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La Banque européenne d’investissement, l’Union européenne et l’UBCI s’unissent pour accélérer l’internationalisation des PME régionales

29. Mai 2025 um 15:35

Tunis, le 29 mai 2025 – Le premier roadshow co-organisé par l’UBCI, la Banque européenne d’investissement (BEI) et soutenu par l’Union européenne, sous l’intitulé Invest and Export Solutions, s’achève aujourd’hui, après avoir parcouru les 4 principales villes économiques du pays. Cette étape finale marque l’aboutissement d’une collaboration inédite entre une banque tunisienne de référence, l’UBCI, et la BEI, en faveur des Petites et Moyennes Entreprises (PME) actives sur l’ensemble du territoire tunisien.

L’objectif : aller directement à la rencontre d’entrepreneur.e.s dans leurs régions afin de leur proposer des solutions concrètes de financement, des outils pour améliorer leur compétitivité internationale, et un accompagnement personnalisé visant à renforcer leur intégration dans les chaînes de valeur exportatrices spécifiques à chaque région.

Les bénéfices du programme pour les PME tunisiennes

Ce roadshow s’inscrit dans le cadre du Trade and Competitiveness Programme (TCP) et, plus largement, des financements mis à disposition par la BEI et l’Union européenne pour soutenir le Plan de relance économique de la Tunisie. Il s’agit ici d’accompagner le développement international des PME tunisiennes tout en renforçant les relations commerciales entre la Tunisie et l’UE.

Le TCP prévoit un dispositif de financement destiné aux entreprises des secteurs directement liés au renforcement des chaînes de valeur à l’export (l’agroalimentaire, l’automobile ou encore le textile). Il est également assorti de garanties pour couvrir le risque des institutions financières prêtes à jouer le jeu de canaliser l’octroi de leurs prêts vers des projets générateurs d’impacts sociaux ou environnementaux.

Un accompagnement au plus près des entrepreneur.e.s dans les régions

Cette semaine, le roadshow, Invest and Export Solutions, a maillé le territoire tunisien, de Sfax à Tunis en passant par Sousse et Hammamet, afin de répondre aux besoins spécifiques des entrepreneur.e.s locaux de ces régions.

Cette initiative a permis de présenter des solutions de financement et d’accompagnement sur mesure, en valorisant les atouts sectoriels de chaque région. Elle a renforcé les synergies entre entrepreneurs, acteurs économiques, institutions et investisseurs. Un accent particulier a été mis sur l’intégration de pratiques durables, telles que la décarbonation et la conformité au Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières (MACF), pour préparer les entreprises aux exigences environnementales européennes.

Dans le cadre des préparatifs de cette tournée en régions, l’équipe d’assistance technique de la BEI a livré au préalable une série de formations pour quelque 100 chargé.e.s d’affaires et directeurs.trices d’agence de l’UBCI. Ces sessions visent à orienter les stratégies d’affaires de leur clientèle PME vers l’exportation, tout en intégrant les enjeux environnementaux.

“À travers cette initiative, l’UBCI démontre une nouvelle fois son engagement envers l’économie tunisienne en aidant les PME locales à se doter des moyens financiers et techniques nécessaires pour accéder aux marchés internationaux”, a souligné Mohamed Koubaa, Directeur Général de l’UBCI. Et d’ajouter: “Clôturer ce roadshow à Tunis, après des étapes dans trois autres régions économiques clés du pays, illustre notre volonté d’aller à la rencontre de nos clients, là où ils opèrent, avec des solutions qui répondent précisément à leurs besoins.”

Jean-Luc Revéreault, Représentant de la BEI en Tunisie a déclaré: “La BEI soutient activement les PME tunisiennes dans leur transition vers des modèles plus compétitifs, durables et tournés vers l’export. À travers le Trade & Competitiveness Programme, nous leur apportons des financements adaptés et un accompagnement technique de proximité pour s’insérer durablement dans les chaînes de valeur exportatrices. En allant à la rencontre des entrepreneurs, ce roadshow illustre cet engagement pour proposer des solutions concrètes adaptées aux réalités de chaque région.”

Marco Stella, chef de section développement économique de l’Union européenne a déclaré: Les PME sont le moteur de la création d’emplois en Tunisie, notamment pour les jeunes et les femmes. C’est pourquoi l’Union européenne accorde une importance capitale à leur accompagnement. À travers ce projet Invest and Export Solutions, nous sommes fiers de soutenir des initiatives concrètes qui renforcent l’internationalisation et la compétitivité des entreprises tunisiennes. Nous saluons particulièrement l’approche régionale de cette initiative, en ligne avec notre engagement à soutenir l’économie réelle au plus près des territoires, en particulier dans les régions qui ont eu jusqu’ici moins d’opportunités de réaliser pleinement leur potentiel.

A propos de :

L’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI)

Née en 1961, l’UBCI dispose aujourd’hui d’un réseau de 102 Agences et 117 GABs opérant au cœur même des principaux centres économiques de la Tunisie. L’UBCI offre une large gamme de produits et de services à l’attention de sa Clientèle de Particuliers et de Professionnels couvrant leurs différents univers de besoins en matière de banque au quotidien, de financement de projets, de bancassurance et de gestion patrimoniale. Au service également de ses Clients Entreprises et Institutionnels, l’UBCI se démarque notamment par le biais de ses équipes spécialisées dans les domaines du cash management, des activités de marchés, de la banque d’affaires, du commerce international, de l’ingénierie financière, du leasing et du factoring. Certifiée ISO 9001 pour ses activités à l’International depuis 2002 et pour ses activités monétiques depuis 2012. L’UBCI est aussi la première banque en Tunisie ayant obtenu en 2022 le label engagé RSE décerné par AFNOR Certification grâce à sa démarche RSE ancrée depuis 2012.

