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Gestern — 25. November 2025Haupt-Feeds

Ldc Uefa (J5) : où et quand suivre Man City contre Leverkusen

25. November 2025 um 20:03

Manchester City reçoit les Allemands de Bayer Leverkusen, dans le cadre de la 5e journée de la Ligue des champions d’Europe.

La rencontre se diffusée sur les antennes de BeIN et le lien streaming https://livekoora.live/ à partir de 21 heures (heure de Tunis).

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Ldc Uefa (J5) : comment suivre Chelsea/FC Barcelone ?

25. November 2025 um 19:30

Le champion d’Espagne en titre, FC Barcelone, effectue un déplacement difficile chez les Anglais de Chelsea, mardi 25 novembre 2025. Le match compte pour la 5e journée de la Ligue des champions d’Europe.

La rencontre sera diffusée sur BeIN Sports et le lien streaming https://livekoora.live/ à partir de 21 heures (heure tunisienne).

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Ldc Uefa (J5) : où regarder Marseille-Newcastle ?

25. November 2025 um 19:20

Le club anglais de Newcastle, qui vient de frapper un gros coup en championnat de Premier League en battant Manchester City, se déplace ce mardi 25 novembre sur le terrain de l’Olympique Marseille. Le match s’inscrit dans le cadre de la 5e journée de la Ligue des Champions d’Europe.

Le match est à suivre sur les antennes de BeIN Sports et sur le lien streaming https://livekoora.live/ à partir de 21h (heure de Tunisie).

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Ldc Uefa (J5) : qui diffusera Ajax vs Benfica ?

25. November 2025 um 15:54

Ajax d’Amsterdam reçoit, ce mardi 25 novembre, Benfica pour la 5e journée de la Ligue des champions d’Europe.

La rencontre sera diffusée sur BeIN Sports et sur le lien streaming https://livekoora.live/ à partir de 18h45 (heure tunisienne).

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ITCEQ, an 50 : plaidoyer pour des réseaux de recherche économiques plus ouverts et connectés

25. November 2025 um 15:11

Participant au premier congrès international de l’ITCEQ, mardi 25 novembre 2025, le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a plaidé pour un renforcement de l’ouverture entre les institutions de recherche économique aux niveaux national, régional et international. Et ce, dans l’objectif de bâtir de véritables réseaux académiques et appliqués capables de faciliter l’accès aux meilleures approches, d’encourager la circulation des expériences et des connaissances et de mieux valoriser les travaux scientifiques.

Le ministre a insisté sur la nécessité de consolider en permanence les capacités internes d’institutions comme l’ITCEQ. Avec pour objectif de produire des analyses plus riches, plus précises et plus stratégiques, selon un média de la place.

Il a également souligné l’importance d’intensifier les études d’impact et l’évaluation des politiques publiques, devenues essentielles dans un contexte mondial marqué par l’incertitude et la complexité. « Nous saluons, à ce titre, l’orientation de l’ITCEQ qui s’attache à développer des méthodologies d’évaluation pertinentes et performantes », a-t-il souligné.

En rappelant les 50 ans de recherche appliquée au service de l’économie tunisienne célébrés cette année par l’ITCEQ, M. Abdelhafidh a insisté sur l’ampleur des transformations technologiques, sociales, démographiques, environnementales et politiques que connaît le monde. Il affirme que ces mutations imposent aux gouvernements et aux acteurs économiques une pression sans précédent, avec l’obligation d’anticiper, de s’adapter et de décider plus vite et de manière plus éclairée. « Les choix en matière de politiques économiques sont désormais plus complexes. Ce qui renforce le rôle central des instituts de recherche », a-t-il ajouté.

Abondant dans le même sens, Alaya Becheikh, directeur général de l’ITCEQ, affirmera que ce premier congrès international vise à conforter le positionnement de l’Institut comme plateforme de réflexion stratégique incontournable. Tout en renforçant sa notoriété au triple niveau national, régional et international.

L’événement ambitionne également de mettre en lumière l’héritage scientifique de l’ITCEQ, devenu en cinq décennies un partenaire majeur des décideurs publics. Il cherche par ailleurs à instaurer un espace de dialogue régulier entre chercheurs, responsables institutionnels et acteurs économiques et sociaux, et à densifier les relations de coopération avec les centres de recherche et think tanks, en Tunisie comme à l’étranger.

