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Fatma Thabet Chiboub appelle à moderniser le réseau électrique et investir dans les énergies alternatives

Von: walid
09. August 2025 um 10:48

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a effectué, vendredi, une visite de travail au Centre national de pilotage du système électrique, relevant de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG), où elle s’est enquise sur les moyens employés pour maitriser la production et le transport d’électricité, ainsi que les systèmes de surveillance avancés permettant d’assurer l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité, outre les mécanismes mobilisés pour assurer une analyse instantanée des données, à même de prévoir des pannes potentiels sur le réseau électrique.

D’après un communiqué, publié par le département de l’Industrie, Chiboub a visité, également, le Centre de Surveillance et de Diagnostic de la Performance des Stations de Production d’électricité (relevant de la Direction centrale de production de l’électricité). Elle a pris connaissance, ainsi, du rôle de ce centre relatif au suivi des unités de production, ce qui permet de prévoir les pannes et d’éviter les coupures imprévues.

Par ailleurs, la ministre a présidé une réunion avec des responsables de la STEG, durant laquelle elle a évoqué plusieurs problématiques, portant, notamment, à la satisfaction de la demande énergétique, surtout pendant la saison estivale, les défis relatifs au bilan énergétique, et les répercussions des changements climatiques.

La réunion a constitué, aussi, une occasion pour passer en revue les solutions pratiques permettant de garantir l’approvisionnement continu en électricité, d’améliorer la qualité du service, et de développer le système électrique, ainsi que de renforcer la production de l’électricité.

Chiboub a souligné, dans ce cadre, l’impératif d’accroître les investissements dans le domaine des énergies alternatives et de moderniser le réseau électrique, tout en développant les infrastructures et en adoptant des technologies modernes pour répondre à la demande accrue d’énergie.

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Fatma Thabet Chiboub au Centre de pilotage électrique de la STEG

08. August 2025 um 18:51

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a effectué, vendredi 8 aout, une visite de travail au Centre national de pilotage du système électrique, relevant de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG). Elle s’est enquise des moyens mis en œuvre pour maîtriser la production et le transport d’électricité, ainsi que des systèmes de surveillance avancés assurant l’équilibre entre l’offre et la demande. Elle a également pris connaissance des mécanismes permettant une analyse instantanée des données afin de prévoir d’éventuelles pannes sur le réseau électrique.

Selon un communiqué publié par le département de l’Industrie, Chiboub a aussi visité le Centre de surveillance et de diagnostic de la performance des stations de production d’électricité, relevant de la Direction centrale de production. Elle y a été informée du rôle de ce centre dans le suivi des unités de production, permettant d’anticiper les pannes et d’éviter les coupures imprévues.

Par ailleurs, la ministre a présidé une réunion avec des responsables de la STEG. Les échanges ont porté sur plusieurs problématiques, notamment la satisfaction de la demande énergétique, en particulier durant la saison estivale, les défis liés au bilan énergétique et les répercussions des changements climatiques.

Cette réunion a également permis de passer en revue des solutions pratiques pour garantir un approvisionnement continu en électricité, améliorer la qualité du service, développer le système électrique et renforcer la production.

Chiboub a souligné, à cette occasion, la nécessité d’accroître les investissements dans les énergies alternatives, de moderniser le réseau électrique, de développer les infrastructures et d’adopter des technologies innovantes afin de répondre à la demande croissante d’énergie.

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Industrie des conserves de tomates en Tunisie | Une catastrophe pas seulement écologique

03. August 2025 um 08:00

L’industrie des conserves de tomates en Tunisie pose de grands défis pour les ressources en eau, l’énergie électrique et l’environnement. Elle appauvrit les sols de cultures dans leur partie la plus riche en nutriments pour la plante, causant des préjudices pour l’agriculture et les agriculteurs qui sont généralement sous-payés. Cette situation concerne tout le secteur de la transformation des légumes et des fruits, où des groupes importants poursuivent leurs activités en toute impunité, estime l’auteur dans son article ci-dessous. Ces derniers bénéficient de la complaisance voire du soutien actif des autorités publiques. Difficile, dans ce cas, de ne pas supposer (à défaut de pouvoir le prouver matériellement) des cas de corruption.  

