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PLF 2026 : Feu vert au Fonds de la santé animale

03. Dezember 2025 um 22:11

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, mercredi 3 décembre, l’article additionnel n°119 portant création d’un Fonds de la santé animale, dans le cadre du projet de loi de finances 2026. Le texte a été approuvé par 62 voix pour, 25 contre et 8 abstentions.

Adopté lors d’une séance plénière conjointe entre les deux chambres législatives, tenue au palais du Bardo, cet article prévoit la création d’un fonds de trésorerie destiné à soutenir le système de santé vétérinaire et à réduire les risques liés aux maladies et épidémies animales.

Ce fonds sera dédié à l’indemnisation des agriculteurs pour les dommages causés par les maladies animales. Ses domaines d’intervention ainsi que ses modalités de gestion seront fixés ultérieurement.

Le financement du fonds proviendra de plusieurs sources, notamment l’enveloppe destinée à l’achat de vaccins, à la réalisation d’analyses et au financement des campagnes nationales de vaccination, dans le budget des services vétérinaires.

Il proviendra aussi des contributions des établissements de traitement et de transformation des produits d’origine animale et des aliments pour animaux en contrepartie des inspections officielles.

Le Fonds de santé animale sera, également, financé par 1 % du total des 12 % de bénéfices de la Pharmacie centrale dans le domaine des vaccins, sérums et médicaments vétérinaires, ainsi que par 1 % du chiffre d’affaires des entreprises importatrices d’équipements, de matériels et de produits de laboratoire destinés à la production animale.

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PLF 2026 : Adoption de l’article additionnel n°117

03. Dezember 2025 um 22:00

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, mercredi 3 décembre, en plénière, une proposition d’article additionnel n° 117, dans le cadre du projet de loi de finances pour l’année 2026, relatif à la régularisation de la situation des personnes concernées par des dettes non fiscales classées, avec 73 voix pour, 6 refus et 6 abstentions.

Cet article prévoit la suppression des frais de poursuite et des pénalités de retard et le recouvrement du principal de la dette selon un calendrier fixé à cet effet.

Il concerne les dettes envers les différents ministères, les dettes liées à l’exploitation du domaine public maritime, les redevances au titre des établissements classés dangereux ou classés, ainsi que les loyers et autres redevances non fiscales classées.

Ces mesures concernent les dettes non fiscales classées consignées par le receveur des finances avant le 1er janvier 2026.

Avec TAP

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Le Conseil de l’Ordre des avocats crée une commission pour suivre le dossier Ayachi

03. Dezember 2025 um 18:49

Le Conseil de l’Ordre des avocats de Tunis a annoncé, mercredi, la création d’une commission spéciale. Cette commission suivra le dossier de l’avocat Ayachi Hammami, que les autorités ont arrêté mardi dans le cadre de l’affaire dite du « complot contre la sûreté de l’État ».

La commission assurera le suivi juridique, procédural et médiatique du dossier. Elle surveillera également l’état de santé de Hammami, qui observe une grève de la faim depuis son arrestation. À l’issue d’une réunion extraordinaire, le conseil a également décidé que les avocats boycotteront, durant tout le mois de décembre, plusieurs chambres criminelles de première instance et d’appel. Le conseil affirme y avoir constaté des « violations procédurales » qui portent atteinte aux droits de la défense.

Ce boycott débutera lundi dans une première phase. Le conseil pourrait ensuite suspendre « définitivement » sa collaboration avec ces chambres. Le conseil convoquera ses membres à une assemblée générale jeudi à 11h00 à la Maison de l’avocat. Il y présentera les derniers développements du dossier et définira les prochaines actions professionnelles.

Il a par ailleurs indiqué avoir saisi le bâtonnier de l’Ordre national des avocats. Il l’appelle à organiser une conférence nationale afin que la profession unifie ses positions face aux évolutions judiciaires. Les autorités ont arrêté Ayachi Hammami après l’avoir signalé en état de recherche. Elles ont exécuté ainsi un jugement définitif que la Cour d’appel a rendu dans l’affaire du « complot ».

Vendredi dernier, cette même juridiction a prononcé des peines allant de 10 à 45 ans de prison contre les accusés détenus, et de 5 à 35 ans pour ceux en liberté. L’affaire implique, depuis février 2023, des personnalités politiques, des avocats, d’anciens responsables et des membres des services de sécurité. La Cour a condamné Hammami à cinq ans de prison et deux ans de surveillance administrative.

