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Heute — 13. April 2025Haupt-Feeds

Tunisie-États-Unis : Un Américain libéré après 13 mois de détention sous soupçon d’espionnage

13. April 2025 um 18:44

Les autorités américaines ont annoncé,  dimanche 13 avril 2025, la libération de Robert Viera, un citoyen américain détenu en Tunisie depuis plus d’un an. Adam Bulwer, l’envoyé spécial des États-Unis pour les affaires relatives aux otages, a confirmé cette information à Reuters.

Viera avait été arrêté il y a 13 mois alors qu’il effectuait un travail missionnaire en Tunisie. Les autorités locales le soupçonnaient alors d’espionnage.

Remerciements envers la Tunisie

Dans un communiqué, Bulwer a exprimé sa reconnaissance envers le gouvernement tunisien pour avoir permis une résolution de cette affaire. « Nous apprécions la décision de la Tunisie de régler cette situation et de permettre à M. Viera de retrouver sa famille après plus de 13 mois de détention préventive », a-t-il déclaré.

Il a également souligné avoir travaillé en étroite collaboration avec le ministre tunisien des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, pour aboutir à cette libération.

Retour imminent aux États-Unis

Selon les dernières informations, Robert Viera doit prochainement rentrer aux États-Unis en compagnie de sa famille. Aucune précision n’a été donnée quant à d’éventuelles poursuites judiciaires ou à un éventuel procès.

 

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Banques publiques et privées pointées pour non-application des taux d’intérêt réduits

13. April 2025 um 16:45

La coordination nationale pour l’application de l’article 412 du Code de commerce a exhorté, dimanche, le président Kaïs Saïed à intervenir pour mettre fin aux « dépassements des banques publiques et privées » concernant la réduction des taux d’intérêt fixes sur les prêts à long terme. Dans un communiqué, elle a rappelé que « les banques publiques appartiennent à l’État et doivent respecter la loi ».

La coordination demande également au ministère des Finances d’enquêter sur ces manquements afin de « protéger les droits des citoyens et consacrer l’État de droit ».

Un taux de réponse aux demandes bien en dessous des annonces officielles

Selon un sondage mené auprès de 531 clients de différentes banques, seulement 31 % des demandes de baisse des taux d’intérêt ont reçu une réponse, avec un taux moyen de 8 % dans les banques publiques.

Plusieurs dysfonctionnements ont été relevés :

  • Des clients n’ont pas reçu leurs nouveaux tableaux d’amortissement.
  • L’effet rétroactif n’a pas été appliqué dans certains cas.
  • Des refus de demandes ou des modifications unilatérales du capital emprunté.

 La Banque centrale de Tunisie pointée du doigt

Malgré les instructions répétées du chef de l’État, la BCT n’a pris « aucune mesure concrète » pour faire respecter la loi, dénonce la coordination. Celle-ci y voit une « négligence » du rôle de régulateur financier.

Par ailleurs, le Conseil bancaire et financier affirme un taux de réponse de 93 % sur près de 86 000 demandes, un chiffre jugé « en totale contradiction » avec les résultats du sondage client. La coordination déplore l’absence de sources méthodologiques justifiant ces données.

Suspension des prêts longs pour protéger les bénéfices bancaires

Une agence de presse internationale a révélé, selon des sources bancaires, que certaines institutions ont suspendu l’octroi de prêts de plus de 15 ans pour préserver leurs marges. Cette mesure aggrave les difficultés d’accès au crédit pour les particuliers.

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Expo 2025 Osaka : La Tunisie dévoile son pavillon « Résonance »

13. April 2025 um 13:39

Le pavillon tunisien a officiellement ouvert ses portes ce dimanche à l’Expo 2025 Osaka – Kansai, attirant des milliers de visiteurs dès son inauguration. Sous le thème « Partenariat en Innovation, Sciences et Technologies – PIST », la Tunisie y dévoile une expérience immersive alliant histoire millénaire et vision futuriste, dans un espace baptisé « Résonance ».

L’événement s’est déroulé en présence de l’ambassadeur de Tunisie au Japon, Ahmed Chafra, du commissaire général du pavillon et PDG du CEPEX, Mourad Ben Hassine, ainsi que de diplomates et représentants de pays comme la Palestine, le Qatar, la Serbie, l’Italie et l’Espagne.

