ATP 250 de Genève: Djokovic en demi-finale
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Les ministères de l’Agriculture et de l’Education conviennent d’effectuer des inspections conjointes pour définir un programme d’entretien des installations d’eau dans les établissements scolaires ruraux.
Les ministères de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche et de l’Education ont convenu jeudi d’effectuer des inspections conjointes sur le terrain pour définir un programme d’accès à l’eau potable et d’entretien des installations sanitaires dans les établissements scolaires dans les zones rurales, selon un communiqué publié sur la page officielle du ministère de l’Agriculture « .
Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’un ensemble de décisions prises lors d’une séance conjointe sur le renforcement de l’approvisionnement en eau potable des établissements scolaires en milieu rural, tenue entre les responsables des deux ministères sous la supervision de Hamadi El Habib, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, chargé des ressouces en eau, dans le cadre de l’approvisionnement des établissements scolaires en eau potable au cours de l’année scolaire 2025-2026.
Au cours de la réunion, il a été convenu de réaliser des études géophysiques pour les sites de puits profonds par le ministère de l’Education, notamment pour les établissements scolaires dépourvus d’accès à l’eau potable et de convenir d’un plan d’action pour assurer la continuité du remplissage des réservoirs d’eau à l’aide de citernes tractées.
Le Commissariat Régional au Développement Agricole de la Manouba table cette année sur une production de 850.000 quintaux de céréales avec un rendement d’environ 24 quintaux par hectare, dont 520.000 quintaux de blé dur, après l’ensemencement de 35.500 hectares (taux de réalisation de 95%), dont 350 hectares irrigués, a-t-il annoncé lors d’une séance de travail tenue, vendredi, pour examiner les préparatifs de la saison des récoltes.
Cette estimation représente une hausse d’environ 50 % par rapport à la saison de récolte précédente, qui a enregistré une production d’environ 470 quintaux.
Le deuxième vol de pèlerins de Gafsa depuis l’aéroport international de Gafsa a décollé vendredi à l’aube avec 256 pèlerins se rendant aux lieux saints pour accomplir les rituels du Hajj, selon le directeur régional des affaires religieuses Mehrez Sinani.
Le directeur régional des affaires religieuses, Mehrez Sinani, a déclaré à la TAP que trois vols assureront le transport de 305 pèlerins de Gafsa cette année, soulignant que le premier vol a eu lieu le 20 mai de l’aéroport international de Tozeur-Nafta, avec 39 pèlerins à bord, et vendredi le deuxième vol transporte des pèlerins de la ville de Gafsa et ses municipalités voisines, tandis qu’un troisième vol transportera 10 pèlerins le 28 mai de l’aéroport international de Sfax-Tine.
Sinani a souligné que les pèlerins de la région ont reçu des leçons religieuses et de sensibilisation en deux lots avant et après le Ramadan (en mars dernier) sur la manière d’accomplir les rituels du Hajj, en plus d’un pèlerinage de formation pour les pèlerins de Gafsa et des régions voisines.
La JSK et l’ASM sont à une victoire de la Ligue 1. L’OCKerkennah et le CSMsaken vont-ils résister à la volonté de ce duo ?
La Presse — C’est décidément le jour le plus long à Kairouan et à La Marsa pour cette dernière journée de la Ligue 2. Les supporteurs de la JSK et de l’ASM, deux monuments du football tunisien, sont impatients de voir cette journée finir sur une bonne nouvelle. Les deux clubs sont à 3 points de la Ligue 1.
C’est la manière la plus simple de le faire sans attendre les résultats de leurs poursuivants immédiats, l’ASK pour la JSK, ainsi que Jendouba pour l’ASM. Et le hasard du calendrier a voulu que les deux reçoivent pour cette dernière journée à partir de 16h00. La JSK, qui a marqué le pas en cette fin de saison alors qu’elle était en voie libre, ne cherchera que les trois points devant un OCK qui a joué pour l’accession jusqu’à la fin et qui sera l’arbitre entre la JSK et l’ASK (qui accueille Agareb).
Toute la ville de Kairouan est mobilisée pour ce match-couperet où les nerfs et le mental parleront beaucoup. Pour Walid Jerbi et ses équipiers, vouloir faire plaisir au public et redorer le blason de la JSK leur donnera des ailes.
C’est le même raisonnement pour l’ASM (groupe A) demain qui a profité de la chute de Jendouba pour rebondir in extremis. Après un début de saison moyen, les Marsois ont repris confiance et sont maintenant à trois points d’oublier la relégation subie la saison dernière. Là encore, le fait de jouer à domicile va beaucoup aider l’ASM à surclasser le CSMsaken qui devra jouer le jeu à fond.
