le projet de création de cette nouvelle banque publique parce qu’il répond, d’après les déclarations de ses responsables à Tunis, à un véritable besoin : celui de faire accéder d’importants pans de régions et de secteurs non bancables à des financements bancaires.

Au mois de novembre 2024, les députés ont vivement critiqué, lors d’une séance parlementaire, le ministère des technologies et de la communication, pour les retards liés à la mise en œuvre de la Banque Postale, perçue comme une « revendication populaire ».

« En Tunisie, la proximité est un atout décisif : la Banque postale vise les citoyens et PME laissés à l’écart du financement. »

Les banques de la place craignent la Banque postale

Selon nos informations, cette initiative serait freinée par des blocages au niveau de plusieurs parties : ministère des Finances, Banque centrale, Conseil bancaire et financier (CBF), organisme professionnel qui regroupe les banques et les établissements financiers….et des sociétés de micro crédits qui accordent des crédits au taux d’intérêt variant entre 20 et 40% .

Effectivement, les banques de la place et les sociétés de microfinance qui sont très actives dans les quartiers populaires voient d’un mauvais œil l’arrivée de ce nouvel établissement financier public qui, par l’effet de l’avantage dont il jouit en matière de proximité et d’implantation sur tout le territoire du pays, constituerait une sérieuse concurrence…

D’après le député Mohamed Zied Maher représentant des initiateurs de la proposition parlementaire, « cette banque postale pourrait introduire une dynamique de concurrence sur le marché financier tunisien. Il considère qu’il est temps que les banques traditionnelles s’adressent davantage aux investisseurs et s’engagent avec eux sur la question du risque, condition nécessaire selon lui à une véritable renaissance financière et économique du pays ».

« Le risque n’est pas dans le projet, mais dans la gouvernance qui décidera de son avenir. »

 

Quant à nous,  nous pensons qu’au regard de la tendance fâcheuse de la BCT à trainer des pieds avant de promulguer le projet de loi sur « l’inclusion financière », l’initiative des députés d’accélérer le débat sur la création de la Banque postale ne peut être que saluée.

Néanmoins, nous nous empressons de formuler cette crainte de voir, en l’absence d’institutions de contrôle solides, la future Banque postale tomber, par l’effet du mauvais choix des hommes et des politiques, dans le piège de la mauvaise gouvernance dont souffre actuellement l’écrasante majorité des banques publiques de la place.

Abou SARRA

EN BREF

  • La Tunisie relance le projet de Banque postale, longtemps en attente.
  • Objectif : offrir des crédits et services financiers aux citoyens et PME exclus du système bancaire.
  • Avec son réseau de 1 200 bureaux postaux et 4 millions d’épargnants, la Poste dispose d’atouts uniques.
  • Le projet bénéficie du soutien de l’UE et de la BERD, mais se heurte à l’opposition du ministère des Finances, et de la BCT.
  • Enjeu majeur : réussir la gouvernance pour éviter les dérives des banques publiques.

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ECLAIRAGE – Tunisie, août 2025 :- pilotage monétaire serré

01. September 2025 um 14:30

L’économie tunisienne bénéficie encore d’amortisseurs solides dans une conjoncture internationale éclectique…

Sur les marchés mondiaux, la semaine a été marquée par une légère détente des taux longs américains après les annonces de la FED sur le maintien du rythme de resserrement. Tandis que la BCE a confirmé sa prudence face à l’inflation européenne encore supérieure à 3 %.

De son côté, le pétrole évolue autour de 85 USD le baril, légèrement en recul après des tensions géopolitiques atténuées au Moyen-Orient, et les prix des matières premières agricoles restent volatils, sous l’effet des sécheresses en Amérique du Sud et des répercussions climatiques sur les récoltes. Ces dynamiques influencent directement la facture énergétique et alimentaire de la Tunisie, et par extension le déficit courant et l’inflation importée.

En Tunisie, pilotage serré

La Tunisie se trouve à un moment charnière : les indicateurs monétaires et financiers au 29 août 2025 de la BCT révèlent une économie qui avance sur une ligne de crête, entre maîtrise prudente de la liquidité, allongement de la dette publique et appui des flux extérieurs.

Le pays bénéficie encore d’amortisseurs solides, mais la trajectoire dépendra de la capacité à préserver les réserves, contenir la fuite vers le cash et gérer le coût de la dette dans un environnement incertain.

