Ce mardi 16 septembre 2025, l’Olympique de Marseille défie le Real Madrid au Santiago Bernabéu pour l’ouverture de la phase de ligue de la Ligue des Champions 2025-26, un choc historique qui oppose nos Phocéens aux Merengues invaincus en quatre confrontations passées.
Sous l’impulsion de Roberto De Zerbi, l’OM, revigoré par sa victoire éclatante 4-0 contre Lorient en Ligue 1, aligne un onze redoutable avec Pierre-Emile Højbjerg, Pierre-Emile Aubameyang, Mason Greenwood, Timothy Weah, Valentin Carboni et Geoffrey Kondogbia pour tenter l’exploit et briser la malédiction face à une armada madrilène emmenée par Kylian Mbappé, Rodrygo, Arda Güler, Franco Mastantuono, Aurélien Tchouaméni et Fede Valverde, malgré les absences de Rüdiger, Mendy et Endrick.
Les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) annonce que les délais aux compétitions officielles des longs métrages sont prolongées jusqu’au 22 septembre 2025.
Les inscriptions pour la 36e édition des JCC, qui se tiendront du 13 au 20 décembre 2025, se poursuit via le lien dédié.
Rappelons que la même source a également annoncé que les inscriptions aux deux ateliers « Chabaka » et « Takmil » sont aussi prolongées jusqu’au 30 septembre 2025.
« Ne manquez pas cette opportunité et soumettez vos projets de longs métrages documentaires ou de fiction, en cours de développement ou en post-production », ajoutent les organisateurs, sachant que Carthage Pro se tiendra du 15 au 18 décembre
Les légendes sportives ne disparaissent jamais vraiment. Leur retour sur le terrain ou dans les médias inspire une nouvelle génération. Les jeunes suivent leurs exploits, s’identifient à leur persévérance et cherchent à reproduire leurs réussites. Leur influence dépasse le sport lui-même et touche la motivation et la discipline.
Les athlètes légendaires continuent de façonner le sport même après leur carrière principale, et certains participent à des initiatives en ligne comme 1xbet gn qui rapprochent fans et anciens champions. Leur expérience et leur détermination deviennent des exemples concrets. Les jeunes voient que la réussite demande du temps, du travail et de la patience.
Les jeunes adoptent des routines inspirées de ces stars.
Les valeurs comme la persévérance et la discipline sont plus visibles.
Les performances exceptionnelles motivent à viser plus haut.
Selon des statistiques récentes, plus de 60 % des jeunes athlètes citent les anciens champions comme source principale de motivation. Leur retour, même ponctuel, relance cet engouement.
Les retours sur le terrain : plus qu’une simple présence
Quand les légendes reprennent le terrain, l’effet est immédiat, et certains fans cherchent même à télécharger 1xbet guinée apk pour suivre les matchs en direct et parier en temps réel. La foule répond, les médias suivent et les jeunes aspirants observent attentivement chaque mouvement. Ces retours montrent que l’expérience et la technique peuvent surpasser la jeunesse brute.
Les entraîneurs notent souvent une amélioration de l’engagement chez les jeunes lorsqu’ils côtoient ou observent ces anciens champions. Leurs conseils sont précieux. Même de simples séances d’entraînement deviennent des leçons de stratégie et de mental.
Le rôle des médias et des réseaux sociaux
Les plateformes médiatiques amplifient l’influence des légendes. Les vidéos de performances passées ou présentes se partagent rapidement. Les jeunes athlètes peuvent analyser les gestes techniques et les stratégies en détail.
Les tutoriels ou interviews inspirent la pratique quotidienne.
Les réseaux sociaux permettent un contact indirect avec ces figures.
Les anciens champions partagent souvent des messages motivants ou des conseils précis.
Cette visibilité crée un pont entre générations. Elle transforme les exploits individuels en leçons collectives.
Événements et programmes de mentorat
De plus en plus, les légendes participent à des événements sportifs éducatifs. Ces programmes permettent aux jeunes de s’exercer sous la supervision de professionnels expérimentés. Le mentorat offre un cadre structuré et motivant. De plus, les sports universitaires se développent comme un véritable secteur économique, générant revenus, emplois et opportunités d’investissement autour des compétitions et infrastructures.
Par exemple, lors de stages ou ateliers, les jeunes apprennent à gérer la pression, à améliorer leur endurance et à affiner leur technique. Les légendes racontent leurs expériences personnelles, les erreurs commises et les méthodes pour les surmonter. Cela rend la pratique sportive plus humaine et accessible.
L’influence au-delà du sport
L’impact ne se limite pas à l’activité physique. Les valeurs transmises par ces légendes touchent la vie quotidienne des jeunes. La patience, la discipline et la gestion des échecs deviennent des compétences transférables.
Développement du leadership et de la confiance en soi.
Capacité à se fixer des objectifs clairs et réalistes.
Motivation pour persévérer malgré les obstacles.
Ainsi, ces athlètes continuent de former non seulement de futurs champions mais aussi de jeunes capables de relever divers défis dans leur vie personnelle et professionnelle.