Vito Calvaruso *

Une surconsommation d’eau illégale et démesurée

Pendant que la Tunisie subit un stress hydrique critique entre juillet et août, l’industrie de conserves de tomates puise sans retenue dans les nappes phréatiques. La majorité des puits utilisés sont non autorisés, même, selon des sources internes au ministère de l’Agriculture. Pourtant, aucune fermeture n’est ordonnée, contrairement aux sanctions immédiates imposées aux agriculteurs.

Les industriels manipulent leurs déclarations de consommation d’eau : ils apportent des chiffres très inférieurs à la réalité, camouflant ainsi leurs forages clandestins. Cette pratique échappe à toute facturation dans un moment ou la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) aurait l’utilité de financement pour assurer la maintenance des réseaux nationaux vieillissants.

Les industriels mettent en avant leurs efforts dans le recyclage des eaux de lavage comme preuve de leur engagement dans la préservation des ressources en eau. Pourtant cette pratique, loin d’être vertueuse, par la qualité de l’eau non conforme à la réglementation, constitue une grave entorse aux normes sanitaires et menace directement la qualité des produits finis (les cas ne sont pas si rares que ça).

Rapporté au kg de tomates et sur la période, l’industriel consomme autant sinon plus d’eau que l’agriculteur.

Le volume d’eau puisé dans la nappe pour le seul lavage de la tomate chaque année peut s’estimer à >5 – >7 millions de m3 dont 50 à 60% peuvent être économisés..

Eau recyclée de premier lavage de la tomate.

Des rejets toxiques qui empoisonnent l’environnement

Les eaux usées de lavage de la tomate, chargées de terre argileuse, résidus chimiques et matières organiques, sont problématiques à traiter et déversées sans traitement suffisant dans les oueds, les zones côtières et sur les sols cultivables.

Pourtant, la réglementation impose un traitement avant rejet selon une norme précise. Dans les faits, aucun industriel ne respecte les normes. Même les unités équipées de procédés de traitement avancés rejettent des eaux dangereusement polluées, détruisant les écosystèmes fragiles comme la lagune de Korba, déjà gravement affectée.

Les raisons sont multiples : déclarations inexactes sur la consommation d’eau, diagnostic incorrect conduisant à des moyens de traitement sous dimensionnés et non adaptés aux types d’eau usée.

L’ensemble des industriels sont contrevenant, chaque année, aux infractions suivantes :

  • Puits non autorisés ;
  • Eaux recyclées non conforme (risque sanitaire sur le produit fini) ;
  • Rejets dans le milieu naturel non conforme.
Rejets industriels dans un cours d’eau.

D’autres infractions peuvent être occasionnelles comme travaux en dehors de toutes autorisations.

Les contrevenants se voient verbalisé d’une pénalité, généralement de 10 000 dinars pour le rejet non conforme. Les autres infractions sont laissées pour compte, La pénalité est dérisoire et non contraignante. Ainsi, cette charge pour un industriel important, elle représentera moins de 1 mm du coût de production par kg de concentré. A son opposé, pour un industriel bien moins important la charge sera de 4 mm.

La pénalité est systémique s’appliquant chaque année sans que les industriels ne la payent attendant la convocation par les tribunaux, fréquemment au terme de 10 années. A ce moment ils demandent une transaction à l’Agence nationale de protection de l’environnement (ANPE), une entente est conclue avec l’abandon d’une partie des pénalités et des poursuites judiciaires. Le compteur est remis à zéro et un nouveau cycle identique recommence.

Des responsabilités clairement identifiées… mais ignorées

Les industriels :

  • Fraude organisée (puits illégaux, sous-déclaration des volumes).
  • Infractions répétées (rejets non conformes, qualité d’eau de recyclage non conforme présentant des risques graves).
  • Stratégie judiciaire (transaction avec l’ANPE, fin des poursuites, pénalités réduites).

Les autorités :

  • L’ANPE se contente de contrôles superficiels, peu fréquents (1 par saison), parfois ne conduisant à aucune verbalisation malgré que les constats identiques récurrents (des questions se posent).
  • Le ministère de l’Industrie bloque toute action coercitive, plaçant l’économie en unique politique.
  • Les autres ministères (Environnement, Agriculture) sont réduits au silence, malgré leurs prérogatives légales.

