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Heute — 07. Juni 2025Haupt-Feeds

La Tunisie se joint à la «Marche mondiale vers Gaza»

07. Juni 2025 um 12:31

Une caravane humanitaire tunisienne, baptisée «Convoi de la Résilience», partira lundi prochain, 9 juin 2025, du port de La Goulette, à Tunis, pour rejoindre la bande de Gaza via la Libye et l’Égypte.

L’initiative est promue par la Coordination conjointe pour la Palestine et s’inscrit dans le cadre de la «Marche mondiale vers Gaza», une mobilisation internationale impliquant des militants de plus de 30 pays, pour réclamer la fin du siège israélien du territoire palestinien occupé et l’ouverture de couloirs humanitaires.

Le convoi transportera des produits essentiels, notamment des médicaments et de la nourriture, destinés à la population palestinienne. Parmi les participants figurent des bénévoles, des médecins et des avocats tunisiens, avec le soutien d’organisations de la société civile et de syndicats comme l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), qui a qualifié cette initiative de «devoir moral» et d’acte de solidarité concrète.

Selon les organisateurs, la caravane se joindra à d’autres délégations internationales qui convergeront vers le point de passage de Rafah, à la frontière entre l’Égypte et Gaza, pour manifester pacifiquement et réclamer l’ouverture de couloirs humanitaires.

La «Marche mondiale vers Gaza», dont l’arrivée a Gaza est prévue le 15 juin courant, représente une réponse de la société civile internationale à l’inaction des gouvernements face à la crise humanitaire dans la bande de Gaza.

Le départ du convoi de La Goulette est un signe supplémentaire de l’engagement de la société civile tunisienne à soutenir la cause palestinienne et à promouvoir des actions concrètes contre le siège de Gaza, ont déclaré les organisateurs.

I. B.

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L’Égypte lance officiellement son réseau 5G

05. Juni 2025 um 09:24

Le gouvernement égyptien a officiellement lancé, mercredi 4 juin 2025, les services de téléphonie mobile de cinquième génération, la 5G.

L’Autorité nationale de régulation des télécommunications (NTRA – National Telecom Regulatory Authority)) et les opérateurs mobiles opérant sur le marché égyptien ont signé des licences pour exploiter des services de cinquième génération et renouvelé les licences des générations précédentes pour une période de 15 ans, pour une valeur totale de 675 millions de dollars.

Les technologies 5G offrent des vitesses Internet ultra-rapides, améliorent les performances des applications intelligentes et réduisent considérablement le temps de réponse, permettant une expérience utilisateur plus efficace pour l’utilisateur final.

e& Egypt a annoncé le lancement de services 5G sur le marché égyptien dans le cadre de l’expansion de l’entreprise visant à améliorer et à soutenir la transformation numérique.

La société a déclaré que cette décision s’appuie sur des investissements massifs dans les infrastructures et le développement du réseau, soulignant l’engagement continu de la société à fournir les dernières solutions technologiques à ses clients.

L’entreprise a récemment obtenu une licence pour exploiter des services 5G pour un investissement de 170 millions de dollars.

Orange Egypte a également annoncé le lancement officiel des services 5G après avoir terminé tous les préparatifs techniques et opérationnels.

Elle a expliqué que la première phase du lancement comprendra un certain nombre de zones vitales dans tous les gouvernorats d’Égypte, avec une couverture qui s’étendra progressivement au cours de la période à venir en coopération avec l’Autorité nationale de régulation des télécommunications.

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Climat : ouverture de la 3ᵉ Conférence internationale au Caire avec la Ligue arabe

03. Juni 2025 um 15:59

Les travaux de la 3e Conférence internationale sur le climat et l’environnement ont débuté, mardi au siège du Secrétariat général de la Ligue des États arabes au Caire, avec la participation de personnalités, de représentants d’organisations internationales et régionales ainsi que d’institutions académiques arabes et étrangères.

Organisée en partenariat avec la Ligue des États arabes, cette conférence de deux jours vise à sensibiliser davantage aux enjeux climatiques et environnementaux, à mettre en lumière des projets et des initiatives contribuant à la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD), à lancer de nouvelles initiatives environnementales et sociétales, ainsi qu’à récompenser les projets et initiatives en relation avec le climat et l’environnement.

Ce conclave s’érige en plateforme pour l’échange de connaissances et d’expériences entre experts, universitaires et décideurs dans les domaines du climat, du développement durable et de l’innovation environnementale à même de mettre en avant l’importance de l’action collective face aux défis écologiques.

Au programme de cette conférence, organisée dans le sillage de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement (5 juin), figure une table ronde réunissant plusieurs responsables et experts des questions climatiques et environnementales pour débattre notamment des stratégies nationales et régionales à adopter face aux changements climatiques en matière de gestion des ressources hydriques, de la pollution plastique et des villes durables.odd

Des tables rondes seront également organisées autour de sujets tels que le mécanisme d’ajustement de la limite de carbone, l’économie circulaire, l’hydrogène vert et l’intelligence artificielle dans le domaine de l’eau et de l’environnement.

