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Sept plages immaculées à découvrir cet été en Tunisie

27. Juni 2025 um 08:40

L’été en Tunisie, c’est la magie pure : plages cristallines, fruits de mer frais, activités variées et une multitude d’endroits où déconnecter ou explorer. Voici une liste des destinations que les Tunisiens et les voyageurs pourraient visiter cet été, proposées par le magazine spécialisé Scoop Empire.

Hammamet – Sur la côte du Cap Bon

Hammamet est l’une des stations balnéaires les plus populaires de Tunisie grâce à ses eaux calmes et propres, à son ancienne médina pleine de charme et à ses parcs aquatiques et clubs de plage accessibles à pied. Yasmine Hammamet abrite un quartier moderne avec des hôtels et une marina, mais la vieille ville est plus authentique et décontractée.

Djerba – L’île du Sud

Si vous aimez les journées tranquilles et paisibles, sous les palmiers, Djerba est faite pour vous. Cette île au large de la côte sud offre un mélange de cultures, que l’on ressent pleinement dans ses marchés et ses quartiers. Optez pour ses plages tranquilles, mais restez pour sa gastronomie, son architecture unique et son ambiance locale chaleureuse.

Sousse – Sur la côte Est

Sousse allie vie balnéaire et ambiance urbaine animée. Vous y trouverez de grandes plages de sable, une vieille ville classée au patrimoine mondial de l’Unesco et une vie nocturne animée en été. Que vous souhaitiez vous détendre, faire la fête ou explorer, Sousse offre des activités intéressantes à tous les voyageurs.

Port El Kantaoui – Juste au nord de Sousse

Non loin de Sousse, Port El Kantaoui est un quartier plus calme et plus élégant, conçu pour les vacances. Vous y trouverez des bateaux colorés, une jolie petite marina, des cafés de plage et un parcours de golf. Idéal pour les familles, il est idéal pour les promenades.

Tabarka – Près de la frontière algérienne

Tabarka a un visage différent : forêts, falaises et plages rocheuses. Elle est réputée pour la plongée sous-marine et ses festivals de musique. Si vous souhaitez changer des stations balnéaires traditionnelles et aimez la nature ou la musique live, le voyage vaut le détour.

Bizerte – Au nord-ouest de Tunis

Bizerte possède un magnifique vieux port, des plages simples et un mélange élégant d’architecture tunisienne et française. De plus, la ville est proche du parc national de l’Ichkeul, idéal pour une pause au vert.

La Marsa – Au nord-est de la Tunisie

La Marsa est le lieu de prédilection de nombreux Tunisiens pour échapper à la chaleur. Élégant sans être snob, il propose des cafés de plage, des espaces artistiques et des lieux où se détendre toute la journée. Idéal pour une escapade rapide si vous êtes déjà en ville.

Traduit de l’anglais.

Source : ScoopEmpire.

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Tunisie | 28 plages interdites à la baignade

Von: Yusra NY
25. Juni 2025 um 20:19

Le ministère de la Santé a publié la liste de 28 plages interdites à la baignade dans les gouvernorats de Tunis, Ben Arous, de l’Ariana et de Bizerte, pour cette saison estivale 2025.

Dans son communiqué, le ministère précise que dans le cadre du suivi de la qualité de l’eau de mer, ses services ont réalisé des opérations de contrôle sur 539 points le long du littoral.

Les résultats du mois de juin ont révélé que 71 % des plages tunisiennes sont de bonne qualité, ajoute la même source, en indiquant que 28 sites sont déclarés impropres à la baignade comme suit :

Gouvernorat de Tunis

  • Un point interdit : plage de la rue Bach Hamba à La Goulette.

Gouvernorat de Ben Arous :

  • À 100 m au sud de la plage Marouan (Radès),
  • En face du siège de la protection civile (Radès),
  • À 100 m au nord de l’embouchure de l’oued Meliane (Radès),
  • En face de l’embouchure de l’oued Maizet (Ezzahra),
  • À l’embouchure de l’oued Boukhamsa (Ezzahra),
  • En face de la rue Salsa Major (Hammam-Lif),
  • En face de la rue de la Méditerranée (Hammam-Lif),
  • En face du Casino (Hammam-Lif),
  • En face de la rue Habib Thameur (Hammam-Lif),
  • En face de la rue Aziza Othmana (Hammam-Lif),
  • Ancienne embouchure Echaâbia (Hammam-Lif),
  • À l’embouchure de l’oued Ayachia (Hammam-Lif).

Gouvernorat de l’Ariana :

  • À l’embouchure de la sabkha (Raoued),
  • Devant le centre d’élevage des chevaux d’Akrout (Raoued),
  • Au niveau du lotissement résidentiel (Raoued Plage),
  • À la Cité des juges (Raoued),
  • Au canal du Golfe (Raoued),
  • À 50 m au nord du canal du Golfe (Raoued).

Gouvernorat de Bizerte :

  • Plage de Jalta (Bizerte),
  • Plage Baâli (Menzel Jemil),
  • Port de pêche de Sidi Hachani (Menzel Abderrahmène),
  • Canal 1 de Zarzouna,
  • Canal 2 de Zarzouna,

Le ministère a appelé les citoyens à éviter la baignade dans ces zones, sachant que les opérations de contrôle se poursuivent tout au long de la saison estivale.

