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Tabarka : des volontaires unis pour nettoyer et préserver la beauté naturelle de la région

10. Mai 2025 um 23:42
Tabarka : des volontaires unis pour nettoyer et préserver la beauté naturelle de la région

Des volontaires ont lancé, ce samedi 10 mai 2025, une vaste campagne de nettoyage dans la délégation de Tabarka, relevant du gouvernorat de Jendouba. Cette initiative vise les points noirs situés à l’intérieur de la ville ainsi qu’à ses entrées. Les participants ont procédé à l’enlèvement des amas de poussière en bordure des routes, à […]

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Hakim Tounsi │ «La Tunisie doit reprendre la main sur son destin touristique»

07. Mai 2025 um 13:30

Nous publions ci-dessous un entretien avec l’économiste, dirigeant fondateur d’Authentique International à Paris, qui analyse les évolutions de l’industrie, les retards enregistrés par les opérateurs tunisiens dans ce domaine et les moyens de les rattraper pour remettre la destination Tunisie dans les radars des voyagistes et des voyageurs.

Propos recueillis par Imed Bahri

Kapitalis : Vous êtes l’un des observateurs attentifs de l’évolution du tourisme tunisien depuis Paris. Quelle est, selon vous, la principale transformation à laquelle le secteur est aujourd’hui confronté ?

Hakim Tounsi : Le changement majeur, c’est la disparition progressive du modèle «TO-charter» au profit du «package dynamique». Aujourd’hui, les voyageurs veulent de la souplesse, de la réactivité, et surtout de la personnalisation. Avec les outils numériques, ils composent leur voyage à la carte, en ligne, souvent à partir des résultats proposés par des plateformes comme Google Flights, Booking.com ou Expedia.

Ce basculement bouleverse les codes : ce n’est plus le voyagiste qui maîtrise le parcours client, mais le client lui-même, guidé par ce qu’il voit en premier sur les moteurs de recherche. Cela impose une refonte complète de la stratégie touristique tunisienne : il faut redevenir visible là où les décisions se prennent désormais, c’est-à-dire sur les plateformes digitales.

Quels leviers concrets proposez-vous pour accompagner cette mutation ?

Il faut agir vite et de manière ciblée. Le premier levier, c’est l’accessibilité aérienne, surtout en haute saison. Chaque été, la hausse des prix des billets d’avion – principalement en raison du retour massif des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) – rend la destination Tunisie moins attractive pour les touristes internationaux. Je propose donc que Tunisair mette en place, de façon ponctuelle, des vols gros porteurs loués en ACMI (avec équipage), notamment début juillet et fin août. Cela permettrait d’absorber une partie du trafic TRE tout en stabilisant les prix. Et cela peut être financé par les ventes anticipées, donc sans solliciter de budget public immédiat. Ce type de dispositif a déjà été testé avec succès en 2006.

Un autre levier, très opérationnel et à coût quasi nul, serait d’autoriser temporairement la cinquième liberté pour les compagnies aériennes étrangères opérant des vols affrétés par les tour-opérateurs français. Cela signifie que, par exemple, une compagnie tchèque ou polonaise qui affrète un avion de son pays d’origine vers Djerba, pourrait ensuite réaliser un vol aller-retour entre la Tunisie et la France. De la même manière, la Tunisie pourrait profiter de toute la capacité aérienne de l’Europe de l’Est qui opère au départ des aéroports français dans le cadre de l’Open Sky européen. C’est une mesure qui permettrait aux TO de mieux négocier leurs plans de vol, d’augmenter les capacités disponibles, et surtout de lutter contre la hausse tarifaire estivale devenue structurelle. Mais pour être efficace, cette autorisation doit être annoncée très en amont, afin que les TO puissent intégrer la Tunisie dans leurs plannings sans craindre des refus de trafic de dernière minute. C’est une solution rapide, efficace, et conforme aux pratiques de nombreux pays concurrents de la Méditerranée.

Vous évoquez aussi un Fonds de soutien à la connectivité touristique. De quoi s’agit-il ?

C’est un outil stratégique. La Tunisie est aujourd’hui mal connectée sur le plan régional. Si vous voulez aller à Tozeur ou Tabarka, les options aériennes sont très limitées, voire inexistantes. Le Fonds de soutien à la connectivité touristique (FSCT) permettrait de soutenir financièrement des lignes vers ces aéroports secondaires, en s’appuyant sur un montage public-privé : une base symbolique apportée par l’ONTT, des contributions volontaires d’acteurs privés (hôteliers, agences, TO), et un effet levier via des financements européens ou internationaux.

