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Gestern — 18. April 2025Haupt-Feeds

Tunisie–Japon : Vers un renforcement des relations en vue de la TICAD 9 à Yokohama

Von: walid
18. April 2025 um 10:08

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, s’est entretenu ce jeudi avec l’ambassadeur du Japon à Tunis, Takeshi Osuga, pour discuter des préparatifs des prochaines échéances bilatérales et régionales, notamment la Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD 9), prévue du 20 au 22 août 2025 à Yokohama.

Lors de cette rencontre, tenue au siège du ministère, les deux parties ont examiné les principaux dossiers de coopération économique, financière et technique, selon un communiqué du département.

La Tunisie avait accueilli la TICAD 8 en 2022. En 2026, la Tunisie et le Japon célébreront le 70e anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques. Cette année marque également les cinquante ans de coopération fructueuse avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).

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A l’approche de la TICAD 9, Tunisiens et Japonais consolident leur coopération

18. April 2025 um 08:27

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, s’est entretenu, jeudi 17 avril, avec l’ambassadeur du Japon à Tunis, Takeshi Osuga, autour des préparatifs des prochaines échéances bilatérales et régionales, notamment la Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD 9), prévue du 20 au 22 août 2025 à Yokohama au Japon.

A rappeler que la Tunisie avait accueilli la TICAD 8 en 2022.

Lors de cette rencontre, tenue au siège du ministère, ont été examinés les principaux dossiers de coopération économique, financière et technique, selon un communiqué du département.

Par ailleurs, en 2026, la Tunisie et le Japon célébreront le 70ème anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques. Cette année marque également les cinquante ans de coopération fructueuse avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).

Avec TAP

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Tunisie-Japon : Vers une consolidation de la coopération à l’approche de la TICAD 9

Von: La Presse
18. April 2025 um 07:44

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, s’est entretenu jeudi avec l’ambassadeur du Japon à Tunis, Takeshi Osuga, afin d’évoquer les préparatifs des prochaines échéances bilatérales et régionales, notamment la neuvième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD 9), prévue du 20 au 22 août 2025 à Yokohama.
Lors de cette rencontre, tenue au siège du ministère, les deux parties ont examiné les principaux dossiers de coopération économique, financière et technique, selon un communiqué officiel.
La Tunisie avait accueilli la TICAD 8 en 2022. En 2026, la Tunisie et le Japon célébreront le 70e anniversaire de l’établissement de leurs relations diplomatiques. Cette année-là marquera également les cinquante ans de coopération fructueuse avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).

 

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Le Japon va renforcer le yen pour stimuler la compétitivité de l’industrie

14. April 2025 um 14:34

Le Japon doit renforcer le yen pour stimuler la compétitivité de l’industrie nationale. Car la faiblesse de la monnaie a augmenté le coût de la vie pour les ménages japonais. C’est ce qu’a déclaré, dimanche 13 avril 2025, le principal planificateur politique du parti au pouvoir.

Avant le début des négociations commerciales avec les États-Unis, Itsunori Onodera, président du Conseil politique du Parti libéral-démocrate, a également déclaré que le Japon ne devrait pas procéder à des ventes massives de ses avoirs en titres du Trésor américain. Lesquels représentent le montant le plus élevé de tous les pays hors des États-Unis, en représailles aux tarifs douaniers imposés par le président Donald Trump.

« En tant qu’allié des États-Unis, le gouvernement ne devrait pas envisager d’utiliser délibérément les titres qu’il détient contre les États-Unis », a déclaré Onodera sur la chaîne publique NHK. Tout en rejetant la suggestion d’un député de l’opposition selon laquelle Tokyo utiliserait ses vastes avoirs en dette publique américaine comme monnaie d’échange dans les négociations commerciales bilatérales.

En affirmant que la faiblesse du yen est responsable de l’accélération de l’inflation, M. Onodera a envoyé le message que le gouvernement japonais considère la tendance à la baisse du yen, plutôt que sa récente reprise, comme le plus gros problème pour l’économie.

« La faiblesse du yen est l’un des facteurs qui ont poussé les prix à la hausse », a-t-il déclaré. « Si le yen se renforce, les entreprises japonaises se renforceront également ».