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Badeverbot 2025 an achtundzwanzig Stellen in Tunesien

Von: Redaktion
25. Juni 2025 um 17:24

Im Rahmen der Gesundheitsvorsorge unterliegen die Strände in Tunesien regelmäßigen Kontrollen. Das tunesische Gesundheitsministerium gab am Mittwoch, den 25. Juni 2025 bekannt, dass 28 Stellen Mehr

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À Bizerte, la guerre contre l’occupation illégale des plages continue

24. Juni 2025 um 13:51

Une vaste opération de contrôle menée mardi par les services de contrôle conjoints sur la plage de Ras Angela, dans la délégation de Bizerte Sud, a abouti à la rédaction de plus de 12 procès-verbaux, selon Maher Kcharem, chef du bureau régional de l’Agence de Protection et d’Aménagement du Littoral (APAL) à Bizerte.

Interrogé par le correspondant de la Radio tunisienne dans la région, Tarek Jebbar, le responsable a précisé que cette campagne s’inscrivait dans le cadre des activités de la commission régionale de surveillance des plages.

Lors de cette opération, plus de 30 chaises, 5 tables, 32 parasols et 40 cabanes en roseau ont été saisis. Plusieurs avertissements ont également été émis contre des contrevenants, les mettant en garde contre toute récidive.

Maher Kcharem a souligné que ces campagnes se poursuivent dans l’ensemble des zones côtières du gouvernorat de Bizerte et qu’elles viseront tant les détenteurs de licences que ceux qui occupent illégalement le domaine public maritime en violation des textes en vigueur.

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Alerte à Bizerte : la couleur de l’eau change, la chaleur de la mer favorise la prolifération des algues

23. Juni 2025 um 13:06
Alerte à Bizerte : la couleur de l’eau change, la chaleur de la mer favorise la prolifération des algues

Le ministère de l’Agriculture tunisien a annoncé, dans un communiqué officiel, que les premières mesures de terrain effectuées suite au phénomène de changement de la couleur de l’eau de mer à Ghar El Melh et à la prolifération des algues à Sidi Ali El Mekki, dans le gouvernorat de Bizerte au nord du pays, ont […]

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Ghar El Melh sous contrôle : Les premières infractions tombent

22. Juni 2025 um 09:44

Les équipes de contrôle régionales mixtes ont relevé 37 infractions ce samedi sur la plage de Ghar El Melh (gouvernorat de Bizerte), dans le cadre d’une vaste opération de surveillance menée à l’ouverture de la saison estivale.

Selon Sami Bejaoui, directeur régional du commerce, les infractions constatées se répartissent entre violations économiques – en grande majorité liées au non-affichage des prix – et infractions sanitaires. La campagne comprenait également des opérations de contrôle sécuritaire.

Cette action s’inscrit dans le cadre d’un programme spécial de contrôle visant à encadrer le démarrage de la saison balnéaire et à prévenir les dépassements dans les espaces commerciaux et touristiques installés en bord de mer. Elle a été menée par la direction régionale du commerce en coordination avec les services du gouvernorat, la délégation locale, la garde municipale, la zone maritime et l’Instance nationale de la sécurité sanitaire.

D’autres campagnes de contrôle seront intensifiées dans les jours à venir, couvrant toutes les plages du gouvernorat de Bizerte. Des sanctions administratives et juridiques sont prévues en cas de récidive, a précisé Bejaoui.

Par ailleurs, le responsable a assuré que toutes les dispositions ont été prises pour garantir l’approvisionnement des différentes zones en produits de base et de première nécessité, en prévision d’un afflux important de vacanciers dans le cadre du tourisme intérieur, ainsi que du retour des Tunisiens résidant à l’étranger.

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Start’ap II à Bizerte pour dynamiser l’entrepreneuriat innovant

22. Juni 2025 um 08:00

La dernière session de l’initiative Start’ap II s’est déroulée du 16 au 20 juin 2025, au Djazz Family Coworking Space, à Bizerte, à travers la Pépinière d’entreprises de l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (Apii), en collaboration avec Psynergy– Centre de réhabilitation et de développement personnel.

Lotfi Sahli

Depuis l’adoption du Startup Act en 2018, la Tunisie s’est engagée résolument dans la promotion de l’entrepreneuriat innovant. Ce cadre juridique novateur a suscité un vif intérêt chez les jeunes entrepreneurs, attirés par la possibilité d’obtenir le label officiel Startup Act et de bénéficier d’exonérations fiscales, d’aides au financement, ou encore de facilités administratives et douanières.

L’Apii, via son Réseau national des pépinières d’entreprises (RNPE), a lancé en 2023 l’initiative Start’ap II pour soutenir les porteurs de projets innovants.

Certifié SSO, le RNPE propose un accompagnement personnalisé en partenariat avec Tunisian Startups et Smart Capital. Le programme inclut formations, ateliers, et suivi individuel, aidant les entrepreneurs à constituer leur dossier pour le label Startup Act, à préparer leur demande de financement via l’outil Air et à accéder aux dispositifs d’appui disponibles.

Une session pilote

Depuis le lancement de la session pilote en mars 2023, Start’ap II s’est déployé dans toutes les régions du pays, apportant une dynamique nouvelle au tissu entrepreneurial local. La dernière en date, qui s’est déroulée à Bizerte, a profité à 15 participants.

Pendant la formation, les participants ont bénéficié d’un programme riche et ciblé, articulé autour de plusieurs thématiques clés essentielles à la maturation de leurs projets.

Parmi les sessions proposées, un accent particulier a été mis sur les instruments de financement dédiés aux startups, notamment l’outil Flywheel, permettant de mieux comprendre les mécanismes de levée de fonds adaptés aux jeunes entreprises innovantes.

Les porteurs de projets ont également exploré les spécificités du modèle économique d’un projet innovant, afin de structurer une offre viable, scalable et différenciante sur le marché. Une session interactive de design thinking orientée prototypage a permis de passer de l’idée à la matérialisation concrète d’une solution, en intégrant les retours utilisateurs dès les premières phases de conception.

