Douze (12) millions. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le nombre de voyageurs enregistrés dans les différents aéroports tunisiens en 2024, selon les calculs de l’OACA et repris par nos confrères de Destination Tunisie. 

Au total, les sept aéroports tunisiens ont enregistré 12 millions de passagers au cours de l’année 2024. Ce qui constitue une évolution de 13,46 % par rapport à 2023.

La croissance enregistrée sur les différentes plateformes semble être allée de pair avec l’augmentation du nombre de non-résidents arrivés par voie aérienne dans le pays, explique Destination Tunisie.

Le site fait ressortir un certain nombre de faits saillants. En effet, il est indiqué que l’aéroport Enfidha-Hammamet a enregistré une belle performance en 2024, mais qui reste toutefois inférieure aux réalisations de 2019.

Dans son analyse, la même source explique que « la croissance à deux chiffres des arrivées constatée à l’aéroport de Tozeur est soutenue par le vol bihebdomadaire opéré par la compagnie française Transavia au départ de Paris ».

Le troisième point important à retenir, c’est la baisse de trafic sur l’aéroport de Sfax en 2024 par rapport à l’exercice 2023 qui « est consécutive à la suppression, d’une part, de la base de Nouvelair qui a déprogrammé ses dessertes de Paris et d’Istanbul et, d’autre part, par Tunisair Express qui a également suspendu sa ligne Tunis-Sfax et sa continuation vers Tripoli-Mîtiga ».

La croissance de 1,6 % du nombre de vols sur l’aéroport de Tabarka est essentiellement due à des « vols de rapatriement en provenance d’Italie ».

Enfin, Destination Tunisie rappelle que « les chiffres présentés concernent tous types de vols : réguliers, supplémentaires, charters, Omra et Hajj ainsi que vols particuliers et spéciaux ».

Nombre de passagers (entrées et sorties)

Tunis-Carthage : 7 249 701 (+8,8 %).

Djerba-Zarzis : 2 203 957 (+12,8 %).

Monastir-Habib Bourguiba : 1 634 374 (+10 %).

Enfidha-Hammamet : 1 290 699 (+56 %).

Sfax-Thyna : 157 350 (-10,1%).

Tozeur-Nefta : 32 108 (+76,5 %).

Tabarka-Aïn Draham : 2 679 (+1,6 %).

Ce qui donne un total de 12 572 022 passagers pour l’ensemble des sept aéroports, dont 76,74 % de part pour l’OACA et 23,26 % pour TAV.

Nombre de mouvements d’avions (décollages et atterrissages)

Tunis-Carthage : 58 690 (+4,7 %).

Djerba-Zarzis:  16 339 (+8,6 %).

Monastir-Habib Bourguiba : 11 516 (+9 %).

Enfidha-Hammamet : 8 223 (+53 %).

Sfax-Thyna : 3 473 (-6,2 %).

Tozeur-Nefta : 462 (+36,3 %).

Tabarka-Aïn Draham : 183 (+6,4 %).

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La section du secteur privé de la Fédération générale de la santé affirme avoir déposé, mercredi 8 janvier 2025, un préavis de grève générale pour le jeudi 25 courant. Et ce, après l’échec des négociations collectives sur les majorations salariales pour les années 2023 et 2024.

Les tentatives de conciliation n’ont pas permis de trouver une issue favorable concernant la signature des avenants modifiant les conventions collectives, notamment celles portant sur les augmentations salariales.

Concrètement, si elle avait lieu, cette grève toucherait plusieurs sous-secteurs du domaine, entre autres les cliniques privées, les centres de dialyse, les distributeurs de médicaments en gros et les pharmacies privées. La fédération rassure tout de même que les services d’urgence seront assurés.

Mais comme c’est souvent le cas, soyez sans crainte, cette grève n’aura pas lieu, parce qu’il y aura un compromis de dernière minute. Alors, si vous avez un rendez-vous médical, ne l’annulez pas … en tout cas pas pour le moment.

