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Conseil restreint pour réviser la loi sur la Banque centrale

25. März 2025 um 18:12

La Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri a présidé, le mardi 25 mars 2025, un Conseil des ministres restreint au palais du gouvernement à la Kasbah, consacré à l’examen du projet de révision de la loi n°35 de 2016 relative au statut de la Banque centrale de Tunisie.

Étaient présents, Michket Slama Khaldi, ministre des Finances, et Fethi Zouhair Nouri, gouverneur de la Banque centrale.

Mme Zenzri a rappelé le rôle clé de la Banque centrale dans l’établissement de normes quantitatives et qualitatives pour une gestion saine du système bancaire national.

Elle a souligné l’importance de renforcer les politiques et stratégies de développement nationales, de stimuler l’investissement et d’améliorer la capacité de financement des PME.

Selon un communiqué du gouvernement publié à l’issue dudit Conseil des ministres, la révision de la loi vise à renforcer l’autonomie de l’État et à mobiliser les ressources internes pour construire une économie solide.

L’objectif est de créer un système financier solidaire et intégré, capable de faire face aux changements internationaux.

Par conséquent, le Conseil a recommandé d’accélérer la révision de la loi n°35 de 2016, en adoptant une approche nouvelle et intégrée.

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Astronomiquement, l’Aïd al-Fitr serait célébré dimanche en Arabie saoudite, en Égypte …

25. März 2025 um 15:09

L’Institut National de Recherche Astronomique et Géophysique en Égypte a annoncé les prévisions pour l’observation du croissant de lune du mois de Chawwal 1446 de l’Hégire et la date du premier jour de l’Aïd al-Fitr en 2025. Le croissant de lune naîtra le 29 mars 2025 à 13 heures, heure du Caire, et sera visible dans plusieurs villes arabes et internationales.

À La Mecque, il restera visible pendant 7 minutes après le coucher du soleil, et au Caire pendant 11 minutes.

Dans d’autres régions égyptiennes, la visibilité variera entre 9 et 12 minutes, tandis que dans les villes arabes et islamiques, elle oscillera entre 3 et 19 minutes. Cependant, à Kuala Lumpur et Jakarta, le croissant se couchera avant le soleil, respectivement 5 et 7 minutes plus tôt. Le premier jour de l’Aïd al-Fitr, fixé au 30 mars 2025, marquera la fin du Ramadan. Parmi les villes où l’observation sera possible figurent Alger, Tunis, Riyad, Dubaï, et des capitales comme Londres et Washington. 

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Bolt suspendu en Tunisie: quelle suite pour le transport urbain ?

25. März 2025 um 14:14

Les avis sur la fermeture de Bolt en Tunisie restent partagés. Pour certains, l’application facilitait grandement le quotidien, que ce soit pour les personnes âgées ou les plus jeunes, hommes et femmes.

Elle permettait notamment d’arriver à l’heure à un rendez-vous ou bien au travail, contrairement aux taxis traditionnels qui refusent parfois des courses en invoquant des raisons personnelles, comme une prière ou une mauvaise direction. Même si les tarifs pouvaient augmenter aux heures de pointe, mais en dehors de ces périodes, ils variaient généralement entre 3 et 4 dinars.

Cela soulève la question de savoir si les autorités ont envisagé une alternative pour offrir aux citoyens un moyen de transport fiable et adapté à leurs besoins, surtout en cas d’urgence à des heures tardives, comme 3 ou 4 heures du matin.

Mohamed Ali Arfaoui, secrétaire général de la Fédération tunisienne des taxis individuels, a exprimé lors de son intervention sur Express FM ce mardi 25 mars 2025 que l’adoption des applications intelligentes est essentielle et qu’il est impossible d’y renoncer en Tunisie. Selon lui, leur abandon causerait des préjudices aux clients.

Il a également souligné que la société, dont les activités ont été suspendues par la Garde nationale pour des accusations de blanchiment d’argent et de fraude fiscale, a semé la confusion à Tunis.

Le secrétaire général de la Fédération tunisienne des taxis individuels a ajouté qu’une alternative est nécessaire, car il est impossible en tout cas très difficile de continuer à travailler sans ces applications.

Il tient toutefois à souligner que les chauffeurs de taxi ne sont pas responsables, ils utilisent simplement ces outils pour augmenter ou améliorer leurs revenus.

Seuls 6 000 des 17 000 taxis utilisent les applis intelligentes

Selon lui, sur les 17 000 taxis du Grand Tunis, seulement 5 000 à 6 000 fonctionnent avec des applications intelligentes, dont environ 3 500 affiliés à la société suspendue.

