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Retour de la diaspora : les leviers d’attractivité au cœur d’un atelier à Tunis

21. Dezember 2025 um 22:32

Les principales conclusions d’une étude sur la feuille de route de l’attractivité, visant à favoriser le retour durable de la diaspora tunisienne, seront présentées et discutées lors d’un atelier prévu le mardi 23 décembre à Tunis.

Annoncé par l’Association des tunisiens des grandes écoles (ATUGE – Tunisie), l’organisateur de l’événement, sur ses réseaux sociaux, cet atelier s’inscrit dans le cadre du projet THAMM-OFII, financé par l’Union européenne.

Mis en œuvre en partenariat avec l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), cet atelier réunira des experts, des décideurs, des représentants institutionnels et des membres de la diaspora autour de trois axes stratégiques : l’accès au marché de l’emploi, la facilitation de l’investissement, ainsi que la simplification administrative et des services dédiés.

L’objectif est triple : présenter les résultats de l’étude, identifier les obstacles au retour des Tunisiens résidant à l’étranger (TRE) et proposer des facteurs d’attractivité concrets, notamment en matière d’incitations fiscales, d’accès au financement, de services bancaires adaptés et de protection sociale, afin de faciliter leur réintégration professionnelle, entrepreneuriale et sociale.

Cette initiative s’inscrit dans une dynamique nationale visant à capitaliser sur le potentiel humain et financier de la diaspora, considérée comme un pilier du développement économique et social du pays.

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Ces cinq Tunisiens figurent parmi les 100 Africains les plus influents en 2025

21. Dezember 2025 um 19:00

Hazem Ben Gacem (investisseur), Lotfi Karoui (financier), Semia Gharbi (activiste écologiste), Myriam Ben Salah (conservatrice d’art) et Fadhel Kaboub (économiste et conseiller politique). Ce sont là les cinq Tunisiens qui figurent dans le classement annuel des « 100 Africains les plus influents en 2025 » qui vient d’être publié par le magazine New African.

Ce classement célèbre les réalisations d’Africains qui ont eu un impact positif dans plusieurs secteurs à l’échelle du continent mais aussi parfois dans le monde en 2025.

Les 100 Africains les plus influents en 2025 se répartissent sur 7 catégories : affaires (21 personnalités), créatifs (19 personnalités), penseurs et leaders d’opinion (15 personnalités), fonction publique (15), sports (13), acteurs du changement (9) et technologies (8).

Avec 5 tunisiens dans le classement, la Tunisie figure dans le top 5 des pays les plus représentés après le Nigeria (21 personnalités), l’Afrique du Sud (10 personnalités), le Kenya (7), et le Ghana (7).

Harvard

Hazem Ben Gacem (Catégorie Affaires) est un investisseur tunisien qui a passé trois décennies au cœur des marchés privés mondiaux. Né en Tunisie et diplômé de Harvard, il a débuté sa carrière à New York avant de rejoindre Investcorp en 1994, où il a gravi les échelons pour devenir co-PDG du plus grand gestionnaire d’actifs non souverains du Moyen-Orient.

Fin 2024, Ben Gacem démissionne pour se lancer immédiatement dans la création de BlueFive Capital, un gestionnaire d’investissements mondial basé à Abu Dhabi et destiné à canaliser les capitaux du Golfe vers les régions à forte croissance du Sud de la planète. En quelques mois, la société a franchi la barre des centaines de millions d’actifs sous gestion, clôturant un tour de table sursouscrit à la mi-2025.

La société est présente à Abu Dhabi, Riyad, Singapour, Pékin et Londres, et a annoncé l’ouverture de nouveaux bureaux liés aux plans de transformation économique du Golfe. Elle se concentre sur les infrastructures, l’énergie, les nouveaux matériaux et les opportunités régionales transfrontalières.

Lotfi Karoui (Catégorie des Affaires) est un financier tunisien qui a rejoint, en octobre dernier, PIMCO, l’un des principaux gestionnaires mondiaux d’investissements à revenu fixe, en tant que directeur général et stratège en crédit multi-actifs. Il était récemment stratège en chef en matière de crédit chez Goldman Sachs, où il était responsable de la recherche et des analyses sur les marchés mondiaux du crédit. Il a rejoint la société en 2007, a été nommé directeur général en 2015 et associé en 2025.

Avant cela, Karoui a enseigné la finance et la recherche opérationnelle à l’université McGill et à HEC Montréal.

Né en Tunisie, Karoui est diplômé de l’Institut des Hautes études commerciales de Carthage, où il a obtenu une licence en finance. Il est titulaire d’un master en ingénierie financière de HEC Montréal et d’un doctorat en économie financière de l’université McGill. Il est président de l’Association américaine des affaires et des finances (American Business and Finance Association), où il défend des programmes qui mettent en relation les professionnels de la diaspora avec les réseaux financiers mondiaux, favorisant ainsi le retour des flux d’investissement vers l’Afrique. Il est également conseiller et mentor de nombreux champions du capital-risque à travers l’Afrique.

Scientifique et éducatrice environnementale, Semia Gharbi (57 ans) dispose d'une expérience de plus de 20 ans en tant qu'activiste qui lutte pour la protection de l'environnement.
Photo : Site prix Goldman pour l’environnement

Semia Gharbi (Catégorie Acteurs du changement) est une activiste écologiste qui lutte contre le « colonialisme des déchets  » en contribuant à attirer l’attention du monde entier sur cette menace et à faire reconnaître le trafic de déchets comme un scandale humain, environnemental et moral. Elle est lauréate du prix Goldman pour l’environnement 2025. Gharbi, 57 ans, a commencé sa carrière comme scientifique, mais s’est fait connaître dans le monde entier en tant que militante écologiste et éducatrice.