La création de valeur

La formation a aussi accordé une place importante à l’aspect humain de l’entrepreneuriat, avec un atelier dédié à la gestion du stress, offrant des outils pratiques pour faire face aux pressions et incertitudes du parcours entrepreneurial.

Enfin, une session sur l’innovation a permis aux participants de mieux cerner les enjeux de la création de valeur dans un environnement en constante évolution. La session s’est clôturée dans une ambiance détendue et conviviale, marquée par la remise d’attestations de participation aux porteurs de projets. Ce moment symbolique a permis de valoriser l’engagement des entrepreneurs tout au long du programme et de renforcer leur sentiment d’appartenance à l’écosystème startup tunisien.

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Tunisie │ Les coûts des locations estivales par zone

20. Juni 2025 um 13:18

Avec 67 % de la demande, le Cap Bon s’impose comme la première destination des Tunisiens en matière de location estivale, selon la plateforme digitale spécialisée dans le secteur immobilier, Mubawab.

Pour ce qui est des appartements, Hammamet Nord concentre à elle seule 33% de la demande, suivie par la Cité El Wafa (23 %), indique la plateforme dans son guide consacré à la location estivale en 2025.

Les appartements S+1 les plus abordables s’y trouvent en moyenne à 135 D/nuit, notamment à Hammamet Sud, d’après ce guide qui s’est basé sur les annonces publiées entre juin 2024 et mai 2025 sur le portail, consolidées avec les données fournies par les agences immobilières partenaires.

Quant aux villas, Hammamet Nord reste en tête avec 40% des requêtes, loin devant Kélibia (16%), Yasmine Hammamet (14%) et Hammamet Sud (14%). Les villas avec piscine dominent le marché.

«En termes de segmentation, les logements S+1 et S+2 constituent le cœur de la demande locative, tandis que les villas avec piscine représentent le segment haut de gamme», indique Mubawab.  

À Hammam El Ghezaz, le marché locatif est plus spécifique : les logements de type S+1 y sont absents, et seuls les S+2 et S+3 génèrent une réelle activité.

Les loyers les plus élevés au Sahel

S’agissant du Sahel, il ne concentre que 13% des recherches nationales, mais il se distingue par des loyers parmi les plus élevés du pays.

El Kantaoui capte à lui seul 27 % des requêtes, suivi par Chott Meriem (17 %).

Les villas avec piscine dans cette région (El Kantaoui, Chott Meriem et Monastir Ville) affichent des tarifs culminant à 1750 D/nuit.

Pour les petits appartements, Mahdia Ville propose les options les plus économiques, avec des loyers à partir d’une moyenne de 170 D/nuit.

Le segment S+2 présente une large amplitude tarifaire, avec une moyenne de 450 DT/nuit à El Kantaoui, contre un ticket d’entrée de 280 D à Mahdia.

En ce qui concerne l’île de Djerba, elle présente un marché polarisé, avec 66% des recherches concentrées sur la seule zone touristique, loin devant Midoun (15 %) et Tezdaine (13 %).

Les villas avec piscine y affichent un tarif moyen de 620 D/nuit, pouvant atteindre des pointes à 1 250 DT (en fonction du standing et de la capacité d’accueil).

Les alternatives restent plus accessibles : Midoun abaisse la moyenne à 480 D, tandis qu’Aghir reste légèrement au-dessus avec une moyenne de 530 D.

Les villas sans piscine, quant à elles, sont proposées à des prix bien inférieurs (320 D en moyenne), mais elles suscitent nettement moins d’intérêt.

Bizerte reste encore peu prisée

S’agissant de Bizerte, elle reste encore peu prisée à l’échelle nationale, avec seulement 9% des recherches.

Bizerte Nord attire 71% des requêtes, suivi par Ras Jebel (18 %).

Les appartements se louent en moyenne entre 150 D/nuit au centre-ville et 180 D/nuit sur la côte au nord.

Les villas avec piscine y affichent également des prix moyens compétitifs : 750 D à Rafraf et 870 D à Bizerte Nord. Sans piscine, les loyers chutent entre 290 et 350 D.

L’enquête menée par Mubawab a également concerné les demandes des Tunisiens résidant à l’étranger. Il en ressort que ces derniers orientent, massivement leurs recherches vers trois destinations phares : Hammamet Nord, Djerba et Kélibia.

Leurs pays de provenance sont la France (34 %) et l’Algérie (29 %), suivies par l’Arabie saoudite, le Qatar, l’Italie et l’Allemagne.

Sur la plateforme, 67 % de la demande en matière de location estivale concernent les appartements, dont 31% ciblent des résidences avec piscine. La villa, de son côté, attire 28 % des utilisateurs, et parmi ceux-ci, 86% recherchent spécifiquement des villas avec piscine.

Du côté de l’offre, la répartition suit une tendance similaire : 52% des biens disponibles sont des appartements, contre 34% de villas, dont 82% disposent d’une piscine. En revanche, la villa sans piscine devient un bien rare, représentant seulement 18 % des annonces et 14% de la demande.

D’après Tap.

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Hammamet en tête des recherches de location d’été, les villas avec piscine très prisées

Von: walid
20. Juni 2025 um 10:27

Avec 67 % de la demande , le Cap Bon s’impose comme la première destination des Tunisiens en matière de location estivale, selon la plateforme digitale spécialisée dans le secteur immobilier, « Mubawab ».

Pour ce qui est des appartements, Hammamet Nord concentre à elle seule 33 % de la demande, suivie par la Cité El Wafa (23 %), indique la plateforme dans son guide consacré à la location estivale en 2025.

