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Viande et huiles font flamber les prix alimentaires mondiaux

09. August 2025 um 16:23

Les prix mondiaux des denrées alimentaires ont augmenté en juillet pour atteindre leur plus haut niveau depuis plus de deux ans, en raison de la hausse des prix internationaux de la viande et des huiles végétales. C’est ce que rapporte l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

L’indice FAO des prix des produits alimentaires, la référence pour les prix des matières premières, s’élevait en moyenne à 130,1 points en juillet 2025, soit une hausse de 1,6 % par rapport à juin, rapporte la FAO.

Il s’agit du niveau le plus élevé depuis février 2023, bien que l’indice soit inférieur de 18,8 % à son pic de mars 2022, suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

La hausse des prix de la viande et de l’huile végétale a compensé les baisses observées dans les céréales, les produits laitiers et le sucre, a indiqué la FAO.

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L’Inde et le Brésil fustigent la guerre tarifaire de Trump

09. August 2025 um 13:48

Les dirigeants du Brésil et de l’Inde se sont engagés à « défendre le multilatéralisme » après que le président américain Donald Trump a imposé des droits de douane « punitifs » sur les importations en provenance des deux pays.

C’est ce qui ressort d’un appel téléphonique entre le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, et le Premier ministre indien, Narendra Modi, le 7 août, soit au lendemain de l’annonce par Trump des droits de douane de 50 % sur les produits indiens et brésiliens.

La présidence brésilienne indique que Lula et Modi ont souligné la nécessité de « défendre le multilatéralisme et de faire face aux défis économiques » posés par la guerre tarifaire, selon l’Agence France-Presse (AFP).

De ce fait, Modi a écrit sur Twitter qu’il s’engageait à approfondir les liens avec le Brésil, membre des BRICS, ajoutant : « Un partenariat fort, centré sur les personnes, entre les pays du Sud global profite à tous ».

Rappelons que Trump a annoncé mercredi 6 août qu’il doublerait les droits de douane sur les produits indiens à 50 % en raison des achats de pétrole russe par New Delhi, une source majeure de revenus pour la guerre de Moscou en Ukraine…

Trump a également désigné le Brésil comme pays à l’origine de sanctions spéciales pour avoir poursuivi son allié, l’ancien président d’extrême droite Jair Bolsonaro, accusé d’avoir fomenté un coup d’État au lendemain de sa défaite aux élections présidentielles brésiliennes du 30 octobre 2022.

Ainsi, des droits de douane de 50 % ont été imposés sur une série d’exportations brésiliennes vers les États-Unis, notamment le café.

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A cause de Gaza, l’Allemagne suspend ses livraisons d’armes à Israël

09. August 2025 um 12:48

Berlin n’enverra pas d’armes qui pourraient être utilisées dans la nouvelle offensive militaire de l’État hébreu dans l’enclave palestinienne de Gaza.

L’Allemagne a affirme avoir suspendu, le 8 août 2025, ses exportations d’armes vers Israël qui pourraient être utilisées à Gaza, suite à l’approbation par le cabinet de sécurité du Premier ministre Netanyahu d’un plan visant à occuper la ville de Gaza.

Le cabinet du Premier ministre israélien a annoncé ce plan dans le cadre d’une initiative plus large visant à désarmer le Hamas, démilitariser Gaza et rapatrier les otages restants. Quelques heures plus tôt, Netanyahou avait déclaré vouloir prendre le contrôle militaire total de l’enclave. Cette initiative a été critiquée, car elle pourrait mettre en danger les otages israéliens à Gaza.

Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a souligné que même si Berlin soutient Israël dans sa lutte « contre le terrorisme du Hamas » et donne la priorité au retour des otages israéliens, il reste difficile de savoir comment la nouvelle offensive militaire permettra d’atteindre ces objectifs.

« Dans ces circonstances, le gouvernement allemand n’autorisera, jusqu’à nouvel ordre, aucune exportation d’équipements militaires pouvant être utilisés dans la bande de Gaza », a-t-il déclaré dans un communiqué publié vendredi 8 août sur le site Internet du gouvernement fédéral.

Il a ajouté que Berlin était « profondément préoccupé » par les souffrances des Palestiniens à Gaza, et qu’au milieu de la nouvelle offensive israélienne, il avait désormais une responsabilité encore plus grande de garantir que les civils palestiniens reçoivent une aide humanitaire…

Cette décision du gouvernement allemand de suspendre les exportations d’armes vers Israël a toutefois provoqué une crise au sein de l’Union chrétienne-chrétienne (CDU/CSU). L’Union chrétienne-sociale bavaroise (CSU), co-gouverneure, affirme ne pas être impliquée dans la décision du chancelier Friedrich Merz et se dit surprise.

« Nous n’avons pas participé à la décision et nous en sommes surpris », ont déclaré des sources de la CSU à BILD, la qualifiant d’« insulte » de la part de leur partenaire et rappelant les relations étroites entre la Bavière et Israël.

A rappeler que le ministre fédéral de l’Intérieur, également chrétien-socialiste, Alexander Dobrind, a récemment rencontré Benjamin Netanyahou en Israël, où il a réaffirmé la position de Berlin en faveur du droit à l’existence de l’État d’Israël et assuré du plein soutien de l’Allemagne…

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L’Arménie et l’Azerbaïdjan signent la paix au profit des Etats-Unis

09. August 2025 um 09:12

L’Arménie et l’Azerbaïdjan ont convenu de travailler à la création d’un corridor de transport clé supervisé par les États-Unis. 