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Le Consumer Electronics Show (CES) 2025, le plus grand Salon technologique du monde, a officiellement ouvert ses portes mardi 7 janvier à Las Vegas. Comme on le surnomme, le CES est la vitrine des nouvelles technologies et de la communication. 

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Provocateur, autoritaire et xénophobe… Voilà quelques mots pour qualifier Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front national, décédé ce mardi 7 janvier à l’âge de 96 ans. « Après soixante ans d’une carrière politique faite de conquêtes, d’outrances et de trahisons », comme l’écrit Le Point.

Né en 1928 à La Trinité-sur-Mer, en Bretagne, Jean-Marie Le Pen perd son père, marin-pêcheur de profession, pendant la Seconde Guerre mondiale.

Étudiant boursier à Paris après le conflit, il devient président de l’influente association des étudiants en droit, la « Corpo ». Quelques années plus tard, il s’engage dans la légion pour participer à la guerre d’Indochine.

Dans le sillage du populiste Pierre Poujade, en 1956, Le Pen est élu député de Paris mais se rend en Algérie pour combattre, début 1957. « Rapidement revenu au Palais Bourbon et en froid avec son ancien mentor, il siège parmi les non-inscrits, avant d’être réélu en 1958. Il est finalement battu en 1962 et dirige, trois ans plus tard, la campagne présidentielle de l’avocat d’extrême droite, Jean-Louis Tixier-Vignancour », selon Paris Match.

Il fut un fervent partisan de « l’Algérie française » et proche des milieux nationalistes, d’où sa participation à la création du Front national en 1972.

Deux ans plupart, en 1974, Jean-Marie Le Pen, se présente comme candidat à la présidentielle de 1974, il n’obtiendra que 0,7 % des voix. Il est élu député européen en 1984 grâce au score de son parti (10,95 %), avec un discours principalement axé sur l’immigration. À la faveur du retour du scrutin à la proportionnelle lors des législatives de 1986, il revient à l’Assemblée nationale française accompagné de trente-quatre autres députés FN.

Et après plusieurs tentatives, à 74 ans, Jean-Marie Le Pen réussit pour la première fois à se hisser au second tour de la présidentielle 2002 aux côtés de Jacques Chirac. 2007, rebelotte, il se porte candidat de nouveau candidat, mais ne dépassera pas les 10 %.

Quatre ans plus tard, en 2011, il cède les rênes du parti à sa fille Marine qui l’en exclura en 2015. Il finira par quitter finalement son mandat européen et la politique active en 2019. Surtout après le changement du nom de son parti qui est devenu le Rassemblement nationale (RN), présidé logiquement par sa fille.

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Le billet vert s’échangeait sur le marché interbancaire, lundi 6 janvier, contre 3,209 dinars, et ce pour la première fois depuis plus de 2 ans, selon les données publiées par la Banque centrale de Tunisie.

Cette progression de l’euro face au dinar n’est pas isolée, car la devise américaine avait enregistré une remontée fulgurante durant la semaine du 30 décembre dernier face à la monnaie unique européenne, l’euro. Et cette situation n’est pas étrangère à l’installation de Donald Trump, dans moins de deux semaines, à la Maison Blanche, avec des conséquences attendues sur l’inflation, notamment.

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En Algérie, politiques et médias n’ont à la bouche que cela : le pays a franchi une importante étape technologique avec l’inauguration de sa première usine dédiée à la conception et à la production de puces électroniques, à Baba Hassen, près d’Alger.

Kamel Baddari, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a déclaré que « cette usine relève du Centre de développement des technologies avancées (CDTA). Elle constitue un pilier clé dans le cadre de la stratégie nationale visant à renforcer la souveraineté technologique de l’Algérie », rapporte observalgerie.com.

Il a ajouté que cette infrastructure pourra produire des puces électroniques utilisant la technologie 65 nanomètres (nm). La production des premières puces électroniques débutera en mars prochain.