Par ailleurs, les négociations commerciales entre les États-Unis et le Japon débutent cette semaine. Et elles devraient inclure la question épineuse de la politique monétaire. Certains responsables affirmant que Washington demandera à Tokyo de renforcer le yen.

La lenteur avec laquelle la Banque du Japon relève ses taux d’intérêt à partir de niveaux extrêmement bas pourrait également être une cible pour les négociateurs américains, ont indiqué des sources à Reuters.

La négociatrice commerciale de Tokyo et ministre du Soutien économique, Rosie Akazawa, rencontrera jeudi 17 avril le secrétaire américain au Trésor, Chuck Bessant.

Le Japon a toujours essayé d’empêcher une trop forte appréciation de sa monnaie, car un yen fort nuirait à son économie dépendante des exportations. Mais ces dernières années, alors que la Banque du Japon a poursuivi sa politique monétaire ultra-accommodante et que la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt américains, le yen est tombé à son plus bas niveau depuis trois décennies.

Ainsi, Tokyo est intervenu pour augmenter le taux de change du yen en 2022 et à nouveau l’année dernière. Et ce, lorsque le taux de change du dollar était passé à près de 160 yens. La monnaie japonaise a récemment progressé dans un contexte de forte baisse du dollar, qui est tombé à 142,895 yens vendredi, son plus bas niveau depuis septembre dernier.

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Trump met le feu aux poudres | Le monde retient son souffle

14. April 2025 um 09:31

Donald Trump se présente comme le «Pdg» de l’Amérique, le magnat qui allait mettre désormais les Etats-Unis sur la voie de la prospérité : croissance soutenue, création d’emploi, réduction d’impôt, renaissance industrielle, etc. Il assume  la présidence comme si les Etats-Unis étaient une entreprise personnelle, à la seule différence, cruciale, que lorsqu’une entreprise fait faillite, elle ferme ses portes, par contre, lorsqu’un gouvernement échoue, qui paye la facture ?

Habib Glenza

Durant les quatre années du premier mandat de Trump, la croissance du PIB était de 2,3%, un taux inférieur à celui des années Obama (2,9%) et largement en dessous des 4 voire 5%, par an qu’il avait promis lors de sa campagne électorale! Pire encore, durant ces mêmes années, la dette américaine a augmenté de 7,8 milliards de dollars.

C’est ce que disent tous les responsables américains, mais en réalité ce que fait aujourd’hui le président Trump pour rendre à l’Amérique sa grandeur est contraire à la déontologie, aux chartes et institutions internationales que les Américains ont largement inspirées au lendemain de la 2e guerre mondiale, à l’instar de l’Organisation internationale du commerce (OIC), créée en mars 1948 et prévue par la Charte de la Havane, dans le contexte de l’harmonisation des politiques commerciales internationales, ou de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), dont les statuts furent négociés et signés en avril 1994 à Marrakech, par la majeure partie des puissances commerciales du monde, y compris les Etats-Unis, et ratifiés par leurs assemblées parlementaires.

Trump, qui veut faire table-rase de tout cela et imposer de nouvelles règles commerciales, entame son second mandat présidentiel en déclarant la guerre au reste du monde au nom du principe de l’Amérique d’abord. 

La folie des grandeurs

Depuis la chute de l’URSS, l’Amérique fait cavalier seul, en fomentant des guerres assez coûteuses : en Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan ou en Libye, qui ont conduit à une dette colossale estimée aujourd’hui à 36 000 trillions de dollars! Pendant ce temps, les pays asiatiques ont réduit l’écart technologique qui les séparait de l’oncle Sam, devenant des puissances économiques que Trump cherche à stopper avant qu’il ne soit trop tard. 

En imposant de lourds droits douaniers aux pays «amis» comme ceux de l’Union européenne (UE), la Norvège, le Canada, le Japon et la Corée du Sud, Trump les a mis, à l’insu de son plein gré, dans l’orbite économique de la Chine. Le rapprochement des ces pays avec la Chine pourrait, en effet, aboutir à un accord de libre échange historique. Ces pays peuvent également rejoindre le groupe des Brics+, ce qui peut conduire à l’effondrement du dollar et, par la suite, à la dégringolade de l’économie américaine. La folie des grandeurs de Trump a poussé les amis de l’Amérique à ne plus faire confiance aux dirigeants yankees et au dollar, monnaie de référence jusqu’à ce jour. 