Le président américain Donald Trump a accueilli à la Maison Blanche, vendredi 8 août 2025, les dirigeants de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan pour un « sommet de paix historique ».

Lors dudit événement, le Premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, le président azerbaïdjanais, Ilham Aliyev, et le président américain, Donald Trump, ont signé une déclaration conjointe axée sur l’ouverture d’une voie de transport clé dans la région dite « corridor de Zangezur ».

La route relie l’Azerbaïdjan à son enclave du Nakhitchevan à travers une étroite bande de terre située dans le sud de l’Arménie, qui longe la frontière du pays avec l’Iran.

Cette route, qui sera développée et exploitée par des entreprises américaines, sera baptisée « Route Trump pour la paix et la prospérité internationales ». Le président américain a déclaré que le fait que cette route porte son nom était « un grand honneur », affirmant toutefois qu’il « n’avait rien demandé ».

L’Arménie et l’Azerbaïdjan voisin sont deux anciennes Républiques soviétiques en proie à un conflit territorial concernant la région du Haut-Karabakh depuis la fin des années 1980. Cette région, majoritairement peuplée d’Arméniens, s’est séparée de Bakou (la capitale d’Azerbaïdjan)  au début des années 1990 à la suite d’une guerre ouverte. Ce territoire a été source de tensions constantes entre les deux pays, avec de multiples flambées de violence et des conflits de grande ampleur, avant que Bakou ne parvienne à reprendre le contrôle de la région par la force en 2023.

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Trump envisage un échange de territoires entre la Russie et l’Ukraine

09. August 2025 um 08:28

Le président américain a partagé vendredi 8 août de nouvelles informations sur les détails d’un éventuel accord de paix entre Moscou et Kiev. Il a également annoncé sur son réseau Truth Social que sa « rencontre très attendue » avec son homologue russe Vladimir Poutine aurait lieu le 15 août dans l’État américain de l’Alaska, dans le cadre de sa médiation pour mettre fin à la guerre en Ukraine qui comprendra, selon lui, des « échanges de territoires ».

L’accord de paix visant à régler le conflit entre la Russie et l’Ukraine impliquerait probablement un échange de territoire entre les deux pays, a déclaré vendredi le président américain Donald Trump.

Il a fait ces remarques alors qu’il recevait les dirigeants de l’Azerbaïdjan et de l’Arménie à la Maison Blanche pour signer une déclaration commune sur l’ouverture d’une importante voie de transport entre les deux nations du Caucase, en conflit depuis plus de trois décennies.

A noter que l’armée russe contrôle actuellement des territoires le long de la frontière dans les régions ukrainiennes de Kharkov et de Soumy.

La prise de territoire russe autour de la ville frontalière de Soudja avait été présentée par les dirigeants ukrainiens comme un argument de négociation et un levier pour l’éventuels pourparlers de paix.

Le contrôle territorial de Moscou sur trois des quatre anciens territoires ukrainiens qu’il a incorporés à la Russie après une série de référendums fin 2022 reste incomplet.

L’armée russe a récemment libéré l’intégralité de la République populaire de Lougansk, tandis que les hostilités se poursuivent dans la République populaire voisine. Les régions de Zaporojie et de Kherson sont revendiquées aussi bien par la Russie que par l’Ukraine dans leur intégralité, alors que chacune n’en détient qu’une partie.

Les dirigeants russes avaient exigé un retrait complet des troupes de Kiev des territoires susmentionnés, réitérant leur position dans un projet de mémorandum décrivant la feuille de route de Moscou pour mettre fin au conflit lors de récents pourparlers directs organisés par la Turquie.

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La Turquie ne va pas se séparer du gaz russe

08. August 2025 um 15:39

La Turquie ne soutiendra pas le projet de l’UE de mettre fin aux importations de gaz russe. Ce qui menace les efforts de Bruxelles d’éliminer la dépendance restante du bloc à l’énergie russe.

Comme l’a rapporté Capital vendredi 8 août, la Turquie, à la frontière avec l’UE, a longtemps été un canal pour l’énergie russe à destination de l’Europe. Ce qui devrait maintenant changer, suite à une récente proposition de l’UE visant à éliminer toutes les importations de gaz naturel russe d’ici la fin de 2027.

En effet, Bruxelles souhaite imposer davantage d’exigences de surveillance afin de mieux suivre l’acheminement du gaz russe vers l’UE. Pour ce faire, l’UE aura probablement besoin d’informations provenant de pays de transit clés, comme la Turquie. Et Ankara n’est pas intéressée.

« L’UE peut décider ou non d’interdire totalement les importations de gaz russe. Mais la Turquie estime que des sanctions unilatérales risquent de perturber les économies et d’accroître les inquiétudes en matière de sécurité énergétique pour tous ». C’est ce qu’a déclaré le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué. « La République de Turquie n’applique que les sanctions approuvées par le Conseil de sécurité des Nations unies », a-t-il précisé.

Cette réticence, avertissent les experts, pourrait ouvrir une brèche qui permettrait au gaz russe de continuer à affluer dans l’Union européenne sans être détecté bien après la date limite.

