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Heute — 19. Dezember 2024Haupt-Feeds

Double distinction pour “Othello et Après…” au Festival de Bagdad

19. Dezember 2024 um 18:08

La pièce de théâtre tunisienne “Othello et Après…”, mise en scène par Hammadi Louhaibi, s’est distinguée au palmarès de la cinquième édition du Festival international de théâtre de Bagdad (10-18 décembre 2024) en remportant deux prix : le prix du meilleur texte théâtral attribué à Boukthir Douma ainsi que le prix du meilleur acteur, décerné à Mhadheb Rmili.

Présentée en première à l’ouverture de la 58ème édition du Festival international de Hammamet à l’occasion du 60ème anniversaire de la création du Théâtre de plein air de Hammamet et de la première édition du Festival, “Othello et après…” est une production 2024 du Centre culturel international de Hammamet avec au casting Mhadheb Rmili, Mohamed Chawki Khouja, Bahram Aloui, Samia Bouguerra, Ibaa Hamli et Faten Chouabi, avec la participation spéciale d’Ahmed Mejri.

En langue arabe classique, cette nouvelle version de la toute première création « shakespearienne » Othello d’Aly Ben Ayed et la troupe de la ville de Tunis (1964) se distingue par une vision artistique innovante et une mise en scène qui réécrit la réalité, réorganise les événements et redéfinit le destin des personnages à travers des dualités telles que le bien et le mal, l’amour et la haine, en mettant en lumière les dérives racistes et intégristes.

La Bourse de Tunis renoue avec le vert, TPR vedette des échanges

19. Dezember 2024 um 18:01

Le marché boursier a renoué, jeudi, avec le vert (+0,3 % à 9892,6 points), dans une séance relativement bien animée (un volume total de près de 10 MD), selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre STIP s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans faire l’objet de transactions, l’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie s’est bonifiée de 3,9 % à 2,920 D.

TPR a été la valeur vedette de la séance. L’action du l’extrudeur d’aluminium a affiché un beau parcours (+2,9 % à 6,350 D), tout en chapeautant le palmarès des échanges. La valeur a, en effet, drainé un volume bien garni de 5,3 MD.

Le titre CIMENTS DE BIZERTE a accusé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action du cimentier public a reculé de 2,3 % à 0,430 D, dans un flux dérisoire de mille dinars.

Le titre UNIMED a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du fleuron national des produits stériles a régressé de 2,1 % à 7,050 D, en amassant des échanges de 104 mille dinars.

Finances publiques : Déficit réduit à 994 MD, avec des dépenses en hausse de 7,2%

19. Dezember 2024 um 17:57

A fin septembre 2024, le solde budgétaire enregistré un déficit de l’ordre de 994 millions de dinars (MD), contre un déficit 1,424 milliard de dinars enregistrés à fin septembre 2023, soit un allègement de 30%, d’après la note « Résultats provisoires de l’Exécution provisoire du budget de l’Etat à fin septembre 2024 », publiée récemment par le ministère de Finances.

En fait, les ressources budgétaires ont augmenté de 9,6%, pour s’établir à 33,740 milliards de dinars, contre 30,787 milliards de dinars, à fin septembre 2023.

L’amélioration des ressources budgétaires provient principalement d’une hausse de 9,5% des recettes fiscales lesquelles (recettes) ont atteint 31,080 milliards de dinars, ainsi que des recettes non fiscales qui ont accru de 1,4% passant de 2,1 milliards à 2,128 milliards de dinars.

En contrepartie, les charges budgétaires se sont accrues à un rythme moins important de 7,2%, passant de 31, 902 milliards de dinars à fin septembre 2023 à 34,203 milliards de dinars, à fin septembre 2024.

Cette évolution des charges budgétaires est expliquée par la hausse enregistrée au niveau des dépenses de rémunération ( +3% à 16,592 milliards de dinars ), des dépenses de gestion ( +11,8% à 1,368 milliard de dinars) , des dépenses d’interventions (+12,6% à 8,329 milliards de dinars), et des dépenses des opérations financières (+7,1% à 30 MD), ainsi que des charges de financement (intérêts de la dette) ( +20% à 4,873 milliards de dinars), à l’exception des dépenses d’investissement qui ont baissé de 2,4% pour s’établir à 3,010 milliards de dinars, à fin septembre 2024 contre 3, 085 milliards de dinars, durant la même période de 2023.

Il convient de souligner que les dépenses de rémunération représentent 48,51 % du total des charges budgétaires, alors que la part des dépenses d’intervention est de l’ordre de 24,35%, et celles d’investissement est de 8,80%.

Pour ce qui est des ressources de trésorerie, elles se sont élevées à près de 12, 598 milliards de dinars, provenant des ressources d’emprunts de 17, 460 milliards de dinars (réparties entre emprunts intérieurs: 15, 514 milliards de dinars et emprunts extérieurs :1,945 milliard de dinars), ainsi que des autres ressources de trésorerie ( – 4, 862 milliards de dinars).

