«Les barrages du nord de la Tunisie ont été renforcés par 51 millions de mètres cubes d’eau de pluie au cours des huit premiers jours de décembre, ce qui représente des indicateurs très importants et rassurants».(Ph. Barrage Sidi Salem).
C’est ce qu’a déclaré le directeur général des barrages et des grands ouvrages hydrauliques au ministère de l’Agriculture, Faiez Msallem, à l’agence Tunis Afrique Presse, lundi 8 décembre 2025, ajoutant que les barrages du nord avaient reçu 200 millions de mètres cubes d’eau depuis le début de l’automne, ce qui a largement contribué à leur remplissage et a permis de garantir l’approvisionnement en eau potable.
Si les précipitations se maintiennent au même rythme, il sera également possible de sécuriser l’approvisionnement en eau destiné à l’irrigation, a indiqué Msallem, en soulignant que les apports aux barrages du gouvernorat de Béja ont été importants depuis début septembre, ce qui a contribué à augmenter leurs stocks par rapport à la même période de l’année précédente : la réserve du barrage de Sidi El Barrak est passé de 74 millions de m³ à 148 millions de m³, celui du barrage de Sidi Salem de 92 millions de m³ à 122 millions de m³ et celui du barrage de Kasseb de 19 millions de m³ à 24,6 millions de m³ actuellement.
Le gouvernorat de Béja comprend le plus grand barrage de Tunisie, celui de Sidi Salem, d’une capacité de 643 millions de m³, qui alimente en eau potable et d’irrigation plusieurs gouvernorats depuis sa construction sur le fleuve Medjerda en 1982. La délégation de la Nefza, dans le même gouvernorat, comprend également deux des plus grands barrages tunisiens, ceux de Sidi El Barrak et Kasseb.
Le Tunisia Africa Business Council (TABC) annonce que le Canada sera l’invité d’honneur de la 9ᵉ édition de la conférence internationale Financing Investment and Trade in Africa (Fita2026), prévue les 28 et 29 avril 2026 à Tunis. Pour le Canada, qui se réveille difficilement du son tête-à-tête harassant avec son grand voisin (et partenaire presque exclusif) américain, la Tunisie pourrait être une tête de pont pour s’engager dans le marché africain et diversifier davantage ses échanges extérieurs.
«Ce choix illustre la volonté commune de renforcer la coopération économique entre la Tunisie et le Canada, tout en ouvrant de nouvelles perspectives de partenariat à l’échelle du continent africain», indique le TABC dans son communiqué.
Depuis sa création, Fita s’impose comme l’une des plateformes économiques les plus influentes en Afrique, rassemblant décideurs publics et privés, institutions financières internationales, experts de haut niveau et entreprises opérant dans des secteurs clés. La participation du Canada en tant qu’invité d’honneur traduit une ambition partagée de consolider les relations économiques, de stimuler l’innovation et de promouvoir des projets structurants à fort impact pour le développement du continent africain.
L’édition 2026 sera marquée par une présence institutionnelle et privée canadienne de haut niveau, avec la collaboration étroite de l’ambassade du Canada en Tunisie et l’ambassade de la Tunisie au Canada, qui joueront un rôle central dans la coordination des délégations et l’accompagnement des entreprises canadiennes participantes.
Cette mobilisation ouvre la voie à un approfondissement des échanges économiques, commerciaux et technologiques entre les deux pays et leurs partenaires africains.
Le programme de Fita2026 proposera deux journées d’échanges intensifs, articulés autour de panels thématiques d’envergure, de présentations d’experts internationaux, de sessions de networking stratégique, ainsi que de rencontres B2B et B2G destinées à favoriser des partenariats concrets et durables. Un important Side Event Canada – Afrique, sera organisé en marge de la conférence.
En plaçant le Canada au cœur de cette neuvième édition, TABC ambitionne de renforcer la triangulation Canada-Tunisie-Afrique et de soutenir une dynamique renouvelée d’investissement, de commerce et de coopération multisectorielle.
Cette édition vise à catalyser de nouvelles opportunités et à contribuer à l’émergence d’une vision commune fondée sur une croissance durable, inclusive et mutuellement bénéfique.
