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Banques publiques et dettes agricoles : une proposition de loi pour soulager les agriculteurs en difficulté

25. Dezember 2025 um 15:41

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP), organisera, lundi 12 janvier 2026, une journée d’étude sur la proposition de loi n°060/2025 relative à la régularisation des  dettes agricoles impayées.

Cette proposition de loi, présentée par des députés, prévoit que les banques publiques prennent en charge la régularisation des dettes bancaires des agriculteurs et des établissements opérant  dans le secteur agricole, classées auprès de la Banque centrale de Tunisie (BCT) dans la catégorie 4 et plus.

Les banques publiques devront également définir les modalités et les procédures de régularisation des dettes agricoles, dans un délai maximum de six mois, à compter de la date de promulgation de cette loi.

Selon cette proposition de loi, il aura le rééchelonnement du principal de la dette, sur une durée maximale de 7 ans avec une période de grâce d’un an non renouvelable, et la déduction des pénalités de retard, en se limitant à un taux de  20% de la valeur des intérêts contractuels imposés.

Le 2ème article de la proposition de loi porte sur la méthode, dont les banques publiques définissent et approuvent la politique de règlement des dettes agricoles mentionnées au premier article de cette proposition de loi, et déterminent la compétence des structures bancaires habilitées à statuer sur les accords de conciliation et les procédures à suivre.

Elles fixent également les politiques et conditions d’arbitrage, conformément à la législation et aux réglementations en vigueur, et adoptent les accords de conciliation relatifs aux dettes impayées avec les clients, concernant l’abandon total des dettes non principales, des intérêts contractuels et des intérêts de retard, y compris les intérêts rééchelonnés.

Les banques publiques se chargent de la mise en œuvre de la politique de recouvrement des dettes approuvées.

En cas de conclusion d’un accord de conciliation, concernant des dettes faisant l’objet de poursuites judiciaires pour des soupçons de corruption, l’accord compte sans effet en cas de jugement définitif.

Le 3ème article permet aux banques publiques de renoncer partiellement, dans une limite maximale de 5% et à titre exceptionnel, à leur créance principale relative aux crédits  agricoles classés en catégorie 4 et plus, au 30 juin 2025, et accordés  avant le 31 décembre 2022, à condition que le reste de la dette soit réglé dans un délai maximum de six mois, à partir de la date de conclusion de l’accord de conciliation, avec possibilité de renouvellement une seule fois.

Les dispositions de cet article  seront applicables jusqu’au 31 juillet 2026, renouvelable  une seule fois, pour une durée d’un an, par décision du ministre de Finances.

Le document des motifs publié sur le site de l’ARP indique que les années de sécheresse consécutives, ainsi que la pandémie Covid-19 et la guerre russo-ukrainienne, ont négativement impacté le secteur agricole et les agriculteurs, notamment les petits agriculteurs, ainsi que les entreprises opérant dans les secteurs de l’huile d’olive, des dattes et des semences.

Une telle situation a entraîné une dégradation de leur situation financière et les a empêchés de rembourser leurs crédits bancaires dans les délais.

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FEMBIOTEC : la FAO facilite l’accès à l’information pour les femmes rurales en agriculture biologique

25. Dezember 2025 um 15:20

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vient de lancer officiellement, la plateforme FEMBIOTEC à Tabarka, visant un accès direct à toute source d’information, dans le secteur de l’agriculture biologique en Tunisie, en mesure de renforcer l’autonomisation économique et les connaissances, indique un communiqué de la FAO publié jeudi à Tunis.

Destinée aux femmes en milieu rurale, la plateforme FEMBIOTEC a pour objectif d’améliorer l’accès à l’information technique, aux ressources de formation, aux opportunités de mise en marché et aux réseaux professionnels, en lien avec l’agriculture biologique. Elle s’inscrit dans l’action de la FAO en faveur de systèmes agroalimentaires plus inclusifs, durables et résilients, conformément à son mandat en Tunisie, a encore précisé la même source.

L’événement a réuni près de 70 participants, parmi lesquels des femmes agricultrices ainsi que des représentants d’institutions publiques nationales, dont la Direction générale de l’agriculture biologique (DGAB), le Centre technique de l’agriculture biologique (CTAB), le Bureau d’appui à la femme en milieu rural (BFAR) et l’Agence de vulgarisation et de formation agricoles (AVFA).

À cette occasion, la FAO a présenté la démarche ayant conduit à la conception et au développement de la plateforme FEMBIOTEC. Cette démarche s’appuie sur une approche participative, fondée sur l’identification des besoins exprimés par les femmes en milieu rurale, la co-construction des contenus et des fonctionnalités, ainsi que l’intégration d’outils numériques adaptés aux contextes locaux.

