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Ooredoo lance Ooredoo Fintech et accélère sa stratégie numérique

Von: hechmi
17. Oktober 2025 um 12:11

OOredoo FinTechOoredoo a inauguré le nouveau bâtiment de sa filiale Ooredoo Fintech lors d’une cérémonie en présence de plusieurs dirigeants du groupe. L’événement s’est tenu en présence de Sheikh Ali Bin Jabor Bin Mohammad Al Thani, PDG de Ooredoo Qatar, Ahmad Al-Neama, PDG régional du groupe, Dr. Hamad Y. M. Al Nuaimi, Saad Subah Al-Kuwari, Bassam Al-Ibrahim et Michelangelo Mirko Giacco, PDG d’Ooredoo Fintech.

Un jalon stratégique pour le groupe

Cette inauguration symbolise une étape clé dans la stratégie régionale d’Ooredoo. Elle s’inscrit dans la volonté du groupe d’étendre ses activités au-delà des télécommunications, vers les services financiers numériques. La création d’Ooredoo Fintech marque la préparation du lancement officiel de la filiale en Tunisie, prévu pour 2026.

Vers une inclusion financière élargie

Le projet vise à introduire des solutions de paiement et de gestion financière numériques adaptées au marché tunisien. Selon le groupe, ces services doivent renforcer l’inclusion financière, soutenir la digitalisation des entreprises et favoriser l’autonomisation des particuliers.

Un appui à la transformation numérique du pays

Ooredoo Fintech ambitionne de jouer un rôle moteur dans la transformation digitale de l’économie tunisienne. Le lancement prévu en 2026 devrait accompagner les politiques publiques de modernisation du secteur financier et contribuer à la croissance de l’écosystème numérique local.

 

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Tunisie : la 7e édition du Forum arabe sur la gouvernance met en avant l’intelligence artificielle et la transparence

14. Oktober 2025 um 15:33

La digitalisation, outil fondamental pour réformer la gouvernance et moderniser les systèmes de contrôle, était au cœur des interventions ce mardi lors de la deuxième journée de la 7e édition du Forum arabe sur la gouvernance, qui se tient à Tunis.

Lors de la séance d’ouverture lundi, les intervenants ont unanimement souligné le rôle central de la transformation numérique. Le président du Haut comité de contrôle administratif et financier (HCCAF), Imed Hazgui a mis en avant l’importance de la digitalisation pour développer le contrôle et renforcer la transparence, évoquant des projets stratégiques du HCCAF pour une approche proactive des risques.

La directrice générale de l’École nationale d’administration (ENA), Khaoula Abidi, a pour sa part présenté la digitalisation comme un « instrument fondamental de toute réforme institutionnelle ».

Elle a précisé que le contrôle numérique est un « outil proactif pour améliorer la qualité de la décision administrative » et a insisté sur le fait que cette transformation dépasse la simple modernisation technique pour englober un « changement culturel et intellectuel ».

Le directeur général de l’Organisation arabe pour le développement administratif (OADA), Nasser Al-Hatlan Al-Qahtani, a appelé à la mise en place de « systèmes de contrôle intelligents » s’appuyant sur l’intelligence artificielle, le Big Data et la blockchain pour garantir l’intégrité et la protection des deniers publics. Il a qualifié le forum de « plateforme arabe d’échange d’expériences » pour anticiper l’avenir de la gouvernance numérique.

Organisé par l’OADA en collaboration avec l’ENA et l’Académie internationale de la bonne gouvernance, le forum aborde pendant deux jours des thèmes tels que l’impact de la transformation numérique sur le contrôle, la protection des données, le rôle de l’IA et l’utilisation des systèmes ERP pour le contrôle financier.

Cet événement, organisé pour la quatrième année consécutive en Tunisie, est l’une des principales plateformes arabes dédiées aux concepts de gouvernance et à leur rôle dans l’amélioration de la performance administrative.

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Fin de la démocratie | Vers une gouvernance algorithmique ?

