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Heute — 15. Mai 2025Französischsprachig

Tunisie | La journaliste Chadha Hadj Mbarek en grève de la faim

Von: Yusra NY
15. Mai 2025 um 19:21

La journaliste Chadha Hadj Mbarek, en détention à la prison de Messadine à Sousse, a entamé une grève de la faim depuis hier mercredi 14 mai 2025.

C’est ce qu’a annoncé la journaliste elle même via une lettre qui a été transmise par son frère Amen Hadj Mbarek via les réseau sociaux, après qu’il lui ait rendu visite en prison, ce jour.

Chadha Hadj Mbarek a décidé d’entamer cette grève de la faim afin de dénoncer la détérioration de son état de santé et le manque de soins appropriés, lit-on dans ce message poignant, où la journaliste rappelle qu’elle souffre d’une hypertension oculaire, de problèmes persistants à la colonne vertébrale, à l’épaule et au poignet droit.

Elle a aussi évoqué l’impossibilité de tolérer les analgésiques, ce qui a ravivé des douleurs intenses, déplore-t-elle.

« Malgré les recommandations médicales d’examens approfondis, évoquant même la possibilité d’une intervention chirurgicale sur ma colonne vertébrale, je n’ai reçu aucune information claire sur mon état de santé lors de mes transferts à l’hôpital. Des examens sont effectués, mais je suis systématiquement ramenée derrière les barreaux sans plus d’explications…», lit-on encore dans la lettre de la journaliste, qui lance à travers cette action de protestation, un véritable appel à l’aide.

Y. N.

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Comptes en dinar convertible : jusqu’à 8 % de rendement pour les Tunisiens résidant à l’étranger

Von: S. M.
15. Mai 2025 um 19:57

Les comptes en dinar convertible, exclusivement destinés aux Tunisiens résidant à l’étranger (TRE), offrent des avantages financiers notables, selon Manel Dogui, experte judiciaire en fiscalité et comptabilité.

Intervenant ce jeudi sur les ondes d’Express FM, l’experte a précisé que ces produits bancaires permettent d’accéder à des placements à rendement attractif, avec des taux négociables pouvant atteindre 8 %. “C’est une solution qui conjugue rentabilité et flexibilité”, a-t-elle souligné.

Contrairement aux comptes en devises classiques, le compte en dinar convertible simplifie la gestion des fonds : les devises déposées y sont automatiquement converties en dinars tunisiens, au taux de change en vigueur le jour du versement. Cette particularité évite aux titulaires les démarches répétées de change au moment des retraits.

Ces comptes sont exclusivement accessibles aux Tunisiens vivant à l’étranger. Pour en bénéficier, les demandeurs doivent présenter une carte consulaire ou un titre de séjour valide, a encore précisé Manel Dogui.

Aïcha Boubaker cofondatrice de « Hkeyet édition » à la Presse : « Une culture en phase avec les mutations technologiques »

15. Mai 2025 um 18:50

De nos jours, fonder une maison d’édition peut s’avérer difficile, pourtant, Aïcha Boubaker, éditrice et communicatrice, a entamé à bras-le-corps le lancement de «Hkeyet édition» depuis 6 mois. Imbibée de récits nouveaux et soucieuse de la pérennité du livre, l’amoureuse des livres et des lettres n’est pas passée inaperçue lors de la 39e édition de la Foire internationale du livre, mais pas que… «Hkeyet édition» est visible sur les réseaux sociaux et puise dans le digital pour attirer lecteurs, mais aussi auteurs… confirmés et surtout émergeants. Focus !

La Presse — L’équipe de « Hkeyet édition » mise sur des outils numériques innovants et sur le pouvoir du digital pour maximiser sa visibilité. Votre maison d’édition a été lancée en janvier 2025. Qu’avez-vous à nous dire sur ce démarrage ?

C’est voulu, en effet, de miser sur le numérique. La naissance de « Hkeyet » est récente. On ne savait même pas qu’on allait être à temps à la Filt (sourire), et qu’on allait pouvoir annoncer la parution d’ouvrages. Cette maison d’édition est née d’une rencontre entre deux visions : celle de mon père et de la mienne. « Hkeyet édition » est cofondée par mon père imprimeur, Mourad Boubaker, fondateur de « MIP Imprimerie », qui existe depuis plus de 30 ans.