Les échanges ont permis d’aborder les perspectives de développement de la plateforme, notamment l’enrichissement progressif des contenus, le renforcement des capacités des utilisatrices, l’élargissement à d’autres régions et filières, ainsi que les possibilités de synergies avec des initiatives nationales et internationales liées à l’agroécologie et à la biodiversité.

Le lancement de la plateforme FEMBIOTEC illustre l’importance d’intégrer les besoins et les savoirs des femmes en milieu rurale dans les processus d’innovation agricole. En facilitant l’accès à l’information et aux réseaux, cette initiative contribue aux efforts visant à soutenir des moyens de subsistance durables et inclusifs. La FAO poursuivra son accompagnement technique dans le cadre de la mise en œuvre de FEMBIOTEC, en coordination avec les partenaires institutionnels concernés. Les prochaines étapes porteront notamment sur le suivi de l’utilisation de la plateforme, l’adaptation continue des contenus et l’exploration de complémentarités avec d’autres programmes soutenant le développement rural durable en Tunisie.

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Véhicules électriques : l’ISGI de Sfax installe la première borne de recharge universitaire en Tunisie

25. Dezember 2025 um 15:06

L’Institut supérieur de gestion industrielle (ISGI) de Sfax a installé une borne de recharge des véhicules électriques, d’une capacité de 22 kilowatts (KW), dans le cadre du programme pilote visant l’installation de 60 stations de recharge des voitures électroniques, dans différentes régions du pays, géré par l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME).

L’Institut supérieur de gestion industrielle (ISGI) de Sfax est le premier établissement universitaire publique en Tunisie qui a installé une borne de recharge des véhicules électriques, une initiative qui reflète l’engagement des institutions publiques à soutenir le développement et la mobilité durable, d’autant plus que la station de recharge est raccordée à une centrale solaire photovoltaïque, ce qui contribue à réduire les émissions du gaz.

Selon les données publiées par l’ANME, cette initiative représente une étape cruciale dans la promotion de l’utilisation des voitures électriques et la diffusion d’une culture de la mobilité durable, notamment dans les espaces universitaires. Cela renforce l’orientation nationale vers une économie verte et durable.

Actuellement, les travaux sont en cours pour achever l’installation des stations de recharge restantes, en collaboration avec plusieurs municipalités et institutions publiques, dans le cadre de la mise en place d’un réseau national de borne de recharge des véhicules électriques, qui sont à même de répondre aux besoins des utilisateurs et de soutenir l’orientation nationale vers la mobilité durable et la transition énergétique, selon l’ANME .

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Tunisie : une plateforme numérique pour simplifier l’attribution de la carte de handicap

25. Dezember 2025 um 14:40

“La plateforme numérique pour l’attribution de la carte de handicap devrait être généralisée en 2026, après le lancement effectif d’une expérience pilote à la direction régionale des affaires sociales de l’Ariana le 5 décembre courant”, a fait savoir, jeudi, la directrice de la prévention, de la réhabilitation et de l’intégration des personnes en situation de handicap au sein de la direction générale de la promotion des personnes handicapées au ministère des affaires sociales, Najet Riahi.

Dans une déclaration à l’agence TAP en marge d’une journée de sensibilisation organisée par l’Organisation tunisienne de défense des droits des personnes handicapées pour présenter la plateforme numérique, la responsable a indiqué que ce projet vise principalement à rapprocher les services des personnes en situation de handicap et à leur simplifier les démarches.

Elle a souligné que l’expérience pilote consiste à renouveler les cartes de handicap en attendant l’attribution, prochainement, de cartes de handicap biométriques.

“Il s’agit de créer un compte et de télécharger les documents requis sur la plateforme puis la direction régionale prendra la décision d’attribution de la carte biométrique”, a-t-elle expliqué notant que les personnes en situation de handicap pourraient recevoir des notifications par e-mail pour le suivi de leurs dossiers.

Najet Riahi a, par ailleurs, signalé que cette journée de sensibilisation contribuera à apporter les mises à jour nécessaires pour améliorer la qualité de la plateforme numérique en écoutant les questions des personnes en situation de handicap et en y répondant.

“D’autres campagnes de sensibilisation audiovisuelles dans les médias sont programmées pour faire connaître la plateforme”, a-t-elle ajouté.

Selon la responsable, le ministère des affaires sociales travaille actuellement à la révision de la loi cadre n° 83 de l’année 2005 et une commission a été formée au sein du département regroupant différents ministères concernés pour déterminer les points à réviser.

