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Bourse de Tunis: Le TUNINDEX recule de 0,4%

18. Dezember 2024 um 17:02

Le marché a clôturé la séance sur une note baissière. L’indice de référence s’est rétracté de 0,4 % à 9866 points, dans un maigre volume de 3,2 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse “Tunisie Valeurs”.

Le titre STA a chapeauté le palmarès de la séance. L’action du concessionnaire automobile de la marque Chery a progressé de 5,9 % à 22,000 D, dans un modeste flux de 129 mille dinars.

Le titre ATTIJARI LEASING s’est également placé en haut du podium. L’action du loueur s’est offert un gain de 3,4 % à 19,640 D sans générer d’échanges sur la séance.

Le titre UADH s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du holding appartenant au groupe LOUKIL a perdu 4,4 % à 0,440 D, dans un maigre flux de 13 mille dinars sur la séance.

Le titre HANNIBAL LEASE a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action du loueur a reculé de 4,2 % à 7,000 D, en amassant un faible flux de 20 mille dinars.

Le titre AMEN BANK a été le titre le plus échangé sur la séance. Le titre de la banque privée s’est effrité de 0,3 % à 35,790 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 483 mille dinars, soit 15 % du volume de la cote.

Bilel Sahnoun, DG de la Bourse des Valeurs mobilières de Tunis : “Plus de 13% de croissance du rendement boursier sans produits dérivés, une belle performance !”

18. Dezember 2024 um 10:20

Bilel SahnounLa Bourse des valeurs mobilières de Tunis, créée en 1969, est l’une des premières bourses de la région. Depuis, malgré toutes les réformes entreprises pour optimiser sa contribution au financement de l’économie, elle n’a pas réussi à assurer son rôle principal à savoir allouer les ressources d’épargne vers des emplois productifs, favoriser la croissance et le développement économique.

Pour quelles raisons ? Est-ce dû à la léthargie de l’État censé donner l’impulsion nécessaire à la Bourse en poussant certaines entreprises à s’introduire sur la place boursière ? Est-ce parce que les agents capables de financement ne sont pas nombreux ou parce que ceux qui ont des besoins de financement ne recourent pas au marché boursier ? Pourquoi la bourse de Tunis manque de profondeur et de liquidités ?

A ces questions et à d’autres nous répond Bilel Sahnoun, DG de la Bourse des Valeurs mobilières de Tunis dans un entretien en deux temps :

Une Bourse avec un bel historique mais dont les réalisations ne sont pas les meilleures à l’échelle régionale et même nationale. Où ça bloque ?

La Bourse de Tunis a connu des évolutions rapides. Elle est passée par plusieurs étapes aussi. Elle a été l’une des premières bourses à adopter les normes internationales et la migration vers le 100% digital. Au mois de novembre 1994, il y a eu la promulgation de la loi 94-117 portant réorganisation du marché financier séparant les fonctions de contrôle et de gestion.

En1996, nous avons adopté la cotation électronique avec, à l’époque, la Bourse de Paris et mis en place la plateforme électronique. Nous avons continué depuis et là avec Euronext. C’est un bel historique, pour rappel, nous avons également été précurseurs dans la région sur les plans réglementaire et technologique, en nombre de sociétés et en nombre d’acteurs sur le marché financier.

Qu’est ce qui explique dans ce cas que la Bourse de Tunis n’a pas évolué aussi bien que d’autres bourses dans la région dans des pays similaires sur le plan économique à la Tunisie ?

Je pense qu’il y a trois grandes raisons à cela : notre réglementation qui était avant-gardiste en 1994, ne l’est plus. Il y a eu bien quelques petites évolutions réglementaires mais nous restons toujours en retard par rapport à d’autres bourses parce que la réglementation en vigueur ne nous permet pas d’aller vers des produits financiers innovants et structurants.

Aujourd’hui, 10% des marchés financiers mondiaux sont faits de produits cash et 90% de produits dérivés, des produits structurés etc. A la bourse de Tunis, nous traitons uniquement des produits cash donc d’autres produits font défaut parce que la réglementation ne permet pas de le faire.

La réglementation ne vous permet pas de traiter des produits verts ?

Si ! La réglementation nous permet d’avoir des obligations vertes. Nous avons émis un cadre réglementaire spécifique pour les émissions des obligations vertes, la problématique des obligations vertes aujourd’hui est qu’en Tunisie, elles ne sont pas accompagnées d’incitations fiscales importantes favorisant l’investissement dans les projets d’énergie renouvelable.

Le cadre réglementaire n’offre pas de privilèges spécifiques pour différencier les obligations en question par rapport à celles classiques, du coup, elles coûtent plus cher aux agents qui les émettent pour la simple raison qu’émettre une obligation standard ne nécessite pas une expertise différente ou un audit spécifique; en revanche, c’est ce qu’il faut pour certifier que l’obligation est verte et surtout continuer à le certifier tout au long de la durée de sa vie.

  • Aujourd’hui, 10% des marchés financiers mondiaux sont faits de produits cash et 90% de produits dérivