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Coupe du Monde 2026 (Asie) : Oman et Qatar se neutralisent, l’Arabie Saoudite démarre fort

Von: walid
09. Oktober 2025 um 09:13

La course à la qualification pour la Coupe du Monde 2026 s’intensifie dans la zone Asie. Après les rencontres disputées mercredi, les groupes A et B ont livré leurs premiers enseignements. Oman et le Qatar se neutralisent, tandis que l’Arabie Saoudite signe un succès important face à l’Indonésie.

Groupe A : Oman et Qatar se partagent les points

Oman et le Qatar ont fait match nul (0-0), mercredi 8 octobre, à l’issue d’une rencontre équilibrée où les deux formations ont manqué d’efficacité offensive.
Les deux équipes comptent désormais un point chacune, occupant provisoirement la tête du groupe A.

Le classement reste donc inchangé, les Émirats Arabes Unis, encore au repos, complétant ce trio.
Les prochains rendez-vous s’annoncent décisifs :

11 octobre (19h15, GMT+2) : Émirats Arabes Unis – Oman

14 octobre (19h15, GMT+2) : Qatar – Émirats Arabes Unis

Groupe B : l’Arabie Saoudite prend les commandes

Dans le groupe B, l’Arabie Saoudite s’est imposée 3-2 face à l’Indonésie, au terme d’un match disputé.
Grâce à cette victoire, les Saoudiens prennent seuls la tête du classement avec 3 points, devant l’Irak et l’Indonésie.

Le calendrier à venir :

11 octobre (21h30, GMT+2) : Irak – Indonésie

14 octobre (21h30, GMT+2) : Arabie Saoudite – Irak

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Que cache le «plan Trump-Blair-Kushner» pour Gaza ? 

04. Oktober 2025 um 11:35

La tribune ci-dessous analyse l’initiative de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, qui propose un plan pour l’après-guerre à Gaza. Ce «plan Trump-Blair-Kushner», présenté comme une solution technique et économique, sert en réalité de paravent politique pour un objectif plus large et plus controversé : la normalisation des relations entre l’Arabie saoudite et Israël, au détriment d’une résolution politique durable et juste du conflit israélo-palestinien. Et ce qui inquiète (et choque), ce ne sont pas les motivations d’Israël et des puissances occidentales qui les soutiennent, mais la prédisposition des Arabes à se laisser bercer d’illusions et rouler dans la farine.     

Naâmen Bouhamed *

I – Synthèse des éléments clés du «Plan Trump-Blair-Kushner»

1. Une approche économique et technocratique : le plan est centré sur un programme massif de reconstruction et de développement économique à Gaza, incluant des projets d’infrastructures, la création d’emplois et une aide internationale substantielle. Il est présenté comme un moyen de stabiliser le territoire et d’améliorer les conditions de vie des Palestiniens, objectifs nobles s’il en est, mais qui cachent des objectifs beaucoup moins avouables.

2. Un «gouvernement de compétences» (government of skills) : Blair propose la mise en place d’une administration palestinienne composée de technocrates et d’experts, plutôt que de représentants politiques. L’objectif affiché est de contourner le Hamas et l’Autorité Palestinienne, considérés comme corrompus ou inefficaces, pour assurer une gestion soi-disant «efficace» de la reconstruction. Il reste à savoir dans quel vivier on va puiser pour trouver les «compétences» en question. Et là, on peut compter sur la mauvaise foi des responsables occidentaux qui se sont toujours gourrés dans un pareil exercice, notamment en Afghanistan et en Iraq, où leurs choix étaient pour le moins malheureux.

3. Le rôle central de l’Arabie saoudite et des Émirats Arabes Unis, dont les bonnes dispositions à l’égard d’Israël et le mépris pour les intérêts des Palestiniens sont un secret de Polichinelle. Le plan prévoit un financement et une supervision majeurs des monarchies du Golfe, en particulier l’Arabie saoudite, en coordination avec les États-Unis et Israël.

II – Les points problématiques du «Plan Trump-Blair-Kushner»

Dans le «Plan Blair», il y a plusieurs points problématiques qui méritent d’être relevés et soulignés.

1. L’écran de fumée de la normalisation saoudo-israélienne : le véritable enjeu n’est pas Gaza mais la conclusion d’un pacte stratégique entre l’Arabie saoudite et Israël. Le plan pour Gaza servirait de «monnaie d’échange» ou de «monnaie de singe»  ou de «couverture morale» pour que Riyad puisse justifier une normalisation avec Israël auprès de sa propre opinion publique, qui y est fortement opposée, surtout après le génocide à Gaza, et ce sans avoir obtenu la moindre concession significative sur la création d’un État palestinien viable.

