Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 19. November 2025Haupt-Feeds

Déchets d’aluminium : l’UE prête à imposer de nouvelles restrictions

19. November 2025 um 19:56

La Commission européenne prévoit d’introduire des restrictions sur les exportations de déchets d’aluminium de l’Union européenne afin d’empêcher leur départ massif et le risque potentiel de laisser l’industrie européenne sans capacité suffisante. C’est une déclaration du commissaire européen au Commerce, Maros Šefčovič.

Les exportations de déchets d’aluminium de l’UE ont atteint un niveau record de 1,26 million de tonnes en 2024, selon l’association professionnelle European Aluminium, soit environ 50 % de plus qu’il y a cinq ans.

La majeure partie de ces exportations est destinée à l’Asie, d’après Reuters. Les droits de douane américains ont encore aggravé la situation.

L’article Déchets d’aluminium : l’UE prête à imposer de nouvelles restrictions est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Lancement du Prix de littérature BERD 2026

19. November 2025 um 19:41

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a lancé le Prix de littérature BERD 2026.

Ce prix récompense une œuvre de fiction traduite en anglais à partir d’une langue d’une économie dans laquelle la Banque investit actuellement, publiée pour la première fois au cours de l’année écoulée.
Les soumissions de romans ou de recueils de nouvelles d’un même auteur sont acceptées jusqu’au 8 décembre 2025 et seront examinées par un jury indépendant.

Le jury sera à nouveau présidé par Dr Maya Jaggi pour sa troisième et dernière année en tant que présidente. Parmi les nouveaux membres du jury pour 2026 figurent la professeure albanaise et auteure Lea Ypi, l’écrivain nigérian Professeur Chigozie Obioma et l’auteur de non-fiction Dr Marek Kohn.
Le lauréat sera annoncé lors d’une cérémonie de remise des prix au siège de la Banque à Londres le 2 juillet 2026.
Une somme de 20 000 € sera attribuée au livre gagnant, partagée à parts égales entre l’auteur et le traducteur.

Pour la première fois, les ouvrages d’auteurs venant du Bénin, de la Côte d’Ivoire, de l’Irak, du Kenya, du Nigeria et du Sénégal seront éligibles, puisque ces pays sont devenus des économies bénéficiaires de la BERD durant l’année écoulée.
La traduction est un élément clé de ce prix, et cette extension permettra de faire connaître des littératures dans un éventail encore plus large de langues grâce à leur traduction en anglais.

Le Prix de littérature BERD met en lumière la richesse littéraire des diverses régions où la Banque opère, réparties sur trois continents. Il célèbre également le rôle des traducteurs en tant que « ponts » entre les cultures. Depuis sa création en 2018, le prix a contribué à faire découvrir aux lecteurs anglophones un large éventail de littératures venues de pays tels que Albanie, Croatie, Tchéquie, Géorgie, Grèce, Hongrie, Lettonie, Liban, Lituanie, Maroc, Pologne, République slovaque, Turquie, Ukraine et Ouzbékistan.

L’article Lancement du Prix de littérature BERD 2026 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Hajj 2026 : le quota de la Tunisie maintenu

19. November 2025 um 19:15

Anis Mezoughi, responsable de la gestion à la direction générale du Hajj et de la Omra au ministère des Affaires religieuses, a précisé que pour la saison 2026, le nombre de pèlerins tunisiens a été fixé à 10 982, incluant mille personnes prises en charge à l’étranger et 9 982 autres réparties sur l’ensemble du territoire national.

A l’occasion d’une journée d’étude organisée par l’Institut supérieur de la charia au siège du gouvernorat de Kairouan, consacrée à « l’orientation religieuse du Hajj », il a indiqué qu’aucune augmentation du quota tunisien pour les lieux saints n’est prévue cette saison.

Il a exprimé l’espoir que les autorités saoudiennes ajustent à la hausse la part réservée à la Tunisie pour les prochaines saisons, en tenant compte de la croissance démographique observée lors du dernier recensement général, ce qui devrait contribuer à diminuer les longues périodes d’attente pour de nombreux candidats au pèlerinage.

L’article Hajj 2026 : le quota de la Tunisie maintenu est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

AMD, Cisco et la start-up saoudienne Humain s’allient pour bâtir les centres de données du futur en Arabie Saoudite

19. November 2025 um 18:52

L’alliance entre AMD, Cisco et la start-up saoudienne Humain vise à construire des centres de données innovants pour le développement de l’intelligence artificielle (IA). Humain, soutenue par l’investissement public saoudien, prévoit de bâtir d’importants centres de données d’une capacité totale de 1,9 gigawatt d’ici 2030, intégrant des processeurs et des solutions de compute avancées délivrées par AMD et Cisco pour renforcer l’infrastructure cloud et IA du Royaume.

L’article AMD, Cisco et la start-up saoudienne Humain s’allient pour bâtir les centres de données du futur en Arabie Saoudite est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’Inde demeure le deuxième client du pétrole russe

19. November 2025 um 17:42

Les achats de pétrole brut de New Delhi auprès de la Russie se poursuivent malgré les sanctions américaines imposées à Rosneft et Lukoil.

L’Inde a conservé sa place de deuxième plus grand acheteur de pétrole brut russe en octobre, après la Chine, selon les données d’un groupe de réflexion européen publié mardi 18 novembre 2025.

Le 22 octobre, les États-Unis ont imposé des sanctions à Rosneft et Lukoil, les plus grands producteurs de pétrole russes, afin de faire pression sur Moscou pour qu’elle mette fin au conflit ukrainien.

Le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur (CREA) a indiqué dans son analyse mensuelle des exportations russes de combustibles fossiles, publiée le 13 novembre, que l’Inde a dépensé 2,9 milliards de dollars en pétrole brut russe en octobre, ce qui représente 81 % des achats de combustibles fossiles de New Delhi auprès de ce pays.

Les importations indiennes de pétrole brut russe ont progressé de 11 % en octobre par rapport au mois précédent, selon l’agence. La CREA a également fait état d’une hausse de 8 % des importations totales. Si les importations des raffineries privées représentaient plus des deux tiers du total indien, celles des raffineries d’État ont quasiment doublé leurs volumes de pétrole russe en octobre.

La raffinerie de Vadinar, située dans l’État indien du Gujarat, dans l’ouest du pays, sanctionnée par l’UE et détenue en partie par Rosneft, aurait augmenté sa capacité de production à 90 % en octobre.

Le rapport de la CREA indique qu’après les sanctions de l’UE en juillet, la raffinerie importe du pétrole brut exclusivement de Russie.

En octobre, ses importations en provenance de Russie ont enregistré une hausse de 32 % par rapport au mois précédent, atteignant ainsi leur plus haut niveau depuis février 2022. Les exportations de la raffinerie, en revanche, ont chuté à leur plus bas niveau depuis mai 2023.

En septembre, 34 % des importations de pétrole de l’Inde provenaient de Russie, selon les données de Kpler. En moyenne, environ 1,8 million de barils de pétrole russe sont arrivés chaque jour en Inde en octobre.

Les États-Unis ont imposé des droits de douane de 50 % sur les importations de pétrole indien, dont 25 % à titre de mesures de réciprocité et le reste à titre de sanction pour l’importation de pétrole russe.

