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Gestern — 03. September 2025Haupt-Feeds

Tourisme et transferts des expatriés : un pactole de 11 milliards de dinars

03. September 2025 um 15:33

Les revenus cumulés des transferts des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) ont enregistré une progression de 8,28% à 5,79 milliards de dinars (Mrds) au 31 août 2025 contre 5,34 milliards de dinars à la même date en 2024. C’est ce qui ressort des indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Pour leur part, les recettes touristiques ont augmenté de 8,60% pour atteindre 5,44 milliards de dinars contre 5,01 milliards de dinars une année auparavant.

Au total, les transferts et les recettes du tourisme cumulés se sont élevés à plus de 11 milliards de dinars au 31 août 2025, contre 10,36 milliards à la même date en 2024.

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Business du foot : quand Ayari, Mouecha et Arous s’exportent en Europe et en Méditerranée

Von: hechmi
02. September 2025 um 19:31
Foot Transferts
Visuel d’illustration

Dans Zone Mixte, l’émission d’Express FM, un même fil rouge : l’avenir des jeunes footballeurs tunisiens. L’antenne s’est ouverte cette semaine sur un sujet qui fait vibrer les supporters et inquiète les clubs : le départ précoce de nos talents vers l’étranger.

Trois noms ont cristallisé le débat. Mouecha, qui quitte Tunis pour l’Égypte et enfile le maillot d’Al-Masry. Khélil Ayari, l’enfant du Stade Tunisien, qui pose ses valises à Paris, prêté au PSG avec une option d’achat. Et Adam Arous, solide défenseur central, qui prend le cap d’Istanbul pour rejoindre Kasımpaşa, club habitué aux joueurs venus de Tunis.

Derrière ces annonces, il y a plus que des chiffres ou des contrats. Pour Ayari, 19 ans à peine, c’est le rêve parisien qui commence. Un prêt gratuit, mais une opportunité immense : progresser dans un club où l’exigence est permanente, tout en offrant au Stade Tunisien une possible manne financière si l’option d’achat est activée.

Pour Arous, le choix de la Turquie sonne comme une étape stratégique. Sous contrat jusqu’en 2029, il sait que ce championnat est une rampe de lancement vers des horizons plus vastes, dans une ligue qui connaît et valorise déjà le profil tunisien.

Mais au-delà des destins individuels, une réflexion s’impose : la Tunisie forme-t-elle assez tôt, et intègre-t-elle assez vite ses jeunes talents ? L’émission l’a rappelé : le Maroc et l’Égypte ont pris de l’avance, en osant lancer très jeunes leurs pépites. La réussite d’Ayari pourrait bien devenir le signal d’alarme – ou l’exemple à suivre – pour toute une génération.

Le Stade Tunisien, lui, avance sur une ligne de crête : vendre pour respirer financièrement, mais préparer l’avenir avec des jeunes déjà prêts à entrer en jeu. Un pari assumé, qui mêle survie économique et vision à long terme. Car dans le football moderne, la passion ne se sépare plus du business du foot.

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Tunisie : Désormais, les transferts des TRE dépassent durablement les revenus du tourisme

29. Juli 2025 um 09:33

Les transferts des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) continuent de dépasser les revenus du tourisme, s’imposant comme la première source de devises pour la Tunisie, selon les dernières données de la Banque Centrale et les déclarations officielles.

En 2024, ces transferts ont atteint un record de 8 506 millions de dinars, contre 7 050 millions de dinars pour les recettes touristiques. La tendance se poursuit en 2025, confirmant le rôle stratégique de la diaspora dans l’économie nationale.

Lors d’une rencontre régionale organisée sous le thème « Moderniser les visions pour un avenir prometteur », le chargé de la gestion du Bureau des Tunisiens à l’étranger, Helmi Tlili, a souligné que les transferts des TRE ont désormais dépassé durablement les revenus du tourisme, devenant la première source de financement extérieur pour la Tunisie. « Nous attendons encore que ces fonds soient orientés davantage vers l’investissement productif », a-t-il précisé.

Des flux importants mais sous-exploités

Jusqu’au 10 juillet 2025, les transferts cumulés des TRE se sont élevés à 4 353,2 MD, en hausse de 8,5 % par rapport à l’année précédente à la même date, selon les chiffres de la BCT. À la même échéance, les recettes touristiques étaient de 3 604,4 MD. Ensemble, ces deux ressources ont permis de couvrir près de 95 % du service de la dette extérieure, estimé à 8 375 MD.

Cependant, comme l’a rappelé Helmi Tlili, la majorité des transferts reste orientée vers les dépenses familiales et courantes, avec une faible proportion dirigée vers l’investissement direct, notamment dans des secteurs productifs.

Quelles régions reçoivent le plus de transferts ?

D’après les données partagées lors de la rencontre régionale, la gouvernorat de Tunis arrive en tête en matière de volume de transferts reçus, suivi de Ben Arous, puis Ariana et Manouba. Cette concentration reflète à la fois la répartition démographique des familles bénéficiaires et les réseaux familiaux à l’étranger.

Les investissements réalisés par les Tunisiens de l’étranger demeurent limités, mais lorsqu’ils existent, ils se concentrent principalement dans le secteur des services, suivi par l’agriculture puis l’industrie, selon Helmi Tlili.

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