Un voyage sensoriel en quatre actes
Le pavillon, remarqué pour son design fusionnant art et technologie, propose quatre espaces clés :

  • « Écho » : Des hologrammes de masques carthaginois animés, symbolisant la réconciliation avec l’environnement.
  • « Élan » : Une installation lumineuse évoquant les paysages désertiques tunisiens.
  • « Éveil » : Une vitrine des innovations tunisiennes en durabilité et créativité.
  • « Essence » : Cœur du pavillon, où trônent une sculpture d’Hannibal et une mosaïque d’olivier, le tout accompagné d’artisanat local et de parfums de jasmin.

Ambitions économiques et culturelles
La Tunisie profite de l’Expo pour renforcer son attractivité, avec des journées dédiées :

  • 12 août : Journée de la Femme, mettant en avant leur rôle dans la société.
  • 13 août : Fête nationale, célébrant la culture tunisienne.
  • 18 août : Journée économique, axée sur les partenariats avec le Japon et l’Asie.
    Des semaines thématiques aborderont aussi le tourisme thermal et l’initiative « Un village, un produit ».

Une tradition d’expositions universelles
Depuis Londres 1851 jusqu’à Dubaï 2020, la Tunisie utilise ces événements pour affirmer son identité. À Osaka, elle réaffirme sa position de pont entre les cultures, avec un message centré sur l’innovation et l’héritage historique.

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Crédits immobiliers bloqués : L’économiste Ridha Chkoundali dénonce une bombe sociale

13. April 2025 um 11:59

L’économiste  Ridha Chkoundali a tiré la sonnette d’alarme dans une publication virale sur Facebook, dénonçant les effets dévastateurs de la décision des banques de geler les prêts immobiliers de plus de 15 ans. Selon son analyse, cette mesure risque d' »asphyxier définitivement ce qui reste du secteur du logement en Tunisie ».

Chkoundali identifie clairement le responsable de cette crise : « Le véritable coupable, c’est l’article 412 qui impose aux banques de diviser par deux leurs taux d’intérêt après seulement trois ans de crédit ». Une disposition légale qui, selon lui, « transforme les prêts longs en poison pour les établissements financiers ». L’universitaire   explique que « les banques, déjà essoufflées par le financement de la dette publique, voient dans ces prêts immobiliers un risque insupportable pour leurs marges ».

Des conséquences sociales alarmantes

Le ton se fait particulièrement grave lorsqu’il évoque les répercussions sociales : « Des milliers de familles tunisiennes vont se retrouver définitivement exclues de l’accès à la propriété ». Et d’ajouter : « Quand le crédit meurt, c’est tout le rêve du logement décent qui s’écroule pour la classe moyenne ».

Une solution urgente

Chkoundali appelle à une action immédiate : « Il faut revoir d’urgence la politique monétaire et modifier la loi de la BCT« . Son message est clair : « Soit on agit maintenant, soit nous ferons face à un effondrement total du secteur immobilier dans les trois prochaines années ».

Un avertissement sans concession

L’économiste conclut par une mise en garde choc : « Si l’État ne prend pas ses responsabilités, nous assisterons à la mort programmée de tout un pan de notre économie, avec à la clé des milliers d’emplois perdus et une crise sociale sans précédent ».

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Médias – Washington tire la prise sur sa chaîne arabophone Alhurra

13. April 2025 um 10:59

Fondée en 2004 dans le contexte post-11 septembre pour servir de contre-feu à Al-Jazeera, la chaîne Alhurra vient de subir un coup d’arrêt brutal. La direction a annoncé ce week-end la cessation immédiate de ses programmes télévisés. Et, par conséquent, le licenciement de la majeure partie de ses effectifs.

 
Cette décision radicale fait suite au retrait des subventions fédérales décidée sous l’ère Trump – une mesure que le PDG Jeffrey Gedmin qualifie sans détour de « sabotage délibéré ». Dans une déclaration incendiaire, l’exécutif de la chaine Alhurra fume encore : « On prive délibérément les audiences arabes d’une information alternative aux médias anti-américains », déplore-t-il, pointant du doigt Kari Lake, la responsable des médias publics américains.

Une agonie programmée

Il ne subsistera qu’une équipe squelettique chargée de maintenir tant bien que mal une présence en ligne. La fin d’une aventure éditoriale marquée cependant dès l’origine par son ambiguïté : outil de propagande pour les uns, vitrine démocratique pour les autres.

