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Zenith Energy : nouveau revers judiciaire face à la Tunisie

Von: hechmi
22. Juli 2025 um 19:11

PétroleLa société pétrolière canadienne Zenith Energy Ltd, active en Tunisie, en Italie et aux États-Unis, a exprimé son indignation après le rejet d’une réclamation de 103 millions de dollars par un tribunal arbitral international. Ce litige oppose sa filiale nord-africaine à l’État tunisien dans le cadre du projet pétrolier Sidi El Kilani (SLK).

Le différend concerne une participation de 45 % dans la concession SLK, dont 22,5 % sont détenus par Zenith et 22,5 % proviennent d’une cession antérieure de Kuwait Foreign Petroleum Exploration Co. Zenith accuse la Tunisie d’avoir entravé ses activités par un comportement arbitraire ayant conduit à des interruptions de production.

Cette décision constitue le deuxième arbitrage lancé par Zenith contre la Tunisie. Le premier avait abouti fin 2024 à une condamnation de l’État tunisien à verser 9,7 millions de dollars. Ce nouvel arbitrage (CCI-2) rejette en revanche l’intégralité des demandes de Zenith, estimées à 103 millions USD.

En parallèle, la société prépare un troisième arbitrage (CCI-3) devant le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), pour un montant de 503 millions de dollars, avec une audience prévue au deuxième trimestre 2026.

L’article Zenith Energy : nouveau revers judiciaire face à la Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Tunisie – Énergie : la production de pétrole chute à 524 kt, la demande nationale en baisse de 1%

Von: walid
21. Juli 2025 um 11:26

La production nationale de pétrole brut s’est située à 524 kilotonnes (kt) à fin mai 2025, enregistrant ainsi une baisse de 9% par rapport à fin mai 2024, c’est ce qui ressort du rapport sur la conjoncture énergétique pour mai 2025, publié par l’observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse a touché la plupart des principaux champs à savoir Nawara (-50%), Ashtart (-21%), El Hajeb/Guebiba (-24%), Barka (-77), Gherib (-22%), Halk el Manzel (-14%), Sidi Marzoug (-5%) et Adam (-5).

D’autres champs ont enregistré, par contre, une amélioration de production à savoir Ezzaouia (+109%), Gremda/El Ain (+125%), D.S.T (+65%), M.L.D (+13%) et Bir Ben Tartar (+15%).

La moyenne journalière de la production de pétrole est passée de 29.8 mille barils/j à fin mai 2024 à 27.3 mille barils/j à fin mai 2025.

Légère baisse des produits pétroliers

La demande nationale de produits pétroliers, a enregistré entre fin mai 2024 et fin mai 2025, une légère baisse de 1% pour se situer à 1809 ktep.

L’observatoire a fait état d’une baisse de 5 % pour l’essence, 4% de gasoil et de 24 % pour le fuel. Cependant, la demande du coke de pétrole a enregistré une hausse de 4%.

S’agissant de la structure de la consommation de produits pétroliers, elle n’a pas connu de changement significatif entre fin mai 2024 et fin mai 2025, à l’exception de quelques produits, notamment le gasoil dont la part est passée de 45 % à 43 %, les essences de 19 % à 18 %, et le GPL de 18 % à 20 % sur la même période. Pour ce qui est de la consommation de carburants routiers, elle a enregistré entre fin mai 2024 et fin mai 2025, une baisse de 4%. Elle représente 61% de la consommation totale des produits pétroliers.

La consommation de GPL a enregistré, entre fin mai 2024 et fin mai 2025, une hausse de 11%.

La consommation de coke de pétrole a enregistré une hausse de 4% fin mai 2024 et fin mai 2025 (données partiellement estimées). Ce produit est utilisé exclusivement par les cimenteries et qu’il est substituable par le gaz naturel et le fuel lourd, a rappelé l’observatoire.

D’autre part, la consommation de jet aviation a enregistré une baisse de 5% à fin mai 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

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Tunisie : Baisse de 2% du déficit énergétique grâce à la chute des importations de brut en 2025

Von: walid
21. Juli 2025 um 09:48

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 36% accompagnée par une baisse des importations en valeur de 12%. Le déficit de la balance commerciale énergétique en Tunisie a baissé, ainsi, de 2% (en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée), en passant de 4572 MDT à fin mai 2024 à 4382 MDT à fin mai 2025.

