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Heute — 06. Mai 2025Haupt-Feeds

Bourse de Tunis: Le marché clôture la séance dans le vert

Le marché a clôturé la séance dans le vert. L’indice de référence a affiché une légère progression de 0,1 % à 11 314,9 points dans un volume modeste de 6,7 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre LAND’OR s’est placé au top line. L’action de la société s’est appréciée de 4,8 % à 11,180 D dans un volume de 175 mille dinars.

Le titre BTE a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action de la banque mixte a gagné 4,4 % à 5,230 D. La valeur a amassé des échanges de 3 mille dinars sur la séance.

Du côté des baisses, le titre CELLCOM a accusé une régression de -3,8 % à 1,790 D. L’action a brassé un volume de 74 mille dinars sur la séance.

Mal orienté, le titre AETECH s’est délesté de -3,7 % à 0,260 D. L’action n’a pas généré des capitaux sur la séance.

Le titre POULINA GROUP HOLDING a chapeauté le palmarès des échanges. L’action a inscrit une avancée de 2,2 % à 14,650 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1,2 MD.

Avec TAP

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Impératif de faire de l’intégration régionale et du développement durable des piliers du travail africain (Ministre du Commerce)

Faire de l’intégration régionale et du développement durable des piliers du travail africain demeure nécessaire, a indiqué le ministre du Commerce et du développement des exportations, Samir Abid.

Intervenant au cours de la huitième édition de la conférence internationale « Financing Investment & Trade in Africa– FITA2025 », Abid a rappelé que l’Afrique fait face à plusieurs défis, climatiques, économiques, technologiques et scientifiques. Il est impératif, a-t-il dit, de conjuguer les efforts pour relever ces défis.

Il a précisé lors de cet événement, auquel prend part deux mille participants dont des ministres, des représentants d’institutions financières africaines, des investisseurs et des hommes d’affaires, que le FITA, enracine la dimension africaine. Il a réitéré l’attachement de la Tunisie aux valeurs africaines et l’adhésion effective aux initiatives continentales pour booster la coopération structurée, et renforcer les opportunités de partenariat pour la mise en place d’un espace africain basé sur la prospérité, l’intégration et la solidarité.

Et d’ajouter que le choix du sujet reflète la volonté d’établir un diagnostic, soulignant que les thèmes sont liés à des défis importants (transition industrielle, industrialisation, transition énergétique et digitalisation) dont lesquels la Tunisie a acquis une expertise.

La Tunisie est prête à partager et à mettre cette expertise à la disposition des pays africains dans le cadre d’un partenariat win-win.

Pour une Afrique plus productive et souveraine :

De son côté, Le président du Conseil d’affaires Tuniso-africain (Tunisia-Africa Business Council- TABC), Anis Jaziri a estimé que le principal défi, que le continent africain doit relever, réside dans sa contribution à la construction d’une Afrique plus solide pour qu’elle soit plus intégrée, plus souveraine concernant ses ressources naturelles et ses choix de développement. Et de poursuivre que le continent a besoin de plus d’intégration, de complémentarité et de productivité.

Jaziri a souligné, à cette occasion, que les pays africains devraient déterminer ses perspectives futures d’autant plus qu’ils sont en face d’une grande responsabilité, et ce, en dépit des mutations mondiales.

Et de préciser que la 8ème édition de la conférence internationale FITA2025, est organisée sur le thème « Impulser la transformation de l’Afrique », en tenant en considération que le continent africain regorge de potentiel et des ressources. A savoir une population de 1,5 milliard d’habitants, qui atteindra 2,5 milliards en 2050, dont plus de 60 % de jeunes de moins de 25 an. Le PIB devrait, quant à lui, passer de 3 000 milliards de dollars à 10 000 milliards de dollars à l’horizon 2050. « Pour réaliser tout son potentiel, l’Afrique devra entamer une transformation profonde et une dynamique réelle de changement », a-t-il soutenu.

Jaziri a également évoqué la disponibilité des sources de financement qui demeurent, a-t-il dit, essentielles pour avoir une vision sur la transformation de l’Afrique. C’est ainsi, que « FITA 2025 » a organisé quatre sessions principales sur ce thème en traitant le rôle des institutions financières multilatérales, dans le financement de la transformation et le rôle des banques commerciales dans le financement des grands projets et des PME, outre le rôle du capital-risque et des fonds d’investissement dans l’appui à l’innovation et le modèle de partenariat public-privé pour la réalisation de projets structurants.

Jaziri a souligné que cette édition revêt une importance particulière, puisqu’elle coïncide avec le 10ème anniversaire de la création de TABC (en mai 2015).

« Plus de 100 accords de partenariat ont également été signés avec des chambres de commerce, des organisations patronales, des conseils d’affaires, des agences d’investissement et des think tanks », a-t-il rappelé.

