Tunisie - Suisse: La coopération scientifique a le vent en poupe
© Mosaique FM
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La Présidence du gouvernement a annoncé, ce vendredi 27 juin 2025, que les horaires administratifs d’été seront appliqués dans les administrations publiques, collectivités locales et établissements publics à caractère administratif du 1er juillet au 31 août 2025.
Durant cette période, l’horaire de travail sera organisé comme suit :
Du lundi au jeudi : de 8h00 à 14h30
Le vendredi : de 8h00 à 13h30
Cette mesure s’inscrit dans le cadre de l’adaptation saisonnière des horaires administratifs, en conformité avec les dispositions réglementaires en vigueur.
La Chine s’est engagée, ce vendredi, à approuver les demandes d’exportation de produits américains répondant aux critères requis, tandis que les États-Unis ont accepté de lever certaines mesures restrictives précédemment imposées à la nation asiatique.
Cette annonce fait suite à un accord de principe conclu entre Pékin et Washington à l’occasion de négociations économiques et commerciales tenues à Londres les 9 et 10 juin, selon un communiqué du ministère chinois du Commerce. Celui-ci précise que les deux délégations ont maintenu des contacts réguliers depuis cette rencontre.
Les deux parties ont convenu de continuer à s’appuyer sur leur mécanisme bilatéral de consultation économique et commerciale, dans le but de réduire les malentendus, renforcer la confiance mutuelle et intensifier leur coopération pratique.
La veille, la Maison Blanche avait déjà fait état de progrès dans les pourparlers commerciaux avec la Chine. Le président américain Donald Trump a également affirmé que Washington « venait de signer » un accord commercial avec Pékin, sans toutefois en révéler les détails.
Ces avancées s’inscrivent dans la dynamique de détente amorcée lors des négociations de Genève en mai dernier, au terme desquelles les deux puissances avaient accepté une réduction réciproque de 115 % de leurs tarifs douaniers respectifs — une mesure exceptionnelle, en vigueur pour une durée de 90 jours.
La Commission de la législation générale de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) entamera, le mercredi 2 juillet 2025, l’examen d’une proposition de loi visant à réviser le décret-loi n°54, relatif à la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication.
Dans une déclaration à l’agence TAP ce vendredi, Yassine Kourrari, président de la commission, a précisé que la première séance sera consacrée à l’audition de l’instance à l’origine de cette initiative législative. Il a ajouté que le calendrier des prochaines auditions sera fixé en concertation avec les membres de la commission.
Kourrari a assuré que la commission œuvre à transmettre cette proposition au bureau de l’Assemblée dans les délais les plus courts. Si le dépôt ne peut avoir lieu avant la trêve estivale, les travaux de la commission se poursuivront durant les vacances parlementaires, conformément au règlement intérieur.
Il a également réaffirmé l’engagement de la commission à transmettre ses rapports relatifs à la révision du décret-loi 54, ainsi que ceux concernant d’autres projets de loi en cours d’étude, avant l’ouverture de la prochaine session parlementaire.
Pour rappel, le bureau de l’ARP avait décidé le 11 avril dernier de transmettre cette proposition de révision du décret-loi n°54 à la Commission de la législation générale. Le texte initial avait été déposé par plusieurs députés le 20 février 2024, mais n’avait pas été transmis dans les délais aux commissions compétentes. Ce retard a conduit 60 députés à renouveler leur demande en janvier dernier, en y joignant une requête d’examen en urgence.
Le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières, Wajdi Hedhili, a annoncé, ce vendredi 27 juin 2025, une série de mesures destinées à améliorer la gouvernance des biens de l’État, en particulier dans les domaines foncier et logistique.
S’exprimant lors d’une séance de dialogue au Conseil national des régions et des districts, le ministre a confirmé le lancement d’une nouvelle stratégie de valorisation du foncier public. Cette approche vise à renforcer la transparence, optimiser l’utilisation des biens de l’État et contribuer au développement local, régional et national.
Dans ce cadre, le ministère travaille à la numérisation du cadastre public, à travers la mise en place d’une carte numérique des biens fonciers de l’État. Cette initiative permettra un suivi plus rigoureux et une meilleure planification de l’utilisation des ressources foncières.
En parallèle, le ministre a souligné les efforts déployés pour renforcer le contrôle de l’usage des véhicules administratifs. Le déploiement du système de géolocalisation GPS est en cours de généralisation afin d’optimiser la gestion des déplacements et de la consommation de carburant.