Je suis imprégnée par le monde du livre et des lettres depuis toujours. Également communicantrice, j’ai mis mon savoir en œuvre. Mon père et moi avons fusionné nos deux visions pour un projet qui est dans l’air du temps, tout en ayant une ligne éditoriale précise, celle des « Primo-auteurs ». 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre ligne éditoriale ?  

C’est celle qui vise à créer un terrain favorable aux personnes qui écrivent et qui ne savent pas ou ne trouvent pas où se faire publier. Pour le lancement, je cite l’exemple d’Ines Mghribi, Wassim Ayari, Oussama Kassabi, etc. Nous avons démarré avec 4 primo-auteurs et 13 parutions en tout. Beaucoup n’en sont pas à leur première publication. Je rencontre des gens qui écrivent partout. Ils méritent d’être mis en valeur. Une communication différente s’impose aussi. 

Comment doit se faire cette communication ?

On doit miser sur les réseaux sociaux, le pouvoir du digital et les différents canaux des réseaux sociaux qui sont primordiaux. On dit souvent à tort, ici ou dans le monde, que « les jeunes n’aiment pas la culture et sont désintéressés ». C’est faux ! Les jeunes d’aujourd’hui ne se documentent pas de la même manière que les adultes de plus de 60 ans et ne se servent pas des mêmes outils.

Même s’informer ou se cultiver se fait différemment d’une génération à une autre. Les podcasts et les youtubeurs n’ont rien à voir avec la télévision et la radio classique. Aucun des deux audimats ne fait ça vainement, ils agissent juste différemment.

Pour mettre en valeur nos auteurs, nous allons vers le public, vers les book clubs, nous privilégions les échanges, les discussions, la proximité. On ne se contente pas uniquement des signatures ou des passages médias ! Il faut donner envie et susciter l’intérêt. A travers la magie du Net, je peux accéder à l’univers d’auteurs qui vivent n’importe où dans le monde. Le travail se fait en équipe qui est composée de mon associée Nour Bouaziz, moi-même, mon père, Fatma Chouraki et Walid Ferchichi, fondateur des Editions Arcadia. 

Pour la sélection des textes et des écrivains, comment opérez-vous ? 

Pour les primo-auteurs, ils se sont présentés en cherchant à se faire éditer. Beaucoup ont été retenus de bouche à oreille.

Ça a marché et cela procure un grand sentiment de satisfaction. Une jeune étudiante s’est présentée à nous pendant la Filt et nous a confié vouloir se faire éditer. Elle a trois récits prêts. C’est très gratifiant.

On a un comité de sélection et la qualité compte pour nous. Nous faisons des retours aux écrivains et cette interaction édifiante s’avérera fructueuse. C’est sûr. 

Qu’avez-vous à dire à celles et ceux qui pensent que les jeunes de nos jours ne lisent plus ?  

Ils sont déconnectés de la réalité. Les jeunes lisent, écrivent et produisent de différentes manières. Des créateurs de contenu culturel font fureur. Il faut leur tendre la main et j’ai besoin qu’on coopère toutes et tous ensemble. Nous vivons une ère qui bouillonne de talents. La culture doit être en phase avec les mutations technologiques de l’époque. Le pouvoir immense de la communication incite drastiquement à la lecture et à l’écriture. Il faut utiliser ces outils à bon escient, y compris l’Intelligence artificielle ou les liseuses.

Nos livres sont aussi disponibles en version numérique, en ligne, grâce à « Clic 2 Read ».  

PhosphorCreative District à Bhar Lazreg : Le nouveau quartier arty de la Ville

Von: Alya HAMZA
15. Mai 2025 um 18:40

Il faut avouer que l’on avait été dubitatif quand les premiers espaces ouvrirent leur porte. C’était au pays de nulle part, les routes étaient chaotiques et boueuses, l’environnement peu attractif… Et pourtant ! La sauce a pris.