12. Oktober 2025 um 12:43

Depuis deux mille cinq cents ans, le mot démocratie incarne l’idéal politique par excellence. Héritée d’Athènes, elle fut pensée comme le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple — une définition que Lincoln a reprise à son compte en 1863. Mais à l’ère du numérique, les jeunes génies de la Silicon Valley, baignés dans la culture des data et des algorithmes prédictifs, remettent en cause cette conception. À leurs yeux, la démocratie représentative est lente, irrationnelle et inefficace face à des crises globales (écologiques, économiques, sanitaires) qui exigent des réponses rapides et fondées sur des données massives.

Zouhaïr Ben Amor *

L’idée d’une gouvernance algorithmique, bien que futuriste, est déjà présente dans les travaux de chercheurs tels que Shoshana Zuboff (The Age of Surveillance Capitalism, 2019) et Yuval Noah Harari (Homo Deus, 2015), qui envisagent un monde où la donnée devient un nouvel instrument de pouvoir. Cette «technocratie numérique» n’est plus une fiction, mais un horizon politique envisagé dans les laboratoires californiens, entre une réunion chez OpenAI et un colloque chez Palantir.

I. Le procès de la démocratie

Pour les jeunes ingénieurs de la Silicon Valley, la démocratie est malade. Les taux d’abstention records, la polarisation idéologique, la lenteur législative et la désinformation sur les réseaux sociaux en sont les symptômes les plus visibles. Le politologue Pierre Rosanvallon (La légitimité démocratique, 2008) avait déjà diagnostiqué cette crise de confiance, montrant comment la démocratie représentative s’érode sous le poids de la défiance et du populisme.

Ces nouveaux techno-réformateurs considèrent que la «voix du peuple» exprimée par le vote est obsolète face à la puissance des algorithmes capables de capter nos comportements en continu. Le philosophe Bernard Manin (Principes du gouvernement représentatif, 1995) rappelait pourtant que l’élection repose sur une confiance symbolique, non sur la pure rationalité. Or les Jeunots Génies veulent substituer à cette confiance une mesure permanente des désirs collectifs, comme s’il suffisait d’observer pour comprendre.

Leur critique n’est pas sans fondement : les scandales de corruption et la manipulation électorale (Cambridge Analytica, 2018) ont montré les limites d’un système vulnérable à la désinformation. Mais en voulant remplacer la délibération par la modélisation, ces ingénieurs risquent de réduire la politique à un problème d’optimisation mathématique, oubliant que, selon Hannah Arendt (La Condition de l’homme moderne, 1958), la politique est avant tout un espace d’action et de parole, non de calcul.

II. Une gouvernance par l’algorithme

Le projet des Jeunots Génies est clair : créer une gouvernance où l’intelligence artificielle (IA) remplace la représentation. Chaque citoyen serait un flux de données – ses achats, ses déplacements, ses interactions – analysé pour produire une image fidèle de la volonté collective. L’IA deviendrait un arbitre omniscient, garantissant la justice et l’efficacité.

Cette vision s’inscrit dans la logique du dataïsme décrite par Harari (Homo Deus, chap. 11) : la croyance selon laquelle les données représentent mieux la réalité que les récits humains. En s’appuyant sur des technologies comme la blockchain et l’apprentissage profond (deep learning), l’IA pourrait proposer des politiques fiscales, écologiques ou sanitaires « optimales », basées sur des indicateurs en temps réel.

Mais cette idée rejoint la cybernétique politique imaginée par Norbert Wiener dès 1948, où le contrôle des flux d’information remplace le débat humain. Evgeny Morozov (To Save Everything, Click Here, 2013) met pourtant en garde contre cette illusion du solutionnisme technologique : croire que la technologie peut résoudre les problèmes politiques en les dépolitisant.

Le danger est que cette IA devienne non plus un outil, mais un souverain algorithmique. Qui programmera ses valeurs ? Qui contrôlera ses priorités ? Comme l’a souligné Nick Bostrom (Superintelligence, 2014), une IA dotée d’un pouvoir de décision pourrait rapidement échapper au contrôle humain, transformant la gouvernance en une forme inédite de despotisme numérique.