Les inscriptions pour Fita2026 sont désormais ouvertes sur ce lien.
Après le désengagement du président Donald Trump de la guerre russo-ukrainienne, les Européens, bien qu’ils soient en grande difficulté économique et n’ont plus le moyen de financer une longue guerre, continuent de pousser l’Ukraine à poursuivre le conflit militaire dévastateur contre la Russie ! Tels sont les ordres de l’Etat profond européen. Cependant, la question qui se pose est : où vont-ils trouver les fonds nécessaires pour cela ? Ils vont tout simplement voler les actifs russes déposés en Europe ! C’est l’Europe des valeurs dans toute sa splendeur !
Habib Glenza
Depuis le début des événements qui se sont déroulés en Ukraine après le coup d’Etat de 2014, appelé «rébellion du Maidan» et orchestré par la CIA, l’agence de renseignement extérieur américaine, l’Europe a joué un rôle négatif dans le cadre des accords de Minsk 1 et Minsk 2, entre Moscou et Kiev, faisant croire aux Russes que l’intervention d’Angela Merkel et François Hollande, représentants l’Union européenne (UE), avait pour objectif de rétablir la paix entre les minorités russes du Donbass et les nationalistes ukrainiens. Or, on sait aujourd’hui que ce fut de la poudre aux yeux et une grande tromperie.
Après les aveux de Merkel et de Hollande en 2022 au sujet de ces accords, on se rend compte aujourd’hui que l’Ukraine n’est qu’un pays vassal de l’Etat profond occidental et que ces accords n’avaient pour objectif que d’affaiblir la Russie dans une première étape et la dépiécer par la suite. Brzezinski dans son livre ‘‘Le grand échiquier’’ paru en 1997 écrivait déjà : «Celui qui disposera de l’Eurasie (la Russie) et de ses richesses naturelles, commandera le monde !»
Aujourd’hui, après le désengagement du président Donald Trump, les Européens, bien qu’ils soient en grande difficulté économique et n’ont plus le moyen de financer une longue guerre, continuent de pousser l’Ukraine à poursuivre le conflit militaire dévastateur contre la Russie ! Tels sont les ordres de l’Etat profond européen. Cependant, la question qui se pose est : où vont-ils trouver les fonds nécessaires pour cela ? Ils vont tout simplement voler les actifs russes déposés en Europe !
Utiliser les avoirs russes gelés, une décision inédite et difficilement imaginable il y a 50-70 ans. Jusqu’à présent, les États attendaient la fin du conflit pour utiliser les avoirs souverains étrangers gelés.
Véritable enjeu stratégique et manne financière, la question de l’utilisation des actifs russes déposés dans certains pays européens, pour soutenir la défense de l’Ukraine, soulève des questions juridiques, morales et économiques, sans parler des risques qu’un pareil abus pourrait provoquer.
Depuis le 24 février 2022 et le début du conflit en Ukraine, l’UE a gelé une partie des avoirs russes présents sur son territoire. Si l’utilisation des intérêts de ces avoirs pour soutenir l’Ukraine est déjà en vigueur, les Vingt-Sept ne sont jusqu’alors pas parvenus à trancher sur l’utilisation de l’ensemble du capital en lui-même.
Une situation qui pourrait se décanter après que la Commission européenne eut proposé, mercredi 3 décembre, un prêt de réparation de 165 milliards d’euros pour l’Ukraine. Ce prêt proviendrait de la valeur «nette» des avoirs gelés de l’État russe détenus en Europe, dont 140 milliards d’euros en Belgique, selon des informations de Politico.
Mais ces fonds peuvent-ils réellement être utilisés pour soutenir Kiev et les autres villes ukrainiennes touchées par la guerre ? Et qu’en est-il des réticences exprimées par certains États membres, et en premier lieu la Belgique ?
Depuis mai 2024, les pays de l’UE et du G7 ont gelé les avoirs russes présents sur leur sol pour une période indéterminée, ou du moins jusqu’au rétablissement de la paix en Ukraine. Cette mesure vise à priver Moscou d’une source de financement pour son armée et à garantir le remboursement des prêts accordés par l’Europe, non pas à la Russie, ce qui aurait été défendable, mais à… l’Ukraine.