De son côté, le président de l’Organisation tunisienne de défense des droits des personnes handicapées, Yosri Mzati, a salué cette initiative qui pourrait révolutionner l’accès des personnes en situation de handicap à des services facilités.

En revanche, la secrétaire générale de l’Organisation tunisienne de défense des droits des personnes handicapées, Bouraouia Agrebi, a appelé à la création d’une structure dédiée aux personnes en situation de handicap, avec une représentation significative de cette catégorie sociale.

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Forbes 30 under 30: Hayfa Sdiri, seule tunisienne du classement

25. Dezember 2025 um 14:46

La Tunisie figure dans le prestigieux classement Forbes 30 Under 30 2025 grâce à une seule représentante : Hayfa Sdiri, 27 ans, Chief Impact Officer chez RIVET. Elle est distinguée dans la catégorie Social Impact, Sports & Lifestyle, qui met en avant les jeunes leaders utilisant l’innovation pour générer un impact social mesurable.

Ce classement annuel de Forbes identifie 30 personnalités de moins de 30 ans par catégorie, sélectionnées pour leur influence, leur capacité d’innovation et leur impact concret à l’échelle régionale ou mondiale. En 2025, Hayfa Sdiri est l’unique Tunisienne à y figurer, confirmant la montée en puissance de profils africains et arabes engagés dans l’économie à impact .

À seulement 18 ans, Hayfa Sdiri lance Entr@crush, un incubateur en ligne dédié à l’éducation entrepreneuriale dans la région MENA. Le concept est innovant : proposer des formations simplifiées en dix dialectes arabes, afin de rendre l’entrepreneuriat accessible à des jeunes souvent exclus des circuits classiques de formation. Deux ans plus tard, le projet est acquis par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et relancé sous le nom de SDG Camps, en référence aux Objectifs de développement durable de l’ONU .

Après cette acquisition, Hayfa Sdiri rejoint le PNUD en tant que Youth & Innovation Associate. Elle repense entièrement le programme SDG Camps et en assure le pilotage. Résultat : plus de 10 000 jeunes Tunisiens de moins de 30 ans, issus majoritairement de communautés marginalisées, ont bénéficié du programme, combinant formation, accompagnement et mise en réseau .

En 2022, elle poursuit son parcours dans l’impact social en intégrant RIVET, une plateforme internationale de micro-financement. L’objectif affiché est ambitieux : distribuer un million de micro-subventions à des projets portés par des jeunes à travers le monde. À ce jour, RIVET a déjà soutenu plus de 1 300 projets dans 66 pays, couvrant des secteurs allant de l’entrepreneuriat social au sport communautaire .

Promue Chief Impact Officer, Hayfa Sdiri supervise aujourd’hui l’engagement des jeunes, les partenariats stratégiques et la mesure d’impact. Son rôle consiste à s’assurer que chaque micro-financement génère un effet durable sur les communautés locales, tout en renforçant la crédibilité du modèle de financement inclusif porté par RIVET.

Au-delà de la distinction individuelle, cette reconnaissance par Forbes met en lumière une nouvelle génération de leaders tunisiens qui misent sur l’impact, l’inclusion et l’innovation sociale plutôt que sur les modèles économiques traditionnels. Le parcours de Hayfa Sdiri illustre une tendance de fond : l’entrepreneuriat n’est plus seulement un levier de croissance, mais un outil de transformation sociale à grande échelle.

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Vers la généralisation de la plateforme numérique des cartes d’invalidité d’ici 2026

Von: La Presse
25. Dezember 2025 um 14:43

Najet Riahi, directrice de la prévention, de la réadaptation et de l’intégration des personnes handicapées au sein du ministère des Affaires sociales, a annoncé que la plateforme numérique pour l’attribution de la carte d’invalidité devrait être généralisée d’ici l’année 2026. Cette annonce fait suite au lancement effectif d’une phase pilote à la Direction régionale des […]

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Taxe de circulation : ce qui change avec la nouvelle procédure numérique

25. Dezember 2025 um 15:30

À compter du début de l’année prochaine, les automobilistes tourneront définitivement la page du macaron collé sur le pare-brise. La taxe de circulation entre dans l’ère du numérique, avec une procédure profondément remaniée qui privilégie désormais le paiement en ligne. C’est ce qu’explique Aziza Ben Salem, directrice générale de la comptabilité publique et du recouvrement au ministère des Finances, lors d’une récente intervention radiophonique.

