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Heute — 13. September 2025Haupt-Feeds

Le yuan et la rupiah s’imposent dans les échanges Chine-Indonésie

13. September 2025 um 16:17

Les Banques centrales de Chine et d’Indonésie ont annoncé, jeudi 11 septembre, l’activation d’un nouveau cadre d’utilisation des monnaies locales pour leurs transactions bilatérales. Objectif : réduire la dépendance au dollar américain et renforcer l’usage du yuan et de la rupiah dans le commerce et l’investissement.

Ce dispositif découle d’un protocole d’accord signé en mai 2025 et vient élargir l’ancien cadre de coopération. Désormais, l’usage des monnaies locales ne se limite plus aux paiements commerciaux, mais s’étend à l’ensemble des obligations financières couvertes par la balance des paiements.

Parallèlement, les gouverneurs des deux institutions d’émission ont annoncé le lancement d’une phase pilote d’interopérabilité des codes QR transfrontaliers, facilitant les paiements en monnaies locales entre les deux pays. Le système devrait être pleinement opérationnel d’ici la fin de l’année 2025.

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États-Unis : la Fed prévoit deux ou trois baisses de ses taux d’ici fin 2025

13. September 2025 um 15:55

Les marchés anticipent une baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed) la semaine du 15 septembre, tandis qu’une enquête Bloomberg s’attend à d’autres mesures en 2025. 

Les économistes interrogés s’attendent en moyenne à ce que la Fed baisse ses taux deux fois d’ici la fin de l’année, tandis que 40% anticipent trois baisses…

Lors de sa réunion de juillet, la Fed avait déclaré que le marché du travail restait « solide », mais les données économiques depuis lors ont modifié la donne. Le taux de chômage a atteint 4,3% en août, sur fond de forte baisse des embauches ces derniers mois.

En tout cas, la plupart des économistes voient des risques à la hausse, tant en termes de chômage que d’inflation.

À rappeler que le président de la Fed, Jerome Powell, a ouvert une « fenêtre » pour des baisses de taux d’intérêt dans son discours à Jackson Hole en août dernier.

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La Banque centrale de Russie réduit ses taux d’intérêt

13. September 2025 um 12:36

La Banque centrale russe a réduit, vendredi 12 septembre, ses taux d’intérêt de 100 points de base, à 17%, soit la moitié de la baisse attendue par les analystes.  

« Les anticipations d’inflation n’ont pas évolué de manière significative ces derniers mois. Elles restent globalement élevées. Cela pourrait empêcher un ralentissement significatif de l’inflation », a déclaré la banque dans un communiqué.

Les analystes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse plus importante de 200 points de base, bien que la chute de 5% du rouble cette semaine ait soulevé des doutes quant à la capacité de la Banque centrale à prendre une telle mesure.

« Les risques de hausse de l’inflation l’emportent sur les risques de baisse à moyen terme », indique la Banque centrale. Ces risques sont liés à « une déviation à long terme de l’économie russe par rapport à une trajectoire de croissance équilibrée et aux anticipations d’inflation, ainsi qu’à une détérioration du commerce extérieur du pays »…

L’économie russe ralentit cette année, la croissance devant passer de 4,3% à seulement 1,2%, selon les analystes. Certains économistes et chefs d’entreprise mettent en garde contre un risque de stagnation, voire de récession.

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Fitch Ratings dégrade la note de la France

13. September 2025 um 09:45

Fitch Ratings a dégradé, vendredi 12 septembre, la note de crédit à long terme de la France, la faisant passer de AA- à A+. Elle justifie sa décision par l’augmentation continue de la dette publique, qui réduit la capacité du pays à absorber de nouveaux chocs sans détériorer davantage ses finances.

Cette décision intervient dans un contexte politique instable, après la chute du gouvernement de François Bayrou, le 8 septembre, sur la question de l’endettement (plus de 113% du PIB en 2024). Le ministre de l’Économie sortant, Éric Lombard, a indiqué « prendre acte » de cette dégradation, rappelant néanmoins la solidité de l’économie française.

Cette dégradation ramène la note de la France à un niveau de « qualité moyenne supérieure », un cran en dessous de la catégorie « haute qualité ».

Sur les marchés, le « spread » entre l’OAT française et le Bund allemand a atteint son plus haut niveau depuis mars 2025, signe de la méfiance croissante des investisseurs. La dette publique française dépasse désormais 3 300 milliards d’euros (114% du PIB), avec un déficit prévu à 5,4% cette année. Fitch estime que l’endettement pourrait atteindre 121% du PIB en 2027, sans perspective claire de stabilisation.

