Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 11. Juli 2025Haupt-Feeds

Projet “Nakhla” à Gafsa : des femmes formées au leadership et aux enjeux climatiques

11. Juli 2025 um 15:42

L’association Capsa Horizons a clôturé, jeudi, à Gafsa, le projet “Nakhla – La voix des femmes de l’oasis”, mené pendant une année en partenariat avec plusieurs directions régionales, dans le cadre du programme “Fa’ela” financé par l’Union européenne.

Le président de l’association, Aymen Zouali a indiqué à l’Agence TAP que le projet a démarré en avril 2024, avec la participation de 20 jeunes femmes issues des localités oasiennes à Lalla, El Ksar, El Guettar, El Aguila et Gafsa.

Ce projet vise à intégrer les jeunes femmes à la vie publique, à les sensibiliser aux changements climatiques et à renforcer leurs compétences en leadership, communication et plaidoyer.

Elles ont ainsi bénéficié de formations en communication, l’impact du changement climatique sur l’agriculture et la vie quotidienne ainsi que les solutions adaptées à ce milieu, a souligné la même source.

Le programme a également comporté des visites dans les cinq oasis concernées dans le but de l’observation directe des effets du changement climatique, la collecte de témoignages de femmes agricultrices ainsi que l’identification des défis environnementaux et sociaux, tels que la pénurie de ressources en eau et la dégradation de la qualité des sols.

Des émissions radiophoniques ont été produites, dans le cadre de ce programme, en partenariat avec une radio associative, abordant des thématiques telles que les problèmes spécifiques aux oasis, la situation environnementale et la sécurité alimentaire.

Le programme “Nakhla” a permis aussi de créer un noyau  de jeunes femmes leaders dans les villages oasiens, capables d’exprimer leurs préoccupations et de renforcer la prise de conscience du travail dans les oasis.

L’article Projet “Nakhla” à Gafsa : des femmes formées au leadership et aux enjeux climatiques est apparu en premier sur WMC.

Climat en Tunisie : mai 2025 plus chaud que la normale avec un excédent pluviométrique record

11. Juli 2025 um 15:33

Le mois de mai 2025 a été plus chaud que la normale avec une hausse des températures de +0,9°C, confirmant, ainsi, les résultats des changements climatiques relatifs à une tendance à la hausse de la chaleur en Tunisie.

Le net changement du temps qui s’est opéré pendant les mois précédents a continué pendant le mois de mai. La Tunisie a retrouvé des pluies bienfaitrices notamment sous forme d’orages. Par conséquent le bilan pluviométrique total est excédentaire.

La température moyenne nationale, a atteint 22,3 °c, supérieure à la moyenne de référence (21.4°C) de +0.9°c. Au total, les températures moyennes du mois variaient entre 17,2 °C à Thala et 26,6°C à Tozeur. Les températures maximales moyennes ont varié entre 22,6°c à Thala et 32,5°c à Tozeur.

Quant à la température maximale moyenne nationale, elle a atteint 27,9 °c, supérieure à la moyenne de référence pour les mêmes stations (27,5 °c) avec une différence de +0,4 °c.

Les températures minimales ont varié entre 11,7 °C à Thala et 20,6°C à Tozeur. La température minimale moyenne nationale, était de 16,7°C, dépassant, ainsi, la moyenne de référence (15,3°C) de +1,4°C.

En mai, la pluie a été présente dans presque toutes les régions. Dans certaines, les précipitations ont été plus de deux fois que la normale. Les régions du nord ont dépassé largement la normale, le cumul total représente 194%.

Au centre, le cumul total représente 92,1% de la normale. Au sud du pays, les stations de Tozeur, Gabes, Kébili et Matmata ont bénéficié de quantités de pluie dépassant leurs normales.

A la station de Tataouine et Remeda, la pluie a été presque absente. Toutefois, le bilan total au sud a été excédentaire, représentant 117,3% de la normale du mois.

La station la plus arrosée en mai était celle de Kélibia avec un cumul mensuel de 114,5 mm, enregistrant, ainsi, un nouveau record mensuel (dernier record de 71mm en mai 2023).

Une quantité record de 77, 5 mm a été enregistrée durant la journée du 14 mai (dernier record enregistré le 10/05/1996 qui est de 49,9mm). Le pluviomètre de Jendouba a cumulé une quantité importante de 82,2 mm. La station d’El kef aussi a cumulé 78,5 mm.

Enfin, la vitesse du vent a dépassé les 60 km/h plusieurs fois dans plusieurs stations surtout à Kébili où il a été de 93,6km/h.

L’article Climat en Tunisie : mai 2025 plus chaud que la normale avec un excédent pluviométrique record est apparu en premier sur WMC.

BAD : une gouvernance efficace, clé pour stimuler le capital d’entreprise et attirer les investissements en Tunisie

11. Juli 2025 um 15:27

«Des institutions solides, une gouvernance efficace et un État de droit renforcé constituent les fondements indispensables à la mobilisation accrue des ressources nationales en Tunisie », c’est ce qui ressort du rapport « Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement », publié le 10 juillet courant, par la Banque Africaine du Développement (BAD).

La BAD estime qu’il est indispensable d’opter pour « la simplification des procédures administratives, la sécurisation juridique des investissements et la modernisation de l’environnement des affaires ». la finalité est de « stimuler le capital d’entreprise, favoriser l’investissement privé et renforcer la compétitivité de l’économie tunisienne ».

Le rapport souligne qu’il « est essentiel de consolider un cadre juridique et réglementaire robuste garantissant la transparence, la redevabilité et la protection des ressources, notamment dans le secteur extractif, où une gestion rigoureuse et inclusive peut renforcer la mobilisation des recettes et la durabilité des investissements ».

Evoquant le capital humain, la BAD recommande de «moderniser le système éducatif, en adéquation avec les besoins évolutifs du marché du travail, ainsi que de mettre en œuvre des politiques d’inclusion actives, ce qui est en mesure d’améliorer l’employabilité et de renforcer la cohésion sociale».

