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Gestern — 18. Dezember 2025Haupt-Feeds

36ème édition des JCC: budget à 3,8 MDT, retombées économiques en vue!

18. Dezember 2025 um 21:52

Pour accueillir les stars du cinéma, les JCC 36 misent sur l’essentiel. En effet, la 36e édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), du 13 au 20 décembre 2025, annonce la couleur sans se limiter au tapis rouge, loin encore des standards de Cannes ou Hollywood. Il reste du chemin à parcourir sur ce point. Mais pour assurer le succès, le budget est la clé.

Cette année, le festival bénéficie d’une allocation de 3 millions de dinars (contre 2,5 millions l’an dernier, soit +500 000 DT), comblant le déficit d’environ 400 000DT de l’édition précédente. Il convient de noter que la répartition de l’Etat s’élève à 3 millions DT , et celui  du CNCI et du programme arts est de  650 000 DT des partenaires (nouveaux inclus via sponsoring diversifié) et  130 000 DT de billetterie attendue. Ce qui signifie un total de  3,8 millions DT en termes du budget.

Cela dit, même su le succès reste holistique, au-delà d’une bonne programmation, cela n’empêche qu’il repose sur un équilibre entre affluence, gouvernance et respect des lois.

Reste à évaluer les retombées économiques post-festival : dynamisme à Tunis, hôtels pleins, restaurants animés, et bien d’autres secteurs boostés. Rendez-vous dans une semaine pour dresser le bilan.

Bonne projection

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Ooredoo élue Service Client de l’année 2026 pour la 7ᵉ fois consécutive

18. Dezember 2025 um 20:46

Ooredoo Tunisie confirme une nouvelle fois son leadership en matière d’expérience client en étant élue Service Client de l’Année 2026, et ce pour la septième année consécutive. Cette distinction prestigieuse récompense l’engagement constant de l’opérateur à placer le client au cœur de sa stratégie, à travers une approche fondée sur l’écoute, la proximité et l’excellence opérationnelle.

Lors de cette édition, Ooredoo s’est distinguée dans trois catégories majeures :

les services de téléphonie mobile et fixe, les services d’accès à Internet, ainsi que les solutions de télécommunications dédiées aux entreprises. Une reconnaissance transversale qui illustre la cohérence et la solidité du modèle de relation client déployé par Ooredoo sur l’ensemble de ses segments.

Le label Élu Service Client de l’Année (ESCDA) est une référence internationale en matière d’évaluation de la qualité de service. Basé exclusivement sur des tests clients mystères réalisés selon un protocole rigoureux, indépendant et identique pour tous les acteurs du marché, ESCDA mesure la performance réelle des services clients sur des critères clés tels que l’accessibilité, la réactivité, la qualité des réponses et la relation humaine. Ce dispositif garantit une évaluation objective, fondée sur l’expérience vécue par les clients.

Commentant cette nouvelle distinction, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « Être élu Service Client de l’Année pour la septième fois consécutive est une reconnaissance forte, car elle émane directement de l’expérience réelle de nos clients. Elle reflète l’engagement remarquable de nos équipes, leur sens des responsabilités et leur volonté constante d’offrir une expérience de qualité, fondée sur la confiance, la proximité et l’excellence. Chez Ooredoo, nous considérons cette distinction non comme un aboutissement, mais comme une motivation supplémentaire pour continuer à élever nos standards et anticiper les attentes de nos clients. »

Au-delà du trophée, cette récompense confirme la pertinence des investissements de Ooredoo dans ses talents, ses outils digitaux et l’amélioration continue de ses parcours clients. Elle traduit également la mobilisation quotidienne de femmes et d’hommes engagés à offrir une expérience fluide, humaine et performante, au service des particuliers comme des entreprises.

Avec cette septième consécration, Ooredoo réaffirme son ambition : faire de la qualité de service un pilier durable de sa relation avec ses clients et un levier clé de création de valeur à long terme.

D’après communiqué

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Israël donne son feu vert à un contrat gazier historique de 30 milliards d’euros avec l’Égypte

18. Dezember 2025 um 19:54

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a donné son « feu vert » à l’important contrat de vente de gaz naturel à l’Égypte, un contrat d’une valeur de 30 milliards d’euros.

« J’ai approuvé aujourd’hui le plus important contrat de gaz naturel de l’histoire d’Israël, d’une valeur de 112 milliards de shekels », a déclaré le Premier ministre israélien lors d’une allocution télévisée. « Cet accord a été conclu en coopération avec la société américaine Chevron, et sur le montant total, 58 milliards de shekels (environ 15,3 milliards d’euros) iront dans les caisses de l’État », a-t-il ajouté.

« Il s’agit du plus important contrat d’exportation (de gaz naturel) de l’histoire d’Israël », a commenté le ministre de l’Énergie, Eli Cohen.

Selon Netanyahu, cet accord contribuera à assurer la stabilité dans la région et à surmonter la crise énergétique en Égypte, qui a dépensé des milliards de dollars en importations de gaz naturel liquéfié après que sa propre production n’ait pas permis de répondre à la demande.

La production égyptienne a commencé à décliner en 2022, contraignant le pays à abandonner son projet de devenir une plateforme d’approvisionnement régionale. Depuis, il s’est tourné vers Israël pour satisfaire ses besoins.

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Allemagne : Baisse inattendue de la confiance des entreprises en décembre

18. Dezember 2025 um 16:22

La confiance des entreprises en Allemagne a chuté de manière inattendue en décembre, selon une enquête publiée mercredi 17 décembre, alors que la première économie d’Europe continue de lutter pour retrouver la croissance.

