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Kalâa Kebira : Les usagers protestent contre la suppression du train Sousse–Tunis

22. September 2025 um 11:07

Lundi matin, plusieurs abonnés et voyageurs réguliers ont organisé un sit-in d’une demi-heure à la gare de Kalâa Kebira pour dénoncer la suppression, depuis plus d’une semaine, de la liaison Sousse–Tunis aller-retour, toujours affichée au programme officiel.

Conditions de transport difficiles

Mohamed Ali Sghaier, un habitué des trajets quotidiens a dénoncé la situation :

« Les passagers sont confrontés à des conditions inhumaines : trains surchargés, désordre permanent et perte totale de confort ».

Les protestataires réclament un service régulier, digne et fiable, leur permettant de rejoindre leurs lieux de travail dans la capitale dans des conditions normales.

Un problème récurrent

Ce mouvement social n’est pas inédit. Des sit-in similaires ont déjà eu lieu ces dernières années pour les mêmes motifs. En novembre 2024, un train reliant Gabès à Tunis avait été bloqué à la gare de Kalâa Kebira par des voyageurs mécontents, majoritairement des abonnés de la SNCFT, en raison de l’annulation soudaine et non annoncée de la liaison Sousse–Tunis. Les passagers dénonçaient la répétition de ces suppressions, les retards constants et l’absence de communication de la part de la compagnie.

La suppression de la liaison impacte particulièrement les travailleurs dépendant de ce train pour rejoindre la capitale à temps. Certains craignent même de perdre leur emploi à cause de retards récurrents.

Des pétitions avaient été préparées pour demander aux autorités, jusqu’au Président de la République, des mesures immédiates, notamment la réintroduction d’un départ matinal depuis Kalâa Kebira permettant aux usagers d’arriver à Tunis à l’heure.

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La Fédération de l’enseignement secondaire dénonce une « agression policière » contre des enseignants

09. September 2025 um 19:12

La Fédération générale de l’enseignement secondaire (FGES) a dénoncé, mardi, l’interdiction faite lundi 8 septembre 2025, à des enseignants la région de Gabès de se rassembler pacifiquement dans l’enceinte du commissariat régional de l’éducation. Le syndicat accuse le ministère de l’Intérieur d’avoir empêché ce mouvement de protestation et parle d’“agression policière”.

Selon un communiqué de la FGES, des enseignants souhaitaient tenir un sit-in au commissariat régional de l’éducation de Gabès pour exprimer leurs revendications. Le syndicat affirme que la police a bloqué cette action et interdit aux protestataires de manifester à l’intérieur des locaux.

Violation du droit syndical

La FGES estime que le ministère de l’Intérieur porte l’entière responsabilité de ce qu’elle considère comme une violation du droit syndical. Elle reproche également au ministère de l’Éducation son “blocage des négociations” et ses “décisions unilatérales” concernant les mutations et promotions.

Le syndicat réaffirme son attachement à la défense des droits des enseignants et de la liberté syndicale, en rappelant que son mouvement s’inscrit dans le cadre de la législation en vigueur.

Bras de fer avec le ministère de l’Éducation

Depuis plusieurs mois, les enseignants multiplient les mouvements sociaux pour exiger l’application des accords signés avec le ministère, notamment sur la gestion des mutations et l’amélioration des conditions de travail. Ces tensions s’inscrivent dans un climat de crispation entre le syndicat et l’autorité de tutelle, sur fond de contestations.

Des dizaines d’enseignants du primaire et du secondaire se sont rassemblés, le 28 août dernier, devant le siège du ministère de l’Éducation à Tunis, à l’appel des Fédérations générales de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire, pour protester contre le « blocage des négociations » concernant leurs revendications professionnelles et matérielles. Une grève est même d’actualité (le 7 octobre prochain).

Lire aussi :

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Projet de loi sur la démocratie tunisienne : Sit-in devant l’ambassade US à Tunis

08. September 2025 um 07:18

Un « sit-in de la résistance » a débuté hier dimanche 7 septembre en fin de journée devant l’ambassade américaine à Tunis, à l’appel du Réseau tunisien de lutte contre le système de normalisation.