Les appartements S+1 les plus abordables s’y trouvent en moyenne à 135 D/nuit, notamment à Hammamet Sud, d’après ce guide qui s’est basé sur les annonces publiées entre juin 2024 et mai 2025 sur le portail, consolidées avec les données fournies par les agences immobilières partenaires.

Quant aux villas, Hammamet Nord reste en tête avec 40 % des requêtes, loin devant Kélibia (16%), Yasmine Hammamet (14%) et Hammamet Sud (14%). Les villas avec piscine dominent le marché.

« En termes de segmentation, les logements S+1 et S+2 constituent le cœur de la demande locative, tandis que les villas avec piscine représentent le segment haut de gamme. »

À Hammam El Ghezaz, le marché locatif est plus spécifique : les logements de type S+1 y sont absents, et seuls les S+2 et S+3 génèrent une réelle activité.

 Le Sahel affiche les loyers les plus plus élevés 

S’agissant du Sahel, il ne concentre que 13 % des recherches nationales, mais il se distingue par des loyers parmi les plus élevés du pays.

« El Kantaoui » capte à lui seul 27 % des requêtes, suivi par « Chott Meriem » (17 %).

Les villas avec piscine dans cette région (El Kantaoui, Chott Meriem et Monastir Ville) affichent des tarifs culminant à 1750 D/nuit.

Pour les petits appartements, Mahdia Ville propose les options les plus économiques, avec des loyers à partir d’une moyenne de 170 D/nuit.

Le segment S+2 présente une large amplitude tarifaire, avec une moyenne de 450 DT/nuit à El Kantaoui, contre un ticket d’entrée de 280 D à Mahdia.

En ce qui concerne l’île de Djerba, elle présente un marché polarisé, avec 66 % des recherches concentrées sur la seule zone touristique, loin devant Midoun (15 %) et Tezdaine (13 %).

Les villas avec piscine y affichent un tarif moyen de 620 D/nuit, pouvant atteindre des pointes à 1 250 DT (en fonction du standing et de la capacité d’accueil).

Les alternatives restent plus accessibles : Midoun abaisse la moyenne à 480 D, tandis qu’Aghir reste légèrement au-dessus avec une moyenne de 530 D.

Les villas sans piscine, quant à elles, sont proposées à des prix bien inférieurs (320 D en moyenne), mais elles suscitent nettement moins d’intérêt.

S’agissant de Bizerte, elle reste encore peu prisée à l’échelle nationale, avec seulement 9 % des recherches.

Bizerte Nord attire 71 % des requêtes, suivi par Ras Jebel (18 %).

Les appartements se louent en moyenne entre 150 D/nuit au centre-ville et 180 D/nuit sur la côte au nord.

Les villas avec piscine y affichent également des prix moyens compétitifs : 750 D à Rafraf et 870 D à Bizerte Nord. Sans piscine, les loyers chutent entre 290 et 350 D.

L’enquête menée par « Mubawab » a également concerné les demandes des Tunisiens résidant à l’étranger. Il en ressort que ces derniers orientent, massivement leurs recherches vers trois destinations phares : Hammamet Nord, Djerba et Kélibia.

Leurs pays de provenance sont la France (34 %) et l’Algérie (29 %), suivies par l’Arabie saoudite, le Qatar, l’Italie et l’Allemagne.

Sur la plateforme, 67 % de la demande en matière de location estivale concernent les appartements, dont 31% ciblent des résidences avec piscine . La villa, de son côté, attire 28 % des utilisateurs, et parmi ceux-ci, 86 % recherchent spécifiquement des villas avec piscine.

Du côté de l’offre, la répartition suit une tendance similaire : 52 % des biens disponibles sont des appartements, contre 34 % de villas, dont 82 % disposent d’une piscine. En revanche, la villa sans piscine devient un bien rare, représentant seulement 18 % des annonces et 14 % de la demande.

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Sur les traces de l’histoire et du patrimoine de Bizerte

20. Juni 2025 um 07:37

Pour évoquer l’évolution historique d’une ville et les différentes composantes de son patrimoine, trois formats sont généralement choisis pour les publications : la monographie, l’article qui aborde un sujet précis et les actes d’une rencontre scientifique. S’inscrivant hors de ces traditions, un livre, paru récemment chez Nirvana (en coédition avec l’Association de Sauvegarde de la Médina de Bizerte) aborde le passé de Bizerte et son patrimoine matériel et immatériel selon un format original, celui de la mise ensemble de contributions apportées par de nombreux auteurs, à maintes occasions très étalées dans le temps.

Houcine Jaïdi *

A cette particularité de la genèse de l’ouvrage s’ajoutent d’autres caractéristiques dont le cadre de la présentation initiale des travaux.

L’ouvrage, publié en arabe, au mois d’avril dernier, a pour titre ‘’Bizerte, l’histoire et le patrimoine’’. Le sous-titre indique qu’il s’agit de textes revus et introduits par le Pr Noureddine Dougui, universitaire spécialiste de l’histoire contemporaine de la Tunisie, qui avait déjà signé, il y a 25 ans, avec trois autres auteurs, un ouvrage publié par l’ASM de Bizerte.**

Un fruit remarquable du travail associatif

Dans le nouveau livre, le lecteur trouve 49 contributions signées par 27 auteurs parmi lesquels 12 ont plus d’une étude dans l’ouvrage. De ce point de vue, la palme revient au regretté Hédi Bouaita dont les six textes témoignent, de nouveau et à titre posthume, de sa brillante contribution à l’étude et à la documentation des monuments historiques de Bizerte et de sa trame urbaine.

