Riadh Hentati, ingénieur général, est nommé président-directeur général de l’Etablissement de la cité médicale les Aghlabides à Kairouan par décret n° 2024-594 du 25 novembre 2024 publié aujourd’hui au Journal officiel de la République tunisienne (JORT).
La Cité médicale des Aghlabides à Kairouan est un grand projet dont a parlé le président de la république Kaïs Saïed depuis son accession au Palais de Carthage, fin 2019, mais, cinq ans après, on ne peut pas dire que sa réalisation a beaucoup avancé.
Les plans sont toujours dans les cartons et on en est encore aux préparatifs et aux préliminaires, c’est-à-dire l’étude de rentabilité, exigée par la partie chinoise, un moment pressentie pour la réalisation du projet, mais qui ne semble pas pressée d’y aller, ou encore la recherche du financement, l’argent étant, comme on le sait, le nerf de la guerre, alors que les finances publiques, exsangues comme elles sont depuis 2011, ne permettent pas d’énormes dépenses d’investissement.
Dans le cadre des préparatifs et des préliminaires, on a appris la nomination de l’ingénieur Riadh Hentati comme Pdg de la Société de la Cité médicale des Aghlabides de Kairouan (décret N° 594-2024, en date du 25 novembre 2024 publié par le Journal officiel de la république tunisienne, dans sa dernière édition en date du 26 novembre 2024).
Souhaitons-lui bon vent en espérant que les travaux pourront démarrer le plus tôt possible, car c’est toute la région du centre de la Tunisie qui attend cette réalisation et s’impatiente de voir les bâtiments de cette infrastructure sanitaire sortir enfin de terre.
Aussi, M. Hentati serait-il bien inspiré d’organiser dans quelques semaines, et après avoir pris connaissance des tenants et aboutissants du projet et discuté avec tous les profanisâtes qui y sont impliqués, pour annoncer un planning prévisionnel des étapes de sa réalisation , du démarrage des travaux jusqu’à l’inauguration de ladite Cité.
Les préparatifs de la construction du Complexe culturel et sportif scolaire à Kairouan viennent de démarrer dans la région d’El Mansoura, a indiqué, mardi 26 novembre, le secrétaire général du commissariat régional de l’éducation, Houcine Akrout.
D’un coût total estimé à 15,7 millions de dinars, la réalisation du projet s’étalera sur une période de près de 360 jours, pour l’aménagement des terrains de football, de basket-ball et de handball, ainsi pour la construction d’une salle de réunion, d’un foyer et d’un restaurant, a précisé la même source.
Ce complexe vise à offrir un environnement propice aux élèves du gouvernorat de Kairouan, qui comptent environ 72 mille élèves, répartis sur les collèges et les lycées, en vue de développer leur potentiel créatif et de les protéger des comportements à risque.
Dans le même contexte, se poursuivent des travaux d’aménagement de différents établissements scolaires situés dans le gouvernorat de Kairouan, dont notamment des travaux de rénovation du lycée de Kairouan-Sud, avec un budget de 1,1 MDT, outre le parachèvement du collège d’Ibn Charaf, moyennant 1,6 MDT de fonds.
Il s’agit également de travaux de la construction de deux salles à l’école primaire Ouled Farhan, parachevée contre une enveloppe de 240 mille dinars, tout autant qu’un autre chantier dans le collège Imam Sahnoun relevant de la délégation de Bouhajla, pour des fonds d’une valeur de 900 mille dinars.
Par ailleurs, les travaux du foyer de Oueslatia, moyennant une enveloppe de près de 420 mille dinars, avec une capacité d’accueil de 290 lits, ont été parachevés, a indiqué la même source.
Les services sécuritaires et municipaux à Monastir ont mis en exécution, mardi 26 novembre, une décision de démolition d’une partie des étals anarchiques installés au niveau du marché dit « Souk Libya« , sur la route de Kairouan, à proximité de la gare ferroviaire Habib Bourguiba.