Le contexte qui explique tout

  • 2004 : Lancement avec 62 millions de dollars de budget annuel
  • Audience chroniquement faible (2% de parts de marché)
  • Soupçons récurrents de ligne éditoriale alignée sur le Département d’Etat.

Ce naufrage médiatique intervient à un moment crucial, alors que l’influence américaine au Moyen-Orient montre déjà des signes d’essoufflement. La disparition d’Alhurra laisse le champ libre aux médias qataris et iraniens. Il s’agit d’un paradoxe pour une chaîne créée précisément pour les contrer.

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Enlèvement d’Amir Boukhris : Trois hommes mis en examen, dont un diplomate algérien

13. April 2025 um 09:37

L’Algérie a exprimé, samedi soir, une « protestation vigoureuse » après la mise en détention provisoire de l’un de ses agents consulaires en France, soupçonné d’être impliqué dans l’enlèvement de l’influenceur algérien Amir Boukhris sur le sol français fin avril 2024.

Dans un communiqué, le ministère algérien des Affaires étrangères a déclaré que « ce nouveau développement, inacceptable et injustifié, est susceptible de porter préjudice aux relations algéro-françaises », tout en affirmant sa détermination à « ne pas laisser cette affaire sans suites ni conséquences ».

Trois hommes mis en examen, dont un agent consulaire

Trois hommes, dont l’un travaillait dans un consulat algérien en France, ont été mis en examen vendredi à Paris pour leur implication présumée dans l’enlèvement d’Amir Boukhris, influenceur et opposant algérien, fin avril 2024 en France.

Les trois individus sont poursuivis pour « arrestation, enlèvement et séquestration arbitraire en lien avec un projet terroriste », selon le parquet national antiterroriste, confirmant des informations obtenues par l’AFP auprès de sources proches du dossier. Ils sont également accusés de participation à une « association de malfaiteurs à finalité terroriste ».

Amir Boukhris, un opposant ciblé par les autorités algériennes

Amir Boukhris, alias « Amir DZ », est un influenceur algérien de 41 ans résidant en France depuis 2016. Les autorités algériennes réclament son extradition pour le juger, ayant émis neuf mandats d’arrêt internationaux à son encontre pour « fraude » et « actes terroristes ». Cependant, la justice française avait rejeté sa demande d’extradition en 2022, et il a obtenu l’asile politique en 2023.

L’Algérie dénonce une « décision injustifiée »

Le ministère algérien des Affaires étrangères a indiqué avoir convoqué, samedi, l’ambassadeur de France en Algérie « afin d’exprimer la protestation la plus ferme de l’Algérie contre la décision des autorités judiciaires françaises de mettre en examen et de placer en détention provisoire l’un de ses agents consulaires en poste sur le territoire français ».

Sur la forme, l’Algérie a rappelé que « l’agent consulaire a été interpellé sur la voie publique et placé en garde à vue sans notification préalable par les canaux diplomatiques ».

Sur le fond, elle a dénoncé « la fragilité et la faiblesse des arguments avancés par les services du ministère français de l’Intérieur lors des enquêtes », soulignant que « cette campagne judiciaire inacceptable repose uniquement sur le fait que le téléphone de l’agent consulaire aurait été géolocalisé à proximité du domicile d’Amir Boukhris ».

Un contexte diplomatique tendu

Le ministère a insisté sur le fait que « ce tournant judiciaire inédit dans l’histoire des relations algéro-françaises n’est pas un hasard », survenant « dans un contexte particulier et visant à entraver la relance des relations bilatérales, pourtant convenues par les deux présidents lors de leur dernière conversation téléphonique ».

Enfin, l’Algérie a exigé « la libération immédiate de l’agent consulaire placé en détention provisoire, ainsi que le plein respect des droits liés à sa fonction, tels que prévus par les conventions internationales et bilatérales, afin qu’il puisse se défendre dans des conditions équitables ».

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Gestern — 12. April 2025Haupt-Feeds

Réforme de la loi 52 : vers un nouvel équilibre entre souplesse et fermeté

12. April 2025 um 12:13

Jeudi 10 avril 2025, le bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a transmis une proposition de loi à la Commission de la législation générale. Le texte vise à réviser la loi n° 52 du 18 mai 1992 sur les infractions liées aux stupéfiants. Déposée en février par quinze députés, la proposition comprend 17 articles. Elle a été publiée vendredi 11 avril 2025 sur le site officiel du Parlement.