Des questionnements sont légitimes.

Evolution du cours d’eau après le rejet (fin de campagne).

La Steg, victime collatérale d’un gaspillage généralisé

La surconsommation d’eau entraîne une demande électrique anormalement élevée pour les pompages et le fonctionnement des unités de traitement. Selon des estimations primaires, 2 à 4% de la consommation nationale d’électricité seraient ainsi gaspillés chaque été, une pression insoutenable pour un réseau de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) déjà fragilisé.

Un scandale qui dépasse l’écologie

Cette situation n’est pas seulement une catastrophe environnementale : c’est le symptôme d’un système corrompu, où quelques industriels influents bénéficient d’une impunité organisée. Les autorités, au lieu d’agir, préfèrent détourner le regard ou rejeter la faute sur le changement climatique.

D’autres industriels des secteurs de production de fruits en conserve et de la pomme de terre (frites surgelées, chips) transformés bénéficient de la même impunité.

Une infraction commune à tous ces industriels, le non classement pourtant obligatoire.

Les actions coercitives existent selon la loi :

  • Fermeture immédiate des puits illégaux et compteurs obligatoires.
  • Sanctions proportionnelles aux dégradations et destructions du milieu naturel, également atteinte au cadre de vie, aux activités touristiques.
  • Contrôles inopinés plus fréquents avec suspension d’activité en cas d’infraction répétés ou graves (l’inactivé d’une usine sera comblée par les autres, aucune baisse de production nationale).

Sans une volonté politique réelle, cette industrie continuera à piller les ressources et empoisonner le milieu naturel, avec la bénédiction de l’État.

* Expert international en traitement des effluents industriels, spécialisé dans la filière de transformation de la tomate, auteurs d’études sur les impacts environnementaux de cette activité. 

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Coupure d’eau | Grand-Tunis : Le Pdg de la Sonede fait le point

Von: Yusra NY
21. Juli 2025 um 22:28

Le président-directeur général de la Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede), Abdelhamid Mnaja a fait le point sur la situation actuelle et sur les mesures prises afin que l’approvisionnement en eau potable dans le Grand Tunis reprenne dans les meilleurs délais.

Abdelhamid Mnaja a rappelé qu’une panne survenue, ce lundi 21 juillet 2025, dans le transformateur électrique central à la station de pompage des eaux à Ghdir El-Goulla après un incendie a provoqué, depuis 15h, des coupures et des perturbations dans la distribution de l’eau potable dans les gouvernorats du Grand Tunis (Tunis, Ariana, Manouba et Ben Arous)

Dans la vidéo publiée sur la page Facebook de la Sonede, a ajouté que le débit d’eau pompée a été rétabli à son niveau normal après environ huit heures d’intervention continue par les agents de la Sonede, la protection civile et de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg).

Le remplissage progressif des conduites pour rétablir l’approvisionnement en eau dans les zones affectées, selon leur situation géographique se poursuit et l’approvisionnement en eau potable dans le Grand Tunis devra, comme convenu, reprendre son rythme normal au plus tard à minuit, sachant que la situation est revenue ce soir à la normale dans certaines zones.

Quant à la station endommagée, Abdelhamid Mnaja affirme qu’une remise en service est attendue dans un délai ne dépassant pas cinq jours, sachant que les équipes de maintenance travaillent en priorité sur ce point, a-t-il souligné.

Y. N.

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Coupures d’eau ce lundi après-midi dans le Grand Tunis

21. Juli 2025 um 13:53

La Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (Sonede) a annoncé dans un communiqué qu’une panne survenue dans le transformateur électrique central à la station de pompage des eaux à Ghdir El-Goulla va provoquer des coupures et des perturbations dans la distribution de l’eau potable dans les gouvernorats du Grand Tunis (Tunis, Ariana, Manouba et Ben Arous) à partir de ce lundi 21 juillet 2025 à partir de 15 heures.

ِManque de pot : l’incendie, la panne et la coupure d’approvisionnement en eau potable interviennent au cours de la journée la plus chaude depuis le début de l’été où le mercure va atteindre 47°C.