L’article BAD : une gouvernance efficace, clé pour stimuler le capital d’entreprise et attirer les investissements en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

BAD : la Tunisie appelée à optimiser l’utilisation de son capital pour soutenir son développement

11. Juli 2025 um 15:20

La Tunisie dispose de marges de progression significatives, pour optimiser l’utilisation de son capital national, notamment à travers une gestion plus intégrée, transparente et durable de ses ressources naturelles, humaines, productives et financières, d’après le Rapport Pays 2025/ Tunisie publié, le 10 juillet 2025, par la Banque africaine de développement (BAD).

Selon le rapport intitulé “Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement”, la BAD  recommande, à court terme, de renforcer la gouvernance du secteur extractif par une transparence accrue des contrats et des flux financiers, en vue d’une meilleure valorisation des ressources et d’une redevabilité renforcée.

La BAD estime, en outre, qu’un meilleur ciblage des subventions fondé sur un diagnostic technique rigoureux, permettrait de maîtriser les dépenses tout en préservant les ménages vulnérables.

Malgré l’existence de guichets uniques digitalisés (TTN, APII, TIA), leur interconnexion, leur ergonomie et leur orientation vers les PME nécessitent des améliorations pour favoriser un environnement propice à l’investissement.

L’accès aux soins de santé dans les zones défavorisées pourrait également être amélioré grâce à une cartographie numérique des besoins et à une répartition plus équitable des ressources humaines en santé.

Par ailleurs, face à l’accès restreint aux marchés de capitaux, la Tunisie gagnerait à diversifier ses sources de financement, en structurant davantage de projets bancables, éligibles au financement mixte associant ressources publiques, concessionnelles et privées. Les dispositifs publics de garantie, tels que la SOTUGAR, devraient être étendus pour faciliter le crédit aux PME et soutenir les projets à forte composante verte. La mise en place de bons d’investissement à destination de la diaspora permettrait de capter une part plus importante des transferts de fonds pour des projets productifs. D’autre part, la valorisation d’actifs publics sous-utilisés, notamment fonciers, à travers des concessions encadrées, représenterait une source additionnelle de capital mobilisable.

À moyen terme, la BAD souligne que la création d’un cadre institutionnel pour un fonds souverain permettrait de stabiliser les revenus issus des ressources naturelles et de financer des projets stratégiques intergénérationnels.

Toujours selon la banque, l’intégration des PME dans les chaînes de valeur nationales et régionales devrait être appuyée par des mécanismes ciblés, incluant des dispositifs de labellisation, des garanties financières et un accompagnement technique. Les programmes de formation technique devraient être mieux alignés avec les besoins des secteurs prioritaires, en étroite collaboration avec le secteur privé. L’élargissement de l’assiette fiscale passera par sur une mise à jour du cadastre, l’automatisation des contrôles fiscaux et une stratégie progressive de formalisation de l’économie informelle.

Le développement du marché obligataire domestique, notamment à travers les obligations vertes et les émissions spécifiques aux PME, offrirait une nouvelle source de financement local, tout en promouvant des investissements durables.

À long terme, la BAD considère que la Tunisie pourrait investir stratégiquement dans les énergies renouvelables à grande échelle, telles que le solaire et l’hydrogène vert, en tant que moteurs de transformation économique.

Parallèlement, la modernisation du système éducatif devra se poursuivre, avec un accent particulier sur les STIM (Sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) ainsi que sur l’orientation professionnelle. Enfin, une réforme progressive de la masse salariale publique et l’institutionnalisation de l’évaluation systématique des dépenses permettront de renforcer la soutenabilité budgétaire et d’améliorer l’efficacité de l’action publique à long terme.

L’article BAD : la Tunisie appelée à optimiser l’utilisation de son capital pour soutenir son développement est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le déficit commercial atteint 9,9 milliards de dinars à fin juin 2025

11. Juli 2025 um 15:12

Le déficit de la balance commerciale s’est creusé de 23,5%, à 9 900,5 MD, à fin juin 2025, contre 8 017,4 MD durant la même période de 2024, indique l’Institut National de la Statistique (INS) dans une note sur le Commerce Extérieur aux prix courants/juin 2025 publiée, vendredi.

Le taux de couverture a atteint un niveau de (76,2%) contre (79,9%) durant la même période en 2024. Ce déficit provient, principalement, de l’énergie (-5214,8 MD), des matières premières et demi-produits (-3257,9 MD), des biens d’équipement (-1588,1 MD) et des biens de consommation (-663,8 MD). En revanche, le groupe alimentation a enregistré un excédent de 824,1 MD.

Hors énergie, le déficit de la balance commerciale s’est réduit à (-4685,7 MD), tandis que le déficit de la balance énergétique s’est établi à (-5214,8MD), contre (-5794,1 MD) durant le premier semestre de l’année 2024.

Les résultats des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’extérieur aux prix courants durant le premier semestre de l’année 2025, révèlent que les exportations ont atteint le niveau de 31773,7 MD contre 31953,8 MD durant le premier semestre l’année 2024.

Quant aux importations, elles ont atteint le niveau de 41674,2 MD contre 39971,2 MD durant la même période de l’année 2024.

Selon les secteurs d’activités, les exportations ont enregistré une hausse dans le secteur des mines, phosphates et dérivés (+ 11,2%,), dans le secteur des industries mécaniques et électriques de (+6,2%), dans le secteur textile, habillement et cuirs de (+0,4%).

Par ailleurs, les exportations ont enregistré une baisse dans le secteur de l’énergie de (-36,3%) sous l’effet de la diminution de nos ventes de produits raffinés (245,6MD contre 950,4 MD), ainsi que le secteur des industries agro-alimentaires (-19,1%) à la suite de la baisse de la valeur de nos ventes en huiles d’olive (2346,6 MD contre 3406 MD).

S’agissant de la répartition géographique, les exportations tunisiennes vers l’union européenne, (70,3% du total des exportations) ont atteint, durant le premier semestre de l’année 2025, la valeur de 22348,9 MD contre 22332,6 MD durant la même période de 2024.

Les exportations sont en hausse avec l’Allemagne (+15,2%), la France (+4,8%) et les Pays Bas (+12,4%).

