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Heute — 16. Juni 2025Haupt-Feeds

TUNINDEX en recul : une séance morose pour les valeurs boursières

16. Juni 2025 um 17:38

Le marché boursier a entamé la semaine sur une note morose. L’indice de référence s’est délesté lundi de 0,99 % à 10 126,24 points, dans un flux bien garni de 10,7 millions de dinars, alimenté par une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 millions de dinars portant sur le titre SFBT, selon l’intermédiaire en bourse Tunisie Valeurs.

Le titre TUNINVEST s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux dérisoire de 4 mille dinars, l’action de la SICAR a signé une avancée de 3,8 % à 8,300 dinars. Le titre SOTRAPIL a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action du transporteur des hydrocarbures a inscrit une hausse de 2,9 % à 21,100 dinars. La valeur a drainé des échanges de l’ordre de 73 mille dinars.

Le titre ESSOUKNA s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du promoteur immobilier a reculé de 4,4 % à 1,730 dinars dans un volume d’échange de 13 mille dinars. Le titre Euro-Cycles a régressé de 3,8 % à 12,700 dinars. La valeur a amassé un flux de 67 mille dinars sur la séance.

Le titre SFBT a drainé le plus important volume de la séance, soit 45 % du total des échanges. L’action du spécialiste en boissons gazeuses et alcoolisées s’est effritée de 0,3 % à 12,000 dinars, en alimentant le marché avec des capitaux de 4,8 millions de dinars, grâce à une transaction de bloc d’une valeur de 4,7 millions de dinars.

Avec TAP

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Hyundai Tunisie relance le roadshow STARIA 9 Places : une tournée au service des professionnels du transport

16. Juni 2025 um 16:13

Alpha Hyundai Motor, représentant officiel de la marque sud-coréenne Hyundai en Tunisie, annonce le coup d’envoi de la deuxième édition de son roadshow national dédié au modèle Hyundai STARIA 9 Places, à partir du 11 juin 2025.

Forte du succès rencontré lors de la première édition en 2022, cette nouvelle tournée ambitionne de rapprocher encore davantage Hyundai Tunisie des acteurs du transport collectif. Elle leur propose une expérience terrain complète autour d’un véhicule conçu pour répondre à leurs exigences en matière de confort, de robustesse et de rentabilité.

STARIA 9 Places : l’allié idéal pour les professionnels

Avec son design avant-gardiste, son espace intérieur généreux et sa motorisation efficace, le Hyundai STARIA 9 Places s’impose comme un véhicule de référence dans les secteurs du transport touristique, des grands taxis et des louages.

Au programme du roadshow : essais dynamiques, démonstrations techniques et échanges directs avec les experts Hyundai. L’objectif : offrir aux chauffeurs, exploitants et partenaires l’occasion de tester les performances du véhicule dans des conditions réelles.

Les détails de l’itinéraire de la tournée, les spécificités techniques du modèle, ainsi qu’un ensemble de supports visuels sont disponibles en pièce jointe.

Une vision claire pour le transport collectif en Tunisie

« À travers ce roadshow, nous réaffirmons notre volonté d’accompagner les professionnels tunisiens avec des solutions pratiques, fiables et innovantes », souligne Mehdi Mahjoub, Directeur Général de Hyundai Tunisie.

« Le STARIA 9 Places combine ergonomie, sécurité et efficacité, tout en maîtrisant les coûts d’exploitation. C’est un outil de travail pensé pour les réalités du terrain. »

Un engagement durable et reconnu

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de Hyundai Tunisie d’accompagnement de proximité et d’amélioration continue. La marque, récemment élue “Service Client de l’Année 2025” pour la quatrième année consécutive, continue d’investir dans l’expansion de son réseau avec plus de 20 agences à travers le pays et l’ouverture de nouveaux centres de services rapides.

Hyundai Tunisie assure également la sérénité de ses clients grâce à une garantie constructeur de 5 ans, l’une des plus longues et rassurantes du marché.

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Samir Majoul : « La décarbonisation est une question de survie économique »

16. Juni 2025 um 15:31

Le président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Samir Majoul, a insisté sur la nécessité de créer un Observatoire de la décarbonisation industrielle, fruit d’un partenariat entre l’UTICA et le gouvernement. Cette structure aura pour mission de centraliser les données, les bonnes pratiques et les indicateurs de performance des entreprises engagées dans cette transition.