Selon les estimations de la Commission économique et sociale pour l’Asie occidentale (CESAO), les pertes économiques liées au changement climatique dans certains pays arabes peuvent atteindre 14% du PIB d’ici 2050 en l’absence de mesures d’adaptation efficaces. D’autres rapports font état de plus de 60 millions de citoyens arabes souffrant d’une pénurie hydrique aiguë, tandis que les températures dans la région arabe devraient augmenter de 2,5 à 5 degrés C° d’ici la fin du siècle.

 

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Égypte-FMI : des points sensibles bloquent le décaissement de 1,3 milliard de dollars

02. Juni 2025 um 12:12

En dépit des dizaines de milliards de dollars que l’Égypte a reçus depuis 2014, le pays demeure toujours sous stress financier élevé. Actuellement, l’appui du FMI est un facteur clé pour que Le Caire résiste et évite un défaut de paiement. 

Le programme de facilité élargie de crédit porte sur 8 milliards de dollars, à encaisser sur des tranches selon le rythme d’avancement des réformes. Une équipe de l’institution financière internationale s’est déplacée en Égypte, mais les résultats ne sont pas si bons.

Désaccord préoccupant

Après deux semaines de négociations délicates, dans le cadre de la cinquième revue dudit programme, les médias économiques ont confirmé que, dans les coulisses, des divergences sont apparues entre les deux parties. Cela concerne le rôle de l’État dans l’économie, le report répété de la privatisation des entreprises appartenant à l’armée, la rapidité du programme de privatisation et l’engagement du gouvernement à élargir l’assiette fiscale afin d’intégrer l’économie informelle et les institutions de sécurité dans la communauté financée par le contribuable qui finance le budget de l’État.

Un communiqué du FMI publié à l’issue de la visite n’a pas fixé de calendrier exact pour le déboursement de la prochaine tranche du prêt de 1,3 milliard de dollars.

Lire aussi : L’UE va octroyer 4 milliards d’euros de prêt à l’Égypte

Le message de l’équipe du FMI était clair : la stabilité macroéconomique ne suffit plus. Des réformes plus profondes sont nécessaires pour libérer le potentiel de croissance, créer des emplois et accroître la résistance de l’économie aux chocs.

La main invisible des militaires

La réduction du rôle de l’État dans l’activité économique doit se faire de manière décisive, indique le FMI, appelant le gouvernement égyptien à accélérer la mise en œuvre du programme de cession d’actifs dans les secteurs dont l’État a annoncé son intention de se retirer.

Au début de 2025, la décision était d’introduire en Bourse des participations dans 11 entreprises publiques, mais seules des mesures limitées ont été prises jusqu’à présent.

Les recettes fiscales ont également constitué un point de discussion majeur lors de la cinquième revue. Bien que le FMI ait salué les efforts de simplification des procédures fiscales et douanières, il a souligné la nécessité de revoir les exonérations, en particulier celles accordées aux organismes publics et à l’armée. Et ce, afin de renforcer la capacité de l’État en matière de développement et de dépenses sociales.

Cette approche se heurte à des difficultés locales et à des complications bureaucratiques gérées par l’État profond, notamment les défis liés à l’intégration du secteur informel dans l’économie réelle. Il semble que la question de la privatisation des entreprises publiques et affiliées à l’armée risque de rester l’un des points de négociation les plus sensibles entre les deux parties. D’autant plus que le gouvernement mise sur une amélioration du climat d’investissement après la stabilisation du taux de change et des taux d’inflation relativement bas.

Le Caire ne se précipite pas pour vendre des entreprises publiques sous la pression du FMI, à un moment contraire à l’état des marchés locaux et internationaux. La demande d’investissement dans l’achat d’entreprises a diminué en raison de la guerre tarifaire que le président Trump a déclenchée à l’échelle internationale. La baisse des revenus du canal de Suez et les mauvaises performances économiques, l’augmentation de la dette publique, en particulier de la dette extérieure, et le besoin de l’État en devises fortes de l’ordre de 3 milliards de dollars en juin pourraient le pousser à accepter toutes les conditions imposées par le FMI.

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Crise libyenne : Tunisie, Égypte et Algérie appellent à un règlement politique sans ingérence étrangère

Von: walid
02. Juni 2025 um 10:55

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a réaffirmé, samedi, au Caire, la position ferme et constante de la Tunisie en faveur d’un dialogue interlibyen inclusif, placé sous l’égide des Nations unies et avec le soutien des pays du voisinage, en vue d’une solution politique consensuelle mettant un terme au conflit en Libye.