Encourager la pratique responsable et le jeu équilibré
Dans les activités comme le sport ou le jeu responsable, il est essentiel de garder l’esprit de plaisir. Les légendes rappellent souvent que l’important est de profiter de chaque moment. Le dépassement de soi reste l’objectif, pas la compétition purement financière.
Prendre le temps de maîtriser les techniques.
Respecter les règles et les limites personnelles.
Se concentrer sur l’expérience et l’apprentissage plutôt que sur la seule victoire.
Ces principes favorisent un engagement durable et positif chez les jeunes.
Le retour des légendes sportives ne se limite pas aux records ou aux titres. Leur influence inspire la persévérance, l’engagement et le plaisir de pratiquer. Les jeunes athlètes bénéficient de leur expérience et de leurs conseils. Ces figures emblématiques montrent que le sport est un moyen de grandir, d’apprendre et de se dépasser. Leur présence transforme la motivation individuelle en inspiration collective.
Les entreprises allemandes en Tunisie affichent confiance et volonté d’investir, malgré des obstacles persistants que constate son enquête annuelle intitulée «Situation et perspectives des sociétés allemandes en Tunisie» ; dont les résultats ont été présentés ce mardi 16 septembre 2025.
L’enquête de cette année révèle un bilan globalement positif. Ainsi, 73 % des entreprises interrogées prévoient de maintenir ou d’augmenter leurs investissements sur la période 2025–2026.
Près de 84 % anticipent une croissance de leur activité et 69 % s’attendent à une situation économique stable ou en amélioration en 2026.
Ces résultats traduisent une confiance maintenue des entreprises allemandes dans le site tunisien, même si la proportion d’optimistes sur l’évolution de la situation économique a reculé par rapport à 2024 (80 %).
Un pays attractif pour les investisseurs
Les entreprises soulignent plusieurs atouts qui renforcent l’attrait de la Tunisie comme destination d’investissement. «La proximité géographique avec l’Europe constitue un avantage majeur pour nos échanges commerciaux», indiquent de nombreux acteurs. D’autres insistent sur «la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et compétitive, particulièrement dans les secteurs industriel et technologique».
La Tunisie se positionne comme site d’investissement présentant une main-d’œuvre qualifiée ainsi que des coûts de production particulièrement compétitifs.
Des freins administratifs de plus en plus marqués
L’enquête met toutefois en évidence une montée des difficultés liées aux relations avec l’administration, les services douaniers et la Banque centrale de Tunisie notamment les questions autours du code des changes. La part des entreprises déclarant rencontrer des obstacles administratifs est passée de 45 % en 2024 à 75 % en 2025.
Les résultats de cette enquête envoient un double signal : d’une part, la confiance renouvelée des entreprises allemandes envers la Tunisie comme destination d’investissement ; d’autre part, l’urgence de lever les entraves administratives qui empêchent les investisseurs de tirer pleinement profit des avantages et des opportunités qu’offre la Tunisie afin de renforcer la création d’emploi et de transfert de savoir-faire.
Le fonds de fonds Anava annonce son engagement à investir 4 millions de dollars dans leRasmal Innovation Fund, géré parRasmal Ventures. Cet investissement s’inscrit dans une démarche visant à attirer des investisseurs internationaux vers l’écosystème tunisien des startups et à soutenir ces dernières dans leur financement et leur développement à l’échelle mondiale.
Anava est soutenu par la Banque mondiale (BM), la Caisse de Dépôt et Consignation (CDC) et la Banque allemande de développement (KfW).
Rasmal Innovation Fund I est un fonds de capital-risque de la région Mena, dédié aux startups en phase d’amorçage dans les secteurs de la FinTech, du SaaS B2B, de la HealthTech, de la logistique et de la supply chain, avec pour objectif de renforcer les infrastructures numériques dans la région.
Le fonds est géré par une équipe chevronnée de capital-risqueurs dotée d’une vaste expérience sectorielle, composée de la Tunisienne Soumaya Ben Beya Dridje, ainsi que de Alexander Wiedmer, Dr Shaikha Al Jabir et Angus Paterson.
Rasmal Innovation Fund I est le premier fonds sélectionné pour bénéficier du programme de capital-risque de 1 milliard de dollars de la Qatar Investment Authority. Il vise une levée totale de 100 millions de dollars, avec un premier closing de 30 millions de dollars.
Par ailleurs, Rasmal Innovation Fund I annonce son investissement dans Aqua Development, une entreprise née en Tunisie et à portée mondiale, cofondée par Othman Ben Abbes.
Cettestartup à double siège social en Tunisie et en Corée, combine biotechnologie, intelligence artificielle et ingénierie du design pour développer des systèmes d’aquaculture de crevettes offrant une productivité, une durabilité et une compétitivité économique exceptionnelles, sans recours aux antibiotiques ni aux produits chimiques polluants.
Les systèmes Aqua Development reposent sur l’imitation et l’exploitation des écosystèmes naturels à l’intérieur de la ferme, en recréant et en rééquilibrant différentes micro-flores et micro-faunes dans les bassins d’aquaculture.