L’une des mesures phares concerne l’usage personnel de stupéfiants. L’article 4 actuel de la loi 52 prévoit une peine de prison de un à cinq ans. Les députés proposent de supprimer cette disposition. Le juge pourrait alors choisir entre une peine de prison ou une simple amende. L’objectif est de mieux adapter la sanction à chaque situation.

Moins de sanctions automatiques

La proposition prévoit aussi la suppression des articles 5 à 8 du texte en vigueur. Ces articles traitent des peines liées aux infractions de drogue. Les auteurs du projet veulent en finir avec les peines automatiques. Ils souhaitent différencier les consommateurs des trafiquants.

Davantage de protection pour les agents

Le texte ne se contente pas d’alléger les peines. Il durcit aussi les sanctions en cas d’agression contre les forces de l’ordre. Ce volet vise à renforcer la sécurité des agents lors des opérations liées aux stupéfiants.

Enquêtes et garde à vue : des règles modernisées

La proposition introduit un nouveau chapitre sur les moyens de preuve. Elle prévoit aussi l’usage de techniques spéciales d’enquête. Les délais de garde à vue sont également révisés. Le but : moderniser les procédures tout en respectant les droits des personnes.

Une loi 52 pour un contexte nouveau

Les députés expliquent que la loi actuelle est dépassée. Selon eux, la réforme est nécessaire pour répondre aux réalités d’aujourd’hui. Ils veulent une loi plus juste, plus souple, mais aussi plus ferme quand il le faut.

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Est-ce la fin des prêts immobiliers de plus de 15 ans en Tunisie?

11. April 2025 um 16:06

Selon des sources bancaires citées par Reuters, les banques privées tunisiennes auraient gelé l’octroi de nouveaux prêts dont la durée dépasse 15 ans, afin d’éviter une érosion de leurs marges bénéficiaires. Cette décision serait liée à l’adoption d’une nouvelle loi réduisant les coûts d’emprunt, une mesure qui pourrait compliquer l’accès des Tunisiens au crédit.

Un haut responsable d’une banque privée a confié à Reuters : « Nous avons reçu des instructions verbales (de la direction) pour cesser d’accorder des prêts dont l’échéance excède 15 ans ». Il a précisé que ces consignes orales visent à éviter toute trace écrite susceptible d’entraîner des sanctions de la part des autorités financières.

Des responsables de deux autres établissements bancaires auraient également indiqué avoir reçu des directives similaires de leur direction, leur enjoignant de ne plus proposer de prêts au-delà de 15 ans.

Cette mesure reflète les tensions persistantes entre le secteur bancaire et les régulateurs, dans un contexte où les banques cherchent à préserver leur rentabilité face à des réformes législatives contraignantes.

On y reviendra.

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L’obésité en Tunisie – Un taux record de 26% aujourd’hui, 46% en 2035 ?

11. April 2025 um 15:32

Le Dr Mourad Adala, président de l’Association tunisienne de chirurgie des maladies métaboliques et de l’obésité, a averti ce vendredi 11 avril 2025 d’une augmentation préoccupante des cas d’obésité en Tunisie, avec un taux qui pourrait s’élever à 46% de la population d’ici à 2035.

Selon les données actuelles couvrant les cinq dernières années, 26% des Tunisiens souffrent déjà d’obésité, tandis qu’un cinquième de la population est atteint de diabète. Le Dr Adala a également souligné les conséquences graves de l’obésité, telles que les maladies cardiovasculaires, l’hypertension artérielle et d’autres pathologies associées.

Les femmes sont les plus touchées, avec des taux d’obésité légèrement supérieurs à ceux des hommes. Sans mesures préventives efficaces, la tendance devrait s’aggraver au cours de la période 2030-2035, selon les projections présentées par l’expert.

Pour le Dr Adala, la prévention reste la solution la plus efficace pour lutter contre cette « épidémie ». Il appelle à une prise de conscience collective et à des actions ciblées pour enrayer cette progression alarmante.

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11,01 MDT de dinars de bénéfice en 2024 pour BH Assurance

11. April 2025 um 12:27

11,01 millions de dinars (MDT). C’est le résultat net enregistré par BH Assurance à fin décembre 2024, contre 13,17 millions de dinars un an plus tôt. Soit une baisse de 16,40 %.

Ces chiffres, issus des états financiers soumis à l’approbation de l’Assemblée générale ordinaire du 24 avril 2025, reflètent une pression fiscale accrue et des performances techniques contrastées.