L’article L’Inde demeure le deuxième client du pétrole russe est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le Maire de New-York, Zohran Mamdani, et la figure du musulman d’Occident

19. November 2025 um 17:36

L’élection de Zohran Mamdani à la tête de New-York a eu une onde de choc mondiale qui continue de produire ses effets. Face aux profonds clivages qui traversent une société américaine éclatée, son discours a su conjuguer et incarner multiculturalisme et progrès social. Son dynamisme a eu raison, le temps d’une élection, d’une oligarchie financière, médiatique et politique qui a fait bloc face à sa candidature. Un front animé par une islamophobie occidentale ciblant la figure d’un ennemi de l’intérieur et de l’extérieur.

 

Musulman et occidental

 

En Occident, la problématique de l’immigration et la montée d’un néonationalisme visent en particulier les nationaux de culture ou de confession musulmane, dont l’identité complexe contribue à un sentiment d’insécurité identitaire.

 

Pourtant, contrairement aux thèses culturalistes encore en vogue, il y a nulle incompatibilité entre le fait d’être musulman et l’adhésion au « modèle républicain » à la française ou à l’American way life ; des concepts structurels mais non figés.

 

Comme en Europe, l’islam est en effet devenu aux États-Unis une question de politique intérieure. La présence arabe et plus largement musulmane est perçue comme une menace sécuritaire et identitaire. Dans ce contexte, les citoyens « Arabes d’Occident » ou « Araboccidentaux » se trouvent piégés dans une sorte de chaîne de de soupçons : Arabes/musulmans, musulmans/islamistes, islamistes/terroristes. D’où vient une telle construction ?

 

La construction d’une représentation

 

Si la Bible mentionne l’existence des Arabes, qu’elle identifie comme les descendants d’Ismaël (premier fils du prophète Abraham), leur représentation se forge à partir de l’expansion de l’Empire islamique (jusque dans le sud de l’Europe), à travers les récits des conquêtes islamiques et des reconquêtes européennes (espagnole et française).

 

Renforcée par les chroniques des Croisades, la figure de l’Arabo-musulman domine au-delà des origines ethniques, entre Sarrasins et Maures par exemple ; dépeint sous les traits de l’ennemi envahisseur et de l’infidèle violent, il est néanmoins doté d’un esprit noble et animé par des valeurs chevaleresques qui faisaient encore défaut aux guerriers Francs.

 

Mieux, la figure du « transmetteur » s’impose dans l’Europe du Moyen-âge et de la Renaissance, lorsque celle-ci redécouvre la pensée grecque grâce aux traductions de l’arabe vers le latin des œuvres d’Aristote.

 

Les Arabes sont progressivement éclipsés par les Ottomans, dont la domination a signifié le monopole dans la représentation du monde musulman par les Européens (Ali Kazancigil). Le développement des relations diplomatiques entre le royaume de François Ier et la Sublime Porte de Suleyman Le Magnifique, au début du XVIe siècle, annonce l’ère de l’orientalisme scientifique et artistique.

 

Les Vénitiens forgent le concept de « despotisme oriental », despotisme absolu qui fait office de repoussoir pour les philosophes des Lumières (pour Montesquieu notamment).

 

Malgré sa richesse et son apport (y compris à la culture arabe), l’orientalisme esthétique est aussi à l’origine de la diffusion de stéréotypes sur un Orient fantasmé et décadent.

 

Le monde arabe moderne est encore prisonnier de ces images et archétypes construits au début du XIXe siècle, où l’Autre est relégué dans un exotisme anhistorique résumé à cette image : en son palais exotique orné d’or, le despote oriental est flanqué de son harem, de ses esclaves et de ses cavaliers enturbannés. Les Arabes n’apparaissant que « sous l’angle du voyage pittoresque ou d’un vague mysticisme teinté d’initiatique » (Jacques Berque).

 

La figure d’un ennemi

 

Des Croisades à la (dé)colonisation, la figure de la menace musulmane s’est cristallisée dans la représentation occidentale. Depuis la fin de la guerre froide, la montée de l’intégrisme islamique a coïncidé avec la recherche d’un nouvel ennemi stratégique et symbolique en Occident.

 

Partant, la critique de l’islam (isme) a pris la place du communisme.Une lecture culturaliste et essentialiste vient figer la représentation des musulmans dans l’image d’une masse archaïque, rétive à la modernité, à la fois soumise et incontrôlable (si ce n’est par la force). Cette perception a justifié le soutien des régimes occidentaux à des régimes arabes autoritaires, qui avaient le mérite de maintenir l’ordre et la stabilité…

 

Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, la figure de l’Arabo-musulman incarne définitivement cet ennemi symbolique de l’Occident. Cette perception est étayée par la thèse du « choc des civilisations », développée par le politologue américain Samuel Huntington, selon laquelle l’ordre du monde tient à un conflit de systèmes de valeurs dans lequel la civilisation islamique menace l’Occident.

 

Enfin, les soulèvements de peuples arabes en 2011 ont fait resurgir l’obsession islamiste. Preuve de la persistance des vieux réflexes, des notions superficielles ou fantasmagoriques ont (re)surgi pour mieux réduire les Arabes à un bloc monolithique écrasé par le poids de la religion musulmane.

 

L’élection du nouveau Maire de New-York, Zohran Mamdani, vient rappeler que l’identité musulmane n’est pas incompatible avec la réussite d’un parcours personnel dans une société occidentale. La question est de savoir si au-delà des destins individuels, il est encore possible de reconstruire la représentation collective des musulmans en Occident près des décennies, voire des siècles de discours avilissant et dénigrants.

L’article Le Maire de New-York, Zohran Mamdani, et la figure du musulman d’Occident est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Désinformation : une menace transnationale pour les démocraties

19. November 2025 um 17:21

L’ambassade de Pologne à Tunis a organisé un débat réunissant experts et diplomates autour du thème de l’impact de la désinformation dans les sphères sociale et politique. Les intervenants ont alerté sur la banalisation de ce phénomène, désormais structurel dans nos espaces publics et instrumentalisé par des acteurs étatiques comme par des mouvements populistes. La manipulation de l’information y a été décrite comme une menace stratégique nécessitant des réponses innovantes.

L’ambassadrice de Pologne, Justyna Porazińska, a ouvert les débats en insistant sur le caractère global de la menace. Elle a souligné que les activités nuisibles de la désinformation s’étaient particulièrement renforcées après l’invasion de l’Ukraine, affectant désormais toutes les nations, y compris le continent africain. Si la nature de ces activités varie selon les régions, leurs effets restent malheureusement similaires.

La diplomate a identifié les objectifs invariables de ces actions hostiles : diviser, désorienter, discréditer, détruire et démoraliser les sociétés cibles.

Zina Mekouar, représentante du Service européen pour l’action extérieure (SEAE), a présenté une analyse détaillée de la manipulation et de l’ingérence informationnelles étrangères. Elle qualifie ce phénomène de risque sécuritaire majeur pour les démocraties, soulignant qu’il est devenu un instrument à part entière de la politique étrangère de certains États.