Il a également mentionné que les sanctions ne devraient pas se limiter aux chauffeurs mais inclure également les citoyens, tout en soulignant que ces derniers ne sont pas obligés d’utiliser les applications en cas de hausse des prix. Cependant, il a omis de mentionner que les citoyens souffrent aussi des lacunes du transport public, comme les retards fréquents des bus, obligeant souvent les usagers à attendre jusqu’à deux heures pour rentrer chez eux.

Dans ce cadre, Mohamed Ali Arfaoui appelle l’État et le ministère du Transport à agir pour trouver une alternative et en réglementant l’utilisation des applications, qu’il juge indispensables. Il a ajouté que si les tarifs des compteurs de taxi devenaient acceptables, le recours aux applications ne serait plus nécessaire.

Réaction de Bolt aux accusations

Par ailleurs, Bolt a réagi aux accusations de la Garde nationale. Selon le média L’Orient le Jour, un porte-parole anonyme de l’entreprise a affirmé que « toutes leurs opérations en Tunisie sont conformes à la législation locale et qu’ils contestent les résultats de l’enquête gouvernementale ». Selon lui, « cette enquête coïncide avec les efforts du gouvernement pour lancer sa propre application de VTC, ce qui pourrait suggérer une tentative d’écarter Bolt du marché tunisien. »

Enfin, il est important de noter que les Tunisiens se tournent de plus en plus vers les services de taxis privés via des applications, qui compte plus de 2 millions d’utilisateurs. Ce déclin est dû à un manque d’entretien et d’investissements au cours des dix dernières années.

La question reste de savoir pourquoi le législateur n’a pas pris l’initiative de réguler ce secteur et quelle alternative pourrait être proposée pour répondre aux besoins des citoyens en matière de transport?

Wait and see… 

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Kaïs Saïed plaide pour la révision du Code des collectivités locales

25. März 2025 um 05:16

Le président de la République, Kaïs Saïed, a récemment appelé à une révision du Code des collectivités locales afin de l’aligner pleinement sur les principes de la Constitution. Et ce lors de son réunion avec Farouk Bouasker, président de l’ISIE. 

Selon le communiqué de la présidence de la République, cette réforme vise à renforcer la décentralisation et à accorder aux collectivités locales une autonomie accrue dans la gestion de leurs affaires.

Le chef de l’État a souligné que les collectivités locales, dotées de la personnalité juridique et de l’autonomie administrative et financière, jouent un rôle essentiel dans le développement local. Il a insisté sur la nécessité d’un cadre juridique adapté pour les élections municipales, en conformité avec les dispositions constitutionnelles.

Kaïs Saïed a également évoqué la possibilité pour les électeurs de retirer leur confiance à un élu sous certaines conditions légales, renforçant ainsi la responsabilité des élus devant leurs électeurs.

Enfin, il a rappelé que le choix du mode de scrutin relève de l’Assemblée des Représentants du Peuple, en collaboration avec la révision du Code des collectivités locales, pour garantir une meilleure intégration des principes constitutionnels dans la gouvernance locale.

 

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Rafaa Tabib : « Erdogan est tombé dans le piège tendu par l’administration Biden »

24. März 2025 um 13:25

Rafaa Tabib, expert en géopolitique, a abordé plusieurs sujets liés aux dynamiques régionales et internationales, notamment le rôle de Recep Tayyip Erdogan dans les crises en Méditerranée et en Afrique du Nord, lors de son intervention sur les ondes d’Express fm.

Rafaa Tabib considère qu’Erdogan est tombé dans le piège tendu par l’administration Biden. Il qualifie cette approche de pragmatique mais non stratégique. Ce qui a conduit au recul de l’influence turque et à un prix à payer pour Erdogan.

Il précise dans ce contexte : « La Turquie, et en particulier Erdogan, paient-ils aujourd’hui le prix de leurs choix en Syrie? Ces choix incluaient un alignement avec les factions armées comme Hayat Tahrir al-Sham (HTS) dirigée par Al-Joulani, en échange d’une expansion de l’influence turque sur le territoire syrien. Les stratégies suivies par Erdogan étaient peut-être intelligentes à court terme, mais manquaient d’une vision prospective. »

De plus, il a rappelé que la région est marquée par plusieurs conflits majeurs : la guerre en Ukraine, le conflit entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie (où l’Arménie occupe une place importante pour la Russie en raison de considérations religieuses communes), ainsi que les développements récents en Syrie.

Par ailleurs, un accord stratégique approfondi entre l’Iran et la Russie a été signé récemment, consolidant leur coopération sécuritaire et militaire. Cela a donné naissance à un axe Moscou-Téhéran qui s’éloigne de l’ancien partenariat entre Moscou et Ankara.