En même temps, Jendouba, qui se déplace à Hammam Lif, devra gagner et attendre de bonnes nouvelles du stade de La Marsa. Ça va être très difficile quand même après cette catastrophique fin de parcours. Ce sera chaud à Kairouan et à La Marsa, et l’attente se fera longue pour les supporteurs des deux équipes. Encore un effort !
L’Observatoire national de la circulation routière a appelé vendredi les usagers de la route à respecter un certain nombre de conseils, sur fond de perturbations météorologiques.
Il a souligné que « des orages accompagnés de pluies séparées sont attendus à partir de midi aujourd’hui, qui sont localement fortes dans les régions de l’ouest puis englobent durant la nuit certaines régions de l’est avec de la grêle en des endroits limités, ainsi que des vents relativement forts à forts dans les régions de l’est du sud, où ils sont excitants de sable et de poussière ».
L’observatoire a donné un certain nombre de conseils dont le port de la ceinture de sécurité, la réduction de la vitesse pour éviter de glisser et de perdre le contrôle de la route, le respect de la distance de sécurité, la non utilisation du téléphone portable, le respect des règles du code de la route.
Cet appel s’adresse aux porteurs de projets âgés de 18 à 35 ans, résidant en Tunisie, au Maroc ou au Sénégal. Les candidats doivent proposer des initiatives innovantes dans les industries culturelles et créatives (hors cinéma), en lien avec les cultures africaines.
L’objectif ? Renforcer les échanges et le co-développement entre jeunes talents africains, tout en valorisant les récits locaux. Le programme inclut :
Des ateliers de formation et d’accompagnement
Un mentorat personnalisé
Trois résidences en présentiel (Tunisie, Maroc, Sénégal)
Parmi les partenaires figurent :
La Fondation HIBA (Maroc)
CinéKap Group & Up’Courts (Sénégal)
La Direction de la Coopération Internationale de l’Ambassade de Suisse en Tunisie
Le Fonds FEF via l’Ambassade de France en Tunisie
Ce projet s’inscrit dans une dynamique panafricaine, visant à favoriser les collaborations Sud-Sud et à promouvoir une identité créative africaine plurielle.
Avec TAP
L’article Appel à projets pour jeunes créateurs africains : « Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs » est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Selon un communiqué du CMF, cette mesure vise à « assurer la gestion administrative et financière de la société sous la supervision d’un juge contrôleur ». L’administrateur judiciaire représentera désormais TSI devant les clients, les banques et les autorités de régulation. Il traitera également les réclamations, sous le contrôle du tribunal et la supervision du CMF
Cette décision s’inscrit dans le cadre d’un suivi accru du CMF face aux « graves manquements » de TSI en matière de gouvernance et de gestion. Ces dysfonctionnements ont conduit à une « situation fragile et instable », risquant d’affecter les droits et avoirs des clients.
Le CMF a rappelé que l’instruction disciplinaire se poursuivait, parallèlement aux actions judiciaires, afin de « protéger les épargnants et garantir la stabilité du marché financier ».
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Les négociateurs affirment que sans concessions il n’y aura pas de progrès dans les discussions visant à éviter l’imposition d’un tarif supplémentaire de 20 %, qualifié de « réciproque ».
Selon des sources bien informées citées par le média, le représentant américain au Commerce, Jamison Greer, s’apprête à informer ce 23 mai son homologue européen, Maroš Šefčović, que la dernière « note interprétative » soumise par Bruxelles lors des négociations ne répond pas aux attentes américaines.
Les États-Unis sont consternés par le fait que l’Union européenne n’a proposé que des réductions tarifaires réciproques, au lieu de s’engager à les réduire unilatéralement, comme l’ont proposé certains autres partenaires commerciaux de Washington. L’UE n’a pas non plus réussi à présenter la taxe numérique proposée comme point de négociation. Ce que réclament les États-Unis.
Bien que l’Union européenne cherche à élaborer un texte commun pour encadrer les discussions, les deux parties restent très éloignées, selon des sources proches des discussions citées par le Financial Times.
MM. Greer et Šefčović doivent se rencontrer à Paris le mois prochain (juin). Une rencontre qui devrait être un test crucial pour savoir si les deux parties peuvent éviter une escalade de leur conflit commercial. Les États-Unis insistent pour que Bruxelles adopte des mesures visant à réduire le déficit commercial de 192 milliards d’euros.