Elle rappelé que le SEAE a développé depuis 2015 une méthodologie qui cible les comportements manipulateurs plutôt que les simples contenus faux. Cette approche vise les causes plutôt que les symptômes de la désinformation.

La boîte à outils de l’Union européenne face à la désinformation

La réponse européenne s’articule autour de trois piliers essentiels : la veille informationnelle par la cartographie du paysage médiatique et la création de réseaux d’analystes, le renforcement de la résilience sociétale via des formations et le soutien aux médias indépendants, et l’engagement réglementaire avec le secteur privé, notamment sur les questions d’intelligence artificielle. Cette stratégie globale entend traiter le phénomène à sa source plutôt que de simplement réagir à ses manifestations visibles.

Le mandat politique du SEAE le conduit à concentrer ses priorités sur les activités menées par la Russie et la Chine. Des campagnes spécifiques ont été citées, comme False Facade (ou fausse façade, en français), un réseau de plus de 200 sites « impersonnant » des médias européens, et Doppelgänger, une opération de copie d’interfaces médiatiques dans 35 langues.

En Afrique du Nord, cette influence passe notamment par la diplomatie culturelle et des accords de coopération signés entre l’agence Sputnik et des médias locaux en Tunisie et en Algérie, par exemple.

La désinformation comme nouvelle norme structurelle

Karim Bouzouita, enseignant et expert en communication politique, a présenté une analyse plus fondamentale du phénomène. Selon lui, la désinformation n’est plus l’exception mais la norme, structurant désormais nos espaces publics et médiatiques. Cette transformation correspond à la fin de l’époque où les médias traditionnels créaient un imaginaire commun. Nous serions entrés dans l’ère des populismes conspirationnistes, où les acteurs n’adhèrent pas nécessairement aux théories qu’ils propagent, mais les utilisent à des fins politiques ou économiques.

Plusieurs facteurs expliquent l’efficacité de la désinformation selon l’expert. Le modèle économique actuel fait de la populisme un capital plus valorisé que la compétence, encourageant l’adoption d’idées extrémistes comme chemin rapide vers la notoriété. La concentration médiatique, tant dans les médias traditionnels que sociaux, facilite la diffusion de ces contenus.

Enfin, le cerveau humain serait naturellement enclin à accepter les mensonges qui confortent ses croyances, une faiblesse exploitée par des équipes de neuroscientifiques travaillant à maximiser l’attention sur les plateformes numériques.

L’expert a rappelé que les campagnes de désinformation ont des conséquences bien réelles, citant l’exemple de l’affaire du pétrole en Tunisie en 2016 où des élites politiques et médiatiques avaient diffusé de fausses données.

Les attaques terroristes d’extrême droite constituent une autre manifestation de cette contamination des discours conspirationnistes dans la sphère publique, y compris dans les pays du Sud où s’exportent les rhétoriques suprémacistes européennes.

L’article Désinformation : une menace transnationale pour les démocraties est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie-Égypte : un nouveau mécanisme pour doper les échanges industriels

19. November 2025 um 17:07

La Tunisie et l’Égypte ont signé à Tunis un mécanisme d’application du mémorandum d’entente sur la reconnaissance mutuelle des certificats de conformité des produits industriels non alimentaires; mémorandum destiné à lever les barrières techniques au commerce et à faciliter les échanges bilatéraux.

En clair, ce dispositif devrait permettre entre autres d’éviter la duplication des tests et analyses pour les exportateurs des deux pays, en s’appuyant sur la reconnaissance réciproque des certifications nationales et sur des procédures garantissant l’intégrité des transactions. Autrement dit, un produit testé dans l’un des deux pays ne devrait pas l’être dans l’autre.

À noter que ledit accord, conclu à l’issue de la 14ᵉ réunion du Groupe de travail mixte tuniso-égyptien, tenue les 17, 18 et 19 novembre 2025 à Tunis, constitue une étape clé dans la mise en œuvre du mémorandum signé en 2022, selon l’Institut national de la normalisation et de la propriété industrielle (Innorpi), qui y voit un instrument essentiel pour fluidifier l’accès aux deux marchés respectifs.

Ainsi, la cérémonie de signature a regroupé essentiellement le directeur général de l’Innorpi, Nafâa Boutiti, le président du conseil d’administration de la GOEIC, Essam Al-Naggar, le président de l’Autorité générale des standards et de la qualité et président élu de l’ISO, Khaled Soufi, l’ambassadeur d’Égypte à Tunis, Bassem Hassan, et le conseiller commercial égyptien, Mohamed El-Maghraby.

La Tunisie considère que ce mécanisme doit renforcer la confiance mutuelle et éliminer les obstacles techniques au commerce. Et pour l’Égypte, il s’agit d’un «saut qualitatif» dans la coopération bilatérale, bénéfique aux consommateurs comme aux producteurs…

L’article Tunisie-Égypte : un nouveau mécanisme pour doper les échanges industriels est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Sit-in des jeunes médecins devant le Parlement pour non-application de l’accord du 3 juillet 2025

19. November 2025 um 16:46

À l’exception des urgences, les médecins internes et résidents ont observé, mercredi 19 novembre, une grève générale dans toutes les facultés et tous les hôpitaux. Ils se sont aussi rassemblés devant le siège du Parlement où se déroulent les débats sur le budget du ministère de la Santé au titre de l’année 2026.

Wajih Dhokkar, président de l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM), a souligné que ces mouvements de protestation ont été décidés à la suite de l’échec de la séance de négociation tenue mardi 18 courant, avec le ministère de tutelle et en présence de représentants de la présidence du gouvernement et du ministère des Finances.

En effet, les jeunes médecins revendiquent l’application de l’accord du 3 juillet dernier par le ministère de la Santé.

Selon Dhokkar, le ministère de tutelle a renoncé à la mise en œuvre de cet accord qui prévoit le versement des indemnités de garde dans tous les hôpitaux, l’application des conditions d’exemption, de report ou de maintien du même lieu de résidence pour le service civil et la publication du décret portant augmentation du salaire mensuel des jeunes médecins à partir du 1er janvier 2026.

Le responsable syndical a indiqué que l’organisation a découvert que les jeunes médecins bénéficieront des augmentations salariales générales inscrites dans le projet de budget de l’État pour 2026 alors que l’accord du 3 juillet prévoyait une majoration plus importante spécifique aux jeunes médecins.

Dhokkar a également déploré le « silence du conseil national de l’Ordre des médecins qui s’était porté garant de l’application de cet accord ».

Selon le président de l’OTJM, d’autres mouvements de protestation suivront jusqu’à la satisfaction des revendications « légitimes » des jeunes médecins.

L’article Sit-in des jeunes médecins devant le Parlement pour non-application de l’accord du 3 juillet 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Débats budgétaires : la carte sanitaire étrillée par les députés

19. November 2025 um 16:33

Des députés ont souligné, au cours d’une séance plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts, mercredi 19 novembre, consacrée à l’examen du budget du secteur de la santé pour l’année 2026, en présence du ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, que la carte sanitaire en Tunisie connaît un certain nombre de défaillances malgré les efforts déployés.

Certains députés ont indiqué que la répartition des services de santé dans les différentes régions du pays est à la fois inéquitable et déséquilibrée, signalant l’absence d’établissements sanitaires, le manque d’équipements médicaux et de ressources humaines dans certaines régions du pays.