En Ukraine, il est probable que le conflit se solde par un accord reconnaissant la victoire russe. Quant aux États-Unis, ils pourraient réduire leur dépendance à l’égard de la Turquie après avoir investi massivement dans cette guerre sous l’administration Biden. En Arménie, un coup d’État récent a vu certains politiciens influents se rapprocher de la Russie pour reconstruire une alliance brisée.

Sur le plan intérieur turc, il estime qu’Erdogan fait face à une opposition forte mais bénéficie également du soutien des « tigres anatoliens », une classe influente d’entrepreneurs et commerçants. Cependant, son parti AKP semble avoir perdu sa cohésion historique après le départ de figures clés comme Babacan. La Turquie pourrait entrer dans une phase de repli sur elle-même pour résoudre ses problèmes économiques internes.

Erdogan a également tenté récemment d’améliorer ses relations avec les Kurdes, notamment via des appels historiques à mettre fin au conflit armé avec Abdullah Öcalan et le PKK. Cela pourrait être une tentative de renforcer ses positions politiques.

Enfin, les dynamiques régionales restent complexes avec des tensions persistantes en Syrie et des désaccords croissants entre la Turquie et ses anciens alliés comme la Russie et l’Iran.

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Le procès d’Abir Moussi reporté au 24 avril

24. März 2025 um 11:59

La Chambre criminelle près  le tribunal de première instance de Tunis a examiné, ce lundi 24 mars 2025, l’affaire intentée contre Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL), par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE). Cette affaire découle des déclarations qu’elle avait faites lors d’une conférence de presse en décembre 2022, où elle exprimait son opposition au processus des élections législatives du 17 décembre 2022..

Abir Moussi a refusé la représentation par tout avocat, que ce soit de son propre comité de défense ou de l’Ordre régional des avocats, affirmant être « victime d’une injustice politique ». 

Par ailleurs,  ses avocats présents portant des brassards rouges à l’audience n’ont pas plaidé, respectant son souhait.

Le ministère public a demandé un report pour désigner un avocat afin de la défendre. La cour a décidé de reporter l’audience au 24 avril prochain. 

 

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Crise diplomatique entre l’Algérie et la France : Tebboune appelle à la sagesse et au dialogue

24. März 2025 um 09:20

Les tensions entre l’Algérie et la France ne sont pas au beau fixe, dans une relation oscillant entre « je t’aime, moi non plus ». Pour revenir sur la situation actuelle, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a souligné la nécessité de faire preuve de sagesse dans la gestion des différends entre les deux pays, qualifiant les tensions actuelles de « chaos et tumulte politique ».

Lors d’une interview avec des journalistes de médias publics, Abdelmadjid Tebboune a affirmé qu‘Emmanuel Macron, son homologue français, est « la seule référence en France pour résoudre ce conflit ». Il a déclaré : « Il y a effectivement eu un malentendu, mais il reste le président de la République française. Pour moi, le règlement des différends doit se faire avec lui ou avec la personne qu’il délègue, c’est-à-dire son ministre des Affaires étrangères, ce qui est correct. »

Abdelmadjid Tebboune a également exprimé sa confiance en son ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, qu’il considère comme une personne compétente et digne de confiance pour gérer ce dossier. Il a insisté sur le fait que l’Algérie et la France sont deux nations indépendantes — une puissance africaine et une puissance européenne — dont les présidents travaillent ensemble, ajoutant que « le reste ne nous concerne pas ».

 

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Rafaa Tabib révèle les enjeux cachés de la crise migratoire

24. März 2025 um 06:50

L’expert en géopolitique Rafaa Tabib, lors d’une intervention récente sur les ondes d’Express FM, a analysé la question complexe de la migration irrégulière, en mettant en lumière les responsabilités historiques et géopolitiques.

Il souligne que les pays africains, dont la Tunisie, sont souvent perçus comme des victimes d’un système mondial inéquitable, où les puissances occidentales, notamment la France, ont joué un rôle central dans la déstabilisation économique et sociale de ces régions.

Rafaa Tabib insiste sur la nécessité de comprendre les racines historiques de ces crises, notamment le colonialisme et ses conséquences, avant de juger les réponses actuelles des pays africains.

Analyse de Rafaa Tabib sur la migration irrégulière 

L’ expert en géopolitique, a récemment abordé la question de la migration irrégulière en Tunisie à travers un contexte historique et géopolitique. 

Selon lui, il est essentiel de replacer cette problématique dans un contexte historique et géopolitique plus large. De plus, il  explique que les pays africains, y compris la Tunisie, ont été profondément affectés par des décennies de colonialisme et d’exploitation économique, principalement par des puissances occidentales comme la France. Ces actions ont entraîné une pauvreté structurelle et une déstabilisation sociale, poussant de nombreuses personnes à migrer vers l’Europe.