L’institut allemand Ifo a annoncé mercredi que son indice du climat des affaires a reculé à 87,6 ce mois-ci, contre 88,0 en novembre (un chiffre légèrement révisé à la baisse). Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une légère hausse à 88,2.

L’Allemagne a eu du mal à retrouver son élan cette année, avec des prévisions de croissance modeste après deux années de contraction.

Les entreprises envisagent le premier semestre 2026 avec plus de pessimisme, a déclaré Clemens Fuest, président de l’Ifo. L’indicateur de situation actuelle est resté inchangé, et l’année s’achève sans aucun signe d’optimisme, a-t-il ajouté.

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BIAT élue service client de l’année 2026

18. Dezember 2025 um 17:20

La BIAT a été consacrée lors d’une cérémonie organisée suite à sa victoire au concours « Élu Service Client de l’Année 2026 », une reconnaissance qui vient saluer son engagement en faveur d’une prise en charge client de qualité. Cette distinction souligne une démarche orientée vers la qualité et la satisfaction du client.

La BIAT a obtenu le prix « Élu Service Client de l’Année 2026 » à la suite de sa participation à un concours lancé par ESCDA selon un processus d’évaluation global et rigoureux, dans la catégorie « Banques ». Le principe de cette évaluation repose sur la réalisation d’enquêtes mystères effectuées à travers différents canaux de communication avec la clientèle pour mesurer la rapidité de la prise en charge, la disponibilité des équipes commerciales et la pertinence des réponses. Ce concours a pour objectif de mettre en lumière la qualité du service bancaire offert, que ce soit au niveau de l’agence, du site internet ou via le Centre de Relations Clients.

Cette performance repose sur un ensemble d’initiatives concrètes que la BIAT a menées ces dernières années pour optimiser l’expérience client. La BIAT a lancé en 2021 sa nouvelle génération d’agences bancaires pour faire évoluer l’expérience qu’elle entend offrir à ses clients, avec des espaces plus transparents, des parcours fluides, des codes modernes, des services digitaux et des espaces de libre-service accessibles en continu. Ces évolutions reflètent une volonté d’allier proximité, modernité et qualité de prise en charge. La mise en place de solutions digitales de gestion des files d’attente et de prise de rendez-vous contribue aussi à fluidifier les visites en agence et à améliorer l’expérience de service.

Parallèlement, la BIAT a renforcé l’organisation de la prise en charge à distance à travers son Centre de Relations Clients. Celui-ci assure le traitement des appels émis vers les agences afin d’assurer un service rapide et efficace et de permettre aux équipes en agence de se consacrer à leur mission principale qui consiste à accompagner la clientèle. Par ailleurs, le Centre de Relations Clients prend en charge les demandes reçues via l’e-mail, la messagerie MyBIAT, le site web, les réseaux sociaux…

La distinction « Élu Service Client de l’Année 2026 » attribuée à la BIAT vient ainsi récompenser son engagement à placer le service et la satisfaction du client au centre de de ses priorités. Elle reflète une stratégie axée sur la qualité, la modernité et l’excellence, portée au quotidien par des équipes mobilisées au service de l’ensemble de sa clientèle.

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Le groupe portugais BA Glass entre au capital de la SOTUVER

18. Dezember 2025 um 17:07

Un mouvement actionnarial significatif vient de se produire au sein de la Société Tunisienne de Verrerie (SOTUVER). Les parties ont conclu un contrat de cession, le 16 décembre 2025, qui ouvre le capital de l’entreprise à un nouvel acteur industriel.

BA Glass BV, une entité du groupe portugais BA Glass un leader européen de la production d’emballages en verre, est l’acquéreur. Cette transaction porte sur 41,28% des titres de SOTUVER. Un réagencement des participations au sein du bloc de contrôle existant inscrit cette acquisition. Avant cette opération, le consortium BAYAHI (comprenant la Compagnie Financière d’Investissement et d’autres entités du groupe) détenait la totalité de ce bloc, soit 82,56% du capital. BA Glass et les entités BAYAHI partageront cette participation globale de 82,56% à l’issue de la cession.

Lire aussi: Le portugais BA Glass cible la Tunisie pour un nouvel investissement industriel

Une revue stratégique de l’actionnariat a entraîné cette évolution. Son objectif annoncé est de « accompagner le développement à long terme de SOTUVER, de renforcer sa structure financière et de soutenir ses perspectives de croissance ».

Des conditions suspensives classiques, notamment l’obtention des autorisations réglementaires requises, conditionnent encore la finalisation effective de l’opération. Conformément à ses obligations, SOTUVER s’est engagée à informer le marché de toute étape importante dans le processus.

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La cyberviolence, comprendre pour mieux agir

18. Dezember 2025 um 16:39

La cyberviolence n’est plus un écran de fumée virtuel : c’est une violence à ciel ouvert qui traque ses victimes jusque dans leur téléphone et leur esprit.

Il s’agit d’une nouvelle scène de violences bien réelles qui s’installe au cœur de nos vies numériques. C’est ce qu’il ressort de la conférence-débat majeure sur la cyberviolence, organisée l’après‑midi du 21 novembre 2025 à Ixelles ( Bruxelles) par le Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie (CVD Tunisie), en partenariat avec l’Association des Démocrates Tunisiens du Benelux. Cet événement a mis en lumière un phénomène en pleine expansion, qui touche particulièrement les femmes, les jeunes et les journalistes, en Tunisie comme ailleurs, et qui pose des défis juridiques, sociaux et démocratiques de plus en plus pressants.

