Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 01. April 2025Französischsprachig

Nord-ouest : précipitations modérées et rafales de vent jusqu’à 91 km/h

Von: La Presse
01. April 2025 um 18:38

Au cours des dernières 24 heures (de 7h du lundi 31 mars à 7h du mardi 1ᵉʳ avril), des précipitations éparses ont été enregistrées dans plusieurs régions du nord-ouest, avec un cumul maximal de 9 mm à Aïn Draham, selon un bulletin de suivi publié par l’Institut national de la météorologie (INM).

L’INM précise que les cumuls de pluie n’ont pas dépassé 1 mm dans plusieurs localités, notamment Barrage Bou Hertma, Balta Bou Aouane, Bou Salem, Fernana, Béja (station et sud), Gaâfour, Siliana et Sidi Bourouis. Dans d’autres zones, les précipitations ont atteint 2 mm, notamment à Barrage Barbara, Keblatt, Medjez el-Bab, Aïn Bousaadia et la station de Oued Zarga. À Beni Mtir et Tabarka, les quantités relevées ont atteint 4 mm.

Par ailleurs, l’institut a signalé des rafales de vent particulièrement fortes, atteignant 91 km/h à Kasserine, 80 km/h à Bizerte et Tunis-Carthage, 72 km/h à Enfidha et 70 km/h à Nabeul. Des vitesses de 67 km/h ont été enregistrées à Monastir et Zaghouan, 57 km/h au Kef et 56 km/h à Béja, Siliana, Gafsa et Tataouine. À Sidi Bouzid et Gabès, les vents ont soufflé à 56 km/h.

L’INM continue de suivre l’évolution des conditions météorologiques et appelle à la vigilance, en particulier face aux vents forts pouvant perturber le trafic maritime et les activités en plein air.

 

Intérêt présidentiel au secteur sportif : Le cadre juridique et les infrastructures de base vont de pair

01. April 2025 um 18:05

Le sport est un secteur qui a permis de procurer à la Tunisie de nombreuses satisfactions à l’échelle aussi bien régionale qu’internationale grâce à l’émergence, régulièrement, de champions ayant réalisé des performances remarquables et hissé haut le drapeau national.

La Presse — Convaincu des bienfaits des différentes disciplines sportives avec des répercussions hautement positives aux divers niveaux, le Président de la République ne cesse d’accorder un intérêt majeur au sport en multipliant les annonces destinées à remettre ce domaine sur les rails afin qu’il avance résolument vers le progrès.

Il ne faut pas oublier, en effet, que ce domaine offre de nombreux créneaux vers le développement dont, bien évidemment, celui d’ordre purement sportif, mais aussi sur le plan sanitaire, social et économique sans oublier le rayonnement et le sentiment de fierté que cela procure aux citoyens, toutes catégories sociales confondues, et dans toutes les régions du pays.

C’est dans cet esprit que le Chef de l’Etat a montré, en recevant, tout récemment, le ministre de la Jeunesse et du Sport, Sadok Mourali, qu’il est déterminé à rectifier le tir à propos des différents volets, en l’occurrence les infrastructures de base et le cadre juridique des structures sportives.

C’est qu’il a mis à l’index le caractère bâtard de ce cadre qui se caractérise par le flou et l’opacité dans le sens où il n’est ni professionnel ni amateur ce qui le rend plein d’ambiguïtés ouvrant la porte à tous les abus, dépassements et aux diverses formes de corruption, d’où l’insistance du Président Kaïs Saïed à dépasser le système actuel, qui n’est plus acceptable, et à ce que les nouvelles législations en la matière soient marquées par une transparence totale.

C’est dire qu’il est impératif de revoir certaines lois régissant le déroulement des activités de certaines disciplines dont notamment le football, qualifié de sport-roi, en vue de mettre fin au grand nombre de litiges dus à des textes, parfois contradictoires, sans oublier les menaces de recours à l’arbitrage étranger avec tout ce que cela implique comme entrave au déroulement normal et fluide des compétitions nationales.

D’ailleurs, lors d’une sortie précédente, il y a, à peine une année, le Président de la République avait évoqué ce point en indiquant que celui qui «se cache et tente d’influencer, même en dehors des structures officielles, les choix des fédérations et de leurs présidents en concluant des alliances suspectes, ne peut se dérober à ses responsabilités». 

Passant au volet des infrastructures sportives, le Chef de l’Etat a déploré la dégradation de bon nombre d’installations sportives dont notamment la cité olympique d’El Menzah et  le stade Zouiten, pour ne citer que ces deux cas flagrants, ce qu’il a imputé, non uniquement au manque d’entretien et de sauvegarde mais, également, à une planification préalable visant à mettre la main sur ces espaces.

Puis, exprimant sa volonté de mettre un terme à ces anomalies, le Président de la République a précisé en substance que «ceux qui ont organisé cela doivent être tenus pour responsables sans oublier d’exiger des redditions de comptes à ceux qui retardent le lancement des projets et qui doivent, par conséquent, subir les sanctions prévues par la loi».

En tout état de cause, il  convient de rappeler que la Tunisie regorge de champions capables de hisser haut le drapeau national lors des grandes manifestations sportives internationales et régionales pour peu qu’on les dote des infrastructures de base et autres législations appropriées adéquates.

Aïd el-Fitr : Quand les pétards et les feux d’artifice jouent les trouble-fêtes

01. April 2025 um 18:00

L’utilisation des pétards et des feux d’artifice peut entraîner de graves blessures, allant de la brûlure à l’amputation, en passant par des atteintes aux yeux. La manipulation de jouets interdits à l’importation n’est pas sans risques.