Rafaa Tabib critique l’approche actuelle de l’Europe, qui tente de se protéger en renforçant ses frontières tout en rejetant la responsabilité de la gestion des flux migratoires sur les pays africains. Il dénonce également le manque de coordination entre les pays africains eux-mêmes, ce qui affaiblit leur position dans les négociations avec l’Union européenne.

Alors, estime-t-il, une réponse efficace nécessiterait une solidarité régionale et une meilleure compréhension des dynamiques historiques qui ont conduit à cette crise.

En conclusion, Rafaa Tabib appelle à une réévaluation des responsabilités et à une approche plus équitable pour gérer la migration irrégulière, en tenant compte des intérêts et des droits des pays africains.

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Une redéfinition de la politique américaine, selon Elyes Kasri

24. März 2025 um 06:39

La présidence de Donald Trump, bien que marquée par des critiques souvent exacerbées par une presse libérale perçue comme alignée sur les intérêts mondialistes, a incontestablement introduit une rupture dans le paysage politique américain et international. C’est ce qu’a révélé l’ancien ambassadeur Elyes Kasri via son post Fb. 

Il déclare via son analyse comme suit : « On a beau reprocher au président Donald Trump certains excès de caractère que la presse libérale, sous la coupe des milieux mondialistes et du complexe militaro-industriel, s’efforce de mettre en exergue et d’abreuver les commentateurs superficiels de la scène politique américaine à travers le monde surtout les milieux traditionnellement anti-américains pour de nombreuses considérations dont certaines sont légitimes et d’autres purement idéologiques.

Toutefois, la lutte du président Trump contre le gaspillage bureaucratique, la corruption et les abus de pouvoir judiciaire et administratif à des fins politiciennes ainsi que l’instrumentalisation du phénomène migratoire contre l’intérêt national méritent une attention particulière et devraient inspirer une nouvelle culture politique et une redéfinition du rôle de l’état et de l’exercice du pouvoir politique à travers le monde.
Il est incontestable qu’au bout de deux mois de son mandat, le président Trump est en train de révolutionner le système politique américain ainsi que l’ordre géostratégique mondial.
Il se permet même de défier l’omni puissant et redoutable lobby pro-israélien en remettant les pendules à l’heure et en soulignant en propos et en actions que la principale priorité de la diplomatie américaine est l’intérêt national américain avant tout autre pays contrairement à ses prédécesseurs et l’establishment politique qui ont pris l’habitude de subordonner l’intérêt national américain et sa diplomatie au diktat politique d’Israël et de son puissant lobby aux Etats-Unis et ailleurs.
De nombreux pays industrialisés et en développement gagneraient à méditer sérieusement la révolution menée par le président Trump et le courant politique « Make America Great Again » (rendre à l’Amérique sa grandeur). »

Autrement dit, l’un des piliers de l’action de Trump réside dans sa lutte contre le gaspillage bureaucratique et la corruption. En s’attaquant aux abus de pouvoir judiciaire et administratif, il a cherché à recentrer l’État sur ses missions essentielles, tout en limitant les manipulations politiciennes. Cette démarche, bien que controversée, a le mérite de questionner le rôle de l’État et d’inspirer une réflexion sur une nouvelle culture politique.

En conclusion, malgré les critiques et les polémiques, l’héritage de Donald Trump réside dans sa capacité à questionner les normes établies et à proposer une nouvelle vision de la politique, tant à l’échelle nationale qu’internationale.

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L’ONU dénonce une vague d’arrestations arbitraires en Libye

23. März 2025 um 16:12

La Mission d’appui des Nations unies en Libye (MANUL) a exprimé  son alarme face à la vague d’arrestations et de détentions arbitraires menées à travers le pays par des acteurs des forces de l’ordre et de sécurité. Ces derniers exploitent leurs pouvoirs pour cibler des individus en raison de leurs affiliations politiques présumées, réduire au silence les dissidents perçus et saper l’indépendance judiciaire. Ces pratiques illégales alimentent un climat de peur, restreignent l’espace civique et érodent l’état de droit. Telle est l’annonce de son communiqué. 

Les professionnels du droit et les membres du pouvoir judiciaire sont particulièrement touchés par des violences et des arrestations arbitraires. L’arrestation violente du juge Ali Al Shareef à Tripoli le 10 mars, ainsi que la détention continue de l’avocat Mounir Al-Orfi à Benghazi depuis le 12 mars et des procureurs militaires Mansour Da’aoub et Mohammed al-Mabrouk al-Kar depuis 2022 à Tripoli, mettent en lumière les menaces croissantes contre les acteurs de la justice et compromettent leur indépendance.