L’action, prévue pour durer environ une semaine, vise à dénoncer le soutien des États-Unis à l’entité sioniste dans sa guerre contre le peuple palestinien dans les territoires occupés et à exprimer le rejet de l’ingérence américaine dans les affaires intérieures tunisiennes à travers le projet de loi du Congrès intitulé « Rétablir la démocratie en Tunisie ».

Le coordinateur du sit-in, Ghassen Besbès, a déclaré à l’agence TAP que « l’action se poursuivra en principe jusqu’à dimanche prochain, en protestation contre l’escalade de l’agression sioniste contre le peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie, et contre l’arrogance américaine au Moyen-Orient et ses tentatives d’hégémonie en Tunisie, tout en soutenant la flottille mondiale de la résistance visant à briser le blocus de Gaza ».

Il a ajouté que « les revendications du sit-in portent sur la criminalisation de la normalisation avec l’entité sioniste, la lutte contre toutes les formes de normalisation actuelles et potentielles, la limitation des déplacements de l’ambassadeur américain en Tunisie, la cessation de la coordination sécuritaire et militaire avec les États-Unis, la suspension des relations avec ce pays, ainsi que l’octroi d’un soutien et d’une protection totale à la flottille maritime de la résistance et à ses participants, face aux risques de l’arrogance et de l’agression sionistes » lors de leur navigation en Méditerranée en direction de Gaza.

Le sit-in a débuté à 18h sur la place Zitouna, à quelques centaines de mètres de l’ambassade américaine, avec la participation de quelques dizaines de manifestants, en attendant l’arrivée d’autres participants, notamment ceux inscrits sur les listes de la flottille maritime mondiale qui doit partir de Tunisie vers Gaza le 10 septembre, ainsi que des personnalités représentant des organisations et partis soutenant cette initiative et opposés à l’ingérence américaine dans la région arabe et dans les affaires internes tunisiennes. Deux tentes, des tables, des chaises et des matelas ont été installés sur la place pour permettre aux protestataires d’y passer la nuit.

De son côté, Dhaou Jallali, cadre du Réseau de lutte contre le système de normalisation, a indiqué que le sit-in comprend un programme artistique, intellectuel, culturel et politique, dont l’une des principales activités consiste en des interventions sur l’impérialisme américain et ses ingérences contre la souveraineté nationale.

Lire aussi : Tout savoir sur le projet sur la démocratie tunisienne au Congrès américain

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Tunisie – Sit-in des enseignants : Bras de fer avec le ministère de l’Éducation

29. August 2025 um 09:39

Des dizaines d’enseignants du primaire et du secondaire se sont rassemblés, jeudi 28 août 2025, devant le siège du ministère de l’Éducation à Tunis. À l’appel des Fédérations générales de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire, affiliées à l’UGTT, ils protestent contre le « blocage des négociations » concernant leurs revendications professionnelles et matérielles.

Les enseignants ont scandé des slogans en faveur de l’UGTT et de la défense du droit syndical, exigeant la reprise immédiate des négociations avec le ministère. Des banderoles affichaient leur mécontentement et rappelaient leurs revendications restées sans réponse.

Ikbal Azzabi, secrétaire général adjoint de la Fédération générale de l’enseignement de base, a déclaré à l’agence TAP que :

« Ce sit-in est « un message clair adressé au ministère sur la nécessité de revenir à la table des négociations », rappelant que « la dernière réunion avec les syndicats remonte au mois d’avril ». »

Grève en perspective

Ikbal Azzabi a confirmé que :

« La grève du 7 octobre prochain serait maintenue si le ministère « persistait à ignorer les demandes des enseignants ». »

Il a ajouté que :

« Plusieurs correspondances avaient été envoyées sans qu’aucune réponse officielle ne soit reçue ».

De son côté, Mohamed Safi, secrétaire général du syndicat général de l’enseignement secondaire, a dénoncé « l’intransigeance du ministère » et son « mépris constant » des revendications syndicales. Il a indiqué qu’une commission administrative sectorielle se réunira prochainement afin d’évaluer la situation et d’envisager d’autres actions.