Pour plus d’information : www.ubci.tn

 La Banque européenne d’investissement (BEI)

La BEI est un partenaire privilégié de la Tunisie depuis plus de 40 ans. La BEI finance le développement et la mise en œuvre de projets clés dans des secteurs essentiels de l’économie tunisienne tels que le soutien aux entreprises, l’agriculture, l’eau et l’assainissement, l’éducation, la santé, le transport ou encore les énergies renouvelables.

BEI Monde, la branche spécialisée du Groupe BEI, cherche à accroître l’impact des partenariats internationaux et du financement du développement.  BEI Monde vise à favoriser un partenariat plus fort et plus ciblé avec l’Équipe Europe, aux côtés d’autres institutions de financement du développement et de la société civile. BEI Monde rapproche le Groupe des populations, des entreprises et des institutions locales au travers de nos bureaux répartis dans le monde.

 

Facebook/BEIenTunisie

 

L’Union européenne

L’Union européenne est une union économique et politique de 27 pays européens. Elle est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, d’État de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités. Elle agit à l’échelle mondiale pour promouvoir le développement durable des sociétés, de l’environnement et des économies, afin que chacun puisse en bénéficier.

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Journée des Casques bleus : la Tunisie réaffirme son engagement pour la paix mondiale

29. Mai 2025 um 15:17

La Tunisie célèbre, jeudi, en toute fierté et déférence, la Journée internationale des Casques bleus, en hommage à celles et ceux qui ont dédié leur vie au service de la paix et de la sécurité internationales, lit-on dans une déclaration publiée par le ministère des Affaires étrangères.

Une journée pour mettre en exergue les sacrifices des femmes et des hommes ayant servi sous l’égide des Nations Unies dans des zones de conflit et leur engagement pour un monde plus sûr et plus stable.

Cette célébration constitue pour la Tunisie une occasion renouvelée de réaffirmer son engagement indéfectible envers les principes de la Charte des Nations Unies, dont, notamment, la préservation de la paix et de la sécurité internationales. Et d’ajouter que le pays a fait de sa participation aux opérations de maintien de la paix, la pierre angulaire de sa politique étrangère depuis l’indépendance.

Dès les premières années de son indépendance, et malgré la création récente de son armée nationale, la Tunisie a été parmi les premiers pays à adhérer aux missions de maintien de la paix de l’ONU, et n’a cessé, dès lors, d’honorer son devoir humanitaire.

Aujourd’hui, elle participe à quatre missions de maintien de la paix, en y déployant des femmes et des hommes, reflétant ainsi la confiance de la communauté internationale dans la compétence, la discipline et l’engagement des contingents tunisiens envers les valeurs fondatrices des Nations Unies.

La Tunisie exprime également sa fierté quant au rôle croissant que joue la femme tunisienne dans les opérations de maintien de la paix, conformément à ses engagements internationaux, notamment dans le cadre de la mise en œuvre de la résolution 1325 du Conseil de Sécurité sur les femmes, la paix et la sécurité.

Elle accorde une attention particulière au renforcement de la participation des femmes dans les missions onusiennes, qu’il s’agisse des domaines sécuritaire, médical ou juridique, contribuant ainsi à une approche globale, inclusive et humaine du maintien de la paix.

Tout en rendant hommage à la mémoire de celles et ceux qui ont sacrifié leur vie pour la paix, et en renouvelant sa solidarité avec leurs familles et leurs proches, la Tunisie réaffirme son plein soutien à toutes les initiatives visant à renforcer l’efficacité et la crédibilité des opérations de maintien de la paix, en misant sur la prévention, l’appui à des solutions politiques durables et le respect de la souveraineté des États.

À cette occasion, la Tunisie réitère son appel en faveur d’un renforcement de la solidarité internationale dans ce domaine et souligne la nécessité de mobiliser les ressources indispensables aux missions de maintien de la paix afin de leur permettre de continuer à remplir pleinement leurs mandats, incarnant, ainsi, leur noble mission au service de l’humanité.

 

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Banque mondiale : 125 millions de dollars pour améliorer l’accès aux soins en Tunisie

29. Mai 2025 um 15:05

Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé hier mercredi un financement de 125,16 millions de dollars, incluant une subvention de 17,16 millions de dollars du Fonds de lutte contre les pandémies, pour soutenir le Projet de renforcement du système de santé en Tunisie.

Cette initiative vise à améliorer l’accès à des services de santé résilients, de haute qualité et réactifs sur l’ensemble du territoire tunisien, selon un communiqué de la Banque mondiale.

Le projet ambitionne d’améliorer le niveau de préparation nationale face aux pandémies et aux soins d’urgence, de moderniser les services de soins de santé primaires, et de renforcer la gouvernance et la digitalisation du système de santé publique. Il s’inscrit dans le cadre de la politique nationale de santé tunisienne, axée sur l’amélioration de l’accès aux soins et la priorisation des services préventifs.

L’initiative s’articule autour de trois composantes interconnectées. La première vise le développement d’approches “Une seule santé” avec amélioration des infrastructures des laboratoires et de la santé publique pour assurer une surveillance continue et une intervention rapide. La deuxième composante porte sur la réorganisation des services de santé communautaires via le renforcement de la médecine familiale, l’adaptation des capacités des structures aux besoins, et l’extension de la télémédecine et des dossiers médicaux électroniques. La troisième composante concerne l’amélioration des soins urgents et de l’infrastructure hospitalière, notamment par la modernisation des flottes d’ambulances, la mise en place de systèmes de géolocalisation, et l’optimisation du triage des patients.