 

La MANUL s’inquiète également de l’utilisation croissante de « confessions » vidéo, où des individus sont détenus et contraints de « confesser » des crimes présumés dans des vidéos diffusées en ligne. Ces vidéos servent à intimider et humilier les personnes ciblées. La Mission insiste pour que de telles « preuves » soient déclarées inadmissibles et que les responsables soient tenus de rendre des comptes.

La détention arbitraire et son instrumentalisation ne font qu’étouffer l’espace civique, créer un climat de peur et d’intimidation, et doivent être activement découragées. Elles sapent l’environnement nécessaire à la transition démocratique en Libye et affaiblissent la confiance des Libyens envers les forces de l’ordre et les entités sécuritaires, qui devraient protéger et promouvoir les droits de tous les citoyens plutôt que de les compromettre.

 

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Le Tunisian Golf Open 2025 : un succès sportif et touristique pour la Tunisie

23. März 2025 um 14:00

Le golf en Tunisie, bien que peu populaire localement, est devenu une nouvelle tendance, contribuant au tourisme alternatif.

Cette dynamique est renforcée par l’organisation de tournois internationaux, comme le Tunisian Golf Open 2025, qui s’est déroulé du jeudi 20 au samedi 22 mars au Residence Golf Tunis. Ce tournoi, intégré à l’Alps Tour, circuit professionnel européen de golf masculin, a vu la victoire de l’Espagnol Álvaro Hernández Cabezuela avec un score total de 13 sous le par (69-62). Il s’agit de sa deuxième victoire en seulement quatre tournois cette saison. 

La cérémonie de remise des prix a été rehaussée par la présence du ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya,

Lors de la journée du samedi 22 mars, marquée par des vents modérés s’intensifiant vers les derniers trous, Cabezuela a livré la meilleure performance, devançant l’Italien Jacopo Vecchi Fossa et l’Espagnol Rocco Repetto, qui ont terminé ex æquo à la deuxième place avec un score de 11 sous le par. La cérémonie de remise des prix a été rehaussée par la présence du ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, soulignant l’importance de ce type d’événements pour le tourisme et le sport en Tunisie. 

Cette initiative s’inscrit dans les efforts promotionnels de l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) pour diversifier l’offre touristique, rompre avec la saisonnalité et positionner la Tunisie comme une destination haut de gamme.

Après le succès du Tunisian Golf Open 2025, les 120 golfeurs de l’Alps Tour se sont dirigés vers Tabarka pour participer au La Cigale Golf Open 2025, qui se tiendra du mardi 25 au jeudi 27 mars. Ils auront l’occasion de découvrir le parcours exceptionnel de La Cigale Tabarka Golf, reconnu pour son excellence. 

Le golf, sport de précision se jouant en plein air, consiste à envoyer une balle dans un trou à l’aide de clubs, avec pour objectif d’effectuer le moins de coups possible sur un parcours défini. Né en Écosse au XVIIIe siècle et importé des Pays-Bas, il a connu un essor mondial au XXe siècle, notamment avec son retour aux Jeux olympiques en 2016 après une absence de 112 ans. En 2010, on comptait environ 82 millions de pratiquants dans le monde, bien que le sport reste moins médiatisé et moins accessible aux femmes.

En Tunisie, le golf, bien que peu pratiqué localement, représente un potentiel touristique significatif. Les efforts pour relancer cette activité, notamment à travers des tournois internationaux, visent à attirer des golfeurs étrangers et à renforcer l’image de la Tunisie comme destination golfique de choix. 

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Crises mondiales : Quel avenir pour l’économie tunisienne ?

23. März 2025 um 12:42

L’expert en développement économique, Walid Belhaj Amor a souligné les impacts des tensions économiques et géopolitiques mondiales sur l’économie du pays lors de son intervention récente sur les ondes d’Express FM.

Il estime que l’augmentation des coûts de production en Chine affecte la Tunisie, qui dépend fortement des importations chinoises. En outre, la baisse de la consommation en Europe impacte les exportations tunisiennes, notamment dans le secteur industriel.

De plus, les guerres commerciales initiées par Donald Trump, c’est-à-dire les conflits commerciaux entre les États-Unis, la Chine et l’Union européenne, perturbent les chaînes d’approvisionnement mondiales et augmentent la volatilité des prix du pétrole et des devises, ce qui aggrave les difficultés économiques tunisiennes.

Toutefois, il part du constat que l’économie tunisienne, fortement ouverte (importations et exportations représentant près de 100 % du PIB), est particulièrement vulnérable.

