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Heute — 26. Dezember 2024Haupt-Feeds

Ferid Belhaj nommé conseiller du directeur général et président du conseil d’administration du FADES

26. Dezember 2024 um 14:16

Pressenti à un certain par certains milieux après sa retraite à la présidence du gouvernement tunisien en raison de sa forte amitié avec le Président Kaies Saied, Ferid Belhaj, ancien vice-président de la Banque mondiale, a décidé en fin de compte d’opter pour le Koweït pour y travailler. Et pour cause. Il été nommé, le 19 décembre 2024, premier conseiller du directeur général et président du conseil d’administration du Fonds arabe pour le développement économique et social (Fades)

Férid Belhadj entamera, ses nouvelles fonctions, à partir du 1er janvier 2025 pour une mission de quatre ans, expirant le 31 décembre 2029.

Dirigé depuis une longue période par un grand ami de la Tunisie, en l’occurrence, le Koweitien Abdellatif al Hamad, le FADES avait bénéficié du concours d’anciens économistes tunisiennes, s’agissant, notamment, de Ali Boukhris (ancien PDG du Groupe Chimique Tunisien) et Mondher Gargouri qui y a travaillé en tant que chef économiste pendant plus de 15 ans.

ABS

Tunisie-Recettes touristiques : Augmentation de 7,8% à 7,2 milliards de dinars en 2024

26. Dezember 2024 um 13:20

Les recettes touristiques ont atteint, à la date du 20 décembre 2024, 7,2 milliards de dinars, ce qui représente une hausse de 7,8%, par rapport à la même période de l’année dernière, d’après les indicateurs monétaires et financiers, publiés jeudi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

De même, les revenus du travail cumulés ont évolué de 5,5%, passant de 7,4 milliards de dinars, en décembre 2023, à 7,8 milliards de dinars, actuellement.

Les avoirs nets en devises sont maintenus, ainsi, à un niveau stable au niveau de 25 milliards de dinars, soit l’équivalent de 115 jours d’importation, à la date du 25 décembre 2024.

La BCT a fait état, en outre, de l’accroissement des services de la dette extérieure de 20,3%, pour dépasser les 13,7 milliards de dinars, au 20 décembre 2024.

“GREEN PATH” et “GREEN UP” : Opportunités pour les entreprises et chercheurs d’emploi dans les secteurs Eau-Sol-Climat à Jendouba

26. Dezember 2024 um 13:09

L’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA) vient e lancer deux appels à candidature du projet « Renforcement de la Résilience Climatique à travers la Gouvernance des Ressources Naturelles (ReGnR) », destinés aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME), Groupements de Développement Agricoles (GDA),
Sociétés mutuelles de services agricoles (SMSA), agriculteurs, chercheurs d’emploi et porteurs d’idées de projets dans le gouvernorat de Jendouba.

Lancés en partenariat avec l’agence allemande de coopération internationale (GIZ), ces deux appels à candidature ont pour objectif de transformer les idées en succès, de créer de l’emploi et améliorer les revenus dans les secteurs de l’eau, du sol et du climat, grâce notamment à des formations personnalisées et un accompagnement, indique l’APIA.

Le premier appel dont la date limite est fixée au 25 janvier 2025, s’intitule « GREEN PATH » : Evoluer vers un emploi salarié ou indépendant dans le secteur Eau-Sol-Climat .

Il cible les individus en recherche d’emploi, et /ou de conversion vers un nouvel emploi ou désireux de développer des activités entrepreneuriales dans le domaine de la gestion des ressources naturelles (GRN) dans l’interface Eau-Sol-Climat.

Les bénéficiaires potentiels seront sélectionnés en lien avec les activités priorisées dans la région, et leurs capacités seront renforcées par le biais de formations et d’un accompagnement personnalisé et innovant.

Pour ce qui est du deuxième appel « GREEN UP », il s’agit d’aider les GDA, SMSA, agriculteur-trices, Micro, Petites et Moyennes Entreprises du gouvernorat de Jendouba qui exercent leurs activités dans les secteurs de l’agriculture, du tourisme durable, de l’artisanat et de la protection des ressources naturelles et de l’environnement, à booster leurs revenus en intégrant de bonnes pratiques de gestion des ressources naturelles.

La date limite pour la réception des candidatures à cet appel est également fixée pour le 25 janvier 2025.

Le projet « Renforcement de la résilience climatique à travers la bonne gouvernance des ressources naturelles en Tunisie » (ReGnR) est financé par le Ministère de la Coopération Economique et du Développement (BMZ) de la République Fédérale d’Allemagne.

Il vise à ancrer institutionnellement la protection des ressources en eau, en sol et en végétation auprès des autorités tunisiennes concernées par l’utilisation des terres, comme une condition de l’équilibre hydrique. Il s’agit également, de diffuser les approches permettant une meilleure utilisation de « l’eau verte » (c’est-à-dire l’eau de surface directement disponible pour les plantes) au niveau local dans un bassin versant de la Tunisie.

Change devises en dinar tunisien : Cours du 26 Décembre 2024

26. Dezember 2024 um 12:58

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 3.168 3.253
Euro EUR 1 3.284 3.360
Yen Japonais JPY 1000 19.918 20.668
Livre Sterling GBP 13 3.930 4.078
Franc Suisse CHF 10 34.676 36.166

PHILIP MORRIS INTERNATIONAL célèbre une décennie d’IQOS

26. Dezember 2024 um 12:39

Le Japon, où IQOS a été lancé pour la première fois en 2014, a connu une baisse de 46 % du tabagisme à l’échelle nationale.