Une chose est sûre: la cyberviolence recouvre un large éventail de comportements en ligne : harcèlement, menaces, insultes, diffamation, usurpation d’identité, diffusion non consentie d’images, discours haineux ou attaques ciblées sur l’apparence physique, le genre ou le statut social.

En Tunisie, les données disponibles montrent une exposition particulièrement forte des femmes, dont une grande majorité déclare avoir été victimes d’au moins une forme de violence numérique, le harcèlement sexuel en ligne étant l’une des formes les plus répandues. Selon une étude du Credif et du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), quatre femmes sur cinq en Tunisie ont subi une forme de cyberviolence. 60 % des femmes interrogées ont été victimes de violences numériques, dont 31 % de harcèlement sexuel en ligne, qui est la forme la plus répandue, suivie du harcèlement en ligne général et de la surveillance obsessionnelle.

L’impact psychologique est lourd, notamment sur les femmes, avec des répercussions parfois graves sur la santé mentale, le bien-être social et la sécurité personnelle.

Les journalistes, en particulier les femmes journalistes, sont également en première ligne, prises pour cibles en raison de leur visibilité et de leur engagement public. Des cas comme ceux de la journaliste sportive tunisienne Naïma Sassi ou de la journaliste française Salomé Saqué illustrent la violence des attaques, fondées sur le physique, le genre ou les opinions exprimées, et la relative impunité dont bénéficient souvent les auteurs.

La question suivante est de savoir qui signe sur les réseaux sociaux, pour lutter contre la cyberviolence. Prenons le cas de Facebook qui est le réseau social le plus répandu. Avant 2013, Facebook ne disposait pas de modérateurs dédiés pour la Tunisie, qui comptait 7 millions d’utilisateurs. Les contenus violents proliféraient. Aujourd’hui, la plateforme a remplacé la modération humaine (de deux modérateurs pour le cas de la Tunisie) par des intelligences artificielles, souvent perfectibles. Ce qui engendre des erreurs et des frustrations, notamment sur la situation à Gaza.

Le problème fondamental reste la question du signalement, de la sanction et surtout du suivi après la dénonciation des contenus abusifs.

Performance artistique et dénonciation de la misogynie

Lors de la conférence, l’artiste et comédienne tunisienne Mariem Memni, installée à Bruxelles, a présenté une performance numérique visant à interroger simultanément les normes de beauté et les violences sexistes en ligne. Spécialiste de l’art invisuel, elle a utilisé les réseaux sociaux pour transformer son image en direct, en accentuant ses rondeurs et en déformant son visage à l’aide de filtres. Cette mise en scène avait pour objectif de provoquer les réactions des internautes et de révéler la violence symbolique du regard porté sur les corps féminins dans l’espace numérique.

En poussant à l’extrême les codes de la beauté et de la laideur, Mariem Memni renvoie la société à ses contradictions et met en évidence les mécanismes de misogynie, de harcèlement et d’objectification. Cette performance s’inscrit dans le prolongement de son travail au sein de l’École Européenne pour l’Intégration des Migrants par l’Art (EEIMA) qu’elle dirige à Bruxelles, où l’art est mobilisé comme outil d’émancipation, notamment pour les femmes.

Jeunes, hyperconnexion et vulnérabilité accrue

De son côté, la psychologue et ergonome cognitive Armelle Schaad (Université Libre de Bruxelles) a apporté un éclairage scientifique sur les effets du surtemps d’écran chez les jeunes. En effet, les adolescents européens passent en moyenne plus de sept heures par jour devant leurs écrans, souvent la nuit. Ce qui perturbe fortement le sommeil et favorise des troubles cognitifs et psychiques. Cette hyperconnexion augmente les risques de dépression, de comportements agressifs et de pensées suicidaires. Tout en exposant davantage les jeunes au cyberharcèlement.

La cyberviolence chez les adolescents se nourrit d’un climat de pression sociale permanente, où l’image de soi, la comparaison entre pairs et la peur de l’exclusion sont exacerbées par les plateformes numériques. La protection des jeunes implique donc à la fois une régulation des usages, une éducation aux médias et un accompagnement psychologique adapté.

Un cadre juridique fragmenté et controversé de la cyberviolence

Sur le plan juridique, l’avocate Anissa Tebai, spécialiste des droits humains et de l’égalité femmes-hommes, a rappelé que la loi organique n°2017‑58 relative à la lutte contre la violence faite aux femmes constitue un texte de référence, mais qu’elle ne traite pas explicitement de la cyberviolence. Le décret-loi n°54 de 2022, censé lutter contre la diffusion de fausses informations, a introduit des dispositions applicables aux contenus numériques. Cependant sa mise en œuvre soulève de fortes controverses en raison de son utilisation dans des affaires touchant des avocates, journalistes ou chroniqueuses. Alimentant ainsi la crainte d’une instrumentalisation répressive et d’atteintes à la liberté d’expression.

Au niveau international, plusieurs instruments fournissent un socle solide pour penser la protection des droits numériques : Déclaration universelle des droits de l’homme; Pacte international relatif aux droits civils et politiques; Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW); Convention de Budapest sur la cybercriminalité; Convention d’Istanbul sur la violence à l’égard des femmes; ainsi que la Charte africaine et la Charte arabe des droits de l’homme.

Ces textes consacrent la vie privée, la sécurité, l’égalité, la protection contre la discrimination et la liberté d’expression, en encourageant une prise en compte de plus en plus explicite de la dimension numérique.