Dans les faits, le gel des avoirs est un dispositif légal et administratif permettant de rendre inaccessibles les ressources financières et matérielles d’un individu ou d’une entité. Bien que la Russie considère cette action comme un «vol», elle reste conforme au droit international tel que défini par l’Occident triomphant de l’après Seconde guerre mondiale.
Le montant des avoirs russes gelés
Les avoirs russes bloqués en Europe se composent principalement de 210 milliards d’euros d’actifs appartenant à la Banque centrale de Russie et de 24,9 milliards d’euros d’actifs appartenant à des privés russes. L’essentiel de ces avoirs est constitué de titres financiers, tels que des actions, des obligations d’État, des revenus immobiliers et des placements bancaires.
En Europe, ces fonds sont essentiellement stockés chez Euroclear, une société internationale de dépôt de fonds basée à Bruxelles, pour un montant évalué à quelque 185 milliards d’euros. Cet organisme joue le rôle d’intermédiaire financier entre acheteurs et vendeurs de titres.
Loin derrière la Belgique, la France détiendrait 19 milliards d’euros d’avoirs russes gelés, suivie du Luxembourg (10 milliards) et de l’Allemagne (0,2 milliard).
Ailleurs dans le monde, des avoirs russes sont également bloqués aux États-Unis (4,3 milliards), au Royaume-Uni (26,6 milliards), au Japon (28,1 milliards), au Canada (15,1 milliards) ou encore en Suisse (6,2 milliards).
L’UE peut-elle légalement utiliser les avoirs russes gelés ?
Dans la pratique, le droit international protège les États et leur patrimoine, et interdit la saisie des biens d’un pays par un autre, au titre du principe de «l’immunité d’exécution». La décision de passer à l’action exposerait l’UE à de potentielles sanctions financières devant des juridictions internationales. En plus, cet acte injustifiable peut être considéré comme une déclaration de guerre par la Russie.
Le 21 mai 2024, le Conseil et le Parlement européens se sont accordés sur la mobilisation des bénéfices issus des avoirs russes gelés, en les affectant à hauteur de 90 % au soutien militaire de l’Union à l’Ukraine, et 10 % à l’assistance macro-économique de ce pays.
Ces intérêts s’élevaient à 4,5 milliards d’euros en 2023. Pour que l’UE puisse aller plus loin et confisquer les capitaux russes eux-mêmes, un vote unanime des représentants des États membres au sein du Conseil serait nécessaire.
Ursula von der Leyen, réussira-t-elle à convaincre la majorité des pays de l’UE ?
Le 10 septembre 2025, lors de son très scruté discours sur l’état de l’Union, la présidente de la Commission européenne a abordé cette épineuse question, après avoir rappelé que l’UE avait déjà mobilisé près de 170 milliards d’euros d’aide militaire et financière pour soutenir l’Ukraine. Une aide militaire qui a chuté de57 % en juillet et août 2025 par rapport aux six premiers mois de l’année, selon les chiffres recueillis par le Kiel Institute, basé en Allemagne. Sur les deux mois d’été, l’Union a alloué un total de 3,3 milliards d’euros d’aide militaire à Kiev, soit une moyenne mensuelle d’1,65 milliard.
Tout en rappelant que l’argent est le nerf de la guerre, la présidente de la Commission européenne a confirmé, le 10 septembre, qu’un «prêt à titre de réparation» serait financé à partir des avoirs russes gelés en Europe. Elle a toutefois précisé que seuls les intérêts de ces 210 milliards d’euros d’actifs seraient mobilisés et que l’on «ne touchera pas aux actifs eux-mêmes».
Cependant, la question de mobiliser directement les avoirs est revenue sur la table quelques semaines plus tard, à l’occasion d’une réunion des dirigeants européens à Copenhague, le 1er octobre. Dans une note transmise par la Commission, il est indiqué que sur le total détenu par Euroclear, une majorité du capital correspond à des prêts arrivés à échéance, et donc disponibles sous forme de liquidités. Sur cette somme, 45 milliards sont déjà utilisés dans le cadre d’une autre initiative du G7 pour soutenir l’Ukraine.