Mais si cette technologie semble déjà ancienne par rapport aux standards actuels des leaders mondiaux (7 nm, 5 nm, voire 3 nm), elle n’en demeure pas moins cruciale pour de nombreuses applications industrielles, et elle est à même de « réduire la dépendance de l’Algérie aux importations tout en stimulant l’innovation locale ».

Alors, ceux qui pensent que l’Algérie est condamnée à dépendre de l’exportation des hydrocarbures se trompent lourdement. Car, on a vu les autorités du pays envoyer ces derniers mois plusieurs équipes et start-up algériennes à l’étranger s’informer sur les technologies avancées, en Chine, aux Etats-Unis, etc.

Le gouvernement algérien est donc conscient que les technologies sont un levier important pour la diversification économique du pays en vue de se « libérer de sa dépendance aux hydrocarbures ». En effet, « outre la production de puces électroniques, l’usine sera accompagnée d’un incubateur de start-up, destiné à soutenir 25 entreprises spécialisées dans les technologies avancées. Ces start-up travailleront sur des solutions innovantes dans divers domaines, tels que les systèmes de détection d’incendies et la surveillance des barrages », écrit la même source.

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« Les fruits secs sont de véritables mines nutritionnelles car ils sont déshydratés et donc plus concentrés en minéraux. Ils apportent de l’énergie, régulent le transit, protègent le système cardiovasculaire, renforcent les os et favorisent la satiété. L’un d’entre eux serait spécifiquement bons pour les reins ». C’est ce qu’assurent des chercheurs dans une méta analyse parue dans la revue Food Bioscience, rapporte le site sante.desfemmes.fr.

Il s’agit de la datte, fruit qui, selon cette étude, a « des propriétés néphroprotectrices », c’est-à-dire  qu’il « protège les reins des inflammations, améliore leur fonction de filtration des toxines et des déchets et retarde l’insuffisance rénale. Il empêcherait la formation de calculs et nettoie les voies urinaires ».

Et s’il en est ainsi, c’est parce que la datte serait « riche en magnésium, un minéral essentiel pour les reins, en flavonoïdes, en polyphénols, en anthocyanes et en caroténoïdes qui ont toutes de fortes propriétés antioxydantes ».

Mais l’étude lui trouve une autre richesse plus intéressante, le potassium en l’occurrence: une portion de 3 fruits apporterait 350 mg de potassium, soit 1/10 des besoins journaliers pour un adulte). Or, le potassium est un minéral capable de stimuler l’élimination des déchets toxiques.

En effet, « il a été prouvé que le potassium alimentaire était associé à un risque plus faible de développement de maladies rénales chroniques », selon une autre étude menée en 2019 sur plus de 5 000 personnes et parue dans la revue Medical Science Monitor. Autrement dit, la datte constitue un fruit incontournable quand on veut se protéger des maladies rénales.

Contre-indication

En dépit de ses bienfaits, la consommation excessive de la datte est cependant déconseillée pour les personnes souffrant de le l’insuffisance rénale, car, soulignent les chercheurs,  en consommer avec excès « le potassium peut faire trop travailler les reins ». Ainsi, une personne « normale » peut manger quotidiennement trois dattes sans risques. Par contre, les personnes qui souffrent de troubles rénaux ne devraient consommer les dattes qu’occasionnellement. « Elles peuvent être grignotées natures en en-cas, coupées dans un yaourt, mixées dans une pâtisserie ou encore dans des plats salés (tajines, couscous, viandes en sauce) », recommandent les auteurs de l’étude.

Alors, pour celles et ceux qui l’ignoraient, sachez que, en plus du fait qu’elle soir un fruit délicieux, surtout la Deglet Nour tunisienne, la datte possède d’importantes propriétés nutritives et médicales.

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Karl Nehammer, chancelier conservateur, a annoncé, sur X, qu’il quittera dans les prochains jours ses fonctions de chancelier et de président du Parti populaire.