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PLF 2026 : Le secteur culturel obtient un nouvel avantage fiscal

03. Dezember 2025 um 18:20

L’Assemblée des représentants du peuple ( ARP)  a adopté ce mardi l’article additionnel 103 qui modifie le régime fiscal applicable aux équipements et matériels utilisés dans le domaine du cinéma et de l’image, par 57 voix pour, 34 contre et 8 abstentions. Cette mesure constitue un nouvel avantage accordé au secteur culturel dans le cadre du projet de loi de finances.

L’article prévoit l’application d’un taux réduit de 7% sur l’ensemble des équipements et matériels utilisés dans la photographie cinématographique, photographique et la production audiovisuelle, au profit des établissements et sociétés légalement déclarés.

Le texte comprend également une exonération douanière totale à 0% lors de l’importation des équipements destinés aux activités culturelles et audiovisuelles. Cette mesure bénéficie aux établissements actifs dans le domaine ainsi qu’aux projets émergents.

La ministre des Finances, Michkat Slama Khaldi, a toutefois rappelé que le secteur du cinéma et de l’image bénéficie déjà d’avantages fiscaux. Elle a précisé que cet article ne relève pas du cadre d’une loi de finances mais plutôt d’un texte réglementaire qui devrait être promulgué à cet effet. Elle a ainsi exprimé les réserves du gouvernement sur le véhicule législatif que les parlementaires ont choisi pour accorder ces nouvelles facilités au secteur culturel.

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Fin de la précarité dans les hôpitaux : l’ARP tranche, la ministre des Finances temporise

03. Dezember 2025 um 17:51

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, mercredi 3 décembre, un article additionnel au projet de loi de finances 2026 portant sur la titularisation des agents contractuels et précaires dans les hôpitaux publics, par 58 voix pour, 27 contre et 12 abstentions. Ce vote marque une divergence d’approche entre les parlementaires et l’exécutif sur le traitement de l’emploi précaire dans le secteur sanitaire.

A l’ARP, les députés ont ainsi choisi d’inscrire directement dans la loi de finances une mesure visant à régulariser la situation de milliers d’agents de santé en situation précaire, optant pour une solution immédiate à un problème jugé urgent.

La ministre des Finances, Michket Salama Khaldi, a pourtant exprimé les réticences du gouvernement face à cette démarche. Tout en reconnaissant que l’exécutif œuvre à l’élimination des formes d’emploi précaire, notamment dans le secteur de la santé qui dépend massivement d’agents contractuels, elle a contesté le cadre juridique choisi par les députés.

Selon elle, la loi de finances ne constitue pas le véhicule législatif approprié pour régulariser ces situations, estimant que cette régularisation nécessite des décrets réglementaires et organisationnels émanant des ministères concernés, après la définition de critères précis et l’identification des catégories remplissant les conditions d’intégration ou d’emploi temporaire préalable à la titularisation.

Michkat Salama Khaldi a insisté sur la complexité du dossier, soulignant que le traitement ne peut se faire en une seule fois. Elle a évoqué la nécessité de procédures rigoureuses et d’un calendrier précis, ainsi que la diversité des situations entre les établissements financés par le budget de l’État et ceux disposant de budgets autonomes.

La ministre a assuré que le gouvernement travaille à la résolution progressive de tous ces dossiers selon les priorités établies, privilégiant ainsi une approche graduelle face à l’urgence revendiquée par les parlementaires.

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Rebond historique du privé non pétrolier en Égypte, au plus haut depuis 2019

03. Dezember 2025 um 17:30

Une enquête, publiée mercredi 3 décembre, montre que le secteur privé non pétrolier égyptien a enregistré en novembre sa croissance la plus rapide en cinq ans, grâce à une forte augmentation de la production et des nouvelles commandes.

L’indice PMI S&P Global de l’Égypte a progressé à 51,1 le mois dernier, contre 49,2 en octobre, franchissant ainsi pour la première fois depuis février le seuil des 50 points qui sépare la croissance de la contraction. Il s’agit du niveau le plus élevé de l’indice depuis octobre 2020.

La production a progressé pour la première fois depuis janvier et la plupart des secteurs d’activité étudiés ont enregistré une amélioration. Seul le secteur du commerce de gros et de détail a connu un recul d’activité, selon Reuters.

Les prix pratiqués par les entreprises non pétrolières ont augmenté, mais légèrement.