Nafti s’exprimait à l’occasion de la réunion consultative tripartite sur la situation en Libye, tenue en présence du ministre égyptien des Affaires étrangères, de l’Emigration et des Expatriés, Badr Abdelatty et du ministre d’État, ministre algérien des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf.

Le ministre a réaffirmé, lors de cette réunion, “l’engagement ferme de la Tunisie à participer activement à toutes les initiatives, mécanismes et processus visant à favoriser un règlement politique global et durable en Libye”, indique le département des Affaires étrangères.

À l’issue de cette réunion tripartite, organisée dans le cadre de la relance du mécanisme des pays du voisinage de la Libye, une déclaration conjointe a été publiée. Dans ce texte, les ministres des Affaires étrangères de Tunisie, d’Égypte et d’Algérie appellent toutes les parties libyennes à faire preuve de la plus grande retenue et à mettre fin immédiatement à toute forme d’escalade afin d’assurer la sécurité et l’intégrité du peuple libyen frère et de favoriser l’émergence d’un consensus, avec l’appui des Nations unies et le soutien des pays voisins, pour faire avancer le processus politique en Libye.

Ils ont insisté sur l’urgence de parvenir à une solution à la crise libyenne et de mettre fin à la division politique, dans le but de prévenir toute nouvelle flambée de violence, l’expansion du terrorisme et l’aggravation du conflit.

Le ministres tunisien, algérien et égyptien ont aussi réaffirmé leur rejet catégorique de toute ingérence étrangère en Libye qui ne fait qu’alimenter les tensions internes, prolonger la crise et compromettre la sécurité et la stabilité en Libye et dans les pays du voisinage, lit-on de même source.

Dans cette perspective, les ministres ont appelé à poursuivre le soutien aux efforts du Comité militaire mixte (jmc 5+5) en vue de consolider le cessez-le-feu en vigueur, de garantir le retrait, dans un délai défini, de toutes les forces étrangères, combattants étrangers et mercenaires, et de réunifier les institutions militaires et sécuritaires, dans le plein respect des initiatives entreprises dans les cadres onusien, africain, arabe et méditerranéen.

Les ministres tunisien, algérien et égyptien des Affaires étrangères ont exhorté les parties libyennes à poursuivre le processus politique et à aller de l’avant en vue de l’unification des institutions nationales et de l’organisation des élections législatives et présidentielle.

Ils ont réaffirmé le principe de souveraineté pleine et entière de la Libye sur son processus politique, lequel doit émaner de la volonté et du consensus de toutes les composantes du peuple libyen frère, avec le soutien des Nations unies, dans un esprit d’inclusion et de respect de l’intérêt général.

Les ministres ont enfin convenu de poursuivre la coordination entre leurs pays et l’Organisation des Nations unies en vue de promouvoir la paix, la sécurité, la stabilité et le développement dans la région.

Ils ont appelé à l’organisation de la prochaine réunion ministérielle du mécanisme tripartite à Alger, suivie d’une autre réunion à Tunis, avant la fin de l’année en cours.

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Les tensions en Libye réactivent le mécanisme tripartite de voisinage Egypte-Tunisie-Algérie  

01. Juni 2025 um 09:31

Les trois pays voisins de la Libye, l’Egypte, la Tunisie et l’Algérie, ont appelé samedi 31 mai 2025, dans un communiqué conjoint publié par le ministère égyptien des Affaires étrangères à l’issue d’une réunion trilatérale consacrée à la Libye au Caire, toutes les parties libyennes à mettre fin «immédiatement» à l’escalade et à organiser simultanément des élections législatives et présidentielles.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, ses homologues tunisien, Mohamed Ali Nafti, et algérien, Ahmed Attaf, ont assisté à la réunion dans le cadre d’un mécanisme de coordination tripartite de voisinage.

Selon le communiqué : «Les ministres des Affaires étrangères égyptien, tunisien et algérien se sont réunis au Caire dans le cadre de la reprise du mécanisme de coordination tripartite afin d’examiner l’évolution de la situation en Libye et de favoriser la solution politique souhaitée.

«Compte tenu de la gravité de la situation en Libye et de la situation sécuritaire actuelle dans la capitale, Tripoli, les ministres ont renouvelé leur appel à toutes les parties libyennes pour qu’elles fassent preuve de la plus grande retenue et adoptent immédiatement une attitude de désescalade, de manière à garantir la sécurité du peuple libyen.»

La déclaration conjointe a souligné l’importance de faire avancer le processus politique en Libye, notamment en unifiant les institutions et en organisant simultanément des élections parlementaires et présidentielles.

Réactivation du mécanisme tripartite de voisinage

Le mécanisme tripartite entre l’Égypte, la Tunisie et l’Algérie été lancé en 2017, mais suspendu en 2019.