Les députés ont reconnu les efforts du ministère en matière de développement du paysage sanitaire, dont les résultats sont clairement visibles dans plusieurs régions marginalisées. « Néanmoins, les résultats escomptés n’ont pas été atteints en raison de  l’insuffisance des fonds et la lenteur des procédures administratives », ont-ils affirmé.

Ils ont également noté qu’un nombre d’établissements de santé dans les régions disposent d’équipements usés et insuffisants en quantité et ne sont pas dotés de services de réanimation et d’urgences, de services de gynécologie équipés, ce qui oblige les citoyens à se déplacer vers la capitale ou les grandes villes pour bénéficier des services de santé.

Certains élus ont signalé les difficultés d’obtenir les médicaments vitaux pour les patients, soulignant la nécessité de renforcer la gouvernance de l’achat des médicaments, de renforcer les stocks de la pharmacie centrale et d’encourager l’industrie pharmaceutique locale pour surmonter ces difficultés.

Ils ont déploré le blocage de certains projets de construction d’établissements sanitaires dans les régions et la lenteur pour le parachèvement des travaux de réhabilitation de certains services dans les hôpitaux régionaux et universitaires.

Les députés ont demandé la création de facultés de médecine et d’écoles supérieures des sciences et techniques de la santé et des soins infirmiers dans plusieurs régions du pays pour pallier le manque de ressources humaines dans le secteur de la santé.

D’autre part, ils ont appelé à établir un plan national urgent pour lutter contre la migration des médecins et du personnel paramédical, et à accorder des incitations matérielles et morales, au personnel de santé travaillant dans les zones intérieures.

Par ailleurs, les députés ont appelé à résoudre le dossier des aides soignants, au chômage depuis les sessions de 2009 à 2013, dont le nombre s’élève à 3099 sur l’ensemble du territoire.

Ils ont salué le développement du secteur du tourisme médical en Tunisie, qui est devenu une destination reconnue à travers le monde, notamment dans le domaine de la médecine esthétique, mettant en garde contre les marchés douteux dans ce secteur, qui nécessite, selon eux, un contrôle permanent.

Avec TAP

L’article Débats budgétaires : la carte sanitaire étrillée par les députés est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plus de 200 milliards prêtés : la Chine finance d’abord… les États-Unis

19. November 2025 um 16:27

Selon une étude portant sur les activités de crédit de Pékin, les États-Unis sont le principal bénéficiaire des prêts chinois à l’échelle mondiale…

Selon un rapport publié mardi 18 novembre par AidData, un laboratoire de recherche de l’Université de William & Mary, les prêts et dons accordés par la Chine entre 2000 et 2023 ont totalisé 2 200 milliards de dollars, répartis dans 200 pays et toutes les régions du monde.

Longtemps considérée comme un créancier des pays en développement à travers son initiative « la Ceinture et la Route », la Chine se tourne désormais vers les économies avancées, en soutenant les infrastructures stratégiques et les chaînes d’approvisionnement de haute technologie dans des secteurs tels que les semi-conducteurs, l’intelligence artificielle et les énergies propres…

Plus des trois quarts des prêts chinois à l’étranger financent désormais des programmes et des activités dans les pays à revenu intermédiaire supérieur et les pays à revenu élevé.

« Une grande partie des prêts accordés aux pays riches est axée sur les infrastructures critiques, les minéraux critiques et l’acquisition d’actifs de haute technologie, tels que les entreprises de semi-conducteurs », explique Bradley Parks, directeur exécutif d’AidData et principal auteur de l’étude.

D’après l’étude, les États-Unis ont reçu la plus grande part des crédits du secteur public chinois, soit plus de 200 milliards de dollars pour près de 2 500 programmes et activités.

Les entités étatiques chinoises sont « actives dans tous les recoins des États-Unis », finançant la construction d’installations de GNL au Texas et en Louisiane, de centres de données en Virginie du Nord, de terminaux à l’aéroport international John F. Kennedy de New York et à l’aéroport international de Los Angeles, du gazoduc Matterhorn Express et de l’oléoduc Dakota Access, rapporte AidData.

Pékin a financé l’acquisition d’entreprises de haute technologie, tandis que des institutions de prêt appartenant à l’État chinois ont accordé des facilités de crédit à de nombreuses entreprises du classement Fortune 500, dont Amazon, AT&T, Verizon, Tesla, General Motors, Ford, Boeing et Disney, indique le rapport.

La part des prêts aux pays à faible revenu et à revenu intermédiaire inférieur est tombée à 12 % en 2023, contre 88 % en 2000. Pékin a également réduit ses prêts pour les projets d’infrastructure dans les pays du Sud, dans le cadre de son initiative « Une ceinture, une route ».

Dans le même temps, elle a porté à 76 % en 2023 la part de ses prêts aux pays à revenu intermédiaire et élevé, contre 24 % en 2000. Ainsi, le Royaume-Uni, par exemple, a reçu 60 milliards de dollars, tandis que les pays de l’Union européenne en ont reçu 161 milliards.

L’article Plus de 200 milliards prêtés : la Chine finance d’abord… les États-Unis est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bourse de Tunis : le Tunindex clôture mercredi en quasi équilibre

19. November 2025 um 16:24

Le marché boursier a gagné quelques points sur la séance (+0,09 %), terminant à 13 153 points. En l’absence de transactions de bloc, les échanges ont été modestes, cumulant une enveloppe de 6,7 millions de dinars (MDT), selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre UBCI s’est adjugé la plus forte hausse de la séance, l’action du banquier s’est appréciée de 4,5 % à 28,540 D, dans de maigres échanges de 7 000 dinars.

LAND’OR a été la valeur vedette de la séance. L’action du fromager a chapeauté le palmarès des volumes en drainant une enveloppe de 794 000 dinars. La valeur s’est bonifiée de 3,7 % à 14,200 D sur la séance.

 Le titre AIR LIQUIDE a accusé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action a reculé de 3,2 % à 150 D, en amassant un flux très réduit de 6 000 dinars.

Le titre MAGASIN GENERAL a, également, été mal orienté sur la séance, cédant 2,3 % à 8,600 D. La valeur a brassé des capitaux limités de 14 000 dinars sur la séance.

L’article Bourse de Tunis : le Tunindex clôture mercredi en quasi équilibre est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Repli du pétrole après l’augmentation des stocks américains

19. November 2025 um 15:32

Les prix du pétrole ont baissé, mercredi 19 novembre, sur les marchés asiatiques après la publication d’un rapport périodique faisant état d’une hausse des stocks américains, ce qui a contribué à dissiper les inquiétudes concernant l’impact des sanctions occidentales sur la Russie.

Le Brent, référence mondiale du pétrole, est tombé à environ 64 dollars le baril après avoir progressé mardi, tandis que le West Texas Intermediate, référence américaine du pétrole, s’est approché des 60 dollars le baril.

Cette situation fait suite à la publication, la semaine dernière, d’un rapport de l’American Petroleum Institute (API) – organisme financé par l’industrie pétrolière américaine -, faisant état d’une augmentation de 4,4 millions de barils des stocks de pétrole brut, ainsi que d’une hausse des stocks de produits raffinés.