Sous le ciel pâle et indécis de septembre, les ports de Bizerte et de Sidi Bou Saïd vibraient d’une ferveur inhabituelle. Une marée humaine, drapée de keffiehs et de drapeaux palestiniens, déployait ses couleurs rouge, verte, noire et blanche. L’air se chargeait de senteurs mêlées : le poisson grillé, le jasmin enivrant, le sel des embruns, portés par les accents rauques du mezoued et les chants de lutte venus de Palestine comme d’Afrique du Sud. C’était une kermesse révolutionnaire, un carnaval des consciences, où chaque visage reflétait la fierté d’une Palestine debout, dont la voix est portée par une Tunisie solidaire, accueillant les héros anonymes de la Global Sumud Flotilla.
Abdelhamid Largueche *
Jamais, depuis que les hommes naviguent, la mer n’avait vu pareille convergence de consciences. Plus de soixante-dix navires, venus des quatre horizons, s’étaient lancés d’un même mouvement, portés par une conviction commune : secourir un peuple assiégé. Leur destination : Gaza. Leur mission : briser un blocus maritime imposé par l’Etat génocidaire d’Israël et dénoncé par le droit international. Leur mot d’ordre : «Paix».
À bord, ni arme, ni soldat, ni calcul militaire, ni agenda politique. Seulement des vivres, des médicaments, des volontaires — et cette certitude têtue : la solidarité demeure un levier pour desserrer l’étau de la violence.
Des centaines de citoyens engagés
Cette mobilisation inédite, portée par la Freedom Flotilla Coalition, rassemblait d’autres initiatives : le Mouvement Global vers Gaza, la Flottille maghrébine — à laquelle s’était joint le Maroc — ou encore la Flottille Nusantara. Ensemble, elles ont donné naissance à ce projet humanitaire hors norme, avec l’appui de centaines de citoyens engagés.
Parmi eux, des figures émergent. Thiago Avila, militant brésilien au visage buriné par le soleil, rescapé du Madleen, le bateau intercepté en juin par les Israéliens près des côtes palestiniennes, dont le sourire fatigué apparaît comme une victoire sur l’adversité. Non loin, Wael Naouar, porte-parole du comité maghrébin, scrute les tracés rouges d’une carte à la lumière vacillante des radios. À ses côtés, Rima Hassan, député européen, une Franco-palestinienne au regard ardent, qui cisèle ses communiqués comme un orfèvre, tandis que Greta Thunberg, Suédoise aux tempes argentées icone de l’écologie, initie les volontaires aux gestes de la résistance non-violente. Et puis, figure imposante et sereine, Mandla Mandela, petit-fils de Madiba. Il serre les mains, embrasse les militants, sa voix grave portant l’héritage de tout un continent : «La solidarité n’est pas un mot, c’est un acte.» Il rappelle que la liberté de son grand-père demeure inachevée tant que celle des Palestiniens reste niée.
Pour desserrer l’implacable étau
Depuis 2007, en effet, Gaza vit sous blocus terrestre, maritime et aérien. Israël a imposé ce verrouillage après la victoire du Hamas aux élections législatives de 2006, pourtant jugées libres et régulières. Près de deux millions d’habitants survivent dans un isolement quasi total. L’accès à la nourriture, aux soins, à l’électricité et à l’eau y est restreint, conditionné. ONG et institutions décrivent Gaza comme une «prison à ciel ouvert».
Les offensives militaires ont régulièrement ravagé l’enclave depuis 2008, jusqu’au désastre apocalyptique d’octobre 2023 et qui se poursuit depuis, faisant plus de 65 000 morts, dont plus de la moitié sont des femmes et des enfants, et 160 000 blessés.
La mémoire garde encore le drame du bateau Mavi Marmara, en mai 2010 : neuf morts et une cinquantaine de blessés, victimes d’un assaut israélien en pleines eaux internationales. Depuis, chaque volontaire sait qu’il s’expose à la prison, parfois à la mort.
Appareillage dans l’indifférence complice
Le 15 septembre, les navires quittent les ports de Bizerte, Sidi Bou Saïd et Gammarth dans une indifférence glaçante des médias occidentaux, toujours soucieux de ménager l’agresseur israélien. Peu de caméras, peu de titres, peu d’attention, en dehors de celle assurée par quelques militants engagés, comme si la grandeur de ce geste pacifique et courageux ne trouvait pas place dans le récit dominant.
Alors que les moteurs vrombissent, un silence solennel s’abat sur le port. Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l’Onu pour la Palestine, apparaît sur le quai. Sa présence donne à l’instant une lumière officielle et grave. Elle serre les mains des équipages, étreint Wael et Thiago, s’incline devant Mandla. Ce geste, simple et fort, rappelle à la communauté internationale ses propres manquements.
Côte à côte, Wael, Rima, Greta, Thiago, Mandla et tant d’autres regardent les navires s’éloigner, silhouettes fragiles découpées dans l’immensité bleue. La fête s’achève. Commence le voyage : la mer immense et, au-delà, les hommes. Escortés par ceux qui refusent que la Méditerranée devienne prison, ils portent avec eux l’héritage de Mandela et la ténacité d’un peuple. Ils partent, incarnant le «Sumud», cette résistance persévérante et opiniâtre qui défie tous les blocus.