Une fiscalité en hausse

Les impôts sur les résultats ont atteint 4,63 millions de dinars en 2024, en progression de 17,83 %. À cela s’ajoutent une contribution sociale de solidarité de 490 881 dinars (9,34%) et une taxe conjoncturelle budgétaire de l’État de 490 881 dinars.

Performances techniques divergentes

  • Assurance non-vie : le résultat technique a plus que triplé, s’établissant à 1,74 million de dinars.
  • Assurance vie : en revanche, le résultat technique a reculé de 24,91 %, à 9,72 millions de dinars.

Dividende et prochaine assemblée générale

Malgré ces résultats mitigés, BH Assurance maintient sa proposition de distribution d’un dividende de 1,5 dinar par action pour l’exercice 2024. Le Conseil d’administration, réuni le 27 mars 2025, a convoqué une assemblée générale ordinaire le 24 avril 2025 à 11h, au siège de la BH Bank.

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Le procès pour « complot contre la sûreté de l’État » reprend sous haute tension

11. April 2025 um 10:17

La deuxième audience du procès lié à l’affaire du complot contre la sûreté de l’État se tient ce vendredi 11 avril 2025. Contrairement aux attentes des familles, l’audience se déroule toujours à distance. Alors que ces dernières réclamaient la présence physique des détenus au tribunal.

Par ailleurs, les autorités ont imposé une restriction stricte : un seul membre par famille est autorisé à accéder à la salle d’audience. Une mesure est vivement contestée par les proches des détenus. A l’image de Dalila Mbraek, qui a exprimé son mécontentement en dénonçant une situation qu’elle juge illégale.

Il convient de noter que le procès pour « complot contre la sûreté de l’État » , impliquant une quarantaine de personnes, a repris ce vendredi 11 avril 2025. La première audience s’est tenue le 4 mars dernier, avec les accusés détenus participant par visioconférence, une décision contestée par les avocats de la défense qui demandaient leur présence physique en salle d’audience. De plus, les demandes de libération ont été rejetées par la cinquième Chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis, qui a reporté également l’audience ce vendredi 11 avril 2025.

Crédit photo: Hamza M

Les accusations remontent à février 2023, lorsque plusieurs personnalités politiques, activistes, avocats et hommes d’affaires ont été arrêtés pour leur supposée implication dans un complot visant à menacer la sécurité intérieure et extérieure du pays.

Crédit photo: Hamza Marzouk
Crédit photo: Hamza. M

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme au tribunal de première instance de Tunis a décidé, il y a quelques instants, de lever la séance consacrée à l’examen du dossier de complot contre la sûreté de l’État. Cette décision fait suite à une situation de tension et de protestation parmi certains avocats, qui réclamaient une audience publique et la présence des accusés à l’audience pour leur procès dans l’affaire de complot.

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Baisse de 94 % des chèques : Mohamed Salah Souilem alerte sur les conséquences pour l’économie tunisienne

10. April 2025 um 16:50

L’ancien directeur des politiques monétaires à la Banque centrale de Tunisie, Mohamed Salah Souilem, a mis en garde, jeudi 10 avril 2025, contre les conséquences économiques de la nouvelle législation sur les chèques. Il craint un impact négatif sur les transactions commerciales, les recettes fiscales de l’État et, par conséquent, sur le taux de croissance du pays.

Selon les données de la Banque centrale, l’utilisation des chèques a chuté de 94 % au cours des premiers mois de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente. Pour M. Souilem, qui s’exprimait sur les ondes de la radio Express FM, cette évolution pourrait freiner les échanges économiques, dans un contexte déjà marqué par une fragilité croissante.

Un contexte de financement international restreint

L’ancien responsable a également souligné les difficultés rencontrées par la Tunisie en matière de financement extérieur. L’absence d’accord avec le Fonds monétaire international (FMI) prive le pays de ressources essentielles. Et  ce, à un moment où les besoins de financement se multiplient, rapporte-t-il à la radio privée.

Pressions sur la balance commerciale

Mohamed Salah Souilem a mis en lumière deux autres facteurs susceptibles d’aggraver le déficit commercial : la baisse significative des prix de l’huile d’olive tunisienne à l’export, malgré une bonne récolte cette année; et l’incapacité de la production énergétique nationale à couvrir les besoins du pays.