Tous les textes réunis dans l’ouvrage sont des contributions aux rencontres annuelles organisées par l’ASM de Bizerte, depuis 1987, avec une régularité qui ne s’est pas démentie jusqu’en 2010 et qui a repris depuis 2022 après une longue interruption due aux aléas de la vie politique nationale et locale. Ils ont pour objets l’histoire et le patrimoine de la ville, matériel surtout mais aussi immatériel, pour une part moindre. Si toutes les participations aux assises annuelles dédiées par l’ASM à l’histoire de la ville n’ont pas été publiées dans l’ouvrage, celui-ci n’en constitue pas moins un florilège hautement instructif.

Avec cet ouvrage, l’ASM de Bizerte, fondée en 1979, assurera, sans doute, une meilleure diffusion à des textes précieux qui n’avaient été publiés que dans le cadre de brochures à diffusion surtout interne. Le mérite n’est pas mince tant les études et les témoignages sont de bonne facture et souvent très originaux de par les sources qu’ils mobilisent ou les approches qui les distinguent. Il s’ajoute à d’autres actions remarquables de l’ASM dont, par exemple, le réaménagement des aquariums abrités par le fortin de Sidi El Henni, avec toujours, en filigrane, un clin d’œil pour le lien viscéral de la ville avec la mer.

A l’échelle nationale, ces actions s’inscrivent dans le mouvement engagé, avec plus ou moins de bonheur mais toujours louable, des ASM, depuis la création de celle de Tunis en 1967, dans le double but de préserver et de mettre en valeur le patrimoine (jusqu’à son inscription au patrimoine mondial, dans certains cas) d’une part et de se l’approprier d’autre part face au pouvoir tentaculaire des autorités centrales. L’effort assidu de l’ASM de Bizerte est d’autant bienvenu que le patrimoine monumental de la vieille ville, comme celui de la ville moderne, est, mis à part quelques exceptions, n’a pas les faveurs des institutions officielles en charge des biens culturels.

Il est à noter qu’une autre planche de salut vient d’être offerte au patrimoine de la ville par l’Armée nationale qui a inauguré, à Bizerte, il y a près de deux ans, un Musée de la Marine Tunisienne, très riche en objets et en documents dont beaucoup intéressent le patrimoine maritime de Bizerte et de sa région. Ce joyau, original jusqu’au cadre insolite qui l’héberge, a comblé l’absence incompréhensible et indéfendable de musées (de quelque nature que ce soit) dans la ville de Bizerte qui était, à cet égard, un cas assez singulier, compte tenu de la concentration incessante des musées tout le long du littoral tunisien, particulièrement bien doté en la matière par rapport aux régions intérieures du pays.

L’économie de l’ouvrage, reflet de plusieurs considérations

Noureddine Dougui a judicieusement organisé l’ouvrage en 11 sections dont chacune regroupe de 3 à 6 contributions qui embrassent divers aspects de l’évolution historique de la ville, à travers les âges, en considérant le peuplement, l’économie, l’équipement monumental et la contribution des Bizertins au mouvement national, à la vie syndicale et à la bataille qui a conduit à l’Évacuation des forces armées françaises en 1963. Par son introduction et sa conclusion très éclairantes ainsi que par la riche illustration très souvent inédite qu’il a réunie, l’historien a apporté des contributions essentielles qui s’ajoutent aux études qu’il a signées.

Toutes les époques historiques sont traitées dans l’ouvrage. Mais le lecteur relève, de prime abord, que la Préhistoire n’a pas été abordée. Cela ne signifie évidemment pas que la région de Bizerte n’a pas livré des vestiges préhistoriques. Des vestiges de cette catégorie ont d’abord été répertoriés dans les deux séries de l’Atlas Archéologique de la Tunisie dont la publication s’est étalée de 1882 à 1932. En 1985, l’un des premiers fascicules de cet Atlas a été consacré à la région de Bizerte où 35 gisements ont été répertoriés y compris dans les environs immédiats de la ville. La primauté chronologique de la région en matière d’actualisation des données s’est confirmée, de nouveau, avec la publication, en 1998, de la première notice de La Carte Nationale des Sites et des Monuments Historiques, consacrée à la zone de l’Oued Sejnane.

Mais, comme tous les sites qui ont connu une occupation humaine continue et marquée de surcroît par de nombreuses destructions/reconstructions, la ville de Bizerte n’a pas révélé aux archéologues des témoignages conséquents remontant aux temps préhistoriques. Il n’en reste pas moins qu’une présentation (souhaitable dans de futures publications de l’ASM), de l’ensemble des données qui concernent la Préhistoire de la région de Bizerte éclairera l’occupation humaine d’avant les Phéniciens.

Dans l’ouvrage, la revue du passé de la ville s’arrête à l’Évacuation de Bizerte par les troupes françaises le 15 octobre 1963. Ainsi, l’histoire contemporaine de la ville n’a pas été traitée pour la durée de deux générations suivantes. Ce choix rappelle celui qui a été retenu pour l’ouvrage publié en 2000. Assurément, il s’explique, dans les deux cas, d’abord par la rareté de la documentation accessible mais aussi par le manque de recul nécessaire au travail serein de l’historien. Ces deux contraintes devraient s’estomper avec le temps, ce qui ouvrira la porte à des études s’intéressant au passé proche et pourquoi pas au temps présent examiné à la loupe des historiens.

Sur les 49 contributions publiées dans l’ouvrage, l’Antiquité, qui représente près de la moitié de l’histoire générale de la Tunisie, n’est représentée que par 4 textes soit moins de 10% du total. Cette portion congrue s’explique largement par la destruction des vestiges antiques, leur ensevelissement sous les couches postérieures du bâti ou leur remploi surtout lorsqu’il s’agit de pierre de taille ou d’éléments réutilisés dans le décor architectonique de certains monuments de l’époque islamique.