Selon un autre communiqué du ministère égyptien des Affaires étrangères, la réunion du Caire réactivera ce mécanisme conjoint, reflétant l’engagement des trois pays à soutenir la paix et la stabilité en Libye.

Les trois pays ont souligné «l’urgence de parvenir à une résolution de la crise libyenne et de mettre fin à la division politique, afin d’éviter une nouvelle escalade, la violence, le terrorisme et l’élargissement du conflit».

Les ministres ont convenu que le mécanisme tripartite de voisinage devrait se réunir régulièrement, la prochaine réunion étant prévue en Algérie, puis en Tunisie, avant la fin de l’année.

Cette réunion intervient près de deux semaines après un regain de tensions sécuritaires à Tripoli, la capitale libyenne, marqué par des affrontements armés entre les forces du Gouvernement d’unité nationale et d’autres groupes armés, ainsi que par des tensions politiques marquées par des manifestations d’opposition et de soutien au gouvernement d’unité.

La Libye continue de faire face à une division politique entre deux gouvernements rivaux depuis 2022 : l’administration de Dbeibah, reconnue internationalement à Tripoli, et un gouvernement parallèle dirigé par Oussama Hammad, basé à Benghazi et soutenu par le Parlement basé à l’est.

Les efforts déployés par l’Onu pour organiser des élections nationales restent au point mort, prolongeant le conflit et l’instabilité qui sévissent dans ce pays riche en pétrole depuis dix ans.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères a exposé les grandes lignes de la position de l’Égypte concernant l’évolution de la situation en Libye, qui soutient une «solution libyenne-libyenne sans diktats ni ingérences extérieures, ni contournement du rôle des institutions nationales libyennes, conduisant à la tenue simultanée d’élections présidentielles et parlementaires». Il a souligné «l’importance de respecter l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye et de la préserver de toute ingérence extérieure, de soutenir les efforts des Nations Unies pour communiquer avec toutes les composantes du peuple libyen, et la nécessité de coordonner les efforts internationaux pour faire respecter les résolutions pertinentes de l’Onu concernant le retrait de toutes les forces étrangères, des mercenaires et des combattants étrangers de Libye, de manière à contribuer au rétablissement de la sécurité et de la stabilité».

Concernant les récents développements dans la capitale libyenne, Tripoli, les trois ministres ont convenu de l’importance de maintenir la sécurité et la stabilité sur l’ensemble du territoire libyen, de préserver les ressources de l’État et les institutions nationales, et de respecter l’unité et l’intégrité de la Libye. Ils ont appelé à préserver la paix, à renoncer à la violence et à faire primer l’intérêt national libyen sur toute considération. Ils ont affirmé leur engagement à continuer de travailler avec les partenaires régionaux et internationaux pour fournir une assistance et toutes les formes de soutien à la Libye et à œuvrer pour assurer la sécurité et la sûreté de son peuple.

Avec agences.

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Alexandrie sous la neige : images impressionnantes d’une tempête hors saison en Égypte

31. Mai 2025 um 15:42
Alexandrie sous la neige : images impressionnantes d’une tempête hors saison en Égypte

La ville d’Alexandrie, en Égypte, a été frappée dans la nuit de vendredi à samedi par une violente tempête accompagnée de vents puissants, de fortes pluies et même de chutes de neige, un phénomène météorologique inhabituel à cette période de l’année. Cette vague de mauvais temps a entraîné une chute significative des températures et perturbé […]

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Football │ Les émouvants adieux du Tunisien Ali Maaloul à Al-Ahly

31. Mai 2025 um 12:51

Le défenseur tunisien d’Al-Ahly, Ali Maaloul, a annoncé ce samedi 31 juin 2025 son départ du club cairote après neuf années de gloire, au cours desquelles il a contribué à l’une des périodes les plus glorieuses du club. «Aujourd’hui, je vous annonce mon départ les larmes aux yeux, mais je suis satisfait, car mon cœur restera dans les tribunes du club et votre voix ne me quittera pas pour toujours. Je pars, mais l’amour restera», a-t-il lancé aux supporters qui l’ont toujours porté aux nues.

Après des mois d’incertitude quant à son avenir, Maaloul, 35 ans, dont le contrat actuel avec le club expire cet été, a déclaré que le club l’avait officiellement informé de la fin de son aventure. «J’ai appris que ma carrière avec Al-Ahly était terminée», a-t-il déclaré avec une pointe d’amertume.

«Pendant toutes ces années, les fidèles supporters d’Al-Ahly ont été pour moi une source de chaleur. Croyez-moi, je n’ai jamais été seul, même pas un seul jour : vous avez été mon pilier et vos encouragements étaient une source d’espoir et d’amour inestimable», a-t-il ajouté.