Liquidité sous tension

Par ailleurs, le système bancaire reste marqué par une tension de liquidité que la Banque centrale gère au jour le jour. Le compte courant du Trésor s’est contracté, tandis que celui des banques est tombé à des niveaux bas.

En parallèle, la masse de billets et monnaies en circulation a atteint un record, dépassant les 26 milliards de dinars. Ce qui traduit une désintermédiation persistante et une préférence pour le cash. Pour maintenir l’équilibre, la BCT recourt de plus en plus aux opérations de refinancement à plus long terme, réduisant son exposition aux open markets. Le taux directeur, abaissé à 7,5 %, est transmis directement au marché monétaire, stabilisant le TMM à ce même niveau.

Le signal est clair : la politique monétaire veut asseoir la désinflation, sans offrir pour autant un assouplissement massif.

Le Trésor allonge sa dette

Le profil de la dette intérieure connaît une transformation profonde. L’encours des bons du Trésor à court terme a été réduit de façon spectaculaire, tandis que celui des bons assimilables a progressé de plus de 11 milliards de dinars en un an.

Le Trésor opte pour l’allongement de la maturité, une stratégie qui réduit le risque de refinancement immédiat mais qui engage l’État sur des charges d’intérêt plus lourdes à moyen terme. Le choix vise la stabilité, mais il suppose une gestion fine du calendrier d’émissions et une maîtrise du coût de financement.

Des amortisseurs extérieurs encore solides

Les flux externes constituent la principale soupape de sécurité. Les recettes touristiques cumulées dépassent les 5 milliards de dinars, en hausse de plus de 400 millions sur un an, et les transferts des Tunisiens à l’étranger avoisinent le même niveau, en progression comparable. Ces deux leviers amortissent les tensions de la balance courante et compensent partiellement le poids du service de la dette extérieure, légèrement allégé par rapport à 2024.

Les avoirs en devises de la Banque centrale s’élèvent à près de 25 milliards de dinars, couvrant 108 jours d’importation. Ce niveau reste confortable, mais inférieur aux 116 jours enregistrés l’an dernier, ce qui traduit une érosion à surveiller avec attention, notamment à l’approche de l’hiver où la facture énergétique pourrait grimper.

Le dinar comme allié anti-inflation

Sur le marché des changes, le dinar a regagné du terrain face au dollar et au yen, ce qui atténue la facture des importations en énergie et en matières premières. Face à l’euro, la stabilité domine.

Cette appréciation relative constitue un appui précieux dans la lutte contre l’inflation importée. Mais elle reste dépendante de la solidité des flux touristiques et des transferts, ainsi que de l’absence de choc externe majeur.

Perspectives à court terme

Les prochaines semaines seront marquées par la normalisation de la liquidité après la haute saison, avec un reflux attendu du cash vers le système bancaire. Le dinar devrait rester stable contre l’euro et ferme face au dollar, tant que les entrées de devises résistent. La Banque centrale devrait conserver un biais prudent, maintenant le TMM proche de 7,5 %, et le Trésor poursuivra sa stratégie d’allongement de la dette.

Enjeux de moyen terme

D’ici le premier semestre 2026, l’enjeu central sera de préserver le coussin de devises tout en consolidant la désinflation. Le maintien des flux touristiques et des transferts sera décisif pour éviter une érosion trop rapide des réserves. La dette intérieure, désormais plus longue, devra être gérée avec discipline afin de contenir le coût moyen. Si l’inflation poursuit sa décrue et que le dinar conserve sa stabilité, la BCT pourrait envisager de nouveaux assouplissements graduels. Mais le moindre choc externe — énergétique, alimentaire ou géopolitique — risquerait de fragiliser ce fragile équilibre.

Verdict

La Tunisie avance dans une zone de stabilité relative, obtenue grâce à un pilotage serré de la liquidité, un allongement de la dette publique et la vigueur des flux extérieurs.

À court terme, le cap semble maîtrisé. Mais à moyen terme, la réussite dépendra d’un triptyque essentiel : préserver les réserves, maintenir la confiance monétaire et gérer activement le coût de la dette. C’est à cette condition que le pays pourra transformer une stabilité fragile en véritable relance.