Ainsi, les secteurs industriels touchés comprennent les industries tunisiennes, comme celles produisant des câbles pour l’automobile destinés à l’Europe, qui souffrent de la baisse de la demande.

Il en va de même pour les réserves, qui sont insuffisantes. Selon lui, les faibles réserves en devises ne permettent pas à la Tunisie de résister à une crise prolongée.

Ainsi, Walid Belhaj Amor a mis en évidence plusieurs fragilités structurelles, à savoir : la dépendance économique (une dépendance excessive aux partenaires traditionnels, Europe et Chine, limite les capacités d’adaptation), le manque de diversification (l’absence de diversification des marchés d’exportation aggrave cette fragilité) et les crises successives (la Tunisie est continuellement affectée par les crises internationales, telles que la COVID-19 et la guerre en Ukraine).

Pour faire face à ces défis, il préconise entre autres la diversification des marchés en explorant le potentiel du marché africain, notamment en Afrique subsaharienne (plus de 1,5 milliard d’habitants en 2024), et les investissements stratégiques, via le renforcement des secteurs innovants comme l’industrie 4.0 et les technologies avancées. Cela amène à réviser le modèle économique pour adapter l’économie tunisienne aux mutations mondiales et attirer davantage d’investissements directs étrangers.

Dans son analyse sur Express FM, Walid Belhaj Amor a mis en lumière les défis majeurs auxquels fait face l’économie du pays dans un contexte mondial instable. Les tensions commerciales entre grandes puissances perturbent directement la Tunisie, qui subit une double pression liée à ses importations chinoises coûteuses et à la baisse de ses exportations vers l’Europe.

Il souligne que ces difficultés sont amplifiées par les faiblesses structurelles du pays : dépendance excessive aux partenaires traditionnels, manque de diversification des marchés et réserves insuffisantes. Cependant, il identifie aussi des opportunités dans le développement des relations commerciales avec l’Afrique subsaharienne et dans l’investissement dans des secteurs innovants.

En conclusion, Walid Belhaj Amor appelle à une prise de conscience collective et à des réformes profondes pour repositionner l’économie tunisienne dans un monde en mutation rapide. »

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Le réseau des droits réagit au retrait de la Tunisie de la Cour africaine

22. März 2025 um 16:04

Selon un communiqué du Réseau pour les droits et libertés, la décision de la Tunisie de retirer sa reconnaissance de la compétence de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) constitue un « revers majeur » dans le domaine des droits et libertés. Cette annonce, faite par le ministère des Affaires étrangères le 3 mars 2025, prive « désormais les citoyens et les ONG tunisiens de la possibilité de saisir directement la Cour pour dénoncer les violations des droits fondamentaux. « 

Le Réseau rappelle que la Tunisie avait adhéré au protocole de la CADHP en 2007 et déposé sa déclaration de l’article 34 en 2017, faisant de ce mécanisme l’un des acquis de 2011. Il souligne que ce retrait représente une « violation des engagements régionaux et internationaux » de la Tunisie et une atteinte aux droits fondamentaux des citoyens.

Le communiqué insiste sur le fait que la possibilité pour les individus et les ONG de recourir à des instances judiciaires régionales indépendantes est une garantie essentielle pour l’instauration de la justice. Il appelle les autorités tunisiennes à revoir cette décision et à respecter leurs obligations en matière de droits de l’Homme.

Enfin, le Réseau tunisien pour les droits et libertés réaffirme que la protection des droits de l’Homme est une condition fondamentale d’une vie démocratique, marquée par le respect de la diversité, du pluralisme et des valeurs humaines.

 

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Le comité de la défense d’Abir Moussi annonce son boycott des audiences du 24 mars 2025

22. März 2025 um 15:20

Le comité de défense d’Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL), a tenu une conférence de presse ce samedi 22 mars 2025  pour dénoncer ce qu’il qualifie de « procès politique ». Cette affaire fait suite à une plainte déposée par l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) après une conférence de presse tenue par Moussi en décembre 2022, où elle aurait critiqué le processus électoral. 