En revanche, elles ont baissé avec l’Italie (-7,1%) et l’Espagne (-31,9%). Vers les pays arabes, les exportations ont augmenté avec la Libye (+18,7%), le Maroc (+40,9%), l’Algérie (+27,8%) et l’Égypte (+44,7%)

S’agissant des importations, elles ont enregistré une hausse au niveau des biens d’équipement de (+17,6%), des matières premières et demi-produits de (+6,2%). De même, les importations des biens de consommation sont progressé de (+11,6%).

En revanche les importations de produits énergétiques ont enregistré une baisse de (-16,3%) et les produits alimentaires de (-2%).
Les importations avec l’union européenne (44% du total des importations), ont atteint 18354 MD contre 17601,9 MD durant le premier semestre de l’année 2024. Elles ont augmenté avec la France (+13,4%), l’Italie (+1,4%) et l’Allemagne (+10,6%). En revanche, elles ont baissé avec la Grèce (-28,5%) et la Belgique (-4,1%).

Hors union européenne, les importations ont augmenté avec la Chine (+37,7%) et la Turquie (+15,4%). En revanche elles ont enregistré une diminution avec la Russie (-20,1%) et l’Inde (-16,5%).

L’article Tunisie : le déficit commercial atteint 9,9 milliards de dinars à fin juin 2025 est apparu en premier sur WMC.

BAD : croissance modérée et inflation en recul en Tunisie d’ici 2026

11. Juli 2025 um 15:08

En Tunisie, la croissance économique devrait atteindre 1,9 % en 2025, puis 2,3 % en 2026, soutenue par les performances attendues dans les secteurs de l’agriculture et de l’industrie manufacturière, révèle la Banque Africaine de Développement (BAD) dans un rapport pays publié, jeudi.

Pour ce qui est de l’inflation, elle devrait poursuivre sa trajectoire à la baisse, pour s’établir à 6,4 % en 2025 et à 6,1 % en 2026, sous l’effet conjugué d’une politique monétaire restrictive et d’une baisse des pressions inflationnistes à l’échelle mondiale, souligne la BAD dans ce rapport intitulé ” Tirer le meilleur parti du capital de la Tunisie pour favoriser son développement”.

Le déficit budgétaire devrait se réduire progressivement, atteignant 5,3 % du PIB en 2025 et 4,9 % 2026, en lien avec les efforts de consolidation budgétaire et une amélioration de la mobilisation des ressources domestiques. En revanche, le déficit du compte courant devrait se creuser à 2,2 % du PIB en 2025 et 3,3 % en 2026, en raison, principalement, d’une augmentation anticipée des importations.

S’agissant des risques, la BAD a estimé que les perspectives économiques de la Tunisie demeurent fragiles, en raison d’un environnement international marqué par une incertitude persistante, expliquant que les tensions commerciales mondiales ainsi que les conflits géopolitiques dans la région pourraient peser sur la demande extérieure, accroître les coûts d’importation et perturber les chaînes de valeur, avec des répercussions potentielles sur la compétitivité de l’économie nationale.

A cela s’ajoutent la volatilité des prix des matières premières qui est de nature à raviver les pressions inflationnistes, ainsi que l’accès limité aux financements extérieurs, conjugué à des tensions budgétaires internes qui pourraient accentuer les vulnérabilités macroéconomiques.

Selon l’institution financière, une hausse prolongée des taux d’intérêt à l’échelle internationale alourdirait le coût du service de la dette et exercerait une pression dépréciative sur le dinar, ce qui fragilerait davantage la position extérieure du pays.

Parmi les autres risques, la Banque évoque la dette publique dont le profil actuel accroît les risques de refinancement. Par ailleurs, le solde du compte courant demeure exposé aux fluctuations des prix de l’énergie et des produits alimentaires.

Pistes pour renforcer la résilience économique de la Tunisie

Pour renforcer sa résilience économique, la Tunisie est appelée à poursuivre la diversification de ses partenariats commerciaux et sa gouvernance budgétaire rigoureuse et sa politique monétaire prudente, en vue d’améliorer durablement son accès au financement et de consolider sa stabilité macroéconomique, souligne la même source.

La Banque a recommandé de mettre en place une approche progressive et intégrée, articulant des politiques macroéconomiques adaptées à des réformes structurelles à court, moyen et long termes.

Ainsi, à court terme, les autorités devraient accélérer l’exécution des projets inscrits au budget, en particulier dans les secteurs prioritaires tels que les infrastructures, l’énergie, la santé et le numérique, et ce, à travers la simplification des procédures de passation des marchés publics, le renforcement des capacités des unités d’exécution, ainsi que l’instauration d’un système centralisé de suivi et d’évaluation des projets.

La BAD a, aussi, mis l’accent sur l’impératif d’intensifier la digitalisation de la gestion budgétaire et fiscale, notamment à travers l’intégration des systèmes de télédéclaration, la généralisation du paiement électronique, et l’interconnexion des bases de données fiscales et douanières, en vue d’améliorer la mobilisation des recettes et de renforcer la transparence.

Pour ce qui est de l’amélioration du climat des affaires, elle a insisté sur l’importance de simplifier le code des changes, d’adopter un cadre opérationnel pour les partenariats public-privé (PPP), et de réduire les délais de traitement des litiges économiques.

La Banque centrale, pour sa part, devrait poursuivre sa politique visant à contenir l’inflation tout en soutenant l’octroi de crédits à l’investissement productif, ajoute la même source.

A moyen terme, la Tunisie est appelée à engager une réforme fiscale structurante impliquant l’élargissement de l’assiette fiscale (notamment à travers la fiscalité foncière et une meilleure imposition du secteur informel), la rationalisation des exonérations, ainsi que la modernisation de l’administration fiscale par l’automatisation des contrôles et le renforcement des mécanismes de recouvrement forcé.

La restructuration des entreprises publiques en vue d’améliorer leur performance et leur viabilité, la mise en place d’une cellule de facilitation dédiée aux investisseurs dans les secteurs stratégiques assortis d’un dispositif d’incitations claires, stables et transparentes afin de cibler les IDE à fort contenu technologique, figurent aussi parmi les recommandations formulées par la Banque à moyen terme.

A long terme, l’institution financière a insisté sur l’intégration des PME dans les chaînes de valeur exportatrices, le renforcement des mécanismes de garantie, la promotion de pôles de compétitivité régionaux (clusters), et l’accompagnement à la certification qualité.