Par ailleurs, Laurent Kazavi, un investisseur de la République démocratique du Congo (RDC) voit que dans le domaine des nouvelles technologies, l’Afrique dispose d’un grand potentiel lui permettant d’être un pôle économique mondial de grande envergure, parmi les autres blocs économiques et commerciaux internationaux.

Il a fait remarquer dans une déclaration à l’agence TAP que l’Afrique ne manque pas de capacités, mais qu’elle doit plutôt mieux investir ces énergies et les exploiter au service de ses peuples à la lumière de nombreuses initiatives menées par les jeunes du continent.

Il est à noter que la manifestation FITA, qui se poursuit jusqu’à, mercredi 6 mai, verra l’organisation d’ateliers et de réunions de dialogue qui seront animés par 160 conférenciers au cours de 28 réunions programmées. Une réunion ministérielle extraordinaire aura également lieu, avec la participation de 4 ministres du tourisme de la République démocratique du Congo, de la Mauritanie, de la Libye et de Madagascar, ainsi que le ministre adjoint du Tourisme du Ghana, pour discuter des questions liées au domaine du tourisme africain afin de booster l’économie.

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Ben Arous: Mise en chantier d’un raccordement hydraulique lié au projet d’élargissement de l’entrée sud de Tunis

Les travaux de raccordement d’une nouvelle section de la canalisation d’eau potable, d’un diamètre de 1200 mm, ont débuté, mardi 6 mai, à Ben Arous, dans le cadre du projet d’élargissement de l’entrée sud de Tunis.

Le directeur des grands travaux au ministère de l’Équipement et de l’Habitat, Khaled Tarrouche, a a indiqué à l’Agence TAP que les entreprises chargées du chantier ont entamé les interventions sur trois axes principaux, notamment à l’entrée de la zone d’El Mourouj sur l’autoroute, ainsi qu’au niveau de Bir El Kassaa, et ce, après l’interruption programmée de l’alimentation en eau.

De son côté, le chef du département de production à la Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux (SONEDE) pour le Grand Tunis, Fethi Chennouf, a précisé que la coupure de l’eau est intervenue dès la soirée de lundi 5 mai, permettant l’opération de vidange des réservoirs jusqu’à 4h du matin, heure à laquelle les travaux de raccordement ont été lancés.

Cette opération a fait l’objet d’une planification technique rigoureuse à l’issue d’une série de réunions de coordination portant sur les aspects logistiques et les modalités d’interruption maîtrisée de l’alimentation en eau.

La Sonede avait précisé dans un communiqué que ces travaux entraîneront des perturbations et des coupures dans la distribution de l’eau potable à partir de, mardi 6 mai, vers midi et jusqu’à minuit, jeudi 8 mai, dans les zones suivantes : Hammam Lif (perturbations et coupures dans les zones hautes), les immeubles Chouchet Rades, Hammam Chatt, Borj Cedria, Mornag, Soliman, et la localité de Chrifette à Soliman. Les travaux se poursuivront jour et nuit.

S’agissant de l’approvisionnement des structures vitales situées dans les zones affectées, Chennouf a assuré qu’un dispositif de coordination avec les services centraux et régionaux a été activé, prévoyant la mobilisation de camions-citernes pour garantir la continuité de l’alimentation en eau à compter de mardi.

Avec TAP

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Le Kef : l’Office des céréales se mobilise pleinement pour une campagne

L’Office des céréales aborde la prochaine campagne moissonneuse dans un état de préparation optimal. C’est ce qu’a assuré sa présidente directrice générale, Saloua Ben Hdid Zouari, face aux perspectives d’une récolte qui se veut prometteuse.

Dans une déclaration à l’Agence TAP lors d’une visite effectuée, mardi 6 mai, au gouvernorat du Kef, Saloua Ben Hdid Zouari a indiqué que l’Office des céréales a mis en place les dispositions logistiques nécessaires pour assurer la réception des récoltes dans des conditions favorables.

Ces préparatifs incluent notamment la mise à niveau des centres de collecte conformément aux normes techniques en vigueur. Ainsi que la mobilisation d’un important dispositif de transport composé d’un parc de 400 camions.

L’acheminement des céréales vers les minoteries, les silos centraux ou de proximité s’appuiera également, dans les régions concernées, sur le réseau ferroviaire.

Elle a également fait savoir que 29 collecteurs de céréales ont été agréés au niveau national pour la saison en cours, dont sept dans le gouvernorat du Kef. Lequel dispose d’une capacité de stockage estimée à 840 mille quintaux, une part modeste dans le volume total national, évalué à 7,6 millions de quintaux.