Cette annonce a été faite lors d’un atelier de réflexion organisé à Tunis sur le thème « Face au changement climatique : enjeux et stratégies de décarbonisation ». De même, il souligne l’urgence d’adapter les modèles industriels tunisiens aux nouvelles contraintes environnementales et commerciales.

Un impératif économique et environnemental

« La décarbonisation n’est plus une option, mais une nécessité », a déclaré Samir Majoul. Tout en rappelant que la Tunisie s’est engagée, dans le cadre de l’Accord de Paris et de ses contributions déterminées au niveau national (CDN), à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 45 % d’ici 2030.

Or, atteindre cet objectif nécessiterait une mobilisation financière de 14,4 milliards de dollars. Soit un défi de taille pour les entreprises tunisiennes, notamment les PME qui représentent l’épine dorsale de l’économie nationale.

« La réalité économique transforme la décarbonisation d’un enjeu environnemental en impératif de survie », a-t-il insisté. D’ailleurs, il évoque l’entrée en vigueur, dès 2026, du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) de l’Union européenne. Ce dispositif imposera des surcharges carbone sur les exportations tunisiennes vers l’UE, qui absorbe plus de 75 % des ventes à l’étranger du pays.

Coopération, financement et expertise locale

Pour réussir cette transition, Samir Majoul a appelé à :

  • Un dialogue public-privé pour identifier les leviers et outils nécessaires;

  • Une plateforme de financement vert dédiée aux entreprises tunisiennes;

  • Un centre d’expertise nationale en comptabilité carbone, afin de réduire la dépendance aux consultants étrangers.

Slim Jaoued, chargé de programme à la Fondation Konrad Adenauer (KAS), a abondé dans ce sens. Soulignant que la décarbonisation est une opportunité pour construire une société plus résiliente et plus juste. « Cela nécessite une intelligence collective, mobilisant experts, chercheurs, entreprises et associations », a-t-il déclaré.

Un marché carbone tunisien?

Sami Marrouki, président du Réseau Pacte Mondial Tunisie et de l’IRSET, a plaidé pour la création d’un marché carbone local, où les transactions s’effectueraient en dinars tunisiens. Il a également appelé à reporter l’application du MACF, arguant que la Tunisie n’est pas encore prête à y faire face.

Ce mécanisme européen imposera des coûts supplémentaires sur les importations de produits à forte empreinte carbone, notamment dans les secteurs du fer, de l’acier, du ciment, des engrais et de l’électricité.

Avec TAP

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Guerre Iran/Israël : l’IA, nouveau centre de gravité stratégique

16. Juni 2025 um 14:28

Le conflit entre Israël et l’Iran révèle un tournant majeur dans l’art de la guerre : la puissance ne repose plus uniquement sur l’aviation, mais sur une intégration croissante de l’intelligence artificielle (IA) dans l’ensemble des systèmes de combat, en l’occurrence missiles, drones, avions.

ParMahjoub Lotfi Belhedi*

IA : le nouveau cerveau de la guerre

L’IA révolutionne chaque segment de la guerre moderne :

  • Drones : capables d’opérer en essaim, de coordonner des frappes autonomes et de contourner les défenses ennemies. Ils s’appuient sur l’IA pour la navigation, la détection de cibles et l’attaque en temps réel.
  • Missiles hypersoniques : grâce à l’intelligence artificielle embarquée, ces armes ultra-rapides adaptent leur trajectoire en vol, rendant leur interception quasi impossible.
  • Aviation de combat : les avions de nouvelle génération intègrent des systèmes IA pour le ciblage, la communication interplateforme et la gestion des menaces en temps réel. Ils deviennent des nœuds intelligents dans un réseau de guerre interconnecté.

Vers la fin d’une hégémonie, l’avènement d’un écosystème hybride

L’aviation seule ne suffit plus. Désormais, la supériorité militaire repose sur la synergie entre aéronefs pilotés, drones autonomes et missiles intelligents, tous connectés, optimisés et coordonnés par l’IA. Cette hybridation rend la guerre plus rapide, plus mobile et moins dépendante du facteur humain.

Une guerre d’essence algorithmique

La guerre moderne bascule vers un nouveau paradigme où l’algorithme remplace la manœuvre et où la victoire se joue à la vitesse des processeurs. L’IA devient l’arme décisive à la fois invisible et prédictive dans un théâtre où missiles, drones et avions ne sont plus que des vecteurs d’intelligence.

En guise de conclusion, plutôt que de s’en tenir aux recettes militaro-stratégiques de « Sun Tzu » ou de « Clausewitz », l’IA représente une rupture avec les paradigmes traditionnels de « l’art de faire la guerre », imposant une réévaluation profonde de la nature de la stratégie et du commandement militaire.