Ces ressources ont été allouées particulièrement au remboursement du principal de la dette d’un montant de 11,539 milliards de dinars ( 4,512 milliards de dinars revenant à la dette intérieure et 7,026 milliards de dinars relatifs à la dette extérieure) .

Gabès : La récolte des olives atteint 46%, avec une production estimée à 70.000 tonne

19. Dezember 2024 um 17:53

Le taux d’avancement de la cueillette des olives dans le gouvernorat de Gabès, a atteint 46%, avec une production d’olives estimée à 70.000 tonnes, dont 65.000 tonnes en irrigué, selon le Commissariat régional au développement agricole (CRDA).

Une réunion comité régional des olives, a été tenue, jeudi, sous la présidence du secrétaire général du gouvernorat de Gabès, Ghaleb Kallali, pour faire le point sur le déroulement de les opérations de cueillette, de transformation et de commercialisation de la production.

Depuis le début de la saison, 31.913 tonnes d’olives ont été récoltées, dont 14.385 tonnes déjà transformées. Par ailleurs, 128 tonnes d’huile d’olive sont stockées chez des particuliers, alors que le nombre total des huileries en activité durant cette saison, s’élève à 54 huileries dans la région, avec une capacité de transformation quotidienne d’environ 600 tonnes.

Dans l’intention d’aider les agriculteurs à écouler leur production d’huile d’olive, l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche de Gabès (URAP) a mis en place un point de vente directe “du producteur au consommateur”, au prix de 11 dinars/litre. Une initiative qui a été bien accueillie par les citoyens, qui se rendent nombreux au siège de l’organisation pour se procurer de l’huile d’olive.

Produits agricoles biologiques : les exportations tunisiennes atteignent 1221 MD à fin novembre 2024

19. Dezember 2024 um 17:44

Les exportations des produits agricoles biologiques tunisiennes ont atteint, à fin novembre 2024, 50,754 mille tonnes, d’une valeur de 1221 millions de dinars(MD), selon la revue «ONAGRI Vigilance/Décembre 2024 » publiée, jeudi.

Le volume des exportations des produits agricoles biologiques a enregistré une diminution de 23,2%, en comparaison avec la même période de l’année précédente. En valeur, les exportations ont augmenté de 7%.

L’Italie est la principale destination avec 44% des quantités exportées suivi par l’Espagne et la France avec respectivement 22% et 11%.

Les exportations de produits biologiques se concentrent principalement sur l’huile d’olive et les dattes biologiques, suivies par les produits forestiers biologiques.

Obésité, diabète et maladies cardiovasculaires : les dangers des aliments ultra-transformés selon le ministère de la Santé

19. Dezember 2024 um 17:37

Le ministère de la santé a mis en garde jeudi contre les dangers des aliments ultra transformés tels que la restauration rapide (fast-food) les boissons gazeuses, les gâteaux emballés, les jus industriels et les viandes transformées (Salami et merguez) et autres.

Il a précisé, dans un communiqué publié sur sa page facebook, que les produits ultra transformés, affaiblissent le système immunitaire et augmentent les risques d’obésité, de diabète et des maladies cardiovasculaires, vu qu’ils sont riches matières grasses, en sucre et en sel.

Le ministère de la santé a recommandé la consommation des aliments naturels comme les légumes et les fruits et les repas faits maison avec des ingrédients naturels et frais, appelant à la nécessité de lire les étiquettes des produits alimentaires et d’éviter ceux qui contiennent des additifs industriels.

A noter que les aliments ultra transformés sont fabriqués à partir de produits industriels, d’additifs, de colorants et d’arômes.

La Tunisie et la Palestine renforcent leur partenariat industriel avec la signature de cinq accords

19. Dezember 2024 um 17:28

La Tunisie et le Palestine ont signé cinq accords de coopération dans le secteur industriel afin de renforcer le partenariat dans le domaine de l’accrédition, de la reconnaissance des certificats de conformité et des normes de qualités.

Les accords en question portent sur les activités de normalisation à travers l’échange des expertises et des expériences entre l’Institut National de la Normalisation et de la Propriété Industrielle (INNORPI) et son homologue palestinien.

La ministre de l’Industrie, des mines et de l’énergie, Fatma Thabet Chiboub a mis l’accent sur l’importance de ces accords. Elle a, également, réaffirmé le soutien de la Tunisie, État et peuple, aux efforts de la Palestine pour remporter la bataille du développement et de la construction de l’Etat Palestinien.

Le ministre palestinien de l’Industrie, Arafat Asfour a souligné l’importance des conventions qui permettront de réaliser la complémentarité économiques entre les deux pays, précisant que son gouvernement œuvre à renforcer ses relations économiques et à tirer profit es expériences réussies.