Pour cause : l’échec des négociations avec les sociaux-démocrates pour tenter de former le prochain gouvernement, plus de trois mois après les élections législatives, lesquelles se sont déroulées le 29 septembre 2024 », rapportent plusieurs médias.

Inattendue, cette décision dirigerait le pays vers de nouvelles élections anticipées ou forcer les conservateurs à négocier avec l’extrême droite, arrivée en tête aux législatives.

Cette annonce de Karl Nehammer intervient au lendemain de la décision du parti libéral “Neos“ de se retirer des négociations tripartites pour former un gouvernement centriste, et ainsi écarter du pouvoir le Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ, extrême droite) qui avait recueilli 28,8% des voix aux législatives, mais n’a pas pu trouver d’alliés pour former un gouvernement.

Avec 26,3 % des voix, le Parti populaire du chancelier démissionnaire était en deuxième position, suivi en troisième position par le Parti social-démocrate d’Autriche (SPÖ, centre-gauche) avec 21,1 %. Ce qui avait conduit Karl Nehammer à engager des discussions avec le SPÖ et Neos (9% des suffrages) pour former un gouvernement et faire barrage à l’extrême droite.

Karl Nehammer se dit «… convaincu que les radicaux n’offrent pas la solution à un seul problème, mais ne vivent que pour souligner les problèmes. Je me suis toujours battu pour la stabilité même si ce n’était pas sexy en politique », rapporte francetvinfo.fr.

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Qu’on soit pays développé ou une économie intermédiaire, les réserves de change constituent un indicateur de la santé financière d’un État. C’est dans ce cadre que la banque de financement du commerce en Afrique (Afreximbank) vient de dresser un classement des États du continent les mieux lotis en réserves en devises étrangères en 2024.

Dans son rapport 2024, Afreximbank souligne que certains pays du contient, comme la Tunisie, tentent tant bien que mal de maintenir de réserves de change importantes, et ce dans le but d' »atténuer les chocs économiques, soutenir les importations et maintenir leur crédibilité financière sur la scène internationale ».

Algérie, Libye et Afrique du Sud occupent les trois premières marches du classement des pays ayant les plus grandes réserves de change en Afrique.

En effet, avec près de 91 milliards de dollars, l’Algérie est classée 1ère. Elle est suivie de la Libye (80,7 milliards de dollars de réserves, 2ème), de l’Afrique du Sud (57,6 milliards de dollars, 3ème), de l’Egypte (40 milliards de dollars, 4ème), du Maroc (34,8 milliards de dollars, 5ème), du Nigeria (27,4 milliards de dollars, 6ème), l’Angola (14 milliards de dollars, 7ème), la Tunisie (8,8 milliards de dollars), le Kenya (8,6 milliards de dollars, 9ème) et l’Ile Maurice (5,9 milliards de dollars, 10ème).

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La Banque de développement local (BDL), banque publique algérienne, ouvrira son capital sur le marché boursier à partir du lundi 20 janvier 2025. L’objectif est de lever 61,88 milliards de dinars (près de 455 millions de dollars). C’est ce qu’a annoncé le président de la Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (Cosob, l’équivalent du CMF en Tunisie), Youcef Bouzenada, cité par nos confrères d’agenceecofin.com.

En effet, s’exprimant lors d’une conférence de presse, mardi 31 décembre 2024, M. Bouzenada a expliqué: « L’opération s’étalera du 20 janvier au 20 février 2025, période durant laquelle la banque effectuera une offre publique de vente (OPV) de 44,2 millions d’actions, représentant 30% de son capital ». Sachant que le prix par action a été fixé à 1 400 dinars algériens.

Le président du Cosob a ajouté qu’une proportion de 40% du total des actions concernées par l’OPV sera destinée aux personnes physiques contre 30% pour les personnes morales et 30% pour les investisseurs professionnels.

Pour sa part, Youssef Lalmas, directeur général de la BDL, a souligné que l’introduction de la banque en Bourse « s’inscrit dans le cadre de la modernisation du secteur financier… et offre aux investisseurs nationaux une opportunité unique de participer à cette évolution ».