David Owen, économiste en chef chez Standard & Poor’s Global Market Intelligence, a déclaré : «Le secteur privé non pétrolier égyptien a enregistré en novembre sa meilleure amélioration des conditions commerciales depuis plus de cinq ans, ce qui laisse présager une fin d’année 2025 prometteuse».

Il a ajouté : «La dernière lecture de l’indice des directeurs d’achat suggère que la croissance du PIB en glissement annuel pourrait dépasser les 5% au quatrième trimestre».

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PLF 2026 – Exportations : Bras de fer entre les députés et la ministre des Finances

03. Dezember 2025 um 17:25

Bras de fer à l’ARP. Mercredi 3 décembre, les députés ont adopté un article additionnel simplifiant les procédures de justification des revenus d’exportation, balayant l’opposition frontale de la ministre des Finances, Michket Slama Khaldi

Ce n’est pas la première fois que la ministre des Finances conteste publiquement un article lors des sessions plénières consacrées au PLF 2026, appelant les députés à « assumer leur responsabilité » face aux conséquences de leurs votes. L’article adopté prévoit que la divulgation des relevés bancaires de l’exportateur constitue désormais un moyen suffisant pour prouver la récupération des revenus des opérations d’exportation, dans le respect des délais légaux et sans obligation de fournir une mainlevée.

Le ministère des Finances, la Direction générale des douanes, les banques, les bureaux et organismes impliqués dans le suivi des opérations financières et extérieures sont, chacun dans leur juridiction, tenus de considérer ces relevés bancaires comme des documents officiels pour attester le rapatriement des revenus, à condition qu’ils soient émis directement par les établissements bancaires détenant le compte. Ces documents doivent comporter l’identité du titulaire du compte, la date du transfert, son montant et sa provenance.

Selon le texte, cette preuve suffit pour l’ensemble des procédures administratives et financières liées au suivi des revenus, tout en préservant les prérogatives des autorités compétentes qui demeurent habilitées à demander toute clarification supplémentaire lorsque nécessaire, sans perturber ni suspendre les dossiers des exportateurs.

Commentant cette proposition, la ministre des Finances a déclaré que l’État poursuivrait son approche visant à simplifier les procédures et les services administratifs. Elle a toutefois fait valoir que cet article, qui ne relève pas du domaine d’intervention de la loi de finances, pourrait être appliqué par des décisions ministérielles couvrant l’ensemble des opérations d’exportation et concernant toutes les institutions bancaires.

Il convient de rappeler que les exportations sont un moteur de croissance incontournable et fondamental pour l’économie tunisienne.

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L’industrie cosmétique made in Tunisia, un secteur vital piégé par un labyrinthe administratif

03. Dezember 2025 um 16:18

L’industrie cosmétique, qui représente un chiffre d’affaires de 1,6 milliard de dinars et 10 000 emplois directs, fait face à une pression fiscale et administrative accrue, comme souligné lors de la conférence de presse de la Conect dans la journée du 3 décembre 2025.

La part des produits locaux sur le marché national a chuté de 24% en 2015 à 15% aujourd’hui, tandis que le secteur informel a grimpé de 23 à 35%, créant une concurrence déloyale et des risques sanitaires pour les consommateurs.​

Les intervenants, dont Marouane Ben Haj Ali (bureau exécutif du groupement des industriels de la cosmétique), Maroua Ben Ali (Herbeos) et Selima Zaouali (Aseptika Lab), déplorent l’absence d’un cadre réglementaire spécifique aux cosmétiques, contrairement à la loi générale n°117 de 1992. Ce vide favorise l’informel, freine les exportations et expose les industriels formels à un handicap compétitif face à des pays européens ou Dubaï, où les droits de douane sur matières premières et emballages sont à 0 ou 5% contre 30-43% pour le cas de la Tunisie.

Parmi les mesures urgentes proposées figurent la suppression du droit de consommation de 25% (depuis 2018) sur les codes tarifaires 3303 et 3304 (parfums, soins, maquillage, écrans solaires), l’exonération des droits de douane sur intrants, et la fin du monopole sur l’alcool affectant parfums et cosmétiques.

Ces experts insistent pour requalifier les cosmétiques en produits essentiels (notamment solaires, déjà assimilés à des dispositifs médicaux), afin de booster la compétitivité, limiter l’informel et sécuriser la santé publique. Un tel cadre ouvrirait des horizons d’export et préserverait les emplois formels.