Créé en 1973 sous le nom d’Institut d’économie quantitative, l’ITCEQ s’est imposé au fil des années comme une référence nationale en matière de recherche appliquée dans le domaine du développement, accompagnant de manière constante la décision publique grâce à des analyses solides et rigoureuses.

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Sociétés de services informatiques : caution de 20 % sur les factures de support ?

24. November 2025 um 15:16

Les contrats de service et de support des sociétés informatiques, de logiciels ou de matériels qui seront conclus entre l’acheteur public ou l’administration et les prestataires privés revêtent la nature d’un contrat de prestation de services techniques et de support.

En conséquence, les dispositions de l’arrêté du 23 septembre 2025 publié au JORT n°117/2025, du ministre des Affaires sociales, ne pourraient être applicables à ce type de contrat de maintenance.

En effet, un contrat de support comprend :

  • Une partie relative à l’achat de supports auprès des éditeurs et constructeurs; et notamment des mises à jour logicielles.
  • Une partie du contrat de maintenance relative à l’achat de pièces détachées et des composants matériels, pour assurer le service.
  • Le service et le support ne sont pas assurés par une personne dédiée; mais par une équipe mutualisée intervenant pour plusieurs clients.
  • Le paiement des prestations s’effectue à termes échus et non en avance.

Par ailleurs, l’acheteur public pourra vérifier, avant chaque règlement, que le prestataire privé est en règle vis-à-vis de la CNSS et des impôts.

Enfin, le prestataire privé ne pourra pas émettre une caution bancaire sur une facture non émise et non payée. En effet, l’acheteur disposerait déjà de deux garanties : la caution de 20 %, ainsi que la totalité du montant de la facture (100 %). Ce qui représenterait une garantie totale de 120 %, supérieure donc au montant du marché.

En outre, la réglementation publique faisant force de loi ne permet pas que l’ensemble des cautions bancaires définitives émises sur un marché public dépasse le seuil de 8 %.

Or, une loi votée par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et signée par le président de la République est forcément supérieure à un décret ministériel. Et par voie de conséquence, attaquable pour non constitutionnelle auprès du Tribunal administratif.

Ce décret, exigeant une caution bancaire définitive sur les marchés de services, pénalise forcément les petites et moyennes entreprises et les start-up.

Certes, il s’agit d’une disposition sociale louable pour protéger les salariés, mais elle n’est pas adaptée pour le secteur digital, où les prestataires sont exclusivement des ingénieurs et non des ouvriers.

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La Tunisie absente au Forum de l’AACE au Sénégal

24. November 2025 um 15:13

La Tunisie a été le premier pays en Afrique a lancer le « Guichet unique du commerce extérieur », en créant TTN (Tunisie TradeNet) en 2000; et ce, juste après le Guichet unique de Singapour.

TTN a réussi a exporter sa solution logicielle au Cameroun et l’implémenter au GUCE – pour Guichet unique du commerce extérieur -, comme nous l’explique un professionnel tunisien ayant pied sur plusieurs pays d’Afrique subsaharienne.
La Tunisie est membre de l’AACE – Alliance africaine pour le commerce électronique – et dispose de plusieurs solutions logicielles tunisiennes développées par des entreprises privées tunisiennes, entre autres MSS, BNS et ADDINN.
Ceci étant, et malgré la volonté affichée de s’ouvrir sur l’Afrique subsaharienne, regrette notre interlocuteur, la Tunisie aurait été le seul pays africain absent de la 11ème Conférence internationale sur les Guichets uniques AACE et du 44ème Forum du CEFACT-ONU, organisés au Sénégal du 24 au 28 novembre 2025.
Cependant, rien n’est totalement perdu, puisque notre pays y serait représenté par son secteur privé, selon notre source.
Alors, vous avez compris qu’il manque un appui politique pour soutenir les actions du secteur privé sur le terrain africain.