Par ailleurs, les six banques publiques (BNA, BEA, CNEP Banque, BDL, CPA, BADR), d’un côté, et la Société Générale Algérie, Tell Market et Invest Market sont les intermédiaires en Bourse chargés de la vente des actions.

L’article Algérie : la BDL en Bourse dès le 20 janvier 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Dans un article, le site spécialisé Géopolitique fait état de la persistance de l’inflation en Russie. Et ce, en dépit de la « stratégie de hausse du taux directeur par sa Banque centrale. Cette situation est alimentée par une croissance excessive de la masse monétaire et une illusion de croissance, entretenue par la propagande et l’emprunt massif des entreprises ».

Géopolitique attribue l’inflation galopante en Russie à « une instabilité économique ». Et d’ajouter que « la Banque centrale russe (BCR) n’a pas su contenir la hausse des prix malgré la stratégie adoptée selon une analyse de The Insider« .

En effet, la BCR annonçait, en octobre 2024, relever son taux directeur de 19 à 21 % afin de contrôler l’inflation, un niveau jamais atteint depuis 2003. Théoriquement, l’objectif d’augmenter le taux directeur, c’est de permettre d’augmenter les taux d’emprunt des banques, et par ricochet contrôler la quantité de monnaie en circulation dans l’économie.

Dans l’analyse, les prix continuent de grimper. « En octobre le taux annualisé de la Russie était de 8,54 %. Il a de nouveau augmenté au mois de décembre. Un phénomène qui a eu pour conséquence d’entraîner une dévaluation du rouble a un niveau historique de 133 roubles pour 1 euro (120 roubles pour 1 dollar). Cependant la Banque centrale a stoppé cette chute en suspendant temporairement l’achat de devises étrangères », explique geo.fr.

Le paradoxe russe!

En économie, il est admis qu’une monnaie nationale se dévalue lorsque le gouvernement dépense bien plus qu’il ne gagne et doit emprunter davantage à la Banque centrale. Est-ce le cas de la Russie? Pas du tout actuellement.

En effet et contrairement aux pays du G7, le FMI estime que le déficit budgétaire de la Russie en 2024 sera inférieur à 2 % du PIB.

Dans ce cas, comment expliquer l’inflation galopante en Russie? Pour Géopolitique, il existe « une seule raison qui semble expliquer l’inflation : la masse monétaire en rouble croît bien trop rapidement sous l’impulsion de la Banque centrale. Le taux de croissance de la masse monétaire augmente de 20 % d’une année à l’autre ». D’ailleurs, The Insider s’étonne même, avec un tel taux, que l’inflation n’augmente pas plus que son niveau actuel.

La BCR injecte de la monnaie sans compter

The Insider explique l’inflation en Russie comme « un phénomène éminemment politique ». Pour s’en convaincre, il suffit de constater que « les entreprises empruntent à des taux très élevés mais avec une grande confiance, grâce à l’illusion de croissance créée par la propagande russe ». De ce fait, « la monnaie continue d’être injectée en masse dans l’économie ».

Ainsi, durant 2024, The Insider assure que « les portefeuilles de prêts des banques russes ont augmenté de 21 %, les fonds sur les comptes auprès de la Banque centrale ont augmenté de 56 %, et les actifs totaux ont augmenté de 28 % ». Rien que ça!

Autrement dit, indique la même source, « le gouvernement préfère masquer les problèmes du pays plutôt que de stabiliser durablement l’économie et les prix ». Et la BCR semble consciente et prévoit de s’attaquer à la donne en 2025 en limitant la masse monétaire.

Et si la situation se corsait, cela pourrait profiter à certains importateurs de pétrole de gaz russes et d’autres pays du reste, avec une probable abondance de l’offre.

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L’article Lancement de la première session du Programme d’aide à la publication 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Quatorze-quinze. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le nombre de jours fériés en Tunisie pour l’année 2025.

