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Heute — 08. Januar 2025Haupt-Feeds

Le marché boursier clôture mercredi sur un léger recul

08. Januar 2025 um 18:40

Le marché boursier a terminé la séance de mercredi sur un léger recul. Le Tunindex s’est rétracté de 0,06 %, à 9 852,65 points dans un modeste volume de 5,4 millions de dinars (MDT), selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre ARTES s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action du concessionnaire automobile a progressé de 6 % à 8,690 D. La valeur a drainé des échanges de l’ordre de 105 mille dinars.

Le titre One Tech Holding s’est retrouvé dans le palmarès des meilleures performances. L’action de la holding s’est bonifiée de 1 %, à 9,090 D, dans un flux de 521 mille dinars.

Le titre Monoprix s’est placé en lanterne rouge du Tunindex. L’action du spécialiste de la grande distribution a trébuché de 4,1 % à 3,500 D, dans de maigres échanges de 3 mille dinars.

Du côté des baisses, le titre OfficePlast a accusé un repli de 3,9 % à 1,470 D . L’action de la société a amassé un volume limité de 21 mille dinars sur la séance.

BIAT a été la valeur la plus échangée de la séance, en amassant un volume de 756 mille dinars. Le titre a pris 0,2 % à 93,700 D.

Avec TAP

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L’inflation persiste à 2,4 % dans la zone euro en décembre

08. Januar 2025 um 10:12

L’inflation dans la zone euro en décembre a suivi les tendances à la hausse prévues par les analystes.

En particulier, les données préliminaires d’Eurostat, publiées le 7 janvier 2025, montrent que l’indice des prix à la consommation (IPC) a atteint un taux annuel de 2,4 %, comme prévu par l’estimation moyenne des analystes, en accélération par rapport aux 2,2 % de novembre.

Dans la comparaison décembre-novembre, l’IPC dans la zone euro a montré une augmentation de 0,4 %. Tandis que lors de la dernière comparaison mensuelle, il avait montré une baisse de 0,3 %.

Au niveau des pressions inflationnistes sous-jacentes, l’IPC dit structurel, qui exclut les prix volatiles de l’énergie et des produits alimentaires, est resté inchangé, comme l’avaient également prédit les économistes.

En particulier, le DKT structurel a enregistré une augmentation au rythme annuel de 2,7 % en décembre ainsi qu’en novembre.

Cependant, l’accélération de l’indice au niveau mensuel a été notable avec +0,5 % dans la comparaison décembre-novembre, après la précédente baisse mensuelle de 0,6%.

Dans les différentes composantes de la mesure, les pressions inflationnistes dans le secteur des services essentiels se sont renforcées, à 4 % sur un an, contre 3,9 % en novembre.

Dans l’alimentation, l’IPC est resté stable à 2,7 % par an; dans la catégorie des produits non énergétiques, les prix ont augmenté à +0,5 % par an, en léger ralentissement par rapport à +0,6 % en novembre, tandis que la grande différence a été enregistrée dans les prix de l’énergie, qui ont même légèrement augmenté de 0,1 % sur un an après -2 % en novembre, pour la première fois depuis juillet.

Dans les mesures pays par pays, le taux d’inflation annuel le plus élevé a été observé en Croatie avec 4,5 %, suivie par la Belgique avec 4,4 % et l’Estonie avec 4,1 %.

En revanche, en Irlande, le PIB s’est élevé à seulement 1 % par an, en Italie à 1,4 % et en Finlande à 1,7 %.

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Gestern — 07. Januar 2025Haupt-Feeds

Les prix de la viande et de la volaille continuent de flamber !

07. Januar 2025 um 17:58

Même si l’inflation a diminué à 6,2% en décembre 2024, par rapport à 6,6% en novembre et 7% en juillet 2024, comme l’a récemment  révélé l’INS récemment, cela n’empêche que certains produits alimentaires de connaître une hausse des prix. En effet,  certaines denrées alimentaires  ont augmenté de 7,2% sur l’année, contre 8,5% le mois précédent.

A noter que la viande d’agneau et de mouton a vu ses prix augmenter de 21,3%, suivie par la volaille avec une hausse de 19,7%. D’autres produits comme les fruits secs (+14,8%), les légumes frais (+14,2%) et le poisson frais (+12,8%) figurent également parmi les augmentations significatives. La viande bovine a enregistré une hausse de 9,2%.

Les prix des chocolats et condiments ont également augmenté plus rapidement que le taux d’inflation actuel, avec des hausses respectives de 7,5% et 6,3%. 

Montage Canva photo INS

Les eaux minérales et les boissons ont vu leurs prix augmenter de 5,4%, tandis que ceux des dérivés des céréales ont crû de 5%. En revanche, les prix des huiles alimentaires ont baissé de 8,3%.