III. Utopie ou dystopie ?

Le rêve d’une rationalité parfaite se heurte à la question du libre arbitre. Si la machine devine nos désirs avant nous, que devient la liberté ? L’éthique de l’IA, développée notamment par Luciano Floridi (The Ethics of Information, 2013), rappelle que toute donnée est une interprétation : elle n’est ni neutre ni objective. L’IA reproduit les biais de ses concepteurs (bias-in, bias-out).

L’élimination du débat public, de la contradiction et du conflit risquerait d’abolir ce qui fonde la démocratie : la pluralité. Jacques Rancière (La Mésentente, 1995) montre que la démocratie est précisément l’espace du désaccord, où la parole du peuple surgit contre l’ordre établi. La remplacer par un consensus algorithmique reviendrait à instaurer une police des comportements.

De plus, la gouvernance algorithmique pourrait accentuer les inégalités de pouvoir. Comme l’a démontré Cathy O’Neil (Weapons of Math Destruction, 2016), les algorithmes prétendument neutres renforcent souvent les discriminations qu’ils sont censés éliminer. L’utopie d’une justice automatisée vire ainsi à la dystopie technocratique.

IV. Vers un modèle hybride ?

Face à ces dérives potentielles, certains chercheurs envisagent une voie médiane : une démocratie augmentée par l’IA, mais non remplacée par elle. Ce modèle rejoint les réflexions d’Antoinette Rouvroy et Thomas Berns (Le gouvernement algorithmique et la politique des affects, 2013), selon lesquels l’IA peut contribuer à la décision publique, à condition que la transparence et la responsabilité soient assurées.

L’IA deviendrait alors un auxiliaire : elle simule les scénarios, aide à anticiper les crises, éclaire les citoyens. Les élus deviendraient des médiateurs entre le savoir algorithmique et la volonté populaire. Ce modèle rappelle le concept d’«intelligence collective» cher à Pierre Lévy (L’intelligence collective, 1994), où la technologie amplifie la réflexion humaine sans la remplacer.

Mais un tel projet exige une révolution éducative et éthique. Comme le souligne Timnit Gebru (2020), cofondatrice de Black in AI, sans diversité culturelle et contrôle citoyen, aucune IA ne peut prétendre servir l’humanité. L’éducation au raisonnement critique et à la donnée deviendra alors un pilier de la citoyenneté numérique.

Conclusion

Les Jeunots Génies ont raison sur un point : la démocratie athénienne, dans sa forme actuelle, ne suffit plus à gérer la complexité du monde. Cependant, vouloir substituer la machine à l’homme revient à oublier que la démocratie n’est pas une méthode de calcul, mais un projet moral. Claude Lefort (L’invention démocratique, 1981) rappelait que la démocratie repose sur un vide symbolique : nul ne détient le pouvoir en propre, il se négocie en permanence. Or, l’algorithme, en prétendant incarner la vérité, referme cet espace du vide et du débat.

Ainsi, entre l’idéalisme athénien et le pragmatisme algorithmique, la voie à inventer est celle d’une démocratie éclairée par la technologie, mais guidée par des valeurs humaines : liberté, pluralité, responsabilité. La question n’est pas de savoir si l’IA remplacera la démocratie, mais comment elle peut l’aider à se réinventer sans la trahir.

Bibliographie sélective :

  • Arendt, H. La Condition de l’homme moderne, Calmann-Lévy, 1958.
  • Bostrom, N. Superintelligence: Paths, Dangers, Strategies, Oxford University Press, 2014.
  • Floridi, L. The Ethics of Information, Oxford University Press, 2013.
  • Harari, Y. N. Homo Deus, Albin Michel, 2017.
  • Lefort, C. L’invention démocratique, Fayard, 1981.
  • Manin, B. Principes du gouvernement représentatif, Flammarion, 1995.
  • Morozov, E. To Save Everything, Click Here, PublicAffairs, 2013.
  • O’Neil, C. Weapons of Math Destruction, Crown, 2016.
  • Rancière, J. La Mésentente, Galilée, 1995.
  • Rosanvallon, P. La légitimité démocratique, Seuil, 2008.
  • Rouvroy, A. & Berns, T. Le gouvernement algorithmique et la politique des affects, Presses Universitaires de Namur, 2013.
  • Wiener, N. Cybernetics: Or Control and Communication in the Animal and the Machine, MIT Press, 1948.
  • Zuboff, S. The Age of Surveillance Capitalism, Profile Books, 2019.