Philip Morris International (PMI) célèbre le 10ème anniversaire de l’introduction de son dispositif de tabac chauffé, IQOS. Le lancement de cette innovation sans fumée a marqué un moment décisif vers l’engagement de l’entreprise pour un avenir sans cigarettes. Au Japon—le premier marché où IQOS a été lancé en 2014—les nouvelles données de santé publique publiées par l’Enquête nationale sur la santé et la nutrition (NHNS),i.e. une enquête annuelle nationale sur la santé menée depuis 1948 par le ministère japonais de la Santé, du Travail et du Bien-être, montrent une diminution de 46% de la prévalence du tabagisme auprès des adultes depuis 2014, passant de 19,6% à 10,6% en 2022. Cette baisse est corrélée à l’introduction des produits de tabac chauffé et à leur adoption généralisée par des millions d’adultes fumeurs au Japon.

Une décennie après son lancement au Japon, IQOS est disponible dans plus de 90 marchés dans le monde, et 30,8 millions d’adultes l’utilisent.

Le PDG de PMI, Jacek Olczak, a déclaré : « Avec le lancement d’IQOS, nous avons amorcé la vision de PMI d’une entreprise sans fumée, créant ainsi une opportunité de résoudre le problème du tabagisme. Chaque jour, IQOS démontre son potentiel, comme en témoignent les millions d’adultes dans le monde qui ont complètement arrêté de fumer grâce à cet appareil. IQOS est le produit sans fumée leader mondial, et nous nous engageons à continuer de montrer la voie vers un avenir où de meilleures alternatives auront entièrement remplacé les cigarettes. Nous avançons résolument pour devenir une entreprise majoritairement sans fumée d’ici 2030. Aujourd’hui, PMI emploie plus de 80 000 personnes, et je souhaite marquer cet anniversaire en les remerciant, ainsi que leurs prédécesseurs, tous ceux qui ont rendu cette transformation possible. »

Borhann Rachdi, directeur général de PMI en Tunisie, a expliqué : « Depuis son lancement en Tunisie en 2021, IQOS a marqué un tournant décisif dans notre engagement vers un avenir sans fumée. En célébrant les 10 ans de cette innovation révolutionnaire, nous réaffirmons notre détermination à offrir aux fumeurs adultes tunisiens, qui continueraient autrement à fumer, des alternatives à risque réduit et sans combustion, représentant un meilleur choix que de continuer de fumer. Nous renforçons également notre coopération avec nos partenaires historiques, notamment la Régie nationale des Tabacs et des Allumettes (RNTA) et la Manufacture des Tabacs de Kairouan (MTK). »

Notons qu’avec la transformation de PMI en une entreprise de science et de technologie de premier plan, les produits sans fumée représentent 38% des revenus nets de l’entreprise au troisième trimestre 2024, contre pratiquement 0% en 2014.

Philip Morris International : Vers un avenir sans fumée

PMI est une entreprise internationale de tabac de premier plan, œuvrant activement pour un avenir sans fumée et faisant évoluer son portefeuille à long terme pour inclure des produits en dehors du secteur du tabac et de la nicotine. Le portefeuille actuel de l’entreprise se compose principalement de cigarettes et de produits sans fumée. Depuis 2008, PMI a investi plus de 12,5 milliards de dollars pour développer, valider scientifiquement et commercialiser des produits innovants sans fumée pour les adultes qui continueraient autrement à fumer, avec pour objectif de mettre fin complètement à la vente de cigarettes. Cela inclut la construction de capacités d’évaluation scientifique de classe mondiale, notamment dans les domaines de la toxicologie des systèmes précliniques, de la recherche clinique et comportementale, ainsi que des études post-commercialisation.

En 2022, PMI a acquis Swedish Match—un leader de la distribution de nicotine orale—créant un champion mondial sans fumée dirigé par les marques IQOS et ZYN. La FDA- Food and Drug Administration des États-Unis a autorisé la commercialisation des versions des dispositifs et consommables IQOS de PMI et du General snus de Swedish Match en tant que produits du tabac à risque modifié, et les demandes de renouvellement de ces produits sont actuellement en attente devant la FDA. Au 30 juin 2024, les produits sans fumée de PMI étaient disponibles à la vente dans 90 marchés, et PMI estime que 36,5 millions d’adultes dans le monde utilisent les produits sans fumée de PMI. L’activité sans fumée représentait environ 38 % des revenus nets totaux de PMI pour les neuf premiers mois de 2024. Avec une base solide et une expertise significative dans les sciences de la vie, PMI a annoncé en février 2021 son ambition de s’étendre dans les domaines du bien-être et des soins de santé et vise à améliorer la vie grâce à la fourniture d’expériences de santé intégrées.

Été 2024 : La Tunisie connaît son quatrième été le plus chaud depuis 1950, selon l’INM

26. Dezember 2024 um 12:07

Avec une température moyenne de 29.5 °c supérieure à la normale de 1,5 °C, l’été 2024 est classé au 4e rang des étés les plus chauds depuis 1950, ex aequo avec l’été 2023 et 2012 et derrière 2003 (+1,6°C), 2022 (+2°C) et 2021 (+2,2°C), indique l’Institut National de la Météorologie (INM).

La Tunisie a vécu une saison chaude sur l’ensemble du pays particulièrement les régions du sud et le sud-ouest, a fait savoir l’INM, dans son bulletin climatique consacré à l’été 2024.

La température maximale a atteint 35,7°C dépassant la normale de 1,3°C, tandis que la température minimale s’est élevée à 23,3°C dépassant la normale de 1,7 °C.

Concernant la pluviométrie, l’été 2024 a été déficitaire. Les pluies ont été absentes surtout au sud du pays. Le cumul pluviométrique était de 267,9mm alors que la normale pour
les mêmes stations est de 529,9mm soit un déficit de 50%.