Les exportations de dattes tunisiennes atteignent 214,3 millions de dinars à fin novembre 2024

19. Dezember 2024 um 17:13

Les exportations des dattes tunisiennes, durant les deux premiers mois de la campagne 2024/2025(à fin novembre 2024), ont atteint 214,3 millions de dinars(MD), enregistrant une hausse de 32,3% par rapport à la même période de la campagne 2023/2024, selon la revue «ONAGRI Vigilance/Décembre 2024 » publiée, jeudi.

Ces exportations se sont établies à 32,2 mille tonnes, soir une progression de 31,2%.

Le prix moyen enregistré, à fin novembre 2024, a augmenté de 0,8%, soit 6,65 D/kg contre 6,60 DT/kg enregistré au cours de la même période de l’année écoulée.

Selon la même source, le Maroc est la principale destination des dattes tunisiennes, au cours du mois de novembre 2024, avec 24,2% des quantités exportées suivi par l’Italie et l’Espagne avec respectivement 11,2% et 6,1%.

Durant les deux premiers mois de la campagne 2024/2025, les exportations des produits des dattes biologiques ont atteint 14,1 MD. Ces exportations se sont établies à 1324,7 tonnes avec un prix moyen de 10,64DT/kg.

Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 4,1% et 6,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

Selon l’ONAGRI, l’Allemagne est la principale destination des produits des dattes biologiques avec 21% des quantités exportées suivi par la Suisse et les Pays-Bas, avec respectivement 16% et 13%.

Toukaber, l’huile d’olive tunisienne qui brille sur la scène mondiale

19. Dezember 2024 um 17:05

L’huile d’olive extra vierge de la ferme Ben Ismail, située dans la localité de Toukaber, à Medjez El Bab (gouvernorat de Béja), a remporté pour la huitième année consécutive la médaille d’or « Extra Gold » du concours international «Biol Novello» 2024, qui distingue les meilleures huiles d’olive biologiques au monde.

Cette distinction a été décernée lors de la 30e édition de la compétition italienne, à laquelle ont pris part 181 pays cette année. Dix huiles d’olive, récoltées précocement (avant le 15 novembre), ont obtenu cette médaille d’or « Extra Gold », témoignant ainsi de leur qualité exceptionnelle.

L’huile de la ferme Ben Ismail, représentée par la marque Toukaber, est la seule huile arabe et africaine à remporter ce prestigieux prix, un événement organisé par le ministère italien de l’Agriculture, en collaboration avec les principaux producteurs mondiaux d’huile d’olive, dont l’Espagne et l’Italie.

Maher Ben Ismail, membre de la famille fondatrice de la ferme, a exprimé sa fierté et sa satisfaction à l’égard de ce nouveau succès. Il a souligné à l’Agence TAP que la ferme participe à ce concours chaque année avec son huile d’olive produite à partir des olives d’hiver tunisiennes, un produit réputé pour ses caractéristiques gustatives uniques et sa puissance.

« Ce concours met en lumière la qualité de l’huile d’olive biologique et encourage la récolte des olives avant le 15 novembre, lorsqu’elles atteignent un stade optimal de maturité. Cela permet d’obtenir des huiles d’une qualité supérieure, avec des bienfaits sanitaires incontestables », a précisé Maher Ben Ismail.

Il est à noter que la ferme Ben Ismail, qui s’est engagée dans une production respectueuse de l’environnement, utilise des énergies renouvelables pour la production d’eau et d’électricité. Cette approche éco-responsable fait écho à l’objectif de la famille de maintenir une qualité irréprochable tout en préservant l’environnement. Selon Maher Ben Ismail, la reconduction de ce prix pour la huitième fois consécutive est un gage de la constance de la qualité de leurs huiles et de la stabilité de leur production dans les classements internationaux.

Ce prix, qui vient couronner plusieurs distinctions internationales et nationales obtenues par la ferme Ben Ismail au fil des ans, représente un moment de fierté pour la famille. Maher Ben Ismail a appelé les autorités tunisiennes et les institutions compétentes à exploiter ce succès pour promouvoir l’huile d’olive tunisienne à l’international et renforcer la position de la Tunisie comme acteur majeur sur le marché mondial de l’huile d’olive biologique.

« Nous espérons que ce succès pourra être utilisé pour stimuler la commercialisation de l’huile d’olive tunisienne et pour valoriser davantage notre patrimoine oléicole », a conclu Maher Ben Ismail.

Rappelons que l’huile d’olive extra vierge Toukaber a, à plusieurs reprises, reçu des dizaines de récompenses internationales, notamment des récompenses en Amérique, en Italie et au Japon, en plus de récompenses nationales.