Rima Hassan et Greta Thunberg.
A l’avant-garde de l’humanité
Ces bateaux désarmés témoignent d’une force morale comparable aux grandes pages de courage de l’histoire moderne. Certains osent dire que leur audace évoque les débarquements de la Seconde Guerre mondiale : moins d’armes, mais davantage de cœur et d’humanité.
La question qu’ils posent, par leur seule navigation, transcende Gaza : «Que diront de nous nos enfants, et les enfants de nos enfants, face au génocide en cours ?»
Peut-être retiendront-ils que, malgré la guerre, l’indifférence et la complicité dans le génocide perpétré sous nos yeux, des centaines de femmes et d’hommes venus de quarante-quatre pays ont choisi de naviguer pour la dignité.
Ils diront que, dans la nuit de l’Histoire, ils ont refusé le confort de l’oubli. Qu’ils ont choisi la mer comme chemin d’espérance. Et qu’ils ont écrit, avec leurs voiles fragiles et leurs coques modestes, une page de résistance pacifique défiant le temps.
Ces femmes et ces hommes sont l’avant-garde de l’humanité.
Afin de célébrer la Journée internationale de la fille (11 octobre), l’ambassade du Royaume-Uni en Tunisie lance la 3e édition du concours national de rédaction «Ambassadrice d’un jour» (Ambassador For A Day – Afad), destiné pour les filles âgées de 15 à 18 ans.
Chaque lauréate de l’Afad aura l’occasion d’accompagner l’ambassadeur du Royaume-Uni en Tunisie pendant une journée, pour voir de première main comment les filles peuvent devenir des leaders et des défenseurs du changement. Cela promet d’être une occasion inoubliable de renforcer les compétences en diplomatie, confiance et leadership.
Toutes les Tunisiennes résidant en Tunisie, âgées de 15 à 18 ans et pas encore en université, sont encouragées à postuler, et ce avant le vendredi 26 septembre 2025, à minuit (heure de Tunis).
Le thème de la Journée internationale des filles de cette année est «La fille que je suis, le changement que je mène : les filles en première ligne des crises».
Pour participer au concours, les participants doivent soumettre une vidéo ou un court essai en anglais répondant à l’une des questions suivantes :
1. En tant qu’ambassadrice d’un jour, comment soutiendriez-vous les filles qui mènent le changement en temps de crise — que ce soit dans leurs communautés, leurs écoles ou leurs foyers?
2. Prenons l’exemple d’une fille ou d’une femme qui a dirigé pendant une crise et aidé à mener un changement positif. Que pouvons-nous apprendre de son leadership?
À chaque sommet international, les chefs d’État défilent, posent devant des drapeaux et publient des communiqués. Mais derrière ces images, une question essentielle demeure :représentent-ils seulement leurs États ou incarnent-ils aussi la dignité de leurs peuples ? Cette question doit aussi être posée à propos du Sommet arabo-islamique de Doha, organisé lundi 15 septembre 2025.
Khemaïs Gharbi *
Ce sommet s’est tenu soi-disant en réponse à l’attaque israélienne qui a visé les dirigeants du Hamas dans la capitale du Qatar la semaine dernière, tuant cinq membres du mouvement de résistance palestinien et un agent de sécurité qatari. Il s’est aussi tenu à un moment crucial de l’histoire du Moyen-Orient, marqué par l’impuissance de la communauté internationale face au déchaînement guerrier de l’Etat d’Israël contre tous ses voisins. Mais à quoi a-t-il finalement abouti, sinon à la même litanie des dénonciations futiles, inutiles, lassantes et déshonorantes à la fois, car sans lendemain ?
Un pays n’est pas qu’un territoire, une armée ou un PIB. C’est d’abord un peuple, une mémoire, une histoire, une fierté. Ignorer cette dimension réduit la politique internationale à une mécanique d’alliances de circonstances et de contrats, en oubliant ce qui rend une nation vivante et debout : sa dignité.
La plupart des communiqués finaux ressemblent à des listes ennuyeuses — dénonciations, condamnations, vœux pieux. Et la déclaration finale du Sommet de Doha n’a pas dérogé à cette règle. Tout cela compte, mais si la dignité des peuples est absente de l’équation, ces décisions s’évanouissent comme du sable entre les doigts.
Les décisions sans dignité sont sans âme
La dignité n’est pas un luxe moral mais un facteur de stabilité politique, l’oxygène de peuples étouffés par l’injustice ou l’humiliation. Un peuple qui perd confiance se désespère; un peuple respecté accepte plus facilement des sacrifices temporaires.
On parle de «sauver l’honneur» dans les matchs de football, comme si ce n’était qu’un réflexe symbolique. Mais pour les peuples, l’honneur est une réalité politique. Il peut être blessé par une guerre injuste, par des sommets qui ignorent sa fierté, son honneur et sa sensibilité.
