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Université Zitouna : la plus ancienne université du monde, fondée en 737 à Tunis

12. Oktober 2025 um 15:12

Une carte publiée par l’université d’Oxford met en lumière le riche héritage académique du monde arabo-musulman, révélant que les universités les plus anciennes et toujours en activité dans le monde sont, en majorité, fondées dans la région arabe, bien avant les institutions occidentales.

L’université d’Oxford publie une carte indiquant les plus anciennes universités du monde :
1- Université Zitouna en Tunisie (737 après J.-C.)
2- Université Al Quaraouiyine au Maroc (859 après J.-C.)
3- Al-Azhar en Égypte (972 après J.-C.)
4- Université de Bologne en Italie (1088 après J.-C.)
5- Université d’Oxford au Royaume-Uni (1096 après J.-C.)Les trois premières universités les plus anciennes de l’histoire de l’humanité sont arabes

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La Tunisie modernise ses ports avec l’arrivée de six nouveaux remorqueurs maritimes

12. Oktober 2025 um 13:16

La Tunisie devrait recevoir progressivement le reste des remorqueurs maritimes neufs d’ici la fin janvier 2026, dans le cadre d’un contrat portant sur six unités destinées à soutenir les capacités des ports commerciaux et à renforcer leur préparation logistique et sécuritaire.

Le vendredi 26 septembre 2025, à destination du port de La Goulette, l’Office de la marine commerciale et des ports a réceptionné le premier remorqueur nommé « Bullarigia », première tranche de ce lot dont le coût total est estimé à environ 168 millions de dinars.

Selon le ministère des Transports, cet investissement vise à renouveler la flotte de remorqueurs, à assurer les opérations d’entrée et de sortie des navires tout en garantissant les normes de sécurité les plus élevées au sein des infrastructures portuaires, ainsi qu’à renforcer la préparation pour les interventions d’urgence dans les domaines de l’assistance, du remorquage, de la recherche et du sauvetage.

Le projet s’inscrit dans le cadre des efforts d’accompagnement de la transition énergétique et écologique, de la croissance rapide de la taille des navires commerciaux internationaux, ainsi que du soutien au système national de protection des côtes tunisiennes et de la rationalisation des coûts d’exploitation.

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Présidentielle camerounaise: entre continuité et aspiration au changement

12. Oktober 2025 um 13:06

Huit millions de Camerounais sont appelés à voter ce dimanche 12 octobre 2025 pour une présidentielle qui, sauf surprise, devrait assurer à Paul Biya un huitième mandat consécutif. Avec 92 ans et au pouvoir depuis 1982, Biya est le chef d’État le plus âgé au monde.

Il fait face à 11 challengers, dont son ex-ministre du Travail, Issa Tchiroma Bakary, 79 ans, qui a suscité un regain d’enthousiasme chez une population en grande partie jeune, la moitié ayant moins de 20 ans.

La plupart des Camerounais n’ont jamais connu d’autre président que Biya, qui a remporté toutes les élections des vingt dernières années avec plus de 70% des voix.

Selon l’agence de presse italienne Ansa.it, les bureaux de vote ont ouvert à 8 heures locales (9 heures en Italie) et fermeront à 18 heures locales.

De son côté, la Banque mondiale indique qu’environ 40% de la population vivait sous le seuil de pauvreté en 2024, tandis que le chômage atteint 35% dans les grandes villes.

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Gabès : Sami Jallouli appelle à un démantèlement du complexe chimique

12. Oktober 2025 um 11:18

Depuis des années, la ville de Gabès est confrontée à une grave crise de pollution environnementale et sanitaire, devenue aujourd’hui une situation chronique. Ce sont les habitants eux-mêmes qui alertent depuis des années sur la détérioration de leur cadre de vie, devenu toxique.

La source principale de cette pollution est le complexe chimique présent dans la région, ainsi que ses diverses unités industrielles spécialisées dans le traitement du phosphore. Les gaz toxiques et polluants qu’elles émettent affectent non seulement les habitants de la région, mais provoquent aussi de lourds dégâts sur la biodiversité.

La faune marine est particulièrement touchée par cette contamination : un épuisement massif des espèces marines, notamment les poissons, ainsi qu’une forte baisse des stocks halieutiques impactent sévèrement les moyens de subsistance des pêcheurs locaux. Par ailleurs, la pollution gagne aussi les champs des oasis et les plantations de grenadiers, symbole identitaire fort de Gabès.