« La réticence de la Turquie à se conformer aux dispositions de surveillance de l’UE pourrait créer des défis pour la mise en œuvre efficace du règlement proposé. En particulier compte tenu du rôle croissant de la Turquie en tant que transit et plaque tournante potentielle pour le gaz russe ». Ainsi estime Ville Niinistö, député européen vert et ancien ministre finlandais de l’Environnement, qui dirige les travaux du Parlement européen sur le projet de loi.

Plus de trois ans après le début de la guerre en Ukraine, l’UE tente toujours de se sevrer complètement de l’énergie de Moscou et de couper une source de revenus essentielle pour le Kremlin.

Par ailleurs, l’UE a réussi à réduire ses importations de gaz d’environ deux tiers depuis 2022. Cependant, elle a continué à acheter des quantités importantes de GNL à Moscou, parallèlement à des approvisionnements limités par gazoduc.

En juin, Bruxelles a présenté une proposition de loi visant à lutter contre ces importations par une interdiction progressive et générale. Et ce, en commençant par les contrats à court terme cette année et en supprimant progressivement les accords à plus long terme en 2027.

Pour y parvenir, la Commission européenne, l’organe exécutif de l’UE, souhaite mieux contrôler les importations d’énergie en exigeant des entreprises important du gaz russe qu’elles fournissent « toutes les informations pertinentes » nécessaires à l’évaluation de l’origine du combustible, y compris les contrats d’approvisionnement. Les capitales et le Parlement européen négocient actuellement la législation.

En réalité, il est extrêmement difficile pour l’UE de retracer l’origine des flux. Car il n’existe aucun moyen d’en vérifier la provenance. En outre, les contrats d’approvisionnement sont confidentiels et le carburant passe souvent par de multiples intermédiaires avant d’atteindre sa destination.

De plus, les règles proposées n’imposeraient aucune obligation juridique à la Turquie, qui n’est pas membre de l’UE. Cependant, comme les contrats n’indiquent pas toujours clairement la provenance du combustible, les entreprises européennes pourraient devoir demander des informations complémentaires à leurs homologues turques si elles souhaitent continuer à importer du gaz.

En vertu de l’accord signé en 2023, la société énergétique bulgare Bulgargaz peut commander des cargaisons de gaz naturel liquéfié (GNL) dans les terminaux turcs. Lesquelles sont ensuite livrées à la société publique turque Botaş avant d’être renvoyées à Bulgargaz à la frontière de l’UE.

Le problème est que « nous ne savons pas si ce gaz livré à la Bulgarie est le même » que celui qui arrive aux terminaux turcs. Ce qui signifie que l’UE ne peut pas être sûre qu’il n’a pas été « mélangé » avec d’autres approvisionnements entre-temps. Et compte tenu du prix relativement réduit du gaz naturel de Moscou, il existe un « risque élevé » qu’une grande partie de ce gaz soit russe. De même qu’un risque similaire s’applique à l’interconnexion Kipi entre la Grèce et la Turquie.

A noter qu’en 2024 l’UE a importé 1,9 milliard de mètres cubes de gaz via les deux voies, selon les données de la plateforme ENTSO-G. Un chiffre qui pourrait atteindre 5,4 milliards de mètres cubes. Bien que ce chiffre soit dérisoire par rapport aux 150 milliards de mètres cubes que la Russie a exportés vers l’UE, il représente tout de même un cinquième des importations totales du bloc via les gazoducs en provenance de Moscou l’année dernière.

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La Banque d’Angleterre abaisse son taux directeur à 4 %

08. August 2025 um 13:31

La Banque d’Angleterre (BoE) a annoncé, jeudi 7 août, une réduction de ses coûts d’emprunt de 25 points de base (0,25%); mais avec une courte majorité d’une seule voix. Car plusieurs responsables sont préoccupés par l’évolution de l’inflation.

Concrètement, la décision a été prise par un vote de cinq contre quatre, rapporte Reuters. La difficulté de parvenir à un accord au sein du comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre (BoE) ayant nécessité deux votes. Ce qui s’est produit pour la première fois dans l’histoire de la Banque centrale.

L’inflation, selon la Banque d’Angleterre, devrait bientôt atteindre le double de son objectif de 2 %, combinée à une récente détérioration du marché du travail du pays. Raison pour laquelle le gouverneur de la BoE, Andrew Bailey, et quatre de ses collègues ont soutenu une réduction du taux d’intérêt de la Banque de 4,25 % à 4 %.

Parmi les quatre membres du comité qui ont soutenu le maintien des taux d’intérêt inchangés figurait la vice-gouverneure chargée de la politique monétaire, Clare Lombardelli, qui, pour la première fois, n’a pas rejoint la majorité.

Quoi qu’il en soit, après que la décision a finalement été prise, la BoE a réitéré ses conseils d’une « approche progressive et prudente » concernant de nouvelles réductions des coûts d’emprunt. Mais ellea ajouté que les baisses de taux d’intérêt pourraient prendre fin.

Plus précisément, il est indiqué que « le niveau de resserrement de la politique monétaire a diminué à mesure que le taux d’intérêt a diminué ».