Malgré tout, les conséquences immédiates sur les marchés restent limitées. L’impact se fera surtout sentir à long terme, via une hausse progressive du coût de financement.

Il s’agit du deuxième abaissement de la note souveraine française par Fitch en deux ans : en avril 2023, l’agence avait déjà sanctionné le pays, invoquant les tensions sociales autour de la réforme des retraites. Les regards se tournent désormais vers Moody’s (24 octobre) et Standard & Poor’s (28 novembre), qui doivent à leur tour réévaluer la solidité financière de la France.

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Gestern — 12. September 2025Haupt-Feeds

Les faillites d’entreprises ont augmenté de 12,2 % en Allemagne

12. September 2025 um 16:52

Les faillites d’entreprises allemandes ont augmenté de 12,2 % au premier semestre 2025. C’est ce qu’il ressort des données publiées jeudi 11 septembre par l’Office des statistiques. Elles reflètent les défis auxquels est confronté le gouvernement de Friedrich Merz dans ses efforts pour relancer la croissance économique.

Selon les résultats définitifs, les tribunaux locaux ont enregistré un total de 12 009 faillites au cours du premier semestre 2025, relève Reuters.

Le volume des créances au premier semestre est estimé à environ 28,2 milliards d’euros (32,97 milliards de dollars). Il est cependant en baisse par rapport à la même période de l’année dernière (32,4 milliards d’euros).

La diminution des demandes d’indemnisation, accompagnée d’une augmentation simultanée du nombre de faillites d’entreprises, est due au fait que davantage d’entreprises économiquement importantes ont déposé leur bilan au premier semestre 2024 par rapport au premier semestre 2025, indique l’Office des statistiques.

L’office allemand des statistiques a indiqué que les chiffres relatifs aux dossiers d’insolvabilité sont préliminaires. Car de nombreuses procédures débutent trois mois avant leur enregistrement. Les demandes ne sont comptabilisées dans les statistiques qu’après la première décision du tribunal de l’insolvabilité.

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Le FMI estime que la Fed a la possibilité de baisser ses taux d’intérêt

12. September 2025 um 15:11

Le Fonds monétaire international (FMI) a estimé, jeudi 11 septembre, que la Réserve fédérale (Fed) avait une marge de manœuvre pour réduire ses taux d’intérêt; et ce, face aux signes d’affaiblissement de la main-d’œuvre américaine. L’institution de Bretton Woods invite la Fed à agir avec prudence, en surveillant de près les données économiques.

« Notre sentiment général est que, compte tenu des risques de baisse de l’emploi, la Fed a la possibilité de commencer à réduire ses taux d’intérêt ». C’est ce qu’a déclaré la porte-parole du FMI, Julie Kozak, lors d’un point de presse.

« Nous dirions également que la Fed devrait procéder avec prudence, bien sûr en fonction des données, dans les mois à venir », a-t-elle noté.

Récemment, les « paris » sur une baisse des taux de la Fed ont augmenté. Le président américain Donald Trump ayant également fait pression à plusieurs reprises sur Jerome Powell pour qu’il agisse.

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États-Unis : l’inflation annuelle au plus haut depuis janvier

12. September 2025 um 13:30

Les prix à la consommation ont augmenté en août aux États-Unis à un rythme supérieur aux estimations des analystes. Tandis que la variation annuelle de l’inflation a été la plus importante des sept derniers mois, selon les données publiées jeudi 11 septembre.

Plus précisément, l’indice des prix à la consommation aux États-Unis a augmenté de 0,4 % en août par rapport à juillet, après une hausse de 0,2 % en juillet. Alors qu’au cours des 12 mois précédant août, l’indice a grimpé à 2,9 % – la plus forte augmentation depuis janvier – contre 2,7 % en juillet…

Les dernières données mettent en évidence les inquiétudes quant au risque de voir l’économie américaine tomber dans le piège de la stagflation. C’est-à-dire continuer à afficher une croissance faible avec des taux d’inflation élevés. L’impact des politiques tarifaires du président américain Donald Trump se fait progressivement sentir sur l’économie. Mais les analystes préviennent qu’elles pourraient déclencher de nouvelles pressions à la hausse sur les prix dans les mois à venir. Limitant ainsi la marge de manœuvre de la Réserve fédérale pour assouplir sa politique.

Les demandes d’allocations chômage ont dépassé les estimations

Dans le même temps, les données annoncées sur les nouvelles demandes d’allocations chômage ont confirmé le ralentissement que le marché du travail américain a montré ces derniers mois.