Sousse : Le forum régional de la formation professionnelle au service du “dispositif nouvelle Chance” (DNC)

19. Dezember 2024 um 16:55

Le forum régional de la formation professionnelle s’est tenu, jeudi, dans l’espace “Nouvelle Chance” à Sousse, au profit des jeunes désireux de poursuivre une nouvelle trajectoire professionnelle ou développer leur parcours actuel, selon le directeur régional de l’emploi et de la formation professionnelle à Sousse, Tarek Mahjoub.

Ce forum qui s’inscrit dans le cadre du “dispositif nouvelle chance” (DNC), a connu la participation des centres de formation professionnelle publics situés dans le gouvernorat de Sousse, dont les représentants ont présenté les spécialités de formation offertes par ces centres, a indiqué Mahjoub à l’Agence TAP.

En effet, le gouvernorat de Sousse abrite 10 centres de formation relevant de l’Agence tunisienne de la formation professionnelle (ATFP), en plus de deux centres relevant de ‎l’Agence de formation dans les Métiers du Tourisme (AFMT), et du Centre sectoriel de formation professionnelle Agricole en Cultures Maraîchères de Primeurs de Chott Mariem (CSFPA Chott-Mariem), a-t-il précisé.

Il a expliqué que le “dispositif nouvelle chance”, vise à mettre en place de nouveaux mécanismes innovants au profit des jeunes âgés de 18 à 30 ans qui ont abandonné leurs études, en répondant à leurs besoins spécifiques, en leur permettant de définir leurs projets professionnels et en facilitant leur intégration dans la vie active.

Il a insisté sur le fait que le développement des compétences humaines constitue un choix stratégique pour renforcer les capacités et les compétences des individus dans les domaines de l’éducation et de la formation, afin de répondre aux exigences du développement socioéconomique, promouvoir le bien-être collectif, réduire les écarts et lutter contre le chômage, notamment parmi cette catégorie de jeunes.

Pour rappel, le “dispositif nouvelle chance” s’inscrit dans le cadre des orientations de l’État visant à mieux accompagner et prendre en charge les jeunes au chômage, sans études et sans formation.

 

Qualité de l’air intérieur : Les experts alertent sur les dangers des désodorisants et produits parfumés

19. Dezember 2024 um 16:42

Un certain nombre de médecins ont mis en garde jeudi à Tunis contre les dangers de l’utilisation des désodorisants et des produits de nettoyage parfumés en grandes quantités dans les espaces clos tels que les maisons.

Ils ont précisé, au cours d’une rencontre, organisée par l’Agence nationale pour l’évaluation des risques du ministère de la Santé (ANCSEP), sur « La pollution de l’air intérieur et ses effets sur la santé » que ces produits contiennent des polluants chimiques pouvant causer la pollution de l’air, ainsi que des maladies respiratoires chroniques.

A cette occasion, Khaled Hassine, expert en santé environnementale a souligné dans son intervention, que le maintien de la qualité de l’air dans les espaces confinés est indispensable pour prévenir les maladies graves, rappelant que 80 % du temps de la journée se passe à l’intérieur de ces espaces par rapport au temps passé à l’extérieur.

Parallèlement, il a souligné que les dernières statistiques de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) montrent que près de 3,2 millions de personnes meurent chaque année dans le monde, dont plus de 237 000 enfants de moins de cinq ans, en raison de maladies causées par la pollution de l’air à l’intérieur des habitations. En l’occurrence, les enfants passent plus de temps dans des espaces cloitrés a-t-il relevé.

Cette pollution est due à la combustion incomplète des combustibles solides et du “kérosène” utilisé pour la cuisson et autres polluants chimiques et petites particules qui provoquent une inflammation des bronches, des poumons et réduisent la capacité du sang à transporter l’oxygène et engendrent plusieurs maladies, dont le cancer du poumon.

Les polluants les plus nocifs sont: les petites particules, les polluants chimiques (monoxyde de carbone et composés organiques volatils), physiques (radon), biologiques (virus, bactéries nocives et acariens) et la fumée de tabac.

Ces spécialistes ont également mis en garde contre le tabagisme passif à l’intérieur des habitations et ses effets directs sur la santé des enfants. En effet, les études ont prouvé que le tabagisme passif a de nombreux effets néfastes équivalents à ceux du tabagisme positif et peut inciter les enfants à fumer plus tard.

De son côté, Dr Hela Kamoun a expliqué que le tabagisme passif peut entraîner le cancer des poumons, des maladies cardiaques et des maladies respiratoires.

Par ailleurs, Abderrazak Bouzouita, directeur général de la santé au ministère de la Santé, a déclaré que la stratégie du ministère est basée essentiellement sur la prévention, soulignant l’importance de la ventilation des maisons et des espaces intérieurs pour réduire l’incidence des maladies bactériennes et allergiques et assurer une bonne santé mentale.

Il a ajouté que la question de l’air et de l’environnement fait partie d’un système de santé

unique combinant santé humaine, santé environnementale et santé vétérinaire, “ce qui faits de la prévention un élément très important pour prévenir les maladies pouvant être causées par la pollution de l’air”, a-t-il dit.