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 01 septembre 2025

01. September 2025 um 14:42

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.888 2.965
Euro EUR 1 3.374 3.453
Yen Japonais JPY 1000 19.432 20.164
Livre Sterling GBP 13 3.864 4.009
Franc Suisse CHF 10 35.561 37.089

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TMM stable à 7,50% pendant 5 mois consécutifs

30. August 2025 um 12:17

Le Taux Moyen du Marché Monétaire (TMM) est demeuré à 7,50% en août 2025, maintenant ainsi ce niveau pour le cinquième mois consécutif, selon les données publiées vendredi par la Banque centrale de Tunisie.

Depuis le début de l’année, le TMM affiche une tendance à la baisse, passant de 7,99% en janvier et février à 7,91% en mars, avant de se stabiliser à 7,50% entre avril et août 2025.

Sur un an, ce taux a également reculé, puisqu’il était de 7,99% en août 2024 et de 8,00% en août 2023.

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Tunisie : Maintien du TMM à 7,50% pour le cinquième mois consécutif

30. August 2025 um 12:23

Le Taux Moyen du Marché Monétaire (TMM) s’est établi à 7,50% en août 2025, pour le cinquième mois consécutif, selon les dernières statistiques publiées vendredi par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Tendance baissière

Le TMM a suivi une tendance baissière depuis le début de l’année, passant de 7,99% en janvier et février à 7,91% en mars, avant de se stabiliser à 7,50% entre avril et août 2025. En glissement annuel, le TMM affiche également une baisse : il était de 7,99% en août 2024 et de 8,00% en août 2023.

Cette évolution reste étroitement liée au taux directeur de la BCT, principal outil de régulation monétaire, qui a été maintenu à 7,50% depuis plusieurs mois, influençant directement les conditions du marché monétaire.

Taux directeur maintenu

En mars 2025, la BCT a décidé de réduire son taux directeur de 50 points de base, le faisant passer de 8% à 7,5%. Une décision qui marque une orientation plus souple de la politique monétaire, avec un double objectif : maîtriser l’inflation et soutenir la croissance économique dans un contexte de reprise progressive.

La baisse du TMM a un impact direct sur le coût du crédit, notamment pour les entreprises et les ménages. Une baisse durable de ce taux peut rendre l’accès au financement plus abordable, dynamiser le secteur privé, et soutenir les projets d’investissement. Cependant, cet assouplissement reste mesuré, la BCT veillant à ne pas alimenter de nouvelles pressions inflationnistes.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 29 août 2025

29. August 2025 um 13:39

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.896 2.973
Euro EUR 1 3.368 3.446
Yen Japonais JPY 1000 19.489 20.224
Livre Sterling GBP 13 3.868 4.014
Franc Suisse CHF 10 35.549 37.076

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ECLAIRAGE – L’ombre longue de l’inflation passée – Sortir de l’ombre inflationniste ou l’entretenir ? (3/3)

29. August 2025 um 06:00

L’inflation n’est pas qu’un prix qui grimpe(*), c’est une mémoire qui s’accroche(**), D’ici 2030, puis 2035, la Tunisie jouera l’essentiel de sa crédibilité monétaire. Selon que le pays attaque ses fragilités réelles ou s’en accommode (***), deux futurs radicalement différents se dessinent, avec un troisième chemin, médian, où l’on évite le pire sans jamais décrocher le meilleur.

 

Simulation 1 — 2030, la décrue maîtrisée ; 2035, la crédibilité ancrée

Entre 2025 et 2027, un compromis national stabilise les fondamentaux : ciblage budgétaire crédible, rationalisation progressive des subventions, ciblage social mieux outillé numériquement, ouverture de secteurs exportateurs à plus de concurrence, et assainissement des circuits de distribution qui brisent la rente. La Banque centrale garde une politique ferme mais prévisible, avec une règle de réaction explicite reliant le taux directeur, l’écart d’inflation et l’écart de production.

À partir de 2028, l’inflation recule de façon durable vers 4 %, puis converge vers 3 % à l’horizon 2032–2035. Le dinar cesse de glisser structurellement et la volatilité du change se réduit, signe d’anticipations plus ancrées.

En 2035, la Tunisie peut soutenir une croissance de 4–5 % avec une inflation de 3 % sans casser la demande, parce que les anticipations sont enfin alignées sur l’objectif.

 

La croissance s’épaissit par l’investissement privé et l’export : le taux d’investissement repart vers 22–24 % du PIB, la productivité retrouve un sentier modérément ascendant, les IDE se concentrent dans les chaînons industriels et services à plus forte valeur ajoutée. Le déficit courant passe sous 4 % du PIB d’ici 2030, la prime de risque souveraine se compresse, la pente de la courbe des taux se normalise. Surtout, la politique monétaire devient moins coûteuse : chaque point d’inflation supplémentaire appelle une réponse de moindre amplitude qu’aujourd’hui, preuve que la mémoire inflationniste se dissipe.

