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Croissance MENA prévue à 2,7 % en 2025 à MENA

11. Juni 2025 um 16:30

La croissance dans la région MENA devrait s’accélérer, atteignant 2,7 % en 2025, avant de se renforcer davantage pour atteindre 3,7 % en 2026 et 4,1 % en 2027, selon le dernier rapport de la Banque mondiale intitulé « Les Perspectives économiques mondiales », publié, mardi 10 juin.

Cette tendance s’explique principalement par une augmentation progressive de la production pétrolière, qui compense largement les effets négatifs liés à la baisse des prix du pétrole. Cela intervient malgré les contraintes pesant sur les exportations, dues à la montée des barrières commerciales. Les prévisions de croissance ont été révisées à la baisse depuis janvier, principalement en raison des répercussions des restrictions commerciales accrues ainsi que des incertitudes entourant les investissements et les exportations. Dans les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), la croissance économique devrait s’accélérer graduellement, atteignant 3,2 % en 2025, 4,5 % en 2026, puis 4,8 % en 2027. La levée progressive des quotas est attendue pour stimuler la production pétrolière, en dépit d’une baisse anticipée des prix du pétrole, conséquence d’un ralentissement de la demande mondiale. Par ailleurs, le dynamisme du secteur non pétrolier continuera de soutenir la croissance économique. En revanche, dans les pays exportateurs de pétrole hors CCG, plusieurs économies devraient voir leur activité ralentir sous l’effet de la chute des prix pétroliers et du recul de la demande extérieure.

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Banque mondiale : la croissance en MENA atteindra 4,1 % en 2027 malgré les incertitudes

11. Juni 2025 um 17:21

La croissance dans la région MENA devrait s’accélérer pour s’établir à 2,7% en 2025 puis se raffermir pour atteindre 3,7% en 2026 et 4,1% en 2027, d’après le dernier rapport de la Banque mondiale sur “Les Perspectives économiques mondiales” publié hier mardi.

D’après ce rapport, cette dynamique s’explique en grande partie par une expansion progressive de la production pétrolière qui fait plus que compenser les effets de la baisse des prix du pétrole, et ce malgré les contraintes qui pèsent sur les exportations du fait de l’augmentation des barrières commerciales. Les prévisions de croissance ont été revues à la baisse par rapport au mois de janvier, principalement en raison des effets de la hausse des restrictions commerciales et des incertitudes sur les investissements et les activités d’exportation.

La croissance dans les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) devrait se renforcer progressivement pour atteindre 3,2 % en 2025, 4,5 % en 2026 et 4,8 % en 2027. L’assouplissement des quotas devrait entraîner une augmentation de la production pétrolière, malgré la baisse prévue des prix pétroliers dans un contexte d’affaiblissement de la demande mondiale. L’expansion de l’activité non pétrolière devrait en outre continuer de tirer la croissance. Parmi les économies exportatrices de pétrole non membres du CCG, l’activité devrait être freinée dans plusieurs pays par la baisse des prix du pétrole et le recul de la demande extérieure.

Dans les pays importateurs de pétrole, les prévisions anticipent une accélération de la croissance à 3,6 % en 2025, 3,9 % en 2026 et 4,3 % en 2027. Cette accélération s’explique principalement par le renforcement de la consommation privée à la faveur du ralentissement de l’inflation, par la reprise de la production agricole et par l’hypothèse d’une atténuation des tensions géopolitiques.

En Égypte, la croissance devrait progresser à la suite du déploiement de l’accord d’investissement conclu avec les Émirats arabes unis. Elle devrait se raffermir au Maroc et en Tunisie avec l’amélioration attendue des conditions météorologiques. À Djibouti, l’activité portuaire, les recettes d’exportation et d’importants investissements étrangers dans le développement des infrastructures portuaires alimenteront la croissance.

Parmi les économies en situation de fragilité et de conflit, le Liban devrait afficher un taux de croissance de 4,7% cette année, sous réserve que la trêve perdure. Pour la Palestine, les prévisions tablent sur une reprise en 2026, dans l’hypothèse du lancement de la reconstruction. En Syrie, l’activité devrait progresser cette année, sous l’effet de l’amélioration des relations avec les grandes économies. En revanche, au vu de la situation sécuritaire, le PIB devrait à nouveau se contracter en 2025 dans la République du Yémen.

La possibilité d’une intensification des mesures commerciales protectionnistes de la part de ses partenaires commerciaux continue de poser un risque majeur à la région MENA. L’aggravation des incertitudes entourant les politiques commerciales mondiales, si elle se prolonge, pourrait également saper la confiance des entreprises et des consommateurs et réduire les investissements dans la région.

Des politiques monétaires plus restrictives que prévu dues à une montée des pressions inflationnistes mondiales pourraient faire augmenter les coûts d’emprunt et entraîner des sorties de capitaux et des dépréciations monétaires. Dans les pays exportateurs de pétrole, une baisse des prix pétroliers au-delà de l’hypothèse du scénario de référence pourrait réduire les recettes budgétaires et les perspectives de croissance. Une recrudescence des conflits armés dans la région, ainsi que des flambées de violences et de troubles sociaux, et la survenue de catastrophes naturelles plus fréquentes et plus graves, pourraient également freiner l’activité dans la région.