A l’échelle régionale, la température maximale dans toutes les régions a été supérieure à la normale, durant l’été 2024, à l’exception de Mahdia où la température maximale a été légèrement inférieure à la normale (-0,1°C). Elle a varié entre 29,7°C à Mahdia et 41,5°C à Elborma.

Les écarts par rapport aux normales ont varié entre -0,3°C à Mahdia et 2,1°C au Kef.

S’agissant de la température minimale dans toutes les régions, elle a été supérieure à la normale. Elle a varié entre 19,9°C au Kef et 27,4°C à Tozeur.

Les écarts par rapport aux normales ont varié entre 0,6°C à Matmata et 2,3°C à Sfax et El kef.

D’autre part, la température moyenne a été supérieure à la normale. Elle a varié entre 26,2°C à Tabarka et 34°C à Tozeur. Les écarts par rapport aux normales ont oscillé entre 0,8°C à Matmata et 2,2°C au Kef.

Kébili : Amina Srarfi lance le championnat national de lecture et évalue les infrastructures culturelles

26. Dezember 2024 um 11:56

La ministre des affaires culturelles, Amina Srarfi, a donné, mercredi, le coup d’envoi de la quatrième édition du championnat national de lecture à la bibliothèque régionale de Kébili, lors de sa visite dans la région.

Prenant connaissance du projet d’extension de cette bibliothèque, la ministre a souligné la nécessité de mettre en œuvre des solutions urgentes et efficaces pour améliorer les infrastructures culturelles placées sous la tutelle du ministère. Elle a également insisté sur l’importance d’entreprendre des travaux de réhabilitation et de maintenance afin que ces institutions répondent aux attentes de la population.

Dans le cadre de sa visite dans le gouvernorat de Kébili, la ministre a pris connaissance de l’état d’avancement des travaux dans plusieurs institutions culturelles de la région et a été informée des projets en cours de réalisation ou en suspens.

Ainsi, elle s’est rendue à la maison de la Culture Mohamed Ali Marzouki à Douz, où les travaux, sont quasiment achevés. Cette institution comprend un espace couvert et un autre à ciel ouvert pour les expositions, une salle multimédia, deux salles polyvalentes, ainsi qu’une salle de spectacles d’une capacité de 555 places.

Elle s’est également rendue au complexe culturel Ibn el-Haithem à Kébili, qui regroupe la maison de la culture et l’Institut régional de musique. Ce complexe dispose d’une salle de spectacles de 650 places et d’un étage supérieur pouvant accueillir 200 places, ainsi que sept autres salles destinées à un usage commun. Suite à l’arrêt des travaux de réhabilitation, après six appels d’offres non concluants en raison du désintérêt des entrepreneurs, la ministre a appelé les responsables régionaux et les parties concernées à accélérer les procédures administratives à travers notamment le recours à la procédure de négociation directe. Elle a, à cet égard, souligné l’importance de redoubler d’efforts afin de finaliser ces projets dans les délais impartis.

La ministre s’est rendue dans le cadre de sa visite à la médina de Kébili pour examiner les possibilités de son intégration dans un circuit touristique afin d’en faire une destination privilégiée pour le tournage de films. Elle a chargé les cadres régionaux du ministère de concevoir un projet global fixant les objectifs à court et à long terme et d’étudier les moyens de sa finalisation et de son financement.

Entreprises : Sanimed augmente son capital

26. Dezember 2024 um 11:42

Sanimed, société industrielle spécialisée dans la fabrication et la commercialisation d’articles sanitaire en céramique pour la cuisine et salles de bain, va augmenter son capital.

A cette fin, son conseil d’administration a convoqué, le 18 décembre 2024, les actionnaires de la société pour une assemblée générale extraordinaire.

Au cours de cette assemblée les questions suivantes ont été examinées :

-augmentation de capital en numéraire de 5,474 MDT. Cela inclut également une prime d’émission de 1,025 million de dinars. Cette opération s’effectuera par l’émission de 4 100 969 nouvelles actions, chacune ayant une valeur nominale de 1,335 dinar, accompagnée d’une prime d’émission de 0,250 dinar par action.

-Discussion  d’une augmentation du capital, notamment par la transformation de dettes en actions ainsi qu’en numéraire. Il s’agit d’un montant de 4,632MDT, avec une prime d’émission de 867 507 dinars. Ce montant sera obtenu par l’émission de 3 470 031 nouvelles actions, également à 1,335 dinar de valeur nominale, dans le cadre de la conversion de créances dues par la société Agrimed à Sanimed.

Selon les experts au cas où ces mesures seraient, définitivement, validées et adoptées, le capital social total de Sanimed atteindra 26,661MDT, répartis au sein de 19 971 000 actions nominatives, toujours à 1,335 dinar de valeur nominale chacune.

Pour les mêmes experts, ces mesures s’annoncent cruciales pour l’avenir financier de Sanimed,  et ce , en transformant les dettes en capital tout en ouvrant la voie à de nouvelles opportunités de développement.

Et pour ne rien oublier, depuis le 15 mai 2024, Sanimed, filiale du groupe Somocer propriété du groupe Abdennadher, est géré temporairement, par un mandataire judiciaire Sofia Gharbi. Le patron a des démêlés avec la justice.

ABS

Flambeau Olympique 2024 : Firas Kattoussi et Marwa Bouzayani sacrés meilleurs sportifs en Tunisie

26. Dezember 2024 um 11:13

Le Comité National Olympique Tunisien (CNOT) a décerné, ce mercredi soir, les Prix du Flambeau Olympique aux meilleurs sportifs de l’année 2024 lors d’une cérémonie organisée dans un hôtel de la capitale, en présence de nombreuses personnalités de la scène sportive nationale.