D’après le bulletin “Conjoncture énergétique Mai 2025), du ministère de l’Energie et des Mines, les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs: les quantités échangées, le taux de change $/DT et les cours du Brent , qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté ainsi que les produits pétroliers.

“Le taux de change s’est amélioré et les quantités échangées ont baissé, par contre le cours du Brent s’est amélioré à fin mai 2025 par rapport à fin mai 2024”, lit-on, dans le document du département de l’Energie.

Au cours du mois de mai 2025, les cours du Brent ont enregistré une baisse de 18$/bbl par rapport au mois de mai 2024 : 82$/bbl en mai 2024 contre 64 $/bbl en mai 2025 et 68$/bbl courant le mois d’avril 2025. Dans cette même période, le Dinar tunisien a enregistré une baisse de 4% par rapport au Dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière.

Le département de l’Energie explique en ce qui concerne les points positifs de ces évolutions, qu’entre fin mai 2024 et fin mai 2025, le cours moyen du Brent a enregistré une diminution de 15% : 84$/bbl contre 72 $/bbl. Une légère amélioration de la valeur du dinar tunisien face au dollar US entre fin mai 2024 et fin mai 2025 de 1%. La valeur du dinar tunisien est passée sous le seuil de trois dollars depuis plusieurs années, atteignant 2,99 en mai 2025.

En parlant toujours d’aspects positifs, le document cite la baisse du prix moyen du gaz algérien de 12% en DT et en $ entre fin mai 2024 et fin mai 2025.

“Depuis 2020, le dinar tunisien s’est déprécié face au dollar en raison de la pandémie de COVID-19 et de la hausse des prix de l’énergie. Après avoir atteint un point bas en décembre 2020, les prix du gaz ont connu une reprise en janvier 2021. Une nouvelle baisse a été observée en janvier 2023, suivie d’une reprise à la hausse dès octobre 2023. Les prix du gaz ont connu une tendance globalement baissière à partir de janvier 2024”.

Derrière la baisse du déficit figure aussi une diminution des importations des produits pétroliers à fin mai 2024 par rapport à fin mai 2025 de 6% en valeur en plus de la baisse des importations de pétrole brut en quantité de 67% et en valeur de 73% à fin mai 2025 par rapport à fin mai 2024.

Le document du ministère de l’Energie, accessible sur son site officiel, évoque en aspect négatif des évolutions dans les échanges commerciaux énergétiques, l’arrêt de l’unité de la STIR de janvier à avril 2025, qui a entrainé une baisse des exportations des produits pétroliers de 93% en quantité et de 96% en valeur.

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Indépendance Énergétique Tunisie : Chute à 39% en Mai 2025

Von: walid
21. Juli 2025 um 09:19

Le taux d’indépendance énergétique s’est situé à 39% à fin mai 2025, contre 45% à fin mai 2024, selon le bulletin sur “la Conjoncture énergétique” publié, le 17 juillet, par le ministère de l’industrie, des mines et de l’énergie.

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin mai 2025, un déficit de 2,2 millions de tonne équivalent pétrole (Mtep), enregistrant ainsi une hausse de 12% par rapport à fin mai 2024. Ce déficit a été enregistré, en comptabilisant la redevance sur le transit du gaz algérien, laquelle a baissé de 18% à fin mai 2025 par rapport à fin mai 2024.

Le rapport a également montré que sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 30% à fin mai 2025 contre 33% durant la même période de 2024.

Les ressources d’énergie primaire se sont situées à 1,4 Mtep à fin mai 2025, enregistrant ainsi une baisse par rapport à la même période de l’année précédente de 9%, principalement due à la diminution de la production nationale de pétrole brut et de gaz naturel.

Le rapport a souligné que les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et de gaz qui contribuent à hauteur de 71% de la totalité des ressources d’énergie primaire.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG, privée et autoproduction) reste timide et ne représente que 3% des ressources primaires.

En contrepartie, la demande d’énergie primaire a enregistré entre fin mai 2025 et fin mai 2024 une hausse de 3%. Ainsi, la demande de gaz naturel a augmenté de 7% et celle des produits pétroliers a enregistré une légère baisse de 1%.

