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Orange Tunisie fait vibrer la Tunisie au rythme de la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025

19. Dezember 2025 um 23:35

À l’occasion de la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2025, Orange Tunisie déploie un dispositif national d’envergure pour accompagner la ferveur des supporters et faire de cet événement un moment de partage, d’émotions et d’unité populaires. Partenaire télécoms exclusif mondial de la Confédération Africaine de Football (CAF) , Orange réaffirme son engagement pour le football africain et la proximité avec tous les publics.

Le dispositif s’articule autour de trois axes : installer l’esprit du football, permettre à chacun de vivre la compétition et faire vibrer la ferveur sur le terrain.

Installer l’esprit du football

Avant le coup d’envoi, Orange Tunisie lance une Digital Fan Zone sur Max it, proposant contenus exclusifs et expériences interactives pour plonger les supporters dans l’univers de cette belle compétition. Les boutiques Orange se parent également des couleurs de l’événement, créant une ambiance festive et fédératrice à l’échelle nationale.

Vivre pleinement la compétition

Pour accompagner les usages pendant la CAN, Orange Tunisie met en avant ses solutions illimitées à la maison – avec ses offres 5G et Fibre Très Haut Débit – pour suivre les matchs en qualité supérieure, partager les émotions en temps réel et rester connectés tout au long de la compétition.

Faire vibrer la ferveur sur le terrain

Une tournée régionale dans plusieurs villes – Djerba, Gafsa, Sfax, Tunis, Bizerte et Sousse – permettra aux Tunisiens de vivre l’émotion du football de près. Animations, jeux, expériences immersives et moments de convivialité rythmeront cette tournée pour fédérer les supporters et laisser une empreinte durable.

Orange Tunisie invite le public à suivre ses plateformes sociales pour découvrir toutes les activations, temps forts et surprises tout au long de la compétition.

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JCC 2025 : Cotton Queen de Suzannah Mirghani, le coton comme mémoire et résistance au Soudan

19. Dezember 2025 um 23:25

De Venise à Chicago, de Doha à Tunis, « Cotton Queen » circule comme une mémoire en mouvement, porté par la musique d’Amine Bouhafa et par le regard sensible de la réalisatrice soudano-russe Suzannah Mirghani, dont l’œuvre interroge les identités plurielles et les héritages coloniaux du Soudan.

Projeté en première tunisienne jeudi soir au Théâtre de l’Opéra de Tunis, dans une salle attentive, traversée d’un silence dense, le film en compétition officielle des 36e Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), a trouvé à Tunis un écho rare. Cette écoute collective semblait prolonger la respiration lente du récit, comme si la salle s’harmonisait au rythme du Nil et aux gestes répétitifs du coton.

Réalisatrice, scénariste et chercheuse, née d’un père soudanais et d’une mère russe, Suzannah Mirghani, basée à Doha, explore depuis ses débuts les tensions entre tradition, modernité et domination héritée. Cotton Queen prolonge et déploie l’univers de son court métrage Al-Sit (2020), portrait d’une grand-mère toute-puissante au sein d’un village soudanais, film multi-primé à travers le monde et qualifié pour les Oscars. Le long métrage s’inscrit ainsi dans une continuité narrative et politique, élargissant une figure intime en fresque collective.

Dans le village que recompose « Cotton Queen », le coton n’est pas un simple produit agricole : il est un langage transmis de mère en fille, une économie domestique et un espace de pouvoir féminin.

Le film suit Nafisa, adolescente de 15 ans, dont le destin se confond avec celui de sa communauté, structurée autour d’une solidarité où l’individu n’existe qu’au sein du groupe. La grand-mère « Al-Sit », déjà au cœur du court métrage éponyme, demeure la matrice symbolique de cette mémoire féminine longtemps tenue hors champ.

À travers le coton, les femmes ont bâti une autonomie fragile : filer, vendre, épargner, résister.

Mirghani filme ces gestes avec retenue, leur conférant une portée politique implicite. Face à cet équilibre surgissent les semences génétiquement modifiées, importées au nom du progrès. Derrière la promesse de rendement se dessine un néocolonialisme agricole, fait de dépendance économique, d’effacement des savoirs locaux et de blessures coloniales prolongées. Introduites depuis plus d’une décennie, ces semences ont progressivement remplacé le coton national, transformant la terre en espace de convoitise.

Le film refuse le discours frontal. Ces rapports de domination s’incarnent de manière tangible, dans le regard de Nafisa, prise entre héritage et mutation imposée. La musique d’Amine Bouhafa agit comme un fil invisible : oud, percussions et textures épurées accompagnent les images sans les contraindre. La voix de la chanteuse soudanaise Alsarah, installée à Brooklyn, revisitant un chant traditionnel, inscrit le film dans une continuité diasporique où la culture circule sans se dissoudre.