La Presse — A chaque approche de l’Aïd el-Filtr, des milliers de pièces de pétard de contrebande sont saisies par les services de la Douane tunisienne. Tous les moyens sont bons pour les trafiquants pour faire écouler cette marchandise prohibée. En septembre 2023, et à titre d’exemple, des agents de la Garde nationale stationnés à la station de péage de Hergla (Sousse) ont pu saisir 18 mille unités de pétard dissimulées dans une ambulance en provenance d’un pays voisin. La valeur des pétards saisis a été estimée à 148 mille dinars.

Douane tunisienne : saisie de milliers d’unités de pétards

Pour cette année, le porte-parole de la Douane tunisienne, Chokri Jabr, a mis l’accent sur l’évolution des activités de la contrebande des pétards, des feux d’artifice et des jouets pour enfants durant le Ramadan. Entre les mois de janvier et de février, les services de la Douane ont pu saisir de grandes quantités de marchandises de contrebande d’une valeur de 34 millions de dinars. Les contrôles douaniers des unités de charge aux ports de Radès, de Sousse et de Sfax ont ainsi permis, durant le mois de mars 2025, la saisie de 12 mille jouets interdits d’importation, citant à ce titre les jouets ressemblant aux armes à feu.

Le porte-parole de la Douane a informé qu’en janvier, plus de 42 mille jouets pour enfants interdits d’importation avaient été saisis au port de Radès dont des pistolets lanceurs de boules et pistolets à laser et 12 mille au port de Sousse, ajoutant que les opérations menées par les services douaniers ont aussi permis la saisie de 360 mille pièces de pétards à Skhira, 144 mille pièces à Gabès et 37 mille à Regueb (Sidi Bouzid). Il a, à ce titre, appelé les familles à plus de vigilance en raison du grand danger que représentent les pétards et ces jouets de contrebande sur la santé des enfants.

Le ministère de la Santé mise sur la sensibilisation des parents

À ce titre, le ministère de la Santé a mis en garde, dans un communiqué, contre l’achat de jouets dangereux vendus sur les marchés parallèles. Il a alerté sur les risques de blessures graves (coupures, brûlures, allergies) et les dommages aux yeux, en particulier avec les armes en plastique et les pointeurs laser, pouvant aller jusqu’à la cécité. Certains jouets peuvent aussi causer des intoxications en raison de substances nocives.

Les parents sont appelés à privilégier des jouets adaptés à l’âge de l’enfant et achetés dans des circuits officiels, tout en surveillant leur utilisation. Le ministère déconseille particulièrement les pétards et les armes en plastique et recommande d’agir rapidement en cas d’accident. Enfin, le ministère de la Santé insiste sur la sensibilisation des familles aux dangers des jouets non conformes et sur l’importance de suivre les instructions d’utilisation.

L’Observatoire pour la protection des droits de l’enfant : éviter les feux d’artifice et les jouets dangereux  

L’Observatoire d’information, de formation, de documentation et d’études pour la protection des droits de l’enfant relevant du ministère de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Personnes âgées s’est joint à son tour à cette campagne de sensibilisation en soulignant dans un communiqué publié le 28 mars que le jour de l’Aïd devrait être «une occasion de joie et de bonheur et de renforcement des liens familiaux et de solidarité sociale».

L’observateur appelle en ce jour de fête à éviter les feux d’artifice et des jouets dangereux qui représentent une menace sérieuse pour la sécurité des enfants et peuvent entraîner des blessures graves et même des handicaps permanents, et de choisir des jouets conformes aux spécifications sanitaires et légales.

Il importe de rappeler que l’importation, la production et la commercialisation des feux d’artifice et des pétards sont interdits en Tunisie, selon les articles 386/387/388/389 se rapportant aux délits de première, deuxième et troisième classe, du Code des douanes. Les délits peuvent être sanctionnés par des amendes et des peines d’emprisonnement, la confiscation des marchandises de fraude, la confiscation des moyens de transport, la confiscation des objets ayant servi à masquer la fraude.

L’Aïd Esseghir à Kairouan : Ambiance festive et réconciliation

01. April 2025 um 17:55

Les derniers jours du mois de Ramadan ont été vécus, à Kairouan, dans une grande effervescence, notamment dans les souks, dans les mosquées et surtout à Sidi Sahbi qui ont reçu la visite d’un grand nombre de citoyens venus d’autres gouvernorats et ayant pris l’habitude de passer la Nuit du Destin à Kairouan.

La Presse — Olfa Ammari, originaire de Mahdia, est venue avec tous les membres de sa famille, et ce, pour circoncire son garçon Samir au mausolée du Barbier,  porté en triomphe au son d’une musique traditionnelle.

Voici son témoignage: «Nous aimons énormément l’ambiance magique de la Cité Aghlabide pendant les veillées ramadanesques, d’une part pour son côté spirituel et religieux, d’autre part pour la beauté de ses monuments historiques. De la majestueuse mosquée Okba-Ibn Nafaâ avec ses magnifiques colonnes de marbre et ses admirables sculptures, de la couleur ocre de ses remparts, de l’élégante mosquée du Barbier, de  l’impressionnant site des Bassins des Aghlabides avec les moellons arrondis, du patrimoine architectural des anciens souks et du charme des ruelles de la médina avec ses vieilles portes à clous, la ville d’Okba n’en finit pas de se raconter et de se révéler à tous les  visiteurs».

Par ailleurs, durant les trois jours précédant l’Aïd Esseghir, beaucoup de  mères  de famille ont préparé des pâtisseries traditionnelles dont le makroudh, le bachkoutou, la ghraïba et la zouza qui demeurent accessibles aux couches populaires…

Quant aux familles aisées, elles préparent les baklawas, les cornes de gazelles, les petits fours, etc.

