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Instrument Financier : Le Diaspora Bond c’est quoi ?

Von: hechmi
23. Juli 2025 um 10:43

ObligationsUn Diaspora Bond (ou « obligation diaspora » en français) est un instrument financier émis par un État pour emprunter de l’argent auprès de ses ressortissants vivant à l’étranger (la diaspora). L’objectif est de mobiliser leur épargne pour financer des projets de développement ou des besoins budgétaires.

Objectifs :

  • Attirer les transferts d’épargne de la diaspora vers des investissements productifs dans leur pays d’origine.
  • Réduire la dépendance aux bailleurs de fonds internationaux (comme le FMI).
  • Renforcer les liens économiques et affectifs entre la diaspora et leur pays.

Comment ça fonctionne ?

  • Le gouvernement émet un emprunt obligataire libellé en devise étrangère (souvent dollars ou euros).
  • Il propose à ses ressortissants vivant à l’étranger d’acheter ces obligations.
  • En échange, l’État leur verse un taux d’intérêt et rembourse le capital à l’échéance.

Avantages :

  • Moins de conditions que les emprunts auprès d’institutions internationales.
  • Forte motivation émotionnelle ou patriotique chez les membres de la diaspora.
  • Stabilité des transferts : la diaspora continue souvent d’envoyer de l’argent même en temps de crise.

Défis :

  • Besoin de confiance dans la gestion des fonds et la gouvernance publique.
  • Taux d’intérêt attractifs mais pas excessifs.
  • Infrastructure réglementaire et logistique (canaux d’achat, fiscalité…).

Exemples :

  • L’Inde, et le Nigeria ont émis avec succès des diaspora bonds.
  • Ces pays ont levé des milliards de dollars grâce à cet outil.

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Tunisia Global Forum : la Tunisie vise l’émission d’un emprunt en devises sans le FMI, en 2026

Von: hechmi
23. Juli 2025 um 10:27

Banque mondialeLa BCT travaille activement, en collaboration avec un groupe de financiers tunisiens opérant à l’international à une probable émission en devises au courant de l’année 2026.

La Tunisie vibre du 15 juillet au 15 août au tempo du ‘’Diaspora Month’’ organisé par l’Atuge en partenariat avec WATT(World Alliance of Tunisian Talents). Et dans le cadre de cette initiative la journée du mardi 22, courant s’est tenue la deuxième édition du Tunisia Global Forum. La Diaspora était au cœur de tous les échanges. Un moment de Brain storming, de forte intensité. Et cette effervescence a débouché sur des résolutions pratiques.

Les Diaspora Bonds

C’est le gouverneur de la BCT qui a donné le la. La Diaspora, fait corps avec la collectivité nationale. Tout plaide, par conséquent, pour sa mise sur orbite financière en ligne avec le développement durable. L’objectif est d’intérêt national et la cause est noble! La BCT a présenté des leviers concrets pour faire participer les Tunisiens résidant à l’étranger. Le ‘’Diaspora Bond ‘’ serait un outil pratique et attractif.

C’est une façon vertueuse de canaliser davantage de transferts de la Diaspora tunisienne à destination de la place de Tunis. Faut-il rappeler que pour le moment ces transferts sont de taille. Ils représentent 30 % du stock de réserves de change du pays soit l’équivalent de 5,6 % du PIB. Convenons que c’est un effet en retour avantageux pour l’économie nationale du Brain Drain.

Ce mouvement nous dégarnit de nos compétences mais en revanche nous apporte une compensation financière en retour. D’une certaine façon, l’investissement dans l’éducation est in fine rémunérateur. Et ces flux de transferts seraient appelés à se développer, pour peu que l’on offre les vecteurs financiers appropriés, à l’instar de ce que font l’Inde ou l’Egypte et en respectant les meilleures pratiques internationale.

Les précieux concours de l’expertise tunisienne à l’étranger

Les concours de la Diaspora à l’économie tunisienne peuvent se faire également, via de l’expertise. Les talents Tunisiens à l’étranger comptent des individualités remarquables. Un certain nombre de talents tunisiens se trouvent à des postes de responsabilité de premier plan dans des secteurs clés.

Il en est ainsi du monde de la Finance. Le gouverneur a évoqué des contacts avec un groupe de quatre experts tunisiens lesquels occupent des postes décisionnels dans des structures financières de premier plan.

Ces contacts sont fructueux car ils focalisent entr’autres sujets d’intérêt sur la probable émission d’un souverain en devises sur le marché international de la dette. Le Gouverneur n’a donné aucune autre indication ni sur le montant ni sur la maturité de l’emprunt. Convenons que si l’opération finirait par se dénouer le pays aura gagné le pari de restaurer son crédit de solvabilité par ses propres moyens. Une gageure extrême !