Le projet cible l’ensemble de la population tunisienne en améliorant l’accessibilité aux soins intensifs, aux services d’urgence et aux interventions hospitalières. Il bénéficiera directement aux professionnels de santé en première ligne en renforçant leur formation en surveillance des maladies, épidémiologie de terrain et systèmes numériques.

Selon Alexandre Arrobbio, chef du bureau de la Banque mondiale en Tunisie, ce projet s’appuie sur un partenariat solide qui a donné des résultats significatifs durant la crise du COVID-19. Il sera réalisé en étroite collaboration avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Yassine Kalboussi, expert en santé à la Banque mondiale et chef de l’équipe du projet, a souligné que cette initiative contribuera à la transformation technologique et structurelle du système de santé, particulièrement dans les régions mal desservies.

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Tunisie : le cash domine après la réforme des chèques, selon une enquête de l’IACE

29. Mai 2025 um 14:50

Depuis la mise en application de la nouvelle réglementation sur les chèques, l’espèce reste le mode de paiement privilégié des Tunisiens, avec un pourcentage de 47%, c’est ce qui ressort d’une enquête publiée le 27 mai courant, par l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises (IACE).

Les virements et lettres de change occupent la deuxième place (16% chacun), indique l’IACE dans son enquête dédiée à l’évaluation de la nouvelle réglementation des chèques auprès des consommateurs.

Menée un mois après l’entrée en vigueur de la réforme (2 février 2025), auprès de 1100 utilisateurs réguliers de chèques majoritairement âgés de 30 à 50 ans, avec une prédominance de revenus situés entre 1000 et 3000 dinars (61%), l’enquête a mis en lumière le faible recours au nouveau chèque (7%).

Selon l’IACE, ce constat souligne le besoin d’accompagnement pédagogique, de simplification des procédures, voire d’incitations concrètes pour favoriser l’adoption du nouveau système de chèque.

Il révèle, également, un temps d’adaptation incompressible entre le changement réglementaire et sa réelle appropriation par les usagers. Enfin, la quasi-inexistence de la domiciliation (0,4%) dans les réponses suggère une absence de culture de l’automatisation des paiements, alors même que ces derniers offrent des avantages en termes de régularité et de traçabilité.

Avant la mise en application de la nouvelle réglementation sur les chèques, les paiements scripturaux étaient dominés par le virement bancaire, suivi du chèque, puis du prélèvement automatique et enfin de la lettre de change.

Selon les résultats de l’enquête, le classement des paiements scripturaux s’est inversé aujourd’hui. Ainsi, les lettres de change et les virements (16%) partagent, désormais, la première place, devant la carte bancaire (14%), le nouveau chèque (7%) et la domiciliation (0,4%). Pour l’IACE, ce changement témoigne d’un bouleversement des habitudes de paiement scriptural suite à la réforme.

Par ailleurs, la part relativement élevée des virements et effets de commerce suggère que, dans les milieux professionnels, des mécanismes de substitution au chèque ont été intégrés, souvent par nécessité.

S’agissant de difficultés rencontrées par les consommateurs depuis l’introduction de la nouvelle réglementation encadrant l’usage des chèques, une part significative des répondants déclare avoir rencontré des difficultés pour effectuer certains paiements.

Ainsi, 47% des personnes interrogées indiquent qu’elles ont rencontrées « parfois » des difficultés. Seuls 27% déclarent n’en avoir jamais rencontré, dans ce contexte.

Ces chiffres montrent que, bien que la réforme soit récente, elle a déjà un impact tangible sur les habitudes de consommation et la fluidité des transactions, estime l’Institut.

29% des consommateurs ont renoncé ou reporté un achat prévu depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi 

Au-delà des choix de moyens de paiement, l’enquête a, également, porté sur l’impact de la nouvelle réglementation sur les intentions d’achat des consommateurs ainsi que sur l’évolution des prix des produits particulièrement sensibles à l’achat par chèque.

L’objectif était de comprendre si la mise en place de la nouvelle réglementation avait eu pour effet de freiner certains actes de consommation, notamment dans les cas où les chèques étaient auparavant utilisés pour faciliter ou planifier des achats.

Il en ressort qu’une part significative des répondants, soit 29%, souligne avoir renoncé ou reporté un achat prévu depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi.

L’IACE estime que ce chiffre traduit « un effet dissuasif non négligeable », possiblement lié à l’incertitude ou à la complexité perçue des nouvelles modalités d’utilisation du chèque.

L’analyse croisée des données révèle que la réforme, bien qu’uniforme dans son application, produit des effets différenciés selon les niveaux de revenu, affectant particulièrement les classes moyennes dépendantes des paiements à crédit. En fait, 88% des consommateurs aux revenus moyens (1000–3000 D), ont renoncé à un achat, révélant leur forte dépendance au chèque comme moyen de paiement différé.

À l’inverse, les autres tranches de revenu semblent moins affectées, bien que les plus aisés (43%) expriment, aussi, une certaine réticence, probablement liée à des changements dans les pratiques commerciales. Cette évolution risque d’impacter directement des secteurs clés tels que l’électroménager, l’ameublement ou la santé, historiquement soutenus par la souplesse du paiement par chèque, un levier qui contribuait à maintenir la dynamique de la demande.