Myriam Ben Salah (Catégorie Créatifs) est conservatrice d’art, écrivaine et éditrice. Elle a terminé ses études à Paris et a effectué un stage au Palais de Tokyo, le plus grand centre d’art contemporain de France, où elle s’est vu proposer en 2009 le poste de conservatrice des programmes publics et des projets spéciaux. Sept ans plus tard, elle est devenue rédactrice en chef du magazine d’art avant-gardiste italien très réputé, Kaléidoscope.

Parmi ses projets artistiques récents, elle a notamment dirigé la 10e édition du prix Abraaj Group Art Prize à Dubaï. Depuis 2020, elle est directrice du musée d’art contemporain indépendant « The Renaissance Society » à l’université de Chicago. En 2026, Ben Salah sera la commissaire d’exposition de la célèbre artiste visuelle et cinéaste franco-marocaine Yto Barrada à la Biennale de Venise.

Fadhel Kaboub (Catégorie Penseurs et leaders d’opinion) est un économiste et conseiller en politique mondiale connu pour ses travaux sur la finance, la transition énergétique équitable et la souveraineté économique dans les pays du Sud.

Professeur associé d’économie à l’Université Denison et président du Global Institute for Sustainable Prosperity, il plaide en faveur de politiques climatiques qui privilégient l’équité, la résilience et la justice réparatrice, en particulier pour les pays les plus touchés par le changement climatique mais les moins responsables de celui-ci. Il milite également en faveur de cadres politiques qui aident les pays du Sud à réduire leur dépendance à l’aide et à la dette extérieure.

Kaboub est coauteur de Just Transition: A Climate, Energy, and Development Agenda for the Global South (Transition juste : un programme pour le climat, l’énergie et le développement dans les pays du Sud). Il a pris la parole lors de nombreux forums, notamment les sommets de la COP, les panels des Nations unies et les conférences africaines sur le climat.

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L’année 2025: Une résilience en trompe-l’oeil?

21. Dezember 2025 um 17:47

L’année 2025, qui prend fin dans quelques jours, fut pleine de surprises et de chamboulements alimentés par les tensions géopolitiques et les fréquents volte-face du locataire de la Maison Blanche. Contre toute attente, l’économie mondiale s’est révélée résiliente.

Sur le front de la croissance économique, qui reste assez faible malgré les révisions à la hausse des perspectives par les principales institutions internationales, le simple fait qu’il n’y ait pas de récession est considéré comme un signe de résistance.

De son côté, l’inflation a suivi son trend baissier dans la plupart des grandes économies, même si elle n’a pas toujours atteint sa cible.

Quant aux marchés financiers, malgré la volatilité observée durant l’année, la plupart des indices clôturent en vert. L’indice S&P 500 et l’Euro Stoxx 50 ont tous deux progressé de plus de 16 % depuis le début de janvier, sans oublier la super performance de 27% enregistrée par l’indice japonais le Nikkei 225.

Dans son rapport publié le 2 décembre, l’OCDE attribue cette solidité à la convergence de plusieurs dynamiques : la proactivité des acteurs face aux éventuels relèvements des droits de douane qui a stimulé les échanges commerciaux, l’essor des investissements liés à l’intelligence artificielle et le soutien de la demande grâce à des politiques budgétaires expansionnistes et des politiques monétaires accommodantes émanant des principales banques centrales.

Cette résilience, cependant, demeure précaire. Les finances publiques croulant sous le poids de la dette suscitent des inquiétudes croissantes sur la viabilité budgétaire à long terme. Le risque de nouvelles restrictions au commerce et le déclin des valeurs technologiques et des cryptoactifs plane toujours. Dans ce contexte, le revirement de la situation est un scénario fort probable.

Au niveau national, la Tunisie n’est pas en marge de cette dynamique. La croissance économique de 2,4% sur les 9 premiers mois de l’année, le recul de l’inflation à 4,9% et l’amélioration de la notation de la dette souveraine révèlent une forme de résilience. Toutefois, la détérioration historique du solde commercial, comme le montrent les derniers chiffres publiés le 12 décembre par l’INS et le lourd fardeau des emprunts publics prévu par la loi des finances 2026 rappellent que le défi n’est pas encore relevé.

Si l’année économique 2025 a atterri en douceur, celle de 2026 marcherait sur les œufs.

 

Par Lamia-Jaidane-Mazigh

Cet article est disponible dans le mag. de l’Economiste Maghrébin n°934 du 17 au 31 décembre 2025.

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Le Tunisien Jalel Zayani réélu vice-président de l’Union arabe de Tennis de table 

21. Dezember 2025 um 10:51

Le Tunisien Jalel Zayani a été réélu au poste de vice-président de l’Union arabe de tennis de table (UATT) pour le mandat 2025-2028. C’était lors de l’Assemblée générale élective de l’Union qui s’est tenue samedi 20 décembre à Tunis.

De son côté, le Qatari, Khalil Ben Ahmed Al-Mouhannadi, a lui aussi été réélu président de l’UATT au cours de cette même Assemblée.

Les membres composant le reste du Comité exécutif de l’Union ont également été élus ce samedi.

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Tunisie – Météo : pluies et légère baisse des températures, ce 21 décembre 2025

21. Dezember 2025 um 08:39

L’Institut national de la météorologie (INM) prévoit, pour ce dimanche 21 décembre, un temps nuageux parfois denses sur la plupart des régions, avec des pluies temporairement orageuses sur les zones ouest du nord et du centre.

Les températures seront en légère baisse.

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Cementos Molins renforce sa présence en Tunisie avec le rachat de Secil pour 1,64 milliard de dollars

20. Dezember 2025 um 21:50

Le groupe espagnol Cementos Molins a finalisé l’acquisition du cimentier portugais Secil auprès du conglomérat Semapa pour une valeur d’entreprise de 1,4 milliard d’euros (1,64 milliard de dollars), selon Zonebourse.