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Jimmy Cliff, roi du reggae jamaïcain, tire sa révérence

24. November 2025 um 14:30

Jimmy Cliff, un monument de la musique jamaïcaine depuis cinq décennies, est décédé ce lundi 24 novembre à l’âge de 81 ans.

Des générations entières se souviennent de lui, puisqu’il les a fait danser, notamment avec deux morceaux qui resteront notamment dans les annales de la musique, “Reggae Night“ et “Hakuna Matata“.

Comme l’écrit RFI, Jimmy Cliff « a joué en Afrique un rôle à la fois pionnier et dans la durée pour y faire connaître le genre musical qu’il avait embrassé, soulignant sa dimension sociopolitique. Tout au long de sa carrière, cet artiste voyageur a développé des relations aussi solides que profondes avec le continent ».  Autant dire qu’il manquera à l’Afrique, notamment au Sud du Sahara.

A souligner par ailleurs que la popularité du Jamaïcain « repose sur une forme d’équilibre artistique. D’un côté, un timbre et des qualités vocales remarquables comme sur sa reprise de “No Woman No Cry“ de Bob Marley très appréciée en Afrique. De l’autre, une attitude et une aptitude à évoquer des sujets sociopolitiques ou célébrer le continent.

On se souviendra de l’exemple de « Remake The World », en particulier : “Quelques-uns possèdent tout, quand trop de gens n’ont rien“, des paroles qui, évidemment, déplaisent au régime d’apartheid d’Afrique du Sud. Du reste, « la chanson a été interdite de diffusion sur la SABC [South African Broadcasting Corporation]) », écrira le Sunday Times de Johannesburg en septembre 1977.

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Le groupement Arabsoft-Keystone gagne un projet majeur au Burundi

23. November 2025 um 11:45

Un Groupement Arabsoft Keystone Tunisie gagne un projet majeur financé par la Banque mondiale et dédié à la mise en place du système fiscal e-KORI à l’OBR Burundi.

Jamais les solutions digitales développées par des éditeurs tunisiens ne se sont mieux exportées en Afrique.

La solution de gestion fiscale a été développée par Arabsoft, éditeur de logiciels de gestion des finances publiques et fondé par Mohamed TRKI, ingénieur informatique de formation et qui a fondé Arabsoft dans les années 70.

En effet, Etax, solution de gestion de la fiscalité, a été implémentée dans plusieurs pays d’Afrique, à savoir à la DGI Mauritanie, à l’OTR Togo, à la DGI Niger, à la DGI Comores, à la LRA Liberia, au CIMF Tunisie, ainsi que 2 autres projets gagnés en 2025 – la GRA Gambie et l’OBR Burundi.

Autrement dit, c’est un logiciel de dimension internationale qui n’a actuellement aucun équivalent en Afrique, mais qui n’a des compétiteurs qu’au Canada, Australie, France et USA.

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COP30 : un accord mi-figue, mi-raisin

22. November 2025 um 22:19

La 30e Conférence des Nations unies sur le climat “COP30“, organisée au Brésil du 10 au 21 novembre (mais prolongée d’un jour) a pris fin samedi 22 novembre. Avec un accord “minimaliste“, comme le rapportent la plupart des médias.

 

Minimaliste, parce que l’accord adopté par consensus par les 194 pays participants est « sans engagement explicite de sortie des énergies fossiles ». Pourtant, l’Union européenne appuyée par 80 pays a pesé de tout son poids pour parvenir à un calendrier de sortie des hydrocarbures. En vain.  Pire encore : le mot “fossiles“ ne figure même dans l’accord.

Ainsi, on parle d’“un accord affaibli sur les fossiles“. En effet, le texte final se contente de rappeler de manière indirecte la formulation de la COP28 sur la “transition” énergétique. Ensuite, les appels à accélérer l’action climatique restent volontaires, et aucune « feuille de route » n’a été retenue. Enfin, l’UE, d’abord prête à refuser le texte, l’a finalement accepté pour ne pas paraître responsable d’un échec diplomatique.

 

Tensions et positions divergentes

Il faut dire que cette 30e COP a été traversée tout au long de son déroulement par des tensions et des positions divergentes, au nombre de trois. Primo, les pays producteurs ou dépendants des fossiles (Russie, Arabie saoudite, Inde, etc.) ont bloqué toute mention plus ambitieuse.