Cette capacité, a-t-elle reconnu, demeure insuffisante en cas d’abondance de la production, obligeant alors à recourir temporairement au stockage à l’air libre. Une solution transitoire qui, selon elle, nécessite la mise en œuvre de protocoles spécifiques visant à préserver l’intégrité des récoltes jusqu’à leur évacuation vers les sites de conservation définitive.

S’agissant des prix de cession des céréales pour la saison actuelle, la PDG de l’Office a rappelé que le Conseil ministériel restreint tenu le 10 mars dernier a entériné le maintien de la prime exceptionnelle de soutien, fixée à 10 dinars. Cette mesure s’inscrit dans la continuité des efforts publics visant à appuyer durablement les agriculteurs et à encourager les investissements dans la filière céréalière.

Elle a, par ailleurs, annoncé que les prix officiels seront publiés le 12 mai courant, à l’occasion de la Journée nationale de l’agriculture.

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Des agents du Centre International pour la promotion des personnes handicapés en sit-in

Des dizaines de cadres et agents contractuels du Centre International pour la promotion des personnes handicapées entament, depuis, lundi 5 mai, un sit-in ouvert devant le siège de l’assemblée nationale des représentants du peuple (ARP) pour réclamer « la titularisation et un statut pour les salariés ». Alors que la direction générale du centre avait souligné, vendredi 2 mai, dans un communiqué, que la régularisation de la situation professionnelle des agents contractuels « se déroule de manière habituelle ».

Le responsable chargé de la gestion administrative de ce centre, Hedi Ltifi, a indiqué dans une déclaration à la TAP que des dizaines de contractuels parmi plus de 1400 contractuels dans ce centre participent à ce mouvement de protestation.

Les protestataires revendiquent l’affiliation à la caisse nationale de retraite et de prévoyance sociale (CNRPS), l’annulation des contrats de sous-traitance, un statut permanent qui leur permet de garantir leur stabilité professionnelle, une augmentation salariale et le versement des salaires de manière régulière et à la même date de versement que les salaires des agents et des cadres du centre.

La direction générale du centre international pour la promotion des personnes handicapées avait souligné, vendredi 2 mai, dans un communiqué publié sur sa page Facebook que le processus de régularisation de la situation professionnelle des contractuels se déroule « de manière habituelle ». Tout en ajoutant que l’autorité de tutelle assure le suivi de ce dossier et s’attache à « assainir le climat social dans les centres d’éducation spécialisés ».

Avec TAP

 

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Transferts des TRE : un soutien vital, mais en deçà de la moyenne mondiale

Le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fethi Nouri, a révélé que les Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) effectuent en moyenne des transferts de l’ordre de 120 dollars par mois et par personne, contre une moyenne mondiale de 200 dollars.

Lors de sa participation à un atelier international sur « La contribution des diasporas à la promotion de l’investissement et à la réalisation du développement durable », il a précisé que les transferts des Tunisiens à l’étranger ont permis de couvrir entre 1,3 % et 1,4 % de la dette en devises. Il a ajouté que ces transferts des TRE ont représenté, fin 2024, environ 30 % des réserves en devises du pays.

Il a également indiqué que ces transferts représentent environ 5,6 % du produit intérieur brut (PIB), et estimé que les Tunisiens de l’étranger contribuent à hauteur de 2 % au tissu économique. Avec environ 50 % d’entre eux possédant des investissements immobiliers en Tunisie.

La Tunisie a enregistré une croissance continue du volume des transferts des tunisiens résidant à l’étranger, dépassant les 2 milliards de dinars, selon Fethi Nouri. Il a noté qu’une grande partie de ces fonds est consacrée à la consommation. Alors qu’il est nécessaire de les intégrer dans l’économie nationale sous forme de projets d’investissement bénéfiques au pays.

Le patron de la banque des banques a souligné l’importance de renforcer la contribution des Tunisiens expatriés au développement. Et ce, notamment à travers l’adoption de politiques visant à renforcer le rôle de la diaspora dans les organisations professionnelles, la mise en place d’un plan de communication pour les informer des incitations à l’investissement, et la possibilité de leur permettre de participer aux projets d’infrastructure. Il a également proposé l’ouverture de comptes d’épargne en devises pour les TRE en Tunisie.

Avec TAP

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Fièvre aphteuse en Europe et au MENA : la FAO appelle à des mesures immédiates

Une souche exotique s’invite dans les cheptels du Moyen-Orient, pendant que le virus animal refait surface en Europe, où on le croyait pourtant maîtrisé. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) tire la sonnette d’alarme.

Fermes contaminées, troupeaux abattus, foires aux bestiaux interdites : la fièvre aphteuse, virus hautement contagieux qui touche les animaux à sabots fendus, se répand comme une trainée de poudre parmi les vaches, porcs, moutons et chèvres européens. Et elle prend une tournure inquiétante au Proche-Orient, en raison de l’apparition récente d’une nouvelle souche venue d’Afrique de l’Est.