En 2035, la Tunisie peut soutenir une croissance de 4–5 % avec une inflation de 3 % sans casser la demande, parce que les anticipations sont enfin alignées sur l’objectif.

Simulation  2 — 2030, la stagflation installée ; 2035, l’usure du dinar.

La trajectoire inverse s’enclenche si les réformes structurelles déraillent, si les déséquilibres externes persistent et si le financement budgétaire reste incertain. Les anticipations restent désancrées, la spéculation sur les biens subventionnés perdure, et le « pass-through » du change vers les prix demeure élevé. La Banque centrale est contrainte d’alterner durcissements tardifs et pauses forcées, avec un coût de l’argent durablement élevé pour un effet limité sur l’inflation.

En 2030, l’inflation oscille encore entre 7 et 9 %, la croissance plafonne autour de 1,5–2 %, le chômage reste élevé, l’investissement productif recule en part du PIB et le marché parallèle accentue la dollarisation de fait via une fuite des capitaux. Le dinar continue de perdre graduellement, la dette publique se renchérit, la prime de risque souveraine ne décroche pas. En 2035, la politique monétaire est prisonnière de la mémoire collective : pour un même écart d’inflation, la réaction doit être plus forte qu’aujourd’hui pour obtenir moins de résultats, signe d’une crédibilité empêchée. On ne parle plus de stabilisation, mais d’endiguement permanent.

 

En 2035, la politique monétaire est prisonnière de la mémoire collective : pour un même écart d’inflation, la réaction doit être plus forte qu’aujourd’hui pour obtenir moins de résultats, signe d’une crédibilité empêchée. On ne parle plus de stabilisation, mais d’endiguement permanent.

Simulation 3 — 2030, l’entre-deux ; 2035, l’économie sous plafond

Le sentier médian mêle quelques succès visibles et des angles morts persistants. Certaines réformes avancent, d’autres s’enlisent, la communication de politique économique progresse mais demeure intermittente. L’inflation recule sans s’arrimer : 5–6 % en 2030, puis 4–5 % en 2035, avec des à-coups au gré des chocs d’offre et du change.

La croissance tient entre 2,5 et 3,5 %, portée par des niches exportatrices et des services modernisés, mais bridée par l’investissement public contraint et une concurrence imparfaite dans la distribution. La Banque centrale conserve une réaction ferme ; elle peut modérer l’amplitude des hausses de taux mais ne peut pas s’installer durablement dans une posture accommodante, faute d’anticipations pleinement ancrées.

 

La Banque centrale conserve une réaction ferme ; elle peut modérer l’amplitude des hausses de taux mais ne peut pas s’installer durablement dans une posture accommodante, faute d’anticipations pleinement ancrées.

 

Ce qui fera la différence entre 2025 et 2030

Trois leviers conditionnent l’issue.

Le premier est l’assainissement ordonné des finances publiques, non pas pour “faire plaisir aux chiffres”, mais pour rendre lisible la trajectoire de la demande publique et réduire l’incertitude qui nourrit les primes de risque.

Le second est la reconfiguration des circuits d’importation et de distribution, là où se niche une grande part de l’inflation importée et de la rente interne ; la concurrence et la traçabilité logistique y valent autant que les taux.

Le troisième est l’ancrage des anticipations par la cohérence intertemporelle : une règle de réaction monétaire explicite, des objectifs d’inflation communiqués, des accords salariaux pluriannuels encadrant l’indexation, et une stratégie de change comprise du marché.

Quand ces éléments se répondent, la mémoire inflationniste s’estompe ; quand ils se contredisent, elle s’épaissit.

2035 en point de mire : coût social aujourd’hui, dividendes demain

Dans le scénario vertueux, le coût initial est réel : crédits plus sélectifs, subventions mieux ciblées, réallocations budgétaires, négociations salariales exigeantes. Mais à l’horizon 2035, les dividendes deviennent tangibles : pouvoir d’achat stabilisé par une inflation basse et prévisible, prime de risque réduite qui allège la dette et libère des marges sociales, investissement productif relancé par une visibilité de prix et de change, montée en gamme des exportations qui atténue la vulnérabilité externe.