Plus concrètement, ce fonds pourrait être alimenté par des subventions publiques du Ministère du Tourisme et de l’ONTT, une réaffectation partielle de la taxe de séjour locale, des contributions volontaires des professionnels du secteur (groupes hôteliers, agences, fédérations régionales), une éco-contribution intégrée au prix des packages touristiques ou billets d’avion, et surtout, par des guichets internationaux tels que l’Union Européenne (ENI CBC Med, Interreg Next Med), la Banque Mondiale, la BAD ou la Berd.

L’objectif est double : dynamiser le tourisme régional tout en soutenant les économies locales. En finançant l’ouverture ou le maintien de lignes stratégiques, ce fonds permettrait aussi aux compagnies aériennes de prendre moins de risques commerciaux en desservant des destinations moins rentables à court terme mais cruciales pour le développement équilibré du tourisme tunisien. Ce serait aussi un puissant levier d’attractivité pour les investisseurs hôteliers et les tour-opérateurs qui souhaitent diversifier leurs offres.

Vous parlez beaucoup de Tozeur comme territoire pilote. Pourquoi ce choix ?

Je parle de Tozeur mais je parle aussi de Tabarka, du Nord-Ouest tunisien, des régions emblématiques du potentiel inexploité. Il y a une histoire, un patrimoine naturel exceptionnel, une identité forte, mais aujourd’hui tout est à l’arrêt ou presque. Une dizaine d’hôtels restent fermés à Tozeur. Pourtant, l’aéroport fonctionne, et des compagnies comme Transavia opèrent déjà deux vols hebdomadaires depuis Paris. Si on relance un peu plus de connectivité – notamment depuis Lyon ou Nice voire Madrid ou Berlin – et qu’on accompagne les hôteliers pour la réouverture progressive des établissements, on peut recréer une dynamique en deux ou trois ans.

Il faut coordonner tout cela avec une vraie campagne de promotion et d’activation des réseaux de distribution, en particulier les agences de voyages et les OTA. C’est faisable, mais il faut avec la volonté politique un minimum de pilotage.

L’expérience de Tozeur doit être rapidement rééditée à Tabarka, une région magnifique avec des infrastructures presque totalement à l’arrêt souffrant de l’absence totale de connectivités aériennes directe.

Justement, vous insistez aussi sur les OTA et le digital. La Tunisie a-t-elle raté le virage ?

Le constat est sans appel : la Tunisie souffre d’un manque voire d’absence de visibilité sur les grandes plateformes en ligne. Sur Booking.com, par exemple, aucune ville tunisienne ne figurait dans le Top 10 des destinations recherchées par les Français pour les vacances de Pâques 2025. Pendant ce temps, Marrakech ou les Canaries raflent la mise.

Le digital, aujourd’hui, c’est le nerf de la guerre. Il faut des campagnes sponsorisées, des accords avec les OTA, mais aussi une mobilisation des réseaux d’agences traditionnelles, qui gardent un vrai pouvoir de prescription. Des réseaux comme Selectour, TourCom, Havas Voyages ou le Cediv en France, peuvent être nos meilleurs alliés. Mais cela suppose une stratégie concertée, cofinancée, entre l’ONTT, les opérateurs privés et les distributeurs. C’est cela, la nouvelle diplomatie économique et marketing.

En conclusion, quel est votre message aux décideurs du tourisme tunisien ? Le monde a changé, et nous devons en prendre acte. Le tourisme tunisien dispose de ressources considérables : une position géographique idéale, une culture accueillante, une diversité d’expériences. Mais nous devons changer de posture. Cela passe par une vision claire, des dispositifs simples, et des partenariats intelligents. Le digital, l’aérien, et le travail de terrain doivent être pensés ensemble. Ce n’est pas un appel à la révolution, mais à la cohérence. Il est temps que la Tunisie reprenne la main sur son destin touristique, avec des solutions concrètes, pragmatiques, cohérentes et immédiatement activables.

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Reprise de l’investissement touristique en Tunisie

03. Mai 2025 um 10:48

Les intentions d’investissement touristique déclarées jusqu’au 10 avril 2025 sont estimées à 750 millions de dinars (MDT), a déclaré le DG de l’Office national du tourisme tunisien (ONTT), Mohamed Mehdi Haloui, précisant que des investissements qataris devront être réalisés à Tabarka, dans la région du nord-ouest de la Tunisie.

Dans une interview accordée à l’agence Tap, le responsable a annoncé qu’un portefeuille d’une valeur de plus de 550 MDT, a déjà été examiné par l’Instance tunisienne de l’investissement (TIA), ajoutant que pour la fin de l’année 2025, les prévisions tablent sur plus d’un milliard de dinars d’intentions d’investissement, «car nous attendons également d’autres  déclarations d’intentions d’investissement arabes».