Spécificités et obstacles à la répression de la cyberviolence

Pourtant, la répression de la cyberviolence se heurte à plusieurs difficultés structurelles : la dispersion et la multiplicité des textes applicables; la diversité des procédures et la complexité de la qualification juridique des faits. L’espace numérique lui-même complique l’identification des auteurs, facilite la dissimulation d’identité, la circulation transnationale des contenus et la disparition rapide des messages. Et ce, tout en rendant leur effacement complet presque impossible.

La conférence a insisté sur la nécessité pour les victimes de documenter les faits : captures d’écran, conservation de messages, preuves de chantage, recours à un huissier pour donner une valeur probante aux éléments collectés et saisine des unités spécialisées en matière de cybercriminalité. La preuve pénale reste libre, mais exige une méthodologie rigoureuse pour permettre une réponse judiciaire effective.

Vers une protection renforcée des droits numériques

Les intervenantes ont souligné que la lutte contre la cyberviolence doit s’articuler autour de trois droits fondamentaux :

  • La vie privée numérique;
  • La sécurité numérique;
  • Et la liberté d’expression, étroitement liés au droit à l’information.

L’enjeu est de trouver un équilibre entre la protection des individus, la libre circulation des idées et la prévention d’un usage abusif du pouvoir répressif de l’État. La violence numérique varie selon le profil des victimes (militantes politiques, femmes non engagées, personnes racisées, femmes handicapées, etc.). Ce qui impose une approche sensible au genre et aux discriminations croisées.

Parmi les recommandations formulées, figurent :

  • L’harmonisation de la législation tunisienne avec les conventions internationales ratifiées et l’intégration explicite de la cyberviolence dans le droit interne;
  • La spécialisation des structures (équipes d’enquête dédiées, experts accrédités, chambre pénale spécialisée);
  • L’élaboration d’un guide procédural détaillant les mécanismes de plainte et d’orientation des victimes, avec un renforcement de l’accompagnement psychologique, social et juridique.

En somme, laisser la cyberviolence se répandre revient à tolérer la dégradation continue des droits fondamentaux. D’où l’importance de dénoncer et de dire stop à la cyberviolence.

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La Tunisie triple ses exportations vers le marché nigérian 

18. Dezember 2025 um 16:31

Les échanges commerciaux entre la Tunisie et le Nigeria ont connu une hausse remarquable sur les onze premiers mois de l’année. Les exportations tunisiennes vers ce marché d’Afrique de l’Ouest ont bondi de plus de 240 %. Et ce, pour atteindre environ 92 millions de dinars tunisiens. Cette croissance résulte d’une stratégie ciblée du Centre de promotion des exportations (CEPEX), qui renforce son soutien aux entreprises locales.

Le directeur du bureau du CEPEX au Nigeria, Lassaad Ben Jomaa, confirme que sa mission principale consiste à identifier, secteur par secteur, les opportunités d’exportation. Ses équipes travaillent avec les exportateurs tunisiens pour élaborer des études adaptées et faciliter de nouvelles opérations commerciales.

Plusieurs secteurs porteurs tirent cette dynamique. Les produits agroalimentaires, les matériaux de construction, les infrastructures ainsi que les médicaments et produits pharmaceutiques et cosmétiques concentrent l’essentiel de la demande nigériane. Avec une population estimée à plus de 200 millions d’habitants, le Nigeria représente un débouché majeur pour les exportateurs tunisiens.

Le CEPEX entend maintenir cette tendance. Ses objectifs sont clairs : conserver le volume actuel des échanges, diversifier la gamme des produits exportés et augmenter le nombre d’entreprises tunisiennes présentes sur place.

Parallèlement, le CEPEX organise, avec le ministère du Commerce et du Développement des Exportations et la Chambre de Commerce et d’Industrie du Centre, des rencontres individuelles avec ses représentants à l’étranger. Ces sessions visent à dégager de nouvelles opportunités dans 15 marchés internationaux, dont celui du Nigeria.

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Huile d’olive : un record de production face à des défis structurels

18. Dezember 2025 um 16:23

La Tunisie, en tant que deuxième producteur mondial d’huile d’olive et premier exportateur hors UE, avec une récolte record de 340 000 tonnes en 2025, est particulièrement bien positionnée pour exceller au Concours international Mario Solinas 2026 (hémisphère Nord, campagne 2025-2026).

Malgré une hausse des exportations d’huile d’olive de 50,3 % entre 2018/2019 et une moyenne de 57 137 tonnes annuelles entre 2023/2024, soit une part de marché de 15 %; les recettes chutent drastiquement de -29,3% à 2 801 millions de dinars fin mai 2025 et de -54,9% en février malgré une augmentation de +40,8% en volumes. Et ce, sous l’effet des prix mondiaux en baisse (de 26 à 13,7 DT/kg) et de la hausse des tarifs douaniers, comme les 25 % imposés par les États-Unis.

Défis de production et coûts

Par ailleurs, les coûts d’irrigation élevés (95 % des oliveraies), le manque de main-d’œuvre, le vieillissement des oliviers (25 % >70 ans) et la faible mécanisation minent la rentabilité, notamment à Sahline et Kasserine où les prix ne couvrent pas les frais. Lotfi Ghedira, ex-directeur du Conseil oléicole international, affirme ce jeudi 18 décembre 2025 sur les ondes de Mosaïque fm que les prix actuels restent abordables, couvrent les coûts et offrent une marge bénéficiaire. Tout en appelant à poursuivre la récolte pour stabiliser les marchés et maintenir la qualité, avec le soutien de l’Office national de l’huile.

