Secousse tellurique à Meknassi
© Mosaique FM
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En tête des destinations nord-africaines, la Tunisie conserve son rang de première destination africaine des Français, mais voit sa demande chuter de 17,1 % sur un an. Ce recul intervient malgré une baisse du panier moyen, autrement dit des prix de vente pratiqués par les agences. Un paradoxe apparent, qui remet en question l’idée selon laquelle le facteur prix est déterminant dans la décision d’achat.
Le dernier baromètre Orchestra pour L’Écho touristique met en lumière un mois de juillet difficile pour l’ensemble du secteur, avec un recul global de 8 % des ventes de voyages en agences (physiques et en ligne), comparé à juillet 2024. Cette baisse, bien que moins brutale que celle de juin (‑16,7 %), confirme une tendance estivale fragilisée par un contexte économique incertain et des tensions géopolitiques persistantes.
Parmi les destinations les plus touchées figure la Tunisie, pourtant première destination des Français en Afrique du Nord. Elle enregistre une chute marquée de 17,1 % des réservations, malgré une baisse du panier moyen proposée par les voyagistes. Ce recul est plus fort que celui observé en Espagne (‑11,9 %) ou en Grèce (‑5,3 %), pourtant confrontées à une hausse des prix.
Le prix n’explique pas tout…
L’analyse du baromètre met en lumière un constat clair : le touriste français est peu sensible aux variations tarifaires. La faible élasticité de la demande se traduit par une consommation relativement stable, même lorsque les prix augmentent. En témoignent les performances de la Grèce ou de la France métropolitaine, dont les paniers moyens sont en hausse mais dont la demande reste modérément affectée (respectivement ‑5,3 % et ‑5 %).
Plus étonnant encore, certaines destinations parviennent à progresser malgré la hausse des prix : le Portugal, par exemple, voit sa fréquentation augmenter de 8,3 %, tandis que l’Italie gagne +1,3 % et le Japon s’envole avec +80,6 %, bien que les tarifs y aient aussi augmenté (+10,2 %).
Ces chiffres suggèrent que les facteurs de décision d’achat des voyageurs français vont bien au-delà du simple niveau de prix : perception de la sécurité, attractivité culturelle, effet de mode, qualité perçue du service ou même positionnement marketing peuvent largement compenser un surcoût.
Autre enseignement : les réservations par région restent inchangées, confirmant une stabilité des comportements d’achat malgré la conjoncture. Les habitudes de consommation touristique des Français ne montrent aucun déplacement significatif vers de nouvelles zones géographiques, contrairement à ce que certains observateurs attendaient dans le contexte post-Covid et inflationniste.
Destinations en forme : Japon, Égypte, États-Unis
En dehors de l’Europe et de l’Afrique du Nord, l’Égypte affiche un fort rebond (+14,4 %), consolidant sa remontée amorcée plus tôt dans l’année. Les États-Unis, quant à eux, limitent leur baisse à –2,9 %, un net progrès comparé à la chute de près de 30 % au printemps. Et surtout, le Japon connaît une spectaculaire envolée (+80,6 %), preuve d’un regain d’attractivité majeur, malgré un panier moyen en nette hausse.
Ce mois de juillet s’inscrit dans une tendance estivale globalement dégradée, après un mois de juin particulièrement impacté par les tensions géopolitiques, notamment le conflit Israël–Iran. Si les résultats de juillet apparaissent légèrement meilleurs, ils confirment que l’été 2025 ne sera pas une saison record pour les agences de voyages françaises.
La performance contrastée des destinations, le rôle limité des prix dans la décision finale et la faible variation géographique des comportements d’achat rappellent que le marché du voyage est de plus en plus guidé par des perceptions profondes, bien au-delà du tarif affiché.
Après le Brésil de Lula, le premier pays à avoir dit non au diktat des Yankees, c’est l’Inde qui riposte à son tour. En effet, le président américain, Donald Trump, a récemment signé un décret ajoutant 25 % de droits de douane sur les produits indiens, soit 50 % en tout ; ce qui représente l’un des taux les plus élevés de tous les partenaires commerciaux des États-Unis. Et ce, « en réponse à l’achat continu de pétrole russe » par l’Inde.