Comme le note Reuters, si le processus de baisse des taux d’intérêt devait être mené à bien, ce serait un coup dur pour la chancelière de l’Échiquier, Rachel Reeves, et le Premier ministre, Keir Starmer. Car, ils peinent à tenir leur promesse d’accélérer la croissance économique britannique en déclin.

De son côté, Andrew Bailey a fait état dans sa déclaration accompagnant les annonces que la cinquième baisse des taux d’intérêt depuis août 2024 était une décision « extrêmement équilibrée ». Tout en exprimant son évaluation selon laquelle les taux d’intérêt continuent d’être sur une trajectoire descendante.

Il ajoute toutefois que « d’éventuelles baisses supplémentaires des taux d’intérêt devraient être réalisées progressivement et avec prudence ».

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Macron révoque le régime spécial de visas pour les fonctionnaires algériens

08. August 2025 um 12:01

Le président français Emmanuel Macron a révoqué mercredi 6 août les exemptions de visa diplomatique pour les responsables et diplomates algériens. Et ce, dans une nouvelle escalade du conflit diplomatique entre les deux pays.

Emmanuel Macron a demandé à son Premier ministre et à son ministre des Affaires étrangères de révoquer un accord de 2013. Lequel permettait aux Algériens titulaires de passeports diplomatiques ou de service d’entrer en France sans visa pendant 90 jours maximum. C’est ce que rapporte Politico, jeudi 7 août.

Dans une lettre adressée mercredi au Premier ministre, E. Macron a demandé au gouvernement de « prendre des décisions supplémentaires » pour « agir avec plus de détermination ». « Les autorités algériennes ont délibérément choisi de ne pas répondre à nos appels répétés ces derniers mois à la coopération dans l’intérêt de nos deux nations. Il aurait pu en être autrement. Désormais, nous n’avons d’autre choix que d’adopter une approche plus résolue », a expliqué le président français.

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, déjà annonçait qu’il prévoyait d’expulser les diplomates algériens sans visas valides en réponse à l’expulsion par Alger de fonctionnaires français de son territoire.

A cet égard, notons que la France et l’Algérie entretiennent des relations complexes depuis l’indépendance de cette dernière, après plus d’un siècle d’occupation française. Mais, les tensions ont atteint leur paroxysme l’année dernière lorsque Paris reconnaissait la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

Par ailleurs, la France affirme également que deux de ses citoyens, l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal et le journaliste Christophe Gleizes, sont détenus dans les prisons algériennes sans raison.

Ainsi, Boualem Sansal a été condamné à cinq ans de prison pour atteinte à l’unité nationale. Et ce, après l’expression de son soutien au Maroc dans un conflit territorial avec l’Algérie. Il aurait affirmé que seuls les « petits endroits sans histoire » finissent par devenir des colonies.

Quant au journaliste, il a été condamné à sept ans de prison pour « soutien au terrorisme ». En cause : son interview des dirigeants d’un club de football. Lesquels avaient également joué un rôle dans des mouvements séparatistes en Algérie.

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Suisse : Trump taxe les lingots d’or d’un kilo

08. August 2025 um 11:23

On apprend que les États-Unis ont imposé des droits de douane sur les importations de lingots d’or d’un kilo. Une mesure qui menace de bouleverser le marché mondial de l’or et de porter un nouveau coup à la Suisse. Le pays étant considéré comme le plus grand centre de raffinage d’or au monde, rapporte le Financial Times.

Le journal cite à cet égard le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP). Et plus précisément un document pertinent, qui mentionne la décision relative aux lingots d’or. Laquelle est datée du 31 juillet.

Tout d’abord, notons que les barres d’un kilogramme sont la forme la plus courante négociée sur le Comex. De même qu’elles constituent la majeure partie des exportations d’or de la Suisse vers les États-Unis.

A ce propos, relevons que les relations entre Washington et Berne se sont détériorées. Et ce, après que les États-Unis ont imposé de manière inattendue des droits de douane de 39 % sur les exportations en provenance de la Suisse.

Au final, cette décision porte un « nouveau coup dur » au commerce d’or de la Suisse avec les Etats-Unis. C’est ce qu’a déclaré Christoph Wild, président de l’Association suisse des fabricants et négociants en métaux précieux.

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Israël approuve le plan de prise de contrôle de la ville de Gaza

08. August 2025 um 10:43

Le Cabinet de sécurité israélien a approuvé, dans la nuit du 7 au 8 août, un plan visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza; alors que le pays étend ses opérations militaires. Et ce, malgré l’intensification des critiques dans le pays et à l’étranger concernant la guerre dévastatrice qui dure depuis près de deux ans. 

« L’armée israélienne se préparera à prendre le contrôle de la ville de Gaza tout en fournissant une aide humanitaire à la population civile en dehors des zones de combat ». C’est ce qu’a déclaré le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu dans un communiqué, faisant référence aux forces de défense israéliennes.

Le plan approuvé cette nuit se concentre spécifiquement sur la ville de Gaza, la plus grande ville de l’enclave, située au nord de l’enclave.

Le journaliste d’Axios, Barak Ravid, citant un responsable israélien, a déclaré sur X que le plan impliquait l’évacuation des civils palestiniens de la ville de Gaza et le lancement d’une offensive terrestre.