Le taekwondoiste Firas Kattoussi, et la coureuse Marwa Bouzayani, déjà sacrés mardi comme meilleurs sportifs de l’année 2024 par le référendum de l’agence “TAP”, ont reçu le Flambeau Olympique pour l’excellence sportive.

D’autres prix ont également été décernés par le CNOT à Khalil Jendoubi (taekwondo), Ahmed Jaouadi (natation), Aymen Bacha (haltérophilie) et Fares Ferjani (escrime).

Pour ce qui est du handisport, le Flambeau Olympique a été remis à Wajdi Boukhili chez les messieurs et Marwa chez les dames.

À cette occasion, plusieurs fédérations sportives ont été honorées pour leur mérite olympique national, notamment celles du taekwondo, d’athlétisme et d’escrime. Des centres de promotion sportive, des cadres sportifs dans diverses disciplines, ainsi que des associations de sport scolaire ont également été récompensés.

Kais Saïed appelle à des réformes législatives pour répondre aux attentes des Tunisiens

26. Dezember 2024 um 10:40

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, mercredi, au Palais de Carthage, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri.

A cette occasion, le chef de l’Etat a réitéré son appel à ce que les législations, toutes catégories confondues, répondent aux attentes légitimes du peuple tunisien.

Un tel édifice ne saurait être solide et pérenne que s’il repose sur de « nouvelles bases » et non sur « les vestiges du passé », a lancé le président Saïed, cité dans un communiqué

Dans ce contexte, le président de la République a plaidé en faveur de « nouvelles approches » permettant de faire face de manière radicale et catégorique aux défis qui s’imposent, notamment au double plan social et économique.

Tunisie : L’ARP débat des accords de financement avec Afreximbank et le FIDA

26. Dezember 2024 um 10:36

Le bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a décidé de soumettre deux projets de loi portant respectivement sur l’approbation de l’accord de financement et la validation de l’avenant modificatif à la convention de crédit conclue entre la Banque centrale de Tunisie (BCT) au profit de l’Etat tunisien et la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) à la séance plénière du 27 décembre courant.

Lors d’une réunion tenue en présence du président du Parlement, Ibrahim Bouderbala, le bureau a également examiné nombre de projets de loi et décidé à ce titre de les soumettre pour examen aux commissions concernées.

Plus tôt dans la journée, le bureau de l’ARP s’est penché sur l’examen du rapport de la commission des finances et du budget sur le projet de loi portant approbation de l’accord de financement conclu le 12 juillet 2024 entre la République tunisienne et le Fonds international de développement agricole (FIDA) relatif au cofinancement du projet intégré « DINAMO » pour la petite agriculture de montagne dans le nord-ouest n° 76/2024 ainsi que le rapport de la Commission des finances et du budget.

Il a également examiné le rapport de la commission des finances et du budget sur le projet de loi portant approbation de l’avenant modificatif à la convention de crédit conclue entre la BCT au nom et pour le compte de l’État tunisien et la Banque africaine d’import-export pour le financement du budget de l’État (83/2024).

Gestern — 25. Dezember 2024Haupt-Feeds

Ouissem Moalla et Jérémie Descamps : un duo créatif explore les méandres de l’espace urbain

25. Dezember 2024 um 17:45

Depuis 2023, le duo “Processus” porté par Ouissem Moalla, artiste plasticien-visuel et Jérémie Descamps, urbaniste et docteur en géographie, explore les représentations mentales de l’espace et du territoire, la mémoire collective des lieux, au travers des protocoles de recherche-création. Par le prisme des portes urbaines, ils sondent ensemble les notions de seuil, de passage, de frontière, ce qui les amènent à interroger celles du territoire.

En résidence à la Villa Salammbô de l’Institut Français de Tunisie (Sousse), depuis le 15 novembre 2024 ils ont lancé le projet “Impressions d’Espaces”, un travail hybride entre art et sciences humaines et sociales sur le dispositif de la porte urbaine, notamment à travers la flânerie. Leur centre d’intérêt : les portes urbaines de trois médinas tunisiennes.

Le résultat de leur travail, dévoilé le 21 décembre 2024 au grand public est un corpus artistique et scientifique composé d’inventaires et d’un recueil d’impressions par captations sonores.

Dans une interview accordée l’agence TAP, Ouissem Moalla et Jérémie Descamps parlent de leurs déambulations “Impressions d’Espaces”, des portes des médinas de Tunis, Sousse et Sfax et comment la recherche menée sur les villes tunisiennes a nourri l’idée d’un “Livre des Portes”.

Ouissem Moalla s’intéresse dans son œuvre aux questions de mémoire et puise dans la culture populaire, littéraire, les mythes, les grands textes avec en filigrane la question du langage. Cela se matérialise par des performances, installations et peintures où il questionne l’espace et son rapport avec les lieux.

Sinologue et urbaniste, Jérémie Descamps combine recherches en sciences humaines et sociales et pratique artistique pour exprimer son regard sensible sur l’espace.

Interview :

Qu’est-ce qui vous a inspiré tout d’abord à travailler sur le thème des portes et des seuils ?