Evoquant le secteur informel, elle a souligné que sa formalisation nécessitera l’adoption de régimes fiscaux simplifiés, la poursuite de la digitalisation des services publics, ainsi que l’élargissement de l’accès au microcrédit, adossé à des dispositifs d’appui technique et de renforcement des capacités.

L’article BAD : croissance modérée et inflation en recul en Tunisie d’ici 2026 est apparu en premier sur WMC.

Valeo Ben Arous lance un programme éducatif inédit pour sensibiliser les enfants aux enjeux du numérique

11. Juli 2025 um 14:27

Dans le cadre de son engagement en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), Valeo lance une initiative innovante destinée à initier les enfants de 5 à 10 ans aux fondamentaux du numérique, de la logique et de la technologie. Ce programme, inspiré de la pédagogie Montessori, se distingue par une approche entièrement sans écran, favorisant les activités manuelles, collaboratives et sensorielles.

Une pédagogie ludique et responsable

Loin des écrans et des interfaces classiques, les ateliers proposés par Valeo visent à développer, dès le plus jeune âge, une compréhension intuitive du monde numérique.

Au programme :

-des jeux de logique pour découvrir les bases du code ;

-des parcours interactifs pour initier à la pensée algorithmique ;

-des défis collaboratifs pour stimuler la créativité et l’autonomie ;

En s’appuyant sur des outils concrets, les enfants apprennent à résoudre des problèmes, à raisonner et à travailler en équipe, tout en développant leur intelligence émotionnelle.

Former les citoyens numériques de demain

À l’heure de la transition digitale, Valeo entend accompagner les jeunes générations pour en faire des utilisateurs éclairés de la technologie, capables de comprendre les mécanismes du numérique plutôt que d’en être de simples consommateurs. Ce projet éducatif reflète la volonté du groupe de participer activement à la réduction des inégalités d’accès aux compétences technologiques.

Une initiative à vocation inclusive

Le programme sera lancé dans un premier temps au profit des enfants des salariés de Valeo. Il sera ensuite élargi, en collaboration avec des experts pédagogiques et des partenaires locaux, aux écoliers des zones rurales. L’ambition est claire : démocratiser les compétences numériques dès l’enfance et encourager un usage raisonné, éthique et créatif de la technologie.

Valeo, un acteur engagé pour une mobilité et une société durable

Avec plus de 100 000 collaborateurs à travers le monde et un chiffre d’affaires de près de 22 milliards d’euros, Valeo est un acteur majeur de l’équipement automobile, reconnu pour ses innovations en matière d’électrification, de conduite autonome et d’éclairage intelligent. À travers ce programme, le groupe affirme sa volonté d’inscrire sa stratégie RSE dans une logique d’impact social durable, en cohérence avec les défis technologiques et sociétaux à venir.

 

L’article Valeo Ben Arous lance un programme éducatif inédit pour sensibiliser les enfants aux enjeux du numérique est apparu en premier sur WMC.

Eau, énergie, transport : les grands axes de la future coopération entre la BEI et la Tunisie

11. Juli 2025 um 14:20

La coopération future entre la Tunisie et la Banque européenne d’investissement (BEI) pourrait être axée sur des projets d’efficacité énergétique, de lutte contre la déperdition de l’eau potable et d’amélioration de la mobilité ferroviaire, a déclaré le représentant de la BEI en Tunisie, Jean-Luc Revéreault.

Dans une interview à l’agence TAP, il a exprimé la disposition de la banque à financer de tels projets, selon les priorités du gouvernement tunisien.

Selon une enquête de la BEI, 60% des PME sondées affirment être confrontées à une concurrence accrue. Que propose la banque pour accompagner ces entreprises dans l’internationalisation ?

Cette enquête sur les défis des PME en Tunisie en 2025, réalisée dans le cadre du « Trade and Competitiveness Programme » (TCP), cofinancé par l’Union Européenne (UE), avait, en effet, pour objectif de comprendre et d’identifier les obstacles à l’internationalisation des PME tunisiennes.

Cette étude a montré que même si le financement demeure une préoccupation majeure pour la majorité des PME tunisiennes, il n’est pour autant, pas le premier obstacle face à leur internationalisation. Le premier obstacle c’est, en effet, le manque de compétitivité des entreprises tunisiennes face à la concurrence internationale, mais aussi régionale.

Le faible degré de préparation de ces entreprises à l’entrée en application de certaines barrières non tarifaires, telles que le mécanisme européen d’ajustement carbone aux frontières constitue un défi majeur pour les PME tunisiennes.

Partenaire de longue date de la Tunisie, la BEI œuvrera, à la lumière des résultats de cette enquête, à mettre en place les instruments d’appui nécessaires pour favoriser l’internationalisation des PME tunisiennes et le verdissement de leurs processus de production et renforcer leur intégration dans les chaînes de valeur.

Le premier instrument mobilisé, à cette fin, c’est la ligne de crédit de 170 millions d’euros, destinée au financement du projet d’Appui à la relance économique des PME et des entreprises de taille intermédiaires tunisiennes. Cette ligne va être déployée dans les semaines à venir après l’achèvement du processus de sélection des intermédiaires financiers.

Un financement de l’Union européenne d’un montant de 8 millions d’euros est mobilisé pour accompagner le déploiement de cette ligne de crédit sous forme d’assistance technique, ciblant, à la fois, les partenaires bancaires et les entreprises bénéficiaires.

Parallèlement, la BEI a mis en place une ligne de garantie de 8 millions d’euros, également sur les fonds de l’Union européenne, auprès de deux banques tunisiennes à savoir la BH Bank et l’UBCI (4 millions d’euros chacune), dans un souci de partage des risques avec les banques locales pour les inciter à appuyer des projets à fort potentiel, mais perçus comme plus risqués. Il s’agit du premier instrument déployé dans le cadre du programme « Trade and Competitiveness Programme » (TCP). S’il parvient à produire l’impact escompté, la ligne de crédit pourrait être renouvelée, avec une enveloppe plus importante et en ciblant davantage de banques.

Le deuxième volet du programme TCP, est celui de l’accompagnement. Les entreprises bénéficiaires seront accompagnées par des consultants mobilisés par la BEI, pour mieux se préparer à l’exportation et à l’intégration dans les chaînes de valeur et ce, dans 3 secteurs porteurs à savoir l’agriculture, le textile et l’automobile. Nous espérons pouvoir accompagner plusieurs centaines d’entreprises.