Les Indiens « ne se soucient pas du nombre de personnes qui sont tuées en Ukraine par la machine de guerre russe », a-t-il affirmé dans un message sur sa plateforme Truth Social, avant d’ajouter : « à cause de cela, je vais significativement augmenter les droits de douane payés par l’Inde aux États-Unis ».
Riposte indienne
Sur le champ, New Delhi annule le déplacement à Washington du ministre de la Défense, Rajnath Singh, prévu dans les prochaines semaines ; une visite qui porte sur le projet d’achat de six avions de surveillance maritime P-8I Poséidon de Boeing, de véhicules blindés Stryker et de missiles antichars Javelin, développés par Raytheon et Lockheed Martin.
L’Inde possède d’ores et déjà une flotte de 12 avions de patrouille maritime P-8I Poséidon, qu’elle exploite depuis 2013. L’armée de terre indienne devait devenir le premier pays producteur sous licence des véhicules blindés Stryker et devait en acquérir plusieurs centaines d’exemplaires.
Quant aux missiles Javelin, des discussions étaient également en cours pour coproduire cet armement en partenariat avec l’industrie de défense indienne.
Pour sa part, le ministère indien des Affaires étrangères a considéré « injustifiées » les réactions des États-Unis concernant ses achats de pétrole russe et promis de réagir pour préserver les intérêts de son pays.
« Cibler l’Inde est injustifié et déraisonnable », a déclaré le porte-parole du ministère indien du département des Affaires étrangères, Randhir Jaiswal, ajoutant que « comme toutes les économies de premier plan, l’Inde va prendre les mesures nécessaires pour préserver ses intérêts nationaux et sa sécurité économique ».
Pour rappel, l’Inde est le principal client du pétrole russe après la Chine, qui représentait en 2024 près de 36 % des importations indiennes en la matière.
Cela étant, New Delhi espère néanmoins parvenir à un accord commercial avec Washington et est prête pour cela à réduire ses importations de pétrole russe si elle peut obtenir des prix similaires dans d’autres pays, y compris aux États-Unis.
Le pétrole russe en jeu
New Delhi est d’autant plus disposée à s’engager dans cette voie que les remises dont elle bénéficiait sur le prix du baril de brut russe depuis le début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine en février 2022 arrivent à leur terme, et que l’écart de prix avec le pétrole d’autres pays est désormais très faible.
Faut-il rappeler à cet égard que Donald Trump avait prévenu qu’il voulait imposer des sanctions dites «secondaires», c’est-à-dire infligées aux pays qui achètent notamment du pétrole russe, dans le but de tarir cette source de revenus essentielle pour Moscou. Le président américain avait ainsi déjà critiqué l’Inde pour ses achats d’hydrocarbures et d’armement russes. Dans son dernier message, il a même accusé l’Inde « non seulement d’acheter de grandes quantités de pétrole russe » mais aussi « d’en revendre une grande partie sur les marchés internationaux pour faire de gros profits».
Point de non retour ?
Donald Trump vient-il de franchir un point de rupture dans ses relations avec l’Inde, s’interrogent les observateurs ?
En effet, lors de la visite du Premier ministre indien, Narendra Modi, à la Maison Blanche le 13 février 2025, il était prévu de porter le commerce bilatéral à 500 milliards de dollars d’ici 2030 et de signer entre les deux pays une nouvelle « Major Defence Partnership » sur dix ans, faisant de l’Inde un allié « majeur » des Etats-Unis. Or, le géant indien se retrouve désormais ciblé comme une vulgaire petite nation sans importance géopolitique par des mesures punitives.
Pourtant, aux yeux de Washington, le Premier ministre indien reste l’allié de fait le plus fiable contre une Chine expansionniste et l’Inde demeure le seul pays du Sud global capable d’ancrer une stratégie de « containment » crédible en Indo‑Pacifique. Pour l’Inde, cette alliance avec les Etats-Unis est vitale pour s’émanciper de son rival géostratégique et historique qu’est la Chine.