Ainsi, le nombre de demandes initiales d’allocations chômage a augmenté de 27 000 pour atteindre 263 000 (chiffre corrigé des variations saisonnières) pour la semaine terminée le 6 septembre. C’est ce qu’indique le ministère du Travail. Les analystes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse de 235 000 demandes la semaine précédente.

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Brésil : Bolsonaro condamné à 27 ans de prison

12. September 2025 um 12:27

L’ex-président brésilien, Jair Bolsonaro, a été condamné, jeudi 11 septembre 2025, à 27 ans de prison pour tentative de coup d’État. Âgé de 70 ans, il était jugé aux côtés de plusieurs anciens ministres et généraux, accusés d’avoir tenté d’empêcher le retour au pouvoir de Luiz Inacio Lula da Silva après l’élection présidentielle de 2022. 

Sur les cinq juges de la Cour suprême, quatre ont voté pour la condamnation de Bolsonaro. Ils estiment que l’ancien dirigeant d’extrême droite avait participé à une « organisation criminelle armée ». Le seul magistrat dissident, Luiz Fux, a plaidé la relaxe, dénonçant un manque de preuves et un complot resté « au stade préparatoire ».

Assigné à résidence à Brasilia depuis août et déjà déclaré inéligible jusqu’en 2030, Bolsonaro n’a pas assisté aux audiences, invoquant des raisons de santé. Il continue de clamer son innocence.

Une crise diplomatique avec Washington

L’affaire a provoqué une grave tension entre le Brésil et les États-Unis. Donald Trump a dénoncé une « chasse aux sorcières » visant son allié. Il a ainsi riposté par une surtaxe de 50 % sur certaines exportations brésiliennes. De même que par l’annulation de visas et des sanctions financières contre des juges de la Cour suprême brésilienne, dont Alexandre de Moraes, rapporteur du procès.

Au Parlement, le camp conservateur tente désormais de faire voter une loi d’amnistie en faveur de Bolsonaro, tout en préparant des recours contre la condamnation.

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La BCE maintient inchangés ses taux d’intérêt

12. September 2025 um 11:03

La décision prise jeudi 11 septembre de maintenir les taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE) inchangés a été unanime, affirme Christine Lagarde, sa présidente. Tout en notant que l’institution financière a atteint un bon point avec une inflation oscillant autour de 2% ces derniers mois. 

« Le processus déflationniste observé ces derniers trimestres est terminé et nous sommes aujourd’hui en bonne position, avec une inflation de 2 % et 2,1 % ces derniers mois », a-t-elle déclaré. « Parallèlement, le marché du travail reste solide et les risques sont équilibrés ».

Interrogée sur la fin du cycle d’assouplissement monétaire de la BCE, Mme Lagarde a réaffirmé que la Banque centrale ne prenait aucun engagement préalable quant à l’évolution des taux d’intérêt. « Le fait que nous soyons dans une bonne situation aujourd’hui ne signifie pas que la trajectoire de la politique monétaire soit prédéterminée. Nous décidons toujours, réunion après réunion, en fonction des données et des projections dont nous disposons, de maintenir cette bonne situation. »

Elle a également mentionné que depuis juin dernier, lorsque la BCE disposait des projections d’experts précédentes, les perspectives se sont améliorées car l’incertitude commerciale a été réduite et le risque de représailles commerciales de l’UE contre les États-Unis dans le contexte d’une guerre commerciale n’existe plus.

« L’incertitude commerciale s’est atténuée, mais elle n’a pas disparu et pourrait ne pas revenir à un niveau normal comme les années précédentes. Elle est néanmoins maîtrisée depuis juin dernier », a-t-elle expliqué. « Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de risques ; de nouveaux défis peuvent surgir. Et, dans ce contexte, nous insistons toujours sur le fait que nous allons de réunion en réunion, discutons et évaluons les évolutions et les risques. »

Interrogée sur l’incertitude politique en France, Christine Lagarde a rappelé que la BCE ne commentait pas les pays en particulier. Elle s’est toutefois dite confiante que les décideurs politiques feraient tout leur possible pour réduire l’incertitude. Tout en rappelant que le cadre budgétaire de l’UE définit la manière dont les États membres doivent agir.

Elle a exprimé sa confiance dans l’économie de la zone euro. Et ce, en soulignant qu’elle continue de faire preuve d’une grande résilience malgré d’importantes tensions commerciales et géopolitiques.