Et juste la veille de  l’Aïd, au soir, la plupart des femmes commencent à préparer la mloukhia à feu très doux, qui sera prête pour le lendemain pour être servie au déjeuner, car elle est considérée comme porte-bonheur de par sa couleur verte.

Le soir, on se contente d’un plat léger, à savoir les hlalems, avec de la viande d’agneau.

A côté de cela, le jour de l’Aïd, on commence par aller dans les différentes mosquée pour la prière de l’Aïd, puis par la visite du cimetière pour se recueillir auprès des défunts, suivi ensuite par la visite des parents et des proches pour présenter ses vœux de bonne fête et pour échanger les pâtisseries.

Il va sans dire que ces rencontres favorisent les réconciliations et les retours d’affection dans une époque où les gens n’ont plus le temps de se rencontrer.

Ainsi, à l’occasion de l’Aïd, on est étonné puis ravi de la visite inattendue ou le coup de fil d’un parent demeuré longtemps sans nouvelles…

Les jouets des uns et les tablettes des autres

Toujours à l’occasion de l’Aïd, les parents prennent d’assaut les étalages de jouets bon marché, à savoir les poupées, les pistolets, les ballons, les toupies, les dominos, les jeux éducatifs, etc. Mais dans les quartiers résidentiels, les adolescents ne fêtent l’Aïd qu’avec les tablettes et les smartphones, comme nous le confie Wael A. 17 ans : «Comme c’est l’Aïd et que c’est les vacances, j’aime bien jouer avec mes amis sur ma tablette : Free Fire, Roblox, Fortnite, Mine Craft. J’apprécie également les jeux de cartes Potreman ou les hand spinners…».

Son ami Samir H., renchérit : «Moi, je préfère m’isoler pendant de longues heures dans ma chambre afin de jouer sur ma playstation Call of Duty, Apex Legenar (ce sont des jeux de tir à la première personne), Elden Ring, FC 25 (un jeu de football), etc. Ces jeux d’action et d’aventure m’ont appris la patience et m’ont aidé à développer mon intelligence et à savoir prendre les bonnes décisions… Et puis cela me procure beaucoup de suspense et de satisfaction».

Par ailleurs, enfin d’après midi, les cafés sont bondés et les femmes accompagnent leurs enfants aux différents manèges de la ville. Et cette frénésie festive ne s’estompe qu’à la tombée de la nuit, cédant la place à des rues presque vides aux antipodes des veillées ramadanesques si animées.

Fatma ZAGHOUANI

Villages SOS d’enfants : Les bonnes raisons pour leur faire don !

01. April 2025 um 17:50

Qui ne connaît pas SOS villages d’enfants, présente, sous nos cieux, depuis bien longtemps?! Certes, tout le monde sait ce qu’elle entreprend pour des milliers d’enfants sans soutien familial, voués à l’abandon et le plus souvent exposés à tous les dangers de la rue.

La Presse — Qu’en sait-on réellement? Une ONG caritative à but non lucratif, à caractère social et non religieux, étant communément appelée «Enfants de Bourguiba», ceux qui sont, dés leur jeune âge, privés de leurs parents ou qui n’en ont pas pour diverses raisons. Fondée en 1981, suite à un accord conclu avec le gouvernement, SOS villages n’a jamais eu le vent en poupe. Elle totalise quatre villages SOS à Gammarth, à Siliana, à Mahrès et à Akkouda, outre deux bureaux affiliés situés à El Ala à Kairouan et Hassi El Frid à Kasserine.

Un appel à l’aide maintes fois lancé

Faute de communication et de médiatisation, cette organisation était, et l’est encore, méconnue, bien qu’elle agisse pour la bonne cause et mette en avant l’intérêt supérieur de l’enfant. Toutefois, on lui attribuait, autrefois, tous les qualificatifs subjectifs fondés sur des idées reçues, pointant du doigt ses positions pour avoir parrainé des enfants supposés «naturels» et dont l’identité biologique n’est pas cernée. Ces petits enfants-victimes de la vie étaient stigmatisés. Or, ceci n’était, alors, que de vieux préjugés déjà remis en cause et faussés par une réalité SOS perceptible et bien étayée. Sous-estimés, son dévouement et ses actions furent, malheureusement, enfermés dans des stéréotypes figés. 

Et pour cause, son combat humaniste pour la réintégration sociale des enfants sans soutien n’a pas été beaucoup apprécié. Son appel à l’aide, maintes fois lancé, semble être tombé dans l’oreille d’un sourd. Alors que ses ressources se sont souvent limitées à des donations volatiles et faibles contributions citoyennes. «L’Etat ne contribue qu’à hauteur de 2,5 millions de dinars, en guise de subvention annuelle. Le reste provient des dons et des participations des Tunisiens..», nous indique Mohamed Megdiche, président de l’Association tunisienne des villages SOS d’enfants, lors d’une récente soirée de sensibilisation à Tunis, destinée à faire connaître ses interventions auprès du large public. Journalistes, acteurs, artistes, influenceurs et bien d’autres célébrités tunisiennes sont aussi de la partie. «Ils étaient tous là pour nous aider à faire entendre notre voix», a-t-il ajouté.

Quel message, quel objectif ?

Car, on ne connaît pas à juste valeur l’apport de ces villages SOS-Tunisie et encore moins l’ampleur du rôle qu’ils continuent à jouer pleinement pour le grand bonheur des enfants et les foyers et familles intégrés dans la communauté. Il est ainsi question de réviser nos comptes, réévaluer le parcours de cette ONG et changer de regard à son égard.