Dans cette optique, trois nouvelles équipes de contrôle ont été créées en 2025 dans les gouvernorats de Sidi Bouzid, Kasserine et Kairouan. Actives depuis mai dernier, ces équipes ont pour mission de veiller à la bonne utilisation des véhicules administratifs et de lutter contre les abus, notamment durant la période estivale.
Selon les données fournies par le ministère, 8 410 véhicules ont été contrôlés au cours des cinq premiers mois de 2025, donnant lieu à 288 patrouilles de surveillance et à la rédaction de 187 procès-verbaux pour non-conformité ou usage abusif.
Wajdi Hedhili a réaffirmé l’engagement du ministère à poursuivre ses efforts pour garantir une gestion rigoureuse, équitable et efficace des biens publics, tout en plaçant la modernisation technologique au cœur de ses priorités.
Les financements accordés par les banques publiques tunisiennes aux secteurs prioritaires – agriculture, habitat et entreprises stratégiques – restent modestes, représentant seulement 13,88 % de l’ensemble des crédits distribués en 2024.
Selon les derniers indicateurs publiés par le Conseil du marché financier (CMF), l’encours total des crédits destinés à ces secteurs s’élève à 5 859,3 millions de dinars (MD), sur un volume global de 42 207,7 MD.
L’analyse des données de la Banque nationale agricole (BNA), de la BH Bank et de la Société tunisienne de banque (STB) révèle des disparités dans leur contribution au financement des secteurs d’utilité publique :
La BNA n’a consacré que 7,19 % de ses crédits à l’agriculture, pour un encours de 1 168 MD.
La BH Bank a alloué 13,66 % de ses financements au logement des particuliers, soit 1 938 MD.
La STB, bien qu’étant le principal soutien des entreprises publiques stratégiques (comme l’Office des céréales et l’OCT), ne consacre que 23,39 % de ses crédits aux services publics.
Les données montrent que les banques publiques privilégient d’autres activités :
La BNA se tourne vers les prêts commerciaux et industriels.
La BH Bank finance principalement les services.
La STB soutient le tourisme et la consommation.
Bien que ces institutions jouent un rôle clé dans le financement de l’économie, leur implication dans les secteurs d’intérêt général demeure limitée. À fin 2024, seulement 5,86 milliards de dinars ont été mobilisés pour soutenir ces priorités, soulignant la nécessité d’un rééquilibrage des orientations de crédit.
Avec TAP
L’article Financement public : Moins de 14 % des crédits bancaires vont aux secteurs prioritaires est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le gouvernement du chancelier Friedrich Merz cherche à limiter la charge fiscale peu après l’investissement en équipements professionnels. À l’issue de la période triennale, de 2028 à 2032, une réduction progressive de l’impôt sur les sociétés de 15 % à 10 % est prévue en Allemagne.
Par ailleurs, l’achat d’une voiture 100 % électrique devient désormais plus attractif fiscalement pour les entreprises. La nouvelle loi prévoit non seulement une augmentation du prix plafond de 75 000 à 100 000 euros par voiture, mais également une option d’amortissement de 75 % l’année d’achat.
Parallèlement, afin de stimuler l’investissement dans la recherche et le développement, l’allocation de recherche est élargie. Par exemple, le plafond de calcul de l’allocation devrait passer de 10 millions d’euros actuellement à 12 millions d’euros pour la période 2026-2030.
Le paquet de mesures doit encore être approuvé par la Chambre haute du Bundesrat le 11 juillet, comme le rapporte Reuters.
Dans son discours au Parlement, le vice-chancelier et ministre des Finances, Lars Klingbeil (SPD), a lancé un message clair sur le retour de l’Allemagne à la croissance. Tandis que l’opposition s’est demandé si les réductions d’impôts conduisaient nécessairement à des investissements plus élevés.
Katerina Beck, experte économique du Parti vert, a notamment souligné que les nouvelles options d’amortissement ne garantissent pas une augmentation des investissements. L’argent pourrait, par exemple, être distribué aux actionnaires, a-t-elle déclaré à la tribune du Parlement allemand.
De son côté, le député de gauche Christian Gehrke a douté que les réductions d’impôts conduisent à davantage d’investissements, soulignant que de nombreuses entreprises hésitent à investir en raison de la situation internationale négative et de la politique tarifaire souvent erratique du président américain, Donald Trump.