Sami JallouliFace à cette situation devenue intenable, une décision urgente s’impose pour stopper la crise. Selon le politologue Sami Jallouli, il est désormais inévitable de démanteler le complexe chimique et de le déplacer hors de la ville. À défaut, l’investissement dans des technologies propres, inspirées des pays pionniers, est indispensable.

L’appel à démanteler les structures polluantes n’est pas nouveau. Il est nécessaire de choisir un emplacement éloigné des zones habitées, agricoles et maritimes.

Gabès doit pouvoir retrouver son air pur. Les habitants, qui ont largement contribué au développement du pays, ont droit à un environnement sain.

Si la pollution est un phénomène qui touche plusieurs régions du pays, la situation à Gabès reste une priorité absolue. L’action prendra du temps, mais il est crucial d’agir dès aujourd’hui, sans délai.

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Gabès en colère : l’armée intervient pacifiquement pour éviter les affrontements

10. Oktober 2025 um 20:00

La tension a fortement augmenté à Gabès en raison de la dégradation persistante de la situation environnementale. De nombreux habitants, notamment de Chatt Essalem, ont manifesté en dénonçant les fuites de gaz toxiques du Groupe chimique (GCT), responsables de nombreux cas d’asphyxie et de problèmes respiratoires, en particulier chez les enfants.

Les manifestants, brandissant des pancartes accusant un « crime environnemental » et réclamant un air sain, ont en partie réussi à pénétrer sur le site du GCT. Face à cette colère, l’armée est intervenue pacifiquement pour sécuriser les lieux et éviter les affrontements.

Cette mobilisation fait suite à un incident grave survenu plus tôt dans la journée, où plusieurs élèves du collège Chatt Essalem ont été asphyxiés par des émissions de gaz, nécessitant l’intervention d’urgence de la protection civile. La répétition de ces épisodes a suscité une forte indignation régionale.

L’UGTT a dénoncé dans un communiqué l’état vétuste des installations du GCT et le risque imminent d’une grève générale régionale si les autorités ne prennent pas rapidement des mesures pour protéger la population. Le syndicat critique également l’incapacité des infrastructures sanitaires locales à gérer ces urgences, et accuse l’État d’un « crime d’État » envers les habitants de Gabès.

En réponse, le président de la République Kaïs Saïed a assuré que des mesures concrètes seraient prises pour restaurer un environnement sain et protéger la santé publique.

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Innovation Awards 2025 : les trois pépites de la transition écologique

10. Oktober 2025 um 17:06

Le salon Pollutec 2025, référence mondiale des solutions environnementales et énergétiques, a mis à l’honneur l’édition des Pollutec Innovation Awards, un concours centré sur la durabilité et l’innovation qui a rassemblé 180 candidatures.

Trois entreprises ont été récompensées pour leur excellence en performance, innovation et impact écologique : Indiggo, pour son système Vortex 150 capturant jusqu’à 80% des déchets plastiques fluviaux ; Entent, reconnue pour sa valorisation énergétique ; et Tallano Technologies, spécialisée dans la captation et le recyclage des microparticules de frein.

Ce concours, organisé avec le PEXE, illustre parfaitement le rôle de Pollutec comme plateforme internationale promouvant les avancées technologiques au service de la transition écologique, confirmant ainsi son rôle d’accélérateur majeur pour les start-ups et industriels du secteur.

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Comprendre l’empreinte et le bilan carbone : mesurer l’impact et compenser la pollution

10. Oktober 2025 um 15:46

Pour mieux agir face au changement climatique, il est essentiel de distinguer deux approches complémentaires : l’une qui mesure l’ampleur de la pollution que nous produisons, et l’autre qui évalue si nous avons réussi à compenser ou neutraliser cette pollution.

C’est dans cet esprit que Hamdi Hached a dressé un bilan de l’empreinte carbone via son post Linkedin En effet, il  estime que l’objectif principal est de déterminer notre niveau de pollution afin de guider des efforts de réduction par des changements dans les comportements ou les technologies.  Il convient de noter que l’empreinte carbone quantifie la quantité de gaz à effet de serre émise par une activité donnée, que ce soit par un individu, un produit ou un service

Le bilan carbone, plus global, sert à comparer les émissions produites avec celles qui sont absorbées ou compensées par des puits comme les forêts ou les sols. Il est souvent utilisé par des entreprises ou des nations pour vérifier si elles ont atteint la neutralité carbone, c’est-à-dire un équilibre entre ce qu’elles émettent et ce qu’elles captent.

Ainsi, la première question interpelle sur « la quantité de pollution générée », tandis que la seconde s’intéresse à  » la capacité à compenser cette pollution ». 