Secundo, une partie du monde en développement privilégiait les financements climatiques plutôt que la bataille sur les fossiles.

Tertio, la Chine, de son côté, a salué un succès “dans une situation très difficile”. Un propos quelque peu paradoxal, en ce sens que, dans l’état actuel des choses, toute sortie des énergies fossiles est à l’avantage de l’Empire du Milieu qui possède les technologies les plus avancées de lutte contre le réchauffement climatique.

Mais tout n’est pas perdu, parce qu’un compromis sur les financements a été trouvé, avec une promesse d’un triplement des financements pour l’adaptation des pays en développement d’ici 2035, et ce même si ces pays estiment que cet engagement reste insuffisant pour répondre leurs besoins.

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ITCEQ fête ses 50 ans de recherche économique appliquée

22. November 2025 um 12:34

Pour bien fêter ses 50 ans, l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ) a choisi d’organiser dans la foulée un Congrès international scientifique, le mardi 25 novembre 2025 à Tunis.

« Les défis de la politique économique à l’épreuve des grandes mutations », c’est le thème de ce congrès scientifique majeur, qui marque le cinquantenaire de l’institut. Pour ce faire, il réunira des chercheurs, des experts internationaux et des décideurs politiques.

 

Il vise à positionner la Tunisie comme un pôle d’excellence régional en matière de recherche économique appliquée.

 

Avec l’objectif d’analyser les transformations profondes qui redéfinissent les modèles de croissance, de compétitivité et de gouvernance économique.

L’ITCEQ assure que le congrès s’articulera autour de deux panels principaux. Le premier sera consacré aux défis des politiques économiques face aux mutations globales, alors que le second se portera sur les enjeux des institutions de recherche en économie appliquée dans le monde de demain.
Ce congrès constitue une plateforme stratégique pour renforcer le rôle de l’ITCEQ en tant que think tank innovant et influent, au double plan national et international.

 

Dans ce cadre, l’événement bénéficie du soutien de partenaires institutionnels majeurs, en l’occurrence Expertise France, l’Union européenne, la GIZ, la Banque tunisienne de solidarité, la STB Bank, la BH Bank et la BNA Bank.

 

Des personnalités nationales et internationales de premier plan participeront à ce rendez-vous, ce qui marquera une étape décisive dans l’histoire de l’ITCEQ, pour ses 50 ans d’expertise au service du développement économique et de la prise de décision fondée sur les données crédibles et fiables.

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Indice mondial du savoir : la Tunisie dans le Top 10 africain, mais…

22. November 2025 um 12:01

L’Indice mondial du savoir 2025, publié par la Fondation Mohammed bin Rashid Al Maktoum en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), passe au crible 149 pays. Comme à l’accoutumée, il révèle une faible performance globale du continent africain : seul un pays, Maurice, atteint la moyenne mondiale. La Tunisie se classe 79ᵉ au niveau mondial et 3ᵉ en Afrique avec un score de 38/100.

Dévoilée lors du Sommet du savoir à Dubaï, du 19 au 20 novembre, l’édition 2025 a été entièrement remaniée par rapport aux anciennes. Ainsi, le nombre d’indicateurs a été fortement diminué, passant de 155 à 115 en vue de renforcer la fiabilité statistique et la comparabilité internationale, indique le rapport.

Le classement repose désormais sur six piliers essentiels, incluant l’“éducation à tous les niveaux, la recherche et innovation, les technologies, l’économie et la gouvernance environnementale et sociale“.

Au niveau mondial, l’indice est dominé par les pays nordiques, avec la Suisse en tête, suivie de Singapour et de la Suède. Les États-Unis arrivent à la 1eᵉ place, tandis que la France occupe le 17e rang.

En Afrique, l’Ile Maurice occupe se classe 1e et la 58e place mondiale grâce à de très bons résultats dans l’enseignement pré-universitaire et plusieurs autres sous-indicateurs, mais souffre cependant, à l’instar de la majorité des pays du continent, d’une très faible performance en recherche et innovation.