L’approvisionnement en eau potable reprendra progressivement à partir de ce soir vers minuit, après l’achèvement des travaux de réparation de la panne, causée par un incendie, assure la Sonede, ajoutant que toutes ses équipes sont mobilisées pour réparer cette panne, avec l’aide de celles de la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) et de la Protection civile.

Ghdir El Goulla est un barrage réservoir tunisien inauguré en 1968, à trois kilomètres au nord de la ville de Mornaguia et à treize kilomètres au nord-est de Tunis, dans le gouvernorat de l’Ariana. Il reçoit les eaux, arrivant sous conduite, du barrage de Beni M’Tir et du barrage Kasseb, avant de passer à l’usine de traitement des eaux de la Sonede qui alimente Tunis.

I. B.

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STEG: Stabile Stromerzeugung… mit 6 % erneuerbaren Energien

Von: Redaktion
20. Juli 2025 um 15:41

Die nationale Stromerzeugung blieb Ende Mai 2025 mit 7.065 GWh (einschließlich erneuerbarer Eigenproduktion) nahezu stabil, gegenüber 7.039 GWh Ende Mai 2024. Die für den lokalen Mehr

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Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe

Le projet Elmed, reliant la Tunisie au sud de l’Italie, positionne la Tunisie comme un acteur clé de l’intégration énergétique euro-africaine. Ce câble sous-marin ouvre la voie à une coopération énergétique renforcée entre l’Algérie, la Tunisie et l’Europe.

Le projet Elmed, en phase de finalisation, pourrait bien faire de la Tunisie un acteur central de la nouvelle carte énergétique du bassin méditerranéen. Ce câble électrique sous-marin, qui reliera le réseau tunisien au sud de l’Italie, permettra non seulement de renforcer l’interconnexion entre l’Afrique du Nord et l’Europe, mais aussi de positionner la Tunisie comme hub régional de transit énergétique.

Selon les déclarations de Fayçal Trifa, directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), reprises par l’agence italienne Nova, Elmed vise à intégrer les réseaux algérien et tunisien pour faciliter l’exportation de l’électricité vers l’Europe et appuyer la création d’un futur marché énergétique euro-africain.

Ce projet d’envergure, d’une capacité de 600 MW et d’un coût total de 850 millions d’euros, bénéficie d’un financement conséquent : 300 millions d’euros de la Commission européenne et 260 millions de dollars de la Banque mondiale, avec l’implication de la Banque européenne d’investissement (BEI), la KfW allemande et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

Pour la Tunisie, les retombées sont multiples. D’un point de vue stratégique, ce projet permettrait de renforcer la sécurité énergétique du pays, tout en l’intégrant pleinement dans les grandes dynamiques de transition énergétique en Méditerranée. Il ouvre également des perspectives commerciales, puisque la Tunisie pourrait bénéficier de droits de transit ou, à terme, exporter elle-même de l’électricité, notamment issue des énergies renouvelables.

En parallèle, l’Algérie mise sur ce couloir tuniso-italien pour renforcer ses exportations électriques, notamment après l’abandon du projet d’interconnexion directe avec la Libye jugé techniquement infaisable. Elle modernise à cet effet ses lignes haute tension vers la Tunisie, tout en développant un ambitieux programme de production électrique, avec des objectifs dépassant les 50.000 MW d’ici dix ans, en partie grâce aux énergies solaire et éolienne.

La Tunisie, en se positionnant comme trait d’union énergétique entre l’Afrique et l’Europe, voit ainsi s’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de diplomatie énergétique, d’investissement et d’intégration régionale.

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Tunisie : Grève à la STEG le 17 juillet

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) sera à l’arrêt le jeudi 17 juillet, suite à l’appel à la grève lancé par la branche sectorielle de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT). L’annonce a été faite ce mercredi Echaab News, organe médiatique de la centrale syndicale, à l’issue d’une réunion de l’instance administrative sectorielle, présidée par Slaheddine Selmi, secrétaire général adjoint chargé des offices et établissements publics.

À l’origine de cette décision : l’impasse persistante du dialogue social entre la direction de la STEG et les autorités de tutelle. Les syndicalistes dénoncent un blocage des négociations tant sur les aspects réglementaires que matériels, dans un contexte marqué par une forte dégradation du pouvoir d’achat et des tensions sociales croissantes.