Pour preuve, Narendra Modi fut l’un des premiers dirigeants du monde à féliciter son « ami » Donald quelques heures après « sa victoire historique ». En avril dernier, le vice-président JD Vance et son épouse – d’origine indienne – furent accueillis chaleureusement à New Dehli.
Paradoxalement, à l’heure où Trump inflige de lourdes taxes douanières à un pays allié, l’Inde, Washington réserve un traitement bien plus indulgent à Pékin, qui demeure l’un des principaux importateurs de pétrole russe et iranien : la Chine bénéficie ainsi d’exemptions ou de moratoires, tandis que l’Inde subit une escalade de sanctions !
Erreur politique fatale. Car Donald Trump – qui n’arrive pas à distinguer les intérêts stratégiques des caprices tactiques – risque d’ancrer davantage l’Inde dans le bloc des BRICS. Il se tire ainsi une balle dans le pied alors qu’il cherche par tous les moyens à faire éclater ce bloc qui représente plus du tiers du PIB mondial… ou du moins l’affaiblir.
L’article Taxes douanières américaines: New Delhi se rebiffe à son tour est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Des sources ont déclaré que la suspicion derrière la panne de courant en Irak du 11 août 2025 était un « acte délibéré de sabotage ». Ce potentiel sabotage a provoqué la mise hors service soudaine de cinq grandes centrales électriques. Provoquant ainsi l’arrêt quasi total du système d’approvisionnement en électricité dans les gouvernorats, suite à l’effondrement du réseau électrique.
Toujours selon ces sources, le rétablissement de l’électricité à Bagdad et dans les zones touchées pourrait prendre des heures. Et peut-être même jusqu’à ce mardi matin.
En tout cas, le ministère de l’Électricité a révélé dans un communiqué que l’effondrement du réseau électrique avait entraîné la perte d’environ 6 000 mégawatts du réseau. Mais que ses équipes travaillent actuellement à réparer les dégâts et à rétablir la pleine production.
Ces stations constituent l’épine dorsale du système électrique national, de sorte que toute panne soudaine aurait un impact immédiat sur la stabilité de l’approvisionnement en électricité dans la plupart des gouvernorats, en particulier pendant les mois de pointe de l’été.
Des sources ont confirmé que les priorités des équipes de travail sont actuellement axées sur le redémarrage de la centrale à gaz de Bismayah. Et ce, compte tenu de sa grande capacité de production et de son importance dans le soutien du réseau national, en particulier dans la capitale, Bagdad.
Selon les estimations du ministère, toute panne générale du réseau électrique national nécessiterait une série de mesures techniques pour rétablir progressivement l’électricité afin d’éviter un nouvel effondrement de l’approvisionnement une fois celui-ci rétabli.
Il convient de noter que l’effondrement du réseau électrique irakien est survenu quelques heures seulement après que le Premier ministre, Mohammed Shia al-Soudani, a annoncé son intention de continuer à développer la production d’électricité et de construire des partenariats pour garantir l’approvisionnement en gaz des centrales électriques.
Il s’est ainsi prononcé lors de l’inauguration de nouvelles unités de la centrale à gaz de Bismayah. Il était accompagné du ministre de l’Électricité, Ziyad Ali Fadel.
L’article Irak : le réseau électrique s’effondre, soupçons de sabotage est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
La valeur des crédits saisonniers destinés aux céréaliculteurs à Zaghouan en 2024-2025, a atteint 4,5 millions de dinars, soit une hausse de 48% par rapport à l’année précédente, où le volume des crédits saisonniers a été de 2,8 millions de dinars.
Ce financement, alloué à 160 agriculteurs dans la région, a été destine à l’achat des intrants de la production céréalière.
Le responsable du financement au commissariat régional au développement agricole, Khaled Ben Mestoura, a indiqué à l’Agence TAP que 108 MD ont été attribué par la commission d’octroi des crédits, 3,3 MD sous forme de prêts bancaires directs et 165 millions de dinars financés par les associations de développement agricole.