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* Chercheur en réflexion stratégique & digitale //CEO d’un cabinet spécialisé en transformation IA

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Marokko – Was wurde aus dem „Masterplan des Königs“?

Von: maghreb
16. Juni 2025 um 12:47

KönigKönig Mohammeds VI. Vision von einem geopolitisch starken Marokko trifft auf Realitäten zwischen Pandemie, Inflation, Westsahara-Streit und neuen Allianzen Rabat – Im September 2017 erschien bei der MAGHREB-POST ein vielbeachteter Kommentar mit dem Versuch einer analytischen Abschätzung und Grundzüge dessen, was als außenpolitischer und wirtschaftlicher Masterplan von König Mohammed VI. verstanden werden konnte. Damals wurde […]

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Marokko – Waldbrandgefahr – Nationale Behörde ruft zu erhöhter Wachsamkeit auf

Von: maghreb
16. Juni 2025 um 10:46

WaldbrandDie Nationale Agentur für Wasser und Wälder (ANEF) warnt vor erhöhter Brandgefahr in weiten Teilen des Königreichs und fordert Bewohner sowie Besucher von Waldgebieten zur strikten Einhaltung von Vorsichtsmaßnahmen auf. Rabat – Angesichts der zunehmenden Waldbrandgefahr in mehreren Regionen des Landes hat die Nationale Agentur für Wasser und Wälder (ANEF) eine dringende Warnung herausgegeben. In […]

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Startups – La Tunisie dans le top 20 mondial des écosystèmes innovants!

16. Juni 2025 um 09:58

La Tunisie s’impose de plus en plus comme une terre d’innovation : selon la 13ème édition du Global Startup Ecosystem Report (GSER) publié par Startup Genome.  Elle figure parmi les 20 meilleurs écosystèmes mondiaux de startups et se positionne 3ème dans la région MENA pour l’indice de « talent abordable ».

Dévoilé lors du salon « Viva Technology 2025 » à Paris — le plus grand événement européen dédié aux startups —, ce rapport d’envergure mondiale est issu d’une analyse de données provenant de plus de 5 millions d’entreprises, couvrant 350 écosystèmes d’innovation à travers le monde. Il s’agit de la recherche la plus complète sur le sujet.

Une valeur de 113 milliards de dollars générée

Entre juillet 2022 et décembre 2024, l’écosystème tunisien a généré une valeur estimée à 113 milliards de dollars, mesurée selon les valorisations des startups et les opérations de sortie (exits). Cette performance le hisse dans le top 20 mondial.

MENA : la Tunisie, un acteur régional incontournable

En plus de sa 3ème place pour le « talent abordable », la Tunisie se distingue par :

  • Une 2ème place dans la région MENA pour le « rapport qualité/prix » (longévité du financement par levée de fonds).
  • Une présence dans le Top 10 pour l’indice « Financement ».
  • Le Top 15 pour les indices « Talent & Expérience » et « Connaissance » (recherche, innovation, brevets).

Ces indicateurs traduisent la maturité croissante de l’écosystème tunisien, sa capacité à attirer et former des talents et son dynamisme en matière d’investissement.

Trois piliers forts : GreenTech, HealthTech et IA

L’innovation tunisienne se structure autour de trois secteurs porteurs :

  • L’économie verte, soutenue par des projets d’énergie propre et des ambitions en matière d’hydrogène vert.
  • La HealthTech, renforcée par des initiatives comme Flywheel.
  • L’intelligence artificielle, dynamisée par le lancement du AI Innovation Hub.

Ces secteurs bénéficient d’infrastructures deeptech en développement et de financements ciblés pour les startups à fort impact.

Des leviers nationaux solides

La position stratégique de la Tunisie, combinée à des talents qualifiés à coûts compétitifs, à des réformes ambitieuses comme le Startup Act et à des mesures incitatives — telles que le fonds ANAVA (113,6 M USD), le futur Visa Digital Nomad, ou la prise en charge CNSS pour les fondateurs — font du pays un pôle attractif pour les entrepreneurs et les investisseurs.

Lire aussi: Tunisie : refonte ou amendement du Startup Act?

Un rapport de référence mondiale

A noter que le GSER 2025 propose une analyse globale des tendances, des flux d’investissement et des politiques publiques propices à l’émergence des startups. Il classe les 40 meilleurs écosystèmes mondiaux, les 100 écosystèmes émergents et propose des classements régionaux détaillés.