2. La dépolitisation du conflit : en se focalisant sur l’économie et la gouvernance technique, le plan évacue délibérément les questions politiques fondamentales : les frontières d’Israël, le statut de Jérusalem, le droit au retour des réfugiés palestiniens et, surtout, la souveraineté palestinienne. Il s’agirait de «gérer» la population de Gaza sans lui accorder d’autodétermination réelle.

3. La marginalisation de l’Autorité Palestinienne et du peuple palestinien : la proposition d’un «gouvernement de compétences» peut être interprétée comme une tentative de court-circuitage des institutions palestiniennes existantes et de division des Palestiniens. Ce modèle risquerait de créer une administration sans légitimité populaire, totalement dépendante de l’aide extérieure et du bon vouloir d’Israël et de ses soutiens dans la région.

4- La pérennisation du statu quo : en liant la «stabilité» à des projets économiques tout en maintenant le contrôle israélien sur les frontières, la sécurité et les ressources, le plan pourrait en réalité renforcer l’occupation israélienne et la fragmentation des territoires palestiniens, y compris, bien sûr, en cisjordanie, plutôt que d’y mettre fin.

Le «plan Trump-Blair-Kushner» est un vrai faux plan de paix et un vrai cheval de Troie. Sous des apparences pragmatiques et humanitaires, il cacherait une manœuvre géopolitique visant à sceller une alliance entre Israël et l’Arabie saoudite, aux dépens des droits nationaux du peuple palestinien. Il s’inscrirait dans une logique de gestion du conflit plutôt que de sa résolution, en favorisant une «paix» imposée par les grandes puissances au lieu d’une paix négociée et juste.

* Middle East Business Consultant, président de Alwen International.

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Les exportations de pétrole saoudien atteignent leur plus haut niveau en 18 mois

02. Oktober 2025 um 12:23

Les exportations de pétrole brut de l’Arabie saoudite ont atteint leur plus haut niveau en 18 mois en septembre, a rapporté Bloomberg. Signe que la part du royaume dans l’augmentation de la production de l’OPEP+ commence à avoir un impact sur les marchés mondiaux.

Les exportations totales ont atteint 6,42 millions de barils par jour le mois dernier. C’est ce qu’il résulte des données de suivi des pétroliers compilées par Bloomberg. Soit une hausse d’un peu plus de 600 000 barils de pétrole par jour par rapport à août. Les chiffres de Kpler et de Vortexa ont également montré une hausse des flux.

L’Arabie saoudite consomme généralement davantage de pétrole national pendant l’été. Car elle doit produire de l’électricité sur son territoire pendant les mois les plus chauds. Par conséquent, ses exportations de pétrole brut n’ont pas augmenté en juillet et août; malgré l’augmentation de la production de l’OPEP et de ses alliés.

En outre, Riyad a augmenté ses exportations en juin, lorsque l’offre a été impactée par le conflit entre l’Iran et Israël. Mais elles ont diminué au cours des mois qui ont suivi. L’OPEP+ décidera de ses prochaines étapes de production en fin de semaine. Tandis que les prix du pétrole au Moyen-Orient ont chuté ces derniers jours.

Par ailleurs, dans le cadre de la hausse globale des exportations, les expéditions vers l’oléoduc égyptien SUMED ont atteint leur plus haut niveau depuis mars 2020, lorsque la production mondiale était à l’arrêt au début de la pandémie. Ce bond pourrait refléter le réapprovisionnement des réservoirs de stockage à Sidi Kerir, à l’extrémité méditerranéenne de l’oléoduc.

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Visite du chef de la diplomatie saoudienne : Kaïs Saïed dénonce un « nouveau Sykes-Picot »

09. September 2025 um 18:49

Le président Kaïs Saïed a reçu, mardi, au Palais de Carthage, le ministre des Affaires étrangères d’Arabie saoudite, Fayçal Ben Farhane Ben Abdallah Al Saoud. Cette rencontre, inscrite dans le cadre d’une visite officielle à l’invitation de son homologue tunisien Mohamed Ali Nafti, a été marquée par un échange sur la situation régionale et les relations bilatérales.

Lors de l’entretien, Kaïs Saïed a affirmé que la région arabe et islamique traverse une phase critique assimilée à un « nouveau Sykes-Picot ». Selon lui, après le morcellement des pays arabes, « le mouvement sioniste cherche désormais à effacer leur existence même », cite un communiqué de la Présidence de la République.

Faire échec au « plan criminel »

Le chef de l’État a insisté sur l’importance d’unir les efforts pour faire échec à ce qu’il a qualifié de « plan criminel », réitérant l’attachement de la Tunisie au droit du peuple palestinien à recouvrer toute la Palestine et à établir son État indépendant avec Al-Qods comme capitale.

Il a dénoncé les « crimes de l’ennemi sioniste » visant à « exterminer par la famine » et à briser la volonté de libération des Palestiniens, tout en rejetant catégoriquement le projet de déplacement forcé de populations.

Les accords Sykes-Picot

Les accords Sykes-Picot sont des accords secrets signés le 16 mai 1916 entre la France et le Royaume-Uni (avec l’aval de l’Empire russe et du royaume d’Italie), prévoyant le découpage du Proche-Orient à la fin de la guerre en plusieurs zones d’influence au profit de ces puissances, ce qui revenait à dépecer l’Empire ottoman. Les accords s’inscrivent dans le contexte d’une domination coloniale par laquelle deux pays exercent une action déterminante et durable sur les peuples d’une région étrangère.

En rupture avec des promesses antérieures d’indépendance, le Royaume-Uni et la France morcellent le Moyen-Orient en cinq zones. Chacun de ces deux pays se réserve une zone « d’administration directe » et une zone « d’influence» ; à ces quatre zones s’ajoute une cinquième, la Palestine, censée devenir une zone internationale.

À l’issue de la Première Guerre mondiale, les zones seront, pour certaines, modifiées. La Palestine sera cédée au Royaume-Uni, au lieu d’être internationalisée.

Progression des échanges commerciaux

À l’issue de la rencontre, le ministre saoudien a déclaré avoir transmis au président Saïed les salutations du roi Salmane Ben Abdelaziz et du prince héritier Mohammed Ben Salmane, ainsi que leurs vœux de prospérité pour la Tunisie. Il a mis en avant l’importance accordée par Riyad au renforcement des relations bilatérales et son soutien constant à la sécurité et à la stabilité, tunisiennes.

Il a également souligné la progression des échanges commerciaux entre les deux pays, atteignant 417 millions de dollars en 2024.

Accélérer la réalisation de projets

La visite du ministre saoudien intervient à l’occasion de la 4e session du Comité de suivi et de concertation politique tuniso-saoudien. Historiquement, Tunis et Riyad entretiennent des relations de coopération étroite dans divers domaines.

Kaïs Saïed a rappelé la profondeur de ces liens et la volonté partagée d’accélérer la réalisation de projets communs malgré certains obstacles.

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Tunisie : Visite officielle du ministre saoudien des Affaires étrangères

09. September 2025 um 08:39

Par invitation de Mohamed Ali Nafati, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, le Prince Fayçal bin Farhan bin Abdullah Al Saud, ministre des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie Saoudite, effectuera une visite de travail en Tunisie le 9 septembre 2025.

Cette visite sera l’occasion de tenir la quatrième session de la Commission de suivi et de consultation politique, co-présidée par les deux ministres. Les discussions porteront sur le renforcement des relations bilatérales ainsi que sur l’intensification de la coordination et de la consultation concernant les questions régionales et internationales d’intérêt commun.

Cette rencontre traduit la volonté des deux pays de consolider leur partenariat stratégique et de favoriser un dialogue approfondi sur les enjeux géopolitiques et économiques régionaux.

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Le « Prince endormi » s’est éteint après 20 ans de coma

20. Juli 2025 um 10:04

Le prince saoudien Al-Waleed bin Khaled bin Talal Al Saud, surnommé le « prince endormi », est décédé ce 19 juillet 2025, après avoir passé près de vingt ans dans un état de coma profond. L’annonce de sa mort a été faite par sa famille sur les réseaux sociaux, suscitant une vive émotion en Arabie saoudite et dans le monde arabe.

Âgé de 36 ans, le prince Al-Waleed avait été victime d’un grave accident de la route en 2005, alors qu’il étudiait à l’académie militaire de Londres. Depuis ce jour, il était maintenu en vie dans un état végétatif persistant, malgré les diagnostics médicaux affirmant l’absence d’espoir de rétablissement. Son père, le prince Khaled bin Talal, avait toutefois toujours refusé de suspendre l’assistance médicale, convaincu d’une possible guérison.

Au fil des années, des vidéos montrant de légers mouvements des doigts ou des paupières du prince avaient circulé, nourrissant l’espoir d’un miracle au sein de la famille royale et de l’opinion publique. Ces images, devenues virales, avaient renforcé la notoriété du jeune prince, affectueusement surnommé « le prince endormi ».

Les funérailles ont eu lieu ce samedi 20 juillet à Riyad, en présence de nombreux membres de la famille royale et de dignitaires saoudiens. Les prières ont été organisées dans le respect des traditions, avec des cérémonies distinctes pour les hommes et les femmes.

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