Le tableau/calendrier des jours fériés peut sans doute réjouir les employés, mais pas (forcément) les employeurs. A commencer du reste par le 1er janvier 2025, forcément férié et qui est tombé un mercredi.

Et ce balet va se poursuivre ainsi durant toute l’année qui vient de débuter. Hasard de la nature – pardon du calendrier -, 5 d’entre eux tombent un mercredi.

A préciser que le calendrier des jours fériés comprend des fêtes fixes et des fêtes religieuses. Ce qui n’est pas pour plaire aux patrons car beaucoup d’entre eux, auraient sans doute souhaité que la majorité de ces jours fériés tombent sur les week-ends (samedi et dimanche). Malheureusement ce n’est pas le cas, particulièrement cette année 2025, comme vous le constaterez ci-dessous.

Jours fériés fixes en Tunisie en 2025

• Mercredi 1er janvier : Nouvel An
• Jeudi 20 mars : Fête de l’Indépendance
• Mercredi 9 avril : Journée des Martyrs
• Jeudi 1er mai : Fête du Travail
• Vendredi 25 juillet : Fête de la République
• Mercredi 13 août : Fête de la Femme
• Mercredi 15 octobre : Fête de l’Évacuation
• Mercredi 17 décembre : Fête de la Révolution.

Jours fériés religieux en Tunisie en 2025 (basés sur le calendrier lunaire)

Basés sur le calendrier lunaire, les jours fériés religieux varient chaque année en fonction de l’observation du croissant lunaire. Voici les prévisions pour 2025 :

• Dimanche 30 mars : Aïd al-Fitr (2 ou 3 jours, selon le secteur d’activité)
• Vendredi 6 juin : Aïd al-Adha (2 jours)
• Jeudi 26 juin : Jour de l’An Hégire (Ras El Am El Hijri)
• Jeudi 4 septembre : Al-Mawlid Al-Nabawi (Mouled).

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Sous le titre « La philosophie de Steve Wozniak : vivre une vie heureuse et réussie se résume à trois conseils simples », le site jeuxvideo.com présente la conception du bonheur chez le cofondateur d’Apple, Steve Wozniak.

A noter au passage que derrière cet ingénieur de génie que Wozniak, « connu pour son rôle clé dans la révolution technologique initiée par la célèbre entreprise », se cacherait « un homme avec une vision bien particulière de la vie, centrée sur la simplicité et le bonheur ».

Une autre philosophie du bonheur

Contrairement à Steve Jobs, souvent décrit comme exigeant et perfectionniste, Wozniak adopte une philosophie de vie humble et pragmatique. Voici trois principes qu’il partage pour mener une vie heureuse et réussie.

1. Une formule pour la joie : plus de sourires, moins de contrariétés. Wozniak a développé une équation qui résume sa vision du bonheur : H = S – F, où H représente la « happiness » (le bonheur), S les « smiles » (sourires) et F les « frowns » (froncements de sourcils ou contrariétés).

Selon lui, le bonheur réside dans la capacité à maximiser les moments de joie et à minimiser les situations stressantes ou négatives. Il a également proposé une variante : H = F³, où les « F » désignent cette fois « Food, Fun, Friends » (nourriture, amusement, amis).

Cette approche montre que pour Wozniak, le bonheur n’est pas lié à des objectifs matériels ou professionnels, mais à des interactions positives et à une attitude détendue face aux défis de la vie.

Cette approche montre que pour Wozniak, le bonheur n’est pas lié à des objectifs matériels ou professionnels, mais à des interactions positives et à une attitude détendue face aux défis de la vie.