Animée sous le slogan «Lammat el Khir», cette soirée vise à véhiculer un message clé : «On doit se rendre compte que tout enfant sans soutien et livré à lui-même constitue potentiellement un délinquant criminel. C’est pour cela que chacun de nous devrait faire de son mieux pour leur prêter main- forte et les tirer du néant. Parfois, seulement un dinars versé à leur profit pourrait changer beaucoup de choses», plaide M. Megdiche. Parrainant un enfant est de nature à lui rendre le sourire et lui donner une seconde vie. Et voilà qu’un petit geste si généreux compte.

L’Association tunisienne des villages SOS d’enfants a, aujourd’hui, le mérite d’être pionnière dans la défense de la cause humaine : la protection des enfants sans soutien et leur prise en charge, dans un cadre familial équilibré. «On prend en charge, actuellement, plus de 5.500 enfants sans soutien ou menacés, à l’échelle nationale. Mais, on est encore loin de l’objectif idéal, puisque près de 30 mille enfants sont aujourd’hui en danger», révèle le président de ladite association. Il a appelé les Tunisiens à s’engager pour mieux investir dans ces enfants, et puis aider à former une génération éduquée et plus équilibrée.

Un modèle d’accueil familial

Aujourd’hui, ce modèle d’accueil familial a révolutionné le sens de la charité et du bénévolat au profit d’autrui, redéfinissant une nouvelle culture de soutien et de solidarité, doublée de responsabilité partagée et d’engagement à donner pour sauver une vie et lui favoriser la chance de grandir et de s’épanouir. «On accueille dans nos villages SOS les enfants dont l’un des parents ou les deux sont morts, détenus ou qui se sont montrés irresponsables. Ceux ayant perdu la prise en charge parentale ou qui risquent de la perdre, on tient, dans ce cas, à leur offrir l’opportunité de vivre au sein d’une nouvelle famille qui deviendra la leur. On les soutient, en leur assurant les conditions sociales favorables à poursuivre leurs études, bénéficier des soins et mener une vie sereine », explique-t-il.

D’ailleurs, lit-on sur le site de l’association, «chaque enfant habite dans une maison qui est la sienne, a besoin d’une mère pour prendre soin de lui, grandit avec des frères et sœurs, dans un environnement propice à son épanouissement que nous appelions village». Il y a lieu de plaider pour cette cause et lui mobiliser autant de fonds, surtout que le budget SOS demeure insuffisant pour prendre en charge plus d’enfants. Faire don pour faire vivre un enfant relève d’une culture d’assistance et d’un engagement communautaire effectif. «En Allemagne, 2,6 millions d’enfants sans soutien bénéficient d’une prise en charge intégrale au sein des villages SOS, ce qui dénote une saine culture de protection de l’enfance menacée», compare M. Megdiche.

Il y a quelque jours, ladite association a sollicité les Tunisiens à faire don de la zakat el-fitr, fixée cette année à 2 dinars, au profit des villages SOS d’enfants, et ce par SMS au numéro 85510. Selon un récent communiqué, les fonds collectés, faut-il le noter, seront utilisés pour des programmes d’accueil et de protection des enfants, le développement de l’infrastructure des 4 villages précités et la reconstruction de celui de Siliana. Somme toute, l’association compte atteindre 8 mille enfants, avec en toile de fond leur prise en charge en termes de subsistance, d’éducation, mais aussi d’ordre psychologique et social.

Pourquoi – Plus on avance, plus c’est déprimant

01. April 2025 um 17:45

La ville est de plus en plus sale et polluée, non seulement par les déchets et les ordures mais par une infrastructure de plus en plus défaillante. Il n’y a qu’à faire un tour du côté de la rue El Djazira pour s’en rendre compte. Cela fait vraiment mal au cœur en voyant ces bâtiments qui menacent de s’effondrer à tout moment sur les passants, ces trottoirs défoncés où marcher devient un exercice de haute voltige sans compter l’état des chaussées. A cela, il faut ajouter, le mauvais temps et vous voilà dans un cercle déprimant et lugubre.

N’y a-t-il pas moyen de mettre un peu plus de gaîté dans ces endroits ?

Décryptage de la baisse du taux directeur : Une relance sous conditions ?

01. April 2025 um 17:40

Le 26 mars 2025, la Banque centrale de Tunisie (BCT) a annoncé une réduction de son taux directeur de 50 points de base, le faisant passer de 8 % à 7,5 %. Cette décision, effective dès le 27 mars, vise à soutenir la relance économique dans un contexte de ralentissement de l’inflation. Reste à savoir si cette mesure sera suffisante pour relancer la croissance et atténuer les déséquilibres macroéconomiques du pays. Qu’en pensent les spécialistes ?

La Presse — Depuis le début de l’année 2025, l’inflation en Tunisie a montré des signes de ralentissement, atteignant 5,7 % en février. Par ailleurs, la croissance économique s’est établie à 2,4 % au quatrième trimestre de 2024, portée principalement par les secteurs des services et de l’agriculture. Cependant, le déficit courant s’est creusé à 1,654 milliard de dinars (0,9 % du PIB) en février 2025, principalement en raison d’un déficit commercial plus marqué.

Réactions des économistes et experts

La décision de la BCT a suscité de nombreuses réactions parmi les experts économiques tunisiens. Mohsen Hassan, économiste et ancien ministre du Commerce, estime que cette mesure enverra un signal positif aux investisseurs, en réduisant le coût des financements et en stimulant la croissance économique. Il ajoute que « cette baisse permettra aux entreprises d’accéder à des crédits moins coûteux, ce qui encouragera les investissements productifs et l’emploi ».

De son côté, Ridha Chkoundali, professeur en sciences économiques, juge cette réduction du taux directeur « importante mais tardive et insuffisante ». Il soutient que bien qu’elle puisse améliorer la situation financière des entreprises et des ménages, une réduction plus significative aurait été préférable pour relancer réellement l’économie.