Cette transaction, financée par des liquidités, un crédit syndiqué et une émission obligataire, devrait être bouclée au premier trimestre 2026.Secil détient 99,772% des Ciments de Gabès (SCG), une cimenterie tunisienne stratégique implantée à Gabès. Cette unité produit 2 millions de tonnes de ciment par an, emploie plus de 500 personnes et s’étend au secteur du béton prêt à l’emploi.

Cementos Molins, déjà majoritaire dans la Société tuniso-andalouse de ciment blanc (SOTACIB), consolide ainsi sa position en Tunisie et en Afrique du Nord via cette opération.Conséquences stratégiques.

Ce rachat marque le désengagement de Semapa du secteur cimentier, tandis que SCG reste essentiel pour l’approvisionnement en ciment sur le marché tunisien. Pour Cementos Molins, il s’agit d’une avancée majeure dans la région, renforçant sa capacité de production et sa présence industrielle en Méditerranée.

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Fiscalité tunisienne : les forfaitaires, un poids plume à 0,5 % des recettes 

20. Dezember 2025 um 18:39

Bien que les forfaitaires représentent 38,9% des contribuables, leur apport dans les recettes fiscales n’a pas dépassé 0,5% durant les 5 dernières années. Le régime forfaitaire constitue une illustration manifeste de l’inégalité du système fiscal tunisien», a souligné l’Institut tunisien des études Stratégiques (ITES), dans un rapport, publié récemment, sous l’intitulé «Vers un système fiscal équitable, incitatif et résilient, au service de la vision 2035».

«L’analyse de l’équité du système fiscal tunisien révèle des déséquilibres préoccupants, tant en termes d’équité horizontale (traitement égal des contribuables dans des situations similaires) que d’équité verticale (progressivité selon la capacité contributive)» d’après l’ITES.
S’agissant de l’équité horizontale, l’existence de multiples régimes préférentiels avait créé des distorsions significatives, a noté l’ITES, se référant à une étude menée par le Centre de Recherches et d’études sociales (CRES) en 2022, lequel a identifié 347 mesures dérogatoires au droit fiscal commun, entraînant un manque à gagner estimé à 2,8% du PIB.

Lire aussi: Oxfam: Le système fiscal tunisien privilégie les formes d’impôts les plus inéquitables

«Ces dérogations bénéficient, principalement, aux secteurs exportateurs et aux zones de développement régional, sans que leur efficacité économique ne soit systématiquement évaluée».
Evoquant l’équité verticale, l’Institut a fait savoir que « l’indice de progressivité calculé par l’INS pour 2023 révèle que les ménages du décile le plus pauvre (10% de la population ayant le niveau de vie le plus bas), supportent un taux d’imposition effectif de 18,2%, contre 16,7% pour le décile le plus riche. Ceci a motivé la réforme du barème d’impôt menée par la loi de finances de 2025, rapportant le taux marginal à 40% et aménageant les paliers du barème de l’IRPP.

«L’indice de progressivité calculé par l’INS pour 2023 révèle que les ménages du décile le plus pauvre (10% de la population ayant le niveau de vie le plus bas), supportent un taux d’imposition effectif de 18,2%, contre 16,7% pour le décile le plus riche»

Fiscalité : 1 000 mesures introduites en moins de 14 ans

Par ailleurs, l’ITES a pointé du doigt la complexité du système fiscal, indiquant que plus de 1000 mesures ont été introduites dans la législation fiscale en Tunisie en moins de 14 ans. « Cette instabilité normative génère une incertitude juridique préjudiciable à l’investissement et accroît les coûts de conformité pour les entreprises » .
Sur un autre registre, l’Institut a affirmé que «le rendement global du système fiscal tunisien révèle un écart considérable avec les standards internationaux», dans la mesure où le ratio moyen des recettes fiscales au PIB en Tunisie s’est limité à 25,2%, contre 33,9% des pays de l’OCDE, en 2023. « Cette performance dégradée, soit un écart de plus de 8 points de pourcentage avec la moyenne OCDE, révèle l’ampleur du défi fiscal tunisien et masque des inefficiences structurelles importantes ».

«Le rendement global du système fiscal tunisien révèle un écart considérable avec les standards internationaux, dans la mesure où le ratio moyen des recettes fiscales au PIB en Tunisie s’est limité à 25,2%, contre 33,9% des pays de l’OCDE, en 2023». 

L’ITES estime, ainsi, le «Tax Gap» (écart entre les recettes potentielles et les recettes effectivement collectées) à environ 4,2% du PIB, soit près de 5,2 milliards de dinars tunisiens. D’où l’urgence de concevoir une réforme fiscale structurelle, qui repose sur une série d’axes, dont la digitalisation intégrale de l’administration et de l’économie fiscales, l’instauration d’une fiscalité verte alignée sur les Objectifs de Développement Durable, le renforcement de l’équité fiscale et de l’inclusion sociale, l’amélioration de la compétitivité économique par une fiscalité incitative, l’adaptation de la fiscalité tunisienne aux standards internationaux, l’introduction de règles anti-évasion…

Lire également : Les communes tunisiennes à l’école de la digitalisation du service public

Une fois mise en place, cette réforme permettrait d’améliorer l’efficacité du recouvrement, de réduire le Tax Gap et d’élargir progressivement l’assiette, ce qui favoriserait la hausse des recettes fiscales de 3 à 4 points de PIB à horizon 2035, soit 4 à 5 milliards de dinars de ressources additionnelles annuelles.
Sur le plan économique, la simplification du système fiscal, l’amélioration de la prévisibilité, la réduction des coûts de conformité et l’introduction d’incitations ciblées à l’investissement et à l’innovation stimuleraient l’activité économique. Un gain de productivité de 0,5 point par an pourrait être attendu de la seule simplification administrative, se traduisant par un surcroît de croissance de 0,3 à 0,4 point de PIB annuel.
Il convient de noter que la réforme fiscale doit être élaborée dans le cadre d’une vision stratégique cohérente, articulée autour des objectifs de développement durable et d’inclusion sociale définis  dans la Vision Tunisie 2035.
Pour rappel, la Vision Tunisie 2035 dessine les contours d’un modèle de développement fondé sur quatre piliers stratégiques, à savoir la gouvernance démocratique ; l’économie compétitive et créatrice d’emplois ; le développement humain ; et la durabilité environnementale.