Face à ce double foyer, la FAO appelle à des mesures immédiates.

« La FAO recommande des mesures de biosécurité urgentes et une surveillance renforcée à la suite de la détection récente de la fièvre aphteuse (FMD) de sérotype SAT1 en Iraq et à Bahreïn. Ce sérotype est exotique pour les régions du Proche-Orient et de l’Eurasie occidentale. Ce qui suscite de vives inquiétudes quant à une possible propagation du virus ». Ainsi prévient lundi l’agence onusienne, dans un communiqué de presse.

Outre l’Iraq et le Bahreïn, le SAT1, jusqu’ici cantonné à l’Afrique subsaharienne, a récemment fait irruption au Koweït, où les autorités vétérinaires ont également confirmé des cas. À cela s’ajoute un terrain déjà propice : dans ces régions, la fièvre aphteuse est endémique. Mais cette nouvelle souche introduit une incertitude majeure pour des systèmes vétérinaires parfois dépassés.

Retour du virus en Europe

L’Europe, de son côté, croyait le virus tenu à distance depuis la dernière épidémie dramatique de 2001. En janvier 2025, un foyer détecté en Allemagne a été rapidement éradiqué. Mais une autre incursion le mois suivant, en Hongrie cette fois, a pris racine. La Slovaquie voisine a depuis enregistré des cas, alors que l’épidémie se répand.

Conséquence immédiate, le Royaume-Uni a interdit l’importation de viande et de produits laitiers en provenance des pays européens touchés, ainsi que de l’Autriche, en raison de sa proximité avec la Hongrie. Des décisions qui ravivent le spectre de fermetures de marchés et de nouvelles tensions commerciales.

Car si la fièvre aphteuse ne menace pas directement la santé humaine, ses dégâts sur l’économie agricole sont massifs : baisse de la production de lait et de viande, abattages massifs, effondrement du commerce. La FAO chiffre à 21 milliards de dollars les pertes annuelles directes et les coûts de vaccination dans les zones touchées par le virus. Un fardeau pour les petits éleveurs, surtout en zones rurales, sans compter l’impact lié à la perturbation des marchés internationaux.

Une riposte en quatre axes

Pour contenir cette résurgence, la FAO appelle à une mobilisation généralisée, notamment via des campagnes de sensibilisation dans les zones à risque. Elle prône un renforcement drastique de la biosécurité : « Séparer les animaux malades, éviter d’introduire des bêtes d’origine inconnue, désinfecter marchés et véhicules entre les ventes, empêcher les déplacements suspects entre fermes ». Un effort colossal pour des secteurs parfois peu outillés.

La vaccination, quant à elle, reste « un outil hautement efficace », à condition d’utiliser des vaccins bien adaptés aux souches en circulation. Encore faut-il pouvoir identifier ces dernières rapidement. D’où l’importance, souligne la FAO, de renforcer la surveillance et les plans de contingence. Ces procédures d’urgence qui permettent d’endiguer une épidémie à la source.

La FAO en première ligne

Face à cette alerte, l’agence onusienne active tous ses leviers. Son système de prévention d’urgence accompagne les pays touchés dans la mise en place de stratégies de surveillance et de contrôle. En collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA), elle soutient aussi la stratégie mondiale de lutte contre la fièvre aphteuse.

« De nombreuses souches du virus continuent de circuler dans différentes régions du monde. Et les récentes flambées en Europe et au Proche-Orient rappellent les risques persistants que cette maladie fait peser sur les moyens de subsistance, la sécurité alimentaire et la sécurité des échanges commerciaux », souligne la FAO.

Le message est clair : face à une menace globale, la réponse doit être collective, rapide et coordonnée.

Source : site de la FAO

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QNB soutient les hôpitaux « Aziza Othmana » et « Béchir Hamza »

QNB Tunisia a annoncé son soutien aux travaux d’aménagements et d’équipements à l’hôpital Aziza Othmana et à l’hôpital d’enfants Béchir Hamza à Tunis, afin de pallier au manque d’équipements essentiels.

Cette initiative, menée par QNB en partenariat avec l’Association Carthage Horizon et en coordination avec le ministère de la Santé, s’inscrit dans le cadre de la stratégie de la banque en matière de responsabilité sociétale et de son engagement envers le secteur de la santé.
Dans ce cadre, QNB a fourni des équipements au service d’hématologie de l’hôpital Aziza Othmana.

Parallèlement, la banque a soutenu la réhabilitation des espaces dédiés aux mères et aux enfants hospitalisés au sein du service pédiatrique de l’hôpital Béchir Hamza. Contribuant ainsi à améliorer la qualité des soins et à offrir un environnement sain aux patients.