Le gouverneur de Monastir, Aïssa Moussa, a souligné, à l’Agence TAP, que les détenteurs des étals avaient été avertis de la nécessité de démanteler leurs étalages, dans la mesure qu’ils se situent en plein cœur de la ville touristique de Monastir, soulignant l’importance de l’application de la loi pour préserver la propreté de la ville et une certaine esthétique urbaine, tout en prenant en compte des aspects sociaux.
Il a ajouté que l’implantation des étals anarchiques avait atteint la route principale, attirant l’attention sur le fait que ce phénomène représente désormais un point noir et une source de divers problèmes.
Il a précisé que ce qui reste des étals anarchiques dans ledit marché, demeurera temporaire et exceptionnel, dans l’attente de la création d’un espace public capable d’accueillir la totalité des vendeurs, afin de préserver leur source de revenu.
À Kairouan, le Bureau National de la Famille et de la Population met en place des séances de sensibilisation pour alerter les jeunes sur les dangers des maladies sexuellement transmissibles, telles que le VIH, l’hépatite virale, la syphilis, entre autres. Ces séances sont organisées dans les maisons de jeunes, les quartiers populaires, ainsi que dans […]
Jamel Cherif, secrétaire général de l’Union locale du travail de Sbikha à Kairouan et les ouvrières de l’usine Ritun ont été libérés jeudi dernier après avoir été condamnés à des peines avec sursis.
Des associations et à leur tête le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT), ont appelé à l’annulation des condamnations, à la réintégration des licenciés, et au respect des droits syndicaux.
Les ouvrières de l’usine, premières en ligne, continuent de se battre pour leurs droits malgré la répression… Nous saluons le courage de celles et ceux qui refusent de céder face à l’injustice et qui défendent les droits syndicaux pour des conditions de travail dignes, a commenté le CRLDHT dans un communiqué publié ce samedi 23 novembre 2024.
Le CRLDH précise que suite à ce conflit 27 ouvriers et ouvrières ont été licenciés en rappelant que ces derniers s’était mobilisés pour réclamer des conditions de travail dignes, tout en appelant par ailleurs à ouvrir une enquête sur les pratiques de l’usine Ritun et faire la lumière sur les violations des droits des travailleurs.
La même source a également appelé à un dialogue social entre le Syndicat, les employeurs et les autorités pour éviter que de telles situations ne se reproduisent.
Rappels que suite à la plainte déposée par l’usine qui les accuse d’avoir perturbé la production, Jamel Cherif a été condamné à 6 mois avec sursis et les ouvrières à 3 mois avec sursis.
Jamel Cherif, secrétaire général de l’Union locale du travail de Sbikha à Kairouan et les ouvrières de l’usine Ritun ont été libérés dans la soirée de ce jeudi 21 novembre 2024.
Après le rejet de leur demande de libération le 14 novembre, Jamel Cherif et les trois ouvrières ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de première instance de Kairouan, où plusieurs syndicalistes et militants s’étaient rassemblés pour exprimer leur soutien aux concernés.
Libérés plusieurs heures après l’audience, ils ont été accueillis en héros par les syndicalistes de la région, sachant qu’ils ont toutefois été condamnés à des peines avec sursis.
Selon le SG de l’Union régionale de Kairouan Sayed Sboui, cité par Mosaïque FM, Jamel Cherif a été condamné à 6 mois avec sursis et les ouvrières à 3 mois avec sursis.
Plusieurs associations ont appelé à la mobilisation avec Jamel Cherif, secrétaire général de l’Union locale du travail de Sbikha à Kairouan et aux ouvrières de l’usine Ritun.
Arrêtés suite à une plainte de l’usine qui les accusent d’avoir perturbé la production, leur demande de libération a été refusé le 14 novembre par le tribunal de première instance de Kairouan qui a également reporté l’audience au 21 novembre.
« Demain, le procès de l’affaire de Ritun à Sbikha aura lieu au tribunal de Kairouan. Un appel est lancé à un rassemblement devant le tribunal pour soutenir Jamel Cherif, secrétaire général de l’Union locale du travail de Sbikha, et surtout les ouvrières de l’usine Ritun, victimes d’une répression syndicale injuste », indique le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) qui a appelé à la mobilisation.