Interrogé sur la possibilité pour Israël de prendre le contrôle de l’ensemble du territoire, Netanyahu a déclaré jeudi 7 août à Bill Hemmer de Fox News Channel dans une interview : « Nous avons l’intention de le faire ». Il a toutefois affirmé qu’Israël souhaitait céder le territoire aux forces arabes qui le gouverneraient. Il n’a pas précisé les modalités de gouvernance, ni les pays arabes susceptibles d’y participer.

« Nous ne voulons pas le conserver. Nous voulons un périmètre de sécurité. Nous ne voulons pas le gouverner. Nous ne voulons pas y être un organe directeur », a-t-il affirmé.

Le bureau de Netanyahu a déclaré que la grande majorité des membres du cabinet politico-sécuritaire estimaient que « le plan alternatif présenté au cabinet ne permettrait pas de vaincre le Hamas ni de rendre les otages ».

Cette décision intervient malgré l’intensification des critiques, tant au niveau national qu’international, concernant la guerre dévastatrice dans l’enclave palestinienne.

A noter que tous les sondages d’opinion montrent que la plupart des Israéliens souhaitent que la guerre se termine par un accord qui verrait la libération des otages restants.

La Maison Blanche n’a pas encore fait de commentaire. Le président Donald Trump a refusé de dire s’il soutenait ou s’opposait à une éventuelle prise de contrôle militaire de la ville de Gaza par Israël.

De son côté, l’ONU a qualifié de « profondément alarmantes » les informations faisant état d’une possible expansion des opérations militaires israéliennes à Gaza, si elles s’avéraient vraies.

Otages restants

Il y a encore 50 otages détenus à Gaza, dont 20 seraient encore en vie selon les autorités israéliennes. La plupart des personnes libérées jusqu’à présent l’ont été à l’issue de négociations diplomatiques. Les négociations en vue d’un cessez-le-feu, qui auraient pu aboutir à la libération d’un plus grand nombre d’otages, ont échoué en juillet.

Un haut responsable palestinien a déclaré que le Hamas avait déclaré aux médiateurs arabes qu’une augmentation de l’aide humanitaire entrant à Gaza conduirait à une reprise des négociations de cessez-le-feu.

Or, les responsables israéliens accusent le Hamas de s’emparer de l’aide pour la distribuer à ses combattants et de la vendre pour financer ses opérations. Accusations que le groupe militant nie.

Le Hamas, qui dirige Gaza depuis près de deux décennies mais ne contrôle plus que des zones fragmentées, insiste sur le fait que tout accord doit conduire à une fin définitive de la guerre. Israël affirme que le groupe n’a aucune intention de tenir sa promesse d’abandonner le pouvoir par la suite.

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Messine : l’Italie valide le pont suspendu le plus ambitieux au monde

07. August 2025 um 17:32

Un projet emblématique et controversé vient de franchir une étape décisive en Italie. Le gouvernement a donné, mercredi 6 août 2025, son feu vert au lancement des travaux du futur pont suspendu du détroit de Messine, destiné à relier la Sicile au continent. Ce projet titanesque, estimé à 13,5 milliards d’euros, deviendrait le plus long pont suspendu au monde avec ses 3,7 kilomètres de long et une portée principale de 3,3 kilomètres.

Malgré les fortes oppositions liées aux risques sismiques, à l’impact environnemental et à la menace d’infiltration mafieuse, le comité interministériel chargé des investissements stratégiques a validé, le 5 août 2025, l’entame du chantier. Le ministre des Transports, Matteo Salvini, fervent défenseur du projet, a salué un « accélérateur de développement » pour le sud du pays, promettant emplois et croissance.

Les travaux préparatoires devraient commencer d’ici la fin de l’été, avec une mise en chantier complète prévue pour 2026. L’idée de relier la Sicile au continent italien remonte à l’Antiquité, mais ce projet moderne connaît un parcours chaotique depuis les premiers appels d’offres en 1969. Relancé en 2023 par la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, il constitue une victoire politique pour M. Salvini, qui en a fait un pilier de son action.

Le futur pont comportera quatre voies routières et une double voie ferroviaire, capable d’accueillir 6 000 véhicules et 200 trains par jour. Il dépasserait largement le pont de Canakkale en Turquie, dont la portée actuelle de 2,23 kilomètres est un record mondial. Ce dernier a d’ailleurs été construit par WeBuild, le consortium italien retenu pour mener le chantier du pont de Messine.

Sur le plan stratégique, le gouvernement entend classer le projet comme infrastructure de défense.Ce qui l’aiderait à atteindre ses objectifs de dépenses militaires dans le cadre de ses engagements vis-à-vis de l’OTAN.

En effet, le pont est présenté comme un corridor stratégique pour le déplacement rapide de troupes vers le flanc sud de l’Alliance. Une initiative contestée par plus de 600 chercheurs et universitaires, qui dénoncent une instrumentalisation militaire du projet et soulignent l’absence d’évaluation des risques liés à un usage militaire.

Parallèlement, des organisations écologistes ont saisi l’Union européenne pour alerter sur les menaces pesant sur les oiseaux migrateurs et la fragilité des écosystèmes touchés. Elles estiment que le projet ne remplit pas les conditions de « nécessité publique » exigées pour justifier de tels impacts.

