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Crédits à la Poste ? La Poste Tunisienne met fin aux rumeurs

27. Oktober 2025 um 17:21

La Poste Tunisienne a précisé, lundi, dans un communiqué, qu’elle n’est pas autorisée à octroyer quelque type de crédit que ce soit et qu’elle n’offre pas ce service.

Le communiqué de la Poste intervient suite à des rumeurs circulant sur les réseaux sociaux, concernant l’octroi, par la Poste, de microcrédits.

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Rallye Fenix 2025 : la Tunisie accueille une aventure motorisée de 1 894 km à travers le désert

27. Oktober 2025 um 17:14

La Tunisie accueillera, du 31 octobre au 6 novembre prochain, la cinquième édition du Rallye Fenix International, sous l’égide de la Fédération tunisienne de l’automobile (FTA).

Quelque 37 voitures de type SSV, 28 véhicules tout-terrain, 6 camions et 13 motos participeront à cet événement sportif.

Le départ du Rallye Phénix sera donné le 31 octobre courant depuis Monastir en direction de Tozeur. Les concurrents y entameront, à partir du 1er novembre, 6 étapes, dont 5 se dérouleront dans le désert tunisien, pour une distance totale de 1894 km.

Voici les étapes du rallye :

1er novembre – étape 1 : Tozeur > Nefta > Douz (292 km)
2 novembre – étape 2 : Douz > Douz (362 km)
3 novembre – étape 3 : Douz > Ksar Ghilane > Douz (520 km)
4 novembre – étape 4 : Douz > Sabria > Douz (316 km)
5 novembre – étape 5 : Douz > Kébili > Kairouan > Monastir (404 km)
6 novembre – étape 6 : Monastir > Makthar > Zaghouan > Nefidha > Monastir, suivie de la cérémonie de clôture.

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Théâtre de l’Opéra de Tunis : 140 artistes réunis pour “La Traviata – Version tunisienne”

27. Oktober 2025 um 17:05

La création “La Traviata – Version Tunisienne” puisée du chef-d’œuvre de Giuseppe Verdi sera de nouveau à l’affiche à la Salle de l’Opéra de Tunis de la Cité de la Culture Chedly Klibi le vendredi 31 octobre 2025 à 19h30. Sous la baguette de Nicoletta Conti avec les solistes, les chœurs et les danseurs du Ballet de l’Opéra de Tunis, le baryton Haytem Hdhiri incarnera le rôle de Giorgio Germont, père d’Alfredos, et la soprano Lilia Ben Chikha celui de Violetta Valéry, une production du Théâtre de l’Opéra de Tunis. Ce spectacle est destiné aux amateurs d’opéra et à toutes les personnes en quête d’un spectacle et d’une distribution exceptionnels avec la participation des plus belles et plus inspirantes voix lyriques tunisiennes.

Avec cette nouvelle représentation de l’opéra de Verdi qui mobilise 140 artistes pour le plaisir du public, le Théâtre de l’Opéra invite à vivre et partager une expérience artistique unique par son intensité émotionnelle et sa qualité artistique.

Lors de sa création et de sa première donnée au mois de mai de cette année, le spectacle a été chaleureusement accueilli et applaudi par un public, manifestement connaisseur en la matière et depuis, il a eu le temps de murir et de se bonifier afin de déployer pleinement son pouvoir d’enchantement indiquent les organisateurs.

Dans une démarche ambitieuse de renforcer son potentiel créatif et d’étendre son rayonnement à l’international , le Théâtre de l’Opéra de Tunis s’est emparé de chefs d’œuvre du répertoire opératique universel pour en livrer une version originale, à la fois conforme aux codes en usage, mais aussi chargée de couleurs, de parfums et de sensibilité bien de chez nous.

Après Carmen de Georges Bizet, c’est au tour de la Traviata de Giuseppe Verdi d’être à l’affiche. Avec une distribution artistique qui réunit les plus belles voix lyriques du pays, une orchestration fougueuse et passionnée, des danseurs au mieux de leur forme et enthousiastes, des décors et des costumes inspirants, des lumières et des projections dont l’effet amplifie l’espace de la scène et en approfondit la perspective, la Traviata qui vous est proposée a de quoi satisfaire toutes les attentes ajoute la même source.

Haythem Hadhiri est un chanteur d’opéra, chef de chœur, comédien, directeur du chœur de l’opéra de Tunis puis responsable de la formation lyrique et scénique de 2021 jusqu’à 2024. Professeur de chant lyrique à l’institut supérieur de musique de Tunis de 2019 jusqu’à 2023 et actuellement professeur à l’école du comédien au théâtre national Haythem Hadhiri est l’un des artistes les plus remarquables de la scène tunisienne.

Né en 1986, il a eu ses premiers contacts avec la musique dès son enfance en grandissant dans une famille mélomane. Il a intégré le conservatoire national à l’âge de 7 ans dans le but d’étudier le Oûd et le chant arabe avec Abdelkarim S’habou. Il réussit son diplôme de musique arabe à l’âge de 16 ans, et obtient sa carte professionnelle à l’âge de 17 ans.

À l’âge de 22 ans, il obtient sa maîtrise en chant lyrique et arts de la scène de l’institut supérieur de musique de Tunis après quatre ans d’études des théories de la musique arabe et occidentale avec des professeurs de renommée tels que Hristina Hadjieva. Après deux ans d’études à l’école normale de Paris “Alfred Cortot”, il commence sa carrière de baryton en interprétant des rôles majeurs dans des productions de Verdi, de Mozart, de Pergolesi et d’autres grands compositeurs en Tunisie, en France, en Italie, en Espagne, en Géorgie, en Allemagne et au Qatar.