Des pays comme le Japon, qui ont acheté des bons de trésor d’une valeur de plusieurs trillions de dollars, sont en train de les vendre sur les marchés boursiers, de peur que ces valeurs finissent comme les 300 milliards de dollars de la Russie.

En se voyant imposer de lourds droits de douane à ses exportations vers les Etats-Unis, la Chine a très vite réagi en imposant le même taux sur les importations de produits en provenance des Etats-Unis. Réponse du berger à la bergère. Résultat : les agriculteurs américains ont vu leurs ventes chuter, des millions de tonnes de soja ont pourri dans des silos parce que la Chine a cessé d’en acheter. Obligeant les Etats-Unis à accorder des milliards de dollars de subvention à leurs agriculteurs, ce qui fait augmenter la dette d’un cran. Aussi, une question est aujourd’hui sur toutes les lèvres : la nouvelle stratégie de Trump sera-t-elle gagnante ou ses décisions unilatérales vont-elles déclencher un incendie qui embrasera également l’Amérique?

La plus grande économie du monde se présente de plus en plus comme un château de cartes : elle affaiblit les anciennes alliances et provoque l’instabilité budgétaire et la perte de confiance dans les institutions démocratiques.

Voilà où risque de mener la folie des grandeurs d’un dirigeant politique qui croit que le monde est à ses pieds.

Les Européens et les Arabes dans leurs petits souliers

Les 27 membres de l’Union européenne (UE), quant à eux, n’ont pas retenu la leçon de Harry John Temple, un ancien homme d’Etat britannique du 19e siècle, qui disait: «Nous n’avons ni d’alliés perpétuels ni d’ennemis éternels. Seuls nos intérêts sont perpétuels et éternels». Ils découvrent aujourd’hui qu’ils n’ont plus d’amis et le groupe est en pleine débandade, le fameux parapluie américain sous lequel elle s’était longtemps abritée est en passe de devenir un couteau planté dans le dos.

Les pays arabes, et notamment ceux du Golfe, détiennent des fortunes colossales qu’ils sont prêts à offrir à Trump pour qu’il les défende contre la menace du «frère musulman» iranien, alors que leur ennemi existentiel est Israël, aujourd’hui gouverné par un gouvernement d’extrême droite.

Ces pays, qu’ils soient riches ou pauvres, ne comptent pas sur l’échiquier mondial, car ils sont dénués de tout poids politique, économique ou militaire. Ils finiront par être chassés de leurs territoires par les Judéo-américains, comme ce fut le cas en 1492, après la «Reconquista» de l’Andalousie par les chrétiens du nord de l’Espagne, et suite aux guerres fratricides que se sont livrées les royaumes des Taifas au XIe siècle (1009-1091).

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Le Japon est-il enfin sorti de son long « piège déflationniste » ?

08. April 2025 um 13:51

Les conséquences de la pandémie de Covid-19 ont entraîné une flambée de l’inflation dans les économies avancées, atteignant des sommets inédits depuis des décennies. Après la pandémie et la guerre en Ukraine, le « choc d’offre » dû aux mesures de confinement et aux perturbations géopolitiques s’est combiné à un « choc de demande » provoqué par des mesures de relance budgétaire et monétaire sans précédent, propulsant les taux d’inflation à des niveaux records. Le Japon a d’abord semblé faire figure d’exception dans cet environnement inflationniste. Cependant, lorsque les grandes banques centrales ont commencé à relever leurs taux d’intérêt pour contenir l’inflation, l’écart de taux avec le Japon s’est creusé, entraînant une forte dépréciation du yen japonais (JPY) et une montée des pressions inflationnistes au Japon.

Cette forte dépréciation du yen a renforcé les pressions mondiales sur les prix, faisant grimper l’inflation à la consommation au Japon à un pic de 4,3 % en glissement annuel en janvier 2023 — un niveau jamais atteint depuis plus de trente ans dans le pays. Cette hausse de l’inflation a permis à la Banque du Japon (BoJ) de mettre fin à 17 années de taux négatifs, et d’augmenter les taux à deux reprises depuis, bien qu’ils restent encore faibles à 0,5 %.