A l’origine, nous développons une discussion informelle autour de philosophes que nous affectionnons, comme Pierre Sansot et Walter Benjamin, dont le point de convergence est peut-être l’évocation poétique de lieux, de seuils, de frontières visibles et invisibles qui font la ville, qui font de nous des urbains. Ce qui nous intéresse par rapport au dispositif de la porte urbaine comme angle d’interprétation des liens et ruptures qui s’opèrent dans la ville, c’est la méthode d’observation de la porte urbaine, la flânerie et le recueil d’impressions à vif et des projections qui émanent du lieu. L’incidence des portes sur l’évolution, le vécu et la perception d’une ville, à différentes périodes de l’histoire, est indéniable. Elles concentrent des flux continus, entrant, sortant, stagnant, piétinant, se prosternant, créant un sillage qui reste palpable par les routes qu’elles ont su tracer. Les portes sont des repères géographiques et symboliques qui ont imprégné la mémoire individuelle et collective un temps donné. C’est en cela que les portes urbaines et les lieux dont ils portent encore le nom sont des espaces de choix pour celui qui s’intéresse à différentes dimensions de l’espace. D’une part les dimensions liées à la mémoire, à l’imaginaire et aux mythes, d’autre part celles qui portent sur la géographie, l’occupation de l’espace et la notion d’urbanisme.

Pouvez-vous nous expliquer votre démarche art-science dans l’approche de l’espace urbain à travers les portes ?

Dans ce projet, nous nous nourrissons l’un et l’autre de nos références, construisons un propos théorique sur les portes qui puise dans l’urbanisme, la géographie, la philosophie, l’histoire, l’art, l’histoire de l’art, la sociologie ; nous faisons converger nos réflexions et méthodes, parfois opposées, pour tenter de faire émerger une forme “inédite”, cette “forme qui pense”, pour reprendre les mots de Godard. Parfois les rôles s’intervertissent, l’artiste alimentant le texte théorique et l’urbaniste envisageant la forme artistique, dans un flot d’échanges et de discussions continus, la plupart du temps informels. Mais là où nous nous retrouvons peut-être pleinement, c’est sur la pratique du terrain, la (re)connaissance du site observé, sur lequel nos aptitudes à récolter des données sensibles, infimes ou évidentes, se révèlent au grand jour.

Pourquoi avoir choisi les portes des médinas de Tunis, Sfax et Sousse comme terrains d’exploration pour ce projet ?

Parmi les villes modernes que nous avons étudiées dans le cadre de notre recherche, certaines villes tunisiennes se distinguent par la conservation de leurs portes urbaines et, pour certaines, leurs fonctionnalités en tant que seuil d’entrée dans la ville ancienne (Bled El ‘arbi). A travers ces portes, une autre lecture de la ville apparaît comme un sous-texte de l’urbanisme moderne qui s’est développé autour de la médina. C’est une histoire officielle et culturelle qui se raconte et dévoile la centralité de la Tunisie dans l’histoire mondiale à travers les conflits, les conquêtes, les migrations et les multiples colonisations. Chaque pouvoir bâtissant, creusant, détruisant et restaurant les seuils au gré de ses besoins. En effet, si l’on examine ces portes, nous percevons bel et bien le passage du temps : des pierres datant de l’antiquité pour l’une, des inscriptions laissées par les Arabes ou les Ottomans pour d’autres, ou encore des traces des restructurations urbaines de la modernité européenne.

En quoi les récits et les scènes de vie des habitants autour de ces portes enrichissent-ils la démarche de votre projet ?

Dans les encadrements de ces architectures, nous sommes effleurés par des passants. Un transporteur lourdement chargé acheminant des marchandises dans les ruelles sinueuses de la médina de Sfax depuis Bab El Jebli, un guide touristique traversant plusieurs fois par jour celle de Sousse pour faire visiter le Ribat et la Medresa Zakkak; à Tunis, deux chibanis flâneurs se rendant quotidiennement au café en traversant le marché des ferronniers par Bab El Jedid.
Et si l’on allait jusqu’à questionner un Sfaxien de passage par Bab El Diwan (Bab el Bhar, ou Porte de la Mer) sur sa relation à ce lieu, il répondrait “Le café de la Régence”; le marchand de poisson, lui, nous parlerait de la superposition des bandes colorées qui se forment dans le ciel à chaque aube, en attendant la livraison de sa marchandise au port; le vieillard évoquera sa course sur les toits des habitations de la médina longeant les fortifications, quand jadis, enfant, il logeait en son sein.
Ce sont ces ensembles d’images et de représentations, attachés aux lieux et à leur symbolique, qu’il s’agit de retranscrire visuellement – chimères que seul un travail artistique est à même de révéler.

Que révèlent justement ces images et représentations par rapport aux mutations urbanistiques à Tunis, Sfax et Sousse surtout que l’artiste comme vous dites a le pouvoir de décaler le regard, de renouveler l’observation de l’espace par des méthodes visuellement innovantes ?

Réponse : La richesse des données récoltées auprès de la population nous paraît des plus significatives vu les mutations urbanistiques que l’on peut déjà observer dans les villes tunisiennes. Si la médina de Sfax conserve un socle historique et sa vie populaire, celui-ci tend à se dégrader par manque d’entretien et les questions de sécurité se posent lorsqu’il s’agit d’évoquer sa pérennité dans le temps. Au nord, le patrimoine de Sousse a été sauvé par sa prédestination au tourisme et son classement à l’UNESCO, ce qui a permis sa restauration. Cependant, la médina est victime de ce tourisme et tend à devenir un paysage de carte postale dont les habitations et les commerces perdent peu à peu leur authenticité. Tandis que Tunis jouit d’une intégration réussie de sa médina dans un tissu urbain moderne et dont la vie continue d’alimenter la culture et l’imaginaire collectif. Ainsi, ces trois villes offrent un spectre suffisamment représentatif des différentes typologies et conditions des médinas tunisiennes.
La médina est symbolisée par ses portes, elles illustrent parfaitement les paradoxes de notre civilisation : symboles ambigus, elles sont à la fois des jonctions vitales et des dispositifs d’exclusion, révélant les contrastes entre le centre-ville et la périphérie, parfois en miroir inversé, et mettant en lumière des thèmes cruciaux comme la mobilité, l’inclusion et la diversité urbaine, culturelle…

Vous avez exploré des portes dans d’autres contextes, comme à Mulhouse. Quelles différences ou similitudes avez-vous constatées entre ces lieux et les médinas tunisiennes ?