Le défi est autant technique que politique : construire un pont sur une zone sismique active, théâtre d’un séisme dévastateur en 1908, impose des garanties structurelles. WeBuild se veut rassurant, affirmant que les ponts suspendus sont adaptés aux zones à forte activité sismique, comme le Japon ou la Californie. Son PDG, Pietro Salini, assure : « Ce pont changera la donne pour l’Italie ».

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Les exportations chinoises vers les États-Unis chutent de 6,1 % en juillet

07. August 2025 um 16:48

Les exportations chinoises vers les États-Unis ont chuté de 6,1 % entre juillet et juin, malgré la trêve dans la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies du monde, qui ne sont pas encore parvenues à un accord durable à même de régler leurs différends commerciaux. « La Chine n’est pas un bon partenaire commercial, car elle échange beaucoup avec nous, mais nous n’en avons pas avec elle », dixit Trump.

La Chine a exporté des marchandises d’une valeur cumulée de 35,8 milliards de dollars vers les États-Unis en juillet, contre 38,2 milliards de dollars en juin, selon les données des douanes chinoises publiées ce jeudi 7 août.

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Trump prévoit des droits de douane jusqu’à 100 % sur les puces

07. August 2025 um 15:30

Donald Trump a clairement indiqué, mercredi 6 août, qu’il entendait procéder à l’imposition de droits de douane supplémentaires « sur les microcircuits et les semi-conducteurs », mais sans préciser pour l’instant quand la mesure entrera en vigueur.

« Nous allons imposer des droits de douane élevés sur les microcircuits et les semi-conducteurs », a déclaré le président américain, « environ 100 % ». Ce n’est qu’il a décrit comme une « bonne nouvelle pour les entreprises américaines qui fabriquent » ces articles.

Vers de nouveaux droits de douane sur la Chine

Dans le même temps, il a indiqué qu’il pourrait bientôt annoncer de nouveaux droits de douane sur la Chine, similaires aux droits de douane supplémentaires de 25 % qu’il avait annoncés plus tôt et qui seraient imposés à l’Inde, en raison des achats de pétrole à la Russie, en fonction de l’évolution de la situation.

« C’est possible (…) Je ne peux pas encore vous le dire », a souligné Donald Trump. « Nous l’avons fait avec l’Inde. Nous le ferons probablement avec d’autres pays. L’un d’eux pourrait être la Chine ».

Le décret ne mentionne pas la Chine, qui est également un acheteur majeur de brut russe. Cependant, la semaine dernière, le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, a averti la Chine qu’elle pourrait se voir imposer de nouveaux droits de douane si elle continuait d’acheter des hydrocarbures russes.

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Trump frappe l’Inde de 25 % de droits de douane supplémentaires

07. August 2025 um 13:00

Les États-Unis procèdent à l’imposition d’un tarif supplémentaire de 25 % sur les produits en provenance d’Inde, par décret de Donald Trump, portant ainsi le taux final à 50 %.

Le texte du décret du mercredi 6 août reproche à l’Inde d’« importer directement ou indirectement du pétrole de la Fédération de Russie. Par conséquent, et conformément à la législation en vigueur, les marchandises indiennes importées sur le territoire des États-Unis sont soumises à un droit ad valorem supplémentaire de 25 % ».

Cette nouvelle taxe s’ajoute au tarif de 25 % qui doit entrer en vigueur jeudi 7 août, ainsi qu’aux tarifs que Trump présente comme « réciproques », sachant que le tarif supplémentaire entrera en vigueur dans 21 jours, selon le décret.

Ces derniers jours, Trump a menacé d’augmenter les tarifs douaniers sur l’Inde, accusant le pays d’acheter « de grandes quantités de pétrole russe ».

 

Lire aussi : Trump menace de surtaxes sur l’Inde à cause du pétrole russe

 

« L’Inde n’est pas un bon partenaire commercial, car elle échange beaucoup avec nous, mais nous n’en avons pas avec elle. Nous avons donc convenu d’un taux de 25 %, mais je pense que je vais l’augmenter considérablement dans les prochaines 24 heures, car elle achète du pétrole russe », a assuré le président américain dans une interview accordée à CNBC.

Le président américain a indiqué la semaine dernière qu’il imposerait un tarif de 25 % sur les marchandises importées d’Inde et a ajouté que la cinquième économie mondiale serait également confrontée à une pénalité non spécifiée, mais n’a pas fourni de détails.

Inde : la décision de Trump sur les droits de douane supplémentaires est « extrêmement regrettable »

Juste après l’annonce américaine, le ministère indien des Affaires étrangères a déclaré mercredi que la décision du président Donald Trump d’imposer des droits de douane supplémentaires de 25 % sur les produits importés par les États-Unis en provenance d’Inde était « extrêmement regrettable ».

Il ajoute que New Delhi prendra toutes les mesures nécessaires pour protéger ses intérêts nationaux.

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Occupation de Gaza : l’agenda explosif de Netanyahou

07. August 2025 um 12:00

Benjamin Netanyahu devrait donner le « feu vert » à l’occupation totale de Gaza lors d’une réunion cruciale du cabinet israélien ce jeudi 7 août, comme le rapporte le site thetoc cité par Capital.

En fait, le plan, qui devrait être soumis par Benjamin Netanyahu à l’approbation du cabinet, a déjà commencé à fuiter dans les médias israéliens. Il semble être un compromis avec les généraux des Forces de défense israéliennes (FDI), qui seraient en désaccord avec une occupation complète de l’enclave palestinienne.