Ces déséquilibres pourraient accentuer les tensions sur la balance des paiements, alourdissant davantage les fragilités économiques.

Le tourisme comme espoir de stabilisation

Malgré ces difficultés, l’ancien directeur à la Banque centrale a exprimé son espoir de voir les recettes touristiques contribuer à compenser les pertes. Au passage, il note une baisse des réserves en devises étrangères par rapport à la fin 2024, en raison des remboursements de dettes extérieures. Mais il considère que le niveau des réserves reste relativement rassurant.

Appel à une stratégie économique ciblée

Pour faire face aux défis actuels, M. Souilem plaide pour une politique économique proactive, axée sur le soutien aux exportations, une intervention ciblée dans le secteur oléicole et un renforcement de l’industrie locale. Il salue également la gestion de la Banque centrale en matière de stabilité du dinar, soulignant l’importance de préserver sa valeur face aux devises internationales.

Incertitude persistante sur l’avenir économique

Au final, dans un contexte mondial marqué par l’instabilité et les politiques commerciales imprévisibles des grandes puissances, notamment les décisions douanières de l’administration américaine, M. Souilem se montre prudent : « Personne ne sait ce qui va se passer dans les mois à venir. »

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Tunisie : un homme d’affaires condamné pour obtention frauduleuse de prêts bancaires

10. April 2025 um 15:16

Le tribunal de première instance de Tunis, en sa chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière, a rendu un jugement condamnant un promoteur immobilier connu à une peine de deux ans de prison avec sursis et au paiement d’une amende de 612 000 dinars. Cette décision fait suite à une affaire concernant l’obtention de prêts bancaires sans garanties suffisantes auprès d’établissements bancaires publics ou partiellement détenus par l’État.

Lors des débats, le représentant du commissaire général aux litiges de l’État a maintenu ses réquisitions civiles, aboutissant à cette condamnation pécuniaire significative. Le dossier portait spécifiquement sur des pratiques irrégulières dans l’acquisition de financements bancaires. Tout en mettant en lumière des failles dans le système de contrôle des institutions financières concernées.

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L’IPSI explore la géopolitique de l’information dans un monde fracturé

10. April 2025 um 10:11

L’Institut de Presse et des Sciences de l’Information de Tunis (IPSI) organisera une conférence scientifique internationale sur le thème « Géopolitique des médias et de la communication à l’ère du désordre informationnel mondial », les 17 et 18 avril. Retour sur le programme.

Le thème de la conférence reflète l’engagement de l’institut à explorer les enjeux majeurs dans les contextes régionaux et mondiaux actuels, marqués notamment par les guerres médiatiques et les conflits générés par les réseaux sociaux et l’espace numérique.

Cette conférence, une tradition académique remontant aux années 1980, abordera trois axes principaux : « Géopolitique de l’information à l’ère du désordre informationnel »; « Géopolitique du divertissement et des loisirs »; et « Géopolitique de l’espace virtuel et des pouvoirs fluides ».

L’événement comprend six sessions scientifiques, avec des contributions d’éminents chercheurs provenant de diverses universités, de Tunisie, de Turquie, d’Algérie, de France, de Palestine et du Maroc.

Le deuxième jour se tiendra une table ronde intitulée « Médias et géopolitique : intérêts contradictoires et pouvoir des récits », réunissant universitaires de Tunisie, de Palestine et du Liban et autres journalistes.

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Tunisie : des figures de l’opposition en grève de la faim

09. April 2025 um 13:00

Ce mardi 8 avril 2025, six détenus dans le cadre de l’affaire  complot contre la sûreté de l’État ont annoncé leur entrée en grève de la faim. Issam Chebbi, Abdelhamid Jlassi, Khayam Turki, Ridha Belhaj, Ghazi Chaouachi et Jaouhar Ben Mbarek, ce dernier ayant commencé son mouvement de protestation dès le 30 mars, contestent les conditions de leur procès qu’ils qualifient de politique.

Dans un communiqué transmis depuis leur lieu de détention, les opposants dénoncent une « parodie de justice » et réclament un « procès équitable ». Ils pointent du doigt plusieurs « irrégularités procédurales », notamment le recours à des « témoins anonymes », l’interdiction faite aux médias de couvrir les audiences et la tenue des débats à distance sans garanties juridiques suffisantes. « Nous refusons de participer à un procès truqué, dépourvu des conditions élémentaires d’équité », ont-ils déclaré.