Le cas de Mulhouse n’est comparable à aucune des villes tunisiennes sur lesquelles nous avons travaillé. Mulhouse est une ville qui a subi les conséquences de la première révolution industrielle européenne. Son tissu urbain a été maintes fois remodelé pour répondre aux nécessités fonctionnelles de l’industrie, sans accorder une grande attention à la notion de patrimoine, ce qui, dans la situation actuelle des villes tunisiennes, reste encore envisageable.
Cependant, dans le cas de Mulhouse, comme dans celui des médinas tunisiennes, l’imaginaire des habitants s’empare des portes de la ville et y attache des impressions fantasmées. Par exemple, la “Porte du Miroir” de Mulhouse donne son nom au quartier jouxtant l’ancienne fonderie de la Société alsacienne de constructions mécaniques, surnommée “la Cathédrale” en référence à sa dimension dantesque. En ce qui concerne les médinas tunisiennes, nous avons surtout été captivés par les histoires fantastiques entourant les sidi (marabouts), qui donnent leur nom à certaines portes des médinas ainsi qu’à de multiples ruelles où se trouvent leurs mausolées. C’est une tout autre géographie de la ville que nous découvrons au travers des “zaouïa”, avec les récits et les pratiques qui leur sont associés.
Toutes les villes du monde qui remontent au moyen-âge et même avant possédaient des limites physiques et en cela les villes Tunisiennes ne sont pas si différentes des villes européennes et même chinoises, elles étaient fermées et adoptaient des principes défensifs grâce à des murs d’enceinte. Au fil du temps, certaines murailles sont tombées, comme à Mulhouse et Tunis, d’autres sont restées, comme à Sfax et à Sousse.

Comment intégrez-vous les mythes et les mémoires collectives des lieux dans votre travail ?

Dans notre recherche, la notion de mythe est envisagée de manière large : elle englobe les mythes historiques présents dans l’imaginaire collectif des habitants de la médina, les mythes plus contemporains associés à des événements récents, ainsi que ceux que nous construisons nous-mêmes durant notre séjour. Nous puisons dans cette multitude de récits imaginaires recueillis auprès des habitants, que nous associons avec des observations sur le terrain, des extraits d’entretiens avec des spécialistes (par exemple l’historienne et architecte Leila Ammar ou le journaliste et écrivain Hatem Bourial), ainsi que des analyses linguistiques, pour aboutir à une œuvre sensorielle se matérialisant à travers divers médiums. Chaque œuvre représente le cheminement d’une pensée, pouvant naître d’une simple phrase prononcée par un habitant ou extraite d’un récit, dont l’écho s’amplifie tout au long de notre exploration autour des portes des médinas.

Votre résidence à la maison Salammbô se termine avec la restitution de l’ensemble de votre travail de recherche-création, pouvez-vous nous en dire plus?

La recherche s’écrit essentiellement par la création. Cette création passe par des œuvres qui se matérialisent dans l’espace, sous la forme d’une exposition. C’est ce que nous proposons comme restitution à l’atelier de la Villa Salammbô fin décembre.
L’exposition ouverte au grand public présente des documents de recherche, des installations artistiques visuelles, sonores et olfactives, ainsi que du contenu audio diffusé dans un espace dédié.

Envisagez-vous que cette exposition soit visible à Tunis et/ou à l’étranger ?
Nous souhaitons bien sûr que cette exposition puisse transiter dans d’autres espaces en Tunisie et à l’étranger. Nous travaillons actuellement sur la possibilité de présenter cette restitution à Tunis au courant de l’année 2025. Nous sommes par exemple en contact avec l’ENAU (Ecole Nationale d’Architecture et d’Urbanisme) pour préparer un workshop autour de l’exposition.

Quelle sera la prochaine étape d’Impressions d’Espaces ?
Le projet “Impressions d’Espaces” est voué à s’intéresser à différents modèles de villes dans le monde à travers le prisme singulier de la porte. La recherche menée sur les villes tunisiennes est précieuse et nous permet de nourrir ce projet d’établir un Livre des Portes, et d’établir des comparaisons avec d’autres modèles de villes dans le monde, par exemple les villes chinoises, romaines… et comment le dispositif de la porte revêt des fonctionnalités différentes selon les contextes culturels.

Pouvez-vous nous en dire davantage sur le “Livre des Portes” ?
Le “Livre des Portes” est un vaste corpus de recherches et de productions artistiques consacré à différentes villes du monde, prenant pour point de départ leurs portes d’entrée. Il propose une exploration à la fois sensible et érudite de la perception de l’espace urbain, en s’intéressant à l’imaginaire collectif, aux récits fondateurs des villes, aux dispositions géographiques et cosmologiques, ainsi qu’à leur évolution au fil du temps et leur situation contemporaine. Ce projet est destiné à se matérialiser sous la forme d’un site internet, afin de diffuser la recherche en cours, et en édition physique lorsque nous aurons rassemblé suffisamment de contenu.

Raoua Tlili : une 8e consécration au référendum TAP, l’héroïne paralympique continue de briller

25. Dezember 2024 um 17:36

La championne olympique et paralympique, Raoua Tlili, s’est dite fière d’être sacrée une fois encore, meilleure para-athlète tunisienne pour l’année 2024 par le référendum sportif annuel de l’Agence Tunis-Afrique Presse (TAP).