Les dirigeants qui se rendent à un sommet portent plus qu’un drapeau : ils portent la mémoire de leurs martyrs, les sacrifices de leurs soldats, les rêves de leurs populations. Cela exige courage et abnégation, car la dignité doit avoir sa place au cœur de la défense des intérêts supérieurs des peuples.
Il est temps que les sommets internationaux inscrivent explicitement la dignité des peuples à leur ordre du jour. Cela ne signifie pas rédiger de belles phrases dans un préambule : cela signifie mesurer les conséquences psychologiques et symboliques des décisions. Une décision respectueuse de la dignité d’un peuple, à un moment crucial de son existence, peut marquer des générations entières.
Vers une diplomatie du respect
Posons donc, après chaque conclave diplomatique, la question simple mais essentielle : ce sommet a-t-il préservé la dignité des peuples concernés ?
La dignité n’est pas un supplément d’âme : c’est le cœur battant de la souveraineté. Vaclav Havel l’avait résumé ainsi : «La vraie politique est celle qui place la dignité de l’homme au centre et non l’intérêt immédiat des partis ou des États.»
C’est à cette hauteur qu’il faut désormais juger nos sommets. Non pas à la taille des buffets ni au nombre de photos, mais à l’aune de ce qu’ils font pour que chaque peuple puisse se tenir debout, fier et respecté.
Le Kia EV3 et le Kia Sportage se sont distingués dans leurs catégories respectives lors des What Car? Electric Car Awards 2025.
Le Kia EV3 a été élu Meilleur SUV électrique compact lors des prix annuels consacrés aux véhicules électriques par le magazine, tandis que le Sportage a remporté le titre de Meilleur SUV familial hybride d’occasion. Ces distinctions s’ajoutent aux succès obtenus plus tôt cette année aux What Car? Awards 2025, où l’EV3 avait été nommé Meilleur SUV électrique compact et le Sportage Meilleur SUV familial
Paul Philpott, président & Ceo de Kia UK Limited, a déclaré : «C’est un immense honneur de recevoir une nouvelle fois une telle reconnaissance pour l’EV3 et le Sportage de la part de What Car?. L’EV3 avait déjà été distingué en janvier, et le Sportage l’a été à de multiples reprises ces dernières années dans différentes catégories. La réputation de What Car?, reconnue comme une publication indépendante, influente et respectée par les acheteurs de voitures, confère encore plus de valeur à ces récompenses.»
Kia EV3 – Meilleur SUV électrique compact
Le Kia EV3 a redéfini le segment des SUV électriques compacts, devenant le véhicule électrique Kia le plus vendu de l’histoire et le modèle 100 % électrique le plus vendu au Royaume-Uni en 2025 (sur le marché de détail). Steve Huntingford, rédacteur en chef du magazine What Car?, a commenté : «L’EV3 est une voiture particulièrement agréable à conduire grâce à un confort de suspension remarquable, tandis que les bruits de vent, de route et de moteur sont parfaitement contenus. On profite également d’une assise plus haute que celle des concurrents, offrant la visibilité recherchée par de nombreux acheteurs de SUV. Même la plus petite des deux batteries disponibles propose une autonomie impressionnante, ce qui fait de l’EV3 un modèle au rapport qualité-prix exceptionnel.»
L’EV3 détient actuellement les titres de Voiture de l’année au Royaume-Uni et de Voiture mondiale de l’année 2025. Kia remporte ces distinctions pour la deuxième année consécutive, après le sacre du Kia EV9 en 2024.
Kia Sportage – Meilleur SUV familial hybride d’occasion
Le Sportage reste le modèle le plus vendu de Kia au Royaume-Uni, en Europe et à l’échelle mondiale. Il est actuellement la deuxième voiture la plus vendue au RoyaumeUni depuis le début de l’année, et le SUV familial préféré des Britanniques. La cinquième génération du Sportage, dévoilée en 2021, a posé les bases du design des futurs modèles Kia, qu’ils soient électriques ou thermiques. Elle a également introduit pour la première fois des motorisations hybrides et hybrides rechargeables dans la gamme Sportage.
Steve Huntingford a ajouté : «Comme tout Sportage, la version hybride rechargeable combine un excellent confort de conduite avec un intérieur intelligent, spacieux et facile à vivre. Elle offre en plus une autonomie électrique de 69 km (WLTP). Le fait qu’un Sportage d’occasion bénéficie encore de la garantie constructeur d’origine renforce aussi son attractivité.»
En 2025, le Sportage a bénéficié d’une importante mise à jour de mi-parcours, avec un nouveau design extérieur et intérieur, ainsi que l’intégration de technologies innovantes issues des derniers modèles électriques de Kia, tels que l’EV3, l’EV6 et l’EV9. Avec une gamme de véhicules 100 % électriques et électrifiés en constante expansion, et une reconnaissance croissante de la part des leaders du secteur, Kia continue d’affirmer sa position d’acteur majeur sur le marché automobile mondial.
Ooredoo Tunisie réaffirme son engagement en faveur des enfants de l’Association Kafel Elyatim à travers une initiative solidaire marquant la rentrée scolaire et reflétant sa volonté d’accompagner les jeunes générations vers un avenir meilleur.Vidéo.