Concurrence et perspectives

Cependant, la concurrence espagnole et italienne, jointe à des problèmes de traçabilité et des pratiques commerciales irrégulières, accentue la pression malgré une hausse des volumes (+39,4 %). L’agriculteur Mohamed Nasraoui a insisté récemment sur une organisation rigoureuse du marché, une stratégie marketing internationale renforcée, un contrôle du stockage et des prix, ainsi qu’un soutien gouvernemental pour valoriser l’huile d’olive conditionnée et répondre aux exigences mondiales.

Enjeux environnementaux et stratégiques

Au final, une chose est sûre : il faut faire face au stress hydrique, aux mauvaises pratiques agronomiques et à  l’endettement des producteurs. Ce qui exige des réformes législatives et un meilleur financement. Pilier économique (18 % de la valeur agricole ajoutée, 1 million d’emplois), la filière doit aussi assurer un approvisionnement local abordable. Et ce, tout en consolidant sa résilience face à la variabilité climatique et la concurrence, via une meilleure valorisation.

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Monia Ammar nommée à la Commission ONU d’enquête sur la Syrie

18. Dezember 2025 um 16:01

Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a désigné la magistrate tunisienne Monia Ammar et l’universitaire irlandaise Fionnuala Ní Aoláin comme membres de la Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie.

Ainsi, elles devront rejoindre le président brésilien Paulo Sérgio Pinheiro, en remplacement de Hany Megally (Égypte) et Lynn Welchman (Royaume-Uni). Créée en 2011 pour documenter les violations des droits humains, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en Syrie depuis mars 2011, la Commission bénéficie d’une prorogation d’un an via la résolution 58/25 du 4 avril 2025.​

https://x.com/UN_HRC/status/2000631022774517914?s=20

Parcours de Monia Ammar

Monia Ammar, magistrate de premier grade à la Cour de cassation possède près de quatre décennies d’expertise en droit international des droits de l’homme et humanitaire. Elle a dirigé le Comité des experts arabes indépendants de la Ligue arabe en 2007, le Comité du droit international humanitaire de la femme arabe en 2010. De même qu’elle a servi de coordinatrice régionale pour le CICR au Moyen-Orient et en Afrique du Nord de 2014 à 2016.

En 2019, elle a créé à Tunis le Centre arabe de droit international, tout en œuvrant avec l’ONU sur l’égalité des genres, la justice transitionnelle et la lutte contre la violence faite aux femmes.​

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Chômeurs diplômés : les conditions pour bénéficier du recrutement exceptionnel

18. Dezember 2025 um 15:01

 L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté mardi 16décembre, à une très large majorité, une proposition de loi instaurant un mécanisme de recrutement exceptionnel pour les diplômés de l’enseignement supérieur au chômage de longue durée dans le secteur public et la fonction publique.

La loi, composée de huit articles et présentée par le bloc parlementaire « Que le peuple triomphe », prévoit la création d’une plateforme numérique pour l’inscription des candidats. Les recrutements s’étaleront par vagues successives sur une période maximale de trois ans après la promulgation de la loi. C’est ce qu’indique Saber Jelassi, président de la Commission de la planification stratégique, qui s’exprimait jeudi dans l’émission « Expresso ».

Le ministère de la Formation professionnelle et de l’Emploi supervisera cette plateforme. Laquelle classera les candidats selon un critère préférentiel basé sur l’âge. Les décrets d’application seront publiés immédiatement après la parution de la loi au Journal officiel.

A cet égard, les candidats doivent remplir plusieurs conditions :

  • Etre inscrits auprès des bureaux de l’emploi;
  • Ne pas avoir bénéficié de mesures de régularisation professionnelle;
  • Ne pas être affiliés au régime de retraite et de prévoyance sociale de manière continue;
  • Ne pas avoir de numéro d’identification fiscale durant l’année précédant l’inscription;
  • Et ne pas avoir contracté de crédit supérieur à 40 000 dinars auprès des institutions financières au moment de l’inscription.

Le comblement des postes vacants se fera parmi les candidats inscrits remplissant ces conditions, en veillant à l’équilibre entre les spécialités. L’Assemblée assurera le suivi de la mise en place de la plateforme et de la publication des textes d’application dans le cadre de son rôle de contrôle.

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Hichem Zénaïdi nommé DG de BH Capitalisation

18. Dezember 2025 um 14:38

La SICAV BH CAPITALISATION a nommé Hichem ZENAIDI au poste de Directeur Général en remplacement d’Imen BEN SLIMENE.

La décision a été prise lors du Conseil d’Administration du 23 septembre 2025.

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SICAV BH OBLIGATAIRE : Sonia BELHAJ nommée directrice générale

18. Dezember 2025 um 14:02

La SICAV BH OBLIGATAIRE a nommé une nouvelle directrice générale et un nouveau président de son conseil d’administration. Ces décisions ont été prises lors d’une réunion du conseil d’administration le 11 juillet 2025.

Sonia BELHAJ est nommée directrice générale de la SICAV BH OBLIGATAIRE. Elle succède ainsi à Lotfi Ben HAMOUDA.

Par ailleurs, Moez MAAMER a été coopté en tant qu’administrateur, puis nommé président du conseil d’administration. Il remplace à cette fonction Mohamed MABROUK.