Selon Bloomberg News, les sanctions américaines contre les géants pétroliers russes Rosneft et Lukoil devraient entrer en vigueur dans les prochains jours, dans le cadre des efforts visant à accroître la pression sur Moscou pour mettre fin à la guerre en Ukraine…

« Le prix du pétrole brut reste stable », a déclaré Vandana Hari, fondatrice de la société d’analyse Vanda Insights, basée à Singapour, partagée entre les prévisions de surproduction et les inquiétudes concernant les perturbations de l’approvisionnement russe, ajoutant que « le facteur de prime de risque est fluctuant ».

Signe d’une forte augmentation de l’offre, le volume de pétrole brut transporté par pétroliers a atteint un nouveau record à l’approche de l’échéance des sanctions américaines, soulignant l’ampleur du problème. Selon Vortexa Ltd., près de 1,4 milliard de barils ont été transportés la semaine dernière vers des destinations désignées ou vers des unités de stockage flottantes.

L’article Repli du pétrole après l’augmentation des stocks américains est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Climat : l’agriculture africaine a perdu 611 milliards de dollars entre 1991 et 2023

19. November 2025 um 14:40

L’Afrique a accusé 611 milliards de dollars de pertes agricoles entre 1991 et 2023. Et ce, en raison des catastrophes naturelles et des aléas climatiques. Ce chiffre a un grand impact sur la sécurité alimentaire du continent. Etant donné que l’agriculture y représente la principale source d’emplois et d’activités économiques. C’est ce qu’il ressort d’un récent rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Intitulé « L’Impact des catastrophes sur l’agriculture et la sécurité alimentaire 2025 – Des solutions numériques pour réduire les risques et les impacts », ledit rapport indique que l’Afrique accuse ainsi l’impact économique relatif le plus marqué, avec des pertes équivalant à 7,4 % de son PIB agricole. Ce qui témoigne des effets dévastateurs subis par les économies africaines.

Au niveau sous-régional, l’Afrique occidentale apparaît comme la sous-région la plus vulnérable avec 13,4 % de pertes du PIB agricole. Un chiffre qui représente un fardeau économique extrêmement lourd. Il reflète l’exposition aiguë de la sous-région aux catastrophes liées au climat et sa capacité d’adaptation limitée.

L’Afrique australe suit, très loin, avec 7,6 % de pertes du PIB agricole. Tandis que l’Afrique de l’Est subit 5,8 % de pertes, confirmant ainsi une vulnérabilité accrue à travers le continent africain.

Cette tendance continentale reflète des défis communs, liés notamment à :

  • La forte dépendance à l’égard de l’agriculture pour l’emploi et la stabilité économique;
  • La dépendance généralisée à l’égard des systèmes agricoles pluviaux;
  • Et aux ressources financières insuffisantes pour réduire les risques de catastrophe et instaurer des mesures d’adaptation au changement climatique.

3 260 milliards de dollars de pertes agricoles à l’échelle mondiale

La même source relève que sur une période de 33 ans (1991-2023), les catastrophes ont infligé au secteur agricole des pertes estimées à 3 260 milliards de dollars américains. Soit 99 milliards de dollars par an en moyenne. Les cultures céréalières ont payé le plus lourd tribut, avec 4,6 milliards de tonnes de pertes, suivies par les fruits et légumes (2,8 milliards de tonnes). Tandis que la viande et les produits laitiers perdent 900 millions de tonnes.

L’analyse régionale montre que l’Asie accuse les plus lourdes pertes, à savoir 47 % du total mondial (1 530 milliards de dollars). Ce qui peut s’expliquer par son secteur agricole très vaste, sa population rurale nombreuse et sa vulnérabilité accrue aux catastrophes d’origine climatique. Viennent ensuite l’Amérique, avec 22 % du total (713 milliards de dollars), puis l’Afrique avec 19% (611 milliards de dollars).

Les pertes de production dues aux catastrophes correspondent à une réduction des disponibilités énergétiques de 320 kcal par personne et par jour au niveau mondial. On déplore des pertes de fer équivalentes à 60 % des besoins pour les hommes. Ainsi que de graves déficits en vitamines et minéraux essentiels qui tendent à affecter les populations vulnérables de manière disproportionnée. Selon les estimations, les vagues de chaleur marines ont causé à elles seules 6,6 milliards de dollars de pertes dans le secteur de la pêche (1985-2022).

Au niveau mondial, 15 % des pêcheries ont été touchées et les pertes de production ont dépassé 5,6 millions de tonnes. Ce qui témoigne de l’impact considérable – mais en grande partie non quantifié – de ces catastrophes sur les systèmes alimentaires aquatiques. Pourtant, la pêche et l’aquaculture restent largement passées sous silence dans les évaluations des catastrophes. Alors qu’elles assurent la subsistance de 500 millions de personnes.

L’impact des catastrophes sur l’agriculture ne se limite pas aux pertes de production immédiates. Mais il englobe également les dommages causés aux infrastructures, les perturbations des marchés, les défaillances des systèmes financiers et la dégradation des services éco-systémiques, qui peuvent persister pendant plusieurs années après l’événement initial.

La FAO estime donc qu’il est nécessaire de développer les outils d’évaluation existants afin de saisir systématiquement les effets directs et indirects. Tout en prenant en considération les valeurs non économiques, les effets différenciés sur les groupes vulnérables, les atteintes à la biodiversité et les perturbations à long terme des écosystèmes.

Par ailleurs, les technologies et les outils numériques révolutionnent le suivi des risques dans l’agriculture. Les plateformes numériques interopérables transforment les données brutes sur le climat, les sols, les variables socioéconomiques et les aléas en informations exploitables.

Des analyses avancées alimentées par l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique permettent désormais d’obtenir en temps réel des informations hyperlocales et intégrées sur les risques, qui sont facilement exploitables.

L’article Climat : l’agriculture africaine a perdu 611 milliards de dollars entre 1991 et 2023 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Monde sous pression : Moody’s pointe une croissance fragile et une bulle IA menaçante

19. November 2025 um 14:10

La croissance mondiale devrait rester stable mais modérée, les marchés émergents conservant pour la plupart une dynamique plus soutenue que ceux des pays avancés, selon le dernier rapport « Perspectives macroéconomiques mondiales 2026-2027 de Moody’s Ratings » publiées mardi 18 novembre.

En ce qui concerne le commerce, l’agence avertit que la probabilité d’un découplage entre la Chine (A1 négatif) et les États-Unis (Aa1 stable) a augmenté avec l’accroissement des restrictions commerciales et de l’incertitude, même si d’autres grandes économies pourraient continuer à renforcer leurs relations.

Perspectives mitigées pour la croissance mondiale

La croissance du PIB mondial réel devrait se situer entre 2,5 % et 2,6 % en 2026 et 2027, contre 2,6 % en 2025 et 2,9 % en 2024.

Selon le le même rapport, les économies avancées devraient croître d’environ 1,5 % par an au cours des deux prochaines années, tandis que les marchés émergents devraient croître d’environ 4,0 %.