Ali DRISS

EN BREF

  • La BCT prépare une émission souveraine en devises en 2026 avec l’appui de financiers tunisiens de la diaspora.
  • Ces transferts représentent déjà 30 % des réserves de change et 5,6 % du PIB.
  • Un « Diaspora Bond » est envisagé pour canaliser ces fonds vers l’économie nationale.
  • Des experts tunisiens occupant des postes clés à l’international sont sollicités pour accompagner ce projet.
  • Cette stratégie vise à restaurer la crédibilité financière de la Tunisie par des moyens internes et durables.

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BAD – Rapport pays 2025 : Une feuille de route pour relancer l’économie tunisienne

22. Juli 2025 um 09:25

Tunisie UEVéritable feuille de route pragmatique et réaliste, le rapport pays 2025, publié le 10 juillet courant par la Banque africaine de développement (BAD) sur la Tunisie, peut, au regard de la pertinence de son analyse et de ses recommandations, inspirer positivement le gouvernement de Sarra Zaafrani Zanzri pour relancer la croissance et le développement de l’économie du pays sur des bases plus solides et plus résilientes.

Ce rapport a pour mérite de reprendre, indirectement, à son compte des approches développementales diffusées actuellement à grande échelle dans le pays. Il s’agit principalement du compter sur soi, de la restructuration en cours des entreprises publiques, de la convergence institutionnelle, d’un meilleur ciblage de la subvention et d’une meilleure valorisation des richesses naturelles du pays (phosphate, tourisme, diaspora…).

« La Tunisie dispose d’un capital national diversifié mais sous-exploité. »

Un potentiel sous-exploité malgré un capital national diversifié

Concrètement, le rapport de la BAD, intitulé « Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement », estime que la Tunisie dispose encore de leviers importants pour améliorer l’utilisation de son capital national, et ce, dans un contexte de croissance faible (prévisions de +1,9 % en 2025 et +2,3 % en 2026).

L’idée principale développée par le rapport est la suivante : la Tunisie dispose certes d’un capital national diversifié, mais son exploitation reste freinée par moult fragilités structurelles.

Les fragilités structurelles qui freinent le développement de la Tunisie

Au nombre de ces déficiences, le document cite cinq :

1️⃣ Des marges budgétaires limitées : En dépit d’une pression fiscale estimée en 2024 à 25 % et bien plus (34 % si on applique les critères de l’OCDE), ces marges sont freinées par deux facteurs : le coût élevé des subventions (20 milliards de dinars annuellement) et l’importance de la masse salariale. En 2024, cette masse est estimée à 13,5 % du PIB et à 39,6 % des dépenses totales du budget.

2️⃣ Une sous-exploitation des richesses naturelles : La mauvaise gestion et la mal gouvernance affectent des richesses minières et énergétiques confirmées, telles que les milliards de réserves de phosphate du gisement de Sra Ouertane (au nord-ouest de la Tunisie) et le fort potentiel des énergies renouvelables, qui ne représentent à ce jour que 4 à 5 % du mix énergétique.

3️⃣ Un environnement des affaires dégradé : Cette situation est particulièrement préjudiciable aux PME, ne permettant pas le développement d’un tissu industriel dynamique.

4️⃣ Un déséquilibre entre formation et besoins du marché : L’inadéquation entre les qualifications ouvrières disponibles et les besoins du marché expliquerait le taux élevé de chômage, notamment des diplômés du supérieur.

5️⃣ Un secteur financier peu inclusif : Le système bancaire en Tunisie reste limité et ne permet pas le financement de l’investissement privé (PME…), de l’innovation (startups…) et de l’entrepreneuriat.

Les réformes recommandées par la Banque africaine de développement

À court terme (2025-2026) : gouvernance, subventions et investissement

Le rapport recommande de renforcer la gouvernance du secteur extractif dès 2025 par une transparence accrue des contrats et des flux financiers, ce qui permettrait une meilleure valorisation des ressources naturelles et une redevabilité plus forte.

Le rapport plaide également pour un meilleur ciblage des subventions, à travers une approche technique rigoureuse, afin de réduire les dépenses sans fragiliser les populations vulnérables. Cette réforme budgétaire pourrait être engagée dès fin 2025.