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Les élèves des écoles primaires, collèges et lycées, ainsi que les parents peuvent désormais payer à distance les frais d’inscription pour l’année scolaire 2025-2026, en utilisant le portefeuille numérique « Wallet e-Dinar », disponible gratuitement dans les bureaux de la poste tunisienne. Le Wallet e-Dinar de la Poste Tunisienne est sécurisé, simple à utiliser et valable dix ans. Cette solution est rechargeable avec un montant allant jusqu’à 3000 dinars et aucun frais n’est appliqué lors de l’inscription, a indiqué la Poste dans un communiqué publié, mardi.
Les élèves et les parents peuvent effectuer, également, l’inscription scolaire en associant l’application mobile « D17 » au « Wallet e-Dinar » et les différentes cartes de paiement électroniques de la Poste Tunisienne.
Le paiement doit être effectué via le site du ministère de l’Education : www.inscription.education.tn en utilisant les différentes cartes de paiement électroniques de la Poste, a encore précisé la même source .
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Le développement et l’amélioration des interventions des attachés sociaux et des délégués régionaux relevant de l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE) conformément aux évolutions sociales et aux nouvelles dispositions législatives, ont été au centre de la réunion annuelle des cadres sociaux de l’Office, tenue lundi à Tunis.
Selon un communiqué de l’OTE, l’objectif est d’améliorer la qualité des services sociaux destinés aux membres de la communauté tunisienne à l’étranger et à leurs familles vivant en Tunisie.
La rencontre annuelle a été aussi une occasion pour évaluer l’efficacité des interventions sociales et les défis de terrain auxquels sont confrontés les cadres sociaux dans la prise en charge des préoccupations des Tunisiens de l’étranger ou de leurs familles restées dans leurs régions.
Les participants ont mis l’accent sur la nécessité de mettre en place une infrastructure numérique pour renforcer les outils de communication, faciliter le suivi des activités et anticiper les pistes d’amélioration des services.
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Le déficit commercial aux prix courants s’est creusé, à fin juillet 2025, pour s’établir à un niveau de (-11904,5 MD) contre (-9631,8 MD), durant les sept premiers mois de l’année 2024, a annoncé, mardi, l’Institut National de la Statistique (INS).
Le taux de couverture a atteint un niveau de (75,6%) contre (79,4%) durant la même période en 2024.
D’après une note publiée par l’INS, ce déficit provient, principalement, de l’énergie de (-6037,2 MD), des matières premières et demi-produits de (-3800,4MD), des biens d’équipement de (-1959,6 MD) et des biens de consommations (-930,7 MD).
En revanche le groupe alimentation a enregistré un excédent de (+823,4 MD).
D’autre part, il est à noter que le déficit de la balance commerciale hors énergie s’est réduit à (-5867,4 MD), tandis que le déficit de la balance énergétique s’est établi à ( -6037,2MD), contre (-6591,7 MD), durant les sept premiers mois de l’année 2024.
Baisse de 0,2% des exportations
Les résultats des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’extérieur aux prix courants, durant les sept premiers mois de l’année 2025, montrent que les exportations ont baissé de 0,2% pour atteindre le niveau de 36973,4 MD, contre 37034,9 MD, au cours de la même période 2024.
Selon les secteurs, les exportations ont enregistré une hausse dans le secteur mines, phosphates et dérivés de (+8,6%) et le secteur des industries mécaniques et électriques de (+6,5%).
Par ailleurs, les exportations ont enregistré une baisse dans le secteur de l’énergie de (-34,8%) sous l’effet de la diminution des ventes des produits raffinés (381,3 MD contre 1143,1 MD), ainsi que le secteur des industries agroalimentaires de (-17,5%) à la suite de la baisse de la valeur des ventes en huiles d’olives (2506,1 MD contre 3636,2 MD) et le secteur textile, habillement et cuirs de (-0,2%).
Pour les exportations tunisiennes vers l’Union Européenne, durant les sept premiers mois de l’année 2025, (70,6% du total des exportations), elles ont atteint la valeur de 26120,1 MD contre 25914,6 MD durant les sept premiers mois de l’année 2024.
Les exportations sont en hausse avec l’Allemagne (+15,4%), la France (+7,5%) et les Pays Bas (+11,8%).En revanche, elles ont baissé avec l’Italie (-9,4%) et l’Espagne (-30,4%).