2. Ne pas discuter pour préserver sa paix intérieure Une des leçons clés que partage Wozniak est d’éviter les disputes inutiles. Selon lui, les désaccords ne conduisent qu’à davantage de frustration et de malheur :

« Tu ne gagnes jamais une discussion. Tu restes simplement malheureux. La seule personne que tu dois convaincre dans la vie, c’est toi-même. »

Contrairement à Steve Jobs, connu pour son goût du débat acharné et des conflits pour imposer ses idées, Wozniak préfère laisser les choses suivre leur cours. Il donne l’exemple de situations courantes, comme une rayure sur une voiture. Plutôt que de s’en irriter, il adopte une approche pratique : « Je vais simplement la réparer ».

Ce détachement s’étend aussi à sa gestion de l’argent. Lorsqu’il possédait des bitcoins à leur apogée, il a choisi de les vendre sans chercher à spéculer davantage. Pour lui, l’essentiel est de se libérer de ces préoccupations financières afin de conserver une tranquillité d’esprit.

Contrairement à Steve Jobs, connu pour son goût du débat acharné et des conflits pour imposer ses idées, Wozniak préfère laisser les choses suivre leur cours. Il donne l’exemple de situations courantes, comme une rayure sur une voiture. Plutôt que de s’en irriter, il adopte une approche pratique : « Je vais simplement la réparer ».

3. Laisser ses enfants suivre leur propre voie Sur la question de l’éducation des enfants, Wozniak prône une approche basée sur la liberté et la confiance. Lors d’un discours de remise de diplômes à l’université de Colorado Boulder, il a insisté sur l’importance de soutenir les passions des enfants plutôt que de leur imposer une voie prédéterminée :

« Quand quelque chose passionne vraiment vos enfants, soutenez-les. Ne leur dites pas : “Tu devrais plutôt étudier ceci.” Faites-leur confiance et regardez-les s’épanouir. »

Il tire cet enseignement de sa propre expérience. Ses parents lui ont permis d’explorer librement ses intérêts pour la technologie, même lorsque cela impliquait des expériences inhabituelles, comme son expulsion de l’université pour avoir piraté des équipements du campus.

Une vision éloignée des normes traditionnelles

Wozniak se distingue également par son regard critique sur certaines avancées technologiques, notamment l’intelligence artificielle (IA). Il estime que les efforts devraient se concentrer sur des outils plus fiables et transparents, plutôt que sur des innovations débridées sans cadre éthique solide.

Cette réflexion s’accorde avec son approche générale de la vie : privilégier ce qui est utile, clair et bénéfique, tout en limitant les complications inutiles.

La philosophie de Steve Wozniak est un rappel précieux dans un monde souvent dominé par la compétition et la quête de réussite à tout prix. En se concentrant sur des éléments simples – la joie, la paix intérieure, et la liberté de choix – il montre qu’une vie heureuse et réussie ne dépend pas de facteurs externes, mais bien d’un état d’esprit positif et équilibré.

La philosophie de Steve Wozniak est un rappel précieux dans un monde souvent dominé par la compétition et la quête de réussite à tout prix.

En suivant ces trois principes, chacun peut trouver des pistes pour construire un quotidien plus serein et épanoui, à l’image de cet ingénieur qui, bien que discret, a marqué l’histoire de la technologie.

Source: jeuxvideo.com

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Un rapport de la Fondation Mo Ibrahim vient de dévoiler la liste des dix pays africains les mieux dotés en infrastructures et en innovations.

Le neuvième ODD (Objectif de développement durable) de l’ONU compte parmi ses critères « la création d’infrastructures résilientes, l’industrialisation inclusive et durable, ainsi que la promotion de l’innovation ».

Le rapport met en exergue les importants efforts déployés par certains pays dans le développement de leurs infrastructures et écosystèmes d’innovation. Et c’est le cas de la Tunisie classée dans le trio de tête en Afrique, et donc devant des nations comme des puissances économiques du continent.

La région de l’Afrique du Nord est considérée comme la plus dynamique en la matière, avec pas mois de 4 représentants dans les 5 premiers.

Par contre, l’Afrique de l’Ouest, qui compte quelque 16 Etats, n’est représentée dans le top 10 que par deux pays, à savoir le Ghana et le Cap-Vert.