Le directeur général de la santé a mis en garde contre l’utilisation des moyens de chauffage traditionnels pendant une longue période à l’intérieur de la maison, comme le « kanoun », qui peut provoquer une asphyxie au monoxyde de carbone.

A rappeler que, cette rencontre qui se tient les 19 et 20 décembre courant à Tunis comprend plusieurs thèmes tels que les indicateurs de la qualité de l’air intérieur et ses effets sur la santé, les données épidémiologiques et la manière d’évaluer les risques sanitaires pour mieux les contrôler (aspects institutionnels, réglementaires et de sensibilisation).

Tunisie : Vers l’adoption de la Convention de Vienne pour se prémunir des risques nucléaires

19. Dezember 2024 um 16:23

Les participants à une journée d’étude organisée, jeudi, par l’académie parlementaire de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), sur le projet de loi relatif à l’adhésion de la Tunisie à la “Convention de Vienne relative à la responsabilité civile en matière de dommages nucléaires” ont souligné l’importance de l’adoption de cette convention afin de “garantir la protection de l’Etat tunisien des dangers nucléaires transfrontaliers et lui permettre de revendiquer des compensations en cas de dommages”.

Le président de l’ARP, Brahim Bouderbala, a déclaré à l’ouverture des travaux de la journée d’étude que le but de cette rencontre est d’échanger les points de vue avec les représentants des différentes institutions et structures concernées par la protection contre les dangers de l’utilisation des produits nucléaires afin de permettre aux députés l’approbation du projet de loi relatif à la convention après avoir compris son sens et ses objectifs.

L’assemblée tiendra, jeudi soir, une séance plénière consacrée au vote du projet de la loi organique relative à l’adhésion de la République tunisienne à la “Convention de Vienne relative à la responsabilité civile en matière de dommages nucléaires”.

Le débat a abordé, notamment, les raisons du retard de l’État tunisien dans l’adoption d’un cadre législatif et juridique visant à le protéger des risques liés aux usages nucléaires dans la région méditerranéenne et dans les pays voisins.

Un cadre juridique garantissant à l’État et à ses citoyens le droit de réclamer des compensations en cas de dommages résultant des usages nucléaires.

Le directeur général du Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires (CNSTN), Adel Trabelsi, a expliqué dans une déclaration aux médias, en marge de cette journée d’étude, que la Convention de Vienne comprend 45 États, dont la plupart se situent dans le bassin méditerranéen.

Elle vise à protéger les pays contre les dommages en cas d’accidents nucléaires dont la responsabilité est endossée par le propriétaire de l’installation nucléaire.

La Tunisie, a-t-il poursuivi, ne dispose pas d’installations nucléaires, mais uniquement d’installations radiologiques. Cependant, elle se situe dans une région où se trouvent de nombreuses installations nucléaires, particulièrement sur la rive nord de la Méditerranée. Le pays pourrait donc bénéficier de l’adoption de la Convention de Vienne.

“La Tunisie se trouve sur un important passage maritime commercial, enregistrant chaque année environ 140 mille passages de navires, dont plusieurs transportent des matières et des déchets nucléaires. Ces activités comportent des risques d’accidents pouvant avoir des conséquences significatives sur le pays”, a-t-il ajouté.

 

“Rallye des Jeunes pour la Sécurité Routière” : Première édition dans le Sud tunisien

19. Dezember 2024 um 16:19

Les Observatoires nationaux de la Jeunesse et de la Circulation organisent, les mardi et mercredi 24 et 25 décembre, le “Rallye des Jeunes pour la Sécurité Routière” dans le Sud tunisien, en partenariat avec la Fédération Tunisienne des Automobiles et la Fédération Tunisienne du Sport pour Tous.

Ce rallye, le premier du genre, vise à attirer les jeunes des gouvernorats de Kébili, Gafsa et Gabès, titulaires d’un permis de conduire récent (moins de deux ans) dans le but d’améliorer les indicateurs de la sécurité routière chez cette tranche d’âge. Il constitue également une opportunité pour renforcer la communication entre les observatoires de la circulation et de la jeunesse, afin de mieux comprendre les comportements des conducteurs débutants et évaluer leur niveau de sensibilisation à la sécurité routière.

Ce projet sera étendu à d’autres régions du pays, en tenant compte des spécificités locales et en adéquation avec le nouveau découpage administratif régional.

Le départ sera donné à 10h00 à partir de la ville de Douz (gouvernorat de Kébili) en direction de Gafsa, où l’arrivée des participants est prévue à 14h00 au complexe de la Jeunesse de la ville.

Lors du deuxième jour du rallye, les concurrents prendront le départ à 09h00 vers la ville de Gabès, dernière étape de la course au terme de laquelle des récompenses seront distribuées aux vainqueurs.