Jusqu’ici, le règlement de cette taxe imposait un passage obligatoire par la recette des finances, contre remise d’une quittance et d’une vignette physique. Dès janvier, cette démarche pourra être effectuée à distance via la plateforme dédiée www.taxedelacirculation.org.tn, dont la mise en service est annoncée pour les prochaines semaines. Les usagers pourront régler le montant dû par carte bancaire ou via une carte de paiement électronique e-Dinar, quel que soit le type de véhicule ou le tarif appliqué.

Fin de la vignette papier, place au récépissé numérique

Avec ce nouveau dispositif, la vignette autocollante disparaît officiellement. Une fois le paiement effectué en ligne, le contribuable pourra télécharger et imprimer un récépissé électronique muni d’un QR code. Ce document fera foi lors des contrôles routiers et permettra aux agents de vérifier instantanément le paiement de la taxe.

Les personnes qui ne souhaitent pas utiliser les services numériques conservent toutefois la possibilité de s’acquitter de la taxe directement auprès de la recette des finances. Les montants exigés ainsi que les délais de paiement restent identiques à ceux appliqués jusque-là, a précisé Aziza Ben Salem, responsable au ministère des Finances, lors d’une intervention radiophonique.

Un calendrier de paiement étalé selon les catégories

Comme les années précédentes, les échéances sont fixées en fonction de la nature des véhicules et du statut de leurs propriétaires. Les véhicules de transport de personnes et de marchandises, les taxis, les louages, les semi-remorques et engins assimilés seront les premiers concernés, avec une date limite arrêtée au 10 janvier.

Les établissements publics administratifs, les collectivités locales, les organismes assimilés ainsi que les personnes morales devront, quant à eux, régler la taxe au plus tard le 5 février. Les particuliers propriétaires de véhicules portant un numéro d’immatriculation pair disposeront d’un délai allant jusqu’au 5 mars 2026.

Les détenteurs de véhicules à immatriculation impaire devront s’acquitter de la taxe avant le 5 avril, tandis que les véhicules destinés à la location et ceux acquis dans le cadre de contrats de leasing clôtureront la période de paiement, avec une échéance fixée au 5 mai 2026.

Cas particuliers et mesures d’accompagnement

S’agissant des motos, les propriétaires disposant d’une carte grise pourront payer la taxe en ligne ou, en cas de difficulté, directement auprès de la recette des finances. Le ministère des Finances a également indiqué que la plateforme numérique restera accessible tout au long de l’année et fera l’objet d’améliorations progressives après son lancement.

Enfin, une mesure incitative accompagne cette réforme : les propriétaires de véhicules et d’engins qui s’acquitteront de la taxe de circulation dans les délais impartis pourront bénéficier d’une amnistie fiscale portant sur d’éventuelles pénalités antérieures non réglées. Une disposition destinée à encourager la régularisation et à faciliter la transition vers le nouveau système.

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L’Égypte discute de nouvelles incitations fiscales sur la propriété

25. Dezember 2025 um 15:13

Le ministre égyptien des Finances, Ahmed Kouchouk, a déclaré que l’Égypte examine actuellement de nouvelles mesures. Elles concernent la taxe foncière et la taxe sur les transactions immobilières.

Il a ajouté que les recettes fiscales ont enregistré une croissance de 35 % au cours des cinq premiers mois de l’exercice fiscal en cours 2025-2026. De même qu’un excédent primaire de 1,5 % du PIB a été réalisé en Égypte au cours de ladite période.

Le ministre des Finances a expliqué que la baisse du rendement des obligations internationales égyptiennes à différentes échéances était une réaction à l’amélioration des indicateurs de l’économie égyptienne. Il annonce également que l’assurance contre le risque de non-paiement a diminué.

En outre, il note que le ratio dette totale/PIB avait diminué, passant de 96 % à 84 % en juin 2025.

Par ailleurs, Ahmed Kouchouk a indiqué que 12 mesures de réforme structurelle menées avec le Fonds monétaire international avaient été intégralement mises en œuvre. Il assure que les négociations avec le Fonds monétaire international sont très positives et reflètent les bons résultats financiers et les capacités latentes de l’économie égyptienne. « Nous continuons d’adopter des politiques financières plus équilibrées qui stimulent l’investissement, la production et les exportations. Sachant que la priorité absolue de l’État est de réduire de manière significative et efficace la dette et les charges des organismes budgétaires au cours de la période à venir ».

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Rapport IACE 2025 : les entreprises privées, pilier fiscal face à l’érosion de la base imposable

25. Dezember 2025 um 15:09

Réalisé par l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE), le Rapport National sur l’Entreprise en Tunisie pour l’année 2025 révèle une économie marquée par une forte atomisation de son tissu productif. Sur 824 593 entreprises recensées fin 2023, près de 87,5 % sont des structures sans salariés, traduisant une concentration massive sur le micro-travail indépendant et l’auto-emploi. Les entreprises employeuses ne représentent que 103 518 unités, dont 89 958 microentreprises, 12 663 petites et moyennes entreprises et 897 grandes entreprises.