Depuis deux ans, ce partenariat s’est construit autour de moments clés, tels que le Ramadan, l’Aïd, les activités estivales et la rentrée scolaire, offrant un accompagnement durable aux enfants de l’association.
Cette année, Ooredoo a pris en charge la rentrée scolaire de 400 enfants, en leur offrant des cartables complets avec fournitures et manuels, afin de leur permettre d’entamer l’année académique dans les meilleures conditions.
Une cérémonie chaleureuse a eu lieu au siège d’Ooredoo, au cours de laquelle les enfants ont eu l’opportunité de rencontrer le directeur général, Mansoor Rashid Al-Khater, qui leur a adressé un message inspirant : «Chez Ooredoo, nous croyons que chaque enfant mérite de rêver et de réussir. L’éducation est la clé d’un avenir meilleur et c’est un honneur pour nous d’accompagner les enfants de Kafel Elyatim dans leur parcours de réussite.»
La cérémonie a également été l’occasion de célébrer les élèves de l’association ayant obtenu leur baccalauréat. Ooredoo les a honorés afin de les encourager à poursuivre leur parcours universitaire avec ambition et confiance.
Aymen Toukabri, responsable de terrain de l’Association Kafel Elyatim, a souligné : «Notre partenariat avec Ooredoo est une véritable source d’espoir pour nos enfants. Au-delà du soutien matériel, c’est l’encouragement et la reconnaissance qui leur donnent confiance et les poussent à avancer.»
À l’aube de cette nouvelle année scolaire, Ooredoo adresse ses meilleurs vœux de réussite et d’épanouissement à tous les enfants de Tunisie, et particulièrement à ceux de l’Association Kafel Elyatim.
La huitième édition du Forum Mondial de la Mer s’est tenue le 12 septembre 2025 à Bizerte, en Tunisie, sous le thème «De Nice à Bizerte : où en est la Méditerranée ?». Organisé par l’Association Saison Bleue avec des partenaires locaux, nationaux et internationaux, cet événement de deux jours s’est tenu dans cette ville portuaire du nord de la Tunisie.
Le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yaqoub, a souligné l’importance du forum de cette année pour façonner l’avenir du bassin méditerranéen, en contribuant à la préservation de sa biodiversité par la lutte contre la pollution, la surpêche et les effets du changement climatique, tout en améliorant la compétitivité et l’attractivité globale de la Tunisie.
Selon Yaqoub, les discussions sur la pollution méditerranéenne et les défis qui y sont liés aideront à unifier les perspectives entre les participants, à définir les priorités et à élaborer des propositions pratiques et scientifiques pour une gouvernance équitable de la région méditerranéenne, à soutenir la recherche marine, à promouvoir l’économie bleue et à encourager la gestion durable des ressources marines.
Rym Benzina, présidente de l’association Saison Bleue, a indiqué que le forum avait accueilli plus de 70 présentations et conférences d’experts et de spécialistes examinant l’état de la mer Méditerranée.
Les discussions ont également porté sur les engagements pris à Nice en matière de protection des océans, les négociations en cours sur le Traité sur les plastiques, la gouvernance, l’expertise scientifique, l’économie bleue et la finance, la lutte contre la pêche illégale, les impacts du changement climatique et la pollution plastique.
Après le succès de l’édition de l’année dernière et la publication de la Déclaration de Bizerte, le forum de cette année publiera la «Déclaration africaine sur l’économie bleue et le développement durable». Fathi Belkahia, secrétaire général de l’Association Économie Bleue, a souligné l’importance sociale, institutionnelle et scientifique du forum pour la promotion de la coopération Nord-Sud et des partenariats entre chercheurs, experts et société civile, ainsi que son importance économique et environnementale.
Les intervenants du forum ont également souligné la nécessité de définir des priorités, d’adopter une méthodologie d’intervention et de proposer des mesures concrètes pour améliorer l’environnement marin méditerranéen, en insistant sur l’importance d’impliquer la communauté et les institutions. Le forum a également passé en revue les mesures et programmes clés issus du Forum de Nice, notamment les initiatives géopolitiques, de recherche et économiques, telles que les programmes de l’Union européenne et le soutien financier à des projets ciblant toutes les parties prenantes concernées pour assurer une gouvernance efficace de la Méditerranée.
De nombreux responsables tunisiens et internationaux, ainsi que des représentants de la société civile, de réseaux associatifs et des médias, ont participé aux sessions du forum.
L’histoire de ces deux Américaines est devenue virale sur les réseaux sociaux. Arrivées par erreur à Tunis la semaine dernière suite à une erreur de prononciation de leur destination: Brittney et Hannah avaient prévu de prendre l’avion pour Nice, en France, mais avaient accidentellement réservé un vol pour Tunis à Rome, découvrant l’erreur à bord de l’avion.
Après leur aventure, les deux touristes américaines sont finalement rentrées en Tunisie, cette fois à l’invitation de la Fédération tunisienne des agences de voyages et de tourisme (FTAV), en collaboration avec le ministère du Tourisme, afin de promouvoir la destination Tunisie.