Par ailleurs, notons que QNB Tunisia est présente dans 11 gouvernorats avec 25 agences dont deux agences dédiées à la clientèle Premium situées sur l’avenue Mohammed V à Tunis et à Sousse. De même que trois centres d’affaires sont dédiés aux entreprises à Tunis et Sousse. Et un bureau de change est établi à l’ aéroport de Tunis-Carthage.

D’après communiqué

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Le ministre de l’Éducation visite plusieurs écoles à Kasserine

Le ministre de l’Éducation, Nourredine Nouri, a souligné, mardi 6 mai, en déplacement à Kasserine, que les visites de terrain dans les établissements scolaires portent sur plusieurs axes, notamment le suivi pédagogique. En particulier en ce qui concerne les examens nationaux, ainsi que l’inspection des infrastructures et l’autorisation des interventions urgentes.

Il a précisé, dans une déclaration à l’agence TAP, avoir visité, mardi 6 mai, plusieurs établissements scolaires de la région, notamment l’école primaire Ouled Barka dans la délégation de Foussana, qui a connu d’importants glissements de terrain ayant endommagé principalement le mur et certaines parois; et ce, malgré des travaux de réhabilitation et d’entretien globaux.

Le ministre a assuré que les bureaux d’études et de contrôle sont intervenus « rapidement » pour sécuriser l’espace intérieur de l’école, et qu’une intervention immédiate est prévue pour le mur fissuré, soit par la démolition des parties endommagées, soit par l’installation de barrières de protection.

Pour les autres établissements scolaires de la région nécessitant des travaux de réhabilitation, le ministre a expliqué qu’ils ont été classés selon le niveau de danger. Le premier niveau concerne les établissements où le risque doit être éliminé par démolition ou fermeture, avec un démarrage des travaux prévu dans une à deux semaines.

Le deuxième niveau nécessite une réhabilitation confirmée à exécuter entre septembre et décembre 2025.

Quant au troisième niveau, il concerne les établissements nécessitant une réhabilitation complète qui débutera en janvier 2026. Le ministre a souligné que l’objectif du ministère est d’atteindre un stade où seules des réparations mineures seront nécessaires, assurant ainsi un environnement scolaire sûr et attractif.

En ce qui concerne l’approvisionnement des écoles en eau potable, M. Nouri a précisé que cela se fait via le réseau de la SONEDE, les associations hydrauliques, les citernes ou les puits. Il a souligné que le ministère, en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, a opté pour le forage de puits comme solution durable, des centaines de puits ayant déjà été équipés, en attendant la finalisation complète du projet, avec des solutions temporaires mises en place.

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Beit al-Hikma – Ruspina-Monastir : regards croisés sur l’Antiquité

L’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts « Beit al-Hikma » a accueilli, lundi 5 mai, une rencontre consacrée à la présentation de l’ouvrage du professeur Nabil Kallala « Ruspina-Monastir romaine et tardo-antique : Une histoire nouvelle », le second livre sur cette ville antique après « Ruspina libyco-punique. Histoire, archéologie, patrimoine », publié en 2021.

L’ouvrage retrace l’histoire de cette ville au cours de cette longue période, s’étalant de 146 av. J.-C. à 698 ap. J.-C, date symbolique de la chute de Carthage, couvrant la période républicaine romaine, impériale, vandale et byzantine.

Dans cet opus, « j’ai essayé de montrer que Ruspina aurait obtenu le statut de ville libre au lendemain de la victoire de Rome sur Carthage, lors de la troisième guerre punique, pour la récompenser de son alliance contre Carthage. Ce statut lui aurait permis de se développer tout au long de la République romaine, expliquant en partie qu’elle se soit alliée à César, en 46 av. J.-C. lors de la guerre civile qui l’a opposée à Pompée, en Afrique », note l’auteur.

La victoire du premier lui a assuré les conditions favorables de sa prospérité socio-économique qui lui aurait permis, selon son hypothèse (nouvelle), d’accéder possiblement au statut de municipe, probablement sous l’empereur Trajan, à l’instar des deux villes voisines Hadrumetum et Lepti Minus. Elle a participé en 238 à la révolte de Thysdrus, qui a conduit à la destitution de l’empereur Maximin et son remplacement par Grodien, le proconsul d’Afrique. Mais cette révolte éphémère s’est soldée finalement par un échec qui a eu des conséquences désastreuses sur la ville.

La fin de son histoire aurait été marquée par deux tremblements de terre, un, peut-être en 306-310, et un autre dévastateur, en 365, qui l’aurait détruite en grande partie. Les rescapés seraient allés s’installer à Skanès, 5 km plus loin de Ruspina (Henchir Tennir) dans des exploitations agricoles, ne dépassant guère le cadre d’une bourgade, qui l’a caractérisée tout au long des périodes vandale et byzantine, au cours desquelles Ruspina a périclité, jusqu’à l’arrivée des Arabes, qui vont bâtir la ville de Monastir à sa place (résumé).

