Oui, la violence est partout, à commencer par le foyer. Parce que les adultes (surtout les hommes) veulent toujours avoir raison et ne veulent pas écouter l’avis des plus jeunes et, au lieu d’utiliser la force de l’argument, ils utilisent l’argument de la force, ce qui entraîne fatalement des drames. Parce que les jeunes élevés de cette façon ne peuvent que répercuter —à leur tour— ce qu’ils ont subi durant leur enfance. C’est un cercle vicieux. D’où les drames qui surviennent tous les jours et partout comme le meurtre de ce jeune élève devant son lycée.

Alors maîtrisons nos nerfs et discutons. C’est difficile, mais avec de la persévérance, nous y arriverons. Rien n’est impossible…

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Alors que le temps — avec l’arrivée de l’automne — a changé un peu partout dans l’hémisphère nord, notamment en Europe centrale, avec le mercure qui a baissé plus que d’habitude et l’apparition précoce et inopinée de pluies diluviennes, de crues  des cours d’eau et d’inondations avec leurs cortèges de morts et de disparus, chez nous, la pluie se fait timide et tarde à nous arroser — ou si peu — de ses bienfaits ô combien souhaités. Pourtant les prémices sont là : baisse de la température, vents assez forts et nuages bien noirs et chargés de pluies. Que reste-t-il? La volonté divine. Alors, en attendant, que nos agriculteurs retroussent leurs manches pour ne pas être pris de court. Et que l’on procède également au nettoyage et au curage des oueds et surtout des conduites de l’Onas. Prévenir vaut mieux que guérir. 

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Face à l’aggravation du stress hydrique et la détérioration de nos ressources en eau, avec un potentiel hydrique désormais critique à 410 m³ par habitant et par an, des mesures urgentes s’imposent. Parmi celles-ci, il est essentiel d’intégrer, dans les permis de construire, l’obligation d’installer de petits systèmes hydrauliques traditionnels pour la collecte des eaux. Ces techniques ancestrales, déjà éprouvées dans des régions frappées par la pénurie d’eau, incluent les «joussours», les «majel» et les «festqia». Leur installation, tant dans les maisons individuelles que collectives, dans les villes et les campagnes, n’est pas onéreuse et permet de capter et stocker les eaux de pluie. Ainsi, ces dispositifs aident à économiser l’eau et à en disposer tout au long de l’année, notamment durant les périodes de pénurie qui sont devenues fréquentes.

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Aujourd’hui, c’est la rentrée des classes. Une rentrée que nous espérons sereine. Nous pensons surtout aux plus jeunes, les écoliers qui vont débuter leur vie scolaire en allant à l’école pour la première fois et qui vont éprouver beaucoup de difficultés à s’adapter à cette nouvelle vie — à moins qu’ils n’aient été préparés en amont, ce qui n’est pas donné à tous. A ces enfants, il faudrait que tout le monde se ligue pour leur faciliter les premiers jours, à commencer par les instituteurs et leurs parents.

Bonne rentrée à tous !

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Depuis plusieurs jours, les lumières sont allumées sans interruption dans l’une des stations du métro d’une ligne de la banlieue sud. Les utilisateurs de cette ligne sont étonnés qu’il n’y ait eu aucune réaction de la part des responsables.

En effet, on ne s’explique pas les raisons d’une telle négligence. Un jour ou deux peut, à la rigueur, se comprendre. Mais plusieurs, cela devient étrange. Certes, on est habitué à de telles situations au niveau de l’éclairage public ?

Or, ce dont il s’agit ne manque pas d’intriguer. C’est à croire qu’il n’y a aucune autorité.

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Depuis l’époque coloniale, les Tunisiens luttent avec acharnement pour que notre drapeau soit fièrement hissé, tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur. Cependant, le feuilleton du drapeau ne semble pas vouloir se terminer. Après l’affaire du remplacement du drapeau national par un étendard salafiste à la faculté de La Manouba, en 2012, qui a suscité l’intervention courageuse de Khaoula Rachidi qui a arraché l’étendard noir et a remis le drapeau national, et l’incident où le drapeau tunisien a été recouvert d’un tissu lors d’une compétition sportive, organisée au mois de mai dernier, c’était la suite d’une vidéo publiée mardi dernier qui a révélé un autre épisode du feuilleton : un drapeau étranger a été par confusion placé sur un bâtiment administratif. Ces actes irresponsables et inacceptables exacerbent l’inquiétude et la tension chez les Tunisiens. Ceux qui sont chargés de ces responsabilités devraient être en première ligne et très vigilants pour défendre notre drapeau, symbole de notre souveraineté et de notre unité nationale.

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Face à l’augmentation inquiétante des cas de cancer chez les enfants, avec plus de 300 diagnostics positifs annuels, il est essentiel d’organiser des actions de sensibilisation dans chaque quartier. Ces initiatives pourraient prendre la forme d’événements sportifs, tels que des marathons ou des courses cyclistes, visant à informer, soutenir les malades et leurs familles, tout en mettant en lumière les risques liés à la consommation excessive de fast-food. Des stands de sensibilisation pourraient également promouvoir des alternatives alimentaires saines, adaptées à notre culture culinaire. Transformons nos dimanches en journées dédiées à la sensibilisation et à l’animation des quartiers, en misant sur la solidarité et l’engagement de tous.

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Enfin, une bonne pluie est venue rafraîchir l’atmosphère et arroser une terre et une agriculture qui ont soif et ont souffert du manque de précipitations. Espérons que ce sont de bons prémices pour une saison agricole que nous espérons meilleure que les précédentes. En attendant, comptons sur nous-mêmes et comportons-nous en citoyens responsables. Comment? Eh bien, c’est d’utiliser cette eau avec parcimonie et là où il faut. D’autres actions sont aussi nécessaires.

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Alors que parmi nos voisins du Nord, le covoiturage est permis et même recommandé, chez nous, il est depuis toujours— à notre connaissance —strictement interdit, étant assimilé probablement au transport clandestin. Mais quand vous voyez des dizaines de voitures— qui font le même itinéraire — avec seulement le conducteur vous ne pouvez que constater les dégâts. La pollution environnementale et la nuisance, la consommation de carburant (subventionné), et l’usure des composants mécaniques et des infrastructures pourraient être réduites grâce justement au covoiturage. Voilà de l’économie. Sans compter la réduction des accidents. Finalement, le covoiturage est un gain pour tout le monde. Il suffit juste de s’organiser.

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