Fruit d’une dizaine d’années de recherche indépendante, le rapport est soutenu par un réseau international de partenaires dans environ 65 pays. Startup Genome, l’organisation derrière ce travail, accompagne gouvernements et institutions dans la structuration de stratégies fondées sur des données pour stimuler la croissance des startups.

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Marokko – Wetterdienst gibt detaillierte Unwetterwarnung heraus

Von: maghreb
16. Juni 2025 um 10:13

WetterLandesweite Hitzewellen, starke Winde und Gewitter erwartet: Marokkanische Generaldirektion für Meteorologie gibt detaillierte Warnmeldung heraus. Rabat – Die Generaldirektion des marokkanischen Wetterdienstes hat eine umfassende Wetterwarnung für das Königreich Marokko herausgegeben, die von heute Montag, 16. Juni, 00:00 Uhr (GMT) bis Dienstag, 17. Juni, 00:00 Uhr (GMT) gültig ist. Die Meldung, die sich an die […]

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Classement WTA : Ons Jabeur rétrograde à la 61e place mondiale

16. Juni 2025 um 08:31

Aïe! Très mauvaise nouvelle la joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur : elle poursuit sa chute au classement mondial WTA publié ce lundi 16 juin. Elle perd sept places supplémentaires et se classe désormais au 61ème rang mondial.

Participant au tournoi de Berlin (WTA 500) disputé sur gazon actuellement, Ons Jabeur, alors classée 54ème mondiale, avait remporté son premier match des qualifications face à la Française Elsa Jacquemot (113ème mondiale), avant de s’incliner au deuxième tour contre la Chinoise Xinyu Wang (49 mondiale) sur le score de 1 set à 2 (1-6, 6-3, 0-6). Cependant, elle a été repêchée comme « lucky loser » pour intégrer le tableau principal.

Elle affronte ce 16 juin au premier tour du tableau principal l’Américaine Caroline Dolehide, classée 64ème mondiale.

A rappeler qu’Ons Jabeur avait remporté le tournoi de Berlin en 2022.

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Consommer autrement pour changer demain : un grand débat à Tunis sur la consommation responsable

16. Juni 2025 um 08:19

Un événement clé sur la consommation responsable se tiendra samedi 21 juin 2025, au siège du Lab’ess, incubateur tunisien dédié aux projets à impact social et environnemental.

Organisé à l’occasion de la sortie du Baromètre Lab’ess 2025 de la consommation responsable, ce rendez-vous veut faire émerger un dialogue citoyen et engagé autour des pratiques de consommation durables.

Vers une consommation plus éthique et plus locale

L’événement réunira experts, acteurs de terrain, entrepreneurs et citoyens autour de tables rondes, pour débattre des enjeux liés à l’environnement, à l’économie circulaire, à la gestion des déchets ou encore aux habitudes de consommation. Au cœur des discussions : comment rendre l’éco-responsabilité accessible à tous.

Un moment phare de la journée : le « Souk responsable », une marketplace éthique et inspirante qui accueillera 30 exposants venus présenter des produits locaux, durables et respectueux de la planète. Au programme : mode éthique, produits bio, jeux pédagogiques, cosmétiques naturels et bien plus encore.

Des chiffres alarmants, un avenir à réinventer

Malgré une prise de conscience croissante chez les Tunisiens, la réalité reste préoccupante :

  • 4,2 milliards de sacs plastiques utilisés chaque année;

  • 572 millions de dinars perdus en gaspillage alimentaire;

  • Nappes phréatiques surexploitées à 119 %;

  • Et moins de 3 % des déchets recyclés, tandis que l’enfouissement reste la norme.

Ces données, révélées par Lab’ess, soulignent l’urgence de repenser notre modèle de consommation.

S’inscrire dans l’Objectif de développement durable n°12

Ce rendez-vous s’inscrit dans le cadre de l’Objectif de Développement Durable 12 (ODD12), qui vise à instaurer des modes de consommation et de production durables. Il appelle citoyens, entreprises et gouvernements à réfléchir à l’impact de leurs choix – de l’achat à la gestion des déchets – sur l’environnement et les sociétés.

Construire ensemble des alternatives concrètes

Soutenu par le projet « Savoirs éco », financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Expertise France, cet événement veut mettre en lumière des solutions concrètes et duplicables. L’idée : encourager des pratiques durables, au niveau individuel comme collectif, et nourrir l’espoir d’une transition écologique réussie en Tunisie.

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Que nous réserve la météo pour le 16 juin 2025?