Le comité a annoncé son boycott des audiences du 24 mars 2025 Une demande de confrontation avec le représentant légal de l’ISIE a été rejetée, ce qui, selon les avocats, compromet l’équité du procès. Maître Karim Krifa, membre du comité, a affirmé : « L’affaire pour laquelle Abir Moussi est jugée est, j’en suis presque certain, une affaire politique où ils ont excellé dans la violation des procédures et ont adapté les faits comme ils le souhaitaient dans un seul but convenu par tous : l’empêcher de se présenter aux élections présidentielles »

Maître Krifa a également soulevé une question troublante concernant l’article 24 du décret 54, sur lequel reposent les accusations contre Moussi. Il a expliqué que l’article cité par le ministère public n’existe pas dans le texte officiel du décret. « Ils ont pris deux lignes du premier paragraphe, les ont combinées avec une ligne du deuxième paragraphe et ont terminé par une ligne du troisième paragraphe, créant ainsi un article de loi sur mesure pour Abir Moussi… », a-t-il déclaré

Nafaa Laribi, membre du  comité de défense a mis l’accent sur plusieurs irrégularités dans la procédure, notamment l’absence de preuves matérielles et la base juridique contestable du décret 54. Selon lui, le procureur aurait agi sur la base de déclarations d’une personne non habilitée, sans examen technique des faits. L’acte d’accusation repose sur un assemblage de différents extraits de textes, aboutissant à une peine disproportionnée et injustifiée. 

Il convient de noter que le procès a été dénoncé par plusieurs organisations internationales, dont le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire, « qui a qualifié la détention de Moussi d’illégale. »

 Nafaa Laribi a également mis en lumière des dysfonctionnements graves au sein du système judiciaire, notamment la nomination des juges par des notes de service et la paralysie du Conseil supérieur de la magistrature, ce qui remet en question l’indépendance des décisions judiciaires. 

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Kaïs Saïed et Emmanuel Macron évoquent la Palestine et la lutte contre les réseaux criminels

22. März 2025 um 05:49

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu un appel téléphonique du président français Emmanuel Macron le vendredi 21 mars 2025, à l’occasion du 69ᵉ anniversaire de l’indépendance de la Tunisie.

Selon le communiqué de la présidence de la République, Emmanuel  Macron a félicité le peuple tunisien, saluant les liens historiques entre les deux pays. 

Lors de cet échange téléphonique,  Kaïs Saïed a réitéré son appel à un cessez-le-feu immédiat en Palestine, qualifiant la situation de « guerre d’extermination » contre le peuple palestinien. Il a critiqué les institutions internationales, jugées dépassées, et plaidé pour une révision des concepts diplomatiques traditionnels afin de mieux répondre aux crises actuelles.

Toujours selon le communiqué de la présidence de la République, Kaïs Saïed a également insisté sur la nécessité de démanteler les réseaux criminels impliqués dans la traite des êtres humains et le trafic d’organes, notamment entre l’Afrique subsaharienne et l’Europe. Il a réaffirmé que la Tunisie refusait d’être un point de transit ou de base pour ces activités illégales. Il a appelé à une coopération internationale pour mettre en place des ponts aériens humanitaires, permettant aux victimes de retourner volontairement et dignement dans leurs pays d’origine.

Concernant la récupération des fonds publics détournés, Kaïs Saïed a critiqué l’inefficacité des procédures judiciaires internationales, soulignant que les résultats obtenus restent insignifiants malgré des années d’efforts. Enfin,  il a mis l’accent sur l’importance de la création de mécanismes innovants pour restituer ces richesses aux Tunisiens.

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Kaïs Saïed réclame une réforme bancaire et de la BCT

22. März 2025 um 05:32

Le président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré dans la journée du vendredi 21 mars 2025 au palais de Carthage, Fethi Zouhair Nouri, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT). 

 

Au cours de cette réunion, le chef de l’État a insisté sur l’importance de faire respecter la loi par toutes les banques et de sanctionner les dérives potentielles, rappelant que la loi s’applique à tous et que les pratiques actuelles sont inacceptables et ne doivent pas rester impunies.

Selon le communiqué de la présidence de la République,  il a également souligné une contradiction observée : alors que les taux d’intérêt baissent, le montant principal de la dette augmente. 

Kaïs Saïed a également évoqué la nécessité de réviser la loi régissant la BCT pour renforcer son rôle dans la gestion des défis financiers et le soutien à l’économie nationale. Lors des discussions, des indicateurs économiques clés ont été abordés, notamment un taux d’inflation maîtrisé à 5,7 %. Le président a affirmé que ce chiffre aurait été bien plus élevé sans les choix économiques nationaux. 

Enfin, il a appelé à une réforme pour que la BCT puisse jouer un rôle plus actif dans la stabilisation économique et la lutte contre les pratiques bancaires abusives. 