Présente à Tunis, la réalisatrice a rappelé les conditions de fabrication du film : « Le film a été réalisé dans une conjoncture difficile, ce qui nous a contraints à tourner en Égypte, dans des décors similaires au Soudan. » Le village reconstitué, le long du Nil, est devenu un espace provisoire mais habité, peuplé d’acteurs souvent déplacés eux-mêmes, arrivés peu avant le tournage. L’équipe n’a pas pu faire le déplacement à Tunis en raison de la situation actuelle au Soudan.

Coproduit notamment par le Doha Film Institute en tant que co-producteur principal, aux côtés de plusieurs autres partenaires dont ARTE, MAD Solutions et le Fonds de la Mer Rouge, « Cotton Queen » a remporté l’Alexandre d’Or au Festival du film de Thessalonique après sa première mondiale à la Mostra de Venise (Semaine de la Critique).

Dans un paysage où le cinéma soudanais demeure rare, malgré des œuvres marquantes comme Goodbye Julia ou You Will Die at Twenty dont la bande originale portait déjà la signature d’Amine Bouhafa, la projection de « Cotton Queen » aux JCC a fait l’évènement. Né d’un court et approfondi par l’expérience de l’exil, ce film sur la culture du coton s’est imposé comme un moment suspendu, tissé de musique et de mémoire.

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Double Je : Mondher Shelby et Taoufik Behi en dialogue artistique à la Galerie A.Gorgi

19. Dezember 2025 um 23:15

Le vernissage de l’exposition  “Double Je…” qui met en dialogue les œuvres de Mondher Shelby et Taoufik Behaura, aura lieu dimanche 21 décembre 2025 à 11h à la Galerie A.Gorgi à Sidi Bou Saïd.

L’exposition se construit comme un autoportrait de Mondher Shelby, pensé non pas comme une représentation figée de soi, mais comme un dialogue intérieur continu avec l’enfance. Celle-ci n’est pas convoquée comme un souvenir lointain ou idéalisé, mais comme une présence active, un double silencieux qui accompagne et observe les métamorphoses de l’artiste, soulignent les organisateurs de rendez-vous.

Entre jeu et mémoire, légèreté et gravité, les œuvres traduisent cette oscillation permanente entre ce que l’on a été et ce que l’on devient indiquent les organisateurs de ce rendez-vous atypique avec les arts.

À travers la couleur, le geste et la mise en scène du corps, Shelby rejoue l’apprentissage du monde. L’avatar qu’il déploie dans ses peintures agit comme un alter ego, un espace de projection où le « je » se dédouble. La main guide, protège ou retient.

Les postures suggèrent une relation de tension et de proximité entre l’enfant et l’adulte.

L’enfance apparaît ainsi comme une matrice d’émotions premières, un territoire fondateur qui persiste et se manifeste dans les gestes de l’artiste adulte.

En résonance avec cette démarche introspective, Taoufik Behi, cinéaste de formation, développe un travail sculptural fondé sur l’assemblage d’objets de récupération. Par un processus proche du montage cinématographique, il compose des figures animales et des arbres de vie, où chaque élément conserve la trace de son usage antérieur. Le jeu devient ici un principe de construction et de transformation, faisant écho à la dynamique de recomposition identitaire à l’œuvre dans la peinture de Shelby.

Double Je interroge ainsi la notion d’autoportrait élargi : une image de soi fragmentée, traversée par le temps, où le « je » et le « jeu » se confondent pour révéler la part d’enfance qui continue de structurer le regard et le rapport au monde.

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Ecole d’hiver « ADN Junior » | Initiation à la biologie moléculaire

Von: Yusra NY
19. Dezember 2025 um 23:32

La Cité des sciences de Tunis propose à l’occasion des vacances scolaires d’hiver, le Laboratoire « ADN Junior » , et ce pour les élèves âgés de 14 à 16 ans.

Cette école d’hiver, prévue les 26 et 27 décembre 2025 permettra l’initiation à la biologie moléculaire, par une formation théorique et pratique.

Elle permettra de découvrir l’unité fondamentale des êtres vivants, de découvrir l’expression du programme génétique, d’apprendre les bases de la biologie moléculaire, de découvrir les protocoles utilisés au laboratoire, d’utiliser des équipements scientifiques spécifiques et de s’initier à la manipulation du programme génétique.,

L’inscription se fait à l’accueil de la Cité des Sciences à Tunis.

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Carthage Symphony Orchestra | Mélodies andalouses : Le grand retour !

Von: Yusra NY
19. Dezember 2025 um 23:21

Après un premier concert en janvier couronné d’un succès immense, le voyage musical consacré aux Mélodies Andalouses revient pour une nouvelle soirée exceptionnelle.