Parallèlement à cet évènement, plusieurs ateliers seront organisés dans les maisons de la jeunesse de Douz, animés par des représentants de l’Agence Technique des Transports Terrestres, de l’Observatoire National de la Circulation, du Croissant-Rouge et de l’Association de Robotique. Ces ateliers porteront principalement sur la vérification des véhicules et de leurs équipements (pneus, freins, niveaux d’huile et d’eau), la sensibilisation à l’importance du respect du code de la route, des formations en premiers secours, ainsi qu’un atelier sur la robotique.

Démarche qualité : L’hôpital Habib Thameur vise l’accréditation de l’INEAS

19. Dezember 2024 um 15:59

L’hôpital universitaire Habib Thameur a organisé, ce jeudi , à l’Académie diplomatique internationale de Tunis, sa 13e journée scientifique au profit du personnel médical et paramédical, des administrateurs et des ouvriers sous le slogan « La démarche qualité » pour promouvoir la culture de la qualité, présenter les défis communs et échanger les expériences.

Dans une déclaration à l’agence TAP, le directeur général du Centre hospitalo-universitaire (CHU) Habib Thameur, Sahbi Dhahri, a indiqué que les objectifs de cette journée scientifique, qui voit la participation de 450 médecins, administrateurs, cadres paramédicaux et ouvriers, consistent à mettre en place la démarche qualité afin d’avoir l’accréditation de l’Instance nationale de l’évaluation et de l’accréditation en santé (INEAS). D’ailleurs, l’hôpital a présenté son dossier d’accréditation à l’instance avant la fin de l’année 2023 et se prépare actuellement à toutes les étapes de l’évaluation.

À cet égard, il a souligné que l’hôpital a mis en place les bases de la qualité à travers la cellule de qualité et le comité de pilotage mis en place en 2021 et la formation d’un groupe de médecins, d’administrateurs et de paramédicaux dans le domaine de la démarche qualité.

Il a souligné que depuis 2013, l’hôpital a établi un dispositif de gestion de la qualité à travers la numérisation des services de santé tels que les dossiers médicaux, l’enregistrement, les rendez-vous et l’accès à distance, afin de faciliter les services pour les patients. Il a signalé, en outre, l’existence de projets en cours pour améliorer l’infrastructure, les équipements et la qualité des services.

Pour sa part, la cheffe du service des urgences et de la réanimation au CHU Habib Thameur, Nabiha Borsali Falfoul, a indiqué que cette manifestation scientifique comprend des conférences sur l’accréditation, la qualité et la numérisation dans les services de santé, ainsi que des ateliers destinés au personnel médical et paramédical et aux administrateurs sur la démarche qualité dans les différentes spécialités et le parcours du patient.

Selon Falfoul, l’obtention de l’accréditation dans le domaine de la santé va au-delà des compétences et des capacités. Elle repose essentiellement sur le parcours médical, l’organisation, les transactions et la satisfaction du patient. À cet égard, elle a souligné que la satisfaction des citoyens à l’égard des services fournis est mesurée périodiquement, la dernière en date étant celle de l’année en cours, où la satisfaction des citoyens a dépassé les 70 %.

À noter que l’hôpital universitaire Habib Thameur compte plus de 889 employés médicaux, paramédicaux, administratifs et ouvriers et reçoit plus de 21 000 admissions par an, tandis que l’hôpital de jour accueille plus de 6 500 patients et effectue plus de 160 000 consultations externes et 45 000 consultations au service des urgences.

Impôt sur les sociétés : Les exportateurs tunisiens pénalisés par la nouvelle loi de finances

19. Dezember 2024 um 15:48

Mohamed Triki, membre de l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie (OECT) a déploré, jeudi, la mesure relative à la hausse de 15% à 20% du taux général de l’impôt sur les sociétés, pour les bénéfices réalisés à compter du 1er janvier 2024, prévue dans la nouvelle loi de finances pour l’exercice 2025.

Dans une déclaration à l’agence TAP, en marge d’une conférence organisée par l’OECT, au siège de l’UTICA, sur le thème “La loi de finances pour la gestion de l’année 2025”, l’expert comptable a qualifié d'”élevée ce taux d’imposition, d’autant qu’il est appliqué aux entreprises exportatrices, ce qui n’est pas favorable à l’investissement.

Une imposition élevée

“Il n’est pas logique que des sociétés exportatrices paient des impôts similaires à ceux des sociétés de distribution des produits importés. Avec une telle mesure, nous n’encourageons pas les investisseurs étrangers à investir en Tunisie, alors que nous sommes en concurrence avec d’autres pays”, a-t-il critiqué.

Et de souligner l’impératif de réduire ce taux, faisant remarquer que l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) recommande d’appliquer un taux unique de 15%, afin d’éviter le “dumping fiscal” entre les pays.

Pratiqué par les pays du monde entier, le dumping fiscal est une pratique visant à attirer des investisseurs, notamment à travers des mesures incitatives d’ordre fiscal.