 

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La réforme du Code du travail suscite des craintes pour les entreprises et les investisseurs

21. März 2025 um 13:15

La réforme du Code du travail suscite  des discussions et des débats. L’émission « Midi Eco » a consacré un épisode spécial, dans la journée du  jeudi 20 mars 2025, au projet de loi sur la réglementation des contrats de travail et l’interdiction de la sous-traitance, qui a été renvoyé au Parlement. La discussion a porté sur les nouveaux changements proposés concernant les contrats de travail dans les secteurs privé et public, sur les sanctions financières et les peines d’emprisonnement; mais aussi sur la prise en compte par la loi de la situation des entreprises et de leurs éventuelles conséquences économiques; ainsi que sur les alternatives à la sous-traitance. Et ce, en présence de Hafedh Amouri ancien ministre de l’Emploi et ancien directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale, Hamadi Chelouf, directeur des ressources humaines dans une entreprise internationale et Faouzi Abderrahmane, ancien ministre de l’Emploi et de la formation professionnelle.

L’objectif est de renforcer la protection des travailleurs, mais des préoccupations sont soulevées quant aux conséquences possibles sur la flexibilité économique et l’attractivité des investissements.

Hafedh Amouri met en avant le fait que le système actuel a permis l’exploitation de lacunes juridiques. Selon lui : « Cette loi offre une protection maximale aux salariés, car elle met fin à l’exploitation des vides juridiques. » Il considère que les réformes proposées permettront de mieux protéger les droits des travailleurs et de lutter contre les abus. Il insiste également sur l’importance de différencier la sous-traitance légitime des pratiques d’exploitation.

De son côté, Hamadi Chelouf exprime ses préoccupations quant à la rigidité de la loi et son impact potentiel négatif sur les entreprises. Il se questionne sur la praticité de certaines définitions, telles que « l’augmentation extraordinaire de la charge de travail ». Ainsi, il estime que la loi ne prend pas suffisamment en compte les besoins spécifiques de chaque secteur. Il plaide pour davantage de souplesse, tout en renforçant la protection des travailleurs.

De son côté, Faouzi Ben Abderrahman critique le processus législatif, estimant que les parties prenantes n’ont pas été suffisamment consultées. Il considère que la loi met trop l’accent sur des aspects politiques et juridiques, négligeant les implications économiques. Il défend un principe fondamental en matière d’emploi : « Chaque fois qu’il y a de la flexibilité dans les lois sur l’emploi, l’activité économique augmente. » Il soutient donc que la flexibilité ne doit pas nécessairement nuire aux droits des travailleurs, mais qu’il convient de trouver un équilibre pour stimuler la croissance économique. Il suggère aussi que le gouvernement renforce d’abord les contrôles et la surveillance de la loi pour assurer une meilleure protection des travailleurs plutôt que de pénaliser.

Ainsi le principal point de tension réside dans l’équilibre à trouver entre le renforcement des droits des travailleurs et la flexibilité nécessaire au bon fonctionnement et au développement des entreprises. Des inquiétudes sont exprimées quant au risque que les nouvelles régulations freinent l’investissement, notamment celui des entreprises étrangères. Certains estiment que le problème ne réside pas dans les lois elles-mêmes, mais plutôt dans l’absence de mise en œuvre efficace et de contrôles adéquats.

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Qui est Sarra Zaafrani Zenzri, la deuxième femme à diriger le gouvernement ?

21. März 2025 um 09:09

Le président de la République, Kaïs Saïed, a nommé Sarra Zaafrani Zenzri comme nouvelle cheffe du gouvernement, succédant ainsi à Kamel Maddouri, dont les fonctions ont pris fin récemment. Elle devient la deuxième femme à occuper ce poste en Tunisie, après Najla Bouden, qui a dirigé le gouvernement entre octobre 2021 et août 2023.

Qui est Sarra Zaafrani Zenzri?

Sarra Zaafrani Zenzri est une ingénieure générale spécialisée dans l’aménagement du territoire. Elle a occupé le poste de ministre de l’Équipement et a été chargée de gérer le ministère des Transports pendant une période.

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Qui est Salah Zouari, nommé nouveau ministre de l’Equipement?

21. März 2025 um 08:38

Nommé par le président de la République nouveau ministre de l’Equipement et de l’Habitat, en remplacement de Sarra Zaafrani Zenzri – qui, elle, prend la tête du gouvernement -, Salah Zouari est né le 2 novembre 1963 à Sfax.

Il est diplômé de l’ENIT en 1989 en tant qu’ingénieur principal et a obtenu un mastère spécialisé en Ponts à l’Ecole nationale des ponts et chaussées de Paris en 1990.

Il a travaillé au Bureau d’études Bouygues Offshore de 1990 à 1993, puis chez SCET Tunisie en 1993.

Salah Zouari a occupé plusieurs postes de direction régionale de l’équipement ainsi que comme directeur général des ponts et chaussées en 2014, au ministère de l’Equipement et de l’Habitat.

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