Maaloul a rejoint Al-Ahly à l’été 2016 en provenance du Club sportif sfaxien (CSS) et s’est rapidement révélé être l’un des joueurs clés du club égyptien.

Grâce à son dévouement et à sa loyauté, il a contribué à de nombreux succès et est devenu un favori des supporters.

Maaloul a gravé son nom parmi les icônes du club, inscrivant 51 buts et délivrant 85 passes décisives en 292 apparitions avec les Diables Rouges.

«Un pacte avec toute une nation»

«Depuis mon arrivée à Al-Ahly, j’ai réalisé que je n’avais pas signé de contrat avec un club, mais que j’avais noué un pacte avec toute une nation», a déclaré l’international tunisien.

«Je n’étais pas seulement un joueur professionnel, mais un amoureux du maillot rouge. J’ai vécu chaque instant ici, comme un enfant élevé dans les tribunes d’Al-Ahly, et aujourd’hui, je ne fais pas seulement mes adieux à un club, mais à une partie de mon âme», a-t-il ajouté.

L’impressionnant parcours de Maaloul avec Al-Ahly a connu un revers lorsqu’il a été opéré en mai 2024 pour soigner une déchirure partielle d’un tendon qui l’avait éloigné des terrains pendant plusieurs mois, et le club a dû aller chercher d’éventuels successeurs au poste d’excentré gauche.

Maaloul a été écarté de l’équipe en début de saison pour laisser la place à un joueur étranger avant d’y être réintégré lors du mercato hivernal en janvier.

Il n’a pas eu la chance d’être à nouveau titulaire sous la direction de l’ancien entraîneur suisse Marcel Koller, et il n’a été titularisé que deux fois depuis janvier.

Un héritage incomparable

Maaloul, qui a reçu un accueil chaleureux de la part des supporters jeudi à l’occasion de sa 45e victoire en Ligue égyptienne, a exprimé sa gratitude aux supporters d’Al-Ahly pour leur soutien indéfectible et constant tout au long de sa carrière, soulignant que son cœur restera avec le club.

«Aujourd’hui, je vous annonce mon départ les larmes aux yeux, mais je suis satisfait, car mon cœur restera dans les tribunes du club et votre voix ne me quittera pas pour toujours. Je pars, mais l’amour restera», a-t-il conclu.

Maaloul laissera un héritage incomparable après avoir remporté 21 titres, dont 4 Ligues des champions de la CAF, 2 Supercoupes de la CAF, 6 titres de champion d’Égypte, 5 Supercoupes d’Égypte et 4 Coupes d’Égypte.

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Tourisme │ Pourquoi la Tunisie est-elle dépassée par les autres destinations méditerranéennes ?

29. Mai 2025 um 08:12

Analyse comparative de 8 destinations touristiques méditerranéennes, dont la Tunisie, et leurs performances en 2024. Une entrée en matière pour réfléchir sur l’avenir du tourisme en Tunisie, en termes de rentabilité, par rapport à ses concurrents directs qui l’ont distancée depuis 1995, à l’instar du Maroc. Sachant que la rentabilité du tourisme se mesure aux recettes en devises et non au nombre de visiteurs étrangers. 

Habib Glenza

Habib Ammar, candidat de la Tunisie au poste de Secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) pour la période 2026-2029, a mis en garde contre les dérives du modèle touristique actuel, qu’il juge non durable et voué à l’échec à long terme.

Dans un entretien accordé à l’Agence Tap, Ammar a souligné «l’impossibilité de continuer à fonctionner avec un modèle qui, s’il perdure, entraînera la disparition du secteur touristique dans 80 ans»«Il est urgent de repenser notre manière de concevoir le tourisme. Cela ne signifie pas abandonner les formes classiques, mais il faut en parallèle développer de nouveaux modèles plus durables», a-t-il insisté. 

M. Ammar, qui a occupé le poste de ministre du Tourisme en Tunisie de 2020 à 2021, sait que, depuis le début des années 2000, le tourisme tunisien traverse une période d’essoufflement et de crise structurelle provoquée par l’inadaptation de ses produits aux goûts changeants des voyageurs, ce qui est pénalisant face à l’exacerbation de la concurrence dans le pourtour méditerranéen.

La crise du tourisme tunisien a commencé avec d’importants reculs en 2002, 2011, 2015 et 2016, en relation, notamment, avec les conditions particulièrement difficiles connues par la Tunisie sur les plans sécuritaire et social ainsi qu’à l’effondrement en 2020 et 2021 des différents indicateurs du secteur sous l’effet de la pandémie de la Covid-19 et des restrictions ayant frappé les déplacements sur le plan mondial qui en ont résulté.

Malgré les efforts déployés en matière de promotion du produit touristique sur les marchés émetteurs, la position de la Tunisie dans le bassin méditerranéen n’a cessé de reculer depuis.  