Le livre, qui est une monographie régionale, s’est appuyé sur toutes sortes de sources littéraires et archéologiques, plus particulièrement sur les fouilles des thermes romains de Henchir Tennir et d’une nécropole tardo-antique à Skanès, de même que sur des inscriptions épigraphiques inédites, nouvellement découvertes.

Avec TAP

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Mahdia : la récolte céréalière estimée à près de 155 mille quintaux

La récolte céréalière à Mahdia devrait atteindre près de 155 mille quintaux, cette année. Soit une hausse de 35 % par rapport à l’année 2024. C’est qu’il ressort des estimations du commissariat régional au développement agricole.

Le commissaire régional au développement agricole, Imed Bech Hamba a indiqué à l’Agence TAP que la production est répartie entre 40 mille 130 quintaux de blé dur et 74 mille 140 quintaux d’orge.

Il a ajouté que les superficies programmées pour les grandes cultures dans la région ont atteint 35 mille ha et les superficies céréalières emblavées s’élèvent à 12 mille 160 ha.

La récolte céréalière sera stockée dans le centre de collecte d’El Jem d’une capacité de 7 mille quintaux. Sachant que la région compte 12 moissonneuses-batteuses, d’après la même source.

Avec TAP

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Blessés de la Révolution : Fidaa donne jusqu’au 16 mai aux 90 personnes non encore examinées

La Fondation Fidaa a appelé ce mardi 6 mai, les blessés de la Révolution non encore examinés par la commission médicale à se manifester dans un délai de 10 jours à compter du 6 mai 2025.

Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la Fondation a détaillé les différentes modalités de contact : par e-mail à « fidaa@carthage.tn », par courrier postal à l’adresse du siège situé au 62, rue Salah Ben Youssef, El Manar 2, ou par téléphone au 71882000.

La Fondation a joint à son communiqué une liste de 90 blessés issus de toutes les régions du pays, invités à régulariser leur situation.

Lors d’une réunion fin avril, la Fondation Fidaa, chargée de l’accompagnement des victimes du terrorisme ainsi que des ayants droit des martyrs et blessés de la Révolution, avait déjà précisé que 80 % des blessés avaient déjà été examinés, et que leurs taux d’invalidité physique ont été déterminés.

Avec TAP

 

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ARP examine un prêt BAD de 270,9 millions de dinars pour moderniser les infrastructures routières

L’Assemblée des Représentants du Peuple a entamé, mardi matin au Bardo, l’examen d’un projet de loi n° 2025/21, portant approbation d’une convention de crédit d’un montant de 80,16 millions d’euros (270,9 millions de dinars), conclue le 24 janvier 2025 entre la République tunisienne et la Banque africaine de développement (BAD) pour la modernisation des infrastructures routières.

Ce crédit est remboursable sur 24 ans dont 8 ans de grâce avec un taux variable indexé sur un Euribor 6 mois plus la marge contractuelle. Cette facilité financière vise à financer la mise en œuvre de la phase 3 du Programme de modernisation des infrastructures routières. Ce projet dont le coût global s’élève à 86,21 millions d’euros (291,40 millions de dinars), consiste en la remise à niveau de 188,9 km de routes classées réparties sur 7 gouvernorats : le Kef, Kasserine, Sousse, Sfax, Kairouan, Siliana et Gafsa.

Le projet dont la mise en œuvre s’étalera sur la période 2025-2030, s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale du secteur de transport visant à garantir une infrastructure routière conforme aux normes internationales, à renforcer la sécurité sur les routes et à désenclaver les régions intérieures.

Avec TAP

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Annulation de la grève des agents de la SRTB

Une réunion de la commission régionale de conciliation tenue lundi au siège du gouvernorat de Bizerte entre la partie syndicale et l’administration de la Société régionale de transport de Bizerte, a abouti à l’annulation de la grève générale des agents de la société prévue pour le mercredi 7 mai 2025.

Selon le procès verbal de la réunion, il a été convenu de garantir le droit syndical et d’ouvrir les perspectives pour tous les agents et cadres notamment à travers la formation.

Par ailleurs, l’administration s’est engagée à régulariser la situation professionnelle des diplômés du supérieur en vue de les affecter dans les postes correspondant à leurs niveaux et à leurs qualifications.

Elle a aussi réaffirmé son intention de renforcer la flotte par l’acquisition de 19 bus articulés et 49 autres bus de différentes catégories. Outre le recrutement de 30 agents sur un total de 34, qui commenceront leur formation dans les prochains jours.

Avec TAP

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Conseil de presse : Baisse de confiance du public envers les médias, les chroniqueurs pointés du doigt

Le Conseil de presse a rendu publique, lundi, une étude intitulée « confiance du public en les médias », conçue comme un baromètre permettant d’évaluer le niveau de confiance des Tunisiens envers les médias. Cette enquête vise à mesurer et suivre la perception et la crédibilité accordées par le public tunisien aux différents médias du pays. 