Ainsi, par la qualité de ses infrastructures de transport, d’énergie et de télécommunications, qui font une croissance économique robuste et attirent des investissements internationaux, le pays de Mandela occupe la première marche du podium.

Pour ce qui est de l’Afrique du Nord, le rapport note que, grâce à des investissements massifs dans les infrastructures numériques et industrielles, l’Egypte est devenue un pôle stratégique pour le commerce et la technologie en Afrique.

Quant à la Tunisie, elle mise sur l’innovation, avec un écosystème entrepreneurial dynamique soutenu par des infrastructures modernes, souligne le rapport.

De son côté, le Maroc se distingue par ses investissements dans les énergies renouvelables, notamment avec son parc solaire Noor, considéré comme l’un des plus grands au monde.

Enfin, l’Algérie n’est pas en reste, avec une progression notable dans le domaine énergétique et industriel, notamment grâce à des projets qui contribuent à la diversification de son économie.

Voici les 10 pays africains dotés de meilleures infrastructures :

Afrique du Sud 1er

Egypte 2e

Tunisie 3e

Maroc 4e

Algérie 5e

Botswana 6e

Ile Maurice 7e

Ghana 8e

Cap Vert 9e

Eswatini 10e.

A l’analyse, tout montre que qu’investir dans des infrastructures modernes et résilientes et encourager l’innovation peuvent transformer les économies locales, ce qui offre de nombreuses opportunités aux citoyens, mais aussi renforce la compétitivité de ces pays sur le plan international, souligne le rapport.

L’article La Tunisie dans le top 10 des meilleures infrastructures en Afrique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Selon plusieurs médias spécialisés, le Real Madrid pourrait s’enrichir davantage, et ce à l’occasion du Mondial des clubs 2025 – nouvelle formule – prévu aux Etats-Unis d’Amérique. Le club merengue devrait ainsi toucher « un jackpot colossal » de 100 millions d’euros en cas de victoire.

Ainsi, « ce tournoi, au-delà de sa valeur sportive, est un tremplin financier important grâce à ses primes conséquentes », écrit le quotidien AS.

En effet, explique le journal, « le club madrilène, avec son statut prestigieux, bénéficie d’un cachet élevé. Ce qui lui garantit déjà 30 millions d’euros simplement pour sa participation à la première phase. Ce montant peut grimper à 35 millions si l’équipe réalise un parcours parfait durant cette phase de poules. Au fur et à mesure de sa progression, les récompenses augmentent : 60 millions pour atteindre les demi-finales, 80 millions pour y parvenir et 20 millions supplémentaires en cas de sacre. Ces primes cumulées s’ajoutent à celles de la Ligue des champions, offrant au Real Madrid un revenu exceptionnel sur un mois de compétition ».

Qui dit mieux?

Le calendrier des hommes de Carlo Ancelotti ne semble compliqué, en tout cas sur le papier. Ainsi, ils croiseront leur chemin, lors des matchs de poule, Al Hilal (Arabie Saoudite), Pachuca (Mexique) et Salzbourg (Autriche).

A noter que ce « jackpot est d’autant plus attractif qu’il est soutenu par la reconnaissance mondiale du club, basé sur son coefficient FIFA, sa valeur marketing et son impact télévisuel ».

Wait and see!

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L’histoire retiendra que l’Espérance sportive de Tunis, à travers Taraji Holding, fut le premier club à franchir (peut-être) la porte du marché financier, entendez la Bourse de Tunis.

Rappelons au passage que la première équipe européenne à avoir fait son entrée en Bourse fut le club anglais de Tottenham. C’était en 1983. « Pour la construction de son nouveau stade de Northumberland Park, ce club avait ouvert son capital dans le but de récolter près de 350 000 livres sterling », explique le site ig.com.

C’est l’intermédiaire en Bourse MAC SA qui est chargé de la création de la marque « Taraji Holding ».

Cette initiative, si elle se concrétise, fera-t-elle des émules? La réponse ne saurait tarder.

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