La politique monétaire cesse d’être l’outil unique de stabilisation pour redevenir ce qu’elle doit être : un pilier, pas un substitut aux réformes.

 

La Tunisie ne choisit pas seulement un taux d’inflation, elle choisit une mémoire collective. En 2030, puis en 2035, soit le pays aura transformé son passé inflationniste en leçon de crédibilité, soit il en restera l’otage. L’économie tunisienne a déjà prouvé qu’elle pouvait encaisser les chocs ; il lui reste à prouver qu’elle peut les anticiper.

Verdict

La Tunisie ne choisit pas seulement un taux d’inflation, elle choisit une mémoire collective. En 2030, puis en 2035, soit le pays aura transformé son passé inflationniste en leçon de crédibilité, soit il en restera l’otage. L’économie tunisienne a déjà prouvé qu’elle pouvait encaisser les chocs ; il lui reste à prouver qu’elle peut les anticiper.

C’est la différence, décisive, entre une monnaie qui subit et une monnaie qui compte.

 

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Articles en relation:

ECLAIRAGE – L’ombre longue de l’inflation passée – Pourquoi la Tunisie reste prisonnière de son passé … (2/3)

ECLAIRAGE – L’ombre longue de l’inflation passée – La Tunisie face à son dilemme monétaire (1/3)

 

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REFERENCES :

 

(*) The Legacy of High Inflation on Monetary Policy Rules :NBER- w34107 l’héritage d’une inflation élevée: par :  Luis I. Jacome H. Georgetown University, Nicolás E. Magud,  Monetary Fund (IMF), Samuel Pienknagura, International Monetary Fund (IMF) et Martín Uribe, Columbia University – Graduate School of Arts and Sciences – Department of Economics; National Bureau of Economic Research (NBER), Date Written: August 2025

https://www.nber.org/search?page=1&perPage=50&q=w34107

 

 

(**)  FEST- ÉTUDE DE L’ÉVOLUTION DES SALAIRES RÉELS EN TUNISIE : Dr Tahar El Almi et Phd Ezzedine Larbi, ( RIP )

https://library.fes.de/pdf-files/bueros/tunesien/14391.pdf

 

(***) Travaux récents, sous presse, nous y reviendrons.

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* Dr. Tahar EL ALM

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 28 août 2025

28. August 2025 um 14:07

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.900 2.978
Euro EUR 1 3.366 3.444
Yen Japonais JPY 1000 19.494 20.228
Livre Sterling GBP 13 3.876 4.022
Franc Suisse CHF 10 35.618 37.148

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Sarra Zaafrani Zenzri et Fathi Zouhair Nouri réaffirment la coopération pour la croissance économique

28. August 2025 um 13:14

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a reçu, mercredi, 27 août, au palais du gouvernement à la Kasbah, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fathi Zouhair Nouri, qui lui a remis le rapport annuel de l’institution au titre de l’année 2024.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, la cheffe du gouvernement a salué les résultats enregistrés par la Banque centrale, tout particulièrement, en matière de maîtrise de l’inflation, du taux de change et des réserves de devises, trois indicateurs qui nécessitent de miser davantage sur la politique du compter-sur-soi.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, la cheffe du gouvernement a appelé à redoubler d’efforts en vue de concilier entre le double impératif de la croissance économique et de la justice sociale, tout en confortant les piliers de l’Etat social.

La réunion a été également l’occasion de réaffirmer le rôle-clé joué par la banque centrale en matière de soutien des efforts de l’État dans les domaines monétaire et économique.

Zenzri a, par ailleurs, saisi l’occasion pour mettre l’accent sur la nécessité de ne pas se soumettre aux diktats extérieurs, et ce, conformément aux instructions données par le président de la République, Kais Saïed, se félicitant, à ce propos, du rôle de la Banque centrale, en tant qu’établissement public essentiel, dans la mise en œuvre des politiques publiques de l’État conformément aux choix émanant de la volonté du peuple.

Pour sa part, le gouverneur de la Banque centrale, Fathi Zouhair Nouri, a mis en exergue l’importance de la concertation étroite entre le gouvernement et la Banque centrale dans le domaine de la politique économique de l’État au service de l’intérêt supérieur de la Tunisie.

Il a ajouté que la Tunisie a poursuivi ses efforts pour atteindre la stabilité macroéconomique et est parvenue à améliorer le taux de croissance économique, à contrôler l’inflation et les réserves de devises, et à maintenir la valeur du dinar tunisien.