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Opportunités et risques pour les investisseurs en Tunisie

05. Oktober 2025 um 09:33

Nous publions ci-dessous la traduction française de la synthèse du rapport 2025 Tunisie réalisé par Africa Risk Control (ARC), une agence spécialisée dans l’analyse et le conseil en risque d’investissement en Afrique.  

La Tunisie, pays d’Afrique du Nord de 12,4 millions d’habitants avec un PIB nominal de 53,4 milliards de dollars US en 2024, offre une combinaison unique d’avantages stratégiques et de potentiel d’investissement. Sa proximité avec l’Europe, une main-d’œuvre jeune et instruite, ainsi qu’un tissu industriel diversifié, créent des opportunités dans de multiples secteurs. Les principaux secteurs d’investissement comprennent les énergies renouvelables, les TIC et l’économie numérique, l’agroalimentaire, le tourisme, l’industrie manufacturière et la fintech.

Un vivier de talents

Dans le domaine des énergies renouvelables, la Tunisie vise un mix énergétique propre de 35 % d’ici 2030, en exploitant ses abondantes ressources solaires et éoliennes. Les incitations gouvernementales, les financements de l’Union européenne (UE) et les allégements fiscaux accordés aux producteurs indépendants d’électricité (IPP) font de la Tunisie un pôle d’énergie verte. Le secteur des TIC bénéficie d’un vivier de talents solide et d’un écosystème de startups en pleine expansion, illustré par des entreprises mondialement reconnues comme InstaDeep.

L’agroalimentaire offre des opportunités dans les secteurs de l’huile d’olive, des dattes et de la transformation alimentaire à valeur ajoutée, soutenues par des accords commerciaux favorables avec l’UE et une demande intérieure en hausse.

Le tourisme connaît une reprise constante, avec un potentiel dépassant les destinations balnéaires traditionnelles, notamment le tourisme désertique, culturel et de bien-être.

L’industrie manufacturière offre une plateforme rentable pour les exportations européennes et régionales, tandis que la fintech connaît une expansion rapide, portée par la forte pénétration des smartphones et les initiatives d’inclusion financière.

Les principaux acteurs de l’économie tunisienne, tels que la Société Tunisienne de Banque (STB), la Société des Ciments de Bizerte (SCB) et TE H2, la société d’hydrogène vert de TotalEnergies, illustrent les capacités industrielles et financières du pays. Leur croissance continue reflète à la fois le potentiel du marché et l’orientation stratégique du gouvernement tunisien.

Une fragilité macroéconomique

Cependant, investir en Tunisie n’est pas sans risques. La fragilité macroéconomique, notamment la dette publique et l’inflation élevées, l’instabilité politique et sociale, les défis sectoriels et les obstacles opérationnels nécessitent une atténuation rigoureuse.

Les investisseurs doivent adopter des stratégies globales de gestion des risques, s’associer à des partenaires locaux et recourir à des contrats en devises fortes ou à un déploiement progressif des capitaux pour protéger leurs investissements.

Africa Risk Control (ARC) offre aux investisseurs les outils nécessaires pour relever ces défis. Grâce à des analyses sectorielles détaillées, des audits préalables sur les cadres réglementaires et la sélection des partenaires, ARC permet aux investisseurs de prendre des décisions éclairées et de minimiser leur exposition. En combinant les secteurs à fort potentiel de la Tunisie avec une veille stratégique, les investisseurs peuvent capitaliser stratégiquement sur les opportunités tout en atténuant les risques.