Pour les États-Unis, Moody’s note que la croissance du PIB s’est maintenue jusqu’à présent, mais que l’économie ralentit, avec une faible croissance des embauches et des revenus, ce qui correspond à la phase finale d’un cycle économique.

Le marché du travail s’affaiblit, mais la solide consommation des ménages et les investissements dans l’intelligence artificielle (IA) ont soutenu une forte croissance du PIB, ce qui a conduit à des révisions à la hausse des prévisions pour 2025 (croissance de 2 % contre 1,5 % précédemment) et 2026 (1,8 % contre 1,5 % précédemment).

Pour leur part, les perspectives de l’Europe s’améliorent légèrement, la consommation des ménages étant soutenue par la stabilité de l’emploi et des salaires, l’assouplissement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) et les investissements dans les infrastructures et les technologies vertes.

L’augmentation des dépenses publiques de l’Allemagne (notation stable Aaa) en matière d’infrastructures et de défense, ainsi que l’augmentation des dépenses de défense dans d’autres pays, devraient profiter à l’ensemble de la région, même si ce sera de manière inégale.

Cependant, le dynamisme économique de la France devrait ralentir, l’incertitude politique et budgétaire freinant l’investissement des entreprises et les embauches et maintenant la consommation des ménages à un niveau modéré au moins jusqu’à mi-2026.

Les exportations chinoises et le soutien gouvernemental continuent de compenser la faiblesse de l’économie intérieure. L’économie chinoise devrait croître de 5 % en 2025, soutenue par les mesures de relance gouvernementales et la vigueur des exportations, même si l’entreprise prévoit un ralentissement progressif de la croissance du PIB réel à 4,2 % d’ici 2027. Les fondamentaux économiques nationaux restent fragiles, avec une consommation inégale, un faible niveau de crédit aux entreprises et un repli des investissements en capital fixe.

La politique monétaire à différentes étapes 

Les banques centrales se trouvent à différents stades de normalisation de leur politique monétaire. Les politiques monétaires divergent à l’échelle mondiale : la Réserve fédérale américaine assouplit sa politique en raison des inquiétudes liées au marché du travail, tandis que d’autres banques centrales adoptent des approches plus prudentes. Les politiques monétaires des marchés émergents varient également : les banques centrales chinoise et indonésienne assouplissent leur politique, tandis que la Banque de réserve de l’Inde maintient la sienne.

Les risques

L’entreprise prévient que les risques sont nombreux, notamment les tensions géopolitiques et les perturbations potentielles du commerce et des marchés.

Une correction des valorisations des entreprises technologiques pourrait déclencher une importante vague de ventes sur le marché boursier américain.

Les tensions géopolitiques, les perturbations commerciales et l’instabilité politique accentuent l’incertitude.

Des politiques monétaires divergentes et des marchés obligataires fragiles, sujets à des périodes de forte volatilité, risquent d’exacerber les turbulences financières.

L’article Monde sous pression : Moody’s pointe une croissance fragile et une bulle IA menaçante est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

«Hyundai Care Days» sont de retour, du 17 au 28 novembre 2025

19. November 2025 um 12:52

Alpha Hyundai Motor et TotalEnergies ont renouvelé leur engagement avec une campagne après-vente exceptionnelle du 17 au 28 novembre 2025.

Alpha Hyundai Motor, distributeur officiel en Tunisie de la firme automobile sud-coréenne Hyundai et leader du marché automobile, annonce le lancement des «Hyundai Care Days», une campagne après-vente exclusive menée en partenariat avec TotalEnergies. Cette opération très attendue se poursuivra jusqu’au 28 novembre 2025, offrant aux clients des avantages exceptionnels pour l’entretien de leurs véhicules.

«Hyundai Care Days» fait son grand retour pour réaffirmer notre engagement continu envers nos clients. Cette campagne, menée en partenariat avec TotalEnergies, illustre notre volonté d’offrir un service premium à des conditions avantageuses, tout en maintenant les standards d’excellence qui font notre réputation », a déclaré Mehdi Mahjoub, directeur général d’Alpha Hyundai Motor.

Durant toute la période des «Hyundai Care Days», Hyundai Services Tunisie offrira des remises exclusives sur l’ensemble des prestations d’entretien : 10% de remise sur les lubrifiants Quartz, 15% sur la main-d’œuvre et 20% sur les pièces de rechange d’origine. Ces remises s’appliquent à tous les types d’entretien, qu’il s’agisse de la maintenance périodique, de la vidange, du remplacement des filtres ou des contrôles de sécurité.

Tous les services sont réalisés par des techniciens certifiés, conformément aux standards Hyundai, garantissant ainsi la préservation de la garantie constructeur de 5 ans. Cette campagne est accessible au niveau de l’atelier du service rapide Hyundai Services Tunisie à Charguia 1, qui offre une prise en charge fluide et efficace, garantissant un service de qualité à tous les clients.

Les prises de RDV sont possibles au téléphone mais également à travers l’application mobile «MyHyundaiTunisia», disponible gratuitement sur les plateformes iOS et Android. Pour rappel, cette application a été lancée par Hyundai pour une expérience toujours plus fluide, moderne et connectée. Elle offre aux clients Hyundai, non seulement la possibilité de prendre RDV et d’optimiser leur planning mais également l’accès aux informations clés relatives à leur véhicule, telles que l’historique des services, les rappels d’entretien, ainsi que les horaires et coordonnées des ateliers Hyundai.

Élu « Service Client de l’Année » pour la quatrième année consécutive, Alpha Hyundai Motor démontre une fois de plus sa capacité à placer la satisfaction client au cœur de ses priorités. « Hyundai Care Days » illustre cette philosophie en offrant un accès facilité à un service après-vente de qualité supérieure, alliant expertise technique, pièces d’origine et tarifs préférentiels.

Les « Hyundai Care Days » ont démarré ! Profitez-en jusqu’au 28 novembre 2025 dans votre point de service Hyundai !

L’article «Hyundai Care Days» sont de retour, du 17 au 28 novembre 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

EY : vers une finance inclusive, résiliente et personnalisée

19. November 2025 um 12:07

Tunisie, 2030. Yasmine s’apprête à finaliser l’achat de sa maison, difficilement dénichée après plusieurs mois de recherches et de visites. Il ne lui reste plus qu’à trouver le financement, mais elle sait que cela pourra se faire très rapidement.

Elle accède à sa Super app (place de marché de la finance tunisienne), charge les plans, les photos et l’emplacement de la maison, réserve le montant de son apport personnel disponible sur ses comptes bancaires, sélectionne les banques et les assurances qu’elles souhaitent consulter et autorise leur accès à ses données personnelles et aux données de la maison à acquérir. Les banques et les assurances sont automatiquement informées, leurs agents IA préparent la décision de crédit et le dossier de souscription d’assurance en « expertisant » le bien, analysant les capacités financières de Yasmine et proposant l’offre la plus adéquate.

Les 2 banques, 3 assurances et 4 bancassureurs sélectionnés par Yasmine fournissent leurs offres de crédit et de couverture d’assurance vie et incendie sous 48 heures. Yasmine n’a plus qu’à sélectionner les meilleures offres et à déclencher la mise en place des dossiers en lien avec les services publics désormais en ligne.