Plusieurs associations, à l’instar d’Aswat Nissa ont exprimé leur solidarité avec les ouvrières et ont appelé à leur libération, qualifiant leur arrestation et celle du syndicalise d’injustes. Un rassemblement sera donc organisé à cet effet demain devant le tribunal de Kairouan.
La CRLDHT a par ailleurs affirmé que le syndicat de l’enseignement secondaire de Kairouan a appelé les enseignants à une journée de grève en solidarité avec Jamel Cherif et les ouvrières : « Ces femmes, en première ligne dans la défense de leurs droits syndicaux, méritent notre soutien », a encore commenté la même source.
Dans un rapport sur ‘‘L’attractivité régionale 2024’’, l’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE) conclut qu’«à l’exception de Tunis, tous les autres gouvernorats sont en dessous de la moyenne».
Les gouvernorats du Grand-Tunis, le gouvernorat de Tozeur et les zones côtières (Sousse, Monastir et Sfax) sont les régions les plus attractives en Tunisie , indique le rapport, ajoutant que Kasserine, Kairouan, et Sidi Bouzid sont les gouvernorats les moins attractifs, ce qui confirme le déséquilibre régional persistant depuis plusieurs décennies dans notre pays et qui est la conséquence de choix politiques et économiques des différents gouvernements qui se sont succédé depuis l’indépendance en 1956.
«L’attractivité́ est un concept multidimensionnel qui désigne la capacité́ d’un pays, d’un territoire ou d’une région, pour une période donnée d’attirer et aussi de retenir de la population, de la main d’œuvre, des entreprises et de toutes sortes d’activités économiques», souligne le rapport.
L’attractivité́ régionale, appelée aussi attractivité́ territoriale, est donc souvent liée à la compétitivité. Elle favorise la concurrence par les avantages acquis et renforce la création de la richesse.
Pour améliorer l’attractivité des régions, l’IACE recommande l’accélération de la mise en place des réformes tant attendu pour l’amélioration des conditions d’investissement, la digitalisation des services administratifs et la réalisation des projets d’infrastructure. «L’amélioration de l’attractivité d’une région dépendra principalement de l’amélioration de la connectivité (avec des infrastructures multimodales, abordables, résilientes et durables), de la qualité de vie (avec une offre de service en éducation et en santé de qualité équivalente à celle disponible dans les grandes villes) et de l’image de la région (par la mise en place des stratégies de notoriété territoriale).
L’IACE en tant que Think tank économique tunisien, engagé dans la promotion de l’entrepreneuriat et l’amélioration du climat des affaires et par conséquent la croissance économique, s’est engagé depuis 2015, à travers la publication d’un rapport sur l’attractivité́ régionale.
Les relations entre la Tunisie et l’Arabie saoudite sont historiques et les investissements saoudiens dans notre pays remontent au début des années 1970. Mais ces relations ont connu des hauts et des bas depuis la «révolution» de 2011 qui a été moyennement appréciée par les autorités de Riyad. Avec l’arrivée au Palais de Carthage de Kaïs Saïed et la consolidation de son pouvoir en 2021, nous assistons à un regain d’intérêt saoudien pour la Tunisie. Pourvu de ça dure…
Imed Bahri
«La Tunisie s’apprête à promulguer de nouvelles législations pour faciliter les procédures d’investissement, baliser le terrain aux investisseurs tunisiens et étrangers et les inciter à lancer des projets dans un climat sain et favorable qui préserve leurs droits et les droits de l’Etat tunisien», a déclaré le président de la République Kaïs Saïed lors de son entretien, samedi 16 novembre 2024, au Palais de Carthage, avec le ministre de l’Investissement en Arabie Saoudite, Khaled Bin Abdulaziz Al-Faleh, tout en saluant la force des relations et les liens culturels profonds qui unissent la Tunisie et l’Arabie Saoudite.
«La Tunisie est devenue qualifiée pour faire face à une concurrence mondiale féroce pour attirer les investissements dans plusieurs secteurs, notamment les énergies renouvelables, l’hydrogène, les investissements logistiques, le développement immobilier et le tourisme», a déclaré le ministre saoudien lors d’une conférence de presse tenue à l’issue de la réunion.