Découvrez l’analyse complète des investissements d’ARC Tunisie pour accéder à des informations exploitables, à des données sectorielles détaillées et à des conseils sur la sélection des bons partenaires, transformant le potentiel stratégique de la Tunisie en investissements rentables et à faible risque.

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Ooredoo AI Summit à Tunis : L’IA au service de la transformation numérique

02. Oktober 2025 um 15:45

Tunis a accueilli, lundi, la première édition du Ooredoo AI Summit, une rencontre rassemblant décideurs politiques, chefs d’entreprises, startups et experts technologiques autour d’un enjeu central : accélérer la transition numérique de la Tunisie grâce à l’intelligence artificielle.

L’événement a été marqué par la présence du ministre des Technologies de la Communication, Sofiene Hemissi, du CEO du Groupe Ooredoo, Aziz Aluthman Fakhroo, et de dirigeants internationaux du groupe.

L’IA comme levier de souveraineté et de croissance

En ouverture, le ministre Sofiene Hemissi a insisté sur la dimension stratégique de l’intelligence artificielle pour la Tunisie :

« Renforcer la souveraineté numérique, autonomiser les jeunes et stimuler une croissance inclusive ».

Il a salué l’initiative de Ooredoo, qui positionne la Tunisie comme un acteur majeur de l’écosystème régional.

De son côté, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a annoncé une ambition claire :

« Chez Ooredoo, nous croyons que l’intelligence artificielle est un puissant levier d’inclusion, d’innovation et de progrès. Notre ambition est de placer la Tunisie au centre de la révolution numérique mondiale en investissant dans des infrastructures prêtes pour l’IA, en soutenant les startups et les entreprises, et en collaborant avec des leaders mondiaux tels que NVIDIA pour bâtir un écosystème robuste et tourné vers l’avenir. »

Une alliance stratégique avec NVIDIA

Moment fort du sommet : Ooredoo a officialisé son partenariat avec NVIDIA pour l’acquisition de GPU haute performance. Cette infrastructure offrira aux startups, au gouvernement et aux clients professionnels un accès à des capacités souveraines d’IA-as-a-Service. Objectif : stimuler l’innovation et accélérer le lancement de nouveaux services sur le marché tunisien.

Des figures clés de l’écosystème ont pris part aux panels, dont Karim Beguir (InstaDeep), qui a partagé son parcours d’innovation « made in Tunisia », et Ahmed Mostafa (NVIDIA), qui a souligné l’importance de démocratiser l’accès à l’IA. Google, Decathlon, Lloyd Insurance, UBCI et d’autres acteurs ont enrichi le débat sur la gouvernance, la durabilité et les opportunités économiques de l’IA en Tunisie.

Une feuille de route pour l’avenir

Ooredoo a annoncé une série d’initiatives : hackathons, programmes de formation, journées thématiques sur l’IA verticale et projets collaboratifs avec des institutions locales. Déjà, l’opérateur déploie des cas d’usage d’IA agentique dans ses services, une première en Tunisie.

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Tunisie : 15 hôpitaux régionaux rejoignent la téléradiologie et 16 la téléconsultation

26. September 2025 um 20:17

Lors de la réunion périodique des directeurs régionaux de la santé, tenue du 22 au 24 septembre à Tabarka, le ministère de la Santé a annoncé l’intégration de 15 hôpitaux régionaux au système de téléradiologie et de 16 hôpitaux régionaux au système de téléconsultation. Ces mesures visent à moderniser les infrastructures médicales et à améliorer l’accès aux soins spécialisés.

Modernisation du réseau hospitalier

Cette décision s’inscrit dans la stratégie de digitalisation du secteur de la santé. Grâce à la téléradiologie, les établissements régionaux pourront transmettre et analyser à distance des examens médicaux, réduisant ainsi les délais de diagnostic. La téléconsultation permettra, quant à elle, de faciliter l’accès aux spécialistes pour les patients situés dans les régions éloignées.

La rencontre de Tabarka, organisée en coordination avec le Bureau de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Tunis, a permis d’aborder d’autres thèmes : la gestion des achats publics de santé sous la supervision d’experts, ainsi que la situation épidémique nationale et mondiale.