Au Parlement, le projet de loi a été voté par les groupes parlementaires conservateur et social-démocrate. Tandis que l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) s’est abstenue. Les Verts et la Gauche ont voté contre.
La loi de coalition devra surmonter un autre obstacle : le 11 juillet, les Länder se prononceront sur le projet de loi au Conseil fédéral (Bundesrat). Mais tout porte à croire que l’ambitieux projet de la coalition sera finalement approuvé.
L’article Allemagne : Merz met un turbocompresseur sur la croissance est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
C’est ce qu’a rappelé Sofiene Weriemi, expert-comptable et spécialiste du secteur bancaire, lors de son intervention ce vendredi dans l’émission Sbeh Ennes sur Mosaïque FM. Selon lui, un compte est considéré comme dormant si son titulaire n’a effectué aucune opération financière de sa propre initiative pendant quinze ans, et ce, même si la banque a crédité des intérêts ou prélevé des frais.
Délai spécifique pour les mineurs
Une exception est prévue pour les comptes ouverts au nom de mineurs : le délai de quinze ans ne commence à courir qu’à partir de leur majorité. Par ailleurs, la mesure s’applique uniquement aux comptes inactifs depuis au moins quinze ans au 31 décembre 2024.
Obligation de notification
Les établissements bancaires et financiers doivent informer les clients concernés par deux canaux distincts :
L’envoi d’un télégramme ou tout autre support écrit.
La publication de la liste des comptes concernés dans le Journal officiel de la République tunisienne (JORT).
« Les banques, assurances et intermédiaires boursiers devaient publier ces listes avant le 30 avril. À ce jour, plus de 400 000 comptes ont été recensés », a indiqué M. Weriemi.
Délais à respecter
Pour les comptes déjà identifiés avant le 30 avril, les titulaires ont jusqu’au 30 juin pour effectuer une opération et éviter le transfert. Dans le cas contraire, celui-ci interviendra entre le 1er et le 15 juillet. À noter que cette procédure sera désormais répétée chaque année avant le 15 février.
Droit de récupération
Les titulaires disposent d’un délai de quinze ans pour réclamer leurs fonds une fois le transfert effectué. Une disposition similaire existe en France, où elle permet notamment de régulariser des situations successorales lorsque des héritiers ignorent l’existence de comptes.
Manque d’outils en Tunisie
Si M. Weriemi reconnaît l’utilité de cette mesure, il déplore l’absence d’une plateforme centralisée comme en France, ainsi que la complexité des démarches et le manque de transparence dans l’accès à l’information.
Une situation qui pourrait pénaliser certains épargnants, notamment ceux peu familiarisés avec les procédures administratives.
L’article Transfert des comptes dormants vers le Trésor public : ce qu’il faut savoir est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministère de l’Éducation a annoncé, dans un communiqué publié sur sa page officielle, que les inscriptions au service de consultation des résultats par SMS pour le concours d’entrée aux collèges pilotes (sixième année, session 2025) débuteront ce dimanche 29 juin à 10 heures du matin.
Les élèves pourront bénéficier de ce service s’ils sont abonnés chez Orange, Tunisie Télécom ou Ooredoo.
Toute personne souhaitant consulter les résultats du concours de la sixième doit envoyer un SMS en tapant SIX suivi d’un espace, puis du numéro d’inscription.
Ce numéro doit être composé de six chiffres.
Le coût du SMS est de 950 millimes.
Les résultats seront également disponibles sur le site : www.web6.tn.
L’article Les résultats du concours d’entrée au collège pilote accessibles par SMS dès ce dimanche est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Lors d’une table ronde, Thouraya Khayati, directrice du Marketing International à FIPA-Tunisia, a présenté le climat des investissements en Tunisie, les dernières données sur l’investissement, ainsi que les opportunités dans les secteurs à forte valeur ajoutée.
Par la suite, des rencontres bilatérales ont eu lieu entre entreprises turques et tunisiennes afin de favoriser les échanges et partenariats économiques.
L’article Rencontre économique tuniso-turque à l’UTICA : vers de nouvelles opportunités d’investissement est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le tirage au sort de l’édition 2025 du prestigieux tournoi de Wimbledon s’est tenu ce vendredi 27 juin, en Angleterre. Verdict : la Tunisienne, Ons Jabeur, classée 59e mondiale, affrontera au premier tour la Bulgare Viktoriya Tomova, actuelle 81e au classement WTA. Il s’agit d’un duel à enjeu pour la joueuse tunisienne, qui tentera de lancer au mieux sa campagne sur le gazon londonien.