Cette configuration met en évidence une base productive numériquement dense mais économiquement fragile. Les microentreprises dominent avec 87 % des entreprises employeuses mais ne contribuent qu’à 17,8 % de l’emploi salarié et 3 % aux impôts directs. À l’opposé, les grandes entreprises, bien que ne représentant que 0,87 % des entreprises employeuses, concentrent 44 % de l’emploi salarié avec 511 988 postes.

Le secteur privé, pilier du financement public

L’analyse de la contribution fiscale révèle le rôle central des entreprises privées dans le financement de l’État. Ces entreprises assurent en moyenne près de 53 % des recettes fiscales totales, incluant l’impôt sur les sociétés à hauteur de 13,24 %, la taxe sur la valeur ajoutée collectée représentant près de 28 % et l’impôt sur le revenu retenu à la source pour environ 11 %. Toutefois, le nombre d’entreprises déclarantes a chuté de 8,3% entre 2023 et 2024, passant de 113 137 à 103 756 unités, révélant une érosion de la base imposable.

Les entreprises privées dominent également la création de richesse avec une valeur ajoutée de 90 772 millions de dinars en 2024, soit 58,69 % du total, contre 10,52 % pour les entreprises publiques. Sur le plan de l’investissement, le secteur privé représente 79,21 % de la formation brute de capital fixe des entreprises avec une moyenne de 10 512,9 millions de dinars sur la période 2020-2024.

Le fardeau des entreprises publiques

Le contraste avec les entreprises publiques est saisissant. Entre 2020 et 2024, leurs flux budgétaires nets demeurent négatifs. En 2022, l’écart entre les transferts reçus de l’État, soit 14 560,6 millions de dinars, et les paiements effectués au profit du budget, soit 7 620,8 millions de dinars, représentait 62,7 % du déficit budgétaire. L’écart moyen sur la période avoisine 2 338,6 millions de dinars par an, soit 22,13 % du déficit budgétaire moyen.

La rémunération annuelle moyenne d’un travailleur des entreprises publiques atteint 45 217 dinars. Tandis que les subventions publiques moyennes s’élèvent à 9 809 millions de dinars par an pour un déficit agrégé de près de 2 981 millions de dinars. Les entreprises publiques n’emploient que 106 879 personnes, soit 4,05 % de l’emploi formel, et leur taux d’investissement de 14,6 % reste inférieur de trois points à la moyenne nationale.

Disparités régionales persistantes

L’examen des dix dernières délégations en termes d’indice de développement régional pour les années 2021 et 2024 met en lumière un déséquilibre territorial profond. Les délégations concernées se situent presque exclusivement dans les gouvernorats de Kasserine, Kairouan, Jendouba, Sidi Bouzid et Gafsa. Le constat montre que l’impact des entreprises dépend moins du nombre total d’unités que de la présence d’un noyau de petites et moyennes entreprises employeuses et de grandes entreprises structurantes.

Des délégations comptant entre 2 000 et 3 600 unités de production mais sans petites et moyennes entreprises matures ni grandes entreprises restent en bas du classement. Tandis que celles disposant d’un noyau de petites et moyennes entreprises avec des effectifs de 50 à 100 emplois ou plus améliorent rapidement leurs indicateurs. Et ce, particulièrement lorsqu’une grande entreprise ancre des chaînes de valeur locales.

L’industrie manufacturière en difficulté

En 2022, le salaire annuel moyen dans l’industrie manufacturière s’élève à 12 886 dinars par travailleur, variant de 8 477 dinars dans l’habillement à 29 438 dinars dans le raffinage. Les grandes entreprises manufacturières conservent un poids déterminant avec 43 % de l’emploi salarié privé et 18 % de la valeur ajoutée marchande.

Les indicateurs d’efficacité du capital révèlent cependant des signaux préoccupants. Entre 2018 et 2022, le coefficient du capital a reculé dans la quasi-totalité des branches industrielles, passant de 0,27 à 0,248 dans l’agroalimentaire, de 0,40 à 0,33 dans le textile-habillement et de 0,49 à 0,40 dans l’industrie chimique. Ces baisses traduisent un désinvestissement relatif dans plusieurs branches, accentué par la faiblesse de la demande interne et les tensions de trésorerie.

Le stock de capital moyen par entreprise confirme ces écarts structurels avec : 457 447 dinars pour l’industrie chimique; 335 579 dinars pour l’agroalimentaire; et seulement 159 890 dinars pour le textile-habillement. Reflétant ainsi la nature main-d’œuvre intensive de ce segment.