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Pollutec Lyon 2025 : les start-up tunisiennes, ambassadrices de l’innovation verte

09. Oktober 2025 um 10:23

Dans un contexte où les défis environnementaux imposent des solutions concrètes, Pollutec 2025 s’affirme comme un rendez-vous majeur pour les acteurs de la transition écologique et industrielle. Organisé du 7 au 10 octobre 2025 à Eurexpo Lyon, le salon européen de référence confirme son rôle moteur dans la transformation verte.

Depuis 47 ans, Pollutec accompagne la mutation de l’industrie, des villes et des territoires, avec un objectif : accélérer la mise en œuvre de solutions durables. Tous les deux ans, il rassemble plus de 50 000 professionnels et 2 000 exposants, dont 200 start-up venues présenter leurs innovations.

Présent au salon Pollutec 2025, le consul général de Tunisie à Lyon, Nader Bousrih, a salué la forte présence tunisienne des start-upeurs.

Il a souligné que ces jeunes entrepreneurs, au-delà de leurs solutions technologiques à la pointe, jouent aussi un rôle de véritables ambassadeurs de la Tunisie à l’international. « Ce qui nous réunit avant tout, c’est notre attachement à la Tunisie », a-t-il déclaré.

La délégation tunisienne a participé à cet événement dans le cadre d’un programme coordonné par la Chambre de Commerce Tuniso-Française et Expertise France en Tunisie, assurant un accompagnement et un soutien aux start-up durant toute leur présence au salon.

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Anne-Manuèle Hébert: « Le coût de la transition écologique est moins élevé que celui de l’inaction »

08. Oktober 2025 um 16:31

Après une édition 2023 unanimement saluée comme une réussite, le salon Pollutec revient à Lyon du 7 au 10 octobre 2025. Véritable rendez-vous des enjeux environnementaux et climatiques, l’événement revendique plus que jamais son rôle de plateforme multisectorielle. Anne-Manuèle Hébert, directrice du salon nous en parle. Interview:

Quels exemples concrets d’innovation en bioéconomie seront mis en lumière lors de cette édition 2025 ?

La bioéconomie, c’est avant tout l’émancipation vis-à-vis des énergies fossiles. Il s’agit de replacer la nature au centre, de préserver les ressources et d’inscrire l’économie dans une logique plus régénérative.

Le thème central, quand on parle de bioéconomie, c’est la gestion des ressources : comment mieux les utiliser, comment faire des choix judicieux dans leur exploitation. Vient ensuite la circularité : les entreprises, désormais engagées et contraintes, doivent réutiliser ou recycler les déchets qu’elles produisent.Au-delà de ces obligations, se pose aussi la question de la souveraineté : comment optimiser les ressources, notamment les métaux rares, pour renforcer notre autonomie ? La bioéconomie englobe tous ces enjeux.

En réalité, ce sujet concerne chacun des secteurs présents à Pollutec, tout comme la décarbonation. Lorsqu’on évoque la décarbonation, on pense souvent aux énergies renouvelables ; or certaines mobilisent d’autres thématiques, comme la collecte de biodéchets ou la méthanisation. L’hydrogène, par exemple, nécessite une quantité importante d’eau , une ressource aujourd’hui rare , ce qui ramène à la question cruciale de sa gestion : quelle eau utilisons-nous ? Est-elle traitée, récupérée ? Tout est interconnecté.

La bioéconomie s’inscrit ainsi dans une logique de collaboration intersectorielle, car toutes les industries sont concernées par la raréfaction et la valorisation des ressources. Un enjeu commun se dégage : lutter contre le stress hydrique.Cela fait de nombreuses années que certaines régions subissent une pénurie chronique d’eau, et aujourd’hui, c’est l’Europe dans son ensemble qui y est confrontée.

Peut-on parler de solutions aujourd’hui?

Des solutions existent, comme la réutilisation des eaux usées traitées (REUT), mais elles nécessitent un cadre réglementaire clair, encore absent dans de nombreux territoires.Il est donc essentiel de sensibiliser et de mettre en place des stratégies pour récupérer les eaux de pluie et anticiper les pollutions.

À Pollutec, une table ronde sera d’ailleurs consacrée à la thématique de l’eau en lien avec le secteur agricole : comment prévenir les contaminations, notamment celles dues à l’usage de pesticides, principale cause de pollution durable des sols et des nappes phréatiques.

En somme, il s’agit d’anticiper pour moins avoir à gérer. C’est notamment un chiffre qui est quand même assez marquant. Le coût de la transition écologique est moins élevé aujourd’hui que le coût de l’inaction.