Pensez-vous que le climat des affaires en Tunisie est aujourd’hui favorable à l’internationalisation des entreprises ?

Je pense que les structures chargées de l’investissement sont en train de fournir de l’assistance nécessaire à ces entreprises pour prospecter de nouveaux marchés, les banques locales essayent, également, d’apporter leur contribution dans la limite de leurs moyens, et nous (partenaires financiers du pays), sommes en train de mobiliser les financements, les garanties et l’assistance nécessaires à chaque fois que nous sommes sollicités.

On pourrait toujours mieux faire, mais je pense qu’indépendamment de la question de l’internationalisation, l’enjeu est plutôt celui de la libéralisation du secteur privé. On a toujours l’impression que le parcours d’un chef d’entreprise en Tunisie demeure extrêmement compliqué et soumis à une multitude de contraintes administratives, réglementaires, fiscales ou autres. La Tunisie gagnerait énormément à alléger et à simplifier ce parcours.

Il est, aussi, nécessaire de réduire les difficultés logistiques et le coût de l’énergie qui influencent énormément, la compétitivité de l’entreprise tunisienne. Le pays dispose de grandes marges d’amélioration, à travers le renforcement des infrastructures logistiques et l’investissement dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

Quel est votre portefeuille de projets en cours en Tunisie ?

Nous sommes très présents dans le secteur de la mobilité et des transports. Quasiment tous les travaux routiers en cours dans le pays sont financés ou cofinancés par la BEI (Projet de la mise en 2X2 voies de la RR27 entre Nabeul et Korba, élargissement de la Route Nationale 13 (GP13) entre Sfax et Kasserine, et la BEI finance, également, le transport urbain avec le RFR et le renouvellement de la flotte de la ligne ferroviaire tunisienne TGM.

Nos projets couvrent, encore, le secteur de l’énergie, dans l’objectif d’appuyer la transition énergétique de la Tunisie (renforcement des réseaux, liaison électrique entre la Tunisie et l’Italie qui a bénéficié d’une subvention de plus de 300 millions d’euros de la part de la Commission européenne, développement des énergies renouvelables). Nous avons, également, mobilisé les fonds nécessaires pour élaborer l’étude relative au projet de station de transfert d’énergie par pompage à Tabarka. Lequel vise à améliorer le stockage d’énergie en Tunisie, en particulier pour faciliter l’intégration des énergies renouvelables.

La BEI finance de nombreux projets dans le secteur de l’eau et de l’assainissement à travers le projet d’appui au secteur de l’eau potable conclu avec la SONEDE et le programme d’investissement dans les zones côtières et de renforcement des capacités de l’ONAS.

Elle travaille, aussi, en étroite collaboration avec la Délégation de l’Union européenne sur l’amélioration des infrastructures sociales à travers des programmes très ambitieux de construction d’établissements scolaires dans tous les gouvernorats tunisiens ainsi que de rénovation de quartiers populaires.

Nous aimerions faire davantage dans le secteur de traitement des déchets solides et de la valorisation des déchets. A ce propos, un projet pilote a été lancé avec les municipalités de Sidi Bousaid, la Marsa et Carthage pour le traitement et la valorisation des déchets ménagers et j’espère que cette expérience pourra aboutir à une coopération plus large avec l’ANGED.

Qu’en est-il de votre stratégie de coopération future avec la Tunisie?

Notre stratégie de coopération future dépendra largement des priorités de la Tunisie qui seront fixées dans le cadre de son plan de développement 2026-2030. Mais il y a certainement des projets qui nous tiennent à cœur et sur lesquels nous avons déjà entamé des négociations avec les structures tunisiennes concernées.

Il s’agit en premier lieu d’un projet d’efficacité énergétique. En effet, les économies d’énergie associées à des investissements plus conséquents en énergies renouvelables pourraient aider le pays à atteindre son autonomie énergétique et à attirer des investissements énergivores tels que les data centers qui connaissent aujourd’hui un grand essor.

Je pense qu’on a souvent tendance à sous-estimer les économies qu’on pourrait faire au profit d’investissements plus visibles (production d’énergie renouvelable, dessalement) bien que les études ont montré qu’économiser les ressources dont on dispose est tout aussi important que d’investir dans de nouvelles ressources.

Nous sommes en discussion avec les autorités sur ce projet d’efficacité énergétique et j’espère que ces négociations pourront aboutir à un partenariat.

Sur un autre plan, nous discutons avec la SONEDE d’un grand projet visant à limiter la déperdition de l’eau potable. Ce projet passera, entre autre, par le renouvellement des réseaux de distribution, l’installation de compteurs intelligents…c’est un projet qui nécessite des investissements colossaux mais on peut prioriser en commençant par les grandes villes ou par les villes qui disposent de stations de dessalement de l’eau de mer car le dessalement d’eau coûte très cher et si l’eau dessalée est perdue dans les réseaux de distribution, ce sera une double perte.

Les études pour ce projet sont faites et le retour sur investissement est certain et nous espérons qu’il sera retenu dans le cadre des priorités futures du gouvernement tunisien.

La BEI négocie également un projet de mobilité ferroviaire avec la SNCFT pour financer la réhabilitation d’un certain nombre de lignes inexploitées et l’amélioration des lignes existantes.

Nous sommes aussi disposés à travailler avec le ministère de la Santé sur un projet de réhabilitation des infrastructures publiques de santé…

Mais tous ces projets, aussi prioritaires et nécessaires qu’ils soient, ne pourront aboutir que si nous sommes sollicités par le gouvernement tunisien pour les financer.

L’article Eau, énergie, transport : les grands axes de la future coopération entre la BEI et la Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Change devises en dinar tunisien : Cours du 11 juillet 2025

11. Juli 2025 um 13:48

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.902 2.954
Euro EUR 1 3.379 3.451
Yen Japonais JPY 1000 19.541 20.277
Livre Sterling GBP 13 3.885 4.032
Franc Suisse CHF 10 35.841 37.380

L’article Change devises en dinar tunisien : Cours du 11 juillet 2025 est apparu en premier sur WMC.