16. Juni 2025 um 06:33

Selon les prévisions de l’INM (Institut national de la météorologie), lundi 16 juin sera peu nuageux, avec un vent de secteur est et de secteur nord sur le nord et le centre, de faible à modéré puis relativement plus fort sur le sud et sur les côtes nord.

La mer sera peu agitée puis agitée sur les côtes nord.

On assistera à une légère baisse des températures.

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« Kerkena, l’archipel de la charfiya », ou un voyage dans l’histoire millénaire de l’île

15. Juni 2025 um 23:00

Inscrite en 2020 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, la pêche à la charfiya, technique de pêche traditionnelle pratiquée aux îles Kerkena, à 18 km de Sfax, est au coeur d’un nouvel ouvrage qui s’intitule « Kerkena, l’archipel de la charfiya » paru en juin 2025.

Cet opus de 83 pages vient de paraître en coédition entre l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) et les Editions du patrimoine Maghreb Méditerranée (EPMM/ALIF) dans la collection Saveurs et savoir-faire.

Dans la même collection sont parus deux autres ouvrages (arabe, français et anglais) autour d’éléments classé au patrimoine mondial, « Potières de Sejnane – sans tour ni four » (janvier 2025) et « La Harissa tunisienne, un livre qui ne manque pas de piment » (mai 2024).

L’île de Kerkennah est évoquée par Hérodote (484-425 av. J.-C.). « Les Carthaginois rapportent qu’auprès des Gyzantes est situé une île dont le nom est Kyranis, longue de deux cents stades, resserrée dans sa largueur, où l’on passe aisément du continent voisin. Elle est couverte d’oliviers et de vignes … J’écris ce que j’ai entendu raconter », indique un texte de l’historien grec.

L’archipel a été connu par les navigateurs en tant que relai/abri et approvisionnement en eau douce. Kerkinitis, Kerkinna, Kerkina ou Cercina chez les Grecs et les Latins, l’ile a conservé la résonnance des appellations antiqus « Kerkena » et « Kerkennah » ou « Qarqna » pour les locaux.

L’ouvrage revient sur l’histoire millénaire de l’archipel depuis l’antiquité jusqu’à notre époque et où les fouilles menées témoignent d’une présence punique très dense.

Il présente cinq chapitres : « Au cœur de l’histoire », Scanner d’un archipel », « Pêches et charfiya », « Les voiles latines » et « Les Kerkeniens ichtyophage » avec une carte de l’archipel, sur deux pages au début du livre.

Le livre est composé de textes de Viviane Bettaieb, une Française passionnée par l’histoire de la Méditerranée qui écrit des textes pour différentes maisons d’édition, Ameur Oueslati universitaire spécialisé en géomorphologie et auteurs de plusieurs livres et articles sur le littoral tunisien et ses Iles, et des photographies de Mohamed Salah Bettaieb, photographe chevronné dont les photographies illustrent de Beaux livres.

La recherche documentaire s’est basée sur plusieurs sources contenues dans les Archives nationales et la Bibliothèque nationale de Tunisie en plus de la collaboration des établissements spécialisés et les habitants de l’archipel.

« Dans ce livre, Kerkennah n’est pas réduit à ses somptueux levers et couchers de soleil, ni aux plaisirs de la mer. Kerkena, l’archipel de la charfiya », est autant de nouvelles fenêtres ouvertes pour vivre une aventure livresque enrichissante, étonnante, en plongeant au cœur de traditions singulières qui ont défié le temps », peut-on lire dans le résumé.

Dans « Kerkena, l’archipel de la charfiya », le lecteur explore l’archipel, son histoire, sa géographie et ses coutumes traditionnelles de pêche et modes de vie à travers des textes, des photos et des dessins.

La couverture du livre porte l’image d’un pêcheur à la charfyia, probablement au lever du soleil, au large de l’archipel de Kerkena, une terre basse qui émerge à peine de l’eau.

Selon le site de l’Unesco, la pêche à la charfiya est une technique de pêche traditionnelle, pratiquée aux îles Kerkennah, qui exploite passivement les conditions hydrographiques, le relief marin et les ressources naturelles sur mer comme sur terre.

La charfiya est une pêcherie fixe qui circonscrit, grâce à des murs de palmes fichées dans le fond marin, un champ triangulaire. Les poissons, entrainés par la marée descendante, s’engouffrent dans des chambres de capture puis dans des filets ou des nasses et ne peuvent plus en ressortir Contrairement à ceux pêchés à l’aide de chaluts qui raclent les fonds marins, les poissons restent vivants et à jeun dans les nasses jusqu’au moment de la levée.