La FTAV, en collaboration avec Tunisibooking.com, les a accueillies samedi dernier à l’aéroport de Tunis-Carthage.
Brittney et Hannah ont involontairement promu la Tunisie comme destination, et elles ont été récompensées : leur vidéo à bord de l’avion pour Tunis a rapidement dépassé les 16 millions de vues sur TikTok, suscitant curiosité et ironie en ligne.
Les deux touristes ont ensuite documenté leur retour de Tunisie sur les réseaux sociaux, montrant leurs interactions avec le personnel au sol et le vol de retour.
À l’occasion des 42e Journées européennes du patrimoine, prévues du 19 au 21 septembre 2025, la résidence de l’ambassadeur de France à La Marsa, dans la banlieue de Tunis, ouvrira exceptionnellement ses portes au public pour lui permettre de découvrir, grâce à des visites guidées, les richesses de cette ancienne demeure des beys de Tunis offerte au milieu du 19e siècle au consul de France, ont annoncé l’ambassade de France et l’Institut français de Tunisie
Dotée d’une riche architecture intérieure et de trois hectares de jardins, la villa a été construite à la fin du XVIIIe siècle par le beau-frère d’Hamouda Pacha et initialement appelée Borj El Monastiri.
Au XIXe siècle, elle fut successivement habitée par Hussein Bey II, puis par le bey de Tunis, Mohamed Bey, vers 1855.
Mise à disposition du consul de France Léon Roches vers 1856 comme résidence d’été par les autorités beylicales, elle fut rebaptisée Dar El Kamila, «la parfaite».
Résidence des consuls de France à La Marsa jusqu’à l’instauration du protectorat (1881), avant de devenir la résidence des Résidents Généraux de France à Tunis puis des ambassadeurs, ce bâtiment a traversé l’histoire comme un symbole de l’amitié franco-tunisienne.
Les Journées du Patrimoine, placées sous le thème du «Patrimoine architectural», permettront au public de découvrir ce magnifique édifice et son jardin avant une campagne de restauration de plusieurs mois. Ce sera l’occasion pour les visiteurs d’accéder à des bâtiments et espaces rarement ouverts au public, avec un programme varié allant des visites guidées aux parcours thématiques, en passant par des concerts, des représentations théâtrales et des démonstrations de savoir-faire.
L’Unesco et la Fondation Docteur Sadok Besrour (Canada) ont signé, le 15 septembre 2025, un accord pour la mise en œuvre du projet intitulé «Soutenir le rôle de la culture dans le développement durable en Tunisie.»
Doté d’un budget de 1,5 million USD, ce projet sera conduit pendant quatre ans (septembre 2025 – novembre 2029) et apportera un appui à la Tunisie dans les domaines de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel lié à l’artisanat, la protection du patrimoine mondial, la formation aux métiers du patrimoine et la promotion de l’économie créative.
Charaf Ahmimed, directeur du bureau régional de l’Unesco pour le Maghreb, et Docteur Sadok Besrour, président de la Fondation qui porte son nom, ont signé cet accord au siège de l’Unesco, en présence de Dhia Khaled, ambassadeur et Délégué permanent de la Tunisie auprès de l’Unesco.
La sauvegarde de savoirs et savoir-faire liés à l’artisanat et menacés de disparition sera renforcée grâce à un programme de transmission de 28 maîtres-artisans (7 par année de projet) à 84 apprentis (3 par métier et par an), contribuant ainsi à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de la Tunisie, dont les 9 éléments inscrits sur la Liste de l’Unesco sont tous liés directement ou indirectement au domaine de l’artisanat.
La sauvegarde du patrimoine mondial bénéficiera d’un appui technique et de renforcement des capacités des acteurs impliqués dans la gestion des 9 sites du patrimoine mondial de la Tunisie. Ce thème inclura également une composante dédiée au dernier site inscrit, celui de Djerba, ainsi qu’un soutien à la finalisation du projet «Route du patrimoine Unesco» en Tunisie et au développement de la thématique de la sauvegarde des systèmes oasiens.
La formation aux métiers du patrimoine est un besoin fondamental pour lequel le projet entend soutenir les efforts déployés par les institutions nationales tunisiennes, appuyées par un certain nombre d’acteurs internationaux. L’objectif est de former des jeunes comme intervenants qualifiés et futurs formateurs et ainsi de pérenniser cette action.
Pour ce qui est de la promotion de l’économie créative, l’objectif est de mieux faire connaître le potentiel de celle-ci, en particulier au niveau local, auprès des villes de Tunisie, essentiellement via le programme du Réseau des Villes créatives de l’Unesco (RVCU). Cette activité permettra de renforcer les capacités des acteurs locaux qui pourraient ensuite, s’ils le souhaitent, mettre cela à profit pour la préparation de dossiers de candidature de villes au RVCU pour les cycles de 2027 et de 2029.