Tunisie-Bac 2025 : Sfax 1 en tête, Jendouba ferme la marche avec 43,08 %

11. Juli 2025 um 13:38

Avec un taux de réussite général de 71,31% à l’examen du baccalauréat, la délégation régionale de l’Éducation de Sfax 1 vient en tête du classement des délégations régionales à travers le pays au niveau des établissements de l’enseignement public.

Selon les statistiques publiées ce jeudi soir par le ministère de l’éducation, la délégation régionale de Médenine occupe la deuxième place avec 68,96 %, suivie de la délégation de Sfax 2 à la troisième place avec 68,86 %. La quatrième place revient à Sidi Bouzid avec 67,71 %, tandis que Mahdia se classe cinquième avec 63,69 %.

Les délégations régionales de Sousse, Ariana, Monastir, Tunis 1, Nabeul, Ben Arous et Tataouine arrivent respectivement aux rangs 6 à 12, avec des taux de réussite allant de 62,69 % à 60,42 %.

La délégation de Gabès est classée 13e avec 58,93 %, suivie de Tunis 2 (14e) avec 57,97 %, et de Tozeur (15e) avec 57,55 %.

La délégation de Kébili arrive 16e avec 56,06 %, suivie de Manouba (17e, 53,96 %), Bizerte (18e, 53,70 %), Siliana (19e, 52,82 %), Kasserine (20e, 50,86 %), et Le Kef (21e, 50,13 %).

Béja se place en 22e position avec 49,96 %, suivie de Gafsa (23e, 46,28 %), Kairouan (24e, 46,28 %), puis Zaghouan (25e) avec 46,15 %, tandis que Jendouba arrive en bas du classement (26e place) avec 43,08 %.

L’article Tunisie-Bac 2025 : Sfax 1 en tête, Jendouba ferme la marche avec 43,08 % est apparu en premier sur WMC.

Wimbledon : Swiatek qualifiée pour sa première finale à Londres, où elle affrontera Anisimova

11. Juli 2025 um 13:29

La Polonaise Iga Swiatek (N.4 mondiale) s’est qualifiée jeudi pour la première finale de sa carrière à Wimbledon, en écrasant la Suissesse Belinda Bencic (35e mondiale) en deux petits sets (6-2, 6-0).

En finale, prévue samedi, Swiatek affrontera l’Américaine Amanda Anisimova, tombeuse plus tôt de la N.1 mondiale, la Belarusse, Aryna Sabalenka, en trois sets (6-4, 4-6, 6-4).

Davantage à l’aise sur dur et sur terre battue depuis le début de sa carrière, Swiatek s’est qualifiée jeudi pour sa deuxième finale sur gazon d’affilée, deux semaines après avoir perdu la première de sa carrière au WTA 500 de Bad Homburg en Allemagne.

En quête d’un 23e titre depuis son quatrième sacre à Roland-Garros en juin 2024, la première Polonaise de l’ère Open (inaugurée en 1968) à atteindre la finale des quatre Grands Chelems a remporté ses cinq premières finales de tournois majeurs.

Bencic quitte pour sa part Londres avec une deuxième défaite en autant de demi-finales en Grand Chelem.

Elle s’était déjà hissée dans le dernier carré de l’US Open en septembre 2019, quelques mois avant de grimper à la 4e place mondiale, son meilleur classement.

Classée 489e en début d’année, la Suissesse va réintégrer le top 20 à l’issue de Wimbledon.

L’article Wimbledon : Swiatek qualifiée pour sa première finale à Londres, où elle affrontera Anisimova est apparu en premier sur WMC.

Wimbledon : Anisimova bat la N.1 mondiale Sabalenka et rejoint sa première finale à Londres

11. Juli 2025 um 13:18

L’Américaine Amanda Anisimova (12e mondiale) s’est qualifiée en finale du tournoi de Wimbledon, en s’imposant devant la N.1 mondiale Aryna Sabalenka en trois sets (6-4, 4-6, 6-4), en demi-finale disputée jeudi à Londres.

En finale, prévue samedi, Anisimova affrontera pour le titre la Polonaise Iga Swiatek (4e) ou la Suissesse Belinda Bencic (35e).

Anisimova disputait sa première demi-finale à Wimbledon et sa deuxième en Grand Chelem, six ans après s’être hissée à seulement 17 ans dans le dernier carré de Roland-Garros en 2019.

Revenue sur le circuit en janvier 2024 après avoir pris une pause de plus de six mois pour se ressourcer mentalement, Anisimova (23 ans) s’est offert sur le Central de Wimbledon sa première victoire contre une N.1 mondiale, et sa sixième contre Sabalenka (pour trois défaites), la joueuse qu’elle a le plus souvent dominée sur le circuit.

Plus jeune demi-finaliste américaine à Wimbledon depuis Serena Williams en 2004, Anisimova pourrait devenir samedi la troisième Américaine en trois Grand Chelem à remporter un tournoi majeur en 2025, après Madison Keys à l’Open d’Australie et Coco Gauff à Roland-Garros.

Promise au top 10 pour la première fois de sa carrière à l’issue de Wimbledon, Anisimova compte trois titres sur le circuit, dont le prestigieux WTA 1000 de Doha en février, mais aucun sacre sur gazon.

De son côté, la Bélarusse de 27 ans a échoué jeudi pour la troisième fois en demi-finale de Wimbledon, après avoir déjà calé à ce stade en 2021 et en 2023.

L’article Wimbledon : Anisimova bat la N.1 mondiale Sabalenka et rejoint sa première finale à Londres est apparu en premier sur WMC.

Tunisie-Bac 2025 : les mathématiques et le sport dominent les taux de réussite en Tunisie

11. Juli 2025 um 13:06

La taux général de réussite à l’examen du baccalauréat 2025, pour ses deux sessions (principale et de contrôle), a atteint 52,59 %, après la réussite de 76 178 élèves parmi un total de 144 858 candidats ayant passé les épreuves écrites des deux sessions.

Le taux de réussite le plus élevé a été enregistré dans la section du sport (88,19 %), suivie à la deuxième place par la section des mathématiques (82,62 %), puis à la troisième place par la section des sciences expérimentales (63,64 %).