Il est vrai aussi que les textes anciens (littéraires et épigraphiques) et les vestiges antiques préservés (découverts, pour la plupart, fortuitement, lors des grands travaux entrepris à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle) sont, malgré l’originalité et la grande importance de certains documents, rares au total. Mais de nouvelles découvertes archéologiques ne sont pas à exclure.

Une ville qui compte parmi les premières fondations phéniciennes du pays, puis colonie romaine depuis l’époque de Jules César, soit donc l’une des plus vielles créations urbaines de la Tunisie à l’époque romaine, puis grand port d’exportation à la même époque comme en témoigne une mosaïque de la Place dite des Corporations à Ostie, l’avant-port de la Rome antique, devait être dotée de monuments en rapport avec sa taille qui ne devait pas être négligeable.

Malgré toutes les destructions subies, certains monuments antiques pourraient avoir gardé des traces lisibles dans les couches profondes du sol de la ville. Seule la recherche archéologique préventive, dûment conduite, permettrait la mise au jour de ces traces archéologiques.

Par ailleurs la prospection méthodique des fonds marins tout le long du littoral bizertin ne manquera pas de révéler de nombreux témoignages des activités maritimes qu’il a connues pendant plusieurs millénaires. Mais force est de constater que l’archéologie préventive (qui est aux antipodes des découvertes fortuites) et les recherches archéologiques subaquatiques qui ont permis, sous d’autres cieux, de réaliser des découvertes aussi nombreuses que décisives, sont encore embryonnaires dans notre pays pour des raisons qui tiennent aux ressources humaines et matérielles mais aussi aux cadres organisationnels.

Avec 4 contributions, l’histoire médiévale n’est pas mieux lotie que l’histoire ancienne. Cette proportion, qui s’explique largement par la rareté des sources, reflète la marginalisation de la ville après la conquête arabe. Mais pour le Moyen-Âge, l’archéologie préventive pourrait révéler de nouveaux documents.

Une multitude de monuments et la richesse de la documentation littéraire, épigraphique et archivistique expliquent la part prise, dans l’ouvrage, par les époques moderne et contemporaine qui totalisent respectivement 15 et 26 études. Mais ces nombres sont à attribuer aussi au développement particulier, pour l’ensemble de la Tunisie, des études relatives aux deux époques. Ajoutons que, pour l’époque contemporaine, les perspectives d’étude sont potentiellement bien grandes. Tel est le cas, par exemple, de l’étude du bâti (original et fragilisé) de l’époque du Protectorat peu présente dans l’ouvrage alors qu’elle connaît en Tunisie, depuis quelques décennies, un développement remarquable, particulièrement pour ce qui concerne la ville de Tunis. Ce nouvel engouement est nourri par la conviction que le patrimoine de l’époque du Protectorat français est tout autant tunisien que celui de toute autre époque et qu’il est aussi chargé de mémoire post-coloniale.  

La mer, naturellement au centre du livre

De l’Antiquité à l’époque contemporaine, les études regroupées dans le livre promènent le lecteur dans des sujets très variés mais où la mer est toujours présente, souvent de manière directe et pour le moins en arrière-plan qui explique l’histoire et le patrimoine dans ses différentes composantes. Faut-il s’en étonner quand on sait à quel point l’histoire de Bizerte a été étroitement liée aux activités maritimes tant civiles que militaires ?

Du choix du site par les Phéniciens jusqu’à l’aménagement des bases navale et aérienne ainsi que la création de l’Arsenal sous le Protectorat français, en passant par les descriptions émerveillées des géographes et des voyageurs arabes, le duel hispano-ottoman du XVIe siècle, l’apogée de la course au XVIIe et la curiosité souvent intéressée des voyageurs européens, la mer et l’exceptionnel système lacustre commandé par Bizerte ont constitué, pour la ville, un ancrage essentiel.

Comme pour sceller, dès le départ et à jamais, le rapport organique entre la ville et le milieu aquatique, le nom antique de la ville, Hippo Diarrhytus dont découle son appellation depuis le Moyen Âge, précisait dans sa deuxième composante (qui est grecque, occurrence rarissime dans la toponomie antique de la Tunisie) que la ville était «traversée par les flots» dans une allusion claire au canal à deux branches qui la reliait au Lac de Bizerte.

Si ce lien fort entre Bizerte et la mer, appuyé dans l’Antiquité par la fameuse légende du dauphin, peut se retrouver ailleurs en Tunisie, certaines particularités sont typiquement bizertines, comme le souligne Noureddine Dougui dans la conclusion de l’ouvrage. Dans ce même cadre, l’historien a souligné le fait que les activités maritimes qui ont tant donné à Bizerte n’ont pas, pour des raisons bien expliquées, engendré une capitalisation locale des richesses, qui aurait pu donner naissance à des élites socio-économiques de poids.

A ces considérations s’ajoute le fait que Bizerte a, depuis l’Antiquité, très probablement pâti de la concurrence de centres urbains non éloignés tels que Utique si importante durant l’histoire ancienne et les villes du «Sahel de Bizerte» (Ghar El Melh, Rafraf et Ras Jebel) satellisées par Tunis depuis l’époque moderne.

Pour la publication de ce beau et bon livre, les mérites de l’ASM de Bizerte, du Pr. Dougui et des Éditions Nirvana sont aussi évidents que louables. Mais s’il est donné à l’ouvrage de connaître une deuxième édition, le lecteur appréciera la contextualisation des communications en rappelant la date où elles ont été présentées pour la première fois, la confection d’indices (noms propres, noms géographiques et matières) qui faciliteront l’exploitation du contenu de l’ouvrage. Une meilleure valorisation de la richissime documentation photographique nécessitera l’utilisation, au moins partielle, d’un papier au grammage adéquat. 