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Comment notre cerveau fabrique l’incompétence : ces traits du visage qui biaisent nos jugements

03. Dezember 2025 um 15:24

Selon deux études menées par Princeton et l’Université de Glasgow, certaines caractéristiques faciales influencent puissamment – et souvent inconsciemment – la manière dont nous jugeons la compétence de nos collègues. Bien que ces conclusions ne reflètent pas une vérité biologique, elles montrent comment notre cerveau associe l’incompétence à des traits précis, façonnant nos relations professionnelles et nos intuitions immédiates. C’est ce que rapporte le site spécialisé psychologies.com

Méfiez-vous des apparences, certaines sont souvent trompeuses ! Et pour cause. Les chercheurs de Princeton expliquent avoir établi, dans un premier temps, que les premières impressions, formées en quelques millisecondes, peuvent être prédites par un algorithme entraîné sur plus de 1 000 visages générés par ordinateur.

En effet, des milliers de participants ont évalué ces visages selon divers critères – intelligence, fiabilité, ouverture d’esprit – permettant au réseau neuronal de reproduire les stéréotypes humains avec une précision surprenante.

L’influence des signes sur l’image perçue

Ainsi, des signes anodins comme un sourire ou le port de lunettes influencent fortement l’image perçue : sourires = confiance, lunettes = intelligence. L’algorithme met également en évidence que les visages jugés compétents présentent souvent des traits perçus comme plus « masculins », explique l’étude.

Partant de ces données, l’Université de Glasgow a identifié en 2024 une configuration typique des visages qualifiés d’«incompétents» par les participants. Plusieurs traits revenaient systématiquement : bouche tombante, regard fuyant, sourcils bas, teint froid, visage large et mâchoire peu définie, rapporte le site. «Ces attributs ont été associés à un manque de fiabilité ou de professionnalisme. Toutefois, lorsque les chercheurs ont comparé ces évaluations subjectives avec les performances réelles des individus, ils ont constaté que ces impressions ne reflétaient pas nécessairement la compétence objective».

Mais que disent les neurosciences ?

En effet, les neurosciences apportent quelques explications : notre cerveau construit ces jugements à partir de nos expériences passées. «Après avoir côtoyé des personnes dont le comportement était inefficace, nous finissons par associer inconsciemment certains traits physiques à ces souvenirs. Ce mécanisme simplificateur aide à naviguer dans les interactions sociales, mais peut aussi renforcer des biais injustifiés».

Dans un environnement professionnel où l’image influence encore l’accès aux opportunités, ces travaux semblent poser une question éthique majeure : jusqu’où peut-on se fier à l’intuition? Ou, plutôt, doit-on vraiment se fier à l’intuition? Les chercheurs rappellent que si le visage peut orienter nos perceptions, il ne détermine en rien la compétence réelle de la personne. Autrement dit, «la performance, la rigueur et l’expérience demeurent les seuls critères légitimes pour juger un collaborateur».

Alors, gare à vos préjugés !

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L’UE accepte de mettre fin aux importations de gaz russe en 2027

03. Dezember 2025 um 15:18

L’Union européenne entend mettre fin à toutes ses importations de gaz en provenance de Russie d’ici fin 2027, sur la base d’un accord conclu à Bruxelles entre les représentants des gouvernements de ses 27 États membres et le Parlement européen.

Selon ce plan, pour les contrats à court terme signés avant le 17 juin 2025, l’interdiction entrera en vigueur à compter du 25 avril 2026 pour le gaz naturel liquéfié (GNL) et à compter du 17 juin 2026 pour le gaz transporté par pipeline.

Pour les contrats d’approvisionnement en GNL à long terme, l’interdiction entrera en vigueur le 1er janvier 2027, conformément au 19e train de sanctions européennes contre la Russie. Pour les contrats d’importation de gaz par gazoduc à long terme, les importations seront interdites à compter du 30 septembre 2027, sous réserve du respect des objectifs de réserves de gaz, et au plus tard le 1er novembre 2027.

En octobre, la Russie fournissait environ 12% des importations de gaz de l’UE. À titre de comparaison, les États membres importaient environ 45% du gaz qu’ils consommaient avant l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022. La Hongrie, la France et la Belgique figurent parmi les États membres qui importent encore du gaz russe…

Les dirigeants de l’UE ont accepté de couvrir les «besoins financiers urgents» de l’Ukraine au cours des deux prochaines années, mais se sont abstenus d’approuver un plan visant à utiliser 140 milliards d’euros de fonds russes gelés en Europe pour accorder un prêt à Kiev, notamment en raison des inquiétudes concernant les risques juridiques soulevés par la Belgique.