Al-Falih a souligné que les investisseurs saoudiens sont prêts à entrer dans ces zones au bon moment. «Nous sommes optimistes quant à la stabilité et au développement politique et économique atteints par la Tunisie», a ajouté le ministre saoudien.
Le même jour, l’hôte saoudien et le ministre tunisien de l’Économie et du Plan Samir Abdelhafidh ont signé un protocole d’accord (MoU) pour promouvoir les investissements directs entre les deux pays, en présence de l’ambassadeur saoudien en Tunisie, Dr Abdulaziz bin Ali Al-Saqr.
L’accord vise à renforcer la coopération en encourageant les investissements directs et en facilitant l’échange d’informations sur les systèmes et les réglementations régissant l’environnement d’investissement. Il souligne un engagement commun à renforcer les liens économiques et à tirer parti des opportunités mutuelles pour une croissance et un développement durables.
Vers un partenariat stratégique
L’Arabie saoudite continue de miser sur la Tunisie en tant que partenaire stratégique, à travers son soutien aux projets de développement et économiques, en injectant de l’argent et en investissant dans des infrastructures telles que le logement et la santé.
Les efforts saoudiens pour soutenir des projets de développement en Tunisie prouvent un grand intérêt du Royaume pour l’emplacement stratégique de la Tunisie, en plus de la position du pays comme porte d’entrée appropriée pour les investissements sur le continent africain.
Ce soutien ne se limite pas à la sphère politique en soutenant les stratégies du président Kaïs Saïed, mais va bien au-delà pour inclure des investissements conjoints dans des projets de développement.
«Les autorités saoudiennes ont compris que les idées et les stratégies de Saïed sont ouvertes aux États arabes du Golfe, alors que le président a modifié l’approche politique en Tunisie depuis son arrivée au pouvoir et a rompu avec le système politique précédent qui marginalisait les relations diplomatiques et politiques et les liens historiques avec Riyad», écrit à ce propos The Arab Weekly.
A la mi-octobre dernier, l’ambassadeur saoudien en Tunisie et la ministre de l’Equipement et de l’Habitat Sarra Zaafrani Zenzeri ont supervisé la livraison de 1 568 logements financés par le Fonds saoudien pour le développement (SFD) dans le gouvernorat de l’Ariana, en présence de Abdullah Bin Ali Bin Mohammed Al-Zahrani, directeur des opérations du fonds saoudien en Afrique du Nord.
La phase initiale du projet, qui est mis en œuvre dans différents gouvernorats de Tunisie, prévoit la réalisation de 4 715 logements sociaux avec un financement concessionnel du fonds saoudien d’un montant total de 150 millions de dollars.
L’hôpital universitaire Roi Salman Bin Abdulaziz
Un contrat de 85 millions de dollars a également été signé le mois dernier pour construire et équiper l’hôpital universitaire Roi Salman Bin Abdulaziz à Kairouan, par l’intermédiaire du SFD. Le projet vise à renforcer les infrastructures de santé, faisant de Kairouan un centre de santé régional pour les régions du nord-ouest et du centre.
Cela réduira la nécessité pour les patients de parcourir de longues distances pour se faire soigner et contribuera à combler le fossé de développement entre les régions tunisiennes, favorisant ainsi la croissance sociale et stimulant l’activité économique.
En outre, l’Arabie saoudite a accordé quatre subventions à travers le fonds, d’un montant de plus de 105 millions de dollars, pour soutenir divers secteurs de développement en Tunisie, qui bénéficie d’une situation stratégique au cœur de la Méditerranée, en plus d’être un point de passage vers le continent africain. Le pays peut jouer un rôle clé dans l’avenir du commerce international et dispose d’un important marché de consommation sur lequel les investisseurs saoudiens peuvent promouvoir leurs produits.
«Le Royaume d’Arabie Saoudite se prépare à la phase post-pétrolière et cherche à créer un équilibre dans ses relations extérieures. Il est clair que les Saoudiens considèrent la Tunisie comme un espace d’investissement et de partenariat permettant aux pays nord-africains de se démarquer des partis qui ont influencé l’arène politique à travers l’intervention étrangère dans la phase post-14 janvier 2011», a déclaré l’analyste politique Mondher Thabet, cité par The Arab Weekly.