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Natation: Hédia Mansour, c’est elle la nouvelle présidente de la FTN

20. Dezember 2025 um 17:42

Hédia Mansour a été élue à la tête de la Fédération tunisienne de natation (FTN) pour la période 2025-2028, annonce la Fédération samedi sur sa page officielle.

La liste unique candidate, conduite par Hédia Mansour, a obtenu la majorité requise lors de l’Assemblée générale élective tenue ce 20 décembre 2025, conformément au règlement intérieur de l’instance, explique la FTN.

Cette liste élue est composée de :

  • Hédia Mansour (présidente),
  • Mohamed Mettigi, Rim Ouaghlissi, Maher Somaï, Youssef Mlayeh, Mohamed Taha Ben Slimane, Abdelwahab Kamoun, Mohamed Jomaa, Abdelkarim Touati, Mohamed Ali Boufayed, Anis Sdoud et Fathi Ben Zekri.

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Nouveau variant K : un virologue tire la sonnette d’alarme et recommande la vaccination

20. Dezember 2025 um 17:39

Un spécialiste en virologie, Mahjoub Aouni appelle les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies chroniques et celles ayant une santé fragile à se faire vacciner contre la grippe saisonnière, en particulier avec la propagation du nouveau variant K, dérivé du virus de la grippe saisonnière A (H3N2).

Aouni explique que ce variant n’est pas nouveau, mais résulte de changements et de mutations qui se produisent chaque année sur la souche originale, ce qui la rend rapidement transmissible et plus contagieuse, tout en conservant les caractéristiques habituelles du virus de la grippe, rapporte la TAP.

Il ajoute que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prend en compte ces changements lors de la composition des vaccins annuels. En effet, le vaccin contre la grippe saisonnière de cette année comprend des anticorps contre le nouveau variant, vu qu’il est composé d’anticorps contre les virus A (H1N1 et H3N2) et le virus saisonnier B.

Le spécialiste en virologie a relevé que le nouveau variant K est apparu pour la première fois en Australie en août 2025, puis a commencé à se propager pour atteindre aujourd’hui plus de 30 pays, appelant à la nécessité de respecter les mesures de prévention et de se faire vacciner.

« Il est encore temps de se faire vacciner avant d’atteindre le pic des infections prévu en janvier 2026 », a-t-il recommandé.

Selon Aouni, aucun pays n’est actuellement en mesure de freiner la propagation de ce variant, surtout à l’approche des vacances de fin d’année et des vacances scolaires. Il a appelé les femmes enceintes, les enfants et les personnes ayant une santé fragile à se faire vacciner, tout en respectant le protocole sanitaire notamment, la distanciation sociale, le port du masque, le lavage des mains et l’aération des espaces clos.

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Huile d’olive tunisienne : offensive pour conquérir de nouveaux marchés mondiaux

20. Dezember 2025 um 13:10

Le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, indique que son département œuvre à identifier de nouveaux marchés pour la commercialisation de l’huile d’olive, telles que l’Asie, l’Europe du Nord et l’Amérique du Sud (Brésil, Colombie et Venezuela).

Intervenant au cours d’une séance de travail, vendredi 19 décembre à Djerba (Médenine) et consacrée au suivi de la saison de récole des olives et les mécanismes de stockage et de commercialisation de l’huile d’olive, Abid a fait savoir que les efforts sont axés sur l’exportation de l’Huile d’olive conditionnée.

Il a fait savoir que la saison écoulée a été marquée par l’exportation de l’huile d’olive vers plus de 50 destinations, ajoutant que l’objectif est d’hisser ce nombre.

Le ministre a, par ailleurs, rappelé le démarrage de l’exportation de l’huile d’olive vers huit marchés dont la France, la Libye, le Canada et la Jordanie, mettant l’accent sur les efforts déployés par les représentants commerciaux dans 16 pays.

Et d’ajouter que la récole des olives devrait atteindre, au cours de cette saison, un chiffre record, occupant ainsi la deuxième place mondiale après l’Espagne. Il a fait savoir que le taux d’avancement de la cueillette des olives à l’échelle nationale a atteint 25%, ajoutant qu’un intérêt particulier a été accordé au suivi et à la mise à disposition des tous les intervenants de la filière (agriculteurs, propriétaires des huileries et des petits et grands exportateurs) des conditions adéquates.

Il a rappelé dans ce sens les mesures adoptées pour soutenir le stockage, soulignant que des mesures ont été prises pour palier aux difficultés et résoudre les problèmes auxquels font face les agriculteurs et les huileries et tout intervenant de la filière.

Au cours de leurs interventions, les participants ont présenté des recommandations, dont notamment la mise en place d’une structure au sein du 5ème district chargée de la collecte et de l’exportation de l’huile d’olive que se soit à travers l’Etat ou les privés. Cette structure sera chargée d’accueillir un stock suffisant d’huile d’olive et de créer des représentations de l’Office national de l’huile dans la région, outre la révision des conditions de financement des banques et l’optimisation des résultats de la recherche scientifique dans l’objectif de garantir une meilleure qualité de l’huile.