L’économiste Ezzedine Saïdane partage un avis nuancé. Selon lui, « la baisse du taux directeur est une mesure attendue et nécessaire, mais elle doit s’accompagner de réformes structurelles pour être pleinement efficace. Sans une amélioration du climat des affaires et une stabilisation des finances publiques, l’impact de cette réduction pourrait rester limité ».

«La décision du Conseil d’administration de la Banque centrale de Tunisie (BCT) s’inscrit dans une politique d’ajustement progressif. Cette mesure vise à permettre à la BCT de maîtriser les prix tout en créant les conditions nécessaires au bon fonctionnement de l’économie », a déclaré l’analyste économique et financier, Bassem Ennaïfar

Effets sur l’investissement et la consommation

La baisse du taux directeur devrait encourager les entreprises à emprunter à des conditions plus favorables, stimulant ainsi l’investissement et l’emploi. Selon Hachemi Alaya, analyste financier, « une réduction du coût du crédit est bénéfique pour le tissu économique, en particulier pour les PME, qui peinent souvent à accéder au financement ».

Par ailleurs, la BCT a également abaissé le taux minimum de rémunération de l’épargne à 6,5 %, ce qui pourrait décourager l’épargne et favoriser la consommation. Cela pourrait avoir un effet stimulant sur la demande intérieure, bien que certains analystes, comme l’économiste Moez Joudi, alertent sur le risque d’une pression accrue sur la liquidité bancaire : « Moins d’épargne signifie moins de ressources pour financer l’investissement bancaire, ce qui peut à terme nuire à la croissance ».

Avec conditions !

La question clé reste de savoir si cette mesure sera suffisante pour relancer la croissance et atténuer les déséquilibres macroéconomiques du pays. Abdelkader Boudriga, spécialiste en finance et en banque, souligne que « cette décision est une étape, mais elle doit être suivie d’autres réformes, notamment en matière de fiscalité et d’amélioration du climat des affaires ».

Pour résumer les réactions de tous ces spécialistes en économie et en finance, on dira que la baisse du taux directeur par la BCT représente une tentative de relance économique en Tunisie, mais son efficacité dépendra de plusieurs facteurs. Si elle est bien accueillie par les investisseurs et les entreprises, son impact réel ne pourra être mesuré que dans les mois à venir, en fonction des évolutions du marché et des politiques économiques mises en place.

Approche économique : Réinventer la Tunisie avec un modèle sur mesure

01. April 2025 um 17:35

Face aux défis économiques actuels, la Tunisie doit adopter un modèle économique dynamique et durable. Selon les experts, plusieurs axes stratégiques sont à privilégier pour assurer une croissance inclusive et résiliente.

La Presse — Cela fait près de deux décennies que la Tunisie traverse une période de mutations économiques profondes, marquée par des défis structurels et des opportunités de croissance à saisir. Face à ces défis, le pays doit impérativement repenser son modèle économique pour assurer un développement durable et inclusif. Quel modèle économique conviendrait alors le mieux à la Tunisie d’aujourd’hui ?

Les limites du modèle actuel

Depuis son indépendance, la Tunisie a connu plusieurs phases économiques. On a commencé par une économie dirigée dans les années 1960, ensuite un libéralisme encadré dans les années 1970-1980, puis une ouverture progressive au marché dans les années 1990-2000. Cependant, ces réformes n’ont pas permis de résoudre certaines failles structurelles. Et qui dit failles dit chômage élevé, notamment chez les jeunes diplômés, malgré un taux de scolarisation élevé, un déficit budgétaire croissant, aggravé par une dette publique qui dépasse 80 % du PIB, une économie informelle prédominante, représentant près de 50 % du PIB, échappant ainsi à l’impôt et un investissement étranger entravé par une bureaucratie lourde. Face à ces constats, un changement de cap s’impose pour bâtir un modèle économique résilient et inclusif.

Pas de copier-coller !

De l’avis de plusieurs économistes tunisiens et étrangers, la Tunisie ne peut pas simplement copier un modèle économique étranger, mais doit en élaborer un sur mesure, combinant plusieurs approches. De ce point de vue, l’économie sociale et solidaire (ESS) peut être d’une grande utilité pour le pays, dès lors qu’elle repose sur des valeurs de coopération et de partage des richesses. Ce modèle pourrait être une solution pour encourager les coopératives agricoles et artisanales, notamment dans les régions défavorisées. Il permet également de favoriser les entreprises à impact social, générant de l’emploi tout en répondant aux besoins de la population. Dans la même optique, d’autre voix appellent à formaliser une partie de l’économie informelle en incitant les petits entrepreneurs à intégrer un cadre légal avantageux. La Tunisie dispose d’un capital humain qualifié dans le domaine technologique. Pour cela, il est essentiel de développer les startup  technologiques et les industries créatives à travers des financements publics et privés. Il faut aussi digitaliser les services publics et administratifs pour améliorer l’efficacité et réduire la corruption. L’Etat est, de surcroît, appelé à investir dans la formation aux métiers du numérique, afin de répondre aux exigences du marché mondial. Autrement, plutôt que de dépendre d’un modèle basé sur une main-d’œuvre bon marché, la Tunisie doit miser sur une industrialisation axée sur l’innovation, en soutenant les secteurs de l’électronique, de l’aéronautique et des énergies renouvelables. Elle a aussi intérêt à miser sur une agriculture intelligente et durable, réduisant la dépendance aux importations et valorisant les produits locaux sur le marché international.