La Preses — C’est à Bhar Lazreg, au Phosphor Creative District que cela se passait la semaine dernière. Dans ce qui promet d’être le nouveau quartier arty de la ville, on célébrait une sixième édition et on accueillait le printemps.

Il faut avouer que l’on avait été dubitatif quand les premiers espaces ouvrirent leur porte. C’était au pays de nulle part, les routes étaient chaotiques et boueuses, l’environnement peu attractif… Et pourtant ! La sauce a pris. Les hésitants ont rejoint les pionniers audacieux, le public a suivi, les rues adjacentes du premier linéaire se sont remplies. Et si ce Phosphor Creative District ne comptait que quelques espaces au départ, ils sont dix- sept aujourd’hui à s’y être installés : galeries d’art, dont celle de Yosr ben Ammar qui présentait cette fois-ci une exposition de photos digitales sur le thème «d’Arbres de vie». Galeries de design, dont celle de Hajer et Sofia où mère et fille présentent leur univers. Marlo et Isaure, les créateurs de la célèbre marque de Super souk, offraient une expérience originale et nous invitaient à découvrir les coulisses de la création. 

Aurélia, sœur d’Ysaure dans cette famille où tout le monde crée, faisait souffler «le Vent du Sud » sur Marmo Spirito, son espace. A ne pas manquer également la visite de Viranda qui décline une magnifique ligne de céramique, nattes, et tissages dessinés par Meryem Bouderbala. Ainsi d’ailleurs que celle de Art et Design Gallery où l’on réussit toujours à harmoniser un univers délicat et une élégante sélection de meubles, tableaux, luminaires et objets. Un peu plus loin, La Ruche laisse libre cours à l’imagination de jeunes créateurs, artistes, designers en une exposition de groupe sur le thème de «Curiosa».

Une pause s’impose au Konbini Café pour déguster un kombucha, l’élixir maison, et plus si affinités, à cette table de street food japonais qu’il faut impérativement tester.

Et puis, dans les étages, Phenomène Joyeux lance la fête. Car eux aussi sont là, ces nouveaux rois de la nuit, inaugurant sans cesse de nouveaux concepts, donnant le ton, créant des modes, suivis par une communauté fidèle. Alors, oui, c’est à Phosphor Creative District que cela se passe.

On nous écrit – La photographie comme médium de récit : « Personne ne parlera de nous »

Von: La Presse
15. Mai 2025 um 18:30

Mona Karray est une artiste qui vit sa pratique au quotidien : elle se nourrit de tout ce qui l’entoure et elle essaie de le raconter à travers la photographie. «Comment raconter» est la définition de sa pratique. Elle nous raconte le processus de son œuvre « Personne ne parlera de nous ».

La genèse de ce travail remonte aux années 1990 quand Mona Karray a mené une étude sociologique et anthropologique sur le village de Shebika et Tamaghza. C’était sa première rencontre avec le Sud tunisien. Le livre de Jean Duvignaud, «Shebika. Etude sociologique» l’a beaucoup interpellé durant ses recherches. Elle a pu souligner les formes de résistance et le sentiment de l’injustice dans ces régions. Suite à ce récit, Mona Karray est de retour à ces villages pour faire le repérage (mémoire des lieux) pendant la période de la «révolte du bassin minier de Gafsa », en 2008-2009. Elle voulait parler de cette injustice, de cette question des gens marginalisés. Elle avait en tête l’intitulé de l’œuvre « personne ne parlera de nous» qui a émergé dès la lecture d’un témoignage d’un habitant dans le livre de J.Duvignaud qui disait «Nous sommes la queue du poisson». Ce témoignage qui accentue encore l’idée de la marge la pousse à développer l’histoire de ces gens délaissés par l’Etat avant et après l’indépendance, pendant le règne de Ben Ali et même après la Révolution de 2011.