Comme tous les savoirs scientifiques, la connaissance historique progresse surtout par les apports cumulés grâce aux recherches limitées à des sujets précis, qui permettent, le moment venu, d’élaborer de vastes synthèses.

Nul doute que l’ouvrage, qui est l’objet de ces lignes, constitue, autant par les résultats qu’il offre aux lecteurs que par les nombreux questionnements qui y sont formulés ici et là, une contribution majeure à la quête du long passé de Bizerte et des composantes de son riche patrimoine matériel et immatériel.

* Historien universitaire.

** Noureddine Dougui, Hédi Bouaita, Abdelouahed Braham et Mourad Ben Jaloul, Bizerte, identité et mémoire, Bizerte, Association de Sauvegarde de la Médina de Bizerte, 2000. Une traduction en arabe de l’ouvrage, signée par Hamadi Sahli, a été publiée en 2006.

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Le 1er semi-marathon de Bizerte sous le signe de la ferveur populaire

18. Juni 2025 um 07:49

Dimanche 15 juin 2025, Bizerte a vibré au rythme de son premier semi-marathon, un événement qui a marqué un tournant dans l’histoire sportive de la région. Et qui s’est déroulé dans une ambiance de ferveur populaire.

Lotfi Sahli 

Dès l’aube, plus de 1600 coureurs, venus de toute la Tunisie mais aussi d’Algérie, du Maroc, de France, du Portugal et d’Allemagne, ont convergé vers le Jardin de Sidi Salem, point de départ de trois courses distinctes : le semi-marathon de 21 km, une course accessible à tous de 5 km et une épreuve destinée aux enfants sur un kilomètre. 

La diversité des participants, hommes, femmes, enfants, seniors et personnes à mobilité réduite, a illustré la dimension inclusive de la manifestation.

Le coup d’envoi a été donné par le gouverneur de Bizerte, entouré d’officiels et sous une sécurité renforcée, donnant le ton à une matinée placée sous le signe du dépassement de soi et de la convivialité.

L’ambiance festive a été assurée par l’animateur Anis Mabrouki, le DJ Black et le talentueux musicien Anis Gharbi tandis que saxophonistes et troupes folkloriques ont rythmé le parcours, galvanisant les coureurs à chaque étape. Des points de ravitaillement stratégiquement disposés ont permis aux athlètes de tenir la distance.

Au terme des épreuves, près de 50 trophées et de nombreux cadeaux ont récompensé les lauréats, les officiels, les sponsors et les associations partenaires.

Derrière ce succès, une mobilisation sans faille du comité d’organisation, du Running Club Bizerte, des scouts, du Croissant-Rouge, des associations locales, des forces de l’ordre et de la municipalité.

Ce premier semi-marathon restera gravé dans la mémoire collective de Bizerte, symbole d’un esprit sportif fédérateur et d’un enthousiasme populaire rarement égalé dans la région.

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Eurasischer Fischotter in Tabarka und Sejnane nachgewiesen ( Video)

Von: Redaktion
26. Januar 2025 um 21:50

Die tunesische Vereinigung für Wildtiere bezeichnete es als „seltenes Ereignis“, dass die Sichtungen des Eurasischen Fischotter sowohl in „Qar’at Sejnane“ durch eine Wildbeobachtungskamera, als auch Mehr

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L’appel du Forum mondial de la Mer de Bizerte pour un tourisme éco-responsable


Pour sauver la Méditerranée de la pollution, le Forum mondial de la Mer réuni à Bizerte a, entre autres, appelé les acteurs touristiques à adopter une approche éco-responsable dans le développement de leur secteur et leurs activités.

Le danger du réchauffement climatique est imminent pour la mer méditerranéenne nécessitant des  actions urgentes afin de sauver le bassin méditerranéen et la vie de plus de 500 millions de personnes habitant sur les deux rives, sud et nord.

La 7ème édition du Forum mondial de la Mer qui s’est réunie le 13 septembre 2024 à Bizerte s’est donnée pour mission d’élaborer un agenda d’urgence, ambitieux et pragmatique, pour « Sauver la Méditerranée ».

Plus de soixante-dix experts représentant une dizaine de pays méditerranéens et des responsables de la Commission européenne ont été au rendez-vous. Après une laborieuse journée de travail en débats et en échanges, ils ont établi une liste de recommandations qui sera adressée aux organisateurs de la Conférence Océan des Nations Unies(UNOC3), qui se tiendra à Nice, en juin 2025.

Sauver la Méditerranée

Rym Benzina, présidente de la Saison bleue et directrice du Forum de la Mer de Bizerte, a déclaré à cette occasion que cette année, les participants ont choisi de relier les deux rives parce que l’organisation de la Conférence des Nations Unies sur l’océan aura lieu à Nice en 2025.L’événement a été donc l’occasion pour exposer les recommandations à adresser à l’UNOC3.

Baptisée « De Bizerte à Nice, un chemin pour restaurer la Méditerranée », cette édition a été consacrée à la conception de solutions pour la Méditerranée qui subit les conséquences du changement climatique.

Les experts invités ont ainsi exposé leur vision par rapport à la biodiversité et ont apporté leurs solutions pour lutter contre la pollution. Ils ont également mis en exergue l’importance de la science pour l’océan et le sujet de l’économie bleue durable.

Ils ont proposé, entre autres, des idées autour du tourisme, de la pêche, du transport maritime, etc.

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Construire des ponts avec l’Europe

« Nous portons aujourd’hui nos recommandations à l’UNOC3  pour dire que sur la rive sud, les choses ne sont pas pareilles. Nous subissons les conséquences du réchauffement climatique et son impact sur la Méditerranée alors que nous ne sommes pas les acteurs. Nous essayons de porter notre voix et de construire des ponts avec l’Europe pour avoir des financements par ce que les actions pour restaurer les écosystèmes sont coûteuses », a-t-elle indiqué.

