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L’OMC met en garde contre les dangers d’une guerre commerciale

24. Januar 2025 um 14:18

La directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) a déclaré jeudi que toute guerre commerciale aurait des conséquences catastrophiques pour la croissance mondiale, lors d’un débat à Davos durant lequel les menaces du président américain Donald Trump d’augmenter les droits de douane ont été évoquées.

“Si nous avons des représailles, qu’il s’agisse de droits de douane de 25% ou de 60% et que nous revenons à la situation des années 1930, nous verrons des pertes à deux chiffres du PIB mondial.

C’est catastrophique. Tout le monde paiera”, a estimé Ngozi Okonjo-Iweala, dans le cadre du Forum économique mondial.

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Trump prévoit un voyage anticipé en Chine

20. Januar 2025 um 15:33

Le nouveau président veut améliorer ses relations avec Xi Jinping, après avoir menacé d’imposer des tarifs douaniers sévères à Pékin, selon le Wall Street Journal.

Le président élu américain, Donald Trump, veut se rendre en Chine au cours de ses 100 premiers jours à la Maison Blanche pour améliorer ses relations avec Xi Jinping, le président chinois, alors que la perspective d’une nouvelle guerre commerciale se profile, a rapporté samedi 18 janvier 2025 le Wall Street Journal.

Ce voyage vise à renforcer les liens avec le président chinois, dans un contexte de tensions géopolitiques entre les deux pays, alimentées par le conflit autour de l’île autonome de Taïwan et la promesse de Trump d’imposer des droits de douane sur les importations chinoises. Cependant, bien que des personnes au courant du dossier aient déclaré au journal que Trump avait exprimé un certain intérêt à y participer, aucune décision finale n’a été prise.

Donald Trump et Xi Jinping se sont entretenus vendredi 17 janvier au téléphone pour discuter de plusieurs sujets, notamment du commerce, de Taïwan et de la situation avec la plateforme de médias sociaux chinoise TikTok. On ignore cependant si le président élu a évoqué l’idée d’une visite en Chine au cours de l’appel.

Outre la Chine, Trump a également exprimé son intérêt pour un éventuel voyage en Inde, selon les sources du quotidien. Toutefois, il semblerait que son attention immédiate se portera sur des questions intérieures, notamment la crise frontalière et les incendies de forêt en Californie.

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Le monde de Trump

20. Januar 2025 um 08:14

Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche symbolise l’avènement d’un monde imprévisible, violent, éclaté, déséquilibré ou inégal, marqué par l’effacement de tout récit universel et par la dévalorisation de l’idée même de « monde commun ».

Le désordre du monde

Les jeux du pouvoir et de la puissance se sont considérablement complexifiés sans qu’émerge en parallèle une véritable gouvernance mondiale. Face à une série de crises systémiques, à la multiplication et à l’acuité d’enjeux globaux souvent interdépendants, les Etats demeurent par trop arc-boutés sur leurs agendas et intérêts propres. Le droit international en pâtit. Les alliances ou partenariats connaissent un phénomène d’instabilité animé par le pragmatisme qui guide les puissances. Les diplomaties (en particulier du « Sud global », y compris la Chine) n’hésitent pas à développer des stratégies « contextualisées », transactionnelles, adaptées au but poursuivi. Une diplomatie fluide, passant des accords ponctuels en fonction d’objectifs très précis. Les notions ou catégories d’allié et d’ennemi s’en trouvent relativisées.

Les approches individuelles, différenciées, sectorielles et transactionnelles prévalent sur les visions systémiques. Comme si la conscience d’appartenir à un même monde déclinait. Ce au moment même où l’existence d’un intérêt commun est particulièrement manifeste et concret pour faire face aux enjeux globaux, comme le réchauffement climatique et les inégalités socio-économiques.

Lors de son premier mandat (2017-2021), la politique étrangère de D. Trump a consisté à critiquer le principe même du multilatéralisme. Le système de coopération multilatérale issu du « consensus de Washington » n’était perçu qu’à travers le prisme des intérêts des Etats-Unis.