Selon un reportage de la chaîne israélienne Channel 12, le plan se concentre sur l’occupation de la ville de Gaza. Plus précisément, dans un premier temps, Israël lancera un ordre d’évacuation à l’encontre des habitants de cette ville – estimés à environ un million de personnes, soit près de la moitié de la population de la bande de Gaza – afin de leur laisser le temps de créer des infrastructures pour les citoyens du centre de Gaza, notamment des hôpitaux et des camps pour les personnes déplacées. Cette phase devrait durer plusieurs semaines.

L’armée d’occupation lancera ensuite une offensive militaire dans une deuxième phase, au cours de laquelle le président américain Donald Trump devrait annoncer l’accélération de l’aide humanitaire en coordination avec l’entité sioniste.

Dans le cadre de cette coordination, le nombre de points de distribution alimentaire devrait passer de quatre à 16, bien que le réseau n’ait pas précisé si tous les points fonctionneront sous les auspices du Fonds humanitaire pour Gaza (GHF), qui est soutenu par Israël et les États-Unis.

Le rapport, cité par Channel 12, indique que cette expansion du système d’aide humanitaire sera financée à hauteur d’un milliard de dollars de dons des États-Unis et d’autres pays. L’objectif est de permettre aux Gazaouis d’accéder à une aide qui contourne le Hamas et la ville de Gaza sous contrôle israélien.

La crise humanitaire s’aggrave 

Dans la bande de Gaza, assiégée et bombardée incessamment, où des milliers de Palestiniens se rassemblent quotidiennement dans des points de distribution de nourriture, la défense civile a annoncé mercredi 6 août que 20 personnes ont perdu la vie lorsqu’un camion chargé de nourriture s’est renversé dans la foule.

La coordinatrice de l’organisation non gouvernementale Médecins sans frontières (MSF), Caroline Villemin, évoque une situation humanitaire « désespérée », « catastrophique » dans l’enclave, où « la crise de la faim » continue. « Nous continuons de voir des patients qui ont été blessés par balle ou écrasés dans des centres de distribution d’aide », a-t-elle expliqué.

Par ailleurs et selon le journal Maariv, le général de division Zamir a averti que la décision « dramatique » d’intensifier les opérations pourrait « conduire à la mort d’otages encore en vie » et a exprimé son « opposition à l’occupation complète de la bande de Gaza », une zone qui a été sous occupation israélienne de 1967 à 2005. Mais « une fois les décisions prises au niveau politique », l’armée « les exécutera avec détermination et professionnalisme (…) jusqu’à ce que les objectifs de guerre soient atteints ».

Le chef de l’opposition Yaïr Lapid indique avoir rencontré le Premier ministre Netanyahou et l’avoir averti que « l’occupation de Gaza est une très mauvaise idée » sur le « plan opérationnel, moral et économique ».

Il faut rappeler que le gouvernement israélien est confronté à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre avec le Hamas, qui fait rage depuis le 7 octobre 2023.

Une grande partie de l’opinion publique israélienne s’inquiète de plus en plus du sort des 49 otages restants dans la bande de Gaza, dont 27 ont été déclarés morts par l’armée. Tandis qu’au niveau international, les voix se multiplient soulignant les souffrances des plus de deux millions de Palestiniens de l’enclave menacés de « famine généralisée », comme l’avertit l’ONU.

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OpenAI prépare une levée à 500 milliards

06. August 2025 um 16:45

OpenAI est en pourparlers préliminaires sur une éventuelle vente secondaire de ses actions à des employés actuels et anciens, évaluée à environ 500 milliards de dollars. Ce qui représente un gain massif dans la valeur de la principale société d’intelligence artificielle. C’est ce que rapporte Bloomberg, mercredi 6 août 2025.

La société vise une vente d’actions de plusieurs milliards de dollars, selon les source. Lesquelles ajoutent que les investisseurs existants, dont Thrive Capital, ont contacté OpenAI pour acheter certaines actions des employés.

La dernière valorisation d’OpenAI s’élève à environ 300 milliards de dollars, sur un tour de table de 40 milliards mené par SoftBank Group. Cette nouvelle décision fait suite à l’annonce, il y a quelques jours, selon laquelle la startup avait levé 8,3 milliards de dollars auprès d’un groupe d’investisseurs pour la deuxième tranche de son tour de table de 40 milliards de dollars, qui a été sursouscrite près de cinq fois.

La dernière évaluation fait d’OpenAI la startup non cotée la plus valorisée au monde.

A rappeler qu’OpenAI a supervisé une série de lancements de nouvelles technologies, notamment une nouvelle plateforme open source, et se prépare actuellement à lancer son dernier modèle, GPT-5.

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USA : entrée en vigueur des droits de douane de 50 % sur les produits brésiliens

06. August 2025 um 13:01

Les droits de douane de 50 % imposés sur une grande partie des marchandises importées du Brésil sont entrés en vigueur, mercredi 6 août, sept jours après la signature du décret prévoyant cette mesure par le président américain Donald Trump.

Alors qu’initialement le Brésil n’allait pas devoir faire face à des droits de douane supplémentaires au-delà des 10 % appliqués actuellement à une grande partie des produits importés sur le marché américain, le président Trump les a augmentés à 50 %, un niveau plus élevé que tout autre pays.