Au cours de l’année 2024, les intentions d’investissement locaux et étrangers dans le secteur touristique se sont élevées à plus de 900 MDT, rappelle encore Haloui, estimant que ces intentions d’investissement «revêtent une grande importance car elles montrent le retour  de la confiance des investisseurs  dans le secteur touristique tunisien».

Répondant à une question sur le tourisme alternatif, le responsable a affirmé que les petits investissements dans le tourisme alternatif contribuent à la réalisation d’un développement intégré, en permettant, notamment aux jeunes et aux catégories ayant une faible capacité financière, d’investir dans le secteur touristique.

«Cette année, le tourisme alternatif a enregistré une évolution par rapport à l’année écoulée. Cela est perceptible au niveau de la hausse du nombre des autorisations préalables, en dépit de la faible valeur des investissements», a-t-il fait savoir. 

Des projets des cahiers de charges régissant les hébergements touristiques ont été élaborés. Ils seront transmis aux différents ministères concernés pour consultation avant d’être examinés et adoptés par le gouvernement, a encore précisé le DG de l’ONTT, ajoutant que la révision des cahiers des charges est une nécessité pour alléger les procédures d’ouverture des hébergements touristiques et de permettre aux jeunes, dont les capacités financières sont limitées, de créer leurs propres projets.

Cette révision permettra, également, aux maisons d’hôte non déclarées et qui opèrent  illégalement (dont le nombre s’élève à 2 000), de régulariser leurs situations, a indiqué le responsable, en rappelant, par la même occasion, les avantages accordés aux jeunes promoteurs voulant réaliser des investissements touristiques dans les zones de développement régional (21 gouvernorats exceptés ceux de Nabeul, Monastir et Grand Tunis), lesquels peuvent bénéficier d’une prime de 15% de la valeur d’investissement ou de 30% de la valeur d’investissement, en plus d’autres exonérations fiscales et douanières, ainsi que d’une formation adéquate.

Après une absence en 2022, la Tunisie a figuré, en 2023, dans le rapport  international de l’Organisation mondial du Tourisme (OMT) réalisé par le Financial Times sur les investissements étrangers touristiques, avec 6 projets internationaux d’une valeur totale de 150 MDT.

Tap. 

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A l’hôtel Itropika Beach Tabarka : une soirée festive pour les partenaires agents de voyages

A l’issue de l’année touristique 2024, l’hôtel Itropika Beach Tabarka, établissement de catégorie 4 étoiles, vient d’organiser une soirée mémorable en l’honneur de ses meilleurs partenaires agents de voyages.

Cet événement, placé sous le signe de la convivialité et de la célébration, a permis de renforcer les liens entre les acteurs du secteur tout en offrant une expérience festive inoubliable qui a réuni les agences de voyages à la fois tunisiennes et algériennes partenaires de l’hôtel.

L’Itropika Beach Tabarka est en effet un établissement qui a bâti sa notoriété sur une offre-produit qui répond tout particulièrement à la clientèle tunisienne mais aussi algérienne, constituée pour l’essentiel de familles durant la haute saison estivale.

L’emplacement de l’hôtel, directement en bord de mer de cette ville surnommée la Cité du Corail, et première escale après la frontière, constitue un atout considérable qui s’ajoute à la panoplie de services proposés.

Remise de trophées

La direction de l’hôtel Itropika Beach Tabarka au grand complet a accueilli ses partenaires venus spécialement pour la cérémonie. Dès leur arrivée, les invités ont été plongés dans une atmosphère soigneusement orchestrée avec accueil personnalisé.

La soirée a débuté par un cocktail de bienvenue, offrant aux participants l’occasion de se rencontrer et d’échanger dans un cadre détendu. Le discours d’ouverture prononcé par Dhiaeddine Yaacoubi, directeur commercial de l’établissement, a mis en lumière l’importance des partenariats et a remercié, au nom du promoteur de l’établissement, Hatem Ben Néji, chacun des invités pour leur contribution au succès collectif. « Nous tenons à remercier chaleureusement tous nos partenaires pour leur présence et leur engagement au cours de la saison qui s’achève. Nous voulons leur témoigner toute notre reconnaissance et notre gratitude », a-t-il déclaré lors de la cérémonie.

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Le management de l’hôtel Itropika Beach Tabarka.