Santé numérique et surveillance épidémiologique

En marge des travaux, une présentation a porté sur la plateforme de vigilance épidémiologique EPIRSURVEILLE et sur le projet de l’hôpital numérique, dont le succès dépendra du rôle des directions générales dans sa mise en œuvre.

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Tunisie Telecom : Fibre optique et 5G, levier de l’économie numérique nationale

16. September 2025 um 13:07

Le secteur des télécommunications tunisien entre dans une nouvelle ère avec la généralisation de la fibre optique, véritable colonne vertébrale de l’Internet très haut débit. Dans ce contexte, Tunisie Telecom déploie une stratégie ambitieuse, visant à remplacer progressivement le réseau cuivre traditionnel par un réseau moderne en fibre optique, un levier essentiel pour accélérer la transformation numérique nationale.

La Tunisie, futur hub régional des TIC

Cette transition technologique renforce la position de la Tunisie en tant que hub régional prometteur dans le domaine des technologies de l’information et de la communication. L’investissement massif dans la fibre optique constitue la base pour le développement de projets ambitieux : villes intelligentes, systèmes de transport connectés, et autres services innovants, rendus possibles uniquement grâce à une infrastructure performante et fiable.

TT, un acteur stratégique de l’économie numérique

Le passage du cuivre à la fibre optique illustre la vision stratégique à long terme de Tunisie Telecom. L’opérateur ne se limite plus à fournir des services de télécommunications : il s’impose comme un acteur clé de l’économie numérique nationale.

Cette modernisation vise non seulement à améliorer les débits pour les abonnés, mais aussi à préparer le terrain pour le déploiement de la 5G et des applications intelligentes. En décembre 2023, Tunisie Telecom a franchi une étape majeure avec le premier test de son service “GIGA RAPIDO” à 1 gigabit par seconde, confirmant son leadership dans les solutions numériques avancées.

Une couverture nationale étendue

Pour garantir une qualité optimale des services, l’opérateur a déployé plus de 60 000 km de fibre optique, couvrant l’ensemble des régions du pays. Cette infrastructure permet une connectivité fiable et performante, adaptée aussi bien aux besoins des entreprises qu’aux usages domestiques.

Une offre fibre complète et adaptée

Tunisie Telecom propose une large gamme d’offres Fibre, adaptées aux particuliers comme aux professionnels. Ces offres garantissent des débits très élevés pour des applications modernes : streaming, e-learning, télétravail, services interactifs. Les étudiants et les élèves bénéficient ainsi d’une connexion stable et performante, essentielle pour suivre les nouvelles méthodes d’apprentissage numérique.

Grâce à cette stratégie, Tunisie Telecom consolide sa position de leader et s’affirme comme un acteur incontournable dans la transition numérique de la Tunisie, ouvrant la voie à une économie digitale dynamique et innovante.

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Paiements en Tunisie : Un basculement des chèques vers lettres de change et solutions numériques

16. September 2025 um 12:39

Les moyens de paiement en Tunisie connaissent une transformation majeure, selon le dernier bulletin « Paiements en chiffres » publié par la Banque Centrale de Tunisie (BCT). Les chèques traditionnels continuent de reculer, tandis que les lettres de change, virements, cartes et paiements électroniques enregistrent des hausses significatives. Cette évolution traduit un basculement progressif vers des solutions numériques et dématérialisées, au détriment des moyens de paiement classiques.

Le nombre de lettres de change utilisées a bondi de +155% pour atteindre 2,1 millions, représentant une enveloppe globale de 25,6 milliards de dinars. A l’inverse, les chèques ont chuté de -66,8%, à 4 millions de chèques, soit un montant total de 27,6 milliards de dinars. Les virements connaissent une hausse de +9,7%, totalisant 18,5 millions d’opérations pour un montant de 37,6 milliards de dinars.

Paiements électroniques et CB en forte croissance

Plus de 77,7 millions d’opérations par cartes bancaires ont été enregistrées, mobilisant 13,8 milliards de dinars, dont 38% pour des paiements et 62% pour des retraits aux distributeurs.