Dialogue social en panne

Le conflit social dans le secteur de l’éducation s’enlise depuis plusieurs mois. Les négociations, suspendues depuis avril, n’ont toujours pas repris malgré les demandes répétées des syndicats.

Les revendications portent principalement sur l’amélioration des conditions professionnelles et matérielles des enseignants, dans un contexte de rentrée scolaire tendu.

Parmi les principales revendications figurent notamment la régularisation du mouvement des directeurs, jugé non conforme aux règles légales ; l’ouverture de négociations conjointes entre la fédération générale de l’enseignement de base et le ministère ; le règlement de la situation des enseignants classés dans l’échelle A3 ; et l’augmentation des salaires.

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Enseignants en colère : Mobilisation des syndicats du Grand Tunis le 28 août

25. August 2025 um 13:58

Les syndicats de l’enseignement de base et secondaire du Grand Tunis ont décidé d’observer un sit-in jeudi 28 août 2025 devant le ministère de l’Éducation. Cette action intervient à l’appel de la commission sectorielle mixte, réunie aujourd’hui au siège de l’UGTT, pour dénoncer un blocage du dialogue social et défendre les revendications professionnelles des enseignants.

Mobilisation annoncée

Ikbal Azzabi, secrétaire général adjoint de l’Union générale de l’enseignement de base, a indiqué dans une déclaration aujourd’hui à l’agence TAP, que :

« La manifestation prévue jeudi prochain intervient dans un contexte qualifié de « violation du droit syndical et de blocage du dialogue et des négociations avec le ministère de l’Éducation sur les revendications professionnelles et matérielles des enseignants » ».

La commission sectorielle mixte (Tunis, Ariana, Ben Arous, Manouba) appelle à une large mobilisation de ses structures syndicales.

Vers une grève en octobre

Cette première action de protestation précède une grève sectorielle programmée pour le 7 octobre. Selon Azzabi, la décision a été prise pour accentuer la pression sur le ministère de l’Éducation afin qu’il engage des négociations sérieuses.

Les revendications

Parmi les principales revendications figurent la régularisation du mouvement des directeurs, jugé non conforme aux règles légales ; l’ouverture de négociations conjointes entre la fédération générale de l’enseignement de base et le ministère ; le règlement de la situation des enseignants classés dans l’échelle A3 ; et l’augmentation des salaires.

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Tunisie : Les docteurs chercheurs manifestent pour leur intégration à l’université

Devant l’Assemblée des représentants du peuple, des docteurs chercheurs ont organisé un sit-in ce lundi 7 juillet pour exiger leur intégration directe dans l’enseignement supérieur. Une mobilisation qui coïncide avec l’audition du ministre de l’Enseignement supérieur par le Parlement.

Munis de leurs diplômes et de leurs revendications, les docteurs chercheurs tunisiens ont exprimé ce lundi matin leur ras-le-bol devant les portes du Parlement. Réunis en sit-in devant l’Assemblée des représentants du peuple, ils réclament leur intégration directe au sein du corps universitaire, dénonçant des années de marginalisation et de promesses non tenues.

Cette action de protestation intervient alors que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaid, est auditionné ce même jour en séance plénière. Un timing symbolique, choisi pour interpeller les députés et exiger une solution concrète à leur situation.

Dans une déclaration à Mosaïque FM, Hamda Kouka, porte-parole du mouvement, a fustigé le manque de transparence du ministère, notamment en ce qui concerne le nombre exact de docteurs inscrits sur la plateforme dédiée à leur suivi. Il a rappelé que le ministère s’était engagé à finaliser le recensement des postes vacants avant le 21 mars 2025, une promesse restée sans suite, selon lui.

Le représentant des manifestants a également rejeté fermement l’idée de redéployer les docteurs vers des postes administratifs, considérant cette option comme un détournement de carrière et un gaspillage des compétences scientifiques du pays. « Nos qualifications sont destinées à la recherche et à l’enseignement, pas aux bureaux administratifs », a-t-il martelé.

Les protestataires affirment que les universités tunisiennes ont besoin de leur expertise, à un moment où le pays ambitionne de relancer la recherche scientifique. Ils dénoncent une politique de sous-emploi et appellent les autorités à reconnaître pleinement leur rôle dans le développement du savoir et de l’innovation.

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