En effet, lorsqu’il s’agit d’achats à montant élevé (ameublement, électroménager, voyage, soins…), seuls 21% des sondés déclarent avoir réalisé ce type d’achat au cours du mois écoulé. Plus de 50% d’entre eux ont eu recours au paiement en espèces, ce qui confirme encore une fois, la prédominance du cash, même pour des montants importants.

Interrogés sur leurs références en matière de paiements futurs, 58% des répondants déclarent opter pour les paiements par téléphone mobile. Vient ensuite la carte à débit différé (34%), perçue comme un bon compromis entre maîtrise budgétaire et souplesse dans les paiements. Enfin, 2% des sondés veulent revenir à l’ancien chèque.

Selon l’IACE, cette enquête révèle une transition «rapide» mais « contrastée » des habitudes de paiement. « Si une majorité de consommateurs semble s’adapter en recourant à des solutions alternatives, une partie de la population éprouve des difficultés d’adaptation, voire manifeste un désengagement économique temporaire, révélateur d’un risque d’exclusion financière ».

Il a, dans ce contexte, mis l’accent sur l’importance de réviser la réglementation encadrant les moyens de paiement de substitution, en tenant compte des évolutions technologiques et des standards internationaux. L’Institut a, aussi, souligné l’impératif d’accompagner toute réforme par des mesures d’inclusion numérique, des campagnes pédagogiques ciblées et des dispositifs transitoires adaptés, pour garantir une adoption équitable et éviter l’exclusion de publics fragiles.

“Il est essentiel d’assurer un suivi continu de l’évolution des usages, afin d’évaluer à moyen et long termes les effets de cette transformation réglementaire sur l’économie et la société”, a conclu l’IACE.

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CETTEX et CERTE inventent un procédé écolo pour le traitement des eaux usées textiles

29. Mai 2025 um 13:43

Le Centre Technique du Textile (CETTEX), le Centre de Recherches et des Technologies des Eaux (CERTE) et l’entreprise industrielle textile ont mené un projet de recherche, de développement et d’innovation qui a abouti à une invention majeure. Il s’agit d’un procédé de traitement électrochimique hybride et recyclage intégral des eaux usées du secteur textile.

D’après un communiqué, publié jeudi, par le Cettex, ce procédé innovant se distingue par son efficacité sans ajout de produits chimiques, par l’absence de sous-produits nécessitant un traitement additionnel, et par une performance de dépollution remarquable.

L’objectif de cette innovation consiste à transformer un flux polluant en une ressource précieuse pour l’industrie. Selon le CETTEX, il s’agit d’une “avancée significative pour la durabilité et l’innovation dans le secteur textile (moins polluante, économe en eau et respectueuse de l’environnement). Le Centre a annoncé avoir obtenu avec le CERTE, un brevet en copropriété pour cette invention, offrant une solution concrète pour la réutilisation des eaux usées dans le processus de teinture.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 29 Mai 2025

29. Mai 2025 um 13:18

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.975 3.027
Euro EUR 1 3.343 3.414
Yen Japonais JPY 1000 20.240 21.003
Livre Sterling GBP 13 3.962 4.111
Franc Suisse CHF 10 35.274 36.789

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USIOOC 2025 : la Tunisie décroche 75 médailles et la première place mondiale à Miami

29. Mai 2025 um 13:04

La Tunisie a remporté la première place mondiale de la compétition internationale des huiles d’olive extra vierges des États-Unis, «United States International Olive Oil Competition – USIOOC », qui se tient du 27 au 30 mai courant, à Miami.

Elle a, ainsi, raflé 55 médailles d’or dans la catégorie qualité, 3 médailles d’argent dans cette même catégorie, ainsi que 17 médailles d’or dans la catégorie santé.

Quelque 14 pays dont la Tunisie, l’Espagne, l’Italie, la Turquie, l’Algérie, l’Arabie Saoudite, la Jordanie, le Portugal et la Libye, représentés par environ 140 entreprises, ont participé à ce concours supervisé un jury composé de 12 experts internationaux.
Cette compétition est organisée par le groupe suédois GIOOC, spécialisé dans l’organisation de compétitions internationales de l’huile d’olive vierge extra, dirigé par l’ingénieur tunisien, Raouf Chouket.

Le GIOOC organise chaque année, quatre grandes compétitions internationales d’huile d’olive extra vierge, à savoir: «The Global Olive Oil Competitions» à Abu Dhabi, « The European International Olive Oil Competition » (EIOOC) en Suisse, « The Scandinavition International Olive Oil Competition » (SIOOC) à Stockholm « The United States International Olive Oil Competition (USIOOC) à Miami.

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Tunisie à Toulouse : une semaine festive entre traditions, musique et découvertes culinaires

29. Mai 2025 um 12:55

La septième édition des Journées culturelles et économiques tunisiennes se tiendra du vendredi 30 mai au mercredi 4 juin 2025 sur les Ramblas, allées Jean-Jaurès, en plein cœur de Toulouse. Organisé par le Consulat de Tunisie à Toulouse, en partenariat avec la Mairie de Toulouse et l’association JCETT, cet événement est devenu au fil des années comme un rendez-vous incontournable célébrant la richesse et la diversité de la culture et du patrimoine tunisiens.

L’édition 2025 mettra à l’honneur l’un des fleurons de la production agricole tunisienne : l’huile d’olive, reconnue mondialement pour sa qualité exceptionnelle. Autour de ce produit vedette, un programme éclectique viendra animer le village tunisien : concerts en plein air, spectacles d’animation, projections de films, expositions d’artisanat, ateliers pour petits et grands et des rencontres culturelles et économiques.