En cas de qualification, la Tunisienne affrontera au deuxième tour la vainqueur du match opposant la Lettone Jelena Ostapenko (20e mondiale) à la Britannique Sonay Kartal (49e).
À noter que le tournoi de Wimbledon, troisième levée du Grand Chelem, se tiendra du 30 juin au 13 juillet 2025
L’article Wimbledon : Ons Jabeur – Viktoriya Tomova, au 1er tour est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Par Mahjoub Lotfi Belhedi *
Washington a reconnu ignorer l’emplacement exact de ce stock stratégique. L’information est jugée plausible par les experts du renseignement : l’Iran dispose d’un réseau d’installations souterraines, mobiles ou clandestines, difficilement repérables même par les frappes de haute précision.
L’Iran a acquis une indépendance industrielle dans le domaine de l’enrichissement : ses centrifugeuses IR-1, IR-2m et IR-6 sont conçues localement, avec des pièces issues d’un réseau d’usines sidérurgiques avancées. Cette autonomie technologique est la clé : même sous sanctions, Téhéran peut maintenir voire accélérer son programme.
Les experts en sciences atomiques s’accordent sur un point crucial : le passage de l’uranium enrichi à 60 % au grade militaire (90 %) peut prendre quelques jours à quelques semaines, selon le nombre de centrifugeuses mobilisées. Le vrai défi réside ensuite dans la conversion en métal d’uranium et l’assemblage d’une ogive nucléaire, ce qui pourrait prendre entre 2 à 6 mois… ou plutôt moins, si des recherches ont été menées en parallèle.
Avoir la bombe ne suffit pas. Il faut pouvoir la lancer. Or l’Iran possède déjà des missiles balistiques (jusqu’à 3 000 km) et développe des drones militaires avancés. Certains experts estiment que la miniaturisation nécessaire pour monter une petite charge nucléaire sur ces vecteurs est à portée de ses ingénieurs.
La déclaration récente de Dmitri Medvedev – à peine voilée par les organes de veille stratégique au monde, excluant toute livraison de têtes nucléaires russes à l’Iran – pourrait être interprétée comme un aveu implicite : si Téhéran n’a pas besoin d’aide, c’est peut-être qu’il est déjà prêt. La Russie, tout en affichant sa non-implication, semble reconnaître la maturité nucléaire du programme iranien.
Un Iran doté de l’arme nucléaire ne se contenterait pas d’un simple rôle dissuasif. Une telle évolution bouleverserait profondément l’équilibre stratégique du Proche-Orient.
Ce serait la fin d’une ère : celle de la suprématie nucléaire absolue d’Israël au Moyen-Orient. Depuis plusieurs décennies, l’État sioniste reste la seule puissance nucléaire non déclarée de la région, bénéficiant ainsi d’un avantage stratégique décisif. L’émergence d’un Iran nucléaire remettrait radicalement en question cet équilibre.
Face à cette nouvelle donne, des puissances régionales comme l’Arabie saoudite, la Turquie ou l’Égypte pourraient être tentées d’entrer à leur tour dans la course à l’atome. Une prolifération en chaîne deviendrait alors plausible…
Les États-Unis, traditionnellement garants de la sécurité de leurs alliés dans la région, seraient contraints de revoir leur posture stratégique. Leur capacité à imposer des lignes rouges, à prévenir l’escalade et à maintenir la dissuasion serait mise à l’épreuve. Washington devrait composer avec une nouvelle réalité multipolaire, dans laquelle ses marges de manœuvre seraient réduites.
Le TNP (Traité de non-prolifération nucléaire), pilier du régime international de non-prolifération, subirait un coup dur. Déjà affaibli, il verrait sa crédibilité encore davantage entamée. L’incapacité à empêcher l’Iran de se doter de l’arme atomique pourrait sonner le glas d’un ordre nucléaire basé sur la limitation de l’accès à l’arme suprême.
Les 408,6 kg d’uranium enrichi à 60 % ne sont pas qu’un chiffre, une donnée technique ou un simple seuil critique : ils incarnent une bascule historique. Ce stock place l’Iran dangereusement près de la capacité à produire de l’uranium enrichi à 90 %, qualité militaire, en un laps de temps réduit. Il ne manque qu’une décision politique pour franchir le pas.