Malgré l’échange de documents de négociation entre les deux parties, peu de progrès ont été réalisés depuis que Trump a annoncé une période de négociation de 90 jours. Un troisième responsable au courant des discussions a déclaré qu’il n’était pas optimiste quant à la possibilité de parvenir à un accord qui permettrait d’éviter les droits de douane américains sur les importations européennes. « L’échange de messages ne constitue pas un réel progrès… Nous ne faisons toujours pas de réels progrès », a-t-il souligné.
Le Royaume-Uni a conclu un accord qui maintient les tarifs « réciproques » de 10 % imposés par Trump, mais a reçu un quota sans droits de douane pour ses exportations d’acier et une réduction des tarifs à 10 % sur 100 000 voitures. Il a également dû autoriser davantage d’importations d’éthanol et de viande américains…
Certains diplomates européens estiment que les États-Unis maintiendront un minimum de 10 % dans tout accord, un point de vue que de nombreux ministres européens du Commerce considèrent comme une justification à des représailles.
Les États-Unis considèrent que l’offre européenne actuelle – qui comprend la suppression de tous les droits de douane sur les produits industriels et certains produits agricoles si Washington fait de même – est dans l’intérêt de Bruxelles, compte tenu de son utilisation de normes réglementaires pour empêcher les importations.
Washington a envoyé à Bruxelles ses conditions standard pour tout accord, qui incluent la facilitation des investissements des entreprises américaines dans l’UE, la réduction des restrictions réglementaires et la reconnaissance des normes alimentaires et de production américaines. Elle appelle également à la suppression des taxes numériques nationales…
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Ce dernier affirme que des restrictions ont été mises en place par Microsoft dans le but de « limiter les contenus à caractère politique circulant en interne ».
A rappeler dans cet ordre que Microsoft a déclaré offrir des services de cloud computing et d’intelligence artificielle au ministère israélien de la Défense. L’entreprise fondée par Bill Gates dit qu’il n’existe pas de preuve que ces technologies soient utilisées contre des civils palestiniens.
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Dans le cadre de son programme TACIR (Talents-Arts-Créativité-Inclusion-Recherche), l’Association tunisienne du Multimédia et de l’Audiovisuel (AMAVI) lance l’appel à idées pour la première cohorte du programme “Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs”, une initiative panafricaine portée par AMAVI, la Fondation HIBA (Maroc), CinéKap Group & Up’Courts (Sénégal), avec le soutien de la Direction de la Coopération Internationale de l’Ambassade de Suisse en Tunisie et du Fonds FEF via l’Ambassade de France en Tunisie.
Ce programme vise à accompagner les jeunes talents africains dans le développement de projets créatifs à fort potentiel, en lien avec les récits locaux et les cultures africaines.
Il propose un parcours d’incubation interdisciplinaire combinant formations, mentorat, co-création, et trois résidences en présentiel (en Tunisie, au Maroc et au Sénégal).
“Les Ateliers Sud-Sud : Ici et Ailleurs” est un programme panafricain d’incubation qui vise à instaurer une dynamique d’échange et de co-développement entre cinq pays : la Tunisie, le Maroc, le Sénégal, le Kenya et la Côte d’Ivoire.
Dans une volonté de bâtir de nouvelles passerelles entre talents et territoires, entre création et transformation, ce programme ambitionne de renforcer les capacités des jeunes talents africains à travers un dispositif interdisciplinaire de co-création, de soutien à l’entrepreneuriat culturel et de mise en réseau. Il cherche à révéler et valoriser la richesse culturelle du continent tout en affirmant une identité créative du Sud, plurielle et innovante.
L’appel à idées est destiné aux jeunes créateurs et entrepreneurs culturels, âgés de 18 à 35 ans, de nationalité tunisienne, marocaine ou sénégalaise, résidant en Tunisie, au Maroc ou au Sénégal, et porteurs d’une idée créative originale dans le domaine des industries culturelles et créatives (hors projets filmiques), en lien avec les cultures africaines.
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La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a lancé, à compter du 19 mai 2025, une opération de rééchelonnement des créances impayées des agriculteurs bénéficiant du tarif agricole en basse tension. Cette mesure permet un étalement des dettes sur une période pouvant aller jusqu’à sept ans.
Dans un communiqué publié sur sa page officielle Facebook, la STEG a précisé que ce dispositif restera en vigueur jusqu’au 1er septembre 2025, échéance fixée pour le dépôt des demandes.
Les exploitants agricoles souhaitant bénéficier de cette mesure sont invités à présenter une demande écrite auprès de l’agence régionale compétente de la STEG, conformément à la procédure établie.
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