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Banque mondiale : la croissance mondiale ralentira à 2,3 % en 2025, un plus bas hors récession

11. Juni 2025 um 17:17

L’intensification des tensions commerciales et l’incertitude entourant les politiques publiques devraient faire chuter la croissance mondiale, cette année, à son rythme le plus faible depuis 2008 (à l’exception des récessions caractérisées). Les turbulences récentes ont entraîné une révision à la baisse des prévisions de croissance pour près de 70 % des économies du monde, toutes régions et catégories de revenu confondues, indique le dernier rapport de la Banque mondiale, rendu public, mardi.

Les perspectives économiques mondiales prévoient que la croissance ralentira à 2,3 % en 2025, soit une performance inférieure de près d’un demi-point de pourcentage à celle qui avait été projetée au début de l’année. Elles n’anticipent pas de récession mondiale.

Néanmoins, si les prévisions pour les deux prochaines années se matérialisent, la croissance mondiale moyenne au cours des sept premières années des années 2020 sera la plus lente de toutes les décennies depuis les années 1960.

“En dehors de l’Asie, le monde en développement entre de plus en plus dans une ère de stagnation, alerte Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale pour l’Économie du développement. Cette menace plane depuis plus d’une décennie maintenant.

La croissance dans les économies en développement a progressivement marqué le pas depuis trente ans, pour passer de 6 % par an dans les années 2000 à 5 % dans les années 2010, avant de tomber à moins de 4 % dans les années 2020. Cette évolution suit la trajectoire de la croissance du commerce mondial, qui a baissé de 5 % en moyenne dans les années 2000 à environ 4,5 % dans les années 2010, puis chuté à moins de 3 % dans les années 2020. La croissance des investissements s’est également tassée, tandis que la dette a atteint des niveaux record”.

La croissance devrait ralentir dans près de 60% des économies en développement cette année, pour s’établir en moyenne à 3,8 % en 2025 avant de remonter légèrement à 3,9 % en moyenne en 2026 et 2027. Des taux inférieurs de plus d’un point de pourcentage à la moyenne enregistrée dans les années 2010. Les pays à faible revenu devraient afficher une croissance de 5,3 % cette année, soit 0,4 point de pourcentage de moins que le taux projeté au début de 2025. Le relèvement des droits de douane et le resserrement des marchés du travail engendrent également des pressions inflationnistes : selon les projections, l’inflation mondiale se situera à 2,9 % en moyenne en 2025, soit un taux qui reste supérieur aux niveaux d’avant la pandémie.

Le ralentissement de la croissance va entraver la capacité des pays en développement à stimuler la création d’emplois, réduire l’extrême pauvreté et combler le fossé qui les sépare des niveaux de revenu par habitant des économies avancées. La croissance du revenu par habitant dans les économies en développement devrait s’établir à 2,9 % en 2025, soit 1,1 point de pourcentage de moins que la moyenne enregistrée entre 2000 et 2019. En supposant que les économies en développement (hors Chine) soient en mesure de maintenir une croissance du PIB de 4 % (ce qui correspond aux projections pour 2027), il leur faudrait environ deux décennies pour retrouver leur trajectoire d’avant la pandémie.

La croissance mondiale pourrait rebondir plus rapidement que prévu si les grandes économies parviennent à atténuer les tensions commerciales, ce qui réduirait l’incertitude politique générale et la volatilité financière. Selon le rapport, si les différends commerciaux actuels étaient résolus par des accords qui réduisent de moitié les droits de douane par rapport à leur niveau de la fin du mois de mai, la croissance mondiale gagnerait 0,2 point de pourcentage de plus en moyenne sur la période 2025-2026.

Alors qu’elles sont confrontées à une multiplication des obstacles aux échanges, les économies en développement devraient privilégier une plus grande libéralisation en nouant des partenariats commerciaux et d’investissement stratégiques avec d’autres économies et en diversifiant leurs échanges, notamment dans le cadre d’accords régionaux. Compte tenu des ressources publiques limitées et des besoins croissants de développement, les décideurs devraient s’attacher à mobiliser les recettes intérieures, donner la priorité aux dépenses en faveur des ménages les plus vulnérables et renforcer les cadres budgétaires.

Enfin, pour accélérer la croissance économique, les pays devront améliorer le climat des affaires et promouvoir l’emploi productif en dotant les travailleurs des compétences nécessaires et en créant les conditions d’une rencontre efficace entre travailleurs et entreprises sur le marché du travail. Une collaboration mondiale sera cruciale pour soutenir les économies en développement les plus vulnérables, notamment sous la forme d’interventions multilatérales, de financements concessionnels et, pour les pays en proie à des conflits, d’une aide et d’un soutien d’urgence.

 

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Une seule région, une seule santé : préparation pour la Conférence MENA

11. Juni 2025 um 07:48

Une réunion préparatoire de la Conférence « Une seule santé » de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, prévue à Tunis les 14 et 15 juin au siège de l’Académie diplomatique internationale, a été organisée mardi 10 courant, au siège du ministère de la Santé.

Cette conférence régionale est organisée par le gouvernement tunisien en partenariat avec la Banque mondiale et les agences des Nations unies en charge de la santé, de l’environnement et de l’agriculture. Elle réunira des experts de différents secteurs pour discuter des défis communs. C’est ce qu’indique un communiqué du ministère de la Santé.

Le programme de la conférence, qui se déroulera sous le slogan « Une seule santé, un seul avenir », prévoit la présentation d’expériences réussies. Ainsi que de propositions concrètes visant à renforcer la coordination entre les secteurs impliqués dans le domaine de la santé.

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