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Blocus maritime contre le Venezuela : le calcul cynique de Washington

18. Dezember 2025 um 12:53

L’objectif du blocus maritime décrété par Donald Trump contre le Venezuela serait de priver ce pays d’une partie importante de ses recettes pétrolières afin d’accélérer l’effondrement du régime de Nicolás Maduro. Tout en évitant une intervention militaire américaine au sol, aux conséquences imprévisibles.

Qui veut tuer son chien l’accuse de rage. Telle est la maxime du  président américain, Donald Trump. En effet, celui-ci n’a cessé depuis des mois de viser des prétendus navires de narcotrafiquants vénézuéliens ; tout en accusant sans aucune preuve le président du Venezuela, Nicolás Maduro, d’être à la tête d’un supposé cartel de drogue.

Pourquoi tant d’acharnement contre le régime chaviste ? Derrière ses objectifs affichés de lutte contre le narcotrafic, se cache la convoitise des richesses de ce pays, qui n’est certes pas le plus grand pays producteur de pétrole; mais qui dispose en revanche des plus importantes réserves en or noir avérées de la planète devant l’Arabie saoudite et l’Iran… De quoi faire saliver le magnat de l’immobilier qui flaire les bonnes affaires, même de loin.

Un blocus maritime « total et complet »

Ainsi, le président des États-Unis a décrété, mardi 16 décembre, un blocus maritime contre les pétroliers frappés de sanctions en provenance ou à destination du Venezuela. « J’ordonne un blocus total et complet de tous les tankers sous sanctions entrant et sortant du Venezuela », a-t-il écrit sur son réseau Truth Social en lettres capitales. Ajoutant que « le Venezuela est entièrement encerclé par la plus grande armada jamais assemblée dans l’histoire de l’Amérique du Sud ».

Reprenant sa rhétorique habituelle, Donald Trump justifie le blocus américain par le « vol », par Caracas, de « pétrole, de terres et de richesses » américaines. « Le régime illégitime de Maduro utilise le pétrole de ces champs volés pour se financer, financer le terrorisme de la drogue, le trafic humain, les meurtres et les kidnappings », accuse encore le président américain. Sans toutefois fournir la moindre preuve de l’implication de Caracas dans ces supposés crimes.

Cette rhétorique fait clairement référence à l’histoire : le Venezuela a nationalisé son industrie pétrolière dans les années 1970. Et, sous la présidence d’Hugo Chávez (1999-2013), le pays a forcé les compagnies pétrolières étrangères à accepter des co-entreprises majoritairement détenues par la compagnie d’État PDVSA pour pouvoir opérer sur le territoire.

En attendant, Washington a assemblé en mer des Caraïbes une véritable armada sous l’égide du porte-avion USS Gerald R. Ford. Tout en frappant en pleine course des navires supposément liés au narcotrafic, tuant au moins 95 personnes depuis début septembre. Des opérations dont la légalité est mise en doute par des experts, ONG et responsables des Nations unies.

« Une menace grotesque »

« Incontestablement un acte de guerre. Une guerre que le Congrès n’a jamais autorisée et dont le peuple américain ne veut pas », a affirmé Joaquin Castro, le représentant démocrate du Texas.

Pour sa part, Caracas y voit « une menace grotesque ». Washington « tente d’imposer de manière absolument irrationnelle un prétendu blocus naval militaire au Venezuela dans le but de voler ses richesses ». C’est ce qu’on peut lire dans un communiqué publié par le gouvernement vénézuélien.

Frapper au portefeuille

Cela étant, il est évident que l’opération orchestrée par l’administration Trump s’inscrit dans une stratégie claire visant à affaiblir, voire destituer, le président vénézuélien Nicolás Maduro, en frappant son pays au portefeuille.

La cheffe de cabinet du président américain, Susie Wiles, n’a-t-elle pas confirmé dans un entretien à Vanity Fair, publié mardi 16 décembre, que Donald Trump « veut continuer à faire sauter des bateaux jusqu’à ce que Maduro capitule » ?

Sachant que le pays visé est soumis à un embargo américain depuis 2019. Et que le pétrole vénézuélien est écoulé sur le marché noir à des prix nettement plus bas, à destination en particulier de la Chine qui achète 80 % de la production. Or, le blocus maritime pourrait représenter pour le Venezuela une perte de revenus de 80 % des recettes publiques.

« Cette perte de revenus entraînera des pénuries qui affecteront les transports, l’alimentation, l’approvisionnement, l’agriculture et l’importation de marchandises », affirme David Goldwyn, président du cabinet de conseil Goldwyn Global Strategies et ancien fonctionnaire du département d’État sous l’administration de Barack Obama, interrogé par Politico. D’ailleurs, il s’attend à une « flambée de l’inflation et à une migration massive et immédiate de la population du Venezuela vers les pays voisins ». Le manque de revenus équivalents pour le Venezuela est estimé à 8,5 milliards de dollars par an, relèvent les experts du marché pétrolier.

Mais l’impact devrait être plus important pour la Chine, où 80 % du brut vénézuélien est acheminé via ces navires sous sanctions. Le choc sera toutefois de courte durée, poursuivent les mêmes experts. Car ils affirment que Pékin a toujours un plan B et pourrait envoyer ses propres navires chercher le pétrole.

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LAPP retient la Tunisie pour une implantation R&D

18. Dezember 2025 um 12:00

Le groupe allemand LAPP, leader mondial des câbles, fils et accessoires, annonce son intention d’établir un centre de Recherche & Développement en Tunisie. Cette décision a été officialisée à l’issue d’une visite d’une délégation du groupe aux responsables de l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA-Tunisia).