La gastronomie tunisienne sera en effet au menu de cette immersion vivante au cœur de la culture tunisienne avec une farandole de mets typiques qui raviront les papilles des visiteurs.

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Incendie à l’usine TIFERT de Skhira : la ministre de l’Industrie annonce l’ouverture d’une enquête

29. Mai 2025 um 11:22

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub, s’est engagée à ouvrir une enquête concernant l’incendie qui s’est déclaré, mercredi matin, dans l’unité de réfrigération de la Société Tuniso-Indienne des Engrais (TIFERT), située dans la délégation de Skhira(gouvernorat de Sfax).

La ministre s’est rendue sur les lieux de l’incendie, survenu à 10h44, pour constater les dégâts et s’enquérir de l’état de santé des employés et cadres de la société, selon un communiqué publié mercredi, par le département de l’Industrie.

Accompagnée du Gouverneur de la région, Mohamed El Hajri, la ministre a salué les efforts des équipes techniques de la société TIFERT, qui ont su réagir rapidement et efficacement, ce qui a permis d’éviter la propagation du feu et faciliter l’intervention de la protection civile qui a maîtrisé totalement l’incendie à 11h30.

Le département de l’industrie a affirmé son engagement à assurer la sécurité des travailleurs ainsi que la protection des différentes unités de production et équipements tout en appelant toutes les parties à respecter les mesures de sécurité et de prévention des incendies et à renforcer les systèmes de prévention.

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Tunisie : l’ARP entame l’examen de la réforme du Code pénal

29. Mai 2025 um 11:15

La commission de législation générale au sein de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a examiné une version unifiée des deux projets de loi modifiant certaines dispositions du Code pénal, en présence des députés initiateurs des deux propositions.

Selon un communiqué de l’ARP, des députés ont soumis des propositions visant à modifier la version initiale des deux projets de loi.

La commission a examiné les projets en sollicitant la contribution d’experts dans le cadre d’ateliers de travail.

Les députés ont souligné l’importance de la révision de l’article 96 du Code pénal et la nécessité de poursuivre la réflexion et l’analyse approfondie afin d’adopter un texte législatif répondant aux objectifs visés, d’une part, et aux règles de rédaction des lois, d’autre part.

Depuis plus de deux ans, des demandes sont formulées pour modifier l’article 96, ainsi que l’article 98, en plus d’abroger l’article 97 du Code pénal, afin d’« inciter les agents publics à assumer des responsabilités au sein de l’administration ».

Les gouvernements précédents ont annoncé à de nombreuses reprises leur intention de modifier l’article 96 du Code pénal, en vertu duquel un nombre important d’anciens ministres et fonctionnaires administratifs ont été jugés.

Selon l’article 96 du code pénal dans la dernière modification, “Est puni de dix ans d’emprisonnement et d’une amende égale à l’avantage reçu ou le préjudice subi par l’administration tout fonctionnaire public ou assimilé, tout directeur, membre ou employé d’une collectivité publique locale, d’une association d’intérêt national, d’un établissement public à caractère industriel et commercial, d’une société dans laquelle l’État détient directement ou indirectement une part quelconque du capital, ou d’une société appartenant à une collectivité publique locale, chargé de par sa fonction de la vente, l’achat, la fabrication, l’administration ou la garde de biens quelconques, qui use de sa qualité et de ce fait se procure à lui-même ou procure à un tiers un avantage injustifié, cause un préjudice à l’administration…”

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Tunisie : l’investissement chute à 16 % du PIB selon la CNUCED, loin derrière le Maroc et l’Égypte

29. Mai 2025 um 11:07

«Le taux d’investissement (public et privé) en Tunisie s’est replié aux alentours de 16% du PIB, durant la période 2020- 2024, contre 19,3% en 2016», c’est ce qui ressort d’un rapport, publié début 2025, par la Conférence des Nations Unes sur le commerce et le développement (CNUCED) sur «L’examen de la politique d’investissement en Tunisie».

D’après les données statistiques, publiées par le rapport, les flux entrants moyens d’investissements directs étrangers (IDE) ont baissé de 974 millions de dollars, au cours de la période 2014- 2018, à 728 million de dollars, durant la période 2019- 2023. Ainsi, notre pays se situe en bas de liste de pays comparateurs, notamment l’Egypte, dont le flux moyen des IDE, dépasse les 8,2 milliards de dollars et le Maroc avec un flux des IDE de l’ordre de 1,7 milliard de dollars.

La CNUCED explique cette situation par le resserrement des conditions d’accès au financement pour les entreprises, en raison de la situation économique difficile et des pressions exercées sur le marché intérieur pour financer la dette.

En fait, le rapport souligne que la Tunisie fait face à des déséquilibres financiers (déficit budgétaire et commercial, hausse de l’endettement public, dépréciation du dinar…), ce qui « conduit les autorités à contrôler les entrées et sorties de devises et à emprunter auprès du système bancaire national ». « Ceci entraîne un effet d’éviction des crédits destinés au secteur privé et freine l’investissement des entreprises », a noté le rapport, ajoutant, en outre, que la situation budgétaire déficitaire « limite le financement public de projets d’infrastructures ».

Partant, «les entrées d’investissement étranger direct stagnent depuis quelques années et l’investissement privé demeure faible, en Tunisie», ce qui «impacte la croissance du produit intérieur brut qui demeure en-deçà du potentiel et entraîne une hausse du taux de chômage».