L’essentiel des fonds russes gelés en Europe sont détenus par le dépositaire central de titres belge Euroclear.

Selon la proposition de la Commission, l’Ukraine ne remboursera le prêt que si la Russie verse des indemnités pour les dommages de guerre. Le texte devrait être approuvé aujourd’hui, selon des sources de Reuters.

Interrogé par l’agence sur le fond du texte, un porte-parole de la Commission européenne n’a pas commenté ce dernier, se contentant de déclarer que les commissaires «examineront les options» de financement de l’Ukraine et devraient «approuver» la proposition en ce sens.

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Les prix du pétrole augmentent, le Brent proche des 63 dollars

03. Dezember 2025 um 14:07

Les prix du pétrole ont augmenté lors des échanges de ce mercredi 3 décembre 2025, dans une tentative de récupérer une partie des pertes subies lors de la séance précédente alors que les attaques ukrainiennes contre les infrastructures énergétiques en Russie s’intensifient. Ils ont clôturé la séance du mardi 2 décembre en baisse de plus de 1%, effaçant la majeure partie des gains enregistrés lors de la séance de lundi.

Cette situation survient alors que les négociants attendent l’issue des pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine, qui pourraient stimuler l’offre, au moment même où les inquiétudes grandissent quant à un potentiel excédent…

L’Ukraine a continué de cibler les infrastructures énergétiques russes, tandis que Moscou a averti qu’elle pourrait commencer à frapper les navires des pays soutenant l’Ukraine.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent pour livraison en février 2026 avaient augmenté de 0,16% pour atteindre 62,54 dollars le baril.

Parallèlement, les prix à terme du pétrole brut américain West Texas Intermediate, pour livraison en janvier 2026, ont augmenté de 0,20% pour atteindre 58,77 dollars le baril, selon les chiffres suivis en temps réel par la plateforme énergétique spécialisée (basée à Washington).

Les deux pétroles bruts de référence (Brent et West Texas Intermediate) ont chuté de 1,1% et 1,15% lors de la dernière séance, après que l’Association des oléoducs de la Caspienne a annoncé la reprise des expéditions de pétrole à partir d’un point de débarquement de son terminal de la mer Noire suite à une importante attaque de drone ukrainienne le 29 novembre.

Les acteurs du marché évaluent également les risques liés aux frappes de drones ukrainiens sur des sites énergétiques russes, à l’escalade des tensions entre les États-Unis et le Venezuela et aux prévisions mitigées concernant les stocks de carburant américains.

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Tunisie : les comptes en devises pour tous. Vraiment ?

03. Dezember 2025 um 13:50

Les Tunisiens pourront bientôt ouvrir des comptes bancaires en devises étrangères sur le territoire national, une mesure destinée à faciliter les transactions des travailleurs des plateformes numériques et à renforcer les réserves en devises du pays.

Le député Mohamed Ali Fennira a dévoilé les détails de cette disposition lors d’une intervention téléphonique dans l’émission « Sabah Ennas », diffusée sur les ondes radiophoniques de Mosaïque FM, ce mercredi 3 décembre 2025, après son adoption en commission parlementaire. Cette mesure cible particulièrement les jeunes actifs sur les plateformes digitales et les réseaux sociaux, qui pourront désormais recevoir directement leurs paiements de l’étranger en devises, avec possibilité de conversion ultérieure en dinars. Selon l’intervenant, cette orientation renforcera l’afflux de devises et soutiendra l’économie nationale.

Les fonds déposés feront l’objet d’un contrôle rigoureux par l’État et les banques pour garantir la traçabilité et la légalité de leur origine. Le député a insisté sur deux contraintes majeures : « Ce compte ne peut être débiteur et doit avoir un taux d’intérêt égal à 0,01% ». En cas de doute sur la provenance des fonds, des mesures appropriées pourront être prises.

Le parcours législatif en cours

Le vote sur le projet de loi de finances débutera jeudi au Conseil des régions et des districts. Si le texte est adopté conformément à la version de l’Assemblée des représentants du peuple, il sera transmis au président de la République pour promulgation. En cas de divergences, une commission mixte tranchera avant la publication au Journal officiel et l’émission des textes d’application par le ministère des Finances.

Il a néanmoins alerté sur les retards persistants : plusieurs décrets de la loi de finances précédente, notamment ceux concernant les vaches laitières et les ouvrières agricoles, n’ont toujours pas été publiés. Il a appelé le gouvernement à accélérer la publication des textes d’application.