Il s’agit, également, d’intervenir en vue d’accélérer l’exécution du programme d’investissement du complexe agricole Chammakh à Zarzis qui contrairement à d’autres fermes de la région, réalise des bénéfices annuels.

Les participants ont en outre suggérer l’octroi de primes d’investissement dans le domaine de l’emballage de l’huile d’olive et la baisse de la subvention destinée aux huiles végétales pour l’orienter vers l’huile d’olive afin de permettre au consommateur tunisien de bénéficier de ce produit. Il s’agit également de mettre en place une stratégie claire qui permettra de préserver et valoriser le secteur.

Selon les données régionales présentées par le commissaire régional au développement agricole à Médenine, Ammar Jamii, la récolte du gouvernorat pour cette saison est estimée à 90 mille tonnes. Le taux d’avancement de la récolte a atteint 28%, selon le responsable soit 17 500 tonnes, dont 300 000 tonnes d’huile sont stockés auprès de l’Office national de l’huile.

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Réforme de la formation administrative : la directrice de l’ENA reçue à La Kasbah

20. Dezember 2025 um 08:15

La réforme globale du système de formation des cadres administratifs a été au centre de la réunion, tenue vendredi 19 décembre 2025  au Palais de la Kasbah, entre la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, et le directrice de l’École nationale d’administration (ENA), Khaoula Laabidi.

La cheffe du gouvernement a mis l’accent sur la nécessité de former le personnel administratif en fonction des priorités nationales, plaidant en faveur d’une « approche ouverte et positive axée sur la recherche de solutions immédiates aux problèmes plutôt que sur la résistance au progrès, le report des décisions et le recours aux prétextes juridiques injustifiés », indique un communiqué de La Kasbah.

Mme Zenzri, par ailleurs, souligné l’impératif de rompre définitivement et de manière irréversible avec les approches administratives classiques et obsolètes ainsi que les mentalités « étroites, conservatrices et réfractaires au changement ». Et avec pour objectif d’édifier une administration efficace et performante qui soit en mesure de fournir au citoyen tunisien des services administratifs de qualité dans les plus brefs délais, explique-t-elle.

Cette réforme, précise le communiqué, prévoit notamment le développement des programmes de formation initiale des cadres supérieurs et intermédiaires à l’ENA ainsi que leur préparation pratique aux fonctions administratives au sein des différentes institutions de l’État.

Elle a souligné l’importance de développer la formation continue et de renforcer les compétences administratives à tous les niveaux et dans tous les ministères, entreprises et établissements publics afin qu’ils soient en phase avec les progrès technologiques, l’innovation et de la modernisation.

La cheffe du gouvernement a également insisté sur l’importance pour l’ENA d’élaborer un plan d’action fondé sur une réforme structurelle du système de formation administrative.

Ce plan doit s’aligner à la fois sur les politiques socio-économiques de l’État et les programmes et projets inscrits dans le plan de développement 2026-2030.

Engagement de Laabidi

Pour sa part, la directrice de l’ENA s’est engagée à entreprendre les réforme des structurelles nécessaires au niveau de la formation des futurs cadres administratifs et de leurs formateurs ainsi qu’à élaborer une vision stratégique pour la mise à jour des différents programmes de formation initiale et continue afin de relever les défis actuels.

Elle s’est aussi engagée à revoir tous les programmes de formation actuellement en vigueur afin de garantir leur adéquation aux besoins des ministères, des établissements publics et du marché du travail, de manière à contribuer au développement et à l’amélioration des services administratifs.

Par ailleurs, la cheffe du gouvernement a appelé la directrice de l’ENA à collaborer avec tous les ministères et organismes publics aux niveaux central, régional et local pour concevoir des cycles de formations continue fondés sur une approche novatrice tirant parti des technologies modernes.

L’objectif est de renforcer les compétences du personnel administratif, de garantir la qualité de la formation et de moderniser l’administration, grâce à une évaluation régulière de ces formations.

Lors de cette réunion, la directrice de l’ENA a présenté à la cheffe du gouvernement un rapport de synthèse sur la 17ème session de formation qui a porté sur le thème « Leadership administratif et innovation publique ».

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Voici le Palmarès des 34 éditions de la CAN depuis 1957

19. Dezember 2025 um 19:44

Palmarès de la Coupe d’Afrique des nations de football depuis la première édition en 1957 et avant le début de la 35e édition (21 décembre 2025 -18 janvier 2026 au Maroc).