Le coût de l’inaction est estimé à 110 milliards d’euros par an en Europe, alors que le coût de la transition serait estimé à environ 100 milliards. Donc on est avec un peu de rationalité économique, on comprend vite les co-bénéfices de la transition écologique.

Quels sont les nouveaux secteurs traités lors de cette édition, et pourquoi ?

Il n’y a pas vraiment de nouveaux secteurs. Nous accueillons onze grandes familles sur Pollutec : c’est traditionnel. Les trois plus importantes, sur lesquelles on communique beaucoup, sont bien sûr l’eau, l’énergie et les déchets. Mais nous avons aussi la Ville durable, les risques, l’air, les sols et, évidemment, la biodiversité.

Nous couvrons ainsi un large spectre de thématiques.Cette année, nous proposons une approche complémentaire à celle de Pollutec. Ce salon présente des solutions concrètes et s’adresse notamment aux entreprises et aux collectivités qui viennent y chercher des réponses à leurs problématiques.Nous avons développé un nouveau cycle de conférences :une journée dédiée au textile,une journée à l’agriculture,et une journée à la mobilité.

L’objectif est d’aborder des filières et des marchés spécifiques, de sensibiliser et de recruter des acteurs de la transformation écologique parmi des profils qui ne sont pas forcément experts du domaine, mais qui sont confrontés à des enjeux de gestion des déchets, de circularité ou de décarbonation. Notre ambition est de décrypter l’offre de Pollutec pour aider les professionnels à comprendre comment transformer leur modèle.

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Pascal Terrasse : « Renforcer les liens entre les deux rives de la Méditerranée est une nécessité vitale »

08. Oktober 2025 um 12:30

À l’occasion du salon Pollutec (du 7 au 10 octobre 2025), à Lyon, Pascal Terrasse, directeur général adjoint du CEREMA, un centre technique national qui regroupe près de 2 500 techniciens et ingénieurs en France, explique les enjeux de cet événement majeur dédié aux métiers de l’environnement  dans une déclaration exclusive à leconomistemaghrebin.com 

« Ce salon s’inscrit dans un calendrier européen où il figure parmi les plus reconnus dans le domaine de l’environnement. Sans aller jusqu’à dire qu’il est mondialement le plus important, il est en tout cas considéré comme l’un des plus innovants. On y retrouve l’ensemble des acteurs professionnels de l’économie verte : propreté, gestion de l’eau, qualité de l’air, adaptation aux défis climatiques… C’est également un espace d’échanges privilégié, où se rencontrent des délégations venues de toute l’Europe et du monde entier. ”

Pour le CEREMA, l’événement est aussi une opportunité de dialogue international 

« C’est pour nous l’occasion d’échanger avec nos collègues de Tunisie, qui font face à des défis climatiques comparables à ceux de la périphérie méditerranéenne : littoral, changement climatique, habitabilité. Toutes les COP successives soulignent les risques croissants qui pèsent sur nos populations. En tant que décideurs publics, nous devons accompagner ces populations dans leur adaptation », poursuit-il.

Interrogé sur  les interdépendances entre l’Europe et l’Afrique, Pascal Terrasse précise : « On ne peut pas imaginer une Europe prospère si sa périphérie se porte mal. La Méditerranée n’est pas un océan : c’est un lac magnifique, mais fermé. Ce qui se passe sur l’une des rives a des conséquences directes sur l’autre. Quand l’Afrique du Nord tousse, c’est l’Europe qui s’enrhume. Les liens entre les deux rives sont profonds et doivent être renforcés, sur les plans culturel, social, sportif, économique et environnemental. » Il estime que les enjeux environnementaux dépassent toutes les autres considérations. »

Avant d’ajouter: « C’est ce qui conditionnera demain la possibilité même de vivre sur notre planète. L’enjeu n’est ni politique ni religieux : il s’agit avant tout de la survie de l’humanité. Quand l’Afrique est en difficulté, l’Europe l’est aussi et inversement. L’Europe n’a pas de leçons à donner à l’Afrique ; c’est dans la coopération et le partenariat que nous devons avancer ensemble. »

Et de conclure : « Je suis heureux d’avoir signé cette convention. C’est une fierté de voir un établissement public comme le CEREMA poursuivre ses missions à l’international, mobiliser ses chercheurs et valoriser son innovation et ses travaux tout au long de l’année. Tout cela doit contribuer, collectivement, à construire un avenir meilleur pour tous. » 

Voir vidéo en interview:

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Pollutec – Transition verte : le CITET et le Cerema unissent leurs expertises entre la Tunisie et la France

08. Oktober 2025 um 11:40

En marge du Salon Pollutec 2025, organisé à Eurexpo Lyon, le Centre International des Technologies de l’Environnement de Tunis (CITET) et le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) ont officialisé, dans l’après midi du mardi 7 octobre 2025, un accord-cadre de coopération stratégique.