Le nombre de cartes bancaires en circulation a augmenté de 5,3%, atteignant 5,782 millions de cartes. Les TPE (terminaux de paiement électronique) ont progressé de 3,6%, totalisant 40.600 appareils, tandis que les sites marchands actifs restent stables à 1127 sites.

Les paiements mobiles ont enregistré 4,2 millions de transactions pour près de 1,3 milliard de dinars, dont 59,4% pour des paiements et 33% pour des transferts.

Modernisation et projets en cours

La BCT a annoncé plusieurs projets de modernisation, notamment la refonte du système national de télécompensation, la migration vers la norme SWIFT MX, l’intégration de E-Houwiya à la plateforme Paysmart.

Ces initiatives visent à accélérer la transition vers des paiements dématérialisés, sécurisés et plus efficaces.

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Tunisie Telecom, acteur majeur dans la construction de l’économie numérique nationale

12. September 2025 um 12:13

Le secteur des télécommunications en Tunisie vit une étape charnière avec la transition vers les technologies de la fibre optique, considérée comme l’épine dorsale de l’Internet à très haut débit. Dans cette dynamique, Tunisie Telecom met en œuvre une stratégie ambitieuse reposant sur le passage progressif du réseau cuivre traditionnel vers un réseau moderne basé sur la fibre optique.

Cette évolution constitue un véritable levier pour le processus de transformation numérique nationale. Elle consolide également la position de la Tunisie en tant que hub régional prometteur dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, l’investissement dans la fibre optique formant la base solide du lancement de projets tels que les villes intelligentes et les systèmes de transport intelligents, des enjeux d’avenir qui ne peuvent être atteints sans une infrastructure avancée.

Tunisie Telecom, acteur central du numérique

Le passage de Tunisie Telecom du cuivre à la fibre optique traduit une vision stratégique à long terme qui transforme l’entreprise en bien plus qu’un simple opérateur télécom, en la positionnant comme acteur clé de la construction de l’économie numérique nationale.

Cette stratégie ne vise pas uniquement à améliorer la vitesse d’Internet pour les abonnés, mais ambitionne aussi la modernisation du réseau national, permettant ainsi le lancement de la 5G et d’applications intelligentes.

En décembre 2023, Tunisie Telecom a mené une expérience pionnière en réalisant le premier test du service « GIGA RAPIDO » à 1 gigabit par seconde, confirmant ainsi son rôle de leader dans la fourniture de solutions numériques avancées.

Une forte croissance des indicateurs

Pour offrir une qualité optimale des services Internet à tous ses clients, particuliers comme institutions publiques et privées, Tunisie Telecom a déployé plus de 60 000 km de fibre optique couvrant l’ensemble des gouvernorats du pays, sans exception.

Les services de fibre optique ont rencontré une forte adhésion, notamment grâce à la généralisation de cette technologie dans toutes les régions via la réalisation d’un projet par gouvernorat.

Une gamme variée d’offres fibre optique

Le service de fibre optique fournit aux entreprises comme aux particuliers des débits très élevés, garantissant d’excellentes performances pour diverses applications numériques. Il assure à tous les utilisateurs, et en particulier aux élèves et étudiants, une connexion stable et puissante adaptée à tous les usages numériques tels que le streaming et l’apprentissage à distance.

Tunisie Telecom propose une gamme diversifiée d’offres fibre optique à différents tarifs, afin de répondre au mieux aux attentes de sa clientèle.

Lire aussi :

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Tunisie : lancement des premières consultation médicale à distance

27. August 2025 um 19:12

Ce mercredi 27 août 2025, le Centre de l’hôpital numérique du ministère de la Santé a lancé les premières consultations dermatologiques à distance. Les patients de l’hôpital régional de Ben Guerdane (Medenine) et de l’hôpital local de Chebika (Kairouan) peuvent désormais bénéficier de ce service.