La délégation de LAPP était conduite par M. Michael Seddig, CEO & COO pour la région EMEA, et M. Seif Allah Rached, Vice-Président en charge des opérations de câblage pour l’EMEA. Ils ont été reçus par M. Jalel Tebib, Directeur Général de FIPA-Tunisia, et M. Hatem Essoussi, Directeur Principal chargé de la promotion des secteurs à forte valeur ajoutée.

Au final, le communiqué de FIPA-Tunisia indique que cette implantation vise à conforter la position de la Tunisie en tant que plateforme régionale d’innovation industrielle. L’agence met en avant le climat d’affaires compétitif, la disponibilité de talents qualifiés et l’engagement institutionnel comme facteurs ayant influencé cette décision.

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LLOYD Assurances élu service client de l’année 2026

18. Dezember 2025 um 11:55

Le 16 décembre 2025, lors de la cérémonie de l’Élection du Service Client de L’Année 2026, LLOYD Assurances s’est vu attribuer le label Élu Service Client de l’Année 2026 dans la catégorie « Assurance ».

Ce label repose sur une évaluation indépendante conduite par IPSOS, partenaire barométrique de l’étude. L’enquête s’appuie sur une méthodologie rigoureuse, reconnue à l’échelle internationale, visant à mesurer de manière objective la performance des entreprises en matière de service client.

Dans ce cadre, cinq canaux majeurs de la relation client ont été analysés; à savoir : téléphone, e-mail ou formulaire, réseaux sociaux, navigation internet et visite physique.

Au total, 165 clients mystères ont été mobilisés afin de tester les dispositifs du LLOYD Assurances dans des conditions réelles. Entre 10 à 15 critères par canal ont été passés au crible. Ils couvraient notamment la disponibilité des équipes, la qualité de l’écoute, la clarté et la fiabilité des réponses fournies, ainsi que la fluidité globale de la prise en charge. Le résultat obtenu traduit une maîtrise opérationnelle solide et une organisation orientée vers l’efficacité, la cohérence et la satisfaction client.

Au-delà du résultat, cette reconnaissance met en lumière la maturité des parcours clients développés par LLOYD Assurances. Lesquels sont pensés pour offrir une expérience homogène, accessible et rassurante; et ce, quels que soient le canal utilisé ou la nature de la demande.

Au cœur de cette réussite, l’engagement des équipes apparaît comme un facteur déterminant. Monsieur Karim Ghelala, Directeur Général du LLOYD Assurances, souligne à ce propos : « Si LLOYD se distingue aujourd’hui, c’est avant tout grâce à l’engagement et au professionnalisme de ses équipes. À tous les niveaux, elles ont fait preuve d’une attention sincère, d’une discipline constante et d’un sens du service qui font la différence au quotidien. »

Il rappelle également que cette distinction dépasse le cadre interne de l’entreprise et s’inscrit dans une relation de confiance plus large avec les assurés : « À travers cette reconnaissance, c’est aussi un message de gratitude que nous adressons à nos clients. Leur confiance nous inspire, nous motive et nous pousse à viser toujours plus haut. »

Pour LLOYD Assurances, l’obtention du titre Élu Service Client de l’Année 2026 ne marque pas un aboutissement; mais plutôt une étape dans une démarche continue. L’entreprise affirme sa volonté de maintenir cette dynamique, de renforcer durablement la proximité avec ses assurés et de poursuivre l’amélioration constante de ses standards de qualité. L’ambition affichée est claire : inscrire cette performance dans le temps et faire de l’excellence du service un levier durable de différenciation.

Cette distinction vient ainsi confirmer le positionnement de LLOYD comme un acteur attentif, engagé et résolument tourné vers l’expérience client. Elle illustre pleinement la portée de son slogan : « تهنى اللويد معاك », une promesse d’une compagnie d’assurances qui rassure autant qu’elle assure. Et qui se traduit concrètement dans la relation quotidienne avec ses assurés.

*Étude IPSOS – Qualimétrie – Septembre à Novembre 2025 – Plus d’infos sur escda.tn

D’après communiqué

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Christophe Cottet : « Une coopération renforcée et des perspectives ambitieuses pour 2026 »

18. Dezember 2025 um 11:15

Christophe Cottet, directeur de l’agence AFD (Agence Française de Développement) à Tunis, détaille la collaboration intrinsèque entre l’AFD et Expertise France au sein du groupe AFD, qui regroupe aussi Proparco pour le financement du secteur privé. Cette intégration, unique par rapport à d’autres organismes comme la KfW et la GIZ allemands, a permis un développement rapide des synergies en Tunisie.

Rencontré en marge de l’événement d’Expertise France en Tunisie qui a fêté ses 10 ans, Christophe Cottet estime dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com qu’il s’agit d’un bilan positif après 30 ans de présence.

Présent en Tunisie depuis 1992, l’AFD a mobilisé l’équivalent de 4 milliards d’euros de financements, avec 1,6 milliard d’euros de projets actifs auprès des ministères et agences tunisiens. L’arrivée d’Expertise France, accélérée ces cinq dernières années, élargit les thématiques couvertes : l’AFD finance des prêts et des dons pour des investissements. Tandis qu’Expertise France apporte son assistance technique et son expertise. Ce tandem a diversifié l’empreinte de la coopération française, touchant des sujets inédits et renforçant les liens avec la délégation de l’Union européenne. Des ajustements sont en cours, comme une plus grande autonomie d’Expertise France dans l’identification de projets.