« Un environnement des affaires dégradé pénalise gravement les PME. »

 

Concernant l’investissement, le rapport appelle à une meilleure convergence institutionnelle (le projet cher au président Kaïs Saïed). Des plateformes numériques comme Tunisia Trade Net (TTN), l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII) et l’Autorité tunisienne de l’investissement (TIA) devraient faire l’objet d’une interconnexion et d’une ergonomie plus efficientes, avec une modernisation à lancer dès 2025, en particulier pour les PME.

Dans le domaine de la santé, l’accès dans les zones défavorisées pourrait être amélioré via une cartographie numérique des besoins et une meilleure répartition des professionnels de santé, des actions envisageables dès 2026.

À moyen terme (2026-2028) : financement, diaspora, fiscalité et formation

Face à la difficulté d’accès aux marchés de capitaux, la BAD encourage la Tunisie à structurer davantage de projets rentables (« bancables ») en combinant financements publics, privés et concessionnels.

Des dispositifs comme la SOTUGAR devraient être étendus pour faciliter l’accès au crédit des PME, notamment celles engagées dans des projets écologiques ou innovants.

« Investir massivement dans les énergies renouvelables dès 2028 est crucial. »

 

La mise en place de bons d’investissements pour la diaspora tunisienne, visant à capter une part plus importante des transferts de fonds, pourrait voir le jour dès 2027.

La valorisation des actifs publics sous-utilisés, notamment fonciers, à travers des concessions encadrées, représenterait également une source supplémentaire de capital à lancer progressivement à partir de 2026.

Le rapport suggère également la mise en place d’un cadre institutionnel pour la création d’un fonds souverain vers 2027-2028, afin de stabiliser les revenus issus des ressources naturelles et financer des projets de développement à long terme.

Toujours à moyen terme, le rapport met l’accent sur les chaînes de valeur, la formation et la fiscalité (2026-2028). L’intégration des PME tunisiennes dans les chaînes de valeur nationales et régionales doit être renforcée par des mécanismes de labellisation, garanties financières et accompagnement technique à partir de 2026.

« Mieux cibler les subventions permettrait de réduire les dépenses sans fragiliser les plus vulnérables. »

 

Les programmes de formation technique doivent être alignés, dès 2027, avec les besoins des secteurs porteurs, en partenariat avec le secteur privé.

Concernant la fiscalité, un élargissement de l’assiette fiscale est recommandé via une mise à jour du cadastre, l’automatisation des contrôles fiscaux et une stratégie de formalisation de l’économie informelle, avec un démarrage estimé entre 2026 et 2028.

À long terme (2028 et au-delà) : transition énergétique et réforme de l’État

Pour transformer durablement l’économie tunisienne, le rapport encourage le pays à investir massivement dans les énergies renouvelables dès 2028, notamment dans le solaire et l’hydrogène vert, qui représentent des opportunités stratégiques à fort potentiel de croissance.

Simultanément, la modernisation du système éducatif devra se poursuivre au-delà de 2028, avec un accent sur les disciplines STIM (Sciences, technologie, ingénierie, mathématiques) et l’orientation professionnelle.

Enfin, une réforme progressive de la masse salariale de la fonction publique et l’institutionnalisation de l’évaluation systématique des dépenses publiques sont indispensables pour améliorer la soutenabilité budgétaire et l’efficacité des politiques publiques sur le long terme.

Abou SARRA

Indicateurs clés

  • 20 milliards de dinars : montant annuel des subventions en 2024.
  • 13,5 % du PIB : part de la masse salariale publique en 2024.
  • 4 à 5 % : part des énergies renouvelables dans le mix énergétique actuel.
  • +1,9 % en 2025 et +2,3 % en 2026 : prévisions de croissance du PIB.
  • 2028 : début conseillé pour investir massivement dans le solaire et l’hydrogène vert.

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Plan de développement 2026–2030 : réflexion stratégique sur les politiques en faveur de la famille

22. Juli 2025 um 08:42

Une séance de travail s’est tenue, le lundi 21 juillet, au siège du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées. Elle s’est consacrée à l’examen du rapport sectoriel relatif aux orientations de la politique publique dans ces domaines. Et ce, dans le cadre de l’élaboration du plan de développement 2026–2030, indique un communiqué du ministère.

À cette occasion, la ministre de la Famille, de l’Enfance et des Personnes âgées, Asma Jebri, a souligné l’importance d’harmoniser les objectifs stratégiques du ministère avec les principes constitutionnels. Et en particulier les articles 12, 51, 52 et 53, qui consacrent les droits des femmes et de la famille, tout en affirmant le rôle social de l’État.

A cet égard, la ministre plaide pour la consolidation des parcours d’accompagnement des femmes et des jeunes filles bénéficiaires des programmes d’intégration économique. Mais aussi pour la promotion de l’initiative privée, ainsi que l’amélioration du climat entrepreneurial.