Le républicain exprime sa colère face aux poursuites engagées contre l’ancien président d’extrême droite du Brésil, Jair Bolsonaro, par la justice brésilienne pour tentative de coup d’État après sa défaite à l’élection présidentielle de 2022. Ce dernier est désormais assigné à résidence surveillée.

Les poursuites, que Trump a qualifiées de « chasse aux sorcières », ont également conduit à l’imposition de sanctions américaines au juge de la Cour suprême fédérale brésilienne, Alessandro G. Morais…

Bien que les droits de douane aient provoqué une forte réaction à Brasilia, le président Lula da Silva dénonçant une attaque américaine contre la « souveraineté nationale » de son pays, son gouvernement semble minimiser l’impact qu’ils auront.

En partie parce que le décret de Donald Trump prévoit des exemptions pour certaines catégories de biens, du jus d’orange à l’énergie en passant par l’industrie aéronautique. En revanche, d’autres secteurs clés, comme celui du café, seront confrontés à des droits de douane de 50 %.

Cependant, selon le gouvernement brésilien, seulement 36 % des produits exportés par le pays vers le marché américain sont soumis aux nouveaux droits de douane.

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Turquie – Syrie : des zones industrielles pour booster les échanges

06. August 2025 um 11:38

La Turquie prévoit d’établir des zones industrielles en Syrie pour développer l’économie du pays déchiré par la guerre et pour stimuler le commerce transfrontalier.

« Il est possible d’établir des zones industrielles avec des installations sûres et entièrement infrastructurelles en Syrie dans un certain laps de temps », a déclaré, mardi 5 août, Rifat Hisarcıklıoğlu, chef de l’Union des chambres et des Bourses de marchandises de Turquie, aux ministres syriens et turcs lors d’une réunion à Ankara.

L’influence de la Turquie auprès de son voisin du sud s’est considérablement accrue depuis la chute de Bachar el-Assad, et elle cherche désormais à tirer parti de ses liens plus étroits avec Damas pour relancer les échanges commerciaux bilatéraux. L’économie syrienne a été durement touchée par des années de guerre civile, laissant une grande partie de ses infrastructures en ruine.

Selon les plans soutenus par le gouvernement turc, comme le rapporte Bloomberg, la Chambre de commerce propose la création de zones industrielles, dans lesquelles seront concentrées les petites et moyennes entreprises, dans le but de soutenir l’économie syrienne.

« À ce stade, nous souhaitons démarrer ce projet avec les petites et moyennes entreprises. Nous passerons ensuite à des projets de plus grande envergure », a indiqué Nidal Al-Saar, ministre syrien de l’Économie et de l’Industrie. « Nous espérons que la Turquie implantera des usines en Syrie et distribuera ses produits industriels via notre pays ».

A noter que la Syrie dépend du financement des États arabes du Golfe pour financer la reconstruction de la Syrie. D’ailleurs, dernièrement, un projet financé par le Qatar a commencé à exporter du gaz naturel d’Azerbaïdjan vers la Syrie pour la production d’électricité.

Les entreprises turques et syriennes basées en Turquie sont enthousiasmées par les opportunités commerciales qu’elles voient de l’autre côté de la frontière, même si elles sont incertaines des conditions économiques après des années de guerre.

« Il existe de nombreux projets, comme la construction d’hôpitaux, d’aéroports et de bâtiments gouvernementaux », a assuré Abdallah Alkhaledi, responsable syrien chez Untes Air Conditioning Systems basé à Ankara. « Nous ne voulons pas manquer cette opportunité commerciale, malgré les graves problèmes bancaires et l’inflation en Syrie ».

Les échanges commerciaux entre la Turquie et la Syrie ont atteint 1,9 milliard de dollars au cours des sept premiers mois de 2025, calcule le ministre turc du Commerce, Omer Bolat, ce qui les met en bonne voie pour dépasser les 2,6 milliards de dollars de l’année dernière.

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La Reserve Bank of India maintient inchangés ses taux d’intérêt

06. August 2025 um 11:26

La Reserve Bank of India maintient son taux d’intérêt directeur stable alors que les décideurs politiques évaluent l’impact des tarifs douaniers de Donald Trump.

Le Comité de politique monétaire composé de six membres de la Reserve Bank of India (RBI) a voté à l’unanimité pour maintenir le taux inchangé à 5,50 %. Alors que l’incertitude liée aux tarifs douaniers persiste et que les effets des précédentes baisses de taux d’intérêt continuent de se faire sentir, il y a lieu de « poursuivre » la politique monétaire actuelle, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale indienne.

La décision de suspendre ses activités suggère que la banque attend d’évaluer l’impact total des tarifs douaniers américains sur l’économie indienne, déjà en ralentissement, malgré la chute de l’inflation à son plus bas niveau en six ans en juin.

Les obligations d’État indiennes ont chuté, le rendement des obligations d’État à 10 ans augmentant de 4 points de base à 6,37 %. La roupie s’est renforcée.

Cette pause intervient après une forte baisse surprise en juin, mais aussi dans un contexte d’incertitude accrue après que Trump a frappé le pays avec un taux de droits de douane de 25 % – plus élevé que celui des autres pays asiatiques, du Vietnam et de l’Indonésie – et a menacé de sanctions supplémentaires.

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