L’une des ses distinctions les plus remarquables et son obtention du premier prix de la compétition “Clef d’Or” à Paris en 2010. Sa passion pour la chorale s’est manifestée depuis ses premiers pas dans la musique classique, en 2019, il a monté sur scène un spectacle remarquable avec le chœur du théâtre NoNo à Marseille, cette réussite à donné naissance à une tournée en France, en Finlande et en Russie.

Il a notamment marqué la scène tunisienne par de nombreuses productions comme le spectacle Mahaba , la Hadhra (sous la direction de Fadhel Jaziri) , El Mahfel à l’ouverture du festival de Carthage , La Traviata une coproduction tuniso-italienne, et récemment l’opéra Carmen d’abord en sa version originale puis en version Tunisienne présentée pour la première fois au festival de Carthage le 21 juillet 2024.

En 2021-2022, Haythem Hahdiri entame une nouvelle expérience de musique électroacoustique avec le producteur et Dj Benjemy dans le projet Sinouj (un projet de musique populaire / soufi ) des dates importantes qui ont marqué le projet dont Munich en 2024 et 2025 , Festival international de Hammamet 2025 .

Il participe notamment avec Benjemy au festival international de Hammamet dans son projet Sueurs chaudes en 2022.

Haythem Hadhiri continue en ce moment à se produire dans divers projets dont Sinouj qui continue à se produire, un duo exclusif avec Benjemy, des projets d’opéra, de musique soufi, son spectacle Arboun qui apparaîtra dans sa nouvelle version et bien d’autres projets a l’échelle nationale et internationale.

Connue pour être la voix la plus polyvalente de sa génération, Lilia Ben Chikha, pour sa part, est une chanteuse tunisienne à la voix exceptionnelle alliant avec virtuosité l’Opéra, le Jazz/Pop et la musique Arabe. Diplômée de l’Institut Supérieur de Musique de Tunis et de l’Académie de Musique de Ruse (Bulgarie), elle s’impose comme une soprano colorature d’une grande sensibilité et d’une maîtrise technique remarquable. Finaliste du concours international Ghena Dimitrova, elle a illuminé plus de 160 scènes à travers le monde (Olympia à Paris, El Jem, Carthage, New York, Alexandrie…).

Son rôle signature, Violetta dans La Traviata de Verdi, révèle toute l’étendue de son talent, de sa puissance dramatique et de son intensité émotionnelle. Elle l’a incarné avec succès création du théâtre de l’opéra de Tunis (2025) et au Metro Opera Tech de New York (2022).

Lilia a également brillé dans les rôles de Rosina, Olympia, Lakmé, Lucia et La Reine de la Nuit, alliant virtuosité, émotion et élégance entre lyrisme occidental et influences orientales.

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Nouveau Code du travail : entre stabilité, mobilité et paradoxes

27. Oktober 2025 um 16:55

Les Journées de l’emploi organisées par Keejob à l’UTICA les 2 et 3 octobre 2025 ont donné lieu à des échanges nourris autour du futur Code du travail. L’un des moments forts fut l’intervention de Hédi Dahmen, expert en politiques sociales et consultant auprès de l’UGTT, qui a livré un éclairage approfondi sur les fondements juridiques, les enjeux économiques et les implications sociales de cette réforme.

Des fondements juridiques encore flous

L’exposé de motifs présenté par le gouvernement le 24 mars 2025 reste, à ce jour, le seul document explicitant les raisons de la refonte du Code du travail. Or, souligne Dahmen, ce texte « ne s’inscrit pas clairement dans le cadre des conventions internationales » relatives à la législation du travail.

Le gouvernement avance un second motif, d’ordre social : doter la Tunisie d’un cadre favorisant l’accès à un travail décent, pour sortir d’un système marqué par la précarité et des conditions d’emploi dégradées.

« Le texte présenté par le gouvernement ne s’aligne pas pleinement sur les conventions internationales du travail, ce qui fragilise ses fondements juridiques. »

Le concept de travail décent fait son entrée

C’est une première dans le droit tunisien : la distinction entre travail décent et travail indécent est désormais introduite. Inspiré des normes de l’Organisation internationale du travail (OIT), le travail décent dépasse les simples conditions matérielles. Il repose sur quatre piliers : un salaire équitable, la sécurité de l’emploi, la santé au travail et le respect des droits fondamentaux.

Pour Hédi Dahmen, il s’agit d’une évolution nécessaire :

« Il est temps de réconcilier le peuple avec des formes de travail nouvelles, adaptées à un monde en mutation. »

Une réforme structurelle de 22 articles

Le projet touche 22 dispositions du Code du travail, dont la définition même du contrat. La réforme tend à favoriser le passage des CDD aux CDI, afin de renforcer la stabilité dans le secteur privé. Le secteur public, lui, est encadré par un texte complémentaire.

Cette mesure vise à régulariser près de 60 000 travailleurs en situation précaire. Mais elle soulève aussi des interrogations : quel impact pour les entreprises, déjà confrontées à des marges réduites ? Quelles conséquences budgétaires pour l’État et les contractuels ?

« Il faut réconcilier le peuple avec des formes de travail nouvelles, adaptées à un monde en mutation. »

Entre stabilité et flexibilité

Le texte cherche à concilier stabilité de l’emploi et mobilité professionnelle. Le contrat deviendrait plus souple, pouvant être rompu sous conditions de préavis, sans que le salarié perde ses droits fondamentaux.