Les avocats de la défense, dont le travail est salué dans le communiqué des grévistes, continuent de se mobiliser pour exiger un « réexamen transparent du dossier ». À l’heure actuelle, les autorités judiciaires ne se sont pas encore exprimées sur cette nouvelle étape de la contestation.

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Assurances Hayett réalise un bénéfice de 9,02 MDT en 2024

09. April 2025 um 11:09

La compagnie d’assurances vie et de capitalisation Hayett, filiale du groupe Amen Bank, a publié ses états financiers arrêtés au 31 décembre 2024, qui seront soumis à l’approbation de l’Assemblée Générale Ordinaire prévue pour le 21 avril 2025.

Les résultats financiers de l’année 2024 montrent un bénéfice net de 9,02 millions de dinars, en recul de 27,55% par rapport aux 12,45 millions de dinars réalisés en 2023. Cette diminution a eu lieu malgré une charge fiscale importante, avec un impôt sur les bénéfices s’élevant à 6,11 millions de dinars, ainsi qu’une contribution conjoncturelle et une contribution sociale, chacune de 610.880 dinars.

Concernant le résultat technique de l’assurance vie, la compagnie a enregistré un chiffre de 13,64 millions de dinars en 2024, soit une baisse de 18,63% par rapport à l’année précédente. En revanche, les produits des placements alloués, transférés de l’état de résultat, ont augmenté de 19,15%, atteignant 3,78 millions de dinars. Cependant, les charges des placements ont fortement augmenté, passant de 108.263 dinars en 2023 à 680.177 dinars en 2024.

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BH BANK affiche un solide résultat bénéficiaire de 108,5 MDT

09. April 2025 um 10:35

BH BANK annonce un bénéfice de 108,5 millions de dinars pour l’exercice 2024 et propose un dividende de 0,800 Dinar par action

Lors de sa réunion du 27 mars 2025, le Conseil d’Administration de BH BANK a validé les états financiers de l’exercice 2024, qui font état d’un résultat bénéficiaire de 108 511 301,583 dinars. Ce bilan a été soumis aux Commissaires aux Comptes pour examen. Le rapport d’activité de la société a également été examiné par le Conseil.

Dans ce cadre, BH BANK a annoncé la convocation d’une Assemblée Générale Ordinaire, qui se tiendra le samedi 26 avril 2025. Le Conseil d’Administration a par ailleurs proposé la distribution d’un dividende de 0,800 dinar par action, sujet à l’accord préalable de la Banque Centrale de Tunisie. Cette proposition sera soumise à l’approbation des actionnaires lors de l’Assemblée Générale. Ainsi, BH BANK affiche une performance solide pour l’année 2024, renforçant sa position sur le marché bancaire tunisien.

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ARTES SA réalise un résultat net de 40,4 MDT en 2024, en hausse de 49 %

09. April 2025 um 09:31

Le Conseil d’Administration de la société Automobile Réseau Tunisien et Services (ARTES SA), réuni le mardi 8 avril 2025, a arrêté les états financiers de l’exercice clos au 31 décembre 2024. Ces derniers font état d’un résultat net de 40,416 millions de dinars tunisiens (MDT), contre 27,126 MDT en 2023, soit une progression de 49 %.

Lors de cette réunion, le Conseil a également examiné le rapport d’activité de la société. À l’issue de ses travaux, il a décidé de proposer à l’Assemblée Générale Ordinaire la distribution d’un dividende de 0,800 Dinar par action au titre de l’exercice 2024. Cette performance reflète, selon la société, une amélioration significative de ses indicateurs financiers sur l’année écoulée.

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Affaire des paris sportifs : Walid Balti quitte la prison de la Mornaguia

09. April 2025 um 09:00

 La chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis a ordonné, mardi 8 avril 2025, la remise en liberté de l’homme d’affaires Walid Balti, impliqué dans l’affaire des paris sportifs.

D’après son avocat, Me Oussama Barhoumi, membre de son comité de défense, l’intéressé devrait recouvrer la liberté dans le courant de la journée et quitter la prison civile de la Mornaguia. Cependant, Walid Balti reste sous le coup d’une autre procédure judiciaire. Il fait en effet l’objet de poursuites dans le cadre de l’affaire de complot, mais comparait cette fois-ci en état de liberté, a précisé Me Barhoumi dans une déclaration à Mosaïque FM.

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