Selon le document, un léger changement est enregistré dans la structure de la demande en énergie primaire. En effet, la part de la demande des produits pétroliers a baissé entre 2024 et 2025 (Mai) de 51% à 50%. Celle de gaz naturel a augmenté, par contre, de 48 % à fin mai 2024 à 49% à fin mai 2025.

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La production du pétrole a baissé de 9% à fin mai 2025

20. Juli 2025 um 12:00

La demande nationale de produits pétroliers a légèrement reculé de 1% entre fin mai 2024 et fin mai 2025, pour atteindre 1 809 ktep. En effet, l’Observatoire national de l’énergie et des mines (ONEM) fait état d’une baisse de la consommation d’essence (-5%), de gasoil (-4%) et de fuel (-24%), tandis que la demande en coke de pétrole a progressé de 4%.

La structure de la consommation reste globalement stable, avec néanmoins une baisse de la part du gasoil (de 45% à 43%) et de l’essence (de 19% à 18%), tandis que le GPL est passé de 18% à 20%.

La consommation de carburants routiers a reculé de 4% sur la période, représentant 61% de la consommation totale de produits pétroliers. Le GPL a enregistré une hausse notable de 11%.

La consommation de coke de pétrole, utilisée exclusivement par les cimenteries, a progressé de 4% (données partiellement estimées). Ce produit reste substituable par le gaz naturel et le fuel lourd, rappelle l’Observatoire.

Enfin, la consommation de jet aviation a baissé de 5% à fin mai 2025 par rapport à la même période de 2024.

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Baisse des cours du pétrole : le Brent et le WTI impactés par les perspectives de demande mondiale

17. Juli 2025 um 11:50

Les cours du pétrole ont reculé mercredi, plombés par les perspectives d’une baisse de la demande à cause des droits de douane.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, a perdu 0,28% à 68,52 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en août, a lâché 0,21% à 66,38 dollars.

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Le pétrole dévisse après la réponse mesurée de l’Iran aux frappes américaines

Les prix du pétrole poursuivent leur repli ce mardi, portés par l’accalmie relative dans les tensions entre l’Iran et les États-Unis. La riposte iranienne aux récentes frappes américaines, jugée symbolique, semble avoir éloigné le spectre d’une fermeture du détroit d’Ormuz, passage stratégique pour l’approvisionnement mondial en brut.

Lundi, l’Iran a tiré des missiles sur la base militaire américaine d’Al-Udeid, au Qatar – la plus importante du Moyen-Orient – en représailles aux frappes américaines menées ce week-end contre trois sites nucléaires iraniens. Toutefois, cette attaque n’a causé ni blessés ni pertes humaines, selon les autorités américaines.

Le président américain Donald Trump a qualifié cette riposte de « très faible » et a même remercié Téhéran d’avoir prévenu Washington « à temps », permettant d’éviter toute victime. Une réaction qui a contribué à détendre les marchés.

« Les frappes iraniennes étaient plus symboliques que destructrices », explique Ole Hvalbye, analyste chez SEB. Une lecture partagée par Jorge Leon, de Rystad Energy : « Le risque de fermeture du détroit d’Ormuz a nettement diminué, les tensions s’étant apaisées. »

Chaque jour, environ 20 millions de barils de pétrole – soit près de 20 % du commerce mondial – transitent par ce détroit, considéré comme l’un des points névralgiques du marché énergétique.

À 09h20 GMT,, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août, chutait de 3,30 %, à 69,12 dollars. Le WTI américain, pour la même échéance, perdait 3,28 %, à 66,26 dollars.

Malgré l’annonce par Donald Trump d’un cessez-le-feu accepté par les deux parties – confirmé par Israël –, le ministre israélien de la Défense a rapidement déclaré avoir ordonné une riposte à ce qu’il considère comme une « violation » de l’accord par l’Iran. Un flou persiste donc sur la suite des événements.

En attendant, la prime de risque géopolitique, qui avait alimenté la hausse des prix depuis la première frappe israélienne contre l’Iran il y a deux semaines, s’est « totalement évaporée », constate Tamas Varga, analyste chez PVM Energy.