Trois priorités pour un nouveau pacte productif

Face à ces constats, le rapport préconise un nouveau pacte productif articulant trois priorités majeures. La première consiste à renforcer la productivité et la taille critique du secteur privé. Et ce, en soutenant la montée en gamme des microentreprises vers le statut de petites et moyennes entreprises innovantes. Cette transition suppose d’élargir l’assiette de l’impôt sur les sociétés par la formalisation des microentreprises, de digitaliser la fiscalité et de lutter plus efficacement contre la sous-déclaration et la concurrence informelle. L’amélioration de l’accès au financement et à l’innovation pour les petites et moyennes entreprises constitue également un levier essentiel.

La deuxième priorité porte sur la réforme de la gouvernance et de la performance des entreprises publiques pour réduire leur charge budgétaire. La nécessité de repenser la viabilité financière de ces entreprises, dont la contribution nette au budget demeure négative, apparaît indispensable pour préserver la soutenabilité budgétaire du modèle économique tunisien.

La troisième priorité vise à stimuler l’investissement industriel et technologique, condition indispensable d’une croissance inclusive et durable. Le rapport recommande de relancer l’investissement productif, de renforcer la capacité d’innovation et de stimuler la montée en gamme technologique afin d’enrayer la dégradation du capital productif et de réduire la dépendance à la main-d’œuvre à bas coût. La modernisation du tissu industriel apparaît donc comme une condition essentielle pour consolider la croissance, améliorer la compétitivité externe et soutenir la soutenabilité fiscale du pays. Le renforcement des passerelles entre petites et moyennes entreprises et grandes structures permettrait de favoriser une intégration productive et une croissance plus équilibrée entre les régions.

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Pourquoi AKDITAL a-t-elle choisi la Tunisie ? 

25. Dezember 2025 um 14:55

Le groupe marocain de santé AKDITAL a signé un protocole d’accord pour acquérir la totalité du capital du groupe hospitalier tunisien, Taoufik Hospitals Group (THG). La transaction, qui représente un montant de 90 millions de dollars, constitue la première implantation d’AKDITAL en Afrique du Nord en dehors du Maroc.

 

Pourquoi ce choix de la Tunisie pour investir dans ce secteur vital ? L’analyse de cette acquisition révèle une démarche qui dépasse les aspects purement financiers.

 

Un marché à fort potentiel

Le Maroc perçoit la Tunisie en tant que marché porteur et complémentaire, y compris dans le secteur de la santé. Notre écosystème de santé est doté d’un capital humain qualifié, aussi bien en médecins qu’en personnel paramédical, mais dont l’infrastructure publique souffre de sous-investissement chronique et d’une gestion souvent complexe. Cette réalité crée une fenêtre d’opportunité pour des investissements dans des cliniques privées de moyenne et haute gamme, notamment dans des spécialités à forte valeur ajoutée là où la demande dépasse l’offre publique.

 

Lire aussi: AKDITAL acquiert Taoufik Hospitals Group pour 90 millions de dollars

 

Parallèlement, le savoir-faire marocain en matière de gestion d’infrastructures hospitalières, développé via des partenariats public-privé comme ceux des Centres Hospitaliers Universitaires de Rabat ou Marrakech, est un produit exportable que des consortiums marocains proposent pour moderniser la gestion d’établissements tunisiens, améliorant leur efficacité et leur rentabilité.

 

Une dose politique 

D’un point de vue géostratégique, l’investissement dans la santé tunisienne s’inscrit dans une volonté plus large du Maroc d’affirmer son leadership et son rôle de hub régional, notamment face à d’autres puissances présentes dans cet espace. Le Royaume chérifien ne considère pas la Tunisie comme un simple marché, mais comme un maillon essentiel dans une chaîne de valeur sanitaire maghrébine qu’il aspire à structurer. En s’implantant solidement en Tunisie, le Maroc renforce sa position face à des concurrents directs comme la Turquie ou les pays du Golfe qui investissent massivement dans la santé en Afrique.

 

L’objectif sous-jacent est de créer une forme d’interdépendance économique positive et de faire du modèle marocain de santé, qui est un mélange de public, de privé et de digitalisation, une référence dans la région. Cette approche sert également un objectif de soft power : en contribuant à améliorer l’accès aux soins en Tunisie, le Maroc renforce son image de partenaire solidaire et fiable, ce qui a des retombées politiques et diplomatiques positives dans un contexte régional parfois marqué par des tensions.