Un tourisme repensé et diversifié

Le tourisme de masse pratiqué en Tunisie doit évoluer vers un tourisme durable et écologique, mettant en valeur le patrimoine naturel et culturel. Cette évolution n’aura pas lieu sans une diversification des offres, en intégrant l’agrotourisme, l’écotourisme et le tourisme médical. Ajoutons une amélioration des infrastructures pour attirer une clientèle à fort pouvoir d’achat. Reste à dire que pour mettre en place ce nouveau modèle économique, plusieurs conditions sont nécessaires. C’est qu’il faut réunir une gouvernance transparente et efficace, limitant la corruption et améliorant le climat des affaires et un cadre juridique incitatif, simplifiant les démarches pour les entrepreneurs et investisseurs. S’y ajoutent consécutivement un système éducatif adapté aux nouvelles exigences économiques, formant des compétences en adéquation avec les besoins du marché et un partenariat public-privé dynamique, encourageant l’investissement et la création d’emplois. La Tunisie a, in fine, les ressources humaines et naturelles pour bâtir un modèle économique résilient et inclusif. Un modèle hybride, combinant innovation, économie sociale et solidaire ainsi que des industries à forte valeur ajoutée et un tourisme diversifié, pourrait permettre au pays de surmonter ses défis et d’assurer une croissance durable. Pour y parvenir, il faudra une volonté politique forte, des réformes structurelles ambitieuses et un engagement collectif des différents acteurs économiques et sociaux.

Les bases d’un modèle de développement réussi

01. April 2025 um 17:30

En s’appuyant sur ces leviers, la Tunisie pourra renforcer sa compétitivité, attirer les investissements et assurer un avenir prospère à ses citoyens. Dans un contexte mondial en mutation, la Tunisie se doit d’adopter un modèle de développement durable et innovant afin de garantir une croissance équilibrée et inclusive. Face aux défis économiques, sociaux et environnementaux, il est essentiel de miser sur des secteurs stratégiques et de mettre en place des réformes adaptées. L’économie de la connaissance, la transition écologique, l’amélioration du climat des affaires et une gouvernance efficace constituent les piliers d’un développement réussi.

Miser sur la tech et le développement durable

Avec une jeunesse instruite et un écosystème technologique en développement, la Tunisie a le potentiel de devenir un hub régional dans les secteurs du numérique, de l’intelligence artificielle et des biotechnologies. Investir massivement dans la recherche et le développement, ainsi que dans l’éducation et la formation continue, permettrait d’attirer des investisseurs et de favoriser l’essor des startup innovantes. La transition écologique est une opportunité pour la Tunisie. Le pays bénéficie d’un ensoleillement important et d’un fort potentiel éolien, ce qui favorise les énergies renouvelables. Par ailleurs, l’adoption de pratiques agricoles durables et le recyclage des déchets contribueraient à la protection de l’environnement tout en générant de nouveaux emplois verts.

Attractivité et climat des affaires

Pour relancer l’investissement, il est essentiel de simplifier les procédures administratives, de garantir une fiscalité stable et incitative, et d’encourager le partenariat public-privé. La digitalisation des services économiques et la lutte contre la corruption renforceront la confiance des investisseurs locaux et étrangers.

Gouvernance et réformes structurelles

L’efficacité de l’Etat joue un rôle clé dans la réussite du modèle économique. Une meilleure gestion des finances publiques, la modernisation de l’administration et une décentralisation équilibrée permettront d’améliorer l’efficacité des politiques économiques. En combinant ces axes, la Tunisie pourra bâtir un modèle économique résilient, créateur de valeur et inclusif, garantissant une croissance durable et équitable pour l’ensemble de la population.

 

Portrait : Ichraq Matar, une artiste en plein essor

01. April 2025 um 17:25

Sur les planches comme à l’écran, elle fait déjà des vagues, et nombreux sont ceux qui lui prédisent un grand succès

La Presse — Dans le monde du spectacle et des arts vivants, Ichraq Matar se distingue comme une artiste multi-talents, transformant une passion d’enfance en une carrière florissante.  Elle s’est frayé progressivement un chemin dans la sphère culturelle à côté de grands noms qui croient en elle.

Actuellement à l’affiche de la pièce « Au violon » de Fadhel Jaziri, elle y incarne plusieurs personnages avec des couleurs et des costumes très différents et fait preuve de compétences vocales indéniables. Elle est également la star de « Arboun 3 » où elle chante, avec aisance et une voix singulière,  danse  et nous transporte dans son monde de strass et de paillettes. 

Ichraq Matar a grandi dans un milieu qui vénérait les livres. Dès son jeune âge, elle était conteuse. Elle s’amusait à raconter  oralement des histoires qu’elle puisait dans son énorme bibliothèque familiale tout en ayant recours à son imaginaire.  Elle a participé à des compétitions en Tunisie et ailleurs et a fait des passages réguliers à la radio. C’est en chroniqueuse puis animatrice dans deux chaînes radio privées qu’elle a fait ses débuts dans le monde médiatique. En parallèle, son talent pour le théâtre s’est révélé comme une évidence depuis son enfance. Elle a fait partie du club de théâtre au collège puis au lycée pilote où elle a appris les bases de l’expression dramatique. Après avoir décroché son baccalauréat et entamé des études universitaires dans un autre domaine, elle a finalement été rattrapée par la fibre artistique. Elle a donc enchaîné les formations, lui conférant un apprentissage solide.

Par la suite, la jeune star franchit un cap en décrochant un rôle dans la pièce « First Class » du réalisateur syrien Rémi Sarmini. Elle a joué par la suite dans « « Ad libitum, alahawak» de Taoufik Jebali et « Kaligula 2 » de Fadhel Jaziri, conquérant ainsi rapidement le cœur du public.