Mais ce modèle, inspiré d’une logique de flexibilité économique, pose plusieurs paradoxes. D’une part, il n’a pas fait l’objet d’une concertation tripartite entre l’État, le patronat et l’UGTT. D’autre part, sa mise en œuvre risque de provoquer des tensions dans la sous-traitance et le transfert d’emplois du public vers le privé.

« C’est à partir de l’année prochaine que l’impact réel de la réforme sera mesurable, notamment sur la formation et l’investissement. »

Des effets à surveiller dès 2026

Selon Dahmen, l’impact réel de cette réforme se mesurera à partir de l’année prochaine. Les effets pourraient se traduire sur les budgets de formation, les ressources humaines et les investissements des entreprises.

Pour lui, la réussite de ce nouveau cadre dépendra moins du texte lui-même que de sa capacité à garantir un équilibre durable entre compétitivité, justice sociale et protection des travailleurs.

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Le gouvernement a présenté en mars 2025 un projet de réforme du Code du travail.
  • La notion de travail décent est introduite pour la première fois en Tunisie.
  • 22 articles sont modifiés, dont la définition du contrat de travail.
  • L’objectif est de favoriser la stabilité et régulariser 60 000 emplois précaires.
  • Les experts alertent sur les risques de déséquilibre et de manque de concertation.
  • Les effets concrets sont attendus dès 2026.

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Gaza aux yeux de la Tunisie : appel aux artistes tunisiens pour documenter la souffrance palestinienne

27. Oktober 2025 um 16:40

La Fondation palestinienne “Sayidatou Al Ardh” (La dame de la terre, ndlr) a annoncé l’ouverture d’un appel à la participation d’artistes plasticiens tunisiens à l’initiative « Gaza aux yeux de la Tunisie » en vue de renforcer le rôle de l’art comme moyen de résistance en documentant les souffrances du peuple palestinien face au génocide et à la famine.

La Fondation, dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, que cette initiative visuelle réunira des œuvres qui “expriment la douleur, transmettent la vérité et incarnent l’espoir inhérent à la volonté de vivre de notre peuple à Ghaza, dans un message créatif affirmant que Ghaza est un projet de vie, et non un projet de mort”.

Cette initiative comprend un événement artistique majeur en Tunisie, au cours duquel sera inaugurée une exposition internationale intitulée “Ghaza aux yeux de la Tunisie”. Cette exposition sera présentée dans plusieurs capitales du monde.

La cérémonie d’ouverture sera marquée par la participation de nombreux artistes tunisiens et arabes, ainsi qu’une retransmission en direct depuis Ghaza, “afin que le moment du vernissage de l’exposition soit un vibrant pont d’amour, de persévérance et de communication vivante entre les peuples”, selon la même source.

S’agissant du choix de la Tunisie comme pays de lancement de cette initiative, le communiqué précise qu’il émane de la « positionnement historique, culturel et pionnier de la Tunisie dans le soutien aux causes de la libération », qui a conduit l’initiative à s’adresser aux artistes plasticiens tunisiens afin qu’ils puissent porter à travers leurs pinceaux “la voix de Ghaza et la souffrance de son peuple”.

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Théâtre tunisien : entre identité, altérité et quête d’un modèle national

27. Oktober 2025 um 16:33

Les participants au colloque intitulé “Le théâtre tunisien : questions d’identité, d’altérité et de représentations de la subjectivité-Vers une école théâtrale tunisienne ?” ont à l’unanimité souligné que l’identité théâtrale tunisienne n’est pas une question purement théorique, mais un acte vivant et continu dans le temps et l’espace, reflétant la Tunisie dans sa pluralité, sa richesse et son esprit créatif.

Organisé à Tozeur les 25 et 26 octobre 2025 dans le cadre de la troisième édition du Festival national du théâtre tunisien “Saisons de la création” (du 24 octobre au 8 novembre 2025), le colloque a été une occasion pour mettre l’accent notamment sur l’importance de mettre en place un projet intellectuel collectif visant à bâtir une école tunisienne de théâtre capable d’intégrer les transformations esthétiques et philosophiques contemporaines sans renier ses racines.

La rencontre, organisée par le Théâtre National Tunisien (TNT) en partenariat avec l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts -Beit al-Hikma-,  a réuni une pléiade d’universitaires, de critiques et de créateurs venant de toutes les régions du pays et de toutes disciplines confondues.

Moez Mrabet : l’alliance entre art, science et esthétique

Dans son mot d’ouverture, Moez Mrabet, directeur général du Théâtre National Tunisien et du festival, a souligné que cet événement est dans son essence un projet qui allie la réflexion et la pratique, l’art et la connaissance. Il a dans ce contexte souligné l’importance du partenariat entre les institutions culturelles, notamment avec Beit al-Hikma, afin d’élaborer des projets communs qui s’inscrivent dans la durée et ouvrent de nouvelles perspectives à la culture et à l’art en Tunisie.

Moncef Ben Abdeljelil : le théâtre fait son entrée à Beit al-Hikma

Moncef Ben Abdeljelil, président du comité consultatif de la Revue de l’Académie tunisienne, a annoncé que le prochain numéro de la revue sera consacré au théâtre tunisien et qu’un “Guide complet du théâtre tunisien” est en préparation, réunissant les contributions des chercheurs et différents intervenants.

Abdelwahed Mabrouk : le Sud, un espace de création

Le directeur du Centre des arts dramatiques et scéniques de Tozeur, Abdelwahed Mabrouk, a affirmé que l’organisation de ce colloque dans la région de Tozeur vient couronner les efforts du centre pour dynamiser la vie culturelle dans le Sud. Il a à cet égard présenté le projet des “Rencontres du Sud pour le théâtre”. Placées sous le thème “La ville et le théâtre”, ces rencontres visent à reconnecter la scène avec le public et à créer un véritable mouvement théâtral dans le sud.