Tlili a accaparé ce titre au fil des éditions (8) depuis l’intégration de la catégorie de meilleure athlète paralympique en 2016 par le référendum de la TAP.

Dans une déclaration faite mercredi à l’Agence TAP, Raoua Tlili a fait savoir que, malgré son âge relativement avancé, la préservation d’une bonne condition physique était son principal souci, se disant très reconnaissante à tous ceux qui ont cru en ses capacités.

Pour elle, cette nouvelle consécration n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat des sacrifices, des efforts consentis et se détermination à briller lors des grandes échéances internationales pour faire honneur au drapeau national.

Elle a, dans ce sens, assuré avoir disputé les derniers championnats du monde de Kobe, au Japon, en mai dernier, en étant blessé et sujette à plusieurs problèmes de santé, mais parvenue, tout de même, à décrocher deux médailles (l’or au lancer du poids et l’argent au disque).

“J’ai ignoré les consignes de mon médecin et préféré disputer les championnats du monde de Kobe pour honorer le drapeau national, tout en appréhendant un éventuel échec”, a-t-elle confiée avec une voix chargée d’émotions.

Raoua Tlili a, par ailleurs, exhorté la nouvelle génération d’athlètes paralympiques tunisiens à l’importance de “se dévouer au travail”, de “persévérer” et à éviter “l’excès de confiance” ainsi que “l’arrogance” afin de réaliser leurs rêves, tout en gravant leurs noms en lettres d’or dans le monde du sport.

Elle a conclu en affirmant qu’elle poursuivra sa carrière avec le même enthousiasme et la même passion, précisant qu’elle sera confrontée l’année prochaine à de nombreux défis importants, notamment les championnats du monde en Inde, ainsi que les Grand Prix aux Émirats arabes unis et en France.

Raoua Tlili, 35 ans, et originaire de la ville de Gafsa, est perçue comme une légende vivante dans sa discipline, grâce à ses exploits et ses records établis aussi bien lors des Championnats du monde que des Jeux paralympiques.

Cette année, elle a remporté plusieurs médailles, dont l’or au lancer de poids et l’argent au lancer de disque aux Championnats du monde de Kobe, les deux breloques d’or dans les mêmes spécialités lors de la 17e édition des Jeux paralympiques (Paris 2024).

Raoua Tlili a, rappelle-t-on, été élue meilleure athlète paralympique tunisienne de l’année 2024 lors du référendum annuel de la TAP en obtenant 452 points. Marwa Brahmi est arrivée en deuxième position avec 384 points, tandis que Raja Jabali a terminé troisième avec 267 points.

Sousse : lancement imminent de la société régionale de transport “Abou Jaâfar Al Arbassi”

25. Dezember 2024 um 17:21

Une réunion de travail a été tenue au siège du gouvernorat de Sousse, pour assurer le suivi de la création de la société communautaire régionale baptisée “Abou Jaafar Al Arbassi pour les services de transport à Sousse”.

Ont assisté à cette réunion, tenue hier mardi dans la soirée, les délégués de Sousse-Jawhara, Msaken, Sidi Bou Ali, Hammam Sousse, Kondar, et Enfidha, un représentant de la société TAV-Tunisie, ainsi que les directeurs régionaux de transport, des domaines de l’État et des affaires foncières.

Au cours de cette session supervisée par le gouverneur de Sousse, Sofiane Tanfouri, une présentation de ladite société a effectuée, suivie d’un débat sur les mesures à mettre en œuvre pour surmonter les difficultés administratives et techniques qui entravent son lancement.

Le gouverneur a appelé toutes les directions concernées à faciliter les procédures liées à la création de ladite société, tout en veillant à la mise à disposition des conditions appropriées pour garantir son succès et sa pérennité, de manière à assurer sa contribution dans l’amélioration des services de transport dans la région.

La société communautaire régionale “Abou Jaâfar Al Arbassi pour les services de transport à Sousse” vise à promouvoir la qualité des services de transport et à développer les infrastructures de transport dans le gouvernorat de Sousse, conformément aux besoins des citoyens et des exigences du développement socioéconomique.

 

Bourse de Tunis: Le Tunindex clôture la séance de mercredi dans le vert

25. Dezember 2024 um 17:13

Le marché Boursier a retrouvé des couleurs au terme de la séance de mercerdi. L’indice Tunindex a progressé de 0,13 % à 9897,51 points, portant sa performance annuelle à +13,11 %, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, “Tunisie Valeurs”.

La séance a été marquée par une accélération du rythme des échanges, cumulant une enveloppe de 11,1 MD. Les volumes ont profité de la réalisation de trois transactions de bloc, portant sur les titres MAGASIN GENERAL (pour 3,3 MD), TPR (pour 3 MD) et SOTUVER (pour 2 MD).

Le titre OFFICEPLAST s’est hissé en tête de peloton avec une progression de 4,4 % à 1,410 D. Sur la séance, la valeur a amassé un flux limité de 34 mille dinars.

Le titre SPDIT-SICAF a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action de la société d’investissement adossée au groupe SFBT a inscrit une avancée de 3,9 % à 11,900 D, dans un volume réduit de 11 mille dinars.

Le titre TELNET HOLDING poursuit sa descente, affichant la baisse la plus prononcée de la séance (-3,5 % à 6,100 D). L’action a brassé des échanges de 73 mille dinars sur la séance.