D’ailleurs, les enquêtes récentes montrent que les secteurs des services et de l’industrie manufacturière poursuivent leur croissance. Tandis que le marché du travail reste très dynamique, dit-elle. On s’attend également à une vague d’investissements de la part des pays de la zone euro souhaitant renforcer leurs capacités de défense et leurs infrastructures. Alors que le Fonds de relance est en cours de déploiement.

D’un autre côté, des tarifs douaniers plus élevés, un euro plus fort et une concurrence mondiale accrue devraient continuer à freiner la croissance économique, a-t-elle averti.

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Engrais : l’Égypte attire l’appétit indien, chinois et turc

11. September 2025 um 13:03

Le président de la Chambre des industries chimiques au sein de la Fédération des industries égyptiennes, Chérif El-Gabaly, a déclaré, mercredi 10 septembre, que son pays avait reçu des demandes d’entreprises chinoises, indiennes et turques pour mettre en œuvre des projets majeurs dans le secteur des engrais.

En marge du démarrage des échanges d’actions de la filiale de Polyserve, Verchem Egypt, sur le marché principal de la Bourse égyptienne, mercredi, M. El-Gabaly a indiqué que les demandes étrangères attendent l’approbation du gouvernement égyptien avant de pouvoir être mises en œuvre.

« Il existe un intérêt significatif de la part des investisseurs étrangers pour le marché égyptien, notamment dans les secteurs des engrais et des produits chimiques, compte tenu de la disponibilité des matières premières et des faibles coûts de production », assure Chérif El-Gabaly.

En effet, la production d’engrais de l’Égypte s’élève à environ 12 millions de tonnes, dont huit millions de tonnes d’engrais azotés et quatre millions de tonnes d’engrais phosphatés, selon les données du ministère égyptien du secteur public.

Le président de la Chambre des industries chimiques a souligné que le marché égyptien connaît une demande importante et croissante d’engrais. Et ce, notamment dans le cadre des projets du gouvernement d’expansion des terres agricoles au cours des cinq prochaines années. À cela s’ajoutent les accords commerciaux favorables liant l’Égypte à divers pays du monde, qui permettent aux exportations du secteur d’accéder au marché moyennant des droits de douane appropriés.

En effet, l’Égypte cherche à accroître sa superficie agricole à 13,5 millions d’acres au cours des trois prochaines années contre 9,5 millions d’acres entre 2011 et 2025. C’est ce que révèlent les récentes déclarations du ministre égyptien de l’Agriculture et de la Réhabilitation des terres, Alaa Farouk.

Par ailleurs, M. Al-Gabaly a souligné que le marché égyptien est ouvert à l’introduction de plusieurs nouveaux produits pétrochimiques, notamment les engrais potassiques et composés. Sachant que l’Égypte importe environ un million de tonnes d’engrais potassiques par an…

Le marché égyptien comprend environ quatre usines de production de potassium d’une capacité moyenne de 400 000 tonnes.

Les exportations de produits chimiques et d’engrais égyptiens ont augmenté de 13 % au cours du premier semestre de cette année. Ainsi, elles atteignent 4,6 milliards de dollars; contre 4,08 milliards de dollars au cours de la même période l’année dernière.

La Turquie est le plus grand importateur de produits chimiques et d’engrais égyptiens depuis le début de 2025, important à elle seule des produits d’une valeur de 664 millions de dollars, suivie par l’Italie en deuxième position avec 572 millions de dollars, selon Chemical Industries Export Council.

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UE : entre volonté de sanctionner Israël et dépendance militaire

11. September 2025 um 12:30

Les destructions à Gaza et les bombardements au Qatar ont poussé plusieurs dirigeants européens à brandir la menace de sanctions contre Israël. Mais derrière les critiques, un obstacle majeur subsiste : la forte dépendance des armées européennes aux géants israéliens de la défense.

L’an dernier, les pays européens ont acheté pour près de 8 milliards de dollars d’armements israéliens, soit plus de la moitié des exportations du pays. Les entreprises Elbit Systems, Rafael et Israel Aerospace Industries sont intégrées aux chaînes d’approvisionnement militaires européennes et disposent de filiales locales, employant des milliers de personnes, rapporte le site Capital.