Par ailleurs, le rapport pointe le problème de complexité administrative qui entrave l’attraction des investisseurs, et la faible proportion de la diaspora (environ 10 %), qui lance des projets d’investissement. “Des restrictions sont présentes dans plusieurs activités, qui ne sont pas toujours en ligne avec les objectifs de développement du pays et le type d’activités économiques souhaitées. Par ailleurs, les conditions imposées par le code des changes compliquent les opérations des entreprises résidentes, offshore et onshore”.

Par ailleurs, la CNUCED a recensé 62 accords bilatéraux d’investissements (TBI), dont 39 uniquement sont en vigueur. La majorité de ces accords a été conclue dans les années 1990 et dans le début des années 2000. Il parait indispensable, d’après le rapport, de revoir la politique d’investissement de la Tunisie, et de définir des solutions permettant de renforcer les sources de financement, y inclus l’investissement local et celui de la diaspora, afin d’améliorer la compétitivité du pays, réduire sa vulnérabilité aux chocs exogènes et étendre son marché extérieur.

Parmi les solutions proposées, à ce titre, le rapport recommande d’inviter les banques à simplifier les procédures d’accès au crédit ; à renforcer et à promouvoir les dispositifs spécifiques pour accompagner les TPME et startups, dans leurs phases de croissance ; et de développer des mécanismes pour les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap.

Les recommandations portent, aussi, sur la mise en place des budgets dédiés à l’innovation et l’encouragement des partenariats entre gouvernement, le secteur privé et les universités ; le développement des fonds de garantie pour assurer les emprunts, notamment au profit des secteurs prioritaires ; et l’encouragement de la concurrence entre les banques pour les inciter à réduire leurs marges sur les prêts consentis.

La CNUCED propose, en outre, de créer des fonds d’investissement pour les secteurs prioritaires, dans lesquels la diaspora pourrait contribuer, d’élargir les sources de financement de projets structurants en encourageant les PPP…

A préciser que “Les examens de la politique d’investissement de la CNUCED”, visent à aider les pays à améliorer leur politique d’investissement en vue de réaliser les objectifs de développement durable (ODD).

Pour ce qui est de ce rapport portant sur l'”Examen de la politique d’investissement de la Tunisie”, il a été réalisé à la demande du ministère de l’économie et de la Planification, de la Mission permanente de la Tunisie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève et des institutions spécialisées en Suisse.

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Tunisie : Kaïs Saïed réaffirme sa volonté de réformes sociales et juridiques pour plus de justice et de dignité

29. Mai 2025 um 11:03

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, hier, mercredi, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, le chef de l’Etat a évoqué nombre de projets de textes juridiques.

Le président de la République a réaffirmé, à cette occasion, que l’Etat est résolu à aller de l’avant sur la voie de la mise en œuvre de sa politique sociale, en concrétisation de la volonté du peuple tunisien.

Dans ce contexte, le président Saïed a tenu à préciser qu’il ne s’agit pas de s’attaquer aux problèmes, secteur par secteur, mais plutôt de procéder dans le cadre d’une approche collective, dès lors qu’il est question du destin d’une patrie et d’un peuple qui a choisi d’amorcer une nouvelle histoire.

Il a, à ce propos, affirmé que la priorité pourrait être accordée aux personnes les plus lésées par les politiques fondées sur l’appauvrissement et l’exclusion, ajoutant que la justice et la dignité ne seraient être atteintes qu’à travers l’adoption de nouvelles législations accompagnées d’une « révolution administrative ».

Sur un autre plan, le président Saïed a mis en garde les responsables qui ne considèrent pas la mission qui leur incombe comme un « devoir national sacré » ou qui en usent pour tirer des avantages sans se soucier des aspirations et des attentes du peuple.

Ceux-ci doivent s’apprêter à céder leurs postes aux jeunes, qui a-t-il dit, sont plus disposés à faire preuve de labeur et qui seront en mesure de pouvoir trouver des solutions appropriées et des approches plus élaborées conformément aux choix nationaux généraux et globaux du pays.

Il a, à ce propos, donné ses instructions en vue d’appliquer la loi à l’encontre de quiconque s’acharne à abuser des travailleurs après l’adoption de la loi modifiant le Code du travail, ajoutant que ce texte sera suivi de la publication d’un décret prohibant le recours à cette forme d’esclavage au sein de la fonction publique et des autres établissements et entreprises publics.

Le chef de l’Etat a, par ailleurs, souligné que lorsque le travailleur se sent stable et rassuré que ses droits ne seront plus violés, il va déployer un surcroît d’effort, ce qui contribuera à réaliser une croissance économique effective et à instaurer un climat d’investissement sain.

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Développement industriel : l’usine TSP d’El Mdhilla 2, un levier pour la croissance régionale en Tunisie

Von: walid
29. Mai 2025 um 10:55

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub a appelé, mercredi, lors d’une réunion consacrée au suivi du projet de l’usine de triple superphosphate d’El Mdhilla2, à accélérer la réalisation des composantes du projet.

La réunion a porté, également, sur les conventions conclues entre le Groupe Chimique Tunisien(GCT) et les différentes entreprises et entrepreneurs pour achever la réalisation de ce projet.

Chiboub a souligné que le projet de l’usine de triple superphosphate d’El Mdhilla2, qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie du GCT, vise à préserver sa position de leader dans la production d’engrais à base de phosphate triple super(TSP) et à résoudre les problématiques entravant sa progression. L’objectif est de booster le développement régional et national.

L’investissement total du projet Mdhilla 2 est estimé à environ 1051 millions de dinars, lequel est composé de 4 lots.

Ces lots consistent en la création d’une unité de production d’acide sulfurique et d’une unité de production d’acide phosphorique.