Abderraouf Basti : l’identité, une quête permanente

Dans sa conférence inaugurale, Abderraouf Basti, ancien ministre de la Culture, est revenu sur l’histoire du théâtre tunisien depuis ses origines au début du XXème siècle, soulignant que la question de l’identité a toujours accompagné son évolution. De la résistance coloniale à l’ère postindépendance, en passant par les expériences du nouveau théâtre et du théâtre de Taoufik Jebali, il a montré que le théâtre tunisien est une création hybride, à la fois enracinée et ouverte sur le monde. Selon lui, “l’identité n’est pas une question figée, mais un processus vivant de transformation et de dialogue”.

Mohamed Mediouni : entre enracinement et acculturation

Dans son intervention intitulée “Représentations de l’identité et de l’altérité dans le théâtre tunisien : entre enracinement et acculturation”, Mohamed Mediouni a rappelé que le théâtre tunisien est né d’initiatives citoyennes et non de décisions administratives. Il a retracé les débuts des associations théâtrales au tournant du XXème siècle, soulignant le rôle des intellectuels réformistes dans la reconnaissance du théâtre comme un droit culturel et un instrument de modernité.

Houssem Messaadi : Taoufik Jebali et l’esthétique de la différence

Houssem Messaadi a consacré son intervention à Taoufik Jebali, analysant son parcours à travers le prisme de l’identité et de la différence. De « Klem Ellil » à « Le Sultan », Taoufik Jebali a construit une écriture scénique expérimentale, fondée sur la déconstruction du récit et l’utilisation poétique de la langue tunisienne. Selon Houssem Messaadi, « l’œuvre de Jebali incarne une identité tunisienne ouverte, où la singularité locale devient un moyen d’accéder à l’universel ».

Mohamed Moumen : le théâtre comme expérience existentielle

Dans son intervention « La rencontre et l’identité : approche sémiologique et phénoménologique », Mohamed Moumen a proposé une réflexion sur le rapport entre l’acteur et le spectateur. Pour lui, le véritable théâtre est une expérience de présence et de transformation réciproque : « le théâtre qui ne change pas celui qui regarde n’est qu’un spectacle, non un acte de vie », a-t-il affirmé.
Nizar Saidi : la marionnette, mémoire vivante du théâtre tunisien.

Dans une intervention à dimension anthropologique, Nizar Saïdi a réhabilité le rôle des arts de la marionnette dans l’histoire du théâtre tunisien. Il a montré que la marionnette, héritière des rituels et des fêtes populaires, représente un corps symbolique et une mémoire collective souvent effacée du récit officiel. Aujourd’hui, a-t-il conclu, « redonner place au théâtre de marionnettes, c’est réactiver la mémoire esthétique du peuple tunisien ».

Abdeljelil Bouguerra : le théâtre radiophonique et l’Etat national

Abdeljelil Bouguerra a, dans son intervention « Le théâtre radiophonique et la construction de l’Etat national », montré que, dès les années 1950, la radio tunisienne a joué un rôle central dans la diffusion d’un imaginaire collectif à travers de nombreuses créations qui, a-t-il expliqué, ont accompagné le projet moderniste de la jeune République, en contribuant à forger une conscience nationale et culturelle.

Faouzia Mezzi : du centre vers l’intérieur

La chercheuse Faouzia Mezzi a examiné le rapport entre le centre et les régions dans le développement du théâtre tunisien depuis les années 1960. Elle a montré que les troupes régionales ont joué un rôle essentiel dans la démocratisation de la pratique théâtrale et dans l’émergence d’un discours scénique populaire et critique. Elle a plaidé pour une politique culturelle équitable qui reconnaisse la contribution des régions à la vitalité du théâtre national.

Karim Thlibi : langue et identité dans le texte dramatique tunisien

Karim Thlibi a exploré la relation entre la langue et l’identité dans le théâtre tunisien contemporain. Il a souligné comment la langue populaire, longtemps marginalisée, s’est transformée en un vecteur de poésie dramatique et de vérité sociale, donnant au texte théâtral tunisien une voix singulière enracinée dans le quotidien

Om Ezzine Ben Chikha: Le théâtre et la « décolonialité » de l’imaginaire

Dans une intervention intitulée « Le théâtre et la décolonialité de l’imaginaire : corps, discours, imaginaire », la chercheuse Om Ezzine Ben Chikha a relevé que le théâtre tunisien est aujourd’hui appelé à s’engager dans de nouveaux paradigmes philosophiques et esthétiques enracinés dans la mémoire et l’imaginaire local.

Elle a proposé une lecture critique de la pièce « Jacaranda », texte d’Abdelhalim Messaoudi mis en scène par Nizar Saïdi, qu’elle considère comme un modèle de libération de la langue de son étrangeté et de l’emprise du récit occidental. Selon elle, la décolonialité permet au théâtre tunisien d’inventer sa propre langue et de remodeler son imaginaire culturel, en dehors de toute forme de dépendance esthétique occidentale.

Omar Aloui : La cloche du théâtre et la géographie du soi

Le chercheur Omar Aloui a choisi d’aborder dans sa communication « La cloche du théâtre et la géographie du soi » l’acte théâtral sous un angle philosophique et ontologique. Il considère que le son de la cloche constitue un appel au passage entre le temps terrestre et le temps spirituel.

Le spectacle « Cloche » de Assem Bettouhami devient ainsi, selon lui, une méditation sur l’être, sur l’espace et sur le vide. Pour lui, le théâtre permet à la subjectivité de se découvrir dans sa légèreté existentielle, en repensant les frontières entre soi et l’autre.