Derrière ce chiffre se cache une transformation silencieuse mais lourde de conséquences : celle d’un monde où les règles du jeu nucléaire ne seraient plus dictées uniquement par les grandes puissances établies. Une porte s’entrouvre sur une ère d’accentuation des incertitudes stratégiques, marquée par la remise en cause des tabous nucléaires, la tentation de la prolifération régionale d’où l’arme nucléaire pourrait cesser d’être un privilège d’États puissants pour devenir un instrument de pouvoir revendiqué par tout régime en quête de statut ou de sécurité.
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L’article 408,6 kg, 60%, 9 bombes : l’équation secrète iranienne ? est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
La présidence du gouvernement informe que les horaires administratifs de travail estival dans les administrations publiques, les collectivités locales et les établissements publics à caractère administratif, du 1er juillet 2025 jusqu’au 31 août 2025, seront les suivants :
L’article Horaires administratifs d’été 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le guide suprême de la république iranienne a salué à travers une vidéo partagée par l’Agence France Presse (AFP) ce qu’il a appelé la victoire de l’Iran contre le régime « fallacieux » sioniste.
Voici la transcription de la vidéo :
Al Khamanei a assuré que malgré tous les bruits et affirmations, le régime sioniste a presque été écrasé sous les coups de la République islamique.
L’article Al Khamenei salue la « victoire » iranienne après le cessez-le-feu est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a confirmé que l’élimination du guide suprême iranien, Ali Khamenei, avait été envisagée durant la guerre éclair de douze jours contre l’Iran, mais que l’opération n’avait pas pu être menée à bien. « Nous n’avons pas eu d’opportunité opérationnelle », a-t-il déclaré, jeudi 26 juin, à la radio publique israélienne Kan, ajoutant que le guide suprême s’était « enfoncé très profondément sous terre », rendant toute frappe irréaliste.
Invité sur Channel 12 et 13, M. Katz a confirmé qu’Israël n’avait pas pu localiser Khamenei. Lors du conflit, il avait affirmé que ce dernier ne pouvait « pas continuer à exister ». Il a reconnu, après le cessez le feu que la situation avait changé et qu’Israël ne poursuivait plus ce projet.
Il n’a cependant pas manqué d’avertir Ali Khamenei : « Je lui recommande de rester dans un bunker. »
« Je lui recommande d’en faire autant », a-t-il lancé.
En effet, Nasrallah a été tué par une frappe israélienne en septembre 2024.
M. Katz a admis qu’Israël ignore l’emplacement exact des stocks d’uranium enrichi détenus par l’Iran, mais il a assuré que les frappes ciblées contre les sites nucléaires avaient neutralisé les capacités d’enrichissement de Téhéran. « Le matériel en lui-même n’était pas l’objectif direct », a-t-il expliqué à Channel 12.
« Nous avons détruit les infrastructures nucléaires ainsi que les capacités de développement des missiles iraniens, en éliminant toutes les usines de fabrication », a-t-il ajouté.
Cette information a été relayée par plusieurs médias.
L’article Israël était prêt à tuer Ali Khamenei, affirme son ministre de la Défense est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
À l’approche de la saison estivale, le ministère des Domaines de l’État et des Affaires foncières entend renforcer les opérations de contrôle des véhicules administratifs afin de lutter contre les abus et garantir une utilisation conforme des voitures de service. C’est ce qu’a affirmé le ministre Wajdi Hedhili, vendredi 27 juin, lors d’une séance de dialogue au Conseil national des régions et des districts.
Le ministre a souligné que son département s’emploie activement à préserver les biens publics et à rationaliser leur gestion. À ce titre, la généralisation du système GPS sur les véhicules administratifs a été engagée pour optimiser la gestion des déplacements et de la consommation de carburant. Ce dispositif s’accompagne d’un renforcement des équipes de contrôle sur le terrain, en collaboration avec les autorités régionales.
Trois équipes de contrôle ont ainsi été mises en place depuis mai 2025 dans les gouvernorats de Sidi Bouzid, Kasserine et Kairouan, en application de décisions émanant du ministère.
Entre janvier et mai 2025, pas moins de 288 missions de contrôle ont été menées sur un total de 8 410 véhicules, débouchant sur l’établissement de 187 procès-verbaux. À titre de comparaison, l’année 2024 avait enregistré 875 opérations de contrôle sur 23 900 véhicules administratifs, ayant permis de relever 784 infractions.
L’article Tunisie – Contrôle des véhicules administratifs : Des opérations renforcées pour la saison estivale est apparu en premier sur webdo.