Partant, les organisations internationales concernées sont le plus souvent considérées comme obsolètes, par trop contraignantes et avantageuses pour les concurrents des Etats-Unis.

Concrètement, l’administration Trump avait décidé du retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat (2017) et de l’Accord sur le nucléaire iranien (2018), rares succès récents du multilatéralisme universel. Un retrait unilatéral exercé aussi à l’égard du traité de désarmement sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.

Donald Trump avait également décidé de suspendre la participation des Etats-Unis à l’UNESCO, à l’OMS et au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, ou encore à l’Agence des Nations unies chargée de l’aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA).

Au sein de l’ONU, les Etats-Unis (qui sont à la fois les plus importants contributeurs au budget de l’organisation et ceux qui accusent les dettes les plus lourdes) usent traditionnellement de ce levier financier pour mieux peser sur l’organisation elle-même.

Vers une guerre commerciale mondiale ?

Donald Trump est de retour à la Maison Blanche. Si le personnage se caractérise par son imprévisibilité, son premier mandat (déjà rythmé par le slogan « America first ») et son amour pour le mot « tariffs » (« droits de douane », le « plus beau mot du dictionnaire », a-t-il déclaré) annoncent un accroissement des tensions commerciales, dans un contexte géopolitique mondial passablement chaotique.

Le libre-échange fait partie des fondements de l’ordre international moderne. Il est à la base du droit du commerce international, historiquement mû, non pas par la volonté de supprimer toute barrière, mais de les encadrer et de les réduire. Or, l’ouverture commerciale connaît un tassement, voire un recul. Une série de crises de nature financière (celle de 2008), sanitaire (pandémie de Covid-19) et géopolitique (guerre en Ukraine et rivalité systémique sino-américaine) ont sapé la dynamique de la mondialisation libérale.

Le modèle du libre-échange, de la dérégulation et des chaînes mondiales de production et d’approvisionnement a perdu de son attractivité auprès des opinions publiques et des responsables politiques occidentaux.

Plus protectionniste que jamais, D. Trump est mû par la remise en cause du système commercial multilatéral (incarné sur le plan institutionnel par l’OMC) : fort du poids économique des États-Unis, son but demeure l’obtention d’accords plus avantageux avec ses partenaires commerciaux. Ces derniers sont confrontés à la perspective d’accords asymétriques et discriminatoires (hypothèse d’achats forcés), ainsi que de droits de douane imposés unilatéralement. Les droits de douane seront un axe du programme de politique commerciale de D. Trump, qui a évoqué un tarif de base universel de 10 % sur toutes les importations américaines.

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L’Algérie entame la révision de son accord d’association avec l’Union européenne

16. Januar 2025 um 11:55

Début des préparatifs pour la révision de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, qualifié de désavantageux et responsable d’énormes pertes économiques pour ce pays d’Afrique du Nord.

C’est ce qu’a annoncé la présidence algérienne dans un communiqué rendu public dans la soirée du mardi 14 janvier 2025, à l’issue d’une réunion présidée par le président de la république Abdelmadjid Tebboune et consacrée au «suivi de l’avancement des préparatifs en vue de la révision de l’accord d’association avec l’Union européenne».

La réunion s’est déroulée en présence du Premier ministre Nadir Larbaoui et de plusieurs membres de son gouvernement, dont les ministres de l’Intérieur, des Finances, des Transports, du Commerce, de l’Industrie, de l’Agriculture, de l’Irrigation, des Postes et Télécommunications.

L’Algérie et l’UE sont liées par un Accord d’association, un traité commercial signé en 2002 et entré en vigueur le 1er septembre 2005, sous le règne de feu l’ancien président Abdelaziz Bouteflika.

L’accord prévoit la suppression progressive des droits de douane sur les biens et marchandises dans les deux sens, mais les entreprises algériennes (publiques et privées) n’ont pas pu rivaliser avec leurs homologues européennes, le pays exportant presque exclusivement des produits pétroliers et du gaz. Des experts algériens, cités par les médias locaux, avaient précédemment estimé que l’accord avait causé des pertes à plus de 30 milliards de dollars pour la partie algérienne.

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