A noter au passage que sous la pression américaine, les membres de l’OTAN doivent porter leurs dépenses de défense à 5 % du PIB d’ici 2035, mais un objectif difficile à atteindre sans Israël. Cette réalité limite la portée des restrictions annoncées, comme en Allemagne, où l’interdiction de certaines exportations liées à Gaza n’empêche pas de nouveaux contrats, notamment l’achat de drones Heron pour près d’un milliard d’euros…

Sur le plan politique, le chancelier allemand, Friedrich Merz, a dénoncé mercredi 10 septembre les frappes israéliennes au Qatar comme une « violation du droit international », tout en évitant de soutenir l’idée de sanctions européennes.

De son côté, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a annoncé la suspension de l’aide financière de l’UE à Israël.

Enfin, la polémique s’est étendue au domaine culturel, avec l’annulation de la participation du chef d’orchestre israélien Lahav Shani à un festival en Belgique, décision dénoncée en Allemagne comme un « boycott culturel » et un « antisémitisme pur et dur ».

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Larry Ellison, d’Oracle, devient l’homme le plus riche du monde

11. September 2025 um 12:08

Le président d’Oracle, Larry Ellison, a « détrôné » Elon Musk et est devenu la personne la plus riche du monde pour la première fois, suite à la hausse des actions de la société, révèle Bloomberg

L’action du géant technologique progresse de plus de 40 %, atteignant des niveaux records et rapprochant la capitalisation boursière de l’entreprise des 1 000 milliards de dollars. Plus précisément, sa capitalisation boursière s’accroît d’environ 299 milliards de dollars, la portant à 969 milliards de dollars.

Oracle a vu son action monter en flèche, affichant sa plus forte hausse quotidienne en pourcentage depuis 1992, après que la société a prévu que les revenus d’Oracle Cloud Infrastructure dépasseraient un demi-billion de dollars alors que la demande pour ses services d’infrastructure cloud à faible coût augmente.

Larry Ellison, cofondateur et président d’Oracle, 81 ans, dont la fortune provient en grande partie de sa participation de 41 % dans Oracle, a également vu sa fortune augmenter d’environ 102 milliards de dollars pour atteindre 395 milliards de dollars, indique Reuters.

L’action de la société a gagné 45 % depuis le début de l’année, surperformant les actions des « Sept Magnifiques », alors que les investisseurs se tournent vers les sociétés cloud basées sur l’intelligence artificielle.

Les résultats du premier trimestre d’Oracle ont également fait grimper les actions de Nvidia, Broadcom et AMD, qui fournissent des semi-conducteurs utilisés dans les centres de données.

La société a conclu des accords avec Amazon, Alphabet et Microsoft pour permettre aux clients du cloud d’exécuter Oracle Cloud Infrastructure (OCI) aux côtés de services natifs, les revenus de ces partenariats ayant grimpé en flèche au premier trimestre.

La société fournit également des services cloud à xAI, la startup d’intelligence artificielle fondée par Elon Musk.

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Vers un maintien inchangés des taux d’intérêt des la BCE

11. September 2025 um 10:24

La Banque centrale européenne (BCE) devrait maintenir ses taux d’intérêt inchangés pour une deuxième réunion consécutive, confiante que l’économie peut résister aux tarifs douaniers de Donald Trump et aux nouveaux troubles en France.

Le taux de dépôt restera à 2 % ce jeudi 11 septembre, selon 59 économistes interrogés par Bloomberg. Les analystes ne prévoient pas de nouvelles baisses au cours de ce cycle,. Tandis que les nouvelles prévisions trimestrielles devraient apaiser les craintes d’une stabilisation de l’inflation sous 2 %.

Les prix étant actuellement considérés comme atteignant cet objectif et l’économie des 20 pays de la zone euro se montrant résiliente dans les premiers jours de la hausse des tarifs douaniers américains, la plupart des responsables de la BCE se satisfont des paramètres actuels de la politique monétaire.

Ils doivent cependant également prendre en compte la décision à venir de la Réserve fédérale américaine, qui devrait réduire les coûts d’emprunt américains et pourrait contribuer à relancer la hausse de l’euro si elle signale que d’autres réductions vont suivre.

Il y a aussi la France, qui n’a plus de gouvernement depuis lundi 8 septembre suite à un vote des députés qui ont refusé la confiance réclamée par François Bayrou.

Taux d’intérêt

Après que les taux d’intérêt ont déjà été réduits de 4 % à 2 %, Isabel Schnabel, membre du conseil exécutif de la ligne dure, s’est fortement opposée à une nouvelle réduction, arguant que l’inflation pourrait dépasser les attentes dans les années à venir en raison de facteurs tels que le commerce et des dépenses budgétaires plus élevées.