Des activités interactives ont également été au cœur de la soirée. Des jeux de networking ont permis aux participants de mieux se connaître tandis qu’un spectacle artistique varié a ajouté une touche divertissante à l’événement, captivant l’audience tout au long de la soirée. Le dîner proposé par le chef de l’hôtel a été un véritable festin. Chaque plat, élaboré avec soin, a ravi les papilles des convives.

Des partenaires de haut niveau

L’hôtel Itropika Beach Tabarka a attribué un certain nombre de trophées à ses partenaires pour leur réalisations commerciales au cours de l’année 2024, à la fois en termes de chiffre d’affaires réalisé, de nuitées totalisées, mais également pour les meilleures progressions par rapport à l’exercice 2023.

A ce titre, les agences MyGo en B2B et Tunisie Booking en B2C ont été distinguées pour leurs réalisations, en formulant le vœu que l’année 2025 soit au moins aussi bonne, sinon meilleure que celle de 2024.

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L’année écoulée a en effet été marquée par l’augmentation de la capacité de l’hôtel qui est passée de 145 à 155 chambres et suites, permettant ainsi d’offrir une qualité d’hébergement en nette amélioration dans une démarche de quête continue de consolidation de son offre. Les 10 nouvelles chambres inaugurées cette année sont des chambres familiales pouvant accueillir jusqu’à 4 personnes. Par ailleurs, l’Itropika Beach Tabarka se dote également d’un nouveau centre ultra-moderne de bien-être constitué d’un hammam et d’un spa afin de répondre à l’attente de sa clientèle.

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Aéroport de Tabarka été 2025 : qui vient et qui ne vient pas

Objet de controverses, l’aéroport de Tabarka, depuis plusieurs années, ne réussit pas à attirer les prescripteurs de voyages en dépit des quelques avantages octroyés. Au cours de l’été 2025, le seul vol international annoncé redonne du baume au cœur de la région, ne serait-ce que pour sa symbolique.

Parent pauvre des aéroports en Tunisie, Tabarka-Aïn Draham ne reçoit actuellement aucun vol commercial. A quelques rares exceptions, on y voit atterrir des vols affrétés notamment par des équipes sportives venant s’entrainer dans la région.

Depuis longtemps, Tunisair Express a cessé de programmer les vols intérieurs faute de passagers. Elle avait bien tenté de mettre des appareils de plus petite capacité pour réduire les coûts fixes, mais rien n’y a fait. Le coefficient de remplissage étant trop bas, les dessertes régulières ont été suspendues.

Sur le plan international également, les charters ont depuis longtemps disparu. Ces dernières années, on y a vu quelques tentatives de vols en double-toucher mais sans lendemain.

Quand Tabarka était en Open Sky

Et pourtant, l’aéroport a bénéficié pendant de nombreuses années des privilèges de l’Open Sky. Actuellement, les compagnies aériennes désireuses d’y atterrir bénéficient d’exemption de redevances aéroportuaires. Mais rien ne semble y faire.

La compagnie Transavia, qui a réussi là où tout le monde a échoué (exemple de la ligne Paris-Sfax), avait été approchée pour étudier la faisabilité d’un vol sur Tabarka. La sentence vient de tomber, annoncée par son PDG : il n’est pas envisageable en l’état d’ouvrir un Paris-Tabarka à l’été 2025. Peut-être en 2026 si les choses s’améliorent, a laissé entendre en substance Olivier Mazzucchelli, lors de sa récente visite en Tunisie.

Le premier responsable de la compagnie a en effet expliqué que les résultats des études poussées qu’elle a engagées ont démontré que la destination était en déficit d’image évident et qu’un vol en l’état actuel des choses ne serait pas viable. En d’autres termes, l’attractivité de la région, notamment sur le plan touristique, est trop insuffisante pour garantir la rentabilité d’une desserte sur l’aéroport.

Tous les hôtels de Tabarka

L’espoir venu de Pologne

Dans ce contexte morose, c’est de Pologne qu’a été annoncée la nouvelle: le tour-opérateur Rainbow a programmé un vol hebdomadaire avec la compagnie Smartwings Poland au départ de Katowice vers Tabarka-Aïn Draham. Le programme démarrera le 2 juin 2025 jusqu’à fin octobre. Prima Tours, le réceptif tunisien de ce tour-opérateur, a en effet procédé à un « défrichage » du terrain pour que cette programmation se concrétise dans les faits.

D’autant que le marché polonais sur la Tunisie a, actuellement, le vent en poupe avec la barre des 310.000 touristes enregistrés jusqu’au 20 octobre, dépassant ainsi le nombre d’Allemands et devenant le deuxième marché européen émetteur.

©Destination Tunisie

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