D’ailleurs sur les 30 derniers pays du classement, 23 sont africains, révèle le rapport, ce qui montre un diagnostic on ne peut plus inquiétant, à savoir l’échec structurel des systèmes d’éducation, de recherche et d’enseignement supérieur du continent.

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Le japonais Mitsui & Co prospecte le marché tunisien

21. November 2025 um 16:35

Des représentants de la multinationale japonaise Mitsui & Co, active dans de nombreux secteurs, ont exprimé leur intérêt à établir des partenariats avec des entreprises tunisiennes, notamment dans le recyclage de l’aluminium, l’alimentation, la métallurgie et d’autres domaines. C’est en tout cas ce qu’indique l’Agence de promotion des investissements extérieurs (FIPA Tunisia).

C’est ainsi qu’une délégation de Mitsui & Co, composée de Montashir Hossain, représentant du bureau de Dubaï, et de Kaiki Yoshioka, représentant du bureau de Casablanca, a été reçue, le 20 courant, par le directeur général de la FIPA, Jalel Tebib.

Cette visite, qui s’inscrit dans le cadre d’une mission de prospection en Tunisie les 19 et 20 novembre 2025, a pour objectif d’explorer les opportunités de coopération et de développer des projets d’affaires dans le pays.

Selon la FIPA, les rencontres avec des sociétés tunisiennes ont été jugées très prometteuses, et des actions de suivi sont déjà prévues.

Basée à Tokyo, Mitsui & Co est l’une des plus anciennes sociétés japonaises. Fondée en 1673, elle a été restructurée en 1876 puis en 1947. La multinationale compte aujourd’hui 120 filiales au Japon et 371 à l’international, et ses activités couvrent quasiment tous les secteurs économiques.

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JMC bouscule le marché tunisien du pick-up avec le Vigus

21. November 2025 um 15:37

Jeudi 20 novembre 2025, JMC a fait une arrivée remarquée en Tunisie avec le lancement de son pick-up Vigus, distribué par Italcar.

Mornag Serail, où s’est déroulée la cérémonie de lancement de ce pick-up, n’a pas été choisie par hasard. Il s’agit d’une maison d’hôte qui symbolise la cible, en l’occurrence les professionnels agricoles, du bâtiment et autres transporteurs.

Revenons au Vigus proprement dit. Au passage, il faut noter que Vigus signifie en latin « vigil », « vigoureux », voire dynamisme, vigueur… Ce qui devrait vous indiquer pourquoi il faudra compter, dans les prochains mois, sur ce pick-up.

Kaïs Krima, le directeur général d’Italcar, a expliqué que cette marque chinoise introduit plusieurs versions du modèle JXD 25, en simple ou double cabine, en 4×2 et 4×4. Avec un objectif clair : proposer le meilleur rapport qualité/prix dans un segment déjà très concurrentiel. Bien vu.

Ainsi, le pick-up mise sur une mécanique simple mais éprouvée, adaptée aux conducteurs professionnels comme aux particuliers évoluant sur des routes difficiles ou des pistes.

Selon le site spécialisé sayarti.tn, lors d’un test-drive à Mornag, journalistes et invités ont pu constater sa robustesse, sa suspension mixte (indépendante à l’avant et à lames à l’arrière), sa direction assistée et un freinage disque/tambour. Toutes les versions sont équipées de jantes aluminium et de pneus 245/70 R16.

JMC ne sacrifie pas la sécurité, en intégrant des séries ABS + EBD, airbags frontaux, Isofix, verrouillage automatique des portes et sécurité enfant. Le véhicule reçoit aussi des équipements pratiques tels que marchepieds, rétroviseurs électriques, revêtement de benne et éclairage temporisé.

Et pour ne rien oublier, le nerf de la guerre étant l’argent, non pardon, ici on dira le nerf des ventes, c’est le prix, le pick-up est proposé entre 69 000 et 94 000 dinars – vous avez compris – , c’est en vue de se positionner frontalement comme «une alternative solide, abordable et fiable sur le marché tunisien».

D’ailleurs, le management d’Italcar a renforcé le showroom JMC sur l’avenue de Carthage à Tunis pour mieux se rapprocher des professionnels.

Voilà donc des atouts qui, a priori, devraient bousculer le marché tunisien du segment pick-up.