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Prédiction des rendements et gestion des risques par l’IA agricole

03. Dezember 2025 um 13:28

L’ITES et les AgriTech mettent l’IA au cœur de la prédiction des rendements et risques météo, optimisant les pratiques pour une agriculture résiliente.​​ C’est ce qui ressort de la dernière étude de l’Ites.

Des algorithmes analysent données satellitaires et capteurs pour anticiper les rendements et maladies, offrant conseils personnalisés comme des calendriers d’arrosage adaptés. La Banque mondiale souligne le rôle crucial en Tunisie pour la gestion de l’eau via apprentissage automatique et prévisions. Projets FAO testent ces technologies localement, alignés sur la matrice ITES urgence-impact.​​

Ces innovations IA transforment les défis en opportunités, sécurisant revenus agricoles et stabilité socio-économique.​

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Trump a déjà en tête le nom du futur président de la Fed 

03. Dezember 2025 um 11:59

Donald Trump a déclaré mardi 2 décembre qu’il comptait annoncer son choix pour la direction de la Réserve fédérale américaine début 2026. Il a laissé entendre que Kevin Hassett, conseiller économique de la Maison Blanche, était un candidat possible. Alimentant ainsi les spéculations quant à la prochaine nomination à la tête de la Banque centrale américaine.

« Je suppose qu’un potentiel président de la Réserve fédérale est également présent », affirme Trump. « Je ne sais pas qui a le droit de dire cela, un potentiel. C’est une personne respectée, je peux vous l’assurer. Merci, Kevin », poursuit-il.

A noter que la personne choisie par Trump devra obtenir l’approbation du Sénat pour devenir président.

D’après Bloomberg, qui cite des personnes bien informées, M. Hassett est ainsi considéré comme le successeur le plus probable de Jerome Powell.

 

Lire aussi: Les jours de Powell à la tête de la Fed sont-ils comptés?

 

Ainsi, Trump envisagerait une dizaine de candidats pour le poste, en consultation avec M. Bessent et le secrétaire au Commerce, Howard Latnick. Cependant, le président américain est connu pour ses décisions surprises en matière de personnel et de politique. Ce qui signifie qu’aucune nomination n’est définitive tant qu’elle n’est pas rendue publique.

A cet égard, notons au passage que le président américain fait pression depuis des mois sur la Réserve fédérale pour qu’elle baisse les taux d’intérêt. La nomination d’un successeur à Powell, dont le mandat s’achève en mai 2026, lui offrirait une occasion sans précédent de remodeler la Banque centrale. Mais ce dernier pourrait rester au conseil d’administration pendant deux années supplémentaires

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Comment l’IA peut électriser l’avenir énergétique de la Tunisie

03. Dezember 2025 um 11:16

Une étude de l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES), intitulée « L’intelligence artificielle, un levier du rôle social de l’État », montre l’importance stratégique de l’IA pour le secteur énergétique. Ce dernier vise une transition vers un système intelligent, résilient et durable. Il doit pour cela surmonter des défis structurels et réglementaires complexes. Traditionnellement tributaire des prix des hydrocarbures et de l’intermittence des énergies renouvelables, le secteur connaît une profonde transformation numérique.

Le document souligne le potentiel considérable de l’IA. Celle-ci permet notamment l’analyse massive et automatisée des données. Cela optimise la gestion des systèmes énergétiques. Les applications phares incluent la prédiction de la production solaire et éolienne. Cette fonction, jugée hautement pertinente et prioritaire, utilise des données météorologiques et des modèles de deep learning. Elle contribue à stabiliser le réseau électrique national.

L’IA est aussi cruciale pour la maintenance prédictive des infrastructures. Cela réduit les coûts et améliore la fiabilité des équipements. Une telle application anticipe les défaillances des turbines ou des transformateurs. Elle vise jusqu’à 25 % de réduction des arrêts imprévus. La gestion intelligente de la demande et l’optimisation de la consommation dans les bâtiments ont aussi un fort impact. Elles réduisent les pics de consommation et améliorent l’efficacité énergétique globale.

Plusieurs startups tunisiennes se positionnent sur ce créneau porteur. Elles proposent des solutions de Smart Grid, d’optimisation de flottes de véhicules électriques (Baker Motors), de maintenance prédictive (InstaDeep, SmarDac) et de gestion de la consommation (4inA Technologie). L’écosystème entrepreneurial souffre cependant encore d’un manque de visibilité et de coordination.