Tahar Ben Guiza : Esthétiques de la libération et dépassement du modèle

Dans sa présentation intitulée « A la recherche d’esthétiques de la libération et du dépassement du modèle : vers l’ouverture des références et le renouvellement des visions créatives », le chercheur Tahar Ben Guiza a analysé les expériences de Mohamed Driss dans « Haddatha Abou Houraira qal » et de Wafa Taboubi dans « La dernière ». Il a montré comment le théâtre tunisien, à travers ces œuvres, se libère des modèles occidentaux et du texte comme centre unique, au profit d’une vision scénique où la mise en scène devient langage. Selon lui, le théâtre de Wafa Taboubi incarne une esthétique post-dramatique et une libération de la parole féminine dans une perspective humaine et universelle.

Abdelhalim Messaoudi : Le théâtre tunisien à la recherche de sa langue

Dans son intervention « Le théâtre tunisien à la recherche de sa langue », Abdelhalim Messaoudi a affirmé que la langue constitue l’essence même de l’expérience théâtrale tunisienne, car c’est en elle que se forme la conscience esthétique et politique.

Il a retracé le parcours de l’écriture dramatique tunisienne depuis Mohamed  Aroussi El Metoui et Ezzedine Madani jusqu’au théâtre contemporain, soulignant que la coexistence entre arabe classique et dialectal a enrichi l’identité théâtrale nationale. Le véritable enjeu aujourd’hui, selon lui, réside dans la création d’une langue poétique capable d’exprimer la complexité du « soi tunisien » sans tomber dans la simple imitation.

Hatem Tlili Mahmoudi : Le théâtre tunisien et la post-modernité

Le critique Hatem Tlili Mahmoudi a évoqué dans son intervention sur « Le théâtre tunisien et la post-modernité » les relations entre le théâtre tunisien et les mutations intellectuelles et esthétiques du post-modernisme. Il a souligné que les expériences tunisiennes ne se sont pas constituées en écoles fermées mais dans une dynamique d’interaction libre avec les modèles occidentaux et locaux.

Certaines créations récentes, a-t-il expliqué, traduisent de nouveaux glissements esthétiques mêlant déconstruction, intertextualité et réflexion sur l’identité, plaçant ainsi le théâtre tunisien au cœur d’un dialogue mondial sur le sens de la création à l’ère du vide.

Faiza Messaoudi : L’école théâtrale tunisienne entre localité et universalité

La chercheuse Faiza Messaoudi a présenté une communication intitulée « L’école théâtrale tunisienne entre localité et universalité ». Elle est revenue sur l’évolution du théâtre tunisien depuis les années 1970, saluant la génération des pionniers formés en Occident qui ont su insuffler l’esprit de renouveau sur la scène tunisienne. Selon elle, parler d’une « école tunisienne » ne signifie pas uniformité, mais pluralité d’approches et de visions, où la modernité s’articule à la singularité culturelle tunisienne au sein de la mosaïque mondiale du théâtre.

Hiba Messaoudi : Les esthétiques de la subjectivité dans les expériences théâtrales tunisiennes
Dans sa communication « Les esthétiques de la subjectivité dans les expériences théâtrales tunisiennes », Hiba Messaoudi a introduit le concept de « sécurité culturelle » qu’elle relie aux problématiques d’identité et de subjectivité dans la pratique artistique.

Elle considère le théâtre comme un espace de reconstruction du soi et de libération de l’aliénation et de la répétition. Pour elle, la subjectivité n’est pas un donné mais un acte continu qui se crée dans la pensée et la performance.

Certaines expériences scéniques tunisiennes récentes illustrent, selon elle, cette « sécurité culturelle », c’est-à-dire la capacité de l’art à transformer le trouble intérieur en énergie esthétique. Le théâtre, lorsqu’il écoute ses voix intérieures, devient ainsi un acte de libération et une affirmation de l’existence dans ses dimensions spirituelles, corporelles et intellectuelles.

Hassan Mouadhen : Quel théâtre tunisien voulons-nous ?

Le metteur en scène Hassan Mouadhen a conclu le colloque par une intervention intitulée « Quel théâtre tunisien voulons-nous ? ». Il a appelé à l’élaboration d’un projet national du théâtre conciliant liberté créatrice et responsabilité intellectuelle.

Selon lui, le théâtre tunisien doit aujourd’hui renouveler ses outils critiques et rétablir le lien entre le créateur et le public afin d’éviter que l’acte théâtral ne devienne un luxe réservé à une élite.

Il a estimé que le théâtre rêvé est celui qui puise son sens dans la réalité tunisienne avec toutes ses contradictions, tout en s’ouvrant à l’humain universel. La force du théâtre tunisien réside, conclut-il, dans son ouverture et dans sa capacité à interroger le pouvoir, la mémoire et le sens à travers une langue scénique vivante et en perpétuelle mutation.

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Challenger de Bratislava : Le Tunisien Moez Chargui affronte l’Américain Spizzirri

27. Oktober 2025 um 16:19

Le joueur de tennis tunisien Moez Chargui, actuellement classé 1er mondial [cohérence à vérifier], entamera ce mardi sa participation au tournoi Challenger de Bratislava 2, en Slovaquie. Il affrontera dès le premier tour l’Américain Eliot Spizzirri, classé 100e mondial.

Un nouveau défi après Brest

Chargui revient d’un parcours honorable au tournoi Challenger de Brest, en France, disputé la semaine dernière. Le Tunisien avait atteint les huitièmes de finale, avant de s’incliner face au Français Arthur Bouquier (228e mondial) en deux manches, 6-4, 6-2.