Inflation à la consommation au Japon

(%, en glissement annuel)

Source : Bank of Japan, Haver Analytics, QNB Economics

Durant la période 2023-2024, la hausse des prix à la consommation s’est modérée, bien qu’elle reste inconfortablement au-dessus de l’objectif, en raison du recul des prix internationaux de l’énergie et des matières premières, ainsi que des subventions temporaires octroyées par le gouvernement aux ménages.

Toutefois, les pressions inflationnistes ont ressurgi de manière marquée, avec une inflation atteignant 3,7 % en décembre dernier, puis 4 % en janvier de cette année, alimentée par la hausse des prix alimentaires domestiques, la suppression progressive des subventions sur l’énergie, et l’augmentation des loyers.

Cette flambée des prix place l’économie japonaise dans une situation particulièrement inhabituelle. Pendant des décennies, avant la pandémie, le Japon a souffert d’un cycle négatif de déflation et de stagnation économique. Entre 2013 et 2020, période désormais connue sous le nom d’« Abenomics », en référence à l’ancien Premier ministre Shinzō Abe, le pays a adopté une politique de relance budgétaire et monétaire agressive pour stimuler son économie. Cependant, ces politiques ont eu peu d’effet sur la sortie du cycle déflationniste, en raison d’un comportement « déflationniste » profondément enraciné dans le secteur privé.

Selon nous, il existe désormais une réelle possibilité que l’environnement inflationniste actuel permette au pays de sortir durablement de ce piège déflationniste. Nous pensons en effet que l’inflation au Japon persistera plus longtemps. Ce qui permettra à la Banque du Japon de poursuivre son processus graduel de normalisation des taux d’intérêt. Dans cet article, nous présentons trois facteurs clés qui soutiennent notre analyse.

Premièrement, les données montrent une persistance de la hausse des prix et une modification des anticipations d’inflation. L’inflation est restée nettement au-dessus de l’objectif de 2 % fixé par la politique monétaire pendant près de trois ans. Par ailleurs, dans un pays historiquement marqué par la stabilité des prix, la montée de l’inflation est en train de modifier les anticipations, tant du côté des entreprises que des ménages. Les enquêtes indiquent que les entreprises japonaises anticipent une inflation de 2,3 % sur les trois prochaines années, soit un niveau nettement supérieur à l’objectif officiel. Ces nouvelles pressions sur les prix et l’ancrage affaibli des anticipations plaident en faveur d’une inflation durable à moyen terme.

Deuxièmement, l’augmentation des salaires entraîne une amélioration du pouvoir d’achat des ménages, ce qui devrait soutenir la consommation et entretenir l’inflation. À la mi-2024, la croissance des salaires réels a commencé à se redresser grâce à l’accord du « Shuntō » — les négociations annuelles entre syndicats et dirigeants d’entreprise — qui a abouti à une hausse salariale moyenne de 5,1 %, la plus élevée depuis 33 ans. Cette année, les négociations devraient déboucher sur une hausse proche de 5,3 %. Cela implique une nouvelle amélioration du pouvoir d’achat des ménages, un soutien accru à la consommation, et une pression supplémentaire sur les prix. De plus, ces hausses salariales interviennent dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, ce qui augmente le transfert des coûts salariaux vers les prix à la consommation.

Troisièmement, le gouvernement a mis en place un programme budgétaire visant à stimuler davantage l’économie, avec pour effet induit une pression haussière sur les prix. Ce plan comprend un budget record équivalant à 735 milliards de dollars pour l’exercice fiscal 2025, ainsi qu’un plan de relance complémentaire d’environ 90 milliards de dollars. Les mesures incluent des aides directes aux familles à faible revenu, des subventions pour compenser la hausse des coûts de l’énergie et des services publics, ainsi qu’un relèvement du seuil de revenu annuel exonéré d’impôt pour encourager la participation au marché du travail. Ces mesures budgétaires expansionnistes devraient renforcer les tensions inflationnistes.

En résumé

L’inflation devrait rester supérieure à l’objectif de 2 % fixé par la politique monétaire jusqu’au début de 2026, soutenue par des pressions persistantes sur les prix, une évolution des anticipations inflationnistes, une hausse des salaires et un programme budgétaire gouvernemental de relance. Cela permettra à la Banque du Japon de poursuivre sa politique de normalisation progressive des taux d’intérêt, avec au moins une nouvelle hausse de 25 points de base prévue cette année.

D’après analyse QNB

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