Selon lui, “il est indispensable de donner des avantages à l’activité exportatrice en Tunisie”, estimant que cette nouvelle loi de finances “ne comporte pas suffisamment de mesures favorisant le climat de l’investissement”.

Mehdi Ellouze, membre de l’OCT, s’accorde avec Triki pour dire que certaines dispositions prévues par la loi de finances de 2025, n’incitent pas à l’investissement, évoquant, dans ce sens l’exemple de” la mesure instituant une contribution conjoncturelle au profit du budget de l’Etat”. Elle incombe “aux entreprises notamment exportatrices ayant réalisé un chiffre d’affaires hors taxes supérieur ou égal à 20 millions de dinars au cours de l’année 2023 et soumises à l’impôt sur les sociétés au taux de 15% pour la même année”.

Cette contribution est fixée à 2% des bénéfices utilisés pour le calcul de l’impôt sur les sociétés, avec un minimum de 1 000 dinars. Elle concerne les déclarations d’impôt dont l’échéance intervient au cours de l’année 2025.

“Auparavant, les sociétés exportatrices étaient exonérées d’impôts. Ce n’est plus le cas aujourd’hui”, a-t-il regretté, plaidant en faveur de mesures visant à relancer l’investissement, à encourager l’entrepreneuriat et à créer de la richesse.

UA: Recommandations pour la promotion de la décentralisation

19. Dezember 2024 um 15:33

Les travaux du sous comité chargé de la décentralisation, réuni dans le cadre de la 5e édition du comité technique spécialisé sur la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation, se sont soldés par l’élaboration de trois recommandations principales. Kevin Tchatchou, chargé des programmes et des opérations au sein de l’union africaine, a expliqué que la première recommandation est liée au développement d’un plan de travail pour les 2 années à suivre, 2025-202.

Objectif; appuyer les efforts des Etats, membres de l’UA en matière de promotion de la décentralisation.

Les membres du comité ont recommandé la mise en œuvre de la décision prise en 2014 visant à mettre sur pied un nouvel organe au sein de l’union africaine pour représenter les collectivités locales.
l’organe en question devrait être basé à Dakar au Sénégal, apprend-on de même source.

Une autre recommandation est liée à l’introduction d’un prix d’excellence sur la décentralisation, remis tous les deux ans, aux différents acteurs de la décentralisation. Ce prix devrait être décernée à partir de l’année 2026.

Une 3e recommandation a été élaborée sur les moyens de développer et de mobiliser les ressources financières nécessaires pour mettre en place ces différents projets.

Les membres du même sous comité ont aussi souligné la nécessité d’appeler les Etats membres de l’union africaine à ratifier la charte relative à la décentralisation.
Pour qu’un traité entre en vigueur, il faut qu’il soit signé par 15 pays.

« Malheureusement Cette charte a été signée par seulement 8 pays membres de l’Ua d’où la nécessité de mobiliser tous les efforts dans ce sens », ont indiqué les participants.

Urbanisation en Afrique : Vers des villes intelligentes et durables à l’horizon 2063

19. Dezember 2024 um 15:21

Les enjeux liés à l’urbanisation en Afrique et les mécanismes à même de faire du développement urbain un moteur de progrès économique et social sont les principales thématiques débattues, jeudi, par le “sous-comité des établissements humains et du développement urbain”, relevant du Comité technique spécialisé (CTS N°8) de l’Union Africaine (UA) sur la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation, dont la 5ème session ordinaire se tient du 18 au 20 décembre courant à Tunis.

Ce sous-comité a également abordé la forte corrélation et la complémentarité entre la décentralisation, les collectivités locales et les politiques urbaines mettant l’accent sur la nécessité de renforcer la volonté politique et les capacités institutionnelles relatives au développement urbain à l’échelle du continent, a souligné Noureddine Slim, ingénieur général chargé de mission au cabinet de la ministre de l’équipement et de l’habitat.

Il était également question de l’implémentation à l’échelle des pays africains, de l’agenda Afrique 2063 notamment les volets relatifs au développement durable et aux cités intelligentes, du nouvel agenda urbain (NUA) adopté en 2016 lors de la Conférence des Nations unies sur le logement et le développement urbain durable et des ODD liés aux villes, a-t-il ajouté.

Le sous-comité a par ailleurs examiné, selon le responsable, les instruments de financement de l’urbanisation durable et les mécanismes susceptibles de faire du développement urbain un moyen pour accélérer les progrès vers la prospérité en Afrique et transformer les villes africaines en moteurs pour la croissance économique, la création d’emplois et l’intégration économique africaine.

Ses membres ont en outre convenu de la nécessité de concevoir un programme de villes compactes en Afrique (une ville compacte veut concilier densité de la ville et qualité de la vie urbaine) et de préparer une loi type qui sera un point d’entrée pour une charte de l’UA sur le développement durable et les établissements urbains en Afrique.