Le partenariat saoudien contribuera à améliorer la situation de l’économie tunisienne, qui connaît des difficultés. L’intérêt tunisien pour de nouveaux partenariats peut ouvrir la porte à de nouveaux marchés, notamment saoudiens, étant donné que le Royaume est un pays influent qui entretient des partenariats solides avec les pays producteurs de pétrole et dans le domaine de l’énergie et avec les grandes entreprises économiques mondiales.
Auparavant, le Fonds saoudien pour le développement avait signé un accord de prêt de développement à taux réduit d’une valeur de 55 millions de dollars avec la Tunisie pour financer un projet de renouvellement du réseau ferroviaire.
En juillet 2023, l’Arabie saoudite a accordé un prêt bonifié et une subvention à la Tunisie d’un montant de 500 millions de dollars, dans le but de soutenir son budget face aux difficultés financières et économiques que connaît le pays.
L’accord vise à renouveler le réseau ferroviaire pour soutenir l’augmentation du potentiel de transport du phosphate, contribuer à la croissance économique tunisienne et créer des opportunités d’emplois directs et indirects, selon un communiqué publié par le fonds.
Le projet, estimé à environ 165 millions de dollars, devrait augmenter la capacité de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG), en plus de préserver l’environnement, d’économiser de l’énergie et d’alléger la charge sur les infrastructures routières.
Le projet, dans sa première phase, qui s’étalera sur environ deux ans, comprend la rénovation et le développement du réseau ferroviaire sur 194 kilomètres au sud, réparti dans trois gouvernorats: Sfax, Gafsa et Gabès.
Des échanges encore très faibles
Depuis 1975, le Fonds a fourni à la Tunisie un financement pour mettre en œuvre 32 projets et programmes de développement à travers des prêts de développement à taux réduit et des subventions d’une valeur de plus de 1,23 milliard de dollars, pour soutenir les secteurs des infrastructures sociales, des transports, de l’énergie et du développement rural.
La Tunisie se classe au 15e rang des partenaires commerciaux de l’Arabie Saoudite dans la région arabe, avec un volume d’échange annuel moyen de 310 millions de dollars, selon les données officielles.
Ce volume semble faible, ce qui nécessite des partenariats plus larges avec des investissements accrus sur les marchés des deux pays, ce qui permettra un plus grand développement dans les années à venir, d’autant plus que l’Arabie saoudite parie sur la Vision 2030 pour dynamiser l’industrie du transport maritime et gestion portuaire.
Les entreprises saoudiennes investissent actuellement dans environ 38 projets, dont des hôtels et des complexes touristiques privés dans la région du Lac, au nord de la capitale, pour une valeur financière estimée à environ 400 millions de dollars.
Dans un communiqué rendu public le soir du mercredi 13 novembre 2024, l’Union régionale du travail de Kairouan demande la libération des détenus, l’arrêt des poursuites judiciaires à leur encontre; ainsi que l’ouverture de négociations sérieuses.
Ledit communiqué a été publié à l’issue d’une réunion de la commission administrative régionale tenue au siège de l’union locale à Sbikha. Elle était présidée par Sami Tahri, secrétaire général adjoint chargé de l’information et de la publication de la centrale ouvrière. La commission a également décidé d’organiser une grève générale régionale, dont la date sera fixée par le bureau exécutif régional. En attendant, le syndicat tient, jeudi 14 courant, un sit-in devant le tribunal de première instance de Kairouan.
Les arrestations ont concerné le secrétaire général local de l’Union du travail de Sbikha et trois employés de l’usine de chaussures de Sbikha. Et ce, suite à une plainte déposée par la direction de l’usine les accusant de perturber le travail et d’inciter les ouvriers à perturber le travail.
A noter que le licenciement de 28 travailleurs de l’usine et l’arrestation de certains d’entre eux ont déclenché une vague de protestations et de grèves à l’intérieur et à l’extérieur de l’usine.
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