Le titre ONE TECH HOLDING a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action de l’exportateur national spécialisé dans la câblerie, la mécatronique et les télécoms s’est délestée de 1,2 % à 9,190 D notant que la valeur a été transigée à hauteur de 80 mille dinars sur la séance.

MAGASIN GENERAL a été la valeur la plus dynamique de la séance. L’action a marqué une pause à 7,320 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 3,3 MD.

Cours d’arabe pour Tunisiens à l’étranger : inscrivez-vous à la session 2025 avec l’OTE et l’IBLV

25. Dezember 2024 um 16:01

L’Office des Tunisiens à l’étranger (OTE) organise, au cours de la période allant du 10 janvier au le 21 mars 2025, la deuxième session d’apprentissage de la langue arabe au titre de l’année universitaire 2024-2025 au profit des étudiants et des non- étudiants tunisiens résidant à l’étranger, en partenariat avec l’Institut Bourguiba des langues vivantes (BILV).

Les personnes souhaitant participer à ce programme, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des programmes culturels et éducatifs au profit des nouvelles générations de migrants, doivent procéder à une première inscription sur le site web des langues vivantes Bourguiba www.iblv.rnu.tn, selon un communiqué publié mardi par l’OTE.

L’OTE prend en charge 70 pc des frais de scolarité, tandis que le participant s’engage à verser les 30 pc restants à la trésorerie de l’Office au début de la session et après avoir reçu l’approbation, selon le même communiqué.

Les postulants à ce programme peuvent présenter une copie de ce document accompagnée d’une demande de participation au nom du Directeur général de l’OTE, d’une copie du passeport tunisien ou étranger ou de la carte consulaire, d’une photo et de la déclaration d’engagement ainsi que de la fiche de renseignement.

Nouveaux services hospitaliers dotés de vocation universitaire : les régions concernées

25. Dezember 2024 um 15:54

La vocation universitaire a été attribuée mardi, à plusieurs services dans les hôpitaux régionaux de Ksar Hellal, de Moknine (gouvernorat de Monastir) de Menzel Bourguiba (gouvernorat de Bizerte) et dans les hôpitaux régionaux de Sidi Bouzid et de Tozeur, en vertu d’arrêtés conjoints entre les ministres de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et de la Santé, datés du 19 décembre 2024 et publiées dans le JORT numéro 155.

Ces arrêtés conjoints ont attribué la vocation d’universitaire aux services de chirurgie générale, d’anesthésie et de réanimation, et de médecine dentaire de l’hôpital régional de Ksar Hellal, ainsi qu’aux services de médecine interne et de médecine dentaire de l’hôpital régional de Moknine.

La vocation universitaire a été également attribuée au service d’ophtalmologie de l’hôpital régional de Menzel Bourguiba et aux services de chirurgie orthopédique et de gynécologie- obstétrique de l’hôpital régional de Sidi Bouzid et au service d’ophtalmologie de l’hôpital régional de Tozeur.

Journée du lavage des mains : un geste simple, une protection efficace

25. Dezember 2024 um 15:38

Le lavage régulier des mains réduit de 50 % la transmission de nombreuses maladies et des pandémies, a déclaré mercredi le directeur général au sein de la direction de l’hygiène du milieu et de la protection de l’environnement au ministère de la Santé Samir Ouerghemmi, au cours d’une manifestation de sensibilisation organisée à la Cité des sciences à Tunis ayant pour thème “l’importance du lavage des mains en milieu communautaire pour la protection de la santé en général”.

Ouerghemmi a précisé au cours de cette manifestation, qui a été organisée dans le cadre de la célébration de la 11e Journée du lavage des mains en milieu communautaire, qu’un grand nombre de maladies peuvent être évitées grâce au lavage des mains, dont les maladies respiratoires, telles que la grippe et le coronavirus, les maladies gastro-intestinales et les infections cutanées, rappelant que le lavage des mains a été l’un des protocoles les plus efficaces pour limiter la propagation du coronavirus.

Ouerghemmi a indiqué que le ministère de la santé a décidé cette année d’organiser la Journée nationale du lavage des mains en même temps que les vacances scolaires d’hiver, alors que la célébration de cette journée en Tunisie correspond au 15 octobre de chaque année.

“L’objectif étant, a-t-il dit de cibler un plus grand nombre d’enfants et d’étudiants et de les inciter à se laver les mains à l’intérieur des établissements éducatifs et dans les foyers scolaires.

La stratégie nationale de promotion du lavage des mains en milieu communautaire repose sur cinq piliers principaux : la sensibilisation, la formation, la mobilisation des ressources, l’évaluation et le partenariat, selon la même source.

Zaghouan : Allocation de 2,1 MD pour la réalisation de trois projets d’infrastructure à El Fahs

25. Dezember 2024 um 14:43

La municipalité d’El Fahs, dans le gouvernorat de Zaghouan prévoit la mise en œuvre de trois projets d’infrastructure d’une valeur totale de 2,1 millions de dinars en milieu urbain et dans des zones d’expansion.

Le secrétaire général de la municipalité, Abderrazek Marouani, a indiqué à l’Agence TAP que le premier projet concerne l’asphaltage de chaussées dans des zones urbaines telles que les Cités d’Ennasr et 20 mars, et dans des zones d’expansion dont Oued El Khadra et la route d’Ouled Farhan.

Il a ajouté que les deux autres projets portent, respectivement, sur l’extension du palais municipal (600 mille dinars) et l’embellissement des entrées de la ville d’El Fahs, notant que le démarrage des travaux est prévu au premier trimestre de l’année 2025.

Par ailleurs, Marouani a fait savoir que les travaux d’aménagement de l’Avenue de l’Environnement (200 mille dinars) ont atteint un taux d’avancement de 90%.

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