Pour les analystes, un blocage total du détroit d’Ormuz reste improbable. Deux oléoducs stratégiques – l’un en Arabie saoudite, l’autre aux Émirats arabes unis – permettent déjà de détourner environ 6,5 millions de barils par jour de cette voie maritime, selon Sumit Ritolia, analyste chez Kpler.

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Fermeture du détroit d’Hormuz : un risque réel pour la Tunisie et l’économie mondiale

23. Juni 2025 um 17:46

Alors que les tensions militaires s’aggravent entre Téhéran et Washington, la menace d’une fermeture du détroit d’Hormuz inquiète les marchés. Intervenant ce lundi 23 juin 2025 dans l’émission Midi Show sur les onde de Mosaïque FM, l’économiste Ridha Chkoundali a mis en lumière les possibles répercussions de ce scénario sur les échanges internationaux, mais aussi sur la situation économique tunisienne.

Une zone clé sous pression

Chaque jour, environ un cinquième du pétrole et du gaz mondial passe par le détroit d’Hormuz. Ce couloir maritime est donc vital pour l’approvisionnement en énergie. L’Iran menace de le fermer pour répondre aux attaques américaines contre ses installations nucléaires. Selon Chkoundali, ce geste s’inscrit dans une montée des tensions. L’Iran pourrait aussi viser des bases américaines dans la région.

Des prix du pétrole en forte hausse

Si l’Iran bloque le détroit, les prix du pétrole grimperont vite. Les assurances maritimes coûteront plus cher à cause du risque. Les compagnies devront revoir leurs routes, ce qui augmentera les coûts. Plusieurs pays voisins de l’Iran, comme l’Arabie saoudite, l’Irak ou le Koweït, enverront moins de pétrole. Cela réduira l’offre mondiale et fera monter les prix.

Une situation difficile pour la Tunisie

La Tunisie achète presque toute son énergie à l’étranger. Une hausse du pétrole aura donc un impact direct. Les prix des produits augmenteront, ce qui réduira le pouvoir d’achat. Le gouvernement ne pourra sans doute pas atteindre son objectif de croissance de 3,2 %.

En réponse à l’inflation, la Banque centrale pourrait encore augmenter son taux directeur. Cela rendrait les crédits plus chers pour les entreprises et les ménages. Le déficit commercial, qui s’était amélioré, repartira à la hausse. Le dinar tunisien risque alors de perdre de sa valeur face à l’euro et au dollar. La politique d’autonomie économique pourrait aussi en souffrir.

Une réponse collective nécessaire

Ridha Chkoundali appelle le gouvernement à agir vite. Il recommande à tous les acteurs économiques de travailler ensemble. Une bonne coordination permettra de limiter les dégâts. Il faut aussi chercher des solutions adaptées à la situation.

En résumé, une fermeture du détroit d’Hormuz aurait des effets en chaîne. La Tunisie, comme d’autres pays, devra s’adapter pour faire face à cette crise.


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Tunisie : La production de pétrole brut recule de 5%

La production nationale de pétrole brut a enregistré un repli de 5% sur un an, selon les dernières données de l’Observatoire national de l’énergie et des mines. Plusieurs champs pétroliers clés sont en nette baisse, malgré quelques hausses localisées.

La production tunisienne de pétrole brut a atteint 438 kilotonnes (kt) à fin avril 2025, soit une diminution de 5% par rapport à la même période en 2024, selon le rapport de conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse résulte principalement d’un repli de la production sur la majorité des principaux champs pétroliers, notamment : Nawara (-42%), El Hajeb/Guebiba (-29%), Ashtart (-16%), Cherouq (-14%), Miskar (-11%), Hasdrubal (-9%), Gherib (-21%) et Barka (-67%).

Malgré cette tendance générale à la baisse, quelques champs ont enregistré une hausse notable de leur production, dont Ezzaouia (+242%), D.S.T. (+66%), M.L.D. (+20%) et El Borma (+4%).

Ces progressions, bien que significatives pour certains sites, n’ont pas suffi à compenser le recul global de la production nationale.

Le rapport indique également une baisse de la production journalière moyenne, qui est passée de 29,8 mille barils/jour à fin avril 2024 à 27,3 mille barils/jour un an plus tard. Ce niveau reste bien en dessous des seuils historiques et souligne les défis structurels auxquels fait face le secteur pétrolier tunisien.

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