1957: Egypte (au Soudan), 4-0 contre l’Ethiopie

1959: Egypte (en Egypte), première de la poule finale

1962: Ethiopie (en Ethiopie), 4-2 a.p. contre l’Egypte

1963: Ghana (au Ghana), 3-0 contre le Soudan

1965: Ghana (en Tunisie), 3-2 a.p. contre la Tunisie

1968: RD Congo (en Ethiopie), 1-0 contre le Ghana

1970: Soudan (au Soudan), 1-0 contre le Ghana

1972: Congo (au Cameroun), 3-2 contre le Mali

1974: Zaïre (en Egypte), 2-0 contre la Zambie

1976: Maroc (en Ethiopie), premier de la poule finale

1978: Ghana (au Ghana), 2-0 contre l’Ouganda

1980: Nigeria (au Nigeria), 3-0 contre l’Algérie

1982: Ghana (en Libye), 1-1 a.p., 7-6 t.a.b. contre la Libye

1984: Cameroun (en Côte d’Ivoire), 3-1 contre le Nigeria

1986: Egypte (en Egypte), 0-0 a.p., 5-4 t.a.b. contre le Cameroun

1988: Cameroun (au Maroc), 1-0 contre le Nigeria

1990: Algérie (en Algérie), 1-0 contre le Nigeria

1992: Côte d’Ivoire (au Sénégal), 0-0 a.p., 11-10 t.a.b. contre le Ghana

1994: Nigeria (en Tunisie), 2-1 contre la Zambie

1996: Afrique du Sud (en Afrique du Sud), 2-0 contre la Tunisie

1998: Egypte (au Burkina Faso), 2-0 contre l`Afrique du Sud

2000: Cameroun (au Ghana et Nigeria), 2-2 a.p., 4-3 t.a.b. contre le Nigeria

2002: Cameroun (au Mali), 0-0 a.p., 4-2 t.a.b. contre le Sénégal

2004: Tunisie (en Tunisie), 2-1 contre le Maroc

2006: Egypte (en Egypte), 0-0 a.p., 4-2 t.a.b. contre la Côte d’Ivoire

2008: Egypte (au Ghana), 1-0 contre le Cameroun

2010: Egypte (en Angola), 1-0 contre le Ghana

2012: Zambie (au Gabon), 0-0 a.p., 8-7 t.a.b. contre la Côte d’Ivoire

2013: Nigeria (en Afrique du Sud), 1-0 contre le Burkina Faso

2015: Côte d’Ivoire (en Guinée Equatoriale), (0-0, 9 t.a.b. à 8) contre le Ghana

2017: Cameroun (au Gabon), 2-1 contre l’Egypte

2019: Algérie (en Egypte), 1-0 contre le Sénégal

2021 (reportée à 2022) : Sénégal (au Cameroun), 0-0 a.p, 4-2 t.a.b contre l’Egypte

2023: Côte d’Ivoire-Nigeria 2-1 (après prolongation).

Ont gagné la compétition:

7 fois: Egypte

5 fois: Cameroun

4 fois: Ghana

3 fois: Nigeria, Côte d’Ivoire

2 fois: Algérie, RD Congo (RDC)

1 fois: Afrique du Sud, Congo, Ethiopie, Maroc, Soudan, Tunisie, Zambie, Sénégal.

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Nafti participe au Caire à la 2e conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique

19. Dezember 2025 um 19:26

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, participe à la 2e conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique qui se tient vendredi 19 et samedi 20 décembre, au Caire, à l’invitation de ses homologues égyptien et russe.

Cette participation s’inscrit dans le cadre de l’engagement constant de la Tunisie en faveur de l’action africaine commune et de son ouverture aux partenariats internationaux en vue de renforcer la coopération multilatérale dans divers domaines, de manière à garantir la réalisation des intérêts communs et à contribuer à relever les défis actuels, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Les travaux de cette 2e Conférence ministérielle porteront notamment sur la poursuite de la mise en œuvre du Plan d’Action conjoint 2023-2026, en perspective de la préparation du 3e Sommet Afrique–Russie, prévu en 2026.

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BVMT: le Tunindex clôture la semaine en hausse de 0,2%

19. Dezember 2025 um 19:15

La Bourse de Tunis a terminé la semaine du 15 au 19 décembre courant sur une note haussière. Lu Tunindex a inscrit une avancée de 0,2% à 13 249 points, portant ainsi sa performance annuelle à 33,3%, selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

La semaine écoulée a été marquée par un rythme soutenu des échanges. Les volumes hebdomadaires se sont établis à 56 MDT, nourris par 12 transactions de bloc, portant sur une enveloppe totale de 25 MDT. Les plus importantes transactions ont porté sur les titres TPR (une transaction pour 7,9 MDT), CARTHAGE CEMENT (cinq transactions pour 7,7 MDT) et STAR (deux transactions pour 4,3 MDT).

Analyse des valeurs

Sans faire l’objet de transactions, le titre STIP s’est offert la meilleure performance de la semaine. L’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie s’est hissée de 18,5 % à 3,530 D.

Le titre MAGASIN GENERAL a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du spécialiste de la grande distribution s’est offert une progression de 15,9 % à 10,650 D. La valeur a brassé de faibles échanges hebdomadaires de 16 mille dinars.

Le titre SANIMED a enregistré la moins bonne performance de la semaine. Sans faire l’objet de transactions, l’action du spécialiste des articles sanitaires s’est délestée de –13,1 % à 0,530 D

Le titre ASSAD s’est, également, mal comporté sur la semaine. L’action du producteur des batteries automobiles a reculé de –12,7 % à 3,220 D. La valeur a été échangée à hauteur de 304 mille dinars seulement sur la semaine.

SFBT a été la valeur la plus convoitée par les investisseurs sur la semaine. L’action du spécialiste des boissons gazeuses et alcoolisées a signé une hausse de 2,1 % à 12,490 D, tout en alimentant le marché avec des capitaux de 9,7 MDT.

Les nouvelles du marché

La SOTUVER informe le public que ses actionnaires de référence ont procédé le 16 décembre 2025 à la signature de la documentation contractuelle organisant la cession d’actions représentant 41,3 % du capital de la SOTUVER à B.A Glass BV, société du Groupe B Glass, l’un des plus importants acteurs de l’industrie mondiale de l’emballage en verre.

Il est à noter que la Compagnie Financière d’Investissement – CFI (holding du Groupe BAYAHI) agissant de concert avec les personnes physiques et morales du Groupe BAYAHI détiennent actuellement 82,7 % du capital de la SOTUVER. Le prix par action retenu pour cette transaction a été fixé à 13,020 D.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une revue stratégique de l’actionnariat, visant à accompagner le développement à long terme de la SOTUVER, à renforcer sa structure financière et à soutenir ses perspectives de croissance. La réalisation effective de la cession demeure soumise à la levée des conditions suspensives usuelles, notamment l’obtention des autorisations réglementaires requises.