Recul de la Tunisie face à ses concurrents directs : le Maroc et la Jordanie 

En 1995, les recettes touristiques de la Tunisie dépassaient de 10% celles du Maroc et elles correspondaient au double de celles de la Jordanie. 

En 2010, ces recettes représentaient près de deux tiers de celles de la Jordanie, et moins de la moitié de celles du Maroc. 

En 2023, l’écart avec ces deux pays est demeuré important et a même continué de se creuser malgré la reprise prometteuse enregistrée, et dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles.

Le niveau des recettes touristiques de la Tunisie représente aujourd’hui moins du quart de celles du Maroc et moins du tiers de celles de la Jordanie 

2024 a été une année record pour plusieurs pays touristiques des rives, nord et sud, de la Méditerranée. Parmi ces pays, Malte, la Croatie et la Grèce se sont particulièrement distingués.  

Performances des 8 destinations méditerranéennes étudiées en 2024

La présente analyse comparative repose sur les données de l’Organisation mondiale du Tourisme (OMT). Elle n’inclut pas les résultats du tourisme en France, en Espagne et en Italie, qui restent nettement intouchables.  

Malte est la destination touristique la plus performante en Méditerranée en 2024: elle accueille 3,56 millions de touristes et réalise 3,3 milliards d’euros de recettes (10,3 milliards de dinars tunisiens) pour un pays qui compte moins de 500 000 habitants!

L’OMT rapporte que ce petit pays a enregistré, en 2024, le taux de croissance le plus élevé des recettes touristiques parmi les destinations du sud de la Méditerranée, avec une augmentation de 22%. 

Le dernier rapport de national des statistiques confirme que l’industrie touristique maltaise a atteint de nouveaux sommets en 2024, en accueillant un nombre record de 3,56 millions de touristes entrants (tous marchés confondus). Cette étape souligne la croissance forte et soutenue du pays dans le paysage touristique mondial.

Les dépenses totales des touristes ont augmenté de 23,1%, passant de 2,7 milliards d’euros en 2023 à 3,3 milliards d’euros en 2024, avec une dépense par personne de 924 euros. Cela reflète la capacité de Malte à attirer des visiteurs plus dépensiers, renforçant le rôle de l’industrie en tant que moteur économique clé.

Après avoir dépassé les niveaux d’avant la pandémie en 2023, Malte a maintenu son élan avec une augmentation de 19,5% des arrivées en 2024 par rapport à l’année précédente (contre 5% pour l’Europe) s’affirmant ainsi comme l’une des destinations les plus performantes en Europe, devant l’Espagne, le Portugal, Chypre et la Croatie.

L’Albanie, pays de la taille de la Bretagne française et qui compte 2,5 millions d’habitants, a accueilli, en 2024, 11,7 millions de touristes et réalisé 4,7 milliards d’euros de recettes, contre 2,8 milliards en 2022.

Ce dynamisme reflète le souhait du pays de rattraper son retard après 40 ans de dictature et d’atteindre le cap de 20 millions de visiteurs et 18 milliards d’euros en 2030. 

L’Albanie opte pour un tourisme haut de gamme à des prix plus élevés, et donc très rentable

La Grèce a accueilli, en 2024, 40,7 millions de touristes, en hausse de 12,8% par rapport à 2023, et réalisé des recettes de 21,592 milliards d’euros (73 milliards de dinars tunisiens), en hausse de 4,8% par rapport à 2023. Ce n’est pas mal pour un pays qui compte moins de 11 millions d’habitants, le même nombre qu’en Tunisie. 

La majorité des touristes proviennent des 27 pays membres de l’Union européenne (53,5%), en hausse de 11% sur un an. «Cette évolution est due à la fois à la hausse de 12,2% du trafic de voyageurs en provenance des pays de la zone euro (14,5 millions) et à l’augmentation de 8,6% des voyageurs des pays de l’UE-27 hors zone euro», précise le communiqué de la Banque de Grèce (BDG).

En 2024, l’excédent de la balance des paiements touristiques a enregistré une hausse de 3,4% sur un an, selon les chiffres définitifs de la BDG.

Pour la Croatie, 2024 a été une année record avec 21,3 millions de touristes, en hausse de 4% par rapport à2023, 108,7 millions de nuitées (+1%) et 13,19 milliards d’euros (41 milliards de dinars tunisiens) de revenus (+1,7%).

Ce pays qui compte moins de 5 millions d’habitants séduit désormais toute l’année.

Le tourisme croate, qui a du mal à gérer ce boom touristique, veut faire face à la saturation de ses installations en juillet-août en misant davantage sur les ailes de saison, le premium et le durable.

La Turquie, quant à elle, bat ses propres records en matière de tourisme en 2024 : 62,2 millions de touristes, en hausse de 9,8% par rapport à 2023, et 61,1 milliards de dollars (190 milliards de dinars tunisiens) de recettes (+8,3%), pour un pays qui compte 86 millions d’habitants.  