Selon la coutume, la charfiya est installée et utilisée entre l’équinoxe d’automne et le mois de juin pour permettre à la faune marine de se régénérer. Chaque année, la reconstruction de ce dispositif est associée à des pratiques sociales, comme le partage d’un repas ou des prières. La pratique de la pêche à la charfiya suppose une excellente connaissance de la topographie sous-marine et des courants marins.

La plupart des habitants des Kerkennah apprennent à pêcher dès leur plus jeune âge. Il est aussi courant qu’un râїs transmette la pêcherie à son fils aîné pour que la famille en reste propriétaire.

Ce type de pêcherie aurait été ainsi nommé vraisemblablement en référence à la lignée de la famille Charfi qui aurait possédé pendant plusieurs générations, des pêcheries fixes de ce genre. En réalité, cette appellation est générique de plusieurs types de pêcheries fixes dont les noms varient selon leur envergure, leur emplacement et leur orientation, ainsi que la profondeur de la mer.

Avec TAP

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Gestern — 15. Juni 2025Haupt-Feeds

Entreprises cotées – La SOTUMAG, avec 7 MDT de bénéfice net, distribuera plus de 6 MDT de dividendes à ses actionnaires

15. Juni 2025 um 21:29

La Société Tunisienne des Marches de gros (SOTUMAG) annonce que son Assemblée Générale Ordinaire, réunie le 4 juin 2025, a décidé la distribution de dividendes au profit de ses actionnaires, au titre de l’exercice 2024.

La valeur de dividende a été fixée à 0,480 dinar par action, ce qui représente un montant global de l’ordre de 6 336 000 dinars.

« Les dividendes seront mis en paiement à compter du 20 juin 2025 auprès des intermédiaires en bourse et les teneurs de comptes dépositaires », a noté la SOTUMAG, dans une note publiée sur le site de la Bourse de Tunis.

Il convient de noter que la Société a enregistré, durant l’exercice 2024, un bénéfice net s’élevant à 7 058 806 dinars.

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Tunisie – Le secteur privé est en phase avec l’interdiction de la sous-traitance

15. Juni 2025 um 21:22

Des entreprises privées ont commencé à appliquer les dispositions de la nouvelle loi interdisant la sous-traitance, en recrutant directement les agents jusque-là employés sous contrat de sous-traitance ou à durée déterminée. Selon Hafedh Amouri, expert en droit du travail, les derniers agents restants seront intégrés au sein des structures concernées d’ici le mois de juillet.

Adoptée en mai 2025, la loi n°16 modifiant le Code du travail établit le contrat à durée indéterminée (CDI) comme norme, en restreignant sévèrement le recours aux contrats à durée déterminée (CDD), désormais réservés à des cas exceptionnels et justifiés. Elle prévoit également une période d’essai limitée à six mois, renouvelable une seule fois.

Cette réforme s’inscrit dans une stratégie plus large de lutte contre la précarité de l’emploi en Tunisie, déjà amorcée dans le secteur public avec la régularisation progressive de milliers de travailleurs contractuels, notamment les enseignants suppléants et les ouvriers des chantiers, rapporte la TAP.

Hafedh Amouri a reconnu que l’entrée en vigueur de la loi avait suscité des inquiétudes, liées à une compréhension floue de ses modalités d’application et à ses effets potentiels sur l’investissement. Néanmoins, il a souligné que ces craintes s’étaient dissipées rapidement grâce à la clarté des procédures établies.

« La flexibilité offerte par le nouveau texte a permis aux employeurs de régulariser leurs employés sans pour autant alourdir significativement leurs charges », a-t-il expliqué, tout en reconnaissant que l’intégration des agents de sous-traitance représente un coût réel pour les entreprises, selon la même source.

Il a par ailleurs attribué certaines vagues de licenciements observées dans le secteur privé à une mauvaise interprétation de la loi par des employeurs craignant une hausse brutale de la masse salariale. Toutefois, il a écarté le risque d’une augmentation du chômage — actuellement à 15,7 % au premier trimestre 2025 — et prévoit même une baisse d’ici la fin de l’année. Selon lui, les entreprises finiront par reconnaître l’intérêt de sécuriser des postes de travail essentiels et permanents.

Enfin, Amouri a indiqué que les sociétés de sous-traitance opérant dans des domaines tels que la sécurité et le nettoyage ont commencé à se conformer à la nouvelle législation, afin d’éviter les sanctions prévues par la loi.