Une fois les dossiers en place, l’application fait le virement du montant du crédit ainsi que l’apport personnel réservé au vendeur et déclenche les couvertures en assurance. Ce scénario de la vie courante en 2030 illustre l’évolution des usages des consommateurs tunisiens vers plus d’immédiateté, d’accessibilité et de personnalisation grâce à l’activation des technologies modernes d’IA, de digitalisation et d’exploitation des données et ce dans le strict respect des réglementations de protection de données personnelles notamment.

Ainsi, le secteur financier est aujourd’hui à un tournant décisif. Porté par une dynamique mondiale de digitalisation, il est simultanément confronté à une pression réglementaire croissante et à des attentes clients en pleine mutation. Cette triple révolution -technologique, réglementaire et d’usage -redéfinit les contours de la finance de demain : plus inclusive, plus résiliente, et surtout, plus personnalisée.

Forte évolution des usages à satisfaire

Les clients évoluent et deviennent plus mobiles, mieux informés, plus pressés et plus connectés et s’attendent à ce que les services financiers répondent à leur besoin de rapidité voire d’immédiateté, d’accessibilité et de conseil. Les interactions avec les banques et les assureurs se doivent aujourd’hui d’être multicanales pour s’informer en ligne, faire des simulations sur smartphone, conclure en agence et suivre ses contrats en ligne ou par téléphone.

Les jeunes générations s’attendent à une expérience client personnalisée, voire communautaire, à l’image de ce qu’ils connaissent depuis des années sur les réseaux sociaux.

Enfin, les clients sont de plus en plus sensibles aux critères extra financiers, pas encore comme critère discriminant de souscription, mais comme facilitateur de choix. Ainsi, selon une étude de perception de l’assurance en Tunisie réalisée par EY en avril 2025, 62% des clients d’assurance se déclarent sensibles aux actions RSE entreprises par leur assureur.

Inclusion financière à accélérer

Par ailleurs, nous continuons en Tunisie à avoir un enjeu important d’inclusion financière qui constitue à la fois une obligation «morale» des institutions financières d’équiper et d’accompagner les acteurs économiques et une opportunité d’accélérer leur croissance.

Ainsi, nous jouissons d’un des taux de bancarisation les plus élevés en Afrique, estimé à 50% selon le rapport de la Banque mondiale en 2023, mais ce taux stagne et reste bien en deçà des standards internationaux des pays de l’OCDE (> à 97%).

Une avancée a été réalisée ces dernières années dans le paiement mobile, mais le nombre de wallets restent assez timides avec 440.000 wallets atteints à mi 2025 selon le rapport de la Banque centrale de Tunisie (BCT) sur les paiements au premier semestre 2025. Une adoption encore timide malgré les efforts.

Le taux de pénétration en assurance (rapport entre le chiffre d’affaires des assureurs et le PIB), indicateur du niveau de couverture de l’économie contre les divers aléas et donc révélateur de sa résilience, reste en Tunisie à 2,4% et très en deçà de la moyenne mondiale qui est à 7,4%. Ainsi, lunisie présente aujourd’hui un très grand potentiel de développement de l’assurance avec un enjeu de multiplier le chiffre d’affaires non-vie par 2,5 et celui de l’assurance vie par 5, et ce pour rattraper la moyenne mondiale. Pour relever ces défis, plusieurs pistes peuvent être envisagées, notamment l’innovation digitale, l’éducation financière et une régulation plus incitative

Pression réglementaire croissante

Les régulateurs du secteur financier accentuent depuis quelques années la cadence des réformes réglementaires pour renforcer les bonnes pratiques de la finance tunisienne et par là-même sa résilience et sa capacité à accompagner le développement économique.

Des réformes sont ainsi en cours pour renforcer la solvabilité des banques et des assurances avec la mise en place de méthodes plus quantitatives des exigences en fonds propres et de minima plus consistants. Des normes semblables à celles de Bâle 3 sont en cours de mise en place pour les banques et des études sont en cours pour la mise en œuvre de normes de solvabilité basée sur les risques pour les assurances. Ces réformes permettront au secteur financier d’être plus résilient et mieux protégé contre les aléas économiques et donc de mieux servir les acteurs économiques.

Cette évolution s’étend au reporting financier avec le projet d’adoption des normes IFRS par le secteur financier qui donnent une meilleure vision de la réalité économique et de la solidité financière des entreprises.

Malgré des niveaux de maturité différents entre les acteurs du secteur financier et l’absence d’exigence ferme sur la date d’entrée en vigueur de ces référentiels, nous observons aujourd’hui une vraie adoption de ces référentiels dans plusieurs banques et compagnies d’assurance, ce qui note d’une transformation dans le management des institutions financières qui, désormais, met le risque au cœur de leur pilotage stratégique et opérationnel, transformant ainsi les contraintes réglementaires en atouts. Parallèlement à ces réformes, de grands efforts ont été réalisés ces dernières années en termes de protection des consommateurs et de protection des données personnelles, efforts qui se poursuivent actuellement. Certes, ces réformes sont complexes, coûteuses et mobilisent fortement les insti- tutions financières, mais elles amènent une meilleure maîtrise des opérations et des risques. Elles ont également été l’occasion, pour de nombreux acteurs, de se pencher sur leurs données, un véritable trésor longtemps sous-exploité, désormais au cœur des stratégies de transformation.

Opportunités technologiques à saisir avec l’IA et la Data comme catalyseurs de transformation

Pour relever ces défis, les institutions financières misent sur les évolutions technologiques émergentes, devenues accessibles. L’IA, la RPA (Robotic Process Automation), le digital,…toutes reposant sur un actif stratégique : la donnée.

Grâce aux capacités récentes de collecte de quantités massives de données, de leur traitement et de leur utilisation dans des délais très réduits, les banques, assurances et autres établissements financiers vont enfin pouvoir mettre à profit la Data qu’ils ont accumulée depuis des années.

Ainsi, pour répondre à l’évolution des usages des clients, la mise en place de nouvelles applications repensées grâce aux nouvelles techniques de design (UX/UI) faciliteront l’accès aux services financiers, car elles seront semblables aux interfaces utilisées par les réseaux sociaux et donc plus familières. Ces applications seront également optimisées pour une meilleure expérience client et centrées sur lui et ses besoins, et non plus sur les contraintes de la banque ou de l’assurance, rendant ainsi leur utilisation plus intuitive.

L’interconnexion des systèmes du frontal de vente sur mobile ou internet ou sur le PC du chargé de clientèle ou de l’agent d’assurance jusqu’aux systèmes de gestion au niveau du siège permettront une expérience fluide et sans couture pour les clients. L’intégration d’agent IA dans les applications de vente permettront de proposer le meilleur produit et la meilleure couverture pour chaque client en fonction de son historique et de ses moments de vie pour lui apporter le bon conseil et l’offre la plus adéquate et la plus personnalisée.

Ces agents IA peuvent également analyser les documents de crédit ou d’assurance pour accélérer les contrôles de conformité ou pour pré accorder des limites de crédit, contribuant ainsi à une inclusion financière plus rapide et plus efficace.