Enfin, la communication en faveur du rôle de la culture dans le développement durable visera à promouvoir l’esprit et les objectifs de ce projet qui est inédit à bien des égards, par la nature du partenaire de l’Unesco (la Fondation), le cadre de coopération qui le porte (établissement d’un fonds général), sa durée (5 ans) et la diversité de son contenu (plusieurs composantes du mandat de l’Unesco dans le domaine de la culture). Ces particularités servent le plaidoyer que porte l’Unesco, à savoir promouvoir le rôle de la culture dans le développement durable et encourager les pays à adopter des politiques culturelles (thème de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles et le développement durable – Mondiacult 2025).
Ce partenariat contribuera à renforcer le rôle de la culture comme moteur de développement durable en Tunisie et à encourager les synergies régionales au Maghreb.
Dans le cadre du cycle de conférences « Questions de Science », l’Institut français de Tunisie (IFT) organise une conférence de Paul Tréguer, océanographe et professeur émérite, sur l’océan et le climat.
À l’issue de cette conférence prévue pour le mardi 16 septembre à 18h, Paul Tréguer dédicacera son ouvrage « L’Océan est-il le maître du climat ? » (éditions Apogée, 2024).
— L’Océan est-il le maître du climat ? —
Le changement climatique est en cours, affectant la vie sur la planète Terre. Jusqu’à présent, l’océan régule le climat, en absorbant une bonne part de la chaleur et des émissions de gaz carbonique engendrées par les activités humaines. Mais, l’océan est déjà sévèrement impacté par ce changement. Pour l’atténuer, il nous faut changer de cap et mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles. Pour cela, nous pouvons bénéficier du fort potentiel des énergies marines renouvelables. Des géo-ingénieurs, inspirés par Prométhée, rêvent de soumettre Neptune. Faut-il les suivre et manipuler l’océan pour qu’il absorbe davantage de gaz à effet de serre?
— Paul Tréguer —
Océanographe, professeur émérite à l’Université de Bretagne Occidentale, Paul Tréguer est le fondateur de l’Institut Universitaire Européen de la Mer, et de l’Europôle Mer. Il a dirigé le Réseau européen d’excellence EUR-OCEANS sur les impacts du changement global sur les écosystèmes marins. Membre de l’Académie européenne des sciences (EurASc) il co-dirige les Frontier Forums Chine-Europe sur les progrès des sciences et techniques marines.
La police est parvenue à identifier et à arrêter l’auteur du braquage perpétré, vendredi dernier, dans une agence bancaire à Boumhel dans le gouvernorat de Ben Arous au sud de Tunis.
L’enquête a été menée par la brigade centrale de lutte contre la criminalité relevant de la garde nationale de Ben Arous, précise Mosaïque FM, en rappelant que selon les premiers éléments, un individu cagoulé avait brandi une arme à feu (dont l’authenticité n’a pas encore été confirmée ) à l’intérieur de l’agence, obligeant l’employé à lui remettre l’argent de la caisse.
Le suspect qui a pu fuir à l’aide de complices, a été identifié et arrêté, affirme la même source, ajoutant que le Parquet a ordonné sa mise en détention, alors que l’enquête se poursuit.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé que les forces de la sûreté nationale et de la garde nationale, a intensifié les opérations visant à lutter contre les crimes de monopole et de spéculation.
Ces pratiques sont responsables d’une augmentation artificielle des prix et de perturbations dans l’approvisionnement en fruits, légumes et autres produits de consommation essentiels, précise la même source en indiquant que les opérations de contrôle ont été menées sur l’ensemble du territoire et ont ciblé les marchés de gros et de détail.
Outre de nombreuses saisies, le département de l’Intérieur annonce, dans son communiqué, l’arrestation de plusieurs principaux responsables de ces pratiques illégale à travers le pays, en rappelant que « cette initiative s’inscrit dans une politique plus large visant à garantir l’équité des prix et à protéger les consommateurs des manœuvres de ceux qui cherchent à s’enrichir au détriment du peuple ».
L’ambassadeur de Tunisie en France Dhia Khaled a rencontré la directrice de l’Institut national du service public (INSP), Maryvonne Le Brignonen.
Les discussions ont porté sur le renforcement des partenariats dans les domaines de la formation des hauts fonctionnaires, du partage d’expertise en matière de gouvernance publique et de modernisation de l’administration.
L’accent a été mis sur la volonté commune de consolider la coopération entre l’Ecole Nationale d’Administration tunisienne (ENA) et l’Institut National du Service Public (INSP) dans le domaine de la formation, dans une perspective d’ouverture, d’efficience et d’excellence au service de l’action publique.
Le président de la Fédération tunisienne de football (FTF) Moez Nasri, a été élu à la tête de la Commission d’appel de l’Union arabe de football.
C’est ce qu’a annoncé la FTD, ce lundi 15 septembre 2025, sachant que Moez Nasri a été élu à l’occasion des travaux de la 28e Assemblée générale de l’UAFA, qui se déroule à Riyad en Arabie saoudite.
Rappelons par ailleurs que Moez Nasri préside la FTF depuis le mois de février 2025 et qu’il a été élu pour une mandature de trois ans.