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La Tunisie consolide sa position sur le marché chinois lors de l’Exposition de Changsha

15. Juni 2025 um 21:12

La Tunisie a conclu, dimanche 15 juin, sa participation à la 4e Exposition économique et commerciale Chine-Afrique, tenue à Changsha du 12 au 15 courant, dans un contexte marqué par une dynamique positive des échanges bilatéraux avec la Chine, qui ont franchi la barre des 9,2 milliards de dinars en 2024.

Placée sous le thème « La Chine et l’Afrique, ensemble vers la modernisation », cette édition a offert à la Tunisie une vitrine stratégique pour valoriser ses produits phares, notamment dans les secteurs agroalimentaire et artisanal, auprès des consommateurs, distributeurs et investisseurs chinois.

Selon les chiffres du Centre de promotion des exportations (CEPEX), les échanges commerciaux entre les deux pays ont enregistré une progression de 8 % par rapport à 2023, témoignant d’un intérêt croissant pour les produits et partenariats tunisiens sur le marché chinois.

Au-delà de la simple vitrine commerciale, la présence tunisienne à Changsha s’inscrit dans une stratégie à long terme visant à renforcer l’ancrage économique du pays en Chine. La Tunisie ambitionne notamment d’attirer des investissements dans des secteurs à forte valeur ajoutée comme les énergies renouvelables, les infrastructures, la santé ou encore les technologies innovantes.

Grâce à sa position géographique au cœur du bassin méditerranéen et à ses accords préférentiels avec de nombreux pays africains, la Tunisie entend jouer le rôle de passerelle entre la Chine et l’Afrique, en se positionnant comme une plateforme d’exportation et de coopération triangulaire.

L’Exposition a également été l’occasion de rencontres de haut niveau entre décideurs politiques, représentants gouvernementaux et acteurs financiers des deux continents. Ces échanges ont mis en lumière de nouvelles pistes de collaboration dans le cadre de l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route », notamment à travers des mécanismes de financement tripartites intégrant la Tunisie, la Chine et les pays africains partenaires.

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Le Sultanat d’Oman recrute des enseignants tunisiens : modalités et conditions

15. Juni 2025 um 17:08

Une commission du ministère omanais de l’Éducation se rendra prochainement en Tunisie afin de recruter des enseignants et des superviseurs pédagogiques pour les établissements scolaires du Sultanat d’Oman. Cette annonce a été officialisée ce dimanche par l’Agence tunisienne de coopération technique (ATCT).

Les postes proposés concernent les niveaux préparatoire et secondaire. Les candidats doivent remplir des conditions précises en matière de diplômes, d’expérience professionnelle et d’âge, fixé à 47 ans maximum.

Pour les enseignants, un diplôme de maîtrise (ou équivalent) et trois ans d’expérience dans l’enseignement secondaire ou préparatoire sont requis. Les superviseurs, quant à eux, doivent justifier d’un master, de trois années d’expérience en supervision pédagogique et d’un niveau B2 en français ou en allemand selon le Cadre européen commun de référence pour les langues.

Les disciplines recherchées incluent l’arabe, l’anglais, les mathématiques, la physique, la chimie, les arts plastiques, l’éducation musicale, ainsi que des postes de superviseurs en français et en allemand.

La sélection se déroulera en deux étapes : des tests électroniques suivis d’entretiens techniques menés par la commission omanaise. Les candidats présélectionnés seront informés par courriel ou par SMS.

Les inscriptions s’effectuent uniquement en ligne via le site du ministère omanais de l’Éducation, accessible depuis celui de l’ATCT. Un lien vers le programme pédagogique omanais y est également disponible pour aider les postulants à préparer les épreuves.

Avec TAP

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Politiques du livre : l’AIEI dévoilera son étude comparative des pays arabes

15. Juni 2025 um 13:47

La Cité de la Culture Chedly Klibi à Tunis accueillera, le 24 juin 2025, une journée de présentation et de lancement de la Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe. L’Alliance internationale de l’édition indépendante (AIEI) organise cet événement, en collaboration avec le ministère tunisien des Affaires culturelles, l’ALECSO et l’OIF.

Cette journée fait partie d’un cycle de rencontres professionnelles prévues du 23 au 27 juin 2025, qui rassemblera trente maisons d’édition de dix-sept pays, dont la Tunisie, l’Algérie, l’Arabie saoudite, l’Égypte, le Burkina Faso, le Cameroun, la Guinée, le Liban, la Libye, le Mali, le Maroc, la Palestine, le Québec, le Sénégal, la Syrie, le Togo et le Yémen. Ces échanges traiteront des partenariats éditoriaux solidaires entre éditeurs arabes et francophones, en mettant particulièrement l’accent sur les ouvrages consacrés à la Palestine ou publiés par des éditeurs palestiniens. Des ateliers aborderont également les enjeux de l’intelligence artificielle et de la bibliodiversité.