En matière de politique monétaire, le gouverneur de la Banque centrale a tenu à préciser que malgré les « progrès palpables » dans la trajectoire descendante de l’inflation, le taux d’intérêt directeur a été réduit de 50 points de base le 26 mars 2025.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 27 août 2025

27. August 2025 um 13:32

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.904 2.982
Euro EUR 1 3.364 3.442
Yen Japonais JPY 1000 19.452 20.185
Livre Sterling GBP 13 3.867 4.013
Franc Suisse CHF 10 35.514 37.039

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BCT : Circulation fiduciaire en hausse, réserves en devises en baisse

Von: walid
27. August 2025 um 09:30

Les avoirs nets en devises ont atteint 24,7 milliards de dinars, à la date du 26 août courant, soit l’équivalent de 107 jours d’importation. Ils ont baissé en pourcentage de -1,6% et en valeur de 412,1 millions de dinars (MD), par rapport a la même date en 2024, selon les indicateurs monétaires et financiers publiés, mardi, par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

En effet, l’année dernière (à la même date), les avoirs net en devises étaient de l’ordre de 25,1 milliards de dinars (114 jours d’importation).

Les indicateurs quotidiens de l’Institut d’émission, montrent une hausse des revenus du travail cumulé de 427,6 MD, à la date du 20 août 2025, passant de 5,07 milliards de dinars en 2024, à 5, 5 milliards de dinars en 2025, soit une hausse de près de 8,5%.

S’agissant des recettes touristiques, elles ont enregistré une hausse en valeur de 409,6 MD à la date du 20 août 2025 par rapport à celle de 2024, pour s’établir à 5,07 milliards de dinars, contre 4,6 milliards de dinars en 2024.

Quant au service de la dette extérieure cumulé, il a enregistré une diminution de 652,2 MD à la date du 20 août 2025, passant de 10 milliards de dinars en 2024 (20 août) à 9,3 milliards de dinars à la même date en 2025.

Le total des transactions interbancaires s’est établi à 2,8 milliards de dinars, le 26 août courant, contre 2,2 milliards de dinars à la même date de l’année précédente, soit une augmentation en valeur de 620,7 MD. S’agissant des billets et monnaies en circulation, ils sont de l’ordre de 25,9 milliards de dinars, à la date du 25 août 2025, contre 22,628 milliards de dinars en 2024, soit une hausse de 3,3 milliards de dinars (13,6%) .

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Tunisie : Recettes en devises en hausse et dette extérieure en repli

26. August 2025 um 18:54

Selon la Banque centrale de Tunisie (BCT), les recettes touristiques et les revenus du travail ont fortement progressé à fin août 2025, tandis que le service de la dette extérieure a reculé. Les avoirs nets en devises couvrent toujours plus de 100 jours d’importation, malgré une légère baisse sur un an.

Tourisme et transferts des Tunisiens à l’étranger en progression

Les indicateurs monétaires de la BCT révèlent une dynamique positive sur les entrées de devises.

Les recettes touristiques ont atteint 5,07 milliards de dinars au 20 août 2025, contre 4,6 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 409,6 millions de dinars.

Les revenus du travail cumulés, principalement les transferts des Tunisiens à l’étranger, se sont établis à 5,5 milliards de dinars, contre 5,07 milliards en 2024, enregistrant une croissance de 8,5%.

Une dette extérieure en diminution

Autre indicateur positif : le service de la dette extérieure cumulée a reculé de 652,2 millions de dinars en un an, passant de 10 milliards de dinars au 20 août 2024 à 9,3 milliards à la même date en 2025.

Des réserves solides malgré un léger recul

À la date du 26 août 2025, les avoirs nets en devises s’élèvent à 24,7 milliards de dinars, équivalant à 107 jours d’importation. Certes, ce chiffre est en léger retrait par rapport à 2024 (25,1 milliards de dinars et 114 jours), mais il reflète une situation de réserves toujours confortable.

Autres indicateurs financiers

Le volume des transactions interbancaires a atteint 2,8 milliards de dinars au 26 août 2025, en hausse par rapport aux 2,2 milliards enregistrés en 2024 (+620,7 MD).

Quant aux billets et monnaies en circulation, ils se sont établis à 25,9 milliards de dinars au 25 août 2025, contre 22,6 milliards l’an dernier (+13,6%).

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