Vers les pays arabes, les exportations ont augmenté avec la Libye (+12,5%), avec le Maroc (+38,5%), avec l’Algérie (+20,8%) et avec l’Égypte (+48,9%).
Hausse de 4,7% des importations
Quant aux importations, elles ont atteint le niveau de 48877,9 MD contre 46666,7 MD, durant la même période de l’année 2024, enregistrant, ainsi, une hausse de 4,7%.
Selon le groupement des produits, les importations ont enregistré une augmentation au niveau des importations des biens d’équipement de (+18,6%) et des matières premières et demi-produits de (+6,6%), de même les importations des biens de consommation sont en hausse de (+12,1%).
En revanche, les importations des produits énergétiques ont enregistré une baisse de (-14,9%) et les produits alimentaires de (-5,1%).
En ce qui concerne les importations avec l’Union Européenne (44,2% du total des importations), elles ont atteint 21591,4 MD contre 20639,5 MD, durant les sept premiers mois de l’année 2024.
Les importations ont augmenté avec la France (+12,7%), et avec l’Allemagne (+10,3%).
En revanche elles ont baissé avec l’Italie (-0,7%), avec la Grèce (- 29,7%) et avec la Belgique (-7,6%).
Hors Union Européenne, les importations ont augmenté avec la Chine (+37,2%) et la Turquie (+14,9%). En revanche, elles ont enregistré une diminution avec la Russie (-21,9%) et l’Inde (-9,2%).
L’article Tunisie : Déficit commercial en hausse à 11,9 milliards de dinars à fin juillet 2025 est apparu en premier sur WMC.
Le projet Costa Coralis, prévu sur 140 hectares à Tabarka (Jendouba), pourrait transformer la ville en pôle touristique majeur. Porté par la société Hayfa pour le développement et l’investissement, il a déjà suscité l’intérêt d’investisseurs locaux et étrangers, selon Saadallah Khalfaoui, membre du conseil d’administration. Deloitte estime qu’il pourrait créer plus de 12 000 emplois.
En attendant les autorisations définitives des ministères concernés, un projet pilote de 7 hectares a été lancé face à l’hôtel La Cigale. Doté d’un capital de 5,5 milliards de dinars, il prévoit un hôtel haut de gamme, des espaces commerciaux et culturels, et des infrastructures de congrès et de cinéma pour dynamiser la ville toute l’année.
Costa Coralis vise à combler les faiblesses structurelles de Tabarka – capacité hôtelière limitée (5 000 lits) et aéroport sous-utilisé – à travers cinq pôles : portuaire, santé, commerce, loisirs et immobilier, renforçant ainsi son attractivité au-delà de la saison estivale.
L’article Tabarka : le mégaprojet touristique Costa Coralis en attente de feu vert est apparu en premier sur WMC.
Le juge d’instruction près le tribunal de première instance du Kef a émis, ce mardi, huit mandats de dépôt à l’encontre du suspect dans l’affaire de falsification des bulletins de choix de l’orientation universitaire de nouveaux bacheliers et ce, après son identification et son arrestation par la cinquième brigade d’El Aouina chargée des enquêtes sur […]
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La somptueuse bague offerte par Cristiano Ronaldo à Georgina Rodriguez ne se limite pas à un simple bijou symbolique. Avec une pierre centrale estimée entre 15 et 35 carats, et une valeur probable comprise entre 2 et 5 millions d’euros, elle représente un investissement matériel conséquent.
À titre de comparaison, le jet privé Gulfstream G650 de Ronaldo vaut environ 73 millions de dollars, et son patrimoine immobilier dépasse les 40 millions d’euros. Cependant, la valeur de cette bague dépasse le seul aspect financier.
Elle agit aussi comme un levier d’image, renforçant la marque personnelle de Ronaldo, très liée à son standing de luxe et à son influence médiatique mondiale. Ainsi, même si elle ne génère pas directement de revenus comme ses hôtels ou ses jets privés, cette bague peut être considérée comme un investissement stratégique dans son capital social et son storytelling public.