Néanmoins, le déploiement de l’IA  rencontre des contraintes majeures. Le secteur manque d’un cadre réglementaire clair pour la gouvernance de l’IA et la protection des données. Cette absence complique l’application des tarifs dynamiques et la gestion des fraudes. Une pénurie notable de ressources humaines qualifiées en ingénierie et en IA constitue un autre frein structurel. Elle aggrave la dépendance technologique envers les solutions étrangères. Enfin, des infrastructures numériques insuffisantes, des données énergétiques de qualité hétérogène et des investissements initiaux coûteux entravent l’interopérabilité des systèmes. Ils limitent aussi la généralisation des bénéfices de l’IA. Le gouvernement tunisien doit donc mettre en place des politiques et des projets pilotes. Il doit notamment favoriser un accès équitable aux solutions d’IA dans les zones rurales. L’objectif est de garantir que les avantages de la transition énergétique profitent à toute la population.

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Vers une agriculture IA durable : défis et perspectives ITES

03. Dezember 2025 um 11:10

L’étude ITES appelle à surmonter la formation, les infrastructures et le financement pour intégrer pleinement l’IA agricole, soutenue par des partenariats FAO et des forums régionaux.​​

Les projets pilotes en démontrent l’efficacité, mais exigent un accompagnement pour une adoption rurale, comme au Forum Méditerranéen 2025 à Tunis. En effet, l’imagerie satellitaire et l’IA aident à la transition écologique contre la dégradation des sols. La matrice ITES priorise l’urgence pour aligner sur les ODD 2030.​​ L’IA, bien déployée, forge une agriculture tunisienne innovante, vitale pour croissance et résilience nationale.​

Il convient de rappeler que les projets FAO testent ces technologies localement, alignés sur la matrice ITES urgence-impact.
​​
En somme, ces innovations IA transforment les défis en opportunités, sécurisant les revenus agricoles et la stabilité socio-économique.​

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Rencontre Poutine-Witkoff : « Pas de compromis » sur les territoires occupés par la Russie

03. Dezember 2025 um 10:59

« Aucun compromis n’a été trouvé » concernant la question épineuse des zones du territoire ukrainien occupées par l’armée russe. C’est ce qui a été déclaré lors de la rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l’envoyé américain Steve Witkoff. Ce dernier étant venu présenter le plan de Washington pour mettre fin à une guerre qui dure depuis bientôt quatre ans.

Steve Witkoff, accompagné du gendre et conseiller du président américain Donald Trump, Jared Kushner, a passé, mardi 2 décembre, près de cinq heures au Kremlin à discuter du plan de Washington avec le dirigeant russe Poutine. Un plan présenté il y a deux semaines et affiné lors de consultations avec des représentants ukrainiens et européens.

« Nous avons pu nous entendre sur certains points (…), d’autres ont suscité des critiques. Mais l’essentiel est qu’une discussion constructive a eu lieu et que les parties ont exprimé leur volonté de poursuivre leurs efforts ». Ainsi a résumé le conseiller du Kremlin pour les questions diplomatiques, Iouri Ouchakov.

Concernant la question des territoires ukrainiens occupés — l’armée russe occupe environ 19 % du territoire ukrainien —, « aucun compromis n’a encore été trouvé ». « Certaines propositions américaines pourraient être discutées », a ajouté M. Ouchakov.

Après leur rencontre avec les dirigeants russes à Moscou, Steve Witkoff et Jared Kushner devraient rencontrer ce mercredi une délégation ukrainienne en Europe. C’est ce qu’indique l’AFP, citant une source au sein du gouvernement de Kiev.

Les Européens soulignent qu’ils espèrent que l’administration du président Trump, qu’ils accusent de faire preuve d’une flatterie excessive envers son homologue Poutine, ne sacrifiera pas l’Ukraine qui, estiment-ils, résiste à l’agression russe.

Poutine : « Nous sommes prêts »

De son côté, quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine avait menacé les Européens. Et ce, en les accusant de chercher à « entraver» les efforts de Washington pour mettre fin à la guerre.

« Nous n’avons aucune intention de nous impliquer dans une guerre avec l’Europe. Mais si l’Europe le souhaite et la déclenche, nous sommes prêts », a-t-il déclaré aux journalistes en marge d’un forum économique.

Pour sa part, Donald Trump a reconnu que le règlement du conflit russo-ukrainien était une affaire complexe. « Croyez-moi, la situation est loin d’être simple. Quel gâchis ! », a-t-il déclaré.