D’autres se sont montrés peu enclins à prendre de nouvelles mesures pour le moment. Ainsi, Madis Müller, d’Estonie, a dernièrement déclaré qu’il était judicieux de « prendre son temps et d’observer les données économiques ». Tandis qu’Olli Rehn, de Finlande, a souligné qu’il y avait « matière à réflexion sur les prochaines étapes ».

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JPMorgan met en garde contre l’affaiblissement de l’économie américaine

10. September 2025 um 19:44

Le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, tire la sonnette d’alarme sur le cours de l’économie américaine, dans une interview à CNBC, soulignant que les dernières données sur le marché du travail confirment le ralentissement.

« Je pense que l’économie s’affaiblit », a déclaré Dimon. « Je ne sais pas encore s’il s’agit d’une récession ou d’un simple affaiblissement ».

Le ministère du Travail américain a révisé à la baisse les salaires non agricoles d’un total de 911 000 emplois pour les 12 mois jusqu’en mars. « C’est une révision importante », a noté Dimon.

« Nous consultons les données gouvernementales, mais nous collectons également des données provenant de nombreuses autres sources… Il est toujours difficile de déterminer l’évolution de l’économie. Peut-être qu’un jour l’intelligence artificielle y remédiera. Mais on constate actuellement un affaiblissement », a-t-il déclaré.

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Meilleur résultat depuis 2018 : Boeing a livré 57 avions en août

10. September 2025 um 16:17

Le constructeur aéronautique américain Boeing a livré 57 avions commerciaux en août 2025. Soit sa meilleure performance mensuelle depuis 2018, dernier signe de stabilité des opérations de l’usine. Et ce, alors que l’entreprise vise des taux de production plus rapides.

La liste des avions livrés comprend entre autres 43 Boeing 737 (le deuxième total le plus élevé cette année). C’est ce que révèlent les données publiées sur le site web de la société.

Les résultats d’août indiquent des améliorations récentes dans la stabilité de l’usine de Boeing. Alors que le constructeur se prépare à demander l’autorisation réglementaire pour rétablir la production de son 737 le plus vendu aux niveaux d’avant la pandémie de Covid 19 en 2020, souligne l’agence de presse allemande DPA.

Les commandes totales de Boeing pour cette année s’élèvent à 725; contre 600 appareils reçus par son concurrent européen, Airbus.

Boeing a commencé à réduire l’écart de production avec Airbus, qui persiste depuis que le constructeur américain est tombé dans une série de crise.

Boeing a livré 385 avions au cours des huit premiers mois de l’année; contre 434 livrés par son concurrent européen..

Déficit de production de Boeing

Ainsi, depuis le début de 2024, le déficit de production de Boeing par rapport à Airbus a fortement diminué, sur la base de la moyenne des livraisons des six derniers mois, confirme l’analyste Sheila Kahyaoglu de Jefferies.

Le 27 août, la compagnie a informé ses clients des compagnies aériennes qu’elle était optimiste quant à l’augmentation de la production d’ici octobre.

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La Chine deviendra le premier importateur mondial de gaz naturel par pipeline

10. September 2025 um 15:24

La Chine devrait dépasser l’Allemagne pour devenir le plus grand importateur mondial de gaz naturel (GNL) par pipeline cette année. Et ce, alors qu’elle cherche à renforcer sa sécurité énergétique, selon un rapport de Rystad Energy publié par Bloomberg.

Après avoir presque rattrapé l’Allemagne en 2024, la Chine devrait prendre la première place. Avec une augmentation des importations de gaz naturel par pipeline en provenance de Russie, déclare Rystad Energy.

Les accords récents entre Pékin et Moscou, notamment la décision de poursuivre le projet de gazoduc Power of Siberia 2, renforceront cette position. C’est ce qu’a déclaré Martin Opdahl, associé chez Rystad, dans un rapport en collaboration avec l’Union internationale du gaz.

Un marché en pleine transformation

Cela souligne la transformation que le marché du gaz a subie depuis que l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022 a bouleversé le commerce mondial des matières premières.

L’Allemagne, qui dépendait fortement du carburant relativement bon marché des pipelines provenant des gisements russes de Sibérie, s’est tournée vers le GNL transporté par pétroliers en provenance des États-Unis et d’autres fournisseurs. Cela a réduit son exposition au gaz russe, mais a entraîné une plus grande volatilité des prix, l’Europe étant en concurrence avec d’autres régions pour le GNL.

La Norvège reste le plus grand fournisseur de gaz par pipeline vers l’Europe, y compris l’Allemagne. Mais sans capacité de réserve, la région est obligée d’augmenter ses achats de gaz naturel liquéfié.