En ce sens, elle complète intelligemment l’empire financier de Ronaldo en incarnant un investissement émotionnel et marketing essentiel pour une figure publique de son calibre.
L’article La bague de Georgina, un investissement à part entière pour Cristiano? est apparu en premier sur Managers.
Depuis avril 2024, la suppression du statut fiscal “non-domiciled” au Royaume-Uni a déclenché un exode massif des ultra-riches, contraints de repenser leur résidence fiscale face à une imposition plus lourde, notamment sur les revenus étrangers et les droits de succession. Mais la question clé qui se pose est: où partent-ils?
D’après le cabinet Henley & Partners, 10 800 millionnaires ont quitté le Royaume-Uni en 2024, doublant le chiffre de 2023. Cette fuite ne profite pas à n’importe quelle destination : les ultra-riches privilégient des pays offrant des régimes fiscaux avantageux, une stabilité politique et une qualité de vie élevée. Voici les principaux pôles d’attraction identifiés:
Dubaï, aux Émirats arabes unis, est devenue la destination phare des exilés fiscaux britanniques. La cité-État offre une fiscalité quasi nulle sur le revenu, un cadre de vie luxueux et une proximité géographique attractive pour les entrepreneurs globaux. Plusieurs milliardaires britanniques et étrangers, comme le magnat Lakshmi Mittal, ont déjà opté pour Dubaï.
En 2024, la croissance des inscriptions de résidences et d’entreprises par des ultra-riches britanniques a explosé, selon le cabinet Henley & Partners. L’absence d’impôt sur la fortune et une politique d’accueil renforcée expliquent ce succès.
La Suisse conserve son attractivité grâce à ses accords de confidentialité, sa stabilité économique et politique, et une fiscalité avantageuse, notamment dans certains cantons pour les résidents étrangers. Genève et Zurich restent des villes prisées pour leurs infrastructures, leur sécurité et leur qualité de vie.
Pour certains, notamment ceux issus de milieux européens, la France et la principauté de Monaco représentent un compromis intéressant. Monaco reste une destination ultra-privilégiée avec zéro impôt sur le revenu, bien que l’immobilier y soit extrêmement cher. La France, de son côté, attire avec des régimes fiscaux spécifiques pour les nouveaux résidents étrangers (ex.: le régime «impatrié»), même si la pression fiscale y est globalement élevée.
Malgré une fiscalité nationale relativement élevée, certains riches choisissent des États comme la Floride (Miami) où il n’y a pas d’impôt sur le revenu d’État. New York reste aussi un centre financier mondial incontournable pour ceux qui veulent conserver un pied dans les grandes affaires internationales. La mobilité intra-américaine permet de concilier vie professionnelle et optimisation fiscale.
Pour les ultra-riches orientés vers les marchés asiatiques, Singapour et Hong Kong demeurent des choix stratégiques. Ces hubs financiers offrent une fiscalité compétitive, une bonne qualité de vie et un accès facile aux économies émergentes de la région.
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Nirvana, la maison d’édition tunisienne, sera au rendez-vous de la première édition de Read Convention du 17 au 19 septembre 2025 à Barcelone, en Espagne, qui verra la participation de plus de 220 éditeurs et magazines de plus de 60 pays déjà inscrits.
C’est ce que rapporte Hafedh Boujmil, le directeur fondateur de Nirvana Editions sur sa page Facebook, ajoutant que l’événement rassemblera des voix critiques du monde entier, avec des participants de nombreux pays arabes dont l’Algérie, l’Égypte, le Liban et la Tunisie.
Du Sud Global à la périphérie de l’Europe, Read se présente comme un point de rencontre pour «les réseaux d’édition engagés dans la pensée critique et l’imagination radicale».
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Béja: Généralisation des classes préparatoires et ouverture de l’École de la deuxième chance
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Foot - Renforts massifs dans les rangs de l'AS Gabès
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Jamel Meddani : « Il n’aurait pas dû se vendre un seul billet pour le concert de Cheb Mami à Hammamet ! »
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Madonna appelle le pape à se rendre à Gaza: « Ces enfants n’ont plus de temps »
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