Elle a également mis l’accent sur la nécessité de renforcer la gouvernance des programmes destinés aux populations vulnérables, notamment dans les zones rurales et prioritaires. Elle a enfin appelé à enrichir le rapport sectoriel par des indicateurs d’impact clairs. Lesquels permettent d’évaluer l’efficacité des politiques mises en œuvre dans les différentes régions du pays.

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A Séville, la Tunisie plaide pour une refonte du système financier international

A l’occasion de la 4e Conférence des Nations unies sur le financement du développement (FfD4), tenue à Séville du 30 juin au 3 juillet, la Tunisie a appelé à un changement profond des mécanismes de gestion de la dette et de coopération économique internationale.

Présente à Séville aux côtés de la Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri, la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi, a porté la voix de la Tunisie lors des débats sur les défis de financement auxquels font face les pays à revenu faible ou intermédiaire.

A l’issue de la conférence, elle a réaffirmé, dans une déclaration à l’agence TAP, l’ambition de la Tunisie de renforcer ses partenariats économiques dans un cadre multilatéral renouvelé, plus équitable et plus adapté aux réalités actuelles.

Le temps fort de la participation tunisienne s’est déroulé le 2 juillet, lors d’une table ronde de haut niveau consacrée à la dette souveraine et à sa soutenabilité. La ministre y a insisté sur la nécessité de repenser l’architecture mondiale de la dette pour qu’elle devienne un véritable levier de développement, et non plus un poids qui étouffe la croissance.

Convertir la dette en projets, plutôt qu’en charges

Dans son intervention, Michket Slama Khaldi a plaidé pour une transformation des approches traditionnelles de l’endettement, appelant à privilégier les mécanismes de conversion de dette en projets de développement, à explorer de nouvelles formes de gestion de la dette et à orienter les flux financiers vers des projets structurants.

Revenant sur le cas tunisien, la ministre a indiqué que le niveau d’endettement du pays a été stabilisé à environ 80% du PIB, tout en insistant sur la nécessité d’une approche qualitative de la dette. Pour la Tunisie, la dette est soutenable si elle permet de générer de la richesse, de créer des emplois et de financer des transitions économiques durables. Cette position fait écho aux constats formulés par plusieurs dirigeants présents à Séville.

Pour une coopération internationale plus équitable

En marge de la conférence, la délégation tunisienne a réitéré son souhait de renforcer la coopération économique internationale, dans un contexte marqué par le recul de l’aide au développement et la montée des pressions budgétaires dans de nombreux pays.

La Tunisie a notamment plaidé pour une meilleure mobilisation des ressources publiques à travers des instruments innovants et équitables, en particulier dans le domaine de la finance climatique et de la gestion des budgets nationaux.

La Conférence FfD4, qui a réuni chefs d’État, ministres, économistes et représentants d’organisations internationales, a clos ses travaux le 3 juillet. Un large consensus s’est dégagé sur l’urgence de réformer le système financier mondial, en faveur d’un développement plus inclusif, plus résilient et plus durable.

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A Séville, Sarra Zaafrani Zenzri renforce les alliances pour le développement durable

La Cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, est rentrée mardi soir à Tunis, après avoir pris part aux travaux de la 4e Conférence internationale sur le financement du développement, qui se tient du 30 juin au 3 juillet à Séville, dans le sud de l’Espagne.

Durant cette rencontre de haut niveau, la responsable tunisienne a enchaîné les entretiens bilatéraux avec plusieurs dirigeants et partenaires internationaux. Elle s’est notamment entretenue avec le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani, les Premiers ministres portugais Luis Montenegro, palestinien Mohamed Mustapha, égyptien Mustapha Kamel Madbouli, et algérien Nadir Larbaoui, ainsi qu’avec la présidente de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), Odile Renaud–Basso.

Cette conférence marque une étape importante, dix ans après le Programme d’action d’Addis-Abeba. Les délégations participantes ont adopté, dès la première journée, l’Engagement de Séville, un nouveau cadre global visant à mobiliser les financements nécessaires au développement durable. Estimés à 4 000 milliards de dollars par an, ces besoins restent en grande partie insatisfaits, notamment dans les pays du Sud.

Cet engagement, conclu le 25 juin 2025 par l’ensemble des États membres de l’ONU – à l’exception des États-Unis – ambitionne de relancer les efforts mondiaux en matière de développement inclusif et équitable, dans un contexte international marqué par des défis économiques, sociaux et climatiques croissants.

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