La section des sciences de l’informatique est arrivée quatrième avec un taux de 58,39 %, suivie à la cinquième place par la section des sciences techniques (57,61 %), puis à la sixième place par la section de l’économie et de la gestion (42,74 %), tandis que la section des lettres est arrivée dernière avec un taux de 39,17 %.

Pour rappel, le taux général de réussite à l’examen du baccalauréat de l’année 2024 (sessions principale et de contrôle) était de 55,60 %.

L’article Tunisie-Bac 2025 : les mathématiques et le sport dominent les taux de réussite en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Tunisie-Bac 2025 : taux de réussite de 48,83 % à la session de contrôle, selon le ministère de l’Éducation

11. Juli 2025 um 13:02

Le taux de réussite à la session de contrôle de l’examen du baccalauréat 2025 a atteint 48,83 %, avec la réussite de 22 453 élèves sur un total de 45 979 élèves ayant passé les épreuves écrites de cette session, selon les statistiques publiées par le ministère de l’Éducation, jeudi après-midi.

La section des sciences techniques a enregistré le taux de réussite le plus élevé à la session de contrôle, avec 62,94 %, suivie en deuxième position par la section des sciences expérimentales avec 62,30 %, puis en troisième position par la section du sport avec 61,50 %.

En quatrième position, la filière économie et gestion avec un taux de réussite de 47,74 %, suivie en cinquième position par la section mathématiques avec 44,17 %, puis en sixième position la section lettres avec 37,25 %, tandis que la section informatique occupe la dernière position avec un taux de 32,90 %.

Quant au nombre d’élèves refusés à la session de contrôle du baccalauréat 2025, il s’élève à 23 526 élèves, soit un taux de 51,17 %, selon les statistiques du ministère de l’Éducation.

Pour rappel, le taux de réussite à la session principale de l’examen du baccalauréat 2025 était de 37,08 %, avec 53 721 élèves admis sur un total de 144 863 élèves ayant passé les épreuves écrites de cette session.

L’article Tunisie-Bac 2025 : taux de réussite de 48,83 % à la session de contrôle, selon le ministère de l’Éducation est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : recul de 3 % des exportations de l’habillement à fin mai 2025, malgré un bond du textile

11. Juli 2025 um 12:50

Les recettes des exportations de la filière habillement ont régressé légèrement de 3%, à 3,1 milliards de dinars, au cours des 5 premiers mois de l’année 2025, d’après des données publiées, récemment, par le Centre Technique du Textile (Cettex).

Cette baisse est expliquée par la diminution de l’exportation des vêtements en maille de 10,02%, et des vêtements en chaîne et trame de 0,32%.

En revanche, les exportations du textile ont enregistré une hausse de 30,2%, grâce à l’accroissement des exportations nationales surtout vers l’Algérie (+132,70%) et les Pays Bas (+5,70%).

Evoquant les importations destinées au marché local, la Cettex a fait savoir que les importations de tissus et de vêtements ont progressé respectivement de 14,7% et de 5,32%, contre une baisse des importations de fibres ( -7,92%) et de fils (- 0,75%).

Pour rappel, les exportations globales du secteur du textile et de l’habillement ont enregistré une hausse de 2,61%, pour avoisiner les 4 milliards de dinars, à fin mai 2025, tandis que les importations de la filière ont augmenté de 5,41%, à 3,1 milliards de dinars.

Près de 87% de l’ensemble de ses exportations sont destinés au marché européen, notamment la France, l’Italie, l’Allemagne, la Hollande, la Belgique, l’Espagne, le Portugal…, ainsi que le Royaume-Uni et les Etats Unis.

L’article Tunisie : recul de 3 % des exportations de l’habillement à fin mai 2025, malgré un bond du textile est apparu en premier sur WMC.

Zaghouan : 17 apiculteurs bénéficient d’un appui financier pour développer leurs activités

11. Juli 2025 um 12:30

Un programme d’appui au profit de 17 apiculteurs à Zaghouan a été lancé par le Commissariat régional au développement agricole et le groupement agricole des apiculteurs.

Une allocation de 8 mille dinars est accordée à  chaque bénéficiaire pour l’acquisition de matériels liés à l’élevage apicole, a indiqué à l’Agence TAP, Wahid Ferjani, président du groupement agricole des apiculteurs.

Il a ajouté que ces bénéficiaires ont obtenu un certificat de spécialisation en apiculture à l’issue d’une formation en la matière qui a duré deux mois.

Par ailleurs, une session de formation en apiculture en faveur de 60 femmes rurales est prévue dans la région, au cours du dernier trimestre de 2025,  selon le chef du projet de développement et promotion des filières agricoles, Mohsen Boumaiza.

L’article Zaghouan : 17 apiculteurs bénéficient d’un appui financier pour développer leurs activités est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : l’Office national des fourrages achète 50 000 tonnes de maïs pour stabiliser le marché

11. Juli 2025 um 12:23

L’Office national des fourrages (ONF), entité récemment créée pour la régulation et la gestion des ressources fourragères nationales, a annoncé, mercredi, l’achat de 50.000 tonnes de maïs fourrager, et ce dans le cadre d’un appel d’offres international annoncé le 8 juillet 2025.

Les quantités achetées de maïs, essentielles pour la production d’aliments pour volailles et ruminants, vient renforcer les stocks de fourrages en Tunisie, durant la période à venir, a indiqué le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la pêche, dans un communiqué.

L’opération s’inscrit dans le cadre des démarches d’ajustement du marché et de la maitrise des prix, ajoute la même source.

L’approvisionnement des éleveurs et des unités de production fourragère en ce produit, sera entamé, mardi 15 juillet, 2025, conformément aux directives d’un communiqué, rendu public, le 17 janvier 2025, qui définit les prix de vente et les procédures de dépôt et de paiement des commandes.

Pour rappel, l’Office national des fourrages a été créé de suite à des mesures prises en faveur du secteur de l’agriculture, par un Conseil des ministres, tenu le 4 janvier 2024.

L’initiative de créer cette entité a été motivée par des défis cruciaux liés à l’approvisionnement en fourrages, des perturbations dans le système de distribution et des perturbations dans le système de distribution et aussi des problèmes de production locale de fourrages.