La signature s’est tenue en présence de Kmaira Ben Jannet M’Zali, Directrice Générale du CITET, et de Pascal Terrasse, Directeur Général Adjoint du CEREMA, également en charge de la stratégie, de la communication et des relations extérieures. Cet accord, né d’un échange amorcé lors de l’édition 2025 de Pollutec, vient concrétiser une ambition commune : renforcer la coopération entre les deux rives de la Méditerranée pour une transition écologique inclusive et durable. Il porte sur le partage d’expériences et d’expertises dans des domaines clés tels que l’aménagement durable, l’économie circulaire et l’adaptation au changement climatique.

La cérémonie a rassemblé une importante délégation tunisienne, représentant le ministère de l’Environnement, le ministère de l’Économie et de la Planification, ainsi que la chambre de commerce tuniso-française et plusieurs startups engagées dans l’innovation verte. Du côté français, étaient présents des représentants du CEREMA, du ministère de la Transition écologique et des membres du projet Greenov’i, conduit par Expertise France.

En somme, symbole d’un partenariat structurant, cet accord souligne la volonté du CITET et du CEREMA de consolider la coopération scientifique et technique entre la Tunisie et la France, avec pour horizon une Méditerranée plus durable et résiliente.

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WhiteCycle à Pollutec : vers une économie circulaire du textile technique en Europe

08. Oktober 2025 um 08:06

Lors de la première journée du salon Pollutec, rendez-vous incontournable dédié aux solutions environnementales et aux innovations industrielles, Clémentine Devarenne, ingénieure chimiste, chargée de Projets & Innovation chez Axelera, a présenté le projet WhiteCycle. Une initiative européenne ambitieuse visant à transformer les déchets textiles complexes en nouvelles matières premières recyclées.

Clémentine Devarenne, partenaire du projet WhiteCycle, a présenté cette initiative dans le cadre du salon Pollutec. Il est financé par la Commission européenne. 

Elle rappelle, dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com, que ce projet, lancé en 2023 et prévu jusqu’en 2027, réunit 13 partenaires européens. Son objectif est de mettre en place une chaîne de valeur complète pour le recyclage des textiles complexes jusque-là incinérés ou enfouis.

Elle précise dans ce contexte que WhiteCycle s’intéresse notamment aux textiles techniques utilisés pour des applications spécifiques, comme les tuyaux, les pneus, les vestes de ski ou les doudounes. L’enjeu est de transformer ces déchets en polymères afin de produire à nouveau du textile, dans une logique d’économie circulaire visant à réduire le gaspillage et à préserver les ressources naturelles.

L’ambition du projet est de démontrer que toutes les étapes – du tri à la production de fil recyclé – peuvent être réalisées en Europe à grande échelle, ouvrant la voie à une future industrialisation du procédé. Si le projet est pour l’instant centré sur le marché européen, il pourrait, à terme, être adapté à d’autres régions comme l’Afrique ou l’Asie.

Clémentine Devarenne souligne la dynamique positive en Europe autour de l’économie circulaire, portée par des financements de la Commission européenne. Et ce, même si situer le continent en avance ou en retard reste difficile du fait de la diversité des thématiques.

À Pollutec, l’équipe présente les avancées du projet, avec des résultats de plus en plus nombreux à partager. Plus qu’une recherche de contrats, la participation au salon vise à faire connaître WhiteCycle, diffuser ses résultats et inspirer d’autres initiatives similaires dans le domaine du recyclage et de l’économie circulaire.

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Bassem Hassan: « Les échanges Tunisie-Égypte passent de 508 millions à 1 milliard de dollars en 2 ans »

06. Oktober 2025 um 22:29

La fête du 6 octobre en Égypte, célébrée cette année le lundi 6 octobre 2025, célèbre la victoire emblématique des forces armées égyptiennes lors de la guerre du Kippour en 1973.

Rencontré lors de cet événement, l’ambassadeur d’Égypte en Tunisie, Bassem Hassan, a souligné dans une déclaration exclusive à leconomistemaghrebin.com que la coopération entre les deux pays connaît actuellement une phase particulièrement prometteuse, avec des avancées notables dans divers secteurs.