Bilan glaçant : l’échantillon de 1518 personnes a fait ressortir que 64 % des personnes interrogées « ne font pas confiance aux médias » et que ce taux s’élève à 77,8 % chez la frange des jeunes (âgés de 18 à 24 ans).

Selon l’étude, la baisse de cette confiance tient essentiellement aux chroniqueurs avec un taux de 82%. S’exprimant lors d’une conférence tenue au siège du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, la présidente du bureau sortant du Conseil de la presse, Itidal Majbri, (dont la nouvelle composition a été annoncée dans la même journée du lundi), a affirmé que le concept d’autorégulation échappe à une large frange du public (90 %) et que seulement 2,9 % du public interrogé sait qu’il existe aujourd’hui une structure dénommée « Conseil de la presse ».

S’agissant des médias traditionnels les plus fréquemment utilisés par les Tunisiens en tant que source d’information, l’étude révèle que la télévision se place en tête des médias traditionnels avec un taux 77 %, secondée par les quotidiens avec 5,9 %.

Pour les nouveaux médias, le réseau social Facebook arrive en premier lieu avec un taux de 96,9 % contre 45,5 % pour TikTok et 40,6 % pour YouTube.

Sur un autre plan, Majbri a indiqué que le Conseil de la presse avait élaboré une enquête en août 2024 visant à scruter l’avis des journalistes sur la présidentielle de 2024 et auquel ont pris part 133 journalistes, hommes et femmes, issus des différents médias de l’audiovisuel, du numérique, de la presse écrite, des agences de presse et de la presse associative.

Selon l’oratrice, l’enquête révèle que la majorité des journalistes sondés (71,5 %) ont éprouvé de sérieuses difficultés à dénicher l’information, ajoutant que le décret-loi n°54-2022 sur la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication a manifestement impacté le travail de 96 % des journalistes lors de la couverture de l’élection présidentielle de 2024.

La présidente a, par ailleurs, affirmé que 63% des médias n’ont pas établi un plan médiatique détaillé destiné à la couverture des élections, ajoutant que les journalistes interrogés ont déclaré avoir subi des pratiques de « censure et de contrôle » en l’absence d’une plateforme professionnelle et éthique habilitée à statuer sur le travail journalistique.

Avec TAP

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Météo : jusqu’à 39 °C attendus dans le sud de la Tunisie

Selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie, le temps sera, ce mardi 6 mai 2025, instable sur le nord du pays avec des nuages parfois denses accompagnés de pluies éparses, localement orageuses.

Les températures seront en baisse, variant entre 20 et 28°C sur le nord, le centre et l’est du pays, et entre 29 et 36°C ailleurs. Mais elles atteindront les 39°C sur l’extrême sud.

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Kaïs Saïed : la Tunisie refuse d’être un point de transit ou un lieu d’installation des migrants irréguliers

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 5 mai 2025 au palais de Carthage, la directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Amy Pope.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, le chef de l’Etat a réitéré la ferme position de principe de la Tunisie selon laquelle notre pays se refuse à être un point de transit ou un lieu d’installation pour les migrants irréguliers.

Il a saisi cette occasion pour rappeler que la montée en puissance de la migration irrégulière est loin d’être un phénomène « innocent », pointant des réseaux criminels à l’origine du trafic d’êtres humains et d’organes sur le continent africain et dans la rive nord de la Méditerranée.

« Nul ne peut croire que des milliers de personnes, dont des femmes, des femmes enceintes ou des personnes portant des nourrissons dans leurs mains, parcouraient des milliers de kilomètres vers la Tunisie et tout particulièrement vers certaines villes telles que Jebniana et Al-Amra s’il n’y avait pas eu un plan criminel préalablement et sciemment établi », a-t-il fait savoir.

Respect des règles du droit humanitaire

Il a, dans ce contexte, souligné qu’aucun Etat au monde ne tolère nullement qu’une partie de son territoire soit placée en dehors de sa législation et de sa souveraineté, rappelant à ce propos que les autorités tunisiennes ont veillé à ce que l’opération d’évacuation des camps des migrants irréguliers soit menée non seulement dans le respect des règles du droit humanitaire mais aussi et surtout selon les nobles valeurs éthiques et morales.

Si ces migrants irréguliers sont aujourd’hui en quête d’endroits sûrs, c’est parce qu’ils sont regrettablement des victimes d’un système économique mondial injuste dont la Tunisie n’a de cesse de le contester et dont elle est aussi une de ses victimes, explique le chef de l’Etat.