L’article Tunisie : l’Office national des fourrages achète 50 000 tonnes de maïs pour stabiliser le marché est apparu en premier sur WMC.

Relance de l’industrie du textile tunisien : Les 17 propositions de la FTTH

11. Juli 2025 um 10:35

Habillement TextileLe textile tunisien n’a pas dit son dernier mot. Malgré des contraintes réglementaires, des retards dans la modernisation de l’administration et une fiscalité jugée pénalisante, le secteur conserve un fort potentiel de croissance, d’emploi et d’exportation.

Pour passer à l’action, la FTTH a présenté un ensemble de 17 propositions ciblées, touchant à la formation, à la fiscalité, aux infrastructures ou encore à la transition écologique. Une feuille de route ambitieuse qui appelle à une réelle volonté politique pour que la Tunisie retrouve son rang dans l’industrie textile mondiale.

  1. Régularisation du classement des entreprises existantes

La FTTH appelle à reconnaître officiellement les entreprises textiles créées avant la loi de 2009 sur la sécurité incendie. Aujourd’hui, ces structures sont actives mais non classées, ce qui bloque leurs activités, notamment dans les audits sociaux internationaux.

  1. Réforme du certificat de prévention incendie

Plutôt que de bloquer l’activité, la FTTH propose un système d’accompagnement avec des plans d’amélioration sur cinq ans, comme cela se fait dans les pays occidentaux.

  1. Relancer la station de recyclage de la Technopole de Monastir

Ce projet, bloqué depuis 2010, pourrait créer un écosystème textile intégré, dynamiser l’économie circulaire et relancer la filière du finissage.

  1. Réduction des délais de création d’entreprises

La FTTH recommande d’aligner les procédures tunisiennes sur les standards des pays développés, en matière de création d’entreprise et d’agrément douanier.

  1. Formation et reconversion

Des mécanismes ciblés doivent être mis en place pour former et attirer les diplômés chômeurs vers le secteur textile. La FTTH se dit prête à mobiliser son expertise.

  1. Infrastructures industrielles

Moderniser les zones industrielles existantes et en créer de nouvelles, notamment dans les régions saturées comme Sousse et Nabeul.

  1. Transport des travailleurs

L’absence de transport public dans les zones industrielles pousse les entreprises à prendre en charge ce service, qui est ensuite taxé comme avantage en nature. Une réforme fiscale est demandée sur ce point.

  1. Modernisation de l’enseignement textile

Réformer l’enseignement spécialisé (universités, ISET, centres de formation) et attirer davantage de jeunes vers ces filières pour assurer la relève.

  1. Intégration en amont du secteur

Encourager le développement d’activités de tissage, tricotage, finissage et ennoblissement, en offrant des mécanismes de financement et des incitations claires, rapides et attractives.

  1. Cartographie de la main-d’œuvre disponible

Mieux cibler les zones à fort potentiel en ressources humaines pour orienter les investissements industriels et compenser les surcoûts logistiques dans les régions intérieures par des avantages ciblés.

  1. Loi sur la vente de ferraille

Accélérer l’adoption de cette loi, notamment pour le compte de la société El Fouledh, afin de débloquer des gisements d’activité industrielle.

  1. Alléger les procédures de certification

Permettre aux entreprises de régler directement les services de certification internationale sans passer par la BCT, qui impose aujourd’hui des délais allant jusqu’à six mois.

  1. Paiement anticipé des commandes

Autoriser les paiements anticipés (à 100 %) pour les commandes à l’étranger, en s’appuyant sur les devises déjà disponibles sur les comptes des entreprises, comme le pratiquent de nombreux pays.

  1. Remboursement rapide des frais commerciaux

Accélérer les remboursements liés aux actions de prospection, foires et missions à l’international, essentiels pour la visibilité du textile tunisien.

  1. Restitution de la TVA

Rendre plus fluide la restitution de la TVA pour les entreprises locales, ou permettre une compensation fiscale directe auprès des receveurs des finances.

  1. Soutien aux collecteurs de déchets textiles

Trouver une solution adaptée au cahier des charges N°2, trop lourd pour les petits collecteurs, afin de préserver leur rôle dans l’économie circulaire du secteur.

  1. Modernisation du formulaire CX5

Assouplir les règles liées au rapatriement des recettes d’exportation dans un délai de 60 jours et permettre aux entreprises de conserver des avoirs disponibles pour gérer leur trésorerie.

Pour conclure, le document remis par la FTTH est un appel clair à l’action. Il montre que le secteur textile en tunisien n’est pas un secteur en déclin, mais un vivier de compétitivité, d’innovation et d’emplois, aujourd’hui entravé par une bureaucratie trop lente et des obstacles techniques évitables.

(Source : FTTH)

Chiffres clés

  • 17 — Propositions concrètes de la FTTH pour redynamiser le secteur textile
  • 6 mois — Délai actuel imposé par la BCT pour valider les certifications internationales
  • 100 % — Paiement anticipé des commandes recommandé pour fluidifier les importations
  • 60 jours — Délai imposé pour le rapatriement des recettes d’exportation (formulaire CX5)
  • 2010 — Année de blocage du projet de station de recyclage à la Technopole de Monastir.

L’article Relance de l’industrie du textile tunisien : Les 17 propositions de la FTTH est apparu en premier sur WMC.

Gestern — 10. Juli 2025Haupt-Feeds

Djerba lance une campagne pour bannir les sacs plastiques à usage unique

10. Juli 2025 um 22:22

Une campagne de sensibilisation visant à lutter contre l’utilisation des sacs en plastique a été lancée, jeudi, à Houmet Souk et Midoun à l’Ile de Djerba (gouvernorat de Médenine).

Le commissaire régional au tourisme, Hichem Mehouchi a indiqué que cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet pilote « Djerba sans produits plastiques à usage unique » initié en 2022 par les ministères du tourisme et de l’environnement.

Il a ajouté que ce projet a pour objectif d’améliorer la situation environnementale dans les régions touristiques en interdisant l’usage des sacs en plastique et incitant les commerçants et les citoyens à recourir à des alternatives, en la matière.

L’article Djerba lance une campagne pour bannir les sacs plastiques à usage unique est apparu en premier sur WMC.

❌
❌