Il estime que la coopération entre l’Égypte et la Tunisie est à l’un de ses plus beaux moments de distinction, avec une continuité dans tous les domaines. Récemment, la tenue de la dix-huitième session de la Haute Commission mixte a renforcé ce partenariat. Les relations entre dirigeants, gouvernements et peuples des deux nations sont un exemple de coopération arabe réussie.

Interrogé sur les indicateurs économiques, l’ambassadeur a indiqué que les échanges commerciaux ne reflètent pas encore pleinement la qualité des relations politiques entre les deux pays. Toutefois, une prise de conscience commune de cet écart existe. Cette fois-ci, des plans et des stratégies minutieusement étudiés ont atteint des phases avancées, visant à dynamiser le commerce, l’investissement et le tourisme.

Il précise dans ce contexte: « nous annoncerons très prochainement de bonnes nouvelles ». À propos du calendrier, il a également ajouté que dans les deux à trois prochaines années, de grands projets d’investissement verront le jour entre l’Égypte et la Tunisie. Parmi les idées innovantes figure la création d’une liaison maritime directe.

L’objectif ambitieux est de doubler le volume des échanges commerciaux en deux ans, passant de 508 millions à un milliard de dollars d’un seul coup. « C’est la première fois que nous nous mettons d’accord sur une telle multiplication et sur un chiffre précis », a-t-il conclu.

Ambassadeur d'Egypte en Tunisie Bassem Hassan

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Grève générale dans l’enseignement primaire le 7 octobre 2025

06. Oktober 2025 um 12:27

L’Union générale de l’enseignement relevant de l’UGTT a annoncé la tenue d’une grève générale dans toutes les écoles primaires prévue pour le mardi 7 octobre 2025.

Cette décision intervient à l’issue de la réunion de l’instance administrative sectorielle tenue le 1er août 2025, à laquelle le ministère de l’Éducation n’a pas répondu aux revendications figurant dans la liste professionnelle. L’Union a envoyé des notifications officielles à la cheffe du gouvernement ainsi qu’aux ministres de l’Éducation et des Affaires sociales pour les informer de ce mouvement de protestation. Selon l’annonce, il est important de répondre aux demandes des enseignants afin de garantir la stabilité du système éducatif et de préserver les droits du personnel enseignant.

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Sébastien Lecornu démissionne après seulement 27 jours à Matignon

06. Oktober 2025 um 11:21

Sébastien Lecornu, qui se percevait lui-même comme le Premier ministre le plus fragile de la Ve République, entre dans l’histoire comme celui ayant effectué le plus court mandat. L’ancien ministre des Armées a donc présenté sa démission à Emmanuel Macron ce lundi 6 octobre, après seulement 27 jours à Matignon, et moins de vingt-quatre heures après avoir dévoilé la composition de son gouvernement.

Selon plusieurs médias français, notamment 20minutes.fr et Le Monde, Sébastien Lecornu a présenté sa démission seulement 27 jours après sa nomination par le président Emmanuel Macron, devenant ainsi le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République. Sa démission, acceptée par Macron, fait suite à de nombreuses critiques de l’opposition et de la droite.

Cette décision plonge la France dans une crise politique majeure, sans précédent, alors que Lecornu devait exposer sa politique générale à l’Assemblée nationale mardi 7 octobre. Elle met également Emmanuel Macron sous une forte pression politique, avec des appels à une nouvelle dissolution de l’Assemblée ou même à sa propre démission.

A noter que depuis sa réélection en mai 2022, cinq Premiers ministres se sont succédé à Matignon.

La nomination de Sébastien Lecornu, ex ministre des Armées et proche de Macron, avait déjà suscité des réactions négatives à gauche et au Rassemblement national, qui menaçaient de le censurer rapidement en cas d’absence de rupture nette dans la politique menée.

Par ailleurs, Les Républicains ont accru la pression en conditionnant leur soutien à des garanties politiques précises.

Il convient de noter que le premier gouvernement de Sébastien Lecornu, annoncé le dimanche 5 octobre, comporte dix-huit ministres, dont douze ont été reconduits. 

Lire aussi: France – Premier gouvernement Lecornu : on prend (presque) les mêmes et on recommence

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Sebastian Galindo Cantor : « Le Brésil, premier partenaire commercial de la Tunisie au Mercosur »

06. Oktober 2025 um 10:43

Les relations entre la Tunisie et l’Amérique latine connaissent une coopération économique en pleine croissance; bien qu’encore modeste comparée aux échanges avec l’Europe. Sur le plan commercial, la Tunisie cherche à renforcer ses partenariats avec plusieurs pays latino-américains, en particulier via le Mercosur, le marché commun sud-américain. L’établissement d’un accord de libre-échange avec le Mercosur constitue une ambition claire pour faciliter les échanges bilatéraux.