La robotisation des processus de gestion en banque ou en assurance permettra quant à elle de réduire significativement le temps de traitement des dossiers, d’abaisser les coûts de gestion et de recentrer les équipes sur des tâches à forte valeur ajoutée. Ceci aura pour effet d’améliorer la qualité de service tout en rendant les produits financiers plus accessibles grâce à la maîtrise des coûts.

L’adoption de la Data science permettra aux banques et aux assurances de relever le double défi de la modernisation et de la conformité réglementaire en mettant en place des modèles avancés de quantification et de gestion des risques. Les institutions financières pourront non seulement répondre aux exigences des nouvelles normes (IFRS, Bâle, SBR…), mais aussi renforcer leur maîtrise des risques, tout en gagnant en agilité et en précision. Les exemples d’utilisation de ces technologies et de mise à profit de la donnée sont très nombreux. Plusieurs sont déjà mis en place dans certaines institutions tunisiennes, mais le rythme d’implémentation gagnerait à être accéléré pour être au rendez-vous des défis relevés.

Pour ce faire, elles pourront compter sur des entreprises tunisiennes déjà actives dans l’implémentation de ces technologies à l’échelle internationale. Elles gagneraient également à mobiliser l’écosystème de fintechs tunisiennes, en pleine croissance. En effet, la Tunisie connaît depuis quelques années une poussée du nombre de fintechs (60 à fin 2021 selon le « baromètre des fintechs tunisiennes » réalisé par Tunisian Startups avec le soutien de la GIZ), la plaçant 4ème dans la région MENA et 7ème en Afrique.

Au-delà de la mise en œuvre de ces technologies pour relever les défis déjà identifiés, on peut rêver au développement de l’open finance, de la finance verte et responsable, de la monnaie électronique tunisienne et de nombreuses autres innovations financières sur lesquelles la Tunisie pourrait être pionnière. L’humain, enjeu clé de la transformation digitale Enfin, cette transformation ne peut se faire sans une évolution profonde dans la ges- tion des compétences humaines. Les institutions financières font face à des vagues de départ à la retraite de leurs Ces départs doivent être anticipés pour assurer la transmission des savoirs et la continuité de l’activité. Par ailleurs, elles doivent attirer de nouvelles compétences, rares sur le marché : digital fluents, data scientists, spécialistes IA.

Face à ces évolutions, il est également essentiel d’accompagner les collaborateurs en place dans leur montée en compétence ou leur reconversion, afin de préserver l’humain au cœur de la transformation.

Ainsi, le scénario de financement de la maison de Yasmine en 2030 devient parfaitement plausible et crédible. Ces révolutions, technologique et réglementaire, positionneront les institutions financières tunisiennes à la pointe du progrès pour un meilleur accompagnement et support à l’économie tunisienne !

Cet article est disponible dans le Spécial Finance n° 931 du 19 novembre au 3 décembre 2025

L’article EY : vers une finance inclusive, résiliente et personnalisée est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Pollution à Gabès : Carthage reçoit le rapport préliminaire

19. November 2025 um 12:00

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé, mardi 18 novembre au palais de Carthage, une réunion de la commission chargée de trouver des solutions urgentes à la situation environnementale qu’endurent les habitants de la ville de Gabès. Chargée par le chef de l’Etat, cette commission est composée de Ali Ben Hamoud, Samia Ben Ali, Hamida Kawas, Rafik Aouadi, Noureddine Rachdi, en plus de Mohamed Salah Najjar et Mohamed Ben Charrada.

Le chef de l’Etat a souligné qu’il suit de près la situation à Gabès. Tout en rendant à ce propos hommage aux habitants de la région pour la conscience élevée dont ils ont fait preuve. Et ce, en veillant à préserver la paix civile et en se tenant aux côtés des forces de sécurité face aux tentatives visant à exacerber la situation dans la ville, lit-on dans un communiqué.

Il a saisi cette occasion pour dénoncer la dilapidation des deniers publics ayant entaché l’acquisition des équipements relevant du Groupe chimique tunisien (GCT) en 2018. Ajoutant que ce matériel est devenu hors d’usage en raison de la corrosion et de la négligence délibérée.

Par ailleurs, il a fait état des tentatives visant à faire répandre des contrevérités à propos du dossier environnemental de Gabès. A cet égard, il indique que le mobile sous-tendant ces manœuvres était de faire passer sous silence la cession de plusieurs entreprises et établissements publics; au mépris du calvaire insoutenable qu’endure les habitants de Gabès et l’ensemble du pays.

Face à ces subterfuges démasqués, le président de la République a réaffirmé qu’il est du droit du peuple tunisien de prendre connaissance des vérités, toutes les vérités, et de demander des comptes à ces fauteurs, conformément à la loi. Tout comme il est de son plein droit de vivre en liberté et dignité. Il promet à ce titre d’œuvrer à mettre fin à ses souffrances dans tous les domaines et dans les différentes régions.

Lors de cette réunion, cite encore la même source, le chef de l’Etat a reçu une copie du rapport préliminaire établi par la commission. Il a pressé ses membres de redoubler d’efforts en vue de finaliser la rédaction du rapport final dans les plus brefs délais.

Ce rapport attendu, a-t-il recommandé, doit prévoir des solutions immédiates et urgentes et mettre sur pied une vision stratégique et globale de la question environnementale dans la région de Gabès. Laquelle doit être en mesure de faire impliquer davantage les jeunes de la région.

Ces jeunes patriotes et compétents, a-t-il renchéri, sont capables d’inventer des solutions, rappelant que plusieurs pays se sont inspirés des études élaborées par les Tunisiens dans ce domaine.

Tout en réaffirmant que la Tunisie mène aujourd’hui une guerre de libération nationale tous azimuts, le chef de l’Etat a assuré que le peuple tunisien, fort d’une conscience élevée et d’une volonté inflexible, est capable de déjouer les complots qui se trament contre lui.

« L’Etat tunisien est rétif à la rhétorique des tweets et aux maigres tentatives orchestrées par ceux qui ont choisi volontiers la voie de la trahison, de l’inféodation à l’étranger et de la propagation des allégations mensongères », a conclu le président Saïed.

Avec TAP

L’article Pollution à Gabès : Carthage reçoit le rapport préliminaire est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La Tunisie présente au forum économique « Ambition Africa » à Paris

19. November 2025 um 11:57

Plusieurs entreprises et startups tunisiennes des secteurs des TIC et de l’industrie ont activement participé au forum économique « Ambition Africa 2025 ». Il s’est tenu à Paris, les 18 et 19 novembre. Cette participation a mis en lumière le dynamisme de l’entrepreneuriat tunisien, assure l’ambassade de Tunisie à Paris sur sa page Facebook.

Organisé par Business France, Ambition Africa a rassemblé des opérateurs publics et privés africains et français. L’ambassade tunisienne et le bureau FIPA-France/FIPA-Tunisia étaient eux aussi présents à cette manifestation.

A noter que l’objectif de ce forum est : d’engager des discussions ciblées; d’explorer de nouvelles opportunités d’investissement; et de favoriser l’émergence de projets porteurs dans des secteurs clés.

Ainsi, les discussions ont porté sur l’importance d’une coopération fondée sur la complémentarité, l’innovation et la création de valeur partagée.

L’article La Tunisie présente au forum économique « Ambition Africa » à Paris est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