Or le reste, soit 140 milliards d’euros, pourrait être transféré à la Commission sous la forme d’un prêt sans intérêt. Celle-ci accorderait ensuite un prêt du même montant à l’Ukraine. Kiev ne devrait alors rembourser ce prêt massif qu’après avoir touché d’hypothétiques… réparations russes. Tant que Moscou n’aura pas effectué ces paiements, les fonds resteraient bloqués. Ainsi, ces futures réparations serviraient de garantie pour le prêt, sans qu’il soit nécessaire de saisir officiellement les avoirs de l’État russe.
La question ukrainienne était à l’ordre du jour du dernier Conseil européen, le 23 octobre. L’opération inédite d’un «prêt de réparation» s’est heurtée aux réticences du Premier ministre belge, Bart De Wever, qui a rapidement menacé de bloquer tout le processus s’il n’obtiendrait pas les garanties suffisantes. Il aurait fixe trois conditions à son accord : 1. une mutualisation totale du risque en cas de réclamation de Moscou; 2. la garantie que, si les fonds doivent être restitués, chaque pays européen participera au remboursement; 3. l’assurance que tous les autres États ayant gelé des avoirs russes, même sans l’avoir annoncé publiquement, agiront de la même manière que la Belgique.
Au terme de ce rendez-vous et faute d’accord formel après le refus de la Belgique de s’aligner, les Vingt-Sept sont finalement convenus de s’engager à répondre aux «besoins urgents» de l’Ukraine et ont enjoint la Commissionde «présenter, dès que possible, des options de soutien financier» pour ce pays.
L’Europe aide l’Ukraine avec l’argent russe
Présent au sommet, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a plaidé pour une décision rapide. «Je vous demande de prendre une décision au plus vite : les avoirs russes doivent être pleinement utilisés pour se défendre contre l’agression russe», a-t-il déclaré face aux dirigeants européens, comme s’il défendait un droit, celui de disposer librement de l’argent de son… ennemi. Dans cette foire aux «valeurs européennes», on aura donc tout vu, et il reste encore tant à voir !
Alors que ces chers européens devraient à nouveau aborder la question lors de leur prochaine rencontre, les 18 et 19 décembre, la situation devient pressante, surtout face à une aide américaine qui se tarit, suite au désengagement de Trump.
Selon les informations de Politico, le prêt d’aide, destiné à l’Ukraine est estimé à 165 milliards d’euros, fait partie d’un ensemble de mesures financières plus large, d’une valeur pouvant atteindre 210 milliards d’euros et visant à maintenir les finances de Kiev à flot pour les années à venir. Ce prêt comprend 25 milliards d’euros d’actifs immobilisés de l’État russe détenus dans des comptes bancaires privés à travers l’UE, en plus des 140 milliards d’euros détenus par la banque Euroclear en Belgique. Car «le trésor de guerre de l’Ukraine devrait être épuisé en avril», selon le gouvernement ukrainien
Le prêt serait remboursé par Kiev uniquement si la Russie met fin au conflit et paie des réparations de guerre, un scénario jugé peu probable voire impossible.
Au total, 115 milliards d’euros seraient destinés à financer l’industrie de défense de l’Ukraine, 50 milliards à couvrir les besoins budgétaires de ce pays et 45 milliards à rembourser un prêt du G7 datant de 2024.
La principale difficulté, déjà identifiée, vient de l’opposition de la Belgique, qui craint notamment des représailles russes contre l’État belge et Euroclear, le dépositaire des fonds gelés.
Ces deux propositions législatives serviront de base à des négociations techniques immédiates avant que les dirigeants de l’UE ne se réunissent dans quelques jours pour se prononcer sur les aspects les plus sensibles de l’initiative.
«Nous envoyons aujourd’hui un signal très fort au peuple ukrainien pour lui faire comprendre que nous sommes prêts à nous engager sur le long terme. Nous pouvons leur fournir les moyens de se défendre et, plus important encore, les moyens de mener des négociations de paix en position de force», a déclaré la présidente de la Commission.
Qui sont les pays va-en-guerre de l’UE, qui soutiennent la poursuite de la guerre jusqu’au dernier Ukrainien ?