Cette élimination n’a pas freiné la dynamique du joueur, qui enchaîne les compétitions sur le circuit ATP Challenger, étape cruciale pour gagner des points au classement mondial et se rapprocher des tournois majeurs.

Une saison 2025 déjà bien remplie

Moez Chargui réalise une saison remarquable. Le Tunisien a décroché plusieurs titres, confirmant sa régularité et son niveau de jeu en progression. Il s’est notamment imposé au Challenger d’Hersonissos (Grèce) et au Challenger de Porto (Portugal). Il a également remporté le tournoi Future International de Monastir, disputé sur ses terres.

Ces victoires lui ont permis de grimper dans la hiérarchie du tennis professionnel et de gagner en confiance avant d’aborder la fin de saison sur le circuit européen.

Objectif : consolider son classement

À Bratislava, Chargui tentera de poursuivre sur sa lancée et de consolider son classement mondial. Une bonne performance pourrait lui offrir de précieuses unités ATP et renforcer sa position parmi les meilleurs joueurs du circuit Challenger.

Le tournoi slovaque, qui réunit plusieurs espoirs et joueurs confirmés du top 200, représente un nouveau test pour le tennisman tunisien, déterminé à maintenir sa régularité et à franchir un nouveau palier.

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Agrumes à Nabeul : la production en hausse de 10 % malgré les défis climatiques

27. Oktober 2025 um 16:16

La récolte des agrumes au gouvernorat de Nabeul, qui contribue à 75% de la production nationale, devra atteindre cette année 270 mille tonnes.

Les quantités produites sont en hausse de 10% par rapport à l’année précédente, ce qui signifie que la récolte est également “bonne” cette saison malgré une légère baisse de la production de Clémentine (Mandarine), a indiqué à l’Agence TAP le président de l’Union locale de l’Agriculture à Beni Khaled, Béchir Ounallah.

La même source a fait remarquer que le secteur traverse de grandes difficultés depuis des années, aussi bien au niveau de la production que sur le plan de commercialisation, et ce en raison de l’absence d’une stratégie claire pour la préservation de cette activité agricole, notamment face à la propagation de nombreuses maladies causées par les changements climatiques.

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Tunisie : 19 gouvernorats placés en vigilance jaune pour vents forts

Von: Raja
27. Oktober 2025 um 17:18

La carte de vigilance actualisée, lundi, par l’Institut national de la météorologie (INM) attribue la couleur jaune à 19 gouvernorats du pays en raison des vents forts soufflant sur la plupart des régions. Les régions concernées sont Bizerte, le Grand Tunis, Nabeul, Béjà, Siliana, Zaghouan, Sousse, Monastir, Mahdia, Kairouan, Kasserine, Tozeur, Kebili, Gabès, Médenine et […]

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Juventus Turin : Igor Tudor limogé après huit matchs sans victoire

27. Oktober 2025 um 16:03

La Juventus Turin a annoncé lundi avoir démis de ses fonctions l’entraîneur Igor Tudor, au lendemain d’un nouveau faux pas contre la Lazio Rome, marquant la pire crise du club depuis quinze ans.
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Dans un communiqué, la Juve a annoncé “avoir relevé ce lundi de ses fonctions d’entraîneur de son équipe première Igor Tudor, ainsi que son staff composé d’Ivan Javorcic, Tomislav Rogic et Riccardo Ragnacci”.

Le club le plus titré du football italien, qui occupe actuellement une décevante 8e position de la Serie A, a précisé que l’équipe sera confiée lors de son prochain match, mercredi contre l’Udinese pour le compte de la 9e journée, à l’actuel entraîneur de la réserve, Massimiliano Brambilla.

Avec cette nouvelle défaite contre la Lazio (1-0), le technicien croate enchaîne huit matchs sans victoire entre la Serie A et la Ligue des Champions, une période difficile qui a débuté immédiatement après ce qui, paradoxalement, reste leur dernière victoire par 4-3 dans le derby d’Italie contre l’Inter.

Depuis ce triomphe de la mi-septembre, qui semblait annoncer la renaissance de l’équipe, la Vieille Dame a perdu le nord avec des performances irrégulières et un jeu confus qui ont accompagné un déclin dépassant le record de 2009 sous Claudio Ranieri.

Ancien joueur de la Juve, Igor Tudor avait succédé en mars dernier à Thiago Motta, limogé neuf mois après sa prise de fonction. Le Croate de 47 ans avait atteint l’objectif que lui avaient alors assigné ses dirigeants en décrochant la 4e place, synonyme de qualification pour la Ligue des Champions.

Les Bianconeri vont donc connaître leur cinquième entraîneur depuis mai 2024 et le départ de Massimiliano Allegri, quelques jours après avoir remporté la Coupe d’Italie 2024.

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Tunisie–BERD : vers une coopération renforcée dans le cadre du Plan de développement 2026-2030

27. Oktober 2025 um 15:56

Les orientations et les priorités en matière de développement pour la période à venir  afin d’assurer une bonne coordination dans l’élaboration des prochains programmes de travail, ont été au centre d’une rencontre tenue, lundi, à Tunis, entre le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et  des conseillers du Conseil d’administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

La cheffe de la délégation de la BERD,  Emily Keenan  a indiqué que cette visite s’inscrit dans le cadre de suivi  de l’état d’avancement des différents axes et programmes de coopération entre la Banque et la Tunisie, selon un communiqué publié  par le département de l’Economie.

Abdelhafidh a notamment souligné, à cette occasion,  l’importance   de consolider davantage la coopération financière et technique entre la Tunisie et la BERD et à diversifier ses domaines dans le cadre du Plan de développement 2026-2030.