Dans le même temps, la Chine s’efforce de renforcer ses liens avec la Russie, qui dispose de capacités de réserve après que 90 % de ses approvisionnements par pipeline vers l’Europe ont été interrompus suite à l’invasion de l’Ukraine.

A rappeler que Moscou et Pékin ont récemment conclu un protocole d’accord pour la construction d’un nouveau gazoduc de grande envergure vers la Chine, tout en élargissant d’autres itinéraires.

Selon Opdahl de Rystad, les importations chinoises par gazoduc devraient atteindre 79 milliards de mètres cubes cette année; contre un peu moins de 71 milliards pour l’Allemagne. En 2024, elles étaient respectivement de 70 et 71 milliards de mètres cubes.

Baisse des prix du gaz européen

Les discussions sur un éventuel accord de paix en Ukraine ont poussé les prix du gaz européen à leur plus bas niveau depuis un an le mois dernier. Tandis que l’on s’attend à un retour de certains approvisionnements russes en Europe. Cependant, les perspectives de négociations de paix restent incertaines.

Selon le rapport de l’Union internationale du gaz, la demande mondiale de gaz devrait augmenter de 1,9 % en 2024, dépassant les 4 100 milliards de mètres cubes, et de 1,7 % cette année. Ce rapport prévoit que la demande au cours de la prochaine décennie dépassera la plupart des prévisions.

Même avec des objectifs de zéro émission nette – avant 2050 dans l’Union européenne et 2060 en Chine –, le gaz conservera son rôle essentiel pendant des années qui est de « soutenir les énergies renouvelables intermittentes », souligne le rapport. Le secteur gazier poursuit ses efforts de réduction des émissions, depuis le captage et le stockage intégrés du carbone dans les terminaux GNL jusqu’à l’électrification totale ou partielle des opérations de transport et de stockage du gaz.

Toutefois, les tensions géopolitiques jettent une ombre sur les perspectives du marché à long terme et sur le rythme de la transition énergétique. Tandis que des événements météorologiques extrêmes plus fréquents et des moteurs technologiques, tels que l’intelligence artificielle, « compliquent la dynamique de l’offre et de la demande mondiales », selon le rapport.

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L’or se maintient à plus de 3 600 $ en attendant les taux américains

10. September 2025 um 11:24

Les prix de l’or ont augmenté mercredi 10 septembre, se maintenant au-dessus de 3 600 dollars l’once, soutenus par les attentes d’une baisse des taux d’intérêt américains. Tandis que les investisseurs attendent les principaux rapports sur l’inflation cette semaine.

Le cours de l’or au comptant a progressé de 0,3 % à 3 635,329 dollars l’once dans la matinée de mercredi, après avoir atteint un record à 3 673,95 dollars mardi. En revanche, les contrats à terme sur l’or américain pour livraison décembre ont reculé de 0,2 % à 3 673,70 dollars.

« Le sentiment pousse les prix à la hausse », a déclaré Kyle Rodda, analyste des marchés financiers chez Capital.com. « Plusieurs facteurs clés influencent actuellement le cours de l’or. Le principal est l’anticipation d’une baisse des taux d’intérêt aux États-Unis », selon Reuters.

Les données sur l’inflation des prix à la production aux États-Unis sont attendues dans les prochaines heures, alors que les chiffres sur l’inflation des prix à la consommation sont attendus jeudi 11 courant, et sont surveillés de près pour obtenir de nouveaux indices sur la trajectoire des taux d’intérêt.

Le gouvernement américain a souligné mardi que l’économie avait probablement créé moins d’emplois que prévu au cours des 12 mois précédant mars. Ce qui suggère que la croissance de l’emploi était déjà en baisse avant que le président Donald Trump n’impose des droits de douane plus élevés sur les importations.

Les données sur les salaires non agricoles de la semaine dernière ont également mis en évidence des conditions de marché du travail faibles aux États-Unis. De même qu’elles ont augmenté la probabilité d’une baisse des taux d’intérêt lors de la réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale ce mois-ci.

Parmi les autres métaux précieux, l’argent au comptant a augmenté de 0,3 % à 41 $ l’once, le platine a augmenté de 0,9 % à 1 380,74 $ et le palladium a peu changé à 1 148,57 $.

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Crowdfunding immobilier : la rentabilité est au bout

09. September 2025 um 18:38

Le terme Real Estate CrowdFunding décrit le processus par lequel un groupe d’investisseurs, entreprises ou particuliers, lève des fonds et les investit dans des projets immobiliers dans le but d’entrer sur le marché immobilier hautement rentable.