Plusieurs initiatives ont été lancées, comme le programme SALMA Dialogue, initié en 2018. Lequel vise à créer des synergies économiques et des partenariats entre les entreprises tunisiennes, africaines, latino-américaines et européennes.

Ce forum a notamment permis de mettre en lumière les similarités entre ces régions face à leurs enjeux économiques et sociaux, ouvrant ainsi la voie à une coopération renforcée. Rencontré en marge de l’événement de l’IATF au pavillon tunisien, Sebastian Galindo Cantor, cofondateur et vice-président de la Chambre de commerce latino-américaine et africaine (CLAF), rappelle dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com que la coopération économique entre la Tunisie et l’Amérique latine progresse, bien qu’elle reste encore modeste, notamment par rapport aux échanges avec l’Europe.

Il souligne : « Plusieurs initiatives ont été mises en œuvre, comme le programme SALMA Dialogue lancé en 2018, destiné à créer des synergies entre entreprises des trois régions. Ce forum a révélé les points communs des enjeux économiques et sociaux de ces territoires, ouvrant la porte à une coopération renforcée. »

Il conclut en précisant : « Le Brésil est aujourd’hui le premier partenaire commercial de la Tunisie au sein du Mercosur, notamment pour les exportations tunisiennes vers cette région. L’intérêt porte aussi sur des secteurs comme la recherche scientifique, l’agriculture, l’industrie pharmaceutique et les phosphates. »

Alors que les échanges restent encore limités, la volonté tunisienne de tisser des liens plus forts avec l’Amérique latine, portée par des initiatives comme SALMA Dialogue, laisse entrevoir un avenir prometteur pour un partenariat sud-sud dynamique et inclusif.

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Deux ans après le mandat de dépôt contre Abir Moussi…l’heure du bilan

05. Oktober 2025 um 14:41

Après deux ans depuis le mandat de dépôt contre Abir Moussi, présidente du parti Destourien Libre (PDL), il est temps de faire le bilan. Un rassemblement réunissant militants et membres du bureau politique du parti a dénoncé sa détention arbitraire ainsi que les multiples violations de ses droits. Ses défenseurs et sympathisants appellent à sa libération immédiate, dénonçant un procès politique sous-tendu par une justice instrumentalisée.

Akila Dridi, membre du comité de défense d’Abir Moussi, rappelle que ce rassemblement survient deux ans après le mandat de dépôt lié à l’affaire du bureau d’enregistrement au palais présidentiel, où Abir Moussi a déposé des recours contre des décrets présidentiels relatifs aux élections locales. Agissant à la fois en tant que cheffe d’un parti d’opposition, avocate et citoyenne, elle s’est présentée accompagnée d’un huissier et d’un avocat, mais a néanmoins été poursuivie en vertu de l’article 72 du Code pénal.

La phase d’instruction judiciaire étant close, l’affaire est désormais entrée en phase de jugement avec une première audience prévue le 24 octobre devant la 4ème Chambre criminelle. À ce stade, le comité de défense observe un boycott des audiences, en attente de discussions avec le bâtonnier des avocats pour décider s’ils maintiendront cette position.

Akila Dridi dénonce ces deux années de détention arbitraire, qualifiant le dossier de « procès politique par excellence ». Elle espère que la chambre criminelle requalifiera les faits en infractions moins graves, contestant la gravité des accusations fondées sur l’article 72.

De son côté, Nafaâ Laribi membre du comité de la défense de Abir Moussi souligne qu’au jour de l’intervention, Maître Abir Moussi comptait 732 jours de détention arbitraire. Dès son arrestation, le 3 octobre 2023 au soir, celle-ci a été qualifiée d’arrestation arbitraire aux méthodes « musclées ». Le lendemain, une conférence de presse a détaillé les circonstances de son arrestation. Ce même jour, le comité de défense fut surpris d’apprendre lors d’une rencontre avec le procureur général que ce dernier n’avait pas été officiellement informé de l’événement, n’en ayant eu connaissance que par voie médiatique.

Le 5 octobre 2023, la section régionale des avocats de Tunis a reçu la notification officielle des poursuites judiciaires qu’en début d’après-midi, vers 12h30. Peu après, entre 13h30 et 14h, Maître Abir Moussi a comparu devant le doyen des juges d’instruction, qui a émis un mandat de dépôt fondé sur l’article 72 du Code pénal, une disposition prévoyant la peine capitale.