Enfin, sous une forte pression politique et diplomatique, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie d’instrumentaliser les pourparlers pour « affaiblir les sanctions » imposées à Moscou.

D’ailleurs, une conversation téléphonique a été révélée fin septembre par l’agence de presse Bloomberg. Steve Witkoff y donnait des conseils au conseiller diplomatique du Kremlin, Ouchakov, sur la manière de présenter au président Trump un plan pour résoudre la guerre en Ukraine.

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L’IA peut-elle sauver le système éducatif ? L’analyse de l’ITES

03. Dezember 2025 um 10:13

Révolutionner le secteur éducatif pour le rendre plus performant et adapter au contexte actuel en Tunisie, est-ce la promesse de l’IA ? Une étude récente de l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES) estime que l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un levier fondamental pour la transformation profonde du secteur de l’éducation en Tunisie, promettant de moderniser l’enseignement et de réduire les inégalités d’accès au savoir. Cette mutation est portée par l’émergence d’un écosystème dynamique de startups EdTech tunisiennes telles que 1For1Learning, offrant des solutions concrètes d’aide à l’apprentissage personnalisé et d’accès au savoir.

D’ailleurs, la valeur ajoutée demeure incontestable vu la conjoncture éducative. La stratégie d’intégration de l’IA vise à adresser des problématiques structurelles persistantes, notamment l’amélioration des résultats scolaires et la lutte contre le décrochage, grâce à des outils comme l’assistance intelligente pour le soutien en langues, en mathématiques et en informatique. Et dans ce contexte, faut-il rappeler que des lacunes dans la formation des élèves en langues et en mathématique ont été identifié même par le ministère de l’Education. Des cas d’usage prioritaires ont été identifiés, allant du développement d’un système d’alerte précoce pour prévenir les abandons au collège, à l’automatisation de l’évaluation des examens nationaux comme le baccalauréat.

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Ces initiatives s’inscrivent dans une démarche globale pour rendre le système éducatif plus efficace, inclusif et équitable. Cependant, le secteur fait face à des faiblesses notables et des menaces critiques, notamment une disparité régionale et socio-économique marquée, où 38,6 % des enfants des zones rurales n’ont pas accès à l’internet domestique.

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En outre, les systèmes éducatifs souffrent d’un manque d’acculturation numérique et d’alphabétisation en IA chez les formateurs et les enseignants, ainsi que d’une insuffisance en équipements dans les établissements.

Pour surmonter ces obstacles, des recommandations clés de l’étude insistent sur l’impératif de : mettre en œuvre une stratégie EdTech coordonnée; renforcer les ressources numériques dans la gestion du système éducatif; et d’organiser des formations massives en IA pour le personnel enseignant et administratif. La démarche globale doit garantir que l’intégration de l’IA contribue réellement au développement humain et à la cohésion sociale. Et ce, en assurant une accessibilité et une qualité de services publiques équitables pour tous les citoyens.

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ITES : irrigation intelligente, la révolution IA made in Tunisia

03. Dezember 2025 um 09:48

L’Institut Tunisien des Études Stratégiques (ITES) identifie l’intelligence artificielle (IA) comme un pilier essentiel du rôle social de l’État en agriculture tunisienne, en s’appuyant sur une matrice urgence-impact alignée sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) 2030 pour optimiser les ressources hydriques et renforcer la résilience climatique.​​

Des startups tunisiennes amplifient ces recommandations en réduisant leur consommation d’eau de 35 % et en augmentant leur production de 15 %. Et ce, via des algorithmes d’apprentissage automatique adaptés au contexte national.

Des initiatives comme Irwise, lancées par de jeunes entrepreneurs tunisiens, exploitent l’IA et l’IoT pour révolutionner l’irrigation, en économisant l’eau et l’énergie dans un contexte de stress hydrique croissant.​

En effet, la solution Irwise permet un contrôle à distance des pompes via smartphone, analysant le sol, le climat et les cultures pour doser précisément l’eau et les intrants, avec des gains de 20 % sur la facture énergétique.

À La Manouba, des projets pilotes combinent IA, SIG et télédétection pour une agriculture de précision, réduisant les coûts et améliorant les récoltes. Ces avancées s’alignent sur les priorités ITES pour une matrice urgence-impact élevée en agriculture.​​

Ainsi, face au changement climatique, l’IA irrigationnelle positionne la Tunisie comme pionnière maghrébine, pavant la voie à une productivité accrue et durable.​

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