 

Une opportunité pour la Tunisie

La dimension de coopération Sud-Sud est également présente. La pandémie de COVID-19 a brutalement exposé la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement médicales et la dépendance des pays du Maghreb vis-à-vis des fournisseurs extérieurs. Cet événement a catalysé une prise de conscience quant à la nécessité de construire une autonomie stratégique régionale dans le domaine de la santé.

 

Le Maroc, qui a développé une plateforme nationale de production de vaccins et renforcé ses capacités en dispositifs médicaux, voit dans une collaboration avec la Tunisie un moyen de mutualiser les compétences, les capacités de production et les réseaux de distribution.

 

Aktidal cherche à concrétiser une telle intégration, en passant par la création d’un pool régional d’achat de médicaments pour négocier de meilleurs prix et le développement de projets de recherche conjoints sur les maladies endémiques. Pour la Tunisie, dont le système public est financièrement asphyxié, un tel partenariat pourrait offrir des solutions alternatives pour améliorer l’accès à des technologies de diagnostic à des coûts maîtrisés, sans dépendre exclusivement de l’aide ou des importations en devises fortes.

 

Défis de taille

Cependant, cette stratégie ambitieuse se heurte à des défis et des sensibilités politiques notables qui en conditionnent le succès. En Tunisie, le secteur de la santé reste perçu comme un pilier de la souveraineté nationale et un droit fondamental garanti par l’État. Toute forme de privatisation, a fortiori portée par des capitaux étrangers, peut susciter des résistances au sein de la société civile, des syndicats puissants du secteur médical, et d’une partie de la classe politique, qui y verrait une forme de démantèlement d’un service public déjà fragile.

 

Par ailleurs, le Maroc doit composer avec la présence d’autres acteurs, notamment l’Algérie qui pourrait voir d’un mauvais œil une expansion économique marocaine perçue comme trop forte dans son voisinage oriental. Le vrai challenge est donc de transformer cette opportunité économique en un partenariat stratégique équilibré, perçu comme mutuellement bénéfique et contribuant à la résilience sanitaire de toute la région face aux crises futures.

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Affaire Epstein : La justice américaine prépare la divulgation de plus d’un million de documents

25. Dezember 2025 um 15:01

La justice américaine affirme détenir une masse inédite de documents liés à l’affaire Jeffrey Epstein, dont la publication pourrait bouleverser les équilibres politiques à Washington. Malgré une échéance fixée par le Congrès, la diffusion intégrale du dossier est une nouvelle fois repoussée. L’opposition démocrate dénonce une stratégie d’obstruction de l’exécutif.

Le département de la Justice annonce examiner plus d’un million de documents supplémentaires susceptibles d’être liés à l’affaire Jeffrey Epstein. Leur publication, attendue depuis plusieurs semaines, n’interviendrait pas avant un nouveau délai indéterminé, en dépit d’une injonction formelle du Congrès.

Une révélation judiciaire de grande ampleur

Selon le ministère de la Justice, un procureur fédéral de New York et le FBI ont récemment identifié un volume massif de pièces encore non exploitées : documents administratifs, échanges écrits, photographies et éléments d’enquête. L’ampleur du matériel impose, selon les autorités, un travail de vérification et de traitement préalable avant toute diffusion publique.

Le ministère assure vouloir rendre ces documents accessibles « le plus rapidement possible », tout en reconnaissant que la quantité exceptionnelle du dossier pourrait retarder leur publication de plusieurs semaines supplémentaires.

Pressions politiques et accusations de rétention

Cette annonce intervient dans un climat de fortes tensions politiques. Les élus démocrates accusent l’administration Trump de livrer les documents au compte-goutte, après des caviardages jugés excessifs. Une loi votée à une large majorité bipartisane impose pourtant la publication complète du dossier Epstein, une obligation que l’exécutif n’a pas respectée dans les délais fixés par le Congrès.

La date butoir avait été arrêtée au 19 décembre, sans qu’elle ne soit honorée. Cette situation alimente les soupçons d’une volonté de limiter les dégâts politiques liés à cette affaire sensible.

Un dossier qui embarrasse le sommet de l’État

Les premières vagues de documents déjà rendues publiques ont mis en évidence l’étendue du réseau de relations entretenu par Jeffrey Epstein, financier américain poursuivi pour exploitation sexuelle de mineures et retrouvé mort en détention en 2019 avant son procès.

Plusieurs éléments ont ravivé la controverse autour de la proximité passée entre Epstein et Donald Trump, notamment des échanges internes évoquant des déplacements à bord de l’avion privé du financier. Le président américain n’a jamais été mis en cause pénalement dans ce dossier, mais ses tentatives répétées pour freiner la publication ont suscité des critiques, y compris dans son propre camp.