Selon Mona Karray, ce projet sera une manière de parler de ces gens-là bien que le titre nous fait comprendre le contraire. Dans les paysages traversés (Sfax, Gafsa, Tozeur, Dguech), Karray a gardé l’idée du corps captif de la série « Noir »*, dans cette dernière c’est le corps de l’artiste qui est enveloppé dans un sac blanc tenant à la main un déclencheur souple sous forme de poire contenant de l’air. Quand l’artiste appuie sur le déclencheur, elle souligne ce besoin d’air pour s’exprimer. Ici, Karray questionne le dispositif photographique et l’acte photographique en soi.

Revenant sur l’idée du corps captif dans la série «Personne ne parlera de nous», cette fois, il ne s’agit pas du corps d’artiste. C’est un corps « autre», un corps captif qui voyage d’un lieu à un autre à la rencontre des gens et des paysages…

«Et pourtant, il voyage…»

«Personne ne parlera de nous» a marqué la démarche de l’artiste de la photo argentique vers la photo numérique, de la photo en noir et blanc vers des photos couleurs.

Cette série présente un corps captif qui se déplace d’un endroit à un autre bien qu’il soit enfermé : on le remarque à première vue dans la photo, des fois dans des chantiers, d’autres dans des lieux abandonnés et il s’invite même dans des espaces familiaux. A travers cette série photographique, Mona Karray souligne cette force de résistance dans ce corps captif comme il se déplie et se replie sur soi bien qu’il soit enfermé et il évoque la mobilité bien qu’il soit immobile.

40 km de Sfax, 40 km du Centre : des limites en question

Dans cette série photographique «Personne ne parlera de nous», l’artiste relie la question de la marginalisation à la présence/absence du corps de l’autre. Cette masse blanche, qui marque chaque paysage mais qui s’en détache à travers l’étoffe blanche, dévoile un isolement, un enfermement, un espace clos. Une limite est bien claire entre un espace intérieur et un espace extérieur : l’étoffe blanche. Rien ne procure un signal de communication entre ces deux espaces. La photographie comme médium a permis à Mona Karray de mémoriser cette expérience d’ouverture sur l’enfermement.

Entre le centre de la ville et la périphérie dépeuplée, l’action de la mobilité du corps captif accentue les enjeux contemporains d’appartenance et d’identité. Le choix d’emballer un corps d’une autre personne et de l’installer dans des endroits détachés du corps de la ville souligne quelque part cette absence de communication entre «l’Autre» et le territoire comme un lieu de réflexion et un domaine où les éléments de la sociologie culturelle et la géopolitique peuvent être observés et étudiés.

En présentant cette œuvre, Mona Karray souligne que la dimension politique de l’œuvre ici n’est pas une finalité en soi, mais il s’agit vraiment de créer une sensation d’étrangeté familiale auprès du corps d’autrui.

Manel ROMDHANI

©Mona Karray, 2012-2015
*Noir est une série composée de huit photographies réalisées en 2013 à Paris.

Violences à Tripoli: affrontements meurtriers entre milices rivales

15. Mai 2025 um 19:03

Depuis plusieurs jours,  Tripoli est devenu un théâtre de combats violents entre groupes armés rivaux, principalement entre les forces alliées au chef du gouvernement d’union nation Abdelhamid Dbaiba reconnu par l’ONU, et des milices comme l’Appareil de soutien à la stabilité (SSA) et la force Radaa.  Ces affrontements ont fait au moins six morts et ont  provoqué d’importants dégâts matériels, ainsi que la fermeture des écoles et de l’aéroport de Mitiga.

La cause de ces violences est liée à l’assassinat d’Abdel Ghani al-Kikli, alias « Gheniwa », chef du SSA, tué dans une embuscade au quartier général de la Brigade 444, un groupe loyal à Dbaibah. 

En réaction, Dbeibah a dissout certains organes sécuritaires affiliés à ces groupes et lancé une opération militaire pour démanteler les milices irrégulières à Tripoli.

Quatorze ans plus tard après la chute de Mouammar Kadhafi, la Libye demeure divisée. A savoir entre un gouvernement à Tripoli, dirigé par Abdelhamid Dbaiba, et un autre à l’est du pays, plus précisément à Benghazi, contrôlé par le maréchal Khalifa Haftar. 