Depuis quelques mois, c’est Outre-Rhin que le soutien est de plus en plus marqué. Dès la mi-septembre, le chancelier Friedrich Merz a publié une tribune dans le Financial Times pour exprimer son ralliement, appelant l’Europe à «renforcer le coût de l’agression russe». Devant les députés allemands, il a de nouveau appelé le 16 octobre à utiliser les avoirs de la Banque centrale russe, gelés depuis l’invasion de février 2022. L’appui de la première économie de la zone euro apparaît comme déterminant dans l’issue des négociations, d’autant que l’Allemagne s’était jusqu’alors montrée réticente.
Les conséquences catastrophiques du vol
Comme il y a encore quelque temps, la plupart des pays européens ont encore tendance à s’opposer à la saisie des avoirs. Outre la Belgique, c’est notamment le cas de l’Italie ou de la France, qui a déjà fait part de sa volonté de voir les aides financières versées à Kiev conditionnées à la mise en œuvre de réformes et débloquées de façon graduelle. D’autres pays comme la Pologneou les Pays-Bas sont en revanche favorables à leur utilisation, au motif qu’elle pourrait freiner les velléités de Vladimir Poutine.
En parallèle, certains économistes et experts mettent en garde contre un effet boomerang : une mobilisation des fonds russes pourrait en effet inciter d’autres puissances, comme la Chine, l’Inde ou l’Arabie saoudite, à retirer leurs investissements d’Europe par crainte d’un traitement similaire à l’avenir.
C’est pour cette raison que les pays du Brics ont décidé de ne plus faire de transactions financières et commerciales directes, sans passer par les banques européennes, en dollar ou en euro, préférant les échanges en yens, roubles, roupies et autres devises plus sûres
Vidéo de François Hollande avouant que les accords de Minsk étaient une tromperie pour donner du temps à l’Ukraine pour se préparer à la guerre contre l’Ukraine.
Dans le cadre du renforcement continu des relations bilatérales distinguées entre la République tunisienne et le Sultanat d’Oman, et dans un contexte marqué par une dynamique positive de coopération entre les deux pays, le siège de la Banque centrale d’Oman a abrité, le lundi 8 décembre 2025, la cérémonie de signature d’un mémorandum d’entente entre la Banque Centrale de Tunisie et son homologue omanaise.
Cette initiative traduit l’engagement des deux institutions à approfondir leur coopération institutionnelle et à développer les cadres de coordination conjointe, en phase avec le regain d’élan que connaissent les relations économiques entre les deux pays. Le mémorandum a été signé par Son Excellence M. Ahmad bin Jaafar Al Musalmi, Gouverneur de la Banque centrale d’Oman, et M. Fethi Zouhaier Nouri, Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, en présence de hauts responsables des deux parties.
Ce mémorandum prévoit l’instauration d’une coopération stratégique dans plusieurs axes prioritaires, notamment la politique monétaire, la supervision bancaire et la gestion des risques, ainsi que le développement des infrastructures financières et des systèmes de paiement. Il porte également sur l’appui de la transition numérique, la promotion de l’innovation financière et le renforcement de l’échange d’expériences à travers des programmes de développement des compétences.
La signature de ce mémorandum constitue une nouvelle étape dans le parcours d’un partenariat fructueux entre les deux pays et reflète la volonté commune d’asseoir une coopération financière et bancaire solide, à même de soutenir la stabilité financière et de renforcer les intérêts économiques communs entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman.
À cette occasion, le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie a réaffirmé son engagement à assurer un suivi rapproché de la mise en œuvre des dispositions dudit mémorandum de manière à garantir la réalisation de ses objectifs en les traduisant en programmes d’action concrets, en réunions techniques régulières et en projets conjoints à forte valeur ajoutée pour les économies et les secteurs financiers des deux pays.
Mardi 9 décembre 2025, à 21h00, l’Atalanta Bergame accueille Chelsea pour la 6ᵉ journée de la phase de groupes de la Ligue des Champions, dans un match décisif pour la qualification aux phases éliminatoires. Les deux équipes comptent 10 points chacune, et le différentiel de buts pourrait jouer un rôle crucial dans ce duel à enjeux.