Au-delà des rivalités partisanes, la publication intégrale du dossier Epstein est désormais perçue comme un test majeur de transparence institutionnelle aux États-Unis. Le volume inédit de documents encore détenus par la justice laisse présager de nouvelles révélations, susceptibles de provoquer de profondes secousses politiques et judiciaires.

The US Attorney for the Southern District of New York and the FBI have informed the Department of Justice that they have uncovered over a million more documents potentially related to the Jeffrey Epstein case. The DOJ has received these documents from SDNY and the FBI to review…

— U.S. Department of Justice (@TheJusticeDept) December 24, 2025

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Huile d’olive : La colère des agriculteurs face à un prix jugé intenable

25. Dezember 2025 um 14:31

La fixation d’un prix de référence de 10 dinars le kilo pour l’huile d’olive au niveau des huileries déclenche une vive contestation chez les producteurs. Le Syndicat des agriculteurs tunisiens dénonce une décision qu’il juge déconnectée des coûts réels et avertit des risques sérieux pour l’avenir de la filière oléicole.

La décision conjointe des ministères de l’Agriculture et du Commerce d’instaurer un prix de référence mobile pour l’huile d’olive continue de susciter de vives réactions. Aujourd’hui, sur les ondes d’Express fm, le président du Syndicat des agriculteurs tunisiens (Synagri), Midani Dhaoui, a publiquement critiqué cette mesure, estimant qu’elle accentue les tensions au sein de la filière. Selon lui, le prix arrêté ne reflète ni la réalité des coûts de production ni les équilibres économiques du secteur.

Une décision qui fracture la filière

Pour le Synagri, la fixation du prix à 10 dinars le kilo au niveau des huileries a créé un climat de crispation inédit entre agriculteurs et propriétaires d’huileries. Midani Dhaoui affirme que cette situation a conduit certaines unités de transformation à refuser la réception des olives, paralysant partiellement la campagne oléicole dans plusieurs régions. Il dénonce une mesure « improvisée » qui n’a pas fait l’objet d’une concertation globale avec l’ensemble des acteurs concernés.

Le cœur du désaccord réside dans l’écart entre le prix de référence fixé et les coûts réels supportés par les agriculteurs. Le président du syndicat souligne que la majorité de la production actuelle provient désormais de cultures irriguées, nettement plus coûteuses en raison de la hausse des intrants, de l’énergie et de la main-d’œuvre.

Dans ces conditions, le prix annoncé ne permettrait pas de couvrir les frais engagés, faisant peser l’essentiel de l’effort financier sur le seul producteur. Il estime que le prix réel devrait se situer à pas moins de 14 dinars le kilogramme, et ce, afin d’absorber les coûts de production, de transformation et de commercialisation.

Inquiétudes sur l’avenir de l’oliveraie tunisienne

Midani Dhaoui a également pointé la faible valorisation de l’huile d’olive tunisienne sur les marchés internationaux. Malgré une qualité reconnue parmi les meilleures au monde, le produit tunisien demeure, selon lui, vendu à des prix inférieurs à ceux de nombreux concurrents. Il attribue cette situation à des politiques conjoncturelles et à des décisions prises dans l’urgence, sans vision stratégique à long terme.

Au-delà de la conjoncture actuelle, le syndicat s’inquiète pour la pérennité d’un patrimoine agricole estimé à près de 120 millions d’oliviers. En l’absence de politiques proactives garantissant une rémunération équitable des producteurs, Midani Dhaoui redoute un désengagement progressif des agriculteurs et une fragilisation durable de la filière, pourtant centrale pour l’économie nationale et les exportations.

Appel à une révision des prix

Face à cette situation, le président du Synagri appelle les autorités à revoir leur approche et à fixer des prix « réels », alignés sur les coûts de production. Il estime qu’assurer aux agriculteurs des revenus décents constitue une condition indispensable pour préserver la filière, apaiser les tensions avec les huileries et maintenir la compétitivité de l’huile d’olive tunisienne sur les marchés internationaux.

Les ministères de l’Agriculture et du Commerce, ont conjointement annoncé, mardi 23 décembre 2025, l’instauration d’un prix de référence mobile pour l’huile d’olive au niveau des huileries. Ce prix est fixé à 10 dinars le kilogramme pour la campagne agricole 2025–2026.

Selon ce communiqué, cette mesure vise à encadrer le marché de l’huile d’olive et à garantir le bon déroulement du processus de récolte et de transformation des olives. Elle cherche également à préserver l’équilibre de la filière et à protéger les intérêts de tous les acteurs, en particulier les petits producteurs.

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