Ils pointent également les méthodes jugées dilatoires de l’administration, accusée de faire traîner le traitement des revendications légitimes du personnel. Parmi celles-ci figurent l’intégration des augmentations salariales prévues pour les années 2023, 2024 et 2025 dans le salaire de base, ainsi que leur application à la grille des grades d’ancienneté. Le syndicat exige également l’activation immédiate de la circulaire sur les promotions basées sur l’expérience.

Autre point de discorde : la gestion du dossier des contrats liés au développement des projets de production d’électricité photovoltaïque. Le syndicat dénonce des pratiques qualifiées d’illégales et s’oppose à toute tentative d’écarter la STEG des projets publics dans le domaine des énergies renouvelables. Il réclame à ce titre que l’entreprise puisse réaliser sa part des projets, en tant qu’acteur national du service public.

L’UGTT appelle également l’État à allouer à la STEG les subventions supplémentaires dues au titre de la période 2016-2023, considérées comme un investissement public dans la transition énergétique.

Enfin, les syndicalistes exigent le versement immédiat des arriérés de droits et l’application intégrale des accords signés, notamment le procès-verbal de la réunion du 28 avril 2025, resté jusqu’ici lettre morte.

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Électricité en Tunisie : Un tarif moyen de 472 millimes/kWh, fortement dépendant du gaz naturel

Lors d’une audition parlementaire, des responsables du ministère de l’Industrie ont précisé que le prix moyen de l’électricité en Tunisie est actuellement de 472 millimes par kilowattheure, dont 70% lié au coût du gaz naturel. Un équilibre fragile, maintenu grâce aux subventions et au recours à des financements islamiques.

Le tarif de l’électricité en Tunisie s’élève en moyenne à 472 millimes par kilowattheure, ont indiqué lundi des responsables du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, lors d’une séance d’audition tenue par la commission parlementaire des Finances et du Budget. Une grande partie de ce coût – 70% exactement – est liée au prix du gaz naturel, principale source d’approvisionnement énergétique du pays.

Des subventions lourdes

Cette audition a été consacrée à l’examen de l’accord de financement dit « Mourabaha », conclu entre la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) et la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC), pour assurer l’importation de gaz naturel. Il s’agit d’un mécanisme de financement conforme aux principes de la finance islamique, destiné à renforcer la trésorerie de la STEG.

Les représentants du ministère ont précisé que 85% des abonnés de la STEG consomment moins de 200 kWh par mois, un chiffre qui témoigne d’une consommation modérée mais aussi d’un poids élevé des subventions. En effet, près de 40% du tarif de l’électricité serait actuellement couvert par l’État, un effort budgétaire considérable.

Vers une réforme tarifaire conditionnée

Les responsables gouvernementaux ont souligné qu’aucune hausse des tarifs de l’électricité ou du gaz ne sera envisagée sans la réalisation préalable d’une étude approfondie, insistant sur la nécessité pour la STEG de réduire ses coûts de production. L’objectif à moyen terme est de garantir une vision claire de la tarification pour les années à venir, en intégrant davantage d’énergies renouvelables afin de renforcer l’indépendance énergétique du pays.

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Solarförderung für Haushalte: Tunesien investiert 370 Mio Dinar

Von: Redaktion
27. September 2024 um 12:40

Mit einem umfassenden Förderpaket zielt die tunesische Regierung darauf ab, den Ausbau privater Solaranlagen zu fördern. Die tunesische Regierung hat 121 Millionen Dollar (370 Mio Mehr

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600-Megawatt-Verbindung „Elmed“: Grünes Licht vom italienischen Umweltministerium

Von: Redaktion
15. Mai 2024 um 14:46

Das italienische Ministerium für Umwelt und Energiesicherheit hat mit einem Dekret vom 10. Mai 2024 Elmed, die Stromverbindung zwischen Italien und Tunesien, die von Terna Mehr

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Tunesien: Parlament (ARP) genehmigt Darlehen für die STEG

Von: Redaktion
31. Januar 2024 um 17:59

Die Versammlung der Volksvertreter (ARP) hat am Dienstag, den 30. Januar 2024, in einer Plenarsitzung den Gesetzentwurf zur Genehmigung der am 22. Juni 2023 zwischen Mehr

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