Dans l’ensemble, 2024 a été pour la Turquie l’année la plus fructueuse en matière de tourisme, notamment sportif.

Pour le Maroc, 2024 a été une année touristique record avec 17,4 millions de touristes, soit une hausse de 20% par rapport à 2023, et 10,62 milliards d’euros (37 milliards de dinars tunisiens) de recettes pour un pays qui compte 38 millions d’habitants, consolidant ainsi sa position de première destination touristique en Afrique. 

Évoquant le programme «Cap Hospitality», qui s’inscrit dans le cadre des préparatifs du Maroc pour accueillir la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et la Coupe du Monde 2030, la ministre marocaine du tourisme, Fatim-Zahra Ammor a indiqué que son vise à accélérer la modernisation des établissements d’hébergement touristique classés, avec pour objectif la rénovation de 25 000 chambres.

L’Égypte a accueilli 14,3 millions de visiteurs en 2024, en hausse de 4% par rapport à 2023, totalisé 151,3 millions de nuitées, et réalisé des recettes record de 14 milliards de dollars (44 milliards de dinars tunisiens), en hausse de 7,8 %, pour un pays qui compte 111 millions d’habitants.

Parmi les touristes étrangers, les visiteurs saoudiens se démarquent avec des dépenses avoisinant 1,5 milliard de dollars, soit plus de 75 milliards de livres égyptiennes.

La Tunisie a accueilli, en 2024, 10,250 millions de touristes et réalisé 2,4 milliards de dollars (7,5 milliards de dinars tunisiens) de recettes, pour un pays qui compte 12 millions d’habitants.

Classements des 8 destinations étudiées

Selon les recettes globales:

1. Turquie avec 54 192 millions d’euros;

2. Grèce avec 21 592 millions d’euros;

3. Croatie avec 13 190 millions d’euros;

4. Egypte avec 12 400 millions d’euros;

5. Maroc avec 9 420 millions d’euros; 

6. Albanie avec 4 700 millions d’euros;

7. Malte avec 3 300 millions d’euros;

8. Tunisie avec 2 130 millions d’euros.  

Selon les revenus touristiques par habitant:

1. Malte avec 6 600 euros;

2. Croatie avec 2 638 euros;

3. Grèce avec 1 963 euros;

4. Albanie avec 1 880 euros;

5. Turquie avec 630 euros;

6. Maroc avec 204 euros;

7- Tunisie avec 177 euros ;

8. Egypte avec 111 euros;

Plusieurs raisons sont à l’origine de cette perte de vitesse de la Tunisie.

Il y a, d’abord, la faiblesse de la dépense moyenne du touriste en Tunisie, en raison de l’offre d’hébergement «all inclusive». Selon l’OMT, la dépense moyenne du touriste ne dépasse pas 438 dollars pour la Tunisie contre 1200 dollars en Jordanie et 1 410 dollars au Maroc, deux pays comparables au nôtre. 

Il y a, ensuite, la réduction, en moins de 20 ans, de la capacité d’hébergement de 240 000 à 180.000 lits, du fait de la fermeture de nombreuses unités en relation notamment avec les défaillances en matière de maintenance. 

Le diktat des tours opérateurs étrangers y est aussi pour beaucoup, puisque ces derniers poussent les hôteliers tunisiens a davantage de bradage des prix.

Autres raisons, et pas des moindres, la mauvaise qualité de l’ensemble des services hôteliers, notamment celui du linge; l’absence de formation professionnelle de base, continue et en alternance; le manque de moyens de transport aérien (low cost et charters) durant toute la saison, contrairement à d’autres pays méditerranéens facilement joignables en voiture, par train ou par avion; l’absence de stratégie pertinente à moyen et à long terme; et le manque de solidarité entre les acteurs du tourisme tunisien, qui agissent chacun de son côté.

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Dragify: la plateforme égyptienne qui fait de l’IA un membre à part entière de l’équipe

28. Mai 2025 um 11:03

La startup égyptienne Cloudilic a développé Dragify, une plateforme no-code permettant aux entreprises d’automatiser leurs processus et de créer des agents intelligents agissant comme de véritables membres d’équipe numériques.

Lancée cette année pour répondre à une demande croissante en automatisation assistée par l’IA, accessible, flexible et adaptée aux besoins des entreprises, Cloudilic ambitionne de combler le fossé entre les outils d’automatisation classiques et les solutions d’intelligence artificielle avancées.

Contrairement aux plateformes existantes qui se concentrent sur l’exécution de tâches simples, Dragify se distingue par sa capacité à intégrer des agents capables de comprendre des objectifs, de prendre des décisions de manière autonome et de s’intégrer directement aux processus métiers, sans nécessiter de codage ou d’infrastructure technique complexe.