Présentation de la Cartographie

Samar Haddad, éditrice syrienne (Atlas Publishing) et coordinatrice du projet pour le monde arabe, ainsi que Hani Altelfah, auteur de l’étude, présenteront la cartographie. Selon Nouri Abid, directeur des éditions Med Ali et membre de l’AIEI, ce travail cherche à établir un état des lieux du secteur du livre dans les pays arabes, à comparer les réalités entre ces pays et à proposer des pistes pour soutenir la production, la distribution et la lecture.

Un atelier réunira éditeurs arabophones et francophones pour échanger sur les politiques publiques du livre, la bibliodiversité et les défis d’indépendance éditoriale.

Cette cartographie a pour buts de recenser les politiques publiques du livre, imprimé et numérique, dans les pays concernés, de favoriser le dialogue entre éditeurs et institutions, de renforcer la circulation des livres et des idées, et de promouvoir les outils numériques pour les professionnels du secteur. L’AIEI la présentera à nouveau lors du Salon international de l’édition indépendante en ligne, Babelica, les 24 et 25 septembre 2025.

Fondée en 2002, l’AIEI regroupe plus de 980 maisons d’édition indépendantes dans soixante pays, dont la Tunisie. Structurée en six réseaux linguistiques, elle promeut la bibliodiversité, c’est-à-dire la diversité culturelle dans l’édition, et soutient les professionnels du livre dans l’élaboration de politiques publiques adaptées.

Avec TAP

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Tunisie-Mauritanie : vers un renforcement de la coopération agricole

15. Juni 2025 um 12:39

 Le ministre  de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, a reçu, ce samedi à Tunis, son homologue mauritanien en charge du Développement de l’élevage, Mokhtar Ould Gaguih. Les deux parties ont évoqué l’intensification des échanges commerciaux de produits agricoles entre les deux pays, ainsi que les opportunités d’investissement dans le secteur.

Cette rencontre, organisée en marge de la conférence régionale « Une seule santé » pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENA), a permis aux deux ministres de convenir d’un renforcement de leur coopération bilatérale, notamment dans les domaines de la production animale, de la santé du bétail et du transfert de technologies.

Pour concrétiser ces ambitions, des sessions de travail à distance seront prochainement organisées afin de définir les axes prioritaires de collaboration et d’établir un plan d’action détaillé. La conférence « Une seule santé », qui a ouvert ses portes samedi à Tunis, réunit des ministres et hauts responsables de 14 pays, ainsi que plusieurs organisations internationales. Cette initiative vise à promouvoir une approche intégrée des enjeux sanitaires, liant santé humaine, animale et environnementale.

Avec TAP

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PRUSA et au-delà : la BM étend son soutien à l’agriculture tunisienne

15. Juni 2025 um 11:44

La Banque mondiale (BM) a réaffirmé son engagement à accompagner la Tunisie dans le renforcement de sa sécurité alimentaire. Lors d’une réunion avec le ministre de l’Agriculture, Ezzedine Ben Cheikh, ses représentants ont annoncé leur volonté de financer de nouvelles études et projets pour soutenir les agriculteurs tunisiens face aux défis du secteur.

Cette rencontre s’est déroulée en marge de la conférence régionale « Une seule santé », organisée à Tunis les 14 et 15 juin avec l’appui de la BM, en collaboration avec l’OMS, la FAO, le PNUE et l’OIE. L’événement, qui rassemble des ministres et délégations de 14 pays, vise à renforcer la coopération contre les menaces sanitaires touchant les populations, les animaux et l’environnement.

La BM a réitéré son soutien aux efforts tunisiens dans le domaine agricole, en particulier pour la production animale et la pérennisation des projets déjà engagés. Le ministre Ben Cheikh a salué cet appui technique et financier, tout en insistant sur la nécessité de développer des stratégies communes pour améliorer la productivité.

Menée par Shobha Shetty, cheffe de service au Pôle d’expertise en agriculture de la BM, la délégation a présenté les progrès du Projet de Réponse d’Urgence à la Sécurité Alimentaire (PRUSA). Les discussions ont également porté sur le renforcement de la coopération future entre les deux parties.

Avec TAP

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