Comme l’a rapporté mardi 9 septembre le cabinet de conseil NEPA Economic Consulting, qui opère également dans ce secteur de services spécifique, ce type de plan d’investissement est apparu comme une approche moderne et innovante pour optimiser les actifs financiers. Car il peut être un excellent moyen de diversifier un portefeuille, permettant à l’investisseur potentiel d’accéder à des investissements immobiliers qui seraient autrement inaccessibles.

Ce modèle s’adresse à ceux qui recherchent un rendement financier stable, qui peut couvrir une large gamme de propriétés, des espaces résidentiels tels que des maisons et des appartements, aux propriétés commerciales, y compris des centres commerciaux, des hôtels et des bureaux.

Selon Polaris Market Research, le marché mondial du crowdfunding immobilier est en plein essor, les modèles montrant un doublement du capital qui devrait être investi d’ici 2032. A souligner que de 2019 à 2022, les niveaux étaient particulièrement bas et presque nuls. Mais en 2023, le marché a atteint environ 19,5 milliards de dollars. Tandis que dans la période 2024 à 2026, une augmentation progressive est observée.

De 2027 à 2029, la croissance s’accélèrera. En 2030, une forte hausse apparaîtra avec une nette différenciation selon les régions. Tandis qu’en 2031 une augmentation significative pourrait ainsi intervenir avec la participation dominante de l’Amérique du Nord et de l’Europe. Et en 2032, le marché atteindra son point culminant, avec de fortes contributions de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de la région Asie-Pacifique.

Pour les investisseurs, comme indiqué précédemment, le financement participatif immobilier peut constituer une forme alternative de placement de capitaux, avec une participation initiale relativement faible. Le processus s’effectue généralement via des plateformes en ligne spécialisées, où les projets, les conditions de participation et les rendements attendus sont présentés en détail, permettant à chacun de choisir le niveau de risque adapté à son profil.

Parallèlement, cet outil contribue au développement du marché immobilier en général. Car il fournit liquidités et capitaux à des projets qui ne pourraient être réalisés avec un financement bancaire traditionnel. Ainsi, un écosystème est créé, bénéficiant à la fois aux investisseurs en quête de rendement et aux promoteurs souhaitant accéder à des sources de capitaux alternatives.

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Turquie : réduction des prévisions de croissance pour 2026

09. September 2025 um 14:36

La Turquie a revu à la baisse ses prévisions de croissance de son PIB, soulignant que le gouvernement privilégie la stabilité des prix à une croissance rapide.

Le nouveau programme à moyen terme présenté dimanche 7 septembre prévoit une croissance de l’économie de 3,3 % cette année et de 3,8 % l’année prochaine. Et ce, contre des prévisions de 4 % et 4,5 % respectivement l’année dernière, en Turquie.

L’estimation pour l’année prochaine est supérieure à celle médiane de 3,5 % d’une enquête Bloomberg auprès d’économistes. Mais elle reste bien inférieure au taux moyen d’environ 5 % enregistré au cours des deux dernières décennies. Pour beaucoup, c’est le signe que les décideurs politiques accordent la priorité à la réduction de l’inflation, qui est plus de six fois supérieure à l’objectif officiel de 5 %.

Cette approche prudente nécessitera probablement un assouplissement progressif des conditions monétaires de la part de la Banque centrale du pays. Laquelle a commencé à baisser ses taux d’intérêt en juillet dernier.

Par ailleurs, enrayer l’inflation sans plonger une économie de 1 400 milliards de dollars dans la récession s’est avéré une tâche difficile pour la Turquie. Les entreprises se plaignent que la hausse des coûts d’emprunt a pesé sur leurs bénéfices.

L’inflation devrait atteindre 28,5 % et 16 % en 2026. Soit une forte révision par rapport aux estimations de l’année dernière, qui s’élevaient respectivement à 17,5 % et 9,7 %. Les prévisions d’août de la Banque centrale de la Turquie estimaient l’inflation à fin 2025 entre 25 % et 29 %.

Le gouvernement a également revu à la hausse son déficit budgétaire, le prévoyant à 3,6 % du PIB. Le ministre du Trésor et des Finances, Mehmet Şimşek, a instauré de nouvelles taxes sur les ménages et les entreprises pour couvrir cette hausse des dépenses, en partie due à la vaste campagne de reconstruction en cours dans le sud-est du pays, après deux tremblements de terre dévastateurs qui ont frappé la région en 2023.

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