La solution permet de gérer différents cas d’usage tels que la gestion des tickets de support, le traitement automatisé des documents, l’intégration avec des outils tiers ou encore la gestion des tâches internes. Les agents intelligents peuvent fonctionner en continu, appliquer des règles logiques, escalader des cas si besoin, et s’améliorer au fil des interactions. Depuis son lancement, Dragify a connu une adoption soutenue, notamment dans les secteurs de la fintech, de l’immobilier et de la logistique.

Parmi les premiers utilisateurs figurent des entreprises telles que MDP, XPay et EgyProperty, qui ont adopté la plateforme pour automatiser leur support client, la gestion documentaire ou encore l’engagement commercial. Les gains de productivité sont significatifs, avec une réduction du temps opérationnel estimée entre 40 et 60%.

Actuellement autofinancée et déjà rentable, la startup a entamé des discussions de partenariat avec des entreprises internationales comme Vectara et 700Apps, en vue d’intégrer sa technologie dans des écosystèmes d’entreprise plus larges.

Le marché cible de Dragify se concentre sur l’Égypte et la région Mena, avec des projets d’expansion vers les pays du Golfe et l’Europe via des partenariats stratégiques. Des collaborations avec des cabinets de conseil technologique et des accélérateurs locaux sont également envisagées pour accélérer la croissance dans les secteurs à fort potentiel.

Dragify repose sur un modèle SaaS par paliers: une formule gratuite destinée aux startups, des abonnements mensuels pour les PME et des solutions sur site pour les grandes entreprises. Les revenus proviennent de frais d’installation initiaux et d’abonnements récurrents. Avec plus de six clients payants et un carnet de commandes prometteur, la startup prévoit une croissance solide jusqu’en 2025.

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L’Égypte annonce la création de 12 nouvelles universités nationales

27. Mai 2025 um 16:29

L’Égypte vient de franchir une nouvelle étape dans le développement de son enseignement supérieur avec la création de 12 universités nationales supplémentaires. L’annonce a été faite par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ayman Ashour, lors d’une réunion du Conseil des universités nationales, tenue au siège du ministère dans la nouvelle capitale administrative.

Ces nouvelles institutions, dont les universités nationales de Suez, Damanhour, Le Caire, Aïn Shams, Sohag, Kafr El-Cheikh, Nouvelle Vallée, Fayoum, Tanta, Louxor, Damiette et Sadate City, sont le fruit de décrets présidentiels récemment promulgués.

Selon les autorités, ces établissements proposeront des programmes interdisciplinaires modernes, conçus pour répondre aux exigences du marché du travail. Fonctionnant selon un modèle à but non lucratif, leurs ressources seront entièrement réinvesties dans l’amélioration continue des infrastructures et de la qualité de l’enseignement.

Le ministère a précisé que la mise en place matérielle et humaine est achevée, et que les universités seront prêtes à accueillir leurs premiers étudiants dès la rentrée universitaire 2025-2026.

Avec ces 12 nouvelles structures, l’Égypte comptera désormais 32 universités nationales et un total de 128 établissements universitaires, contre 50 en 2014. Cette progression reflète l’ambition des autorités de répondre à une demande croissante, estimée à 3,8 millions d’étudiants aujourd’hui, et projetée à 5 millions d’ici 2030.

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L’Égypte annonce la création de 38 terrains industriels

26. Mai 2025 um 09:56

Dans le cadre du renforcement de ses zones industrielles, l’Égypte a annoncé la mise à disposition de 38 terrains industriels pour les investisseurs, selon une publication du Conseil des ministres , le 25 mai 2025.

Clôturant une tournée en Haute-Égypte, le ministre de l’Industrie et des Transports, Kamel El-Wazir, également vice-Premier ministre chargé du développement industriel, a visité les zones industrielles de l’ouest de Tahla et de Girga, dans le gouvernorat de Sohag. Cette tournée s’inscrit dans le programme de développement local de la Haute-Égypte, cofinancé par la Banque mondiale et le gouvernement égyptien.

À Tahla, la zone industrielle s’étend sur 3,33 millions de m² et accueille des projets dans l’agroalimentaire, l’ingénierie, le textile, les matériaux de construction et les mines. Les travaux d’infrastructure sont réalisés à 75 %, et la station d’épuration industrielle est en phase finale. Vingt terrains y seront mis à disposition des investisseurs dès le 1er juin via la plateforme Industrial Egypt.

À Girga, la première phase couvre 1,13 million de m² sur un total de 4,48 millions. Elle accueille des projets similaires et affiche également un taux d’achèvement de 75 %. Le ministre a exigé l’achèvement de toutes les infrastructures d’ici août 2025. Un appel d’offres sera lancé le 1er juin pour proposer 18 terrains supplémentaires sur la même plateforme.

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