Ils ont proposé de maintenir l’élan du 1er forum urbain africain qui s’est tenu du 4 au 6 septembre 2024 à Addis-Abeba en Éthiopie en instaurant la semaine urbaine qui sera célébrée chaque année par tous les pays membres et examiné les termes de référence pour le prochain forum qui aura lieu en 2026.

Ils ont plaidé pour que l’urbanisation soit choisie comme thème d’un prochain sommet des chefs d’États de l’union africaine et en faveur de l’identification de champions clés pour promouvoir l’urbanisation, soulignant l’impératif de faciliter le dialogue politique et l’échange de connaissances sur l’urbanisation entre les pays africains.

Les propositions de ce sous-comité seront adoptés plus tard jeudi en plénière regroupant les différents participants à la 5ème session du CTS n°8 de l’UA et qui donnera le feu vert à leur mise en œuvre à l’échelle des pays et du continent.

D’après la commission économique pour l’Afrique, le continent africain est l’épicentre de l’urbanisation mondiale avec l’Asie. Elle connaît la croissance urbaine la plus rapide au monde. Le niveau d’urbanisation du continent est passé de 35 % en 2000 à 43,5 % en 2020, et devrait atteindre environ 50 % d’ici 2035. Cette mégatendance qui modifiera la démographie de l’Afrique remodèle également considérablement le développement économique et social.

Projet Widu : Relance économique en Tunisie grâce aux transferts de la diaspora

19. Dezember 2024 um 15:10

L’institut supérieur des sciences appliquées et de la technologie à Mateur a abrité, mercredi, une journée d’information sur les sociétés communautaires et le projet « Widu » destiné aux Tunisiens résidents à l’étranger.

Cette journée est organisée à l’initiative de la direction régionale de l’emploi, le bureau de l’Office des Tunisiens à l’étranger et l’association « Création et Créativité pour le Développement Durable » à Ras Jebel.

Plusieurs communications ont été présentées à cette occasion, notamment sur le guide de création des sociétés communautaires, les subventions de financement et d’accompagnement et la bonne gestion des terres domaniales.

Un exposé a été, également, donné sur le projet « Widu » qui offre des solutions en faveur de la relance économique en Tunisie à travers la valorisation des transferts des Tunisiens à l’étranger.

A cette occasion, le gouverneur de Bizerte, Salem Yaâcoub a mis l’accent sur l’importance de l’action commune pour mettre en oeuvre les stratégies nationales dédiées au développement de l’entrepreneuriat chez les jeunes.

Il a ajouté que l’entrepreneuriat privé et collectif est, à la fois, un moyen permettant de consacrer l’indépendance financière et de fonder une économie solide et durable.

Financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et mis en œuvre par l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) en Tunisie et dans cinq autres pays africains, le projet WIDU Africa vise à promouvoir l’entrepreneuriat et à créer des emplois en Afrique.

Ce projet a été lancé en Tunisie à partir de janvier 2022 dans le but de soutenir la création d’emplois et de réorienter les fonds transférés de la communauté tunisienne résidant en Europe pour financer des projets à fort potentiel et rentabilité à travers une approche innovante et digitale.

Le projet a mobilisé environ 3,3 millions de dinars sous forme d’investissements privés conjoints entre la diaspora tunisienne et les entrepreneurs et plus d’un million d’euros (3,4 millions de dinars) de dons pour les petites et micro entreprises.

La deuxième phase du projet, qui s’étend jusqu’en septembre 2026, en plus des fonds alloués en coopération avec la communauté tunisienne à l’étranger, comprend le renforcement de l’appui technique apporté aux petites et moyennes entreprises.

Sidi Bou Saïd : Candidat au patrimoine mondial, dépôt prévu en février 2025

19. Dezember 2024 um 15:00

Les préparatifs pour l’inscription du village de Sidi Bou Saïd sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco sont au centre d’un atelier de travail, qui se tient du 18 au 20 décembre 2024, informe l’Institut National du Patrimoine (INP) jeudi matin sur sa page officielle. Le dépôt du dossier est prévu pour le mois de février 2025, précise la même source.

Cet atelier est organisé par l’Institut National du Patrimoine (INP) avec le soutien du Fonds pour le Patrimoine Mondial africain (AWHF), sous la supervision du directeur général de l’INP, Tarek Baccouche et du directeur exécutif du Fonds AWHF, Jopela Albino. Il réunit des représentants des différentes parties concernées par la gestion du village de Sidi Bou Saïd, classé 3ème plus beau village au monde, selon le classement 2024 publié par Seasia Stats, (média spécialisé dans les voyages et sorties).

Le village de Sidi Bou Saïd a été officiellement proposé pour inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO le 15 avril 2024. Cette initiative vise à protéger et à valoriser ce village pittoresque, célèbre pour son architecture unique et son riche héritage culturel.

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