En résumé, bien que l’inflation ait montré une tendance à la baisse récemment, elle reste au-dessus du seuil recommandé de 3%, ce qui impacte le pouvoir d’achat des Tunisiens.

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Tunisie : Stagnation des prix du poulet et des œufs en décembre 2024

07. Januar 2025 um 17:04

Le prix à la production du poulet de chair a stagné au cours du mois de décembre 2024, suite à la décision du ministère du Commerce et du Développement des Exportations d’imposer un plafond de 5300 mill/kg à partir du 1er novembre 2024, selon les données publiées, mardi, par l’ONAGRI.

La comparaison du prix moyen mensuel enregistré avec celui du même mois de l’année précédente montre une hausse de 7,6% (5300 mill/kg contre 4924,9 mill/kg).

En décembre 2024, le prix à la production des œufs de consommation a aussi affiché une quasi-stagnation (très faible variation de 0,2%). Par ailleurs, la moyenne mensuelle enregistrée a baissé de 8,4% par rapport à celle du même mois de l’année 2023 (291,0 mill/unité contre 317,7 mill/unité).

Par rapport à novembre 2024 (291,0 mill/unité), le prix moyen a enregistré une stagnation. Par région, le prix moyen à la production du nord (293,2 mill/unité) a été supérieur de 1,2% par rapport à celui du sud et de 0,7% par rapport de celui du Centre.

L’inflation décélère sans coup férir

07. Januar 2025 um 15:06
Le taux d’inflation en Tunisie a terminé l’année sans déroger à sa trajectoire baissière qui a tourné autour de 7% contre 9,3% une année plus tôt, comme acté par l’Indice des prix à la consommation pour décembre 2024, publié lundi par l’Institut national de la statistique (INS). Mieux, le taux d’inflation s’est replié à 6,2% […]

Le Maroc intensifie ses importations de riz pour stabiliser les prix face à la sécheresse

07. Januar 2025 um 09:43

Face à une sécheresse persistante qui a gravement affecté la production agricole locale, le Maroc a décidé d’augmenter ses importations de riz pour répondre à la demande intérieure et freiner la hausse des prix. Cette mesure intervient dans un contexte où les rendements céréaliers, y compris ceux du riz, ont considérablement diminué, exacerbant les tensions sur le marché alimentaire.

Abdelhamid Bahi, président de l’Association des commerçants de produits alimentaires, a expliqué, le 6 janvier, aux médias locaux que les prix du riz ont augmenté de manière significative ces dernières années. Par exemple, le prix du riz importé d’Inde est passé de 60 cents à 95 cents le kilogramme en gros, et se vend désormais à 1,3 dollar au détail. Certaines variétés ont même vu leur prix doubler, atteignant près de 2 dollars le kilogramme pour les consommateurs.

Bahi souligne que la consommation de riz au Maroc, bien que modérée (2,2 kg par habitant), est en hausse, ce qui accroît la pression sur les prix. Pour y remédier, le gouvernement a décidé d’exonérer les droits de douane et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour les importations de riz, une mesure visant à stabiliser les prix et à protéger le pouvoir d’achat des ménages.

La culture du riz au Maroc, qui s’étend habituellement sur une superficie de 8 000 à 9 000 hectares, a été durement touchée par le manque de pluies. La superficie cultivée a chuté de 85 % lors de la dernière saison agricole, entraînant une baisse drastique de la production, passée de 69 000 tonnes à seulement 7 000 tonnes.

En temps normal, la production locale couvre environ 72 % de la demande, le reste étant assuré par des importations en provenance de pays comme l’Inde, la Thaïlande, les États-Unis et l’Europe.

Une stratégie d’importation renforcée

Le ministère de l’Industrie et du Commerce a récemment incité les entreprises à importer 55 000 tonnes de riz supplémentaires, bénéficiant de la suspension des taxes jusqu’à la fin de l’année 2025. Cette initiative vise à garantir un approvisionnement suffisant en riz, alors que les usines locales peinent à répondre à la demande en raison de la baisse de la production.

Les données de l’Office des changes montrent que les importations de riz ont déjà augmenté, passant de 81 400 tonnes sur les onze premiers mois de 2023 à 86 700 tonnes sur la même période en 2024. La facture d’importation a également bondi, atteignant 79 millions de dollars contre 52 millions l’année 2022.

Contexte mondial et défis locaux

La hausse des prix du riz sur le marché mondial, influencée par les conséquences de la pandémie de Covid-19 et les perturbations climatiques, a également impacté le Maroc. En 2023, l’Inde, l’un des principaux exportateurs, a interdit les exportations de certains types de riz, ce qui a encore accru les tensions sur les marchés internationaux.