Tourisme éco-responsable

Outre les actions de protection de la biodiversité proposées, les panelistes ont appelé à travailler sur le changement des mentalités et la sensibilisation du citoyen. « Nous pourrons aller, par exemple, dans des solutions comme le repérage des ressources des déchets plastiques. De cette façon, nous pourrons collaborer avec les pays voisins afin de s’immuniser contre ce fléau », a proposé la présidente de la Saison bleue.

Quant au secteur du tourisme, il est important de travailler sur les mentalités et le changement des habitudes vers un comportement éco-responsable.

Elle a proposé, à titre d’exemple, de ne pas consommer les poissons hors de la période de la pêche de chaque espèce et de mettre en place des systèmes de contrôle d’eau et d’énergie dans les établissements hôteliers afin d’arrêter le gaspillage et de rationaliser la consommation.

Un programme de 1 milliard d’euros

Pascal Lamy, président du Forum de la Mer de Bizerte, a de son côté souligné l’importance d’aborder la question de la pollution de la Méditerranée par les deux rives et d’impliquer le Forum de la mer de Bizerte dans le programme de régénération des écosystèmes marins, Starfish. Celui-ci se déroule du 2020 à 2030 avec une enveloppe totale d’un milliard d’euros dont l’essentiel va à des programmes de recherche et d’innovation.

« L’objectif est de régénérer l’hydrosphère européenne d’ici 2030 en traitant le problème de la pollution en Méditerranée », a-t-il expliqué.

Les intervenants ont aussi conclu que la tropicalisation de la Méditerranée résultant du changement climatique accentue l’urgence de dépasser la fragmentation actuelle de la gouvernance océanique.

Cela nécessite d’initier un processus de maïeutique pour que naissent dans les prochains mois des engagements forts pour l’océan et pour la Méditerranée. Ils ont appelé donc à initier des projets pragmatiques et efficaces mobilisant à la fois les autorités locales, les villes, le secteur privé et celui académique, les gouvernements et les communautés pour avancer vers des solutions concrètes pour la sauvegarde de la biodiversité et la restauration des écosystèmes.

Ils ont également considéré que la mobilisation des connaissances scientifiques et le renforcement des éducations sur les enjeux maritimes seront des piliers cruciaux permettant de transformer la Méditerranée en une université ouverte et en un espace d’engagement.

En matière de connaissances numériques et de gestion des données, le partage et la collecte des données  vont offrir aussi des outils précieux pour une meilleure compréhension et une action plus coordonnée face aux défis environnementaux et socioéconomiques.

KC

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Forum mondial de la mer Bizerte 2024 pour «sauver la Méditerranée»

Alors que la Méditerranée a connu en cet été 2024 des épisodes de réchauffement aussi inédits que dramatiques, la 7ème édition du Forum mondial de la Mer se réunira ce 13 septembre 2024 à Bizerte (Tunisie) et se dédiera totalement à un agenda d’urgence, ambitieux et pragmatique, pour « sauver la Méditerranée ».

Plus de soixante-dix experts représentant une dizaine de pays méditerranéens et des responsables de la Commission européenne, proposeront un agenda Méditerranée 2030 aux organisateurs de la Conférence Océan des Nations Unies(UNOC3), qui se tiendra à Nice, en juin 2025.

Avec l’ambition de faire à Nice pour la Méditerranée avec l’UNOC3 ce qui a été fait dix ans plus tôt à Paris pour le climat avec la COP21, les organisateurs et participants au Forum mondial de la Mer publieront un manifeste à l’intention des Nations Unies. «  Adressé aux Nations Unies réunies à Nice en 2025, l’Appel de Bizerte pour sauver la Méditerranée sera l’expression des voix du Sud d’une mer en voie de disparition accélérée », annonce Rym Benzina, directrice du Forum mondial de la Mer de Bizerte et présidente de La Saison Bleue.

Créé en 2018 à Bizerte, le Forum mondial de la Mer, présidé par Pascal Lamy, est le seul rendez-vous dédié à l’océan au sud de la Méditerranée.

Dans le même sillage, et sous l’impulsion de Rym Benzina, présidente de la Saison Bleue, et de l’Académie du Royaume du Maroc, la seconde édition du Blue Africa Summit se tiendra également à Tanger le 10 octobre 2024 et proposera de son côté l’agenda 2030 du continent africain aux organisateurs de l’UNOC3.

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Badeverbot 2024 an achtundzwanzig Stränden in Tunesien

Von: Redaktion
06. Juni 2024 um 14:56

Im Rahmen der Gesundheitsvorsorge unterliegen die Strände in Tunesien regelmäßigen Kontrollen. Im Sommer besteht das Badeverbot 2024 an achtundzwanzig Stränden (2023, 29 Strände; 2022, 21 Mehr

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Bizerté: Einweihung des neuen Unterseekabels Ifriqiya

Von: Redaktion
07. März 2024 um 16:00

Beamte des Ministeriums für Kommunikationstechnologie und Vertreter des privaten Mobilfunkanbieters Ooredoo Tunesien haben am Mittwoch, den 6. März 2024, in der Ortschaft Ain Meriem in Mehr

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Utica: Von der Hafenstadt zu einer archäologischen Stätte im Landesinneren

Von: Redaktion
01. Januar 2024 um 18:12

Haben Sie sich jemals gefragt, warum die ehemalige Stadt Utica zwischen der Hauptstadt Tunis (30 km) und Bizerté (20 km), die zur karthagischen Zeit vor Mehr

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