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La Mauritanie va produire et exporter de l’hydrogène vert

21. November 2025 um 11:02

Le ministre mauritanien de l’Énergie et du Pétrole, Mohamed Ould Khaled, et le directeur technique et fondateur du groupe allemand Möhring Energie, Sascha Möhring, ont signé un accord-cadre. Il concerne le développement d’un projet industriel à grande échelle visant à produire de l’hydrogène et de l’ammoniac en Mauritanie. C’est ce que rapporte le site web mauritanien Cridem.

La même source rappelle ce que stipule le code de l’hydrogène vert en Mauritanie, à savoir : « Après l’accord-cadre, et si toutes les obligations qui en découlent sont remplies, les parties commenceront à négocier l’accord global. »

Via cette coopération, le ministère du Pétrole et de l’Énergie assure que « Möring Energy se chargera du développement du projet “NAYRA“ par étapes, en commençant par une capacité électrique de 1 gigawatt ».

A souligner que NAYRA est la première initiative allemande mise en œuvre dans le contexte juridique mauritanien relatif à l’hydrogène vert.

Annuellement et à l’horizon 2029, le projet permettra de produire près de 140 000 tonnes d’hydrogène vert et 400 000 tonnes d’ammoniac vert, destinés aux marchés européens.

D’ailleurs, la loi sur l’hydrogène vert en Mauritanie consolide la position du pays en tant que pionnier de la transition vers les énergies propres en Afrique. Renforçant ainsi son statut de modèle potentiel pour l’Afrique dans la mise en place de cadres prêts à investir dans les technologies vertes, indiqueencore le Cridem.

Justement, le récent accord constitue une étape importante « vers le renforcement de la position de la Mauritanie en tant que centre régional de production d’énergie propre. En tirant parti de ses ressources éoliennes et solaires considérables et de sa capacité à fournir une énergie compétitive qui soutient les industries d’avenir et ouvre de nouvelles perspectives pour la diversification de l’économie nationale ».

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IA : une chance historique pour le monde méditerranéen, dixit Karim Beguir

21. November 2025 um 10:40

Karim Beguir, CEI d’InstaDeep, qu’on ne présente plus, assure que « l’IA n’est plus une promesse, elle change déjà nos économies ». Il s’exprimait ainsi lors du Forum méditerranéen de l’IA qui se tient à Tunis les 20 et 21 novembre 2025. Y participent près de 600 acteurs du secteur, dont l’ancien ministre du Tourisme, Mehdi Haouas, rapportent nos confrères de Managers.

Il qualifie le moment d’historique pour la zone méditerranéenne, avec un chiffre clé à l’appui. En effet, il souligne que les capacités des systèmes d’intelligence artificielle progressent de manière exponentielle, dont certaines dépassent même 99,9 % des performances humaines. Le patron d’InetaDeep précise que cette accélération s’explique par un triptyque unique : explosion des données; puissance de calcul nouvelle génération; et modèles capables de créer eux-mêmes leurs successeurs.

Et en termes de retombées économiques, Karim Beguir affirme qu’elles sont immenses. La preuve est qu’une petite équipe peut désormais produire autant qu’une centaine de personnes. Ce qui ouvre donc des perspectives inédites pour les startups et pays émergents, écrit Managers.

Concernant le bassin méditerranéen en général et de l’Afrique du Nord en particulier, le CEO d’InstaDeep estime qu’ils possèdent également un « atout stratégique » qu’est l’énergie solaire. Laquelle est à même d’alimenter des data centers compétitifs destinés notamment à l’Europe. Inutile de souligner que ces derniers sont des véritables énergivores. Avec des infrastructures comme le câble Medusa– le plus vaste réseau de fibre optique sous-marine de la Méditerranée- et des alliances Nord-Sud, la région pourrait bâtir les data centers les plus performants au monde.

Pour finir, Karim Beguir appelle donc à une convergence/partenariat public-privé pour transformer les atouts méditerranéens en croissance durable. Avec la maturité des technologies et l’énergie renouvelable disponible, « le bassin méditerranéen a une opportunité historique de prendre l’avantage », conclut-il.

Espérons qu’il sera entendu par les décideurs des différents pays méditerranéens.