Le projet prévoit, également, l’installation de diverses unités, telles qu’une unité de fusion et de filtration du soufre et la mise en place d’une unité de production de phosphate triple super

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Développement 2026-2030 : Riadh Chaouad annonce une approche ascendante et équitable

Von: walid
29. Mai 2025 um 10:32

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaouad, a annoncé ce mercredi l’adoption d’une nouvelle méthodologie pour l’élaboration du plan de développement 2026-2030, qui, a-t-il dit, incarne la vision du président du président de la République Kaïs Saïed. Cette approche, fondée sur une planification ascendante, accorde un rôle central aux conseils locaux, régionaux et des districts pour définir les priorités économiques.

Lors d’une séance de travail réunissant des représentants du ministère de l’Économie et de la Planification, ainsi que des cadres ministériels, Chaouad a souligné que cette méthodologie mise sur un développement “réel, inclusif et équitable”, en renforçant le rôle social de l’État et en réduisant les déséquilibres régionaux.

Hasna Jiballah, secrétaire d’État chargée des sociétés communautaires, a jugé préférable d’impliquer l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) à la révision du rapport final du plan pour accélérer son approbation. Les participants ont salué cette initiative, estimant qu’elle favorisera une meilleure coordination entre les différentes structures publiques.

La réunion a également permis de présenter les fiches projets et d’échanger sur les mécanismes de mise en œuvre, avec pour objectif d’améliorer l’efficacité des politiques publiques et d’impliquer davantage les instances élues dans la proposition de programmes de développement.

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Été 2025 : la Tunisie se mobilise pour prévenir les feux de forêts et protéger les cultures agricoles

Von: walid
29. Mai 2025 um 10:10

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche Ezzeddine Ben Cheikh, a évoqué la mise en place par la direction générale des forêts, de centres saisonniers évolutifs dans les zones les plus vulnérables aux incendies et un plan d’intervention opérationnel malgré la nécessité de soutenir davantage ses capacités à protéger le système forestier contre les incendies.

Lors de sa présidence avec le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, des travaux de la commission nationale des préparatifs visant à protéger les richesses forestières et les cultures agricoles contre les incendies pendant l’été 2025, le ministre a indiqué que de grands efforts ont été consentis pour maintenir et développer l’infrastructure dans les zones forestières.

Il a souligné lors de la réunion, à laquelle ont participé des membres de la commission nationale de la prévention, l’intervention et le sauvetage en cas de catastrophe ainsi que des représentants de divers ministères et structures nationales, qu’il a été procédé à la sauvegarde et à l’ouverture des pistes agricoles parallèlement à la réhabilitation des tours de contrôle et à la création des points d’eau, outre l’entretien des équipements et des moyens logistiques avec leur distribution en fonction des taux de couvert forestier dans les régions.

Il a également évoqué l’ensemble des mesures préventives, notamment l’organisation de journées de sensibilisation dans de nombreuses régions, en coopération avec la société civile, dans le but d’établir une culture de prévention et de responsabilité partagée parmi les citoyens, et de dynamiser leur rôle en tant qu’élément essentiel du système de protection, ainsi que d’organiser des visites sur le terrain et des spots de sensibilisation.

Ben Cheikh a noté les avancées significatives des travaux de réhabilitation du Centre national de protection des forêts à Radès, vu son rôle important dans la coordination entre les différentes parties intervenantes et le soutien des efforts des départements régionaux en matière de lutte contre les incendies.

Il a apprécié l’effort conjoint avec certaines organisations locales et interrégionales pour créer un centre de vigilance pour l’information et la surveillance précoce équipé de logiciels et de technologies modernes, ce qui améliore l’efficacité et la rapidité d’intervention.

D’autre part, il a reconnu les défis auxquels fait face la direction générale des forêts notamment le manque de ressources humaines et d’équipement lourd, et la difficulté de faire face à des incendies simultanés dans plus d’un endroit.

Le ministre a, dans ce contexte, renouvelé l’engagement de son département à persévérer pour soutenir les capacités de la direction générale des forêts, en renforçant la coordination avec les structures concernées, en assurant la conclusion d’accords de partenariat et de formation, en intensifiant les programmes de formation et de soutien technique et en s’efforçant de développer les méthodes de travail.

La réunion a été consacrée à l’examen des mécanismes de coopération entre les structures des ministères de l’Agriculture et de l’Intérieur, en prenant des mesures proactives, préventives et pratiques pour les protéger, et déterminer l’état de la disposition de toutes les structures intervenantes sur le terrain.

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Tunisie – BAD : qui succédera à Adesina ? Vote crucial à Abidjan

Von: walid
29. Mai 2025 um 09:44

La Tunisie votera, aujourd’hui 29 mai à Abidjan (Côte d’Ivoire) pour le candidat ou la candidate qu’elle aura choisi pour remplacer le président sortant de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, parmi Amadou Hott (Sénégal), Samuel Munzele Maimbo (Zambie), Sidi Ould Tah (Mauritanie), Abbas Mahamat Tolli (Tchad) et Mme Bajabulile Swazi Tshabalala (Afrique du Sud), lors des Assemblées annuelles de la Bad (26-30 mai). La délégation tunisienne présente est représentée par le ministre de l’Économie et de la Planification, M. Samir Abdelhafidh, gouverneur du groupe de la République tunisienne à la BAD qui votera demain au nom de la Tunisie.

Le nombre total des votes est de 81 gouverneurs du monde et non pas uniquement de l’Afrique.