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Tourisme en Tunisie : Dorra Miled plaide pour une réforme du transport aérien et un dialogue public-privé

27. Oktober 2025 um 15:36

Le secteur du tourisme a raté plusieurs opportunités à cause du transport aérien, d’où la nécessité de développer et d’assouplir les accords conclus dans ce domaine entre les pays, a indiqué la présidente de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH), Dorra Miled.

Miled a rappelé dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge du d’une conférence organisée dans le cadre du Forum international des montgolfières et de planeurs Djerba – Douz – Tozeur qui se tient du 25 octobre au 1 novembre, du potentiel du secteur du tourisme au sud tunisien, où la saison touristique peut être prolongée tout au long de l’année.

Miled a estimé que le transport aérien figure parmi les secteurs prioritaires nécessitant des solutions pour dynamiser davantage le tourisme, outre les questions relatives à la maîtrise de l’énergie, l’amélioration de la qualité des services et la formation professionnelle spécialisée.

Elle a évoqué, par ailleurs, la situation des hôtels fermés dans diverses zones touristiques pour plusieurs raisons, notamment structurelles, dont l’accumulation des dettes et la faiblesse de la capacité d’accueil.

Il s’agit notamment des hôtels situés dans des zones non balnéaires, a-t-elle ajouté.

Elle a souligné que le livre blanc présenté par les professionnels en 2011 et l’approbation de la création du Fonds pour le tourisme et visant à restructurer le tourisme et les hôtels, n’a pas vu le jour et est resté juste lettre morte.

La responsable a appelé, dans ce cadre, à engager une réflexion afin de trouver un nouveau mécanisme financier innovant dans l’objectif de trouver des solutions similaires à celles adoptées par d’autres pays concurrents dans ce domaine.

Elle a relevé le besoin du secteur de trouver des solutions à ses problèmes et de fournir un soutien et une assistance par un dialogue sérieux entre l’État, le secteur financier et les investisseurs, et de revoir certains textes législatifs.

Miled a souligné l’importance d’une volonté politique et de fixer des objectifs et une stratégie clairs pour établir un calendrier de travail afin de mettre en œuvre les réformes nécessaires, pour offrir des conditions appropriées, ajoutant que la fédération et ses homologues professionnels sont ouverts au dialogue et à la coopération conjointe entre le secteur privé et le secteur public afin de trouver des solutions appropriées pour le secteur du tourisme.

Il est à noter qu’une conférence sur le tourisme a été organisée à l’occasion de l’ouverture du forum international des montgolfières et planeurs – Djerba – Douz – Tozeur qui a abordé plusieurs questions liées au secteur touristique, y compris le transport régional.

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Tunisie – Enfance : lancement de l’initiative « Un enfant actif, un enfant en bonne santé » pour prévenir les comportements à risque

27. Oktober 2025 um 15:12

La ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, Asma Jebri, a donné lundi matin, à l’école primaire de kamrian à Tebourba (gouvernorat de Manouba), le coup d’envoi de l’initiative nationale participative sur la prévention des comportements à risque, ayant pour slogan « Un enfant actif, un enfant en bonne santé ».

Cette initiative nationale s’étend pendant les vacances scolaires du premier trimestre (du 27 octobre au 2 novembre 2025) dans plusieurs institutions pour l’enfance et établissements scolaires, simultanément dans toutes les régions du pays, avec la participation massive des parents et d’enfants, selon la déclaration de la responsable à la direction générale de l’enfance au ministère, Jamila Balti, à l’agence TAP.

Cette manifestation accorde une attention particulière à la lutte contre les risques et les comportements négatifs qui menacent le développement et la sécurité des enfants, tels que les dangers du numérique et la dépendance aux écrans, le harcèlement, la consommation de substances psychoactives, et les manifestations de violence dans les espaces publics et familiaux, dont le niveau a augmenté, contribuant ainsi à la création d’un environnement sûr et favorable qui permet à l’enfant de se développer et de participer activement à la vie de sa communauté.

L’initiative nationale participative sur la prévention des comportements à risque est mise en œuvre dans le cadre d’une approche participative qui rassemble les différents acteurs des structures et institutions publiques concernées, les associations actives dans le domaine de l’enfance et des droits de l’enfant, et les médias, dans un but de prévention, de sensibilisation et d’animation, tout en renforçant la participation des enfants eux-mêmes pour un changement comportemental positif, grâce à l’utilisation de différentes formes d’expression et de création qui leur permettent d’exprimer leurs opinions et leurs positions.

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Tunisie-Affaire de complot 1 : la Cour d’appel de Tunis reporte l’audience au 17 novembre

Von: Raja
27. Oktober 2025 um 15:19
Tunisie-Affaire de complot 1 : la Cour d’appel de Tunis reporte l’audience au 17 novembre

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près la Cour d’appel de Tunis a décidé de reporter l’examen de « l’affaire de complot 1 » au 17 novembre prochain. Les raisons: convoquer les autres accusés en état de liberté et statuer, lors de la prochaine séance, sur les recours présentés par la défense,  indique une source judiciaire. La […]

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Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

27. Oktober 2025 um 14:51

Alors que s’ouvre à Tunis la 11ème édition du Forum International des DSI, les dirigeants IT africains se réunissent autour d’un enjeu central : conjuguer innovation et sécurité numérique dans un monde où les menaces évoluent plus vite que les technologies. Sur un continent en pleine transformation numérique, la cybersécurité se réfléchit sous sa forme proactive, et s’impose comme un moteur de performance et de compétitivité.