La société SOTUVER tiendra le marché informé de toute évolution significative relative à cette opération, conformément à la réglementation en vigueur.

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Première édition de « LeBridge25 » : l’UBCI au cœur du soutien à l’innovation

19. Dezember 2025 um 18:10

L’UBCI, partenaire de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF), a participé à la première édition de « LeBridge25 », un événement dédié à la mise en relation des entreprises innovantes et des startups, organisé le lundi 15 décembre 2025.

Depuis plusieurs années, l’UBCI entretient une collaboration étroite et constructive avec la CCITF, fondée sur une vision commune de soutien au développement économique. En tant que partenaire financier exclusif de la CCITF, la banque joue un rôle clé dans l’accompagnement des entreprises tunisiennes souhaitant s’exporter, ainsi que des entreprises françaises désireuses de s’implanter ou de se développer en Tunisie, dans un contexte économique marqué par des défis importants et un besoin croissant de solutions concrètes.

La participation de l’UBCI à « LeBridge25 » s’inscrit pleinement dans cette dynamique. L’événement constitue un espace privilégié pour stimuler les échanges, favoriser des collaborations porteuses et connecter entreprises, startups et acteurs de l’innovation. Cette première édition a mis en lumière des discussions autour de l’open innovation, des modèles de coopération entre entreprises et startups, ainsi que des opportunités d’implantation sur le marché français pour les jeunes pousses tunisiennes. Elle a également offert une plateforme de rencontres professionnelles, destinée à faciliter les interactions directes et à multiplier les opportunités de partenariat.

Dans ce cadre, une équipe dédiée de l’UBCI a été mobilisée pour les rencontres B2B avec les entreprises et startups présentes, afin d’identifier des pistes de collaboration, notamment autour de solutions innovantes intégrant l’intelligence artificielle. Ces rencontres ont permis de détecter des opportunités concrètes en matière de financement, développement et innovation.

Convaincue que les passerelles entre les écosystèmes bancaire et entrepreneurial sont essentielles pour encourager l’investissement, l’innovation et la compétitivité, l’UBCI réaffirme son engagement à soutenir le tissu économique tunisien.

 

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Exportations tunisiennes : une progression de 1,5 % en novembre

19. Dezember 2025 um 15:37

Les exportations tunisiennes ont enregistré, à la fin du mois de novembre 2025, une croissance de 1,5% par rapport à l’année dernière, pour atteindre 57,9 milliards de dinars, marquant un retour à la tendance haussière, grâce aux résultats enregistrés au cours des trois derniers mois, ont souligné les chefs de bureaux du Centre de promotion des exportations (CEPEX).

Ils ont indiqué, lors des travaux du forum annuel des chefs de bureaux du CEPEX à l’étranger, qui se tient du 15 au 19 décembre 2025, que la capacité d’exportation de la Tunisie a frôlé les 23 milliards de dollars, dont 11,25 milliards de dollars non exploités.

« Face à cette situation, des défis importants se posent, aux intervenants dans le système d’exportation, y compris le réseau de représentation commerciale à l’étranger, pour redoubler d’efforts afin d’explorer de nouvelles opportunités d’exportation et d’améliorer le positionnement des produits tunisiens sur les marchés mondiaux », ont-ils souligné.

Les travaux du forum ont également permis de présenter des exposés sur les potentialités d’exportation, les opportunités inexploitées et les marchés prometteurs.

Les participants ont présenté des données techniques et économiques sur les marchés couverts par le réseau de représentation commerciale à l’étranger, en termes d’opportunités commerciales disponibles et de conditions d’accès, en plus d’un aperçu des programmes de promotion des différentes structures intervenant dans le domaine de l’exportation au titre de l’année 2026.

Les chefs des représentations commerciales tunisiennes à l’étranger ont participé à la quatrième réunion de coordination de « Tunisia Export Team« , sous la présidence du ministre du Commerce et du développement des exportations, Samir Abid.

Les travaux du forum annuel des chefs des représentations commerciales du CEPEX  à l’étranger ont également donné lieu à la tenue d’une réunion avec les différentes structures concernées par l’exportation, laquelle a permis de mettre l’accent sur les start-ups et un certain nombre de secteurs prometteurs, tels que l’industrie de composants automobiles, les technologies d’informations et de la communication, l’industrie agroalimentaire, l’industrie pharmaceutique et les services de santé.

Cette rencontre, à laquelle ont participé à distance plus de 50 représentants des attachés économiques auprès des ambassades tunisiennes à l’étranger, a été consacrée à la présentation d’interventions sur les spécificités des secteurs concernés, ainsi qu’à passer en revue les principaux marchés cibles et les opportunités d’y accéder.

L’objectif est de contribuer à soutenir les orientations stratégiques en matière d’exportation et à renforcer la présence des produits et services tunisiens au niveau international.

Elle vise également  à fournir, au réseau de représentation diplomatique et commerciale, des informations actualisées sur l’offre tunisienne destinée à l’exportation, afin d’orienter leurs interventions et leurs programmes de promotion dans les pays d’accréditation vers les secteurs prometteurs et à forte valeur ajoutée.

Le programme de ce  forum annuel comprend, également, des rencontres directes entre les directeurs des représentations commerciales du CEPEX à l’étranger et les représentants d’entreprises tunisiennes de différents secteurs à Sousse et Sfax.

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BERD-UE : 10M€ verts pour une économie tunisienne inclusive !

19. Dezember 2025 um 15:36

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) a accordé un prêt de 10 millions d’euros à l’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI), première banque privée tunisienne, dans le cadre du Programme de financement d’une économie verte (GEFF). Ce financement cible les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) pour promouvoir des technologies bas carbone et résilientes au climat, tout en réduisant les inégalités d’accès au crédit vert, notamment pour les femmes.