Plusieurs experts en géopolitique ont souligné que la situation va se complexifier davantage. C’est le cas de Rafaa Tabib qui craint un risque élevé d’escalade incontrôlable. 

Sami JallouliToutefois,  au-delà de ces affrontements qui ne cessent chaque jour, des rumeurs ont récemment circulé, affirmant que le Conseil de sécurité de l’ONU aurait retiré sa reconnaissance au gouvernement d’Abdelhamid Dbaiba.

Sami Jallouli, juriste senior, politologue et consultant en image politique, précise via son post fb que le Conseil de sécurité n’a pris aucune décision ni tenu de réunion aujourd’hui concernant la Libye. En effet, le Conseil de sécurité ne reconnaît ni ne retire la reconnaissance des gouvernements ou des États.

Ce qui s’est réellement passé, explique-t-il, c’est que le Procureur de la Cour pénale internationale a demandé, lors d’une séance au siège du Conseil de sécurité, l’exécution de mandats d’arrêt visant certains responsables libyens, qui n’avaient pas été appliqués depuis un certain temps.

Sur le plan juridique, cette démarche est claire, mais sur le plan politique, Sami Jallouli souligne l’existence de pressions internationales qui ne servent en rien les intérêts du peuple libyen, mais visent plutôt à préserver des intérêts stratégiques de puissances étrangères.

D’ailleurs, sur le plan politique, ces affrontements reflètent des pressions internationales et des intérêts stratégiques divergents. Pire encore, ils ne répondent pas aux aspirations du peuple libyen en matière de paix et de stabilité.

La question essentielle aujourd’hui est la suivante: la Libye connaîtra-t-elle un jour la stabilité? Le temps nous le dira… 

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France : Une maire refuse de marier un Tunisien à une Française

Von: KJ
15. Mai 2025 um 19:16
France : Une maire refuse de marier un Tunisien à une Française Un mariage prévu ce samedi 17 mai à Bourg-lès-Valence, dans la Drôme, ne sera finalement pas célébré. La maire de la commune, Marlène Mourier (Les Républicains), a refusé d’unir un couple qu’elle soupçonne de vouloir détourner le mariage à des fins administratives. Elle affirme que l’homme, un ressortissant tunisien, a reconnu vouloir se marier essentiellement pour "obtenir des papiers".

Tunisie: Levée de l’audience du journaliste Mourad Zeghidi

Von: walid
15. Mai 2025 um 19:56
Tunisie: Levée de l’audience du journaliste Mourad Zeghidi

Le journaliste Mourad Zeghidi, détenu depuis près d’un an, a comparu, jeudi, pour la troisième fois devant le juge d’instruction près le Tribunal de première instance de Tunis dans une affaire de “blanchiment d’argent”. L’audience de Zeghidi a été levée vers 13 heures après que les avocats ont appelé à la libération provisoire de leur […]

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Santé en danger : Chadha Hadj Mbarek proteste par une grève de la faim

15. Mai 2025 um 19:21
Santé en danger : Chadha Hadj Mbarek proteste par une grève de la faim

Chadha Hadj Mbarek, journaliste incarcérée depuis octobre 2021 à la prison civile d’El Messadine à Sousse, a entamé une grève de la faim le 14 mai 2025 pour dénoncer la détérioration de son état de santé et l’absence de soins médicaux adéquats. Selon son frère Amen Hadj Mbarek, elle ne peut plus supporter les antidouleurs, […]

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Tunisie – Météo: Pluies parfois orageuses dans ces régions pendant la nuit

Von: walid
15. Mai 2025 um 19:11
Tunisie – Météo: Pluies parfois orageuses dans ces régions pendant la nuit

Le temps sera au cours de la nuit, favorable à la chute de pluies provisoirement orageuses sur le Nord-Ouest et localement sur le Centre et le Sud-Est, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM). Le vent soufflera de secteur Nord, relativement fort à localement fort près des côtes et sur les hauteurs […]

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Récolte 2025 : le ministère fixe les prix de réception des céréales

15. Mai 2025 um 18:58
Récolte 2025 : le ministère fixe les prix de réception des céréales

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche a annoncé, dans un communiqué publié ce jeudi 15 mai 2025, les prix de réception des céréales pour la récolte 2025. Les prix ont été fixés comme suit : 140 dinars le quintal pour le blé dur, incluant une prime de livraison rapide de […]

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Foot-Ligue 1 (30e J): Le fête des Sang et Or… sacrés pour la 34e fois!!!