Conformément à l’article 36 de l’Accord portant création de la BAD, «est élu Président de la Banque le candidat qui obtient à la fois au moins 50,01% de voix attribuées à tous les pays membres régionaux et au moins 50,01 % des voix attribuées à tous les pays membres, régionaux et non régionaux. Le Président du Conseil des gouverneurs proclame élu Président de la Banque africaine de développement le candidat ayant obtenu la double majorité requise. Il l’invite à se présenter devant le Conseil des gouverneurs en qualité de Président élu de la Banque-

Si aucun candidat n’obtient la double majorité requise au premier tour du scrutin, il est procédé à un deuxième tour ou à plusieurs autres tours jusqu’à ce que l’un des candidats obtienne ladite double majorité, étant entendu qu’au deuxième tour ou aux tours suivants, le candidat ayant obtenu le plus petit nombre de voix des Etats membres au tour précédent ne sera plus autorisé à participer en tant que candidat au deuxième ou aux tours suivants du même scrutin ».

Adesina a fait deux mandats de 5 ans. Sa présidence se termine le 1er septembre 2025.

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Tunisie – Manouba : lancement du processus de planification participative pour le développement 2026-2030

Von: walid
29. Mai 2025 um 09:25

Le processus d’élaboration du plan régional de développement 2026-2030 a été officiellement lancé dans le gouvernorat de Manouba, sous la présidence du gouverneur de la région, Mahmoud Chouaib, en présence des députés représentant le gouvernorat à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et au Conseil national des régions et des districts (CNRD).

Cette démarche stratégique sera pilotée par la direction régionale du développement, en coordination étroite avec les membres du conseil régional. Elle s’inscrit dans une approche participative, précédée par le démarrage des sessions de formation et d’accompagnement des membres des huit conseils locaux de la région, en vue de l’élaboration des plans de développement locaux à l’échelle de chaque délégation.

À cette occasion, une présentation a été consacrée au guide méthodologique relatif à l’élaboration des plans régionaux de développement, ainsi qu’à la structuration des travaux en quatre commissions thématiques, couvrant les volets social, économique, investissement privé, infrastructures et gouvernance institutionnelle.

les projets de plans de développement locaux devront être finalisés d’ici le 22 juin, ceux relatifs aux plans régionaux d’ici le 22 juillet, tandis que les projets de plans interrégionaux devront être prêts au plus tard le 22 août 2025.

Dans ce cadre, le directeur général adjoint au Commissariat Général au Développement Régional (CGDR), Mohamed Abdessalem, a précisé que l’accompagnement des présidents des conseils régionaux vise à clarifier davantage les modalités d’élaboration des plans, à offrir des conseils, et à fournir les données ainsi que les fiches techniques des projets réalisés, en cours de réalisation ou programmés dans chaque délégation.

Le CGDR assurera ainsi un appui continu aux membres des conseils régionaux et locaux, chargés de l’élaboration des plans dans les délais impartis, en s’appuyant sur des priorités définies à partir des attentes exprimées par les populations locales.

Cet accompagnement contribuera à concrétiser les dispositions et objectifs de la Constitution visant à instaurer un développement équitable et juste entre les régions et les citoyens, en établissant une nouvelle vision du développement fondée sur une approche participative ascendante, dans laquelle les conseils élus jouent un rôle central dans la proposition et la définition des plans de développement, a souligné la même source.

À ce titre, le gouverneur de Manouba a exhorté l’ensemble des structures administratives concernées, aux niveaux local et régional, à assurer une coordination étroite avec les conseils territoriaux, à fournir les données requises et à garantir le soutien logistique nécessaire à la réussite de cette phase préparatoire stratégique.

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Gestern — 28. Mai 2025Webmanagercenter

Archivart accueille N’Goné Fall pour deux événements sur le curating en Afrique à Tunis

28. Mai 2025 um 22:08

La galerie d’art Archivart organise deux événements, un talk (une conversation) et un workshop, autour des pratiques curatoriales en Afrique, animés par la commissaire d’exposition de renommée internationale N’Goné Fall, également experte en ingénierie culturelle. Ces rencontres se tiendront les 3 et 4 juin 2025 à Tunis et offriront un éclairage sur les dynamiques artistiques du continent.

Le premier événement, un talk intitulé “Curating Africa : récits, territoires et imaginaires”, aura lieu le mardi 3 juin de 17h30 à 20h00 à Selma Feriani Gallery, offrant un temps d’échange qui mettra en lumière le parcours de N’Goné Fall, sa vision du rôle du commissaire dans les contextes africains contemporains, ainsi que les enjeux liés aux écosystèmes artistiques du continent. Commissaire générale de la Biennale de Dakar, elle reviendra également sur cette expérience phare à travers une étude de cas. La discussion sera modérée par Wafa Gabsi et Selma Feriani, et se conclura par un échange avec le public.

Le lendemain, mercredi 4 juin, un workshop se tiendra de 14h00 à 18h00 à Archivart. Ce second rendez-vous propose une immersion approfondie dans les méthodologies curatoriales et les stratégies de développement culturel sur le continent africain. Il s’adresse aux professionnels du secteur culturel, aux artistes, jeunes commissaires et chercheurs intéressés par la mise en œuvre de projets curatoriaux ancrés dans les réalités africaines. Le programme abordera notamment les processus de conception d’exposition, l’ingénierie culturelle appliquée, les stratégies de financement et de partenariat, ainsi qu’une étude de cas consacrée à la Saison Africa2020. L’atelier se poursuivra par une session interactive, permettant aux différents participants de présenter leurs projets et de les discuter.

Ces deux événements se veulent un espace d’échange et de réflexion collective sur les pratiques curatoriales africaines, en lien avec les récits, les territoires et les imaginaires.

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