Perspectives pour 2026 et au-delà

Christophhe Cottet souligne que la programmation AFD s’appuie sur les demandes du gouvernement tunisien, avec une vision à deux ans (jusqu’en 2027). Ainsi, des projets en préparation portent sur l’eau et l’assainissement, ainsi que l’économie d’énergie dans les communes et les villes secondaires.

Il conclut : « D’autres initiatives pourraient émerger ou remplacer celles existantes, pour des investissements longs (5-6 ans de préparation). Cette coopération historique renforce le lien bilatéral franco-tunisien, alliant priorités françaises (comme la mobilité) et besoins régionaux. »

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Mustapha Mezghani : « Moins on réfléchit, moins on reste intelligent »

18. Dezember 2025 um 10:28

À la 2e journée de la 39e édition des Journées de l’Entreprise, thématisée « L’entreprise et le nouvel ordre économique », l’ancien Premier ministre français Dominique de Villepin a captivé l’auditoire avec son analyse géopolitique mondiale, focalisée sur le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et des recommandations précises pour la Tunisie.

Interrogé en direct, Mustapha Mezghani, Directeur général de la  Société de Gestion de la Technopole Sfax (SGTS),a réagi avec pragmatisme : « De Villepin a raison, mais à quel prix pour notre société ? »

Pour Mustapha Mezghani, les conseils de De Villepin d’une qualité certaine visent à corriger les faiblesses perçues par les investisseurs étrangers. Après un panorama économique global esquissé par l’invité, le zoom sur la Tunisie appelle à une action immédiate. « Même si on n’est pas convaincu, c’est la perception qui compte », insiste M. Mezghani.

De ce fait, améliorer cette image transformerait critiques en atouts, attirant capitaux et partenariats dans un contexte méditerranéen tendu.

Mustapha Mezghani : l’IA, simulatrice d’émotions

En outre, Mustapha Mezghani approfondit la mise en garde de De Villepin : l’IA, dépourvue de sentiments véritables, ne rehaussera pas notre humanité. Elle simulera les émotions avec une précision redoutable, comme les commerciaux ou les algorithmes de Cambridge Analytica lors des élections américaines. « Bientôt, robots humanoïdes et interfaces sur mesure offriront un ‘confort’ isolant, à l’image des hikikomori japonais reclus dans leur bulle virtuelle », alerte-t-il. « Cela donne à réfléchir » : l’IA pourrait éroder la pensée critique, imposant une « pensée unique » et un cercle vicieux d’atrophie cognitive.

Maîtrise de l’IA : l’éducation comme un rempart hybride

Refusant le fatalisme, Mustapha Mezghani plaide pour une approche hybride, inspirée des études de risques.

En somme, il appelle à former les élèves et les étudiants à exploiter l’IA sans s’y soumettre : vérifier ses outputs, réfléchir avec elle pour éviter l’appauvrissement intellectuel.

Autrement dit, « tout n’est pas noir : c’est une question de temps et de choix », conclut-il. Reste à intégrer l’IA en entreprise sans sacrifier l’essence humaine. Les Journées de l’Entreprise 2025 confirment leur rôle de forum visionnaire.

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Wifak Bank intouchable : 4 ans au sommet du service client en banque islamique

18. Dezember 2025 um 10:27

Wifak Bank consolide son leadership orienté client en étant élue Service Client de l’Année 2026 pour la 4ᵉ année consécutive – catégorie Banque Islamique.

Wifak Bank ouvre l’année 2026 sous les meilleurs auspices en annonçant son élection « Élue Service Client de l’Année 2026 ». Une distinction qu’elle remporte pour la quatrième année consécutive. Cette reconnaissance prestigieuse vient consolider la position de Wifak Bank en tant qu’acteur de référence de la finance islamique en Tunisie, plaçant l’orientation client au cœur de sa stratégie de performance et de création de valeur durable.

Attribué à l’issue d’une évaluation indépendante et rigoureuse menée par les partenaires d’ESCDA, notamment Qualimétrie et IPSOS, ce label récompense l’excellence des dispositifs de relation client de la Banque, sa capacité d’écoute, ainsi que la qualité des parcours proposés à ses clients sur l’ensemble du territoire.

Bien plus qu’un trophée, cette quatrième consécration consécutive illustre la cohérence d’une stratégie résolument centrée sur le client, fondée sur l’amélioration continue de l’expérience, l’optimisation des processus, la digitalisation des services et la personnalisation de la relation. Elle reflète également l’engagement, le professionnalisme et la mobilisation continue des équipes de Wifak Bank, véritables ambassadeurs de cette culture client.

En faisant de l’orientation client un levier majeur de performance opérationnelle et commerciale, Wifak Bank renforce durablement sa compétitivité et confirme son ambition de s’inscrire comme une banque islamique moderne, éthique et proche de ses clients, capable d’anticiper l’évolution de leurs attentes, dans un environnement en constante mutation.

Cette dynamique s’inscrit également dans une stratégie d’expansion maîtrisée à l’échelle nationale. L’élargissement progressif du réseau de Wifak Bank vise à renforcer la proximité avec la clientèle, améliorer la couverture territoriale et soutenir l’inclusion financière, tout en garantissant des standards élevés de qualité de service dans chaque nouvelle implantation.

Portée par une vision stratégique axée sur le capital humain, l’innovation et un engagement éthique fort, Wifak Bank poursuit son développement avec la conviction que la satisfaction client demeure le moteur essentiel de sa croissance, de sa performance et de sa pérennité.

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