Son parcours la mène à des collaborations avec Kaouther Ben Hania. Ensemble, elles ont enchaîné des expériences de haut niveau. Elle a joué dans « Love, life and everything in between »,  une série diffusée sur Netflix où elle donne la réplique à Abdelhamid Bouchnak. Elle a également participé à « L’homme qui a vendu sa peau ». Ce film, avec Monica Bellucci à l’affiche, a décroché de nombreux prix à l’échelle internationale et a été même nommé aux Oscars. C’est avec « Les filles d’Olfa » qu’elle a vécu de grands moments de gloire en montant les marches à Cannes à côté des plus grandes stars du cinéma international.  Ce long métrage a reçu le César du meilleur film documentaire en 2024. Il a même été retenu dans la short list des Oscars  dans deux catégories. 

Ichraq Matar a tourné la même année dans « Asfour jenna », un film tuniso-italien signé Mourad Ben Cheikh sorti  fin 2024. Elle a aussi prêté ses traits à Icha, une jeune ouvrière agricole,  pour un court métrage de Selma Hobbi. «Le sentier d’Aïcha» (Thniet Isha) a été primé à la dernière édition des JCC. 

Une belle carrière cinématographique qui ne l’a pourtant pas détournée de sa passion pour la musique. Ne voulant pas se limiter à une seule spécialité, Ichraq Matar a fait partie du chœur de l’Orchestre symphonique tunisien. Elle a d’ailleurs chanté dans les deux versions de « Carmen », en français et en dialecte tunisien. Cet opéra  a été représenté sur les plus grandes scènes tunisiennes dont l’Amphithéâtre d’El Jem et lors de la dernière édition du Festival international de Carthage. Elle chante actuellement au sein de la troupe musicale « Oyoun el kalem ».

En parallèle avec sa carrière artistique, la jeune star a rejoint de nombreuses associations engagées. Elle participe à des évènements avec les textes qu’elle rédige elle-même, en vers ou en prose. Comment arrive-t-elle à s’organiser en ayant plusieurs cordes à son arc ? « J’ai un emploi de temps très chargé », nous répond-elle. « Mais  je peux dire que c’est de la bonne fatigue». La jeune star refuse la catégorisation et souhaite continuer à se démarquer dans plusieurs branches artistiques.« Les activités que je mène se complètent », poursuit-elle. « Le théâtre, le cinéma, la musique, la danse et l’écriture sont tous vecteurs d’émotions. C’est un ensemble indivisible ».

Avec ce parcours prometteur, Ichraq Matar s’impose donc progressivement comme l’une des artistes à suivre de près. Sur les planches comme à l’écran, elle fait déjà  des vagues, et nombreux sont ceux qui lui prédisent un grand succès même au-delà de nos frontières.

Le Forum de la promotion de l’artisanat pour les personnes handicapées se tiendra le 16 avril à Gammarth

01. April 2025 um 18:42

Le Forum national de la promotion de l’artisanat et de l’entrepreneuriat pour les personnes en situation de handicap se tiendra le 16 avril prochain au Centre international pour la promotion des personnes handicapées, à Gammarth.

Il est organisé à l’initiative de l’Office national de l’artisanat (ONA), HandiSuccess International et le Centre international pour la promotion des personnes handicapées (CIPPH).

Selon les organisateurs, « cet événement vise à valoriser les talents et créations artisanales des personnes en situation de handicap, en les intégrant dans une dynamique économique durable, tout en offrant aux entreprises une solution alternative pour répondre à leurs obligations sociales, à travers l’acquisition de produits artisanaux.

Il constitue, également, une opportunité pour les entreprises de plus de 50 salariés, éligibles à la loi 41 de 2016 relative à l’obligation d’emploi des personnes en situation de handicap et bénéficiant de dérogations de l’inspection de travail, de se conformer à la réglementation, en privilégiant l’achat de produits artisanaux, plutôt que le recrutement direct.

Par ailleurs, cet événement permettra de découvrir les solutions de financement et les opportunités de soutien dédiées aux artisans en situation de handicap ».

« Lors dudit forum, les personnes intéressées peuvent passer commande en temps réel via la plateforme HandiArtisan. Une opportunité d’acquérir des créations artisanales de qualité tout en soutenant activement l’inclusion économique ».

Les inscriptions se font sur le lien suivant: httpss://handitalents.com/forum-national-de-lartisanat-et…/

L’article Le Forum de la promotion de l’artisanat pour les personnes handicapées se tiendra le 16 avril à Gammarth est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Sécurité : Opération coup de filet dans cinq gouvernorats

01. April 2025 um 18:28

Sept éléments takfiristes recherchés pour suspicion d’appartenance à une organisation terroriste ont été appréhendés lors d’une opération conjointe menée par les unités régionales de la Garde nationale au Kef, Monastir, Sousse, Sfax et Bizerte, en coordination avec les services de lutte contre le terrorisme.

Les individus interpellés, déjà condamnés à des peines de prison allant de deux à trois ans, faisaient l’objet de recherches par plusieurs unités de sécurité et structures judiciaires.

Les procédures légales ont été engagées en coordination avec le parquet, a tenu à préciser la Direction générale de la Garde nationale dans un communiqué publié mardi 1er avril 2025.

Les autorités ont appelé les citoyens à coopérer avec les forces de sécurité en signalant toute activité suspecte au numéro vert 71860135, afin de renforcer la sécurité publique et la sûreté nationale.

Avec TAP

L’article Sécurité : Opération coup de filet dans cinq gouvernorats est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie et Cap-Vert misent sur la ZLECAf pour renforcer leur coopération économique

Von: walid
01. April 2025 um 18:18

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, et son homologue cap-verdien, José Filomeno de Carvalho Dias Monteiro, ont plaidé en faveur de la mise en œuvre effective de l’accord-cadre signé en 2022, lors d’un entretien téléphonique jeudi dernier.