Le Carthage Symphony Orchestra, dirigé par Hafedh Makni, et son chœur placé sous la direction de Mourad Gaâloul, interpréteront des waslas de malouf tunisien, algérien, marocain et libyen ainsi que un clin d’oeil à l’héritage andalou oriental, dans des arrangements symphoniques inédits signés Mohamed Makni et Wassim Makni.

C’est au Théâtre Municipal de Tunis que le rendez-vous est donné ce dimanche 21 décembre à 18h30 : On a commencé l’année en malouf… et on la termine en malouf !

Promettant un rendez-vous unique pour célébrer l’héritage andalou et la richesse des traditions musicales du Maghreb, les organisateurs rappellent que les billets ( 30, 35 et 40 dinars) sont disponibles au théâtre municipal au Boulevard des Arts à Mutuelleville ou en ligne

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Gestern — 19. Dezember 2025Haupt-Feeds

Architecture : un colloque international sur les cours et patios en Méditerranée à Dar Lasram

19. Dezember 2025 um 22:56

La première édition du colloque international sur les “Cours et Patios en Méditerranée” aura du 12 au 14 février 2026, à Dar Lasram à la Médina de Tunis.

Cet évènement est organisé par L’École Nationale d’architecture et d’Urbanisme (ENAU), avec le Laboratoire d’Archéologie et d’Architecture Maghrébine (LAAM)-Université de la Manouba (UMA), le Laboratoire Ville Durable et Environnement construit (VDEC)-Université de Carthage (UCAR) et le Laboratoire de Recherche en Patrimoine et Architecturologie (LarPA)-Université de Carthage (UCAR).
En partenariat avec l’Association de Sauvegarde de la Médina de Tunis (ASM) et l’Association Villes Historiques de la Tunisie et de la Méditerranée, ces journées proposent d’interroger cet archétype architectural à travers une approche pluridisciplinaire croisant les perspectives architecturales, anthropologiques, philosophiques, ethnographiques, bioclimatiques.

Les quatre axes thématiques prévus sont “La cour et le patio comme éléments structurants de l’habitat méditerranéen : Formes, pratiques socio-spatiales et identités culturelles”, les “Cours et patios, histoire bioclimatique et dispositifs ambiant aux”, les “Cours et patios, expérimentation(s) phénoménologique(s)” et les “Cours et patios réinventés : expérimentations architecturales du XXe siècle et résonnances actuelles”.

Ce colloque permettra notamment d’aborder les Cours et Patios en Méditerranée comme une forme universelle et récurrente, révélatrice d’une intelligence de l’espace et d’une ontologie de l’habiter, enracinées dans la longue durée des civilisations méditerranéennes et source permanente de renouvellement pour la pensée comme pour la pratique architecturale.

Il s’agit également de réfléchir, de révéler par l’analyse et de matérialiser, par des productions iconographiques, textuelles et narratives, audiovisuelles ou scénographiques, les réalités tangibles ou immatérielles de ces types bâtis individuels ou collectifs, savants ou populaires, modestes ou appartenant aux classes aisées, et qui constituent les archétypes de l’habiter et de l’habitat en Méditerranée dans un arc temporel s’étendant de l’Antiquité au monde contemporain soulignent les organisateurs.

Dans le cadre d’une réflexion plurielle qui met en réseau des chercheurs de différentes disciplines et de plusieurs villes méditerranéennes, mais également des architectes praticiens qui ont eu l’occasion de réactiver le patio dans leur(s) projet(s) sous une forme ou une autre, ainsi que des artistes que le patio inspire, le colloque propose d’explorer les quatre thèmes complémentaires et transversaux au menu de ces journées.

En parallèle, il s’agira d’interroger l’actualité de cette figure, à travers les problématiques qui lui sont rattachées et les approches par lesquelles elle continue d’alimenter la pratique architecturale contemporaine, à la croisée des enjeux et défis contemporains.

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Sundance 2026 : l’animation tunisienne à l’honneur avec The Bird’s Placebo

19. Dezember 2025 um 22:50

Le court métrage d’animation tunisien “The Bird’s Placebo”, réalisé par Rami Jarboui, a été retenu dans la sélection officielle du Festival du film de Sundance (Etats-Unis), qui se tiendra du 22 janvier au 1er février 2026.

Le film sera présenté en première mondiale le 23 janvier 2026 au Festival du film de Sundance, l’un des plus grands festivals cinématographiques au monde, représentant ainsi le cinéma d’animation tunisien sur la scène internationale.

A travers ce film, le cinéaste aborde des questions liées à la jeunesse, à la migration et à l’identité, en suivant l’histoire de Yahya, un jeune homme en situation de handicap vivant dans un quartier populaire défavorisé, qui rêve de traverser la Méditerranée dans l’espoir de se construire une vie meilleure.

Ce court métrage est actuellement programmé dans le cadre de la 36ème édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 13–20 décembre 2025).

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