Les forces et faiblesses des deux équipes
L’Atalanta arrive avec une dynamique positive : trois victoires et deux défaites lors de ses cinq derniers matchs, avec 11 buts marqués et 6 encaissés. Toutefois, l’absence de Sulemana et Bakker pourrait compliquer la tâche de l’entraîneur pour aligner son équipe type.
Chelsea, de son côté, affiche un bilan plus mitigé avec deux victoires, deux matchs nuls et une défaite. La défense reste solide, mais les nombreuses absences — Mudryk, Colwill, Sterling, Lavia, Essugo et Slonina — contraignent l’équipe à puiser dans son banc.
Diffusion TV et streaming
Le match Atalanta Bergame – Chelsea sera diffusé en direct sur Canal+ Live et disponible en streaming à partir de 21h00 depuis la New Balance Arena.
L’AS Monaco accueille Galatasaray mardi 9 décembre pour la 6ᵉ journée de l’UEFA Champions League, avec la possibilité de sécuriser sa place pour les barrages.
Monaco reste invaincu depuis quatre matchs européens, mais peine en Ligue 1, où il est 7ᵉ et en difficulté récemment.
Galatasaray, leader en Turquie, totalise 9 points en C1 avec trois victoires et un effectif solide, comprenant Osimhen, Icardi et Sané.
Le match démarre à 21h au stade Louis II et sera diffusé sur CANAL+ SPORT.
Le commissariat régional au tourisme à Tozeur prévoit une légère hausse du taux de réservations dans les unités touristiques de la région durant les vacances scolaires d’hiver et les congés de fin d’année, dépassant ainsi les indicateurs enregistrés à la même période en 2024.
Dans une déclaration à la TAP, le commissaire régional au tourisme, Adel Sbita a indiqué que le rythme des réservations poursuit sa progression pour s’accélérer davantage durant la dernière semaine précédant les vacances scolaires.
Les préparatifs se poursuivent au niveau des différentes parties concernées pour réussir cette période touristique qui attire un nombre important de visiteurs, tunisiens et étrangers.
Les premiers indicateurs montrent une augmentation du nombre de touristes attendus dans la région, notamment à l’occasion de la fête du nouvel an, tandis que les efforts se poursuivent pour atteindre les objectifs fixés au niveau régional et national, en l’occurrence, celui de parvenir a 11 millions de touristes sur l’ensemble de l’année 2025, a souligné la même source.
Les préparatifs en cours portent sur l’inspection des différents services touristiques dans les hôtels, les agences de voyage et les divers espaces touristiques.
Cela inclut la vérification de la préparation des agences de voyages et la disponibilité de leur flotte de transport, ainsi que l’inspection des unités d’hébergement et des sites susceptibles d’attirer les visiteurs, notamment en matière de propreté.
Ces opérations se déroulent en partenariat avec les autorités concernées, en particulier les municipalités et les services sécuritaires, afin de garantir la propreté des lieux et la sécurité des résidents et des visiteurs.
Mardi 9 décembre, le FC Barcelone reçoit l’Eintracht Francfort au Camp Nou pour la 6e journée de la phase de groupes de la Ligue des champions. Après une défaite contre Chelsea lors de la dernière journée, les Catalans, leaders de la Liga, cherchent à relancer leur campagne européenne et à engranger des points cruciaux face à des Allemands en difficulté.
Le Barça veut retrouver la victoire
Actuellement 15e de leur groupe, Barcelone doit impérativement s’imposer pour rester dans la course à la qualification. Lamine Yamal et ses coéquipiers, en confiance sur le plan national, comptent profiter de l’avantage du Camp Nou pour faire pencher la balance en leur faveur.
Francfort en crise
L’Eintracht Francfort, 28e de la phase de groupes, arrive en Espagne après une lourde défaite contre le RB Leipzig (0-6) en Bundesliga. Les Allemands devront redresser la barre pour espérer inquiéter des Barcelonais déterminés à renouer avec la victoire sur la scène européenne.
Horaire et diffusion TV
Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 21h au Camp Nou. Les fans pourront suivre le match en direct sur Canal+ Live 4.
Chelsea devra se passer de son meneur de jeu Cole Palmer pour le déplacement à Bergame, mardi, lors de la Ligue des champions. L’entraîneur Enzo Maresca a annoncé lundi que le joueur de 23 ans ne ferait pas partie du groupe pour cette rencontre.