L’utilisation de cet article a profondément surpris avocats et citoyens, particulièrement dans le contexte d’une récente condamnation à mort prononcée contre un citoyen pour un simple statut Facebook, décision rendue par le tribunal de première instance de Nabeul et perçue « comme très inquiétante ».

Concernant le suivi du dossier, la première audience est fixée au 24 octobre. La défense n’a pas encore tranché sur leur participation aux audiences pour assurer la représentation légale, cette décision dépendant des prochaines réunions avec le bâtonnier des avocats et les membres du Conseil de l’Ordre, dont l’avis est considéré comme déterminant.

Abdessalem Chouguir, analyste politique, dénonce la détention prolongée d’Abir Moussi qu’il qualifie de “politique”. Il rappelle que la présidente du PDL est détenue depuis plus de deux ans et que plusieurs avocats, y compris non politisés, dénoncent des violations répétées du droit. Il critique aussi les multiples transferts d’Abir Moussi entre différentes prisons, jugés « excessifs, estimant qu’elle est traitée comme une criminelle menaçant la sécurité nationale sans justification valable. »

Le rassemblement exige sa libération, témoignant d’une forte solidarité historique envers sa lutte et son parti. Chouguir affirme que « Moussi est incarcérée pour avoir révélé des dossiers sensibles, notamment Atlantis, et insiste sur l’absence de preuves tangibles à son encontre. »

Il met également en cause la gestion étatique du dossier et la réponse insuffisante face au scandale international lié à « la peine de mort, considérant que cette politique pourrait préparer un jugement extrême à l’encontre d’Abir Moussi ».

Alors que l’audience du 24 octobre approche, Abir Moussi reste au centre d’un procès controversé qui capte l’attention politique non seulement de son parti, mais aussi d’une partie de l’opinion publique, en attente des décisions à venir.

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Recherche sur les violences basées sur le genre : un séminaire pour outiller les jeunes chercheurs face aux terrains sensibles

03. Oktober 2025 um 16:46

La faculté des Sciences Économiques et de Gestion de Sousse organise un séminaire dédié aux méthodologies de recherche sur les violences basées sur le genre (VBG). Organisé dans le cadre du projet Sila, cofinancé par l’Union Européenne et piloté par Enabel et l’AECID,  le CAWTAR ayant  mis en place un « Programme d’appui à la prévention contre les violences basées sur le genre à travers une approche participative entre universités, société civile et experts en particulier dans cinq régions de la Tunisie (le Grand Tunis, le Kef, Sfax, Sousse et Gabès) » Cet événement vise à renforcer les compétences des étudiants en master confrontés aux défis spécifiques des enquêtes menées sur des terrains sensibles.

Ce rendez-vous propose une formation axée sur les enjeux pratiques, éthiques et épistémologiques liés à la collecte de données auprès de populations vulnérables, dans un contexte marqué par la stigmatisation et la violence. À travers une approche participative incluant des chercheurs locaux et étrangers, les participants pourront échanger sur les bonnes pratiques et approfondir leurs savoir-faire méthodologiques.

Le séminaire s’articule en deux temps. Tout d’abord une séance plénière le matin, durant laquelle des experts partageront leur expérience de terrain. Puis des ateliers de travail l’après-midi et le lendemain pour accompagner les étudiants dans le développement de leurs projets de recherche. Ce dispositif vise aussi à favoriser la création d’un réseau interrégional entre jeunes chercheurs, associations et universités, pour une meilleure synergie dans la lutte contre les violences basées sur le genre sur l’ensemble du territoire.

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Accompagnement juridique des militants palestiniens détenus après la Flottille Soumoud

03. Oktober 2025 um 10:01

Souad Bachara, cheffe de l’équipe de l’ONG Adala, a quitté il y a quelques minutes le port d’Ashdod en compagnie des autres avocats palestiniens, suite à la conclusion des interrogatoires. Les avocats d’Adala ont passé près de vingt-quatre heures hier à accompagner l’ensemble des militants tout au long des interrogatoires, qui se sont achevés il y a environ une heure.

Tous les militants kidnappés ont été transférés par l’État occupant des eaux internationales vers la prison de Kesidiyot, située dans le désert du Néguev, entre Gaza et l’Égypte, à une trentaine de kilomètres de cette dernière, en attente de leur expulsion.
L’équipe juridique d’Adala se dirige actuellement vers cette prison afin de rendre visite aux militants détenus et de s’assurer de leur état.

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