Cet accord avait été conclu en marge de la 8ᵉ Conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique (TICAD 8), organisée par la Tunisie les 27 et 28 août 2022.

Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères publié samedi, les deux ministres ont souligné la nécessité d’exploiter pleinement les opportunités offertes par la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) pour stimuler les échanges commerciaux bilatéraux.

Ils ont également abordé des questions régionales et internationales majeures, notamment les moyens de promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité en Afrique, ainsi que de contribuer à la réforme des institutions de l’Union africaine (UA).

Les deux parties se sont engagées à intensifier les consultations au sein des organisations régionales et internationales, y compris l’Union africaine et les instances onusiennes. Elles ont convenu d’échanger un soutien mutuel dans leurs candidatures respectives à des postes élevés au sein de ces institutions.

L’article Tunisie et Cap-Vert misent sur la ZLECAf pour renforcer leur coopération économique est apparu en premier sur WMC.

Tourisme en Tunisie : vers un nouveau record de visiteurs en 2025 ?

Von: hechmi
01. April 2025 um 18:13
Tourisme
Tourisme Tunisie

Les recettes touristiques tunisiennes ont enregistré une hausse de 5 % au premier trimestre 2025 par rapport à la même période en 2024, selon les dernières statistiques publiées par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Ces données révèlent que les revenus du secteur ont atteint 1210,6 millions de dinars (MD) à la date du 20 mars 2025, contre 1152,8 MD un an plus tôt.

Le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, avait précédemment indiqué à l’agence TAP que la Tunisie pourrait accueillir plus de 11 millions de touristes en 2025, contre 10,25 millions en 2024. Il a annoncé la mise en place d’un programme exhaustif couvrant le tourisme balnéaire, médical, culturel et écologique pour la prochaine saison.

Le ministère tend également à diversifier ses marchés émetteurs, ciblant notamment la République tchèque, la Chine et l’Espagne. Un accord a été signé avec la République tchèque pour l’ouverture de vols directs à partir d’avril 2025.

L’article Tourisme en Tunisie : vers un nouveau record de visiteurs en 2025 ? est apparu en premier sur WMC.

Ligue des champions : L’Espérance dominée à Pretoria, tout se jouera à Radès

Von: hechmi
01. April 2025 um 17:35

Espérance TarajiFace à un adversaire supérieur dans tous les compartiments du jeu, l’Espérance Sportive de Tunis a cédé (0-1) sur la pelouse des Mamelodi Sundowns, en quart de finale aller de la Ligue des champions africaine. Un score qui aurait pu être plus lourd… mais qui laisse une infime marge de manœuvre pour le retour à Radès.

Le duel tant attendu entre deux géants du football africain a tourné court. À Pretoria, les Sang et Or n’ont pas existé face à une équipe sud-africaine en pleine maîtrise. Dès les premières minutes, les Sundowns ont imposé leur tempo et privé l’Espérance de ballon. Résultat : 15 % de possession tunisienne et aucun tir cadré en première période.

Dès la 3e minute, Mokoena mettait à l’épreuve Moez Ben Said, contraint de multiplier les parades pour maintenir l’équilibre. La défense tunisienne a plié à la 53e minute : un centre millimétré d’Arthur Sales trouvait Adams, dont la remise profitait à Peter Shalulile, buteur implacable.

Les changements opérés par le coach Kenzari — avec les entrées de Teka, Jebali et Rodrigo Rodrigues — n’ont pas inversé la tendance. Les Tunisiens, timides offensivement, ont davantage tenté de limiter la casse que de revenir au score. Le retour de blessure d’Achref Jabri n’a rien apporté, tant l’Espérance semblait sans solution.

Malgré cette défaite, tout n’est pas perdu. Le score reste maigre, et le retour à Radès pourrait offrir un tout autre visage, à condition de hausser nettement le niveau. Pour espérer renverser la vapeur, l’Espérance devra assumer plus de risques, retrouver de la créativité et compter sur un leader offensif capable de faire la différence.

L’article Ligue des champions : L’Espérance dominée à Pretoria, tout se jouera à Radès est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : arrestation de sept individus recherchés pour appartenance terroriste

01. April 2025 um 18:16
Tunisie : arrestation de sept individus recherchés pour appartenance terroriste

Les unités des régions de la Garde nationale de Kasserine, Monastir, Sousse, Sfax et Bizerte, en collaboration avec les services de lutte contre le terrorisme, ont réussi à arrêter sept individus recherchés pour appartenance présumée à une organisation terroriste. Selon un communiqué publié ce mardi par la Direction générale de la Garde nationale, ces suspects […]

The post Tunisie : arrestation de sept individus recherchés pour appartenance terroriste first appeared on Directinfo.

Football – LCA (1/4 de finale aller) Memelodi-EST (0-1): L’Espérance s’incline sans panache à Pretoria

Von: walid
01. April 2025 um 17:45
Football – LCA (1/4 de finale aller) Memelodi-EST (0-1): L’Espérance s’incline sans panache à Pretoria

Ce devait être le choc entre deux géants africains, mais on a surtout assisté à une démonstration de domination sud-africaine. L’Espérance ST, quadruple champion, a chuté (0-1) face aux Mamelodi Sundowns en quart de finale aller de la Ligue des champions, et peut s’estimer heureux de ne pas avoir pris davantage. Le première mi-temps se […]

The post Football – LCA (1/4 de finale aller) Memelodi-EST (0-1): L’Espérance s’incline sans panache à Pretoria first appeared on Directinfo.

❌
❌