 

Refus de la Tunisie d'être un pays de transit

 

Tout en rappelant que la Tunisie est fière de son appartenance africaine, le chef de l’Etat a souligné que notre pays a porté haut le slogan selon lequel l’Afrique, terre de toutes les richesses, doit être en premier et dernier ressort la Terre des Africains, rien que les Africains.

Faciliter les retours volontaires

Le président de la République a, par ailleurs, saisi l’occasion pour appeler l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) à redoubler d’effort en vue de faciliter le retour volontaire de ces personnes déplacées et à œuvrer à leur apporter l’appui financier nécessaire afin qu’elles puissent s’installer dans leurs pays en toute sécurité.

Il a également exhorté l’organisation onusienne à œuvrer de concert avec toutes les parties concernées afin d’identifier le sort des disparus qui n’ont pas été retrouvés ni en mer ni sur terre. « La Tunisie a œuvré autant que possible, selon ses propres moyens, et a assumé autant de fardeaux », a tenu à rappeler le chef de l’Etat. Tout en soulignant qu’il n’est plus question que cette situation perdure. A ce propos, a-t-il ajouté, notre pays plaide toujours en faveur d’un nouvel ordre humanitaire qui rompt frontalement avec un système qui a consacré le pillage des richesses, la famine et les conflits récurrents.

La migration irrégulière préoccupe la communauté internationale

De son côté, la directrice générale de l’OIM a déclaré, à l’issue de sa réunion avec le chef de l’Etat, avoir été « très contente de rencontrer le président de la République », affirmant avoir abordé avec le chef de l’Etat la question de la migration irrégulière, qui, a-t-elle dit, n’a de cesse de préoccuper la communauté internationale tout entière.

« Nous avons convenu d’adopter une approche efficace qui pourrait nous permettre de trouver une solution pour sauver de nombreuses personnes et victimes de ce fléau », a-t-elle révélé, indiquant avoir tenté de parvenir à des propositions propres à faciliter le retour volontaire de ces migrants irréguliers dans leurs pays d’origine et à leur faire bénéficier d’une vie décente et au mieux leur offrir des opportunités d’emploi pour s’installer de façon durable et permanente dans leurs pays.

« Une telle action sera certes bénéfique et salutaire pour tous au triple plan national, régional et international », a conclu la première responsable de l’OIM.

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Saïed et Zaâfrani s’entretiennent sur la marche des services publics

La cheffe du gouvernement, Sarra Zâafrani Zenzeri, a été reçue en audience au palais de Carthage par le président de la République, Kaïs Saïed, dans l’après-midi du lundi 5 mai 2025.

Selon un communiqué de la présidence de la République, le chef de l’Etat a évoqué la question de la marche des services publics.

A cet égard, il a mis l’accent sur l’impératif qu’il y a à opérer plusieurs réformes et révisions et à œuvrer notamment à ouvrir la porte des recrutements après avoir purgé l’administration de ceux qui s’y sont infiltrés et qui se sont servis de leur position comme moyen pour se faire procurer des privilèges injustifiés dans un esprit de butin.

Par ailleurs, le président de la République a donné ses instructions en vue d’élaborer un projet de loi de finances pour l’année à venir s’inscrivant dans la perspective de la consécration du rôle social de l’Etat.

Avec TAP

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Gestern — 05. Mai 2025Haupt-Feeds

Bourse de Tunis : Le Tunindex entame la semaine sur une note positive(+0,68%)

 Le marché Boursier a entamé la semaine sur une note positive. L’indice de référence a bondi de 0,68 % à 11304,19 points, dans un modeste volume de 6,4 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre CIMENTS DE BIZERTE s’est retrouvé en haut de l’affiche. L’action de la cimenterie publique s’est bonifiée de 3,3 % à 0,620 D, dans un maigre volume de 3 mille dinars.

Le titre ATTIJARI BANK a figuré quant à lui parmi les plus grands gagnants de la séance. Dans un flux de 274 mille dinars, l’action de la filiale groupe ATTIJARIWAFA BANK a pris +3,1 % à 60,800 D.

De son côté, SOTIPAPIER a accusé la moins bonne performance de la séance. L’action du producteur du papier Kraft et Testliner a reculé de -5,9 % à 3,500 D. Sur la séance, la valeur a amassé de faibles échanges de 95 mille dinars.

Pour sa part, le titre NEW BODY LINE a entamé la semaine du mauvais pied. L’action du spécialiste des vêtements intelligents a régressé de -2,7 % à 4,620 D avec une valeur transigée à hauteur de 7 mille dinars seulement sur la séance.

Par ailleurs, ASSURANCES MAGHREBIA VIE a été la valeur vedette de la séance. Faisant du quasi-surplace à 6 D, l’action de la compagnie d’assurance a chapeauté le palmarès des échanges sachant que la valeur a alimenté le marché avec des capitaux de 1,5 MD.

Avec TAP

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