Un nouveau rôle stratégique pour les DSI

Longtemps perçue comme une fonction défensive, la cybersécurité a changé de dimension. Les DSI et RSSI ne se contentent plus de protéger leurs systèmes : ils doivent anticiper, détecter et neutraliser les menaces avant qu’elles ne perturbent la continuité des activités de leur organisation. Cette mutation reflète une évolution culturelle majeure.

« Anticiper, en termes de cybersécurité, repose sur la maitrise de son environnement IT, tout autant que celui des métiers. L’objectif est de détecter les signaux faibles et d’intégrer la prévention dans la stratégie globale de l’entreprise », explique Benoît Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET Afrique Francophone. « Cette approche permet non seulement de maitriser ses risques, mais d’assurer la continuité opérationnelle de l’organisation. »

Avec la généralisation des applications et de l’usage du cloud, la montée en puissance du télétravail et l’hybridation des infrastructures, les entreprises africaines se trouvent face à une surface d’exposition sans précédent. Dans ce contexte, la cybersécurité ne pas être abordée d’un point de vue technique, elle doit être prise en compte dans la gouvernance générale de l’organisation.

De la sécurité à la confiance numérique

Facteur clef de différenciation, la performance passe désormais par la confiance numérique. Les entreprises qui parviennent à sécuriser leurs données et leurs échanges, inspirent davantage leurs clients, partenaires et investisseurs. À l’inverse, une faille ou une attaque fragilise durablement la crédibilité.

Ainsi, adopter une posture proactive permet de transformer la sécurité en avantage compétitif. En anticipant les risques, les DSI garantissent la stabilité de leur environnement, améliorent la productivité des équipes et créent les conditions d’une innovation sereine. La cybersécurité devient ainsi un vecteur de confiance, de fiabilité et de performance durable.

Une approche intégrée : technologie, culture et anticipation

La cybersécurité proactive ne se limite pas à la mise en œuvre d’outils technologiques. Elle suppose une approche globale intégrant la sensibilisation, la formation et la collaboration entre tous les acteurs de l’entreprise. Pour Benoît Grunemwald, « la technologie seule ne suffit pas. La clé réside dans la combinaison entre des outils performants, l’intelligence humaine et une véritable culture de la vigilance. L’objectif étant la robustesse. »

Cette vision holistique ouvre la voie à une cybersécurité intégrée à l’objectif global de performance de l’organisation. Elle place l’humain au cœur de la défense numérique et fait de la prévention un réflexe collectif.

Anticiper pour avancer

Le Forum DSI 2025 de Tunis, où la résilience numérique figurera parmi les thèmes majeurs, la question de la cybersécurité proactive prend une résonance particulière. Les DSI savent qu’ils doivent désormais passer de la réaction à l’anticipation. En agissant avant la crise, ils protègent non seulement les systèmes, mais aussi la réputation, la confiance et la performance de leur entreprise.

L’Afrique numérique se construira sur cette capacité à transformer la vigilance en force et la prévention en opportunité. C’est là que se jouera, dans les années à venir, la véritable compétitivité du continent.

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Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Von: Raja
27. Oktober 2025 um 14:53
Cybersécurité proactive : le nouveau levier de performance des DSI et RSSI

Alors que s’ouvre à Tunis la 11ème édition du Forum International des DSI, les dirigeants IT africains se réunissent autour d’un enjeu central : conjuguer innovation et sécurité numérique dans un monde où les menaces évoluent plus vite que les technologies. Sur un continent en pleine transformation numérique, la cybersécurité se réfléchit sous sa forme […]

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 27 octobre 2025

27. Oktober 2025 um 12:58

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.911 2.989
Euro EUR 1 3.375 3.454
Yen Japonais JPY 1000 18.842 19.552
Livre Sterling GBP 13 3.840 3.985
Franc Suisse CHF 10 36.011 37.558

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Sfax : le budget municipal 2026 fixé à 125 millions de dinars

27. Oktober 2025 um 12:54

Le budget de la municipalité de Sfax pour l’année 2026 est évalué à 125 millions de dinars, soit une augmentation de 11,6% par rapport à 2025.

Le secrétaire général de la mairie, Farhat Brik a indiqué à l’Agence TAP que ce montant est répartit entre 76 millions de dinars à titre de dépenses ordinaires et 49 millions de dinars à titres de dépenses de développement.

La municipalité de Sfax entamera la réalisation des projets programmés en 2026 dès l’approbation du budget, a souligné la même source.

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CAF : L’ESS éliminée aux tirs au but par Nairobi City Stars

27. Oktober 2025 um 12:10

L’Étoile sportive du Sahel et le Stade Tunisien ont été éliminés de la coupe de la Confédération africaine de football, dimanche et samedi, à l’issue du second tour préliminaire retour.

L’ESS sort aux tirs au but contre Nairobi City Stars

L’Étoile sportive du Sahel a été éliminée aux tirs au but (6-7) par les Kényans de Nairobi City Stars, dimanche, au stade olympique de Sousse.

Les étoilés, battus 2-0 lors du match aller, avaient pourtant réussi à revenir au score sur l’ensemble des deux rencontres grâce aux buts de Rayène Anane (50e) et Ghofrane Naouali (90e+7). Le score cumulé de 2-2 les avait menés jusqu’aux penalties, où la formation kenyane a pris le dessus.

Stade Tunisien : victoire insuffisante contre l’Olympique de Safi

Le Stade Tunisien a, pour sa part, remporté son match retour contre l’Olympique de Safi (Maroc) 2-1, samedi, au stade Hamadi Agrebi de Radès. Cependant, ce succès n’a pas suffi pour compenser la défaite 2-0 au match aller au Maroc. Le club tunisien ne s’est donc pas qualifié pour la phase de groupes de la compétition.

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