Un retour progressif après deux mois d’absence
Cole Palmer revient de plusieurs blessures qui l’ont éloigné des terrains pendant deux mois. En septembre, il avait d’abord souffert d’une blessure à l’aine, puis s’est fracturé un orteil dans un accident domestique. Il a effectué son retour samedi dernier, titularisé pour la première fois depuis septembre, lors du match nul 0-0 contre Bournemouth en championnat.
Selon Maresca, « Cole est en pleine phase de reprise en ce moment. Il n’est pas disponible, il ne peut pas jouer deux matches consécutifs en trois jours. Nous avons donc prévu cela, c’est simplement une façon de le protéger. »
Une gestion prudente du temps de jeu
L’entraîneur des “Blues” insiste sur la nécessité d’aménager le temps de jeu de Palmer afin de ne pas compromettre sa reprise. Le club souhaite éviter tout risque de rechute après son retour progressif. Cette décision s’inscrit dans une stratégie de prudence, en phase avec le suivi médical et sportif du joueur.
Autres absences dans l’effectif
Chelsea devra également composer sans Liam Delap, forfait après une blessure à l’épaule contractée contre Bournemouth. L’équipe doit donc faire face à plusieurs indisponibilités dans son effectif, ce qui pourrait influencer la composition et la stratégie de Maresca pour ce match.
Classement et enjeux du match
Avant la rencontre à Bergame, Chelsea occupe la 7ᵉ place de la phase de groupe de la Ligue des champions. Les “Blues” restent sur une victoire notable contre le FC Barcelone, 3-0 à Stamford Bridge lors de la précédente journée. L’Atalanta, adversaire du jour, pointe à la 10ᵉ place du groupe. Le match sera important pour les deux équipes afin de consolider leurs positions avant la dernière journée de la phase de groupe.
Mardi 9 décembre, l’Inter Milan accueille Liverpool pour la 6e journée de la phase de groupes de la Ligue des champions. Une rencontre importante pour les Intéristes, qui comptent bien reprendre leur série après leur seule défaite récente contre l’Atlético de Madrid.
L’Inter solide face à des Reds en difficulté
Actuellement dauphins de Naples en Serie A, l’Inter Milan réalise un parcours solide en Ligue des champions et occupe la 4e place de son groupe. Les Milanais espèrent poursuivre sur cette dynamique face à Liverpool, en pleine crise. Les Reds, 9es de Premier League, restent sur trois défaites consécutives en C1, dont une lourde contre le PSV Eindhoven (1-4) à Anfield.
Privé de Mohamed Salah, suspendu après ses récentes déclarations, Liverpool devra se passer de son meilleur buteur pour tenter de renverser la situation. Après un mercato coûteux, le club anglais est sous pression et attend avec impatience de retrouver des performances convaincantes.
Horaire et diffusion TV
Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h45 au stade Giuseppe Meazza de Milan. Les supporters pourront suivre le match en direct sur Canal+ Live 2.
La Compagnie tunisienne de navigation (CTN) a annoncé, mardi, l’ouverture, à partir du 16 décembre 2025, des réservations sur les lignes Marseille et Gênes pour la saison 2026. La compagnie a précisé dans un communiqué que les réservations sont possibles dans les agences CTN et les agences de voyage partenaires en Tunisie et en Europe, […]
Les unités de la protection civile ont effectué 574 interventions, dont 148 interventions de secours sur les routes au courant des dernières 24 heures, selon le porte-parole de la protection civile. Les autres interventions, précise la même source, se répartissent comme suit : 40 opérations d’extinction des feux, 373 interventions hors accidents de la route […]
Mardi 9 décembre, l’Inter Milan accueille Liverpool pour la 6e journée de la phase de groupes de la Ligue des champions. Une rencontre importante pour les Intéristes, qui comptent bien reprendre leur série après leur seule défaite récente contre l’Atlético de Madrid. L’Inter solide face à des Reds en difficulté Actuellement dauphins de Naples en […]
Lors du rassemblement Goalkeepers, Bill Gates a exprimé son intention de soutenir la Fondation Ons Jabeur, ouvrant ainsi la voie à une collaboration prometteuse pour offrir de nouvelles opportunités aux jeunes générations.