15. Mai 2025 um 19:01
Foot-Ligue 1 (30e J): Le fête des Sang et Or… sacrés pour la 34e fois!!! | Univers News

  • L’US Monastir en ligue des champions et l’Etoile pour la coupe de la CAF!!!

Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – Une fin en queue de poisson de la saison 2024/2025, surtout pour l’Espérance ST qui a fêté son 34e sacre dans une ambiance explosive et des affrontements entre les supporters… des Sang et Or, après la fin de la rencontre face à l’US Monastir, sur une parité nulle, ce qui permet aux Monastiriens d’être qualifiés pour la ligue des champions d’Afrique, la saison prochaine.

Le couronnement des Sang et Or a calmé, par la suite, les esprits et la joie a régnée, avec le président espérantiste qui a porté le trophée pour le remettre aux joueurs et prendre des photos avec eux.

Par ailleurs et contre toute attente, l’Etoile SS s’est inclinée à domicile, face au CS Sfaxien (0 – 1) ce qui lui a fait perdre l’espoir et de se contenter de la coupe de la Confédération africaine de football, la saison prochaine.

Les deux autres rencontres se sont achevées sur une victoire de l’AS Soliman contre le Stade Tunisien au Bardo, alors que l’Olympique de Béja continue à broyer son pain noir et s’est incliné face au CA Bizertin (0 – 3).

Foot-Ligue 1 (30e J): Le fête des Sang et Or… sacrés pour la 34e fois!!! | Univers News
Foot-Ligue 1 (30e J): Le fête des Sang et Or… sacrés pour la 34e fois!!! | Univers News

Mercredi 14 mai

A Gabés: AS Gabès – Club Africain (0 – 0)

A Metlaoui: ES Metlaoui – US Tataouine (3 – 1)

A Ben Guerdane: US Ben Guerdane – EGS Gafsa (3 – 1)

A Zarzis: ES Zarzis – JS Omrane (2 – 1)

Jeudi 15 mai

A Radés: Espérance ST – US Monastir (0 – 0)

Au Bardo: Stade Tunisien – AS Soliman (0 – 1)

A Bizerte: CA Bizertin – O Béja (3 – 0)

A Sousse: ES Sahel – CS Sfaxien (0 – 1)

Foot-Ligue 1 (30e J): Le fête des Sang et Or… sacrés pour la 34e fois!!! | Univers News

Classement               Pts   J     Bp    Bc   Diff   

1. Espérance ST         66   30    57     22    +35  

2. US Monastir          62   30    42     11    +31

3. ES Sahel                 61   30    45     24    +21  

4. C. Africain             54   30    34     19    +15   

5. ES Zarzis                54   30    38     29    +09   

6. Stade Tunisien       49   30    29     21    +08

7. CS Sfaxien             44   30    31     19    +12   

8. ES Metlaoui           43   30    32     27    +05 

9. CA Bizertin            35   30    29     28    +01

10. Ben Guerdane      30   30    28     33     -05 

11. AS Soliman          31   30    18     38     -20  

12. O. Béja                 29   29    19     37     -18 

13. AS Gabès              26   30    18     38     -20 

14. JS Omrane            26   30    25     46     -21 

15. EGS Gafsa           22   30    24     43     -19

16. US Tataouine       19   30    19     53     -34

Tunisie – Grève des taxistes ce 19 mai            

Von: LM
15. Mai 2025 um 19:29

Le syndicat de base des chauffeurs de taxi privés a annoncé aujourd’hui, jeudi, sa décision d’observer une grève d’une journée le 19 mai courant. Le syndicat a identifié ses principales revendications professionnelles en suspens, auxquelles le ministère des Transports n’a pas répondu, comme suit : – Augmenter le tarif de prise en charge (coup de […]

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