Les consultations de médecine interne à distance ont continué pour les patients de Chebika. Le Dr Sami Fneish et la Dre Huda Hammami ont assuré les téléconsultations en dermatologie. La Dre Fatma Daoud a pris en charge les patients en médecine interne depuis les services hospitaliers de l’Université Habib Thamer.

Cette expérience a connecté deux établissements simultanément. Elle marque une étape importante dans la numérisation du système de santé tunisien. Le projet facilite l’accès aux soins dans les régions éloignées et valorise l’expertise des médecins tout en utilisant les technologies modernes.

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Digitalisation : La Tunisie adopte le timbre de voyage numérique

18. August 2025 um 09:22

Le ministère des Finances a annoncé la généralisation du timbre de voyage électronique, exigé lors de la sortie du territoire tunisien. Désormais disponible en ligne, ce dispositif vise à simplifier les démarches, réduire la bureaucratie et améliorer la transparence des opérations.

Depuis octobre 2023, les voyageurs tunisiens et résidents doivent s’acquitter de la taxe de sortie, fixée à 60 dinars, via la plateforme officielle e-timbres.finances.gov.tn.

Une fois le paiement effectué, un identifiant unique de 16 chiffres est généré et envoyé par SMS ou e-mail. Ce code, valable six mois, tient lieu de justificatif aux postes frontaliers.

Le timbre numérique remplace progressivement le timbre papier, longtemps vendu dans les aéroports ou les recettes des finances. Cette transition met fin aux files d’attente et aux ruptures de stock fréquentes en période de forte affluence.

Le ministère des Finances met en avant une mesure de simplification et de modernisation. Les autorités insistent également sur l’interconnexion avec la police des frontières, qui permet de vérifier l’authenticité de chaque timbre en temps réel.

La réforme du timbre de voyage s’inscrit dans une stratégie plus large de dématérialisation des services publics. La même plateforme propose déjà d’autres timbres électroniques : inscriptions aux concours nationaux, examens scolaires ou demandes de passeport. Tous peuvent être achetés en ligne via carte bancaire ou postale.

Ce qu’il faut retenir

  • Achat en ligne via : e-timbres.finances.gov.tn
  • Prix : 60 dinars, paiement par carte bancaire ou postale
  • Réception : code de 16 chiffres par SMS ou e-mail
  • Validité : 6 mois
  • Remboursement : possible à partir d’un mois après achat, avant expiration
  • Non nominatif : peut être acheté pour un tiers

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Tunisie : Une plateforme pour localiser facilement les pharmacies de garde

13. August 2025 um 09:58

Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens a lancé une nouvelle plateforme numérique. Elle permet de gérer les services de garde des pharmacies pendant les jours fériés, les dimanches et les soirées du samedi.

Cette plateforme ne sert pas seulement à organiser les permanences. Elle offre aussi aux citoyens des informations fiables sur les pharmacies de garde. Les utilisateurs peuvent voir leur emplacement sur une carte interactive.

La plateforme est accessible ici : https://medicapp.tn/cnoptLocalisation/

Le Conseil encourage tous les pharmaciens à inscrire leurs officines. Cela aidera à mieux organiser les services de garde et à guider facilement les citoyens vers les pharmacies disponibles.

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Tunisie : Le ministère de la Santé lance un centre médical à distance

12. August 2025 um 19:44

Le ministère de la Santé a mis en place un centre médical à distance pour faciliter l’accès aux soins dans les zones rurales. Hier, il a réussi à transmettre des images médicales de trois patients depuis l’hôpital régional de Tabarka. Aujourd’hui, plus de dix examens ont été réalisés à distance pour des patients de l’hôpital local de Chebika, dans la région de Kairouan.

Ce centre aide les patients à éviter les longs déplacements. Il réduit aussi le temps d’attente et permet un diagnostic plus rapide.

Pour cela, le ministère utilise des technologies modernes et l’intelligence artificielle. Ces outils connectent les établissements de santé et rapprochent les soins des citoyens, où qu’ils habitent.

Ce projet fait partie d’un plan plus large pour moderniser le système de santé. Il veut offrir de meilleurs services tout en utilisant mieux les ressources disponibles.

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