Soutenu par l’Union européenne (UE), ce projet inclut un programme de coopération technique pour former le personnel de l’UBCI, vérifier les projets et accélérer l’adoption de solutions durables en efficacité énergétique, énergies renouvelables et gestion de l’eau. Des subventions incitatives de l’UE récompenseront les sous-emprunteurs éligibles, tandis que le Currency Exchange Fund (TCX) couvrira les risques de change à coût réduit.

Mark Davis, directeur principal de la BERD pour la région méditerranéenne, salue cette étape clé pour une transition verte en Tunisie. Mohamed Koubaa, DG de l’UBCI, réaffirme l’engagement de sa banque envers l’économie verte. Giuseppe Perrone, ambassadeur de l’UE en Tunisie, souligne l’appui à la transition climatique tunisienne, avec plus de 600 millions d’euros mobilisés depuis 2023 pour lever 5 milliards d’investissements.

Depuis 2012, la BERD a investi 2,9 milliards d’euros en Tunisie (65% dans le privé). L’UE, premier partenaire, célèbre en 2025 les 30 ans de son accord d’association avec le pays.

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Innovation africaine : Qualcomm met en lumière trois pépites tunisiennes

19. Dezember 2025 um 15:21

Trois startups tunisiennes figurent parmi les finalistes de l’édition 2025 du programme de mentorat « Make in Africa » de Qualcomm Technologies, une initiative qui soutient les jeunes entreprises africaines développant des solutions basées sur l’IA, la connectivité, la robotique ou l’IoT. Qualcomm a annoncé, lors de la finale virtuelle, les résultats de cette troisième édition, inscrite dans sa plateforme Africa Innovation Platform.

Cette initiative, sans prise de participation, vise à accélérer la croissance de startups prometteuses grâce à un mentorat individualisé, un accompagnement commercial, l’accès à des experts techniques et un soutien en propriété intellectuelle. Les finalistes profitent également de la formation en ligne L2Pro Africa, mise gratuitement à leur disposition, indique un communiqué de Qualcomm.

Un programme qui met en avant l’ingéniosité africaine

Qualcomm souligne que la cohorte 2025 se distingue par sa capacité à transformer des défis complexes en solutions technologiques à fort impact. L’Union africaine des télécommunications, partenaire du programme, appelle gouvernements, investisseurs et universités à soutenir davantage ce type d’initiatives pour consolider l’innovation africaine.

Trois startups tunisiennes parmi les finalistes

Les trois startups tunisiennes sélectionnées sont :

  • AmalXR : séances de rééducation virtuelle basées sur l’IA, accessibles sur appareils du quotidien.
  • Ecobees : moniteurs intelligents pour ruches et plateforme numérique de suivi en temps réel.
  • Pixii Motors : scooters électriques équipés de batteries intelligentes échangeables.

Elles rejoignent sept autres startups africaines venant notamment du Nigeria, du Kenya, du Bénin et du Sénégal, actives dans les domaines de l’agritech, de la santé, de l’énergie ou de la gestion des risques climatiques.

Farmer Lifeline remporte le Fonds d’impact social Wireless Reach

Le prix principal, le Fonds d’impact social Wireless Reach, est attribué cette année à Farmer Lifeline, startup kenyane qui développe des dispositifs solaires capables de détecter parasites et maladies dans les champs et d’alerter les agriculteurs sur leurs téléphones. Elle bénéficie d’un financement dédié et d’un accompagnement technique renforcé pour déployer sa technologie à grande échelle.

L’ensemble des finalistes reçoit une allocation de 5 000 dollars pour accélérer son développement et protéger sa propriété intellectuelle.

Une 4e édition prévue en 2026

Au vu du succès du programme, Qualcomm lancera en 2026 une nouvelle édition de « Make in Africa », qui mettra l’accent sur le prototypage rapide, l’intégration IA/ML et les approches open source. Les candidatures seront ouvertes prochainement sur le site de Qualcomm.

Avec communiqué

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CAN 2025 Maroc – La CAF franchit un cap historique avec 20 accords de diffusion

19. Dezember 2025 um 14:28

La Confédération africaine de football (CAF) annonce la conclusion d’un nombre record de 20 accords de droits médias couvrant plus de 30 territoires européens pour la Coupe d’Afrique des Nations, qui aura lieu du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 au Maroc.

Ces accords de droits médias sont à même de garantir une visibilité et une accessibilité sans précédent à des millions de fans de football à travers l’Europe, a expliqué la CAF dans un communiqué, notant que « ce chiffre inédit de partenariats de diffusion à l’échelle européenne illustre l’attrait mondial croissant et la solidité commerciale de la Coupe d’Afrique des Nations, ainsi que la dynamique positive du football africain ».

Et l’instance footballistique continentale de poursuivre que la compétition mettra en lumière le meilleur du talent et de la passion du football africain, relevant que cette expansion de la diffusion permettra à des millions de supporters à travers l’Europe — y compris au sein de la diaspora africaine — de vivre la CAN en direct.

« Ces accords constituent une étape majeure dans la stratégie de la CAF visant à accroître la portée, la visibilité et la valeur du football africain à l’échelle mondiale », se félicite la CAF qui rappelle que ces accords ont été facilités en partenariat avec IMG, Agence Internationale de la CAF en charge des droits médias et du sponsoring.

Maintenant question: quelle part réservée aux télévisions africaines, dont la plupart sont obligées de sous-traiter la diffusion pour leurs citoyens?

A noter que la TotalEnergies CAF Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025 réunira 24 équipes pour 52 matchs répartis sur neuf Stades.

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