Cet échange entre le coprésident de la Bill & Melinda Gates Foundation et la championne tunisienne de tennis Ons Jabeur a permis de discuter des synergies possibles entre leurs fondations respectives. L’objectif est de travailler ensemble pour promouvoir l’éducation et l’empowerment des jeunes, particulièrement dans les régions d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
Bill Gates et Ons Jabeur lors du rassemblement Goalkeepers, discutant de la manière dont leurs fondations respectives peuvent collaborer pour créer de meilleures opportunités éducatives et sportives pour les jeunes générations.
La Fondation Ons Jabeur
La Fondation Ons Jabeur, fondée par la première femme arabe à atteindre le sommet du tennis mondial, se consacre à la promotion de l’éducation, à l’égalité des genres, et à l’empowerment des jeunes, notamment dans les zones défavorisées. En utilisant son influence, Ons Jabeur soutient des programmes d’éducation et des initiatives sportives pour permettre aux jeunes, et en particulier aux filles, d’accéder à des opportunités qui leur sont souvent fermées.
En apportant son soutien, la Bill & Melinda Gates Foundation pourrait aider à financer les centres d’éducation et de sport et à mettre en place des bourses pour les jeunes talents sportifs, facilitant ainsi leur accès à des formations de qualité.
La collaboration entre Bill Gates et Ons Jabeur pourrait marquer un tournant dans la vie de milliers de jeunes, en leur offrant l’accès à une éducation de qualité et à des opportunités sportives exceptionnelles. Grâce à cette synergie, les deux fondations pourraient accélérer la création de centres d’excellence pour les jeunes dans des régions en développement.
Le soutien de Bill Gates pourrait ainsi amplifier l’impact de la Fondation Ons Jabeur, en permettant à celle-ci de se développer et de toucher davantage de jeunes à travers des programmes d’éducation, des infrastructures sportives, et des opportunités d’accompagnement professionnel.
La Fédération générale de l’alimentation, du tourisme, du commerce et de l’artisanat (FGAT), relevant de l’UGTT, a confirmé l’organisation d’une grève sectorielle de 24 heures après l’impasse des discussions avec le gouvernement.
Selon le communiqué adressé aux syndicats régionaux, le mouvement de grève commencera dans la nuit du mardi 9 décembre 2025 et se poursuivra jusqu’au mercredi 10 décembre à minuit. Tous les établissements et entreprises relevant des secteurs concernés sont appelés à y participer. Les travailleurs devront se rendre à leurs postes le matin, avant de rejoindre les sièges des unions régionales du travail pour des rassemblements.
La FGAT justifie cette décision par le «refus des autorités administratives sectorielles» et par «le rejet de la négociation» du côté du ministère des Affaires sociales. Le communiqué souligne également l’absence de nouvelles tentatives de dialogue malgré les demandes répétées du syndicat, ce qui a précipité l’appel à la mobilisation. La fédération tient le gouvernement pour responsable de ce blocage et appelle les travailleurs à maintenir leur unité.
Derrière cette grève, les syndicats réclament depuis des mois une révision des conditions de travail dans les secteurs de l’alimentation, du commerce et du tourisme, largement touchés par l’inflation, la précarité et la stagnation salariale. Les organisations professionnelles pointent également la détérioration du climat social dans les entreprises, l’augmentation du coût de la vie et la pression croissante sur les travailleurs, notamment dans les activités saisonnières.
La facture est lourde à payer et la fracture sociale risque de s’approfondir. Plus de 50% de l’économie tunisienne est touchée par des mécanismes de rente. Cette moitié opère dans des secteurs fermés ou régulés avec des restrictions à l’entrée. Cela engendre un manque à gagner de 5 % de la productivité et prive le pays de la création de 50 000 emplois annuels. Ce constat, officiel, est établi par l’Institut tunisien des études stratégiques (Ites), relevant de la Présidence de la République. Dans une récente étude intitulée «Politique de lutte contre l’économie de rente en Tunisie, vers une croissance durable et inclusive», soumise à l’attention du chef ...