Outre le riz, le Maroc a également intensifié ses importations d’autres produits de base tels que le blé, l’orge, le sucre, les viandes et l’huile d’olive, afin de compenser les pertes agricoles dues à la sécheresse.

Alors que le Maroc s’efforce de stabiliser son marché intérieur, les défis restent importants. La sécheresse, couplée à la volatilité des prix mondiaux, continue de peser sur l’économie et la sécurité alimentaire du pays. Les mesures prises par le gouvernement, bien que nécessaires, devront être accompagnées de stratégies à long terme pour renforcer la résilience agricole et réduire la dépendance aux importations.

En attendant, les consommateurs marocains espèrent que ces efforts permettront de contenir la flambée des prix et de garantir un accès abordable à des produits de base essentiels comme le riz.

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Augmentation des tarifs des médecins : Que cache la polémique sur les tarifs médicaux ?

Von: hechmi
06. Januar 2025 um 19:42

Dans un texte publié sur sa page facebook Dr. Hatem Elghezal est revenu sur la polémique déclenchée par l’annonce de nouvelles augmentations des honoraires des médecins. Il a rappelé que l’augmentation porte sur 5 à 10 dinars, et il appelé à “une nouvelle législation est indispensable pour établir un partenariat complet entre les secteurs public et privé. Cela réduirait la charge pesant sur les établissements publics tout en offrant aux jeunes médecins des opportunités de travail dans leur pays, les dissuadant ainsi de partir à l’étranger”.

Texte de la publication traduite de l’arabe:

  • Sans exagérations, voici les détails des augmentations :
    • Pour la médecine générale, les tarifs étaient compris entre 35 et 45 dinars et sont désormais fixés entre 40 et 55 dinars.
    • Pour les consultations de spécialité, les tarifs étaient compris entre 50 et 70 dinars et sont passés à 55 et 80 dinars.
    Cela représente une augmentation estimée entre 5 et 10 dinars.
  • L’augmentation est obligatoire, car le médecin est tenu de respecter les nouveaux tarifs, même s’il n’est pas convaincu par cette hausse. Personnellement, j’ai remarqué dans les commentaires de nombreux collègues, aussi bien dans les espaces publics que privés, qu’ils ne sont pas enthousiastes à cette idée, mais qu’ils seront contraints de l’appliquer.
  • Pourquoi cette augmentation ?
    1. L’inflation : Avec un taux d’inflation dépassant 7 % en Tunisie, une hausse est inévitable dans tous les domaines, qu’il s’agisse des biens, des loyers ou des services. Le médecin étant également affecté, il est normal que ses honoraires augmentent, d’autant plus qu’ils n’ont pas changé depuis des années.
    2. Fiscalité accrue : Vous savez sans doute que l’impôt sur le revenu pour la tranche concernant les médecins est passé de 35 % à 40 %. En conséquence, cette augmentation des tarifs servira principalement à compenser cette forte pression fiscale. Aujourd’hui, 47 % du montant payé pour une consultation va directement à l’administration fiscale (dont 7 % de TVA).
    3. Rétention des médecins tunisiens : Garantir un revenu minimum est essentiel pour limiter l’exode massif de nos médecins, qui est un véritable problème actuellement.
  • Pourquoi ne sommes-nous pas convaincus par cette augmentation ?
    1. À mon avis, la décision a été précipitée et n’a pas tenu compte de la conjoncture économique et sociale particulière du pays. En l’absence d’augmentations salariales pour la majorité des citoyens, il aurait été plus sage de temporiser avant d’imposer ce changement.
    2. Plus important encore, cette hausse des tarifs ne profitera pas à de nombreux médecins, notamment ceux qui ne reçoivent que cinq ou six patients par jour dans leurs cabinets. Une réforme structurelle est nécessaire pour permettre aux médecins de recevoir davantage de patients et aux patients d’accéder à des soins appropriés dans le secteur privé sans frais supplémentaires.

Cela est particulièrement vrai pour la médecine générale et la médecine familiale, qui pourraient résoudre 80 % des problèmes de santé de la population. Une nouvelle législation est indispensable pour établir un partenariat complet entre les secteurs public et privé. Cela réduirait la charge pesant sur les établissements publics tout en offrant aux jeunes médecins des opportunités de travail dans leur pays, les dissuadant ainsi de partir à l’étranger.

Recul des prix des denrées alimentaires mondiales en 2024, mais des défis persistent

06. Januar 2025 um 16:37

Après une période de hausse entre 2020 et 2022, les prix des denrées de base, comme les céréales, les huiles et le sucre, ont entamé une baisse en 2023, et cette tendance s’est poursuivie en 2024.

Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ces produits ont vu leur prix diminuer de 2,1%, avec les céréales et le sucre en tête de cette chute.

Toutefois, malgré ce recul des prix, la situation de la sécurité alimentaire mondiale demeure préoccupante, en raison des conflits, des phénomènes climatiques extrêmes et des crises économiques. La FAO appelle à une aide humanitaire de 1,9 milliard de dollars pour soutenir les populations en insécurité alimentaire aiguë.

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Tout sur les nouveaux tarifs des honoraires des médecins

Von: hechmi
06. Januar 2025 um 13:33

MédecinLe Conseil National de l’ordre des médecins a fixé les fourchettes des prix des consultations médicales dans le secteur libéral, en prévoyant une augmentation de 5 à 10 dinars.

Ainsi les nouveaux tarifs en hors taxes applicables à compter du 1er janvier 2025, se présentent ainsi :

  • Médecins généralistes (catégorie C) : de 40 à 55 Dinars
  • Médecins spécialisés (catégorie CS) : de 55 à 80 Dinars
  • Médecins spécialistes Neuro et PSY : de 60 à 85 Dinars

L’ordre rappelle que les médecins sont tenus au respect du code de déontologie médicale.

Les détails des tarifs officiels :

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Le kilo de safran de luxe se vend à 7 500 dollars

03. Januar 2025 um 15:08

Le prix du safran de haute qualité ‘premium’ est d’environ 7 500 dollars le kilogramme, d’où son qualificatif de « or rouge ». À noter que le prix d’un kilo de safran ordinaire se situe entre 1 420 et 1 645 dollars.

La taille du marché mondial du safran devrait atteindre 959,38 millions de dollars d’ici à 2030, avec un taux de croissance annuel de 7,1%, selon un nouveau rapport publié par Grand View Research 2024, soutenu par la demande croissante pour cette épice dans les domaines médical et cosmétique.

L’industrie agroalimentaire est également la plus grande consommatrice de safran, suivie de l’industrie pharmaceutique et cosmétique.

Le safran iranien est considéré comme l’un des types de safran de la plus haute qualité au monde, et l’Iran est le plus grand exportateur de safran au monde, produisant environ 90% de la production mondiale totale de safran. Selon les données du ministère iranien de l’Agriculture, le safran est exporté vers plus de 40 pays, notamment des pays arabes, européens et asiatiques. Le safran est considéré comme l’un des produits les plus précieux dans le commerce international.

Des techniques agricoles avancées sont utilisées dans la production du safran, garantissant sa haute qualité. Le processus de récolte et de séchage est effectué manuellement, garantissant le maintien de sa qualité.

Le safran est utilisé dans de nombreux domaines, notamment la cuisine, le commerce traditionnel, l’industrie alimentaire et médicale. Il présente également de nombreux avantages pour la santé, notamment l’amélioration de la mémoire et la lutte contre la dépression.

De la fleur de safran sont extraits de l’huile de safran, de la poudre de safran et enfin des fils de safran sous sa forme connue, et chacun de ces types a un prix différent.

Propriétés du safran

Le safran se pèse en grammes ou en onces, et l’once est utilisée au Royaume-Uni, tandis que le gramme est utilisé dans de nombreux pays arabes, qui a généralement un prix très élevé, car il contient 200 à 300 fils de safran.

Un kilo de safran est constitué de 450 000 fils, et pour obtenir ce nombre de fils, il faut 150 000 fleurs de safran, alors que vous n’aurez besoin de préparer qu’un gramme de safran pour plus de 150 fleurs, cette récolte permettra d’obtenir environ 0,006 gramme de chaque fleur.

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Nouvelle flambée des prix de bouteille de gaz au Maroc 

03. Januar 2025 um 10:27
La libéralisation des prix du gaz butane se poursuit au Maroc, non sans inquiéter les ménages les plus fragiles. Après une première hausse en mai 2024, qui a porté le prix de la bouteille de 12 kg à 50 dirhams, une nouvelle augmentation de 10 dirhams est à prévoir. Mustapha Baitas, porte-parole du gouvernement, est […]

Nouvelle hausse du prix des cigarettes au Maroc !

02. Januar 2025 um 19:10
Nouvelle hausse du prix des cigarettes au Maroc, touchant principalement les marques d’entrée de gamme, dites « value ». Certains paquets voient leur prix augmenter de 0,5 à 2 dirhams, tandis que les marques premium sont pour la plupart épargnées. Cette politique tarifaire s’inscrit dans la réforme de la Taxe intérieure de consommation (TIC) sur les cigarettes, […]

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