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338 MDT d’exportations agricoles tunisiennes vers le Maroc en septembre

21. November 2025 um 08:51

De janvier à septembre 2025, les exportations des secteurs agricole et agroalimentaire vers le marché marocain se sont élevées à plus de 338,5 millions de dinars, selon des données communiquées par l’antenne du CEPEX basée à Casablanca.

 

Ainsi, parmi les principaux produits exportés sur le Royaume chérifien, figurent les dattes et l’huile d’olive.

 

A noter que le CEPEX a organisé, les 19 et 20 novembre 2025, des rencontres professionnelles bilatérales entre une délégation d’acheteurs marocains et des représentants de 20 entreprises tunisiennes opérant dans l’agroalimentaire.

 

Ces rencontres, qui se sont déroulées en Tunisie, ont constitué une opportunité pour renforcer la présence des produits tunisiens sur le marché chérifien.

 

Le but de cette opération c’est de montrer aux acheteurs marocains la qualité des produits alimentaires tunisiens et leur conformité aux normes internationales.

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Classement FIFA : la Tunisie dans le top 7 africain et 40e mondiale

20. November 2025 um 15:01

La FIFA a publié son nouveau classement mondial. Ce n’est pas un simple classement, puisque ce dernier va servir de base pour le tirage au sort de la phase de poules de la prochaine Coupe du Monde (juin-juillet 2026, au Canada, Etats-Unis et Mexique).

Au niveau mondial, les trois premières places du classement FIFA restent inchangées : Espagne, Argentine et France. Ces pays sont suivis, respectivement par l’Angleterre, le Brésil, le Portugal, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne et la Croatie.

Juste derrière ces dix, on trouve le Maroc à la 11ème position, l’Italie (12ème). Le Sénégal  est le 19ème, l’Egypte  est 34ème, l’Algérie 35ème, la Tunisie 40ème, la Côte d’Ivoire 42ème et la RD Congo  se retrouve en 56ème.

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Football: Achraf Hakimi, « Joueur africain de l’année 2025 »

20. November 2025 um 08:24

Les CAF Awards 2025 ont sacré le Marocain Achraf Hakimi comme “meilleur Joueur africain de l’année 2025“, devant Mohamed Salah (Egypte) et Victor Osimhen (Nigeria).

La cérémonie a eu lieu mercredi 19 novembre à Rabat, la capitale marocaine. Il faut dire que le défenseur du PSG, a pratiquement tout remporté en club au cours de la saison 2024-2025. Mais à part Hakimi, le Maroc a gagné plusieurs trophées à cette occasion, à savoir ceux de “meilleurs jeunes de l’année“ pour Doha El Madani et Othmane Maamma. Ainsi que celui de la “meilleure sélection“ pour les champions du monde U20 marocains.

« Champion de France, vainqueur de la Ligue des champions, finaliste de la Coupe du monde des clubs et vainqueur de la Supercoupe d’Europe, Achraf Hakimi a auréolé ce palmarès de statistiques impressionnantes pour un latéral droit », écrit RFI.

Avec seulement 4 buts et six passes décisives, on entend donc qu’il ne suffit pas d’être “meilleur buteur“ avec son club ou en équipe nationale pour être sacré “meilleur joueur africain de l’année“.

Concernant les entraîneurs, sans surprise c’est Bubista, qui a qualifié le Cap-Vert pour la première Coupe du monde de son histoire, qui a été sacré “meilleur entraîneur de l’année 2025“.

Le palmarès des CAF Awards 2025

Joueur de l’année : Achraf Hakimi.

Joueuse de l’année : Ghizlane Chebbak.

Entraîneur de l’année (Hommes) : Bubista (Cap-Vert).

Gardien de but de l’année : Yassine Bounou (Maroc / Al-Hilal).

Gardienne de but de l’année : Chiamaka Nnadozie (Nigeria / Brighton).

Jeune Joueur de l’année : Othmane Maamma (Maroc / Watford).

Jeune Joueuse de l’année : Doha El Madani (Maroc / AS FAR).

Équipe Nationale de l’année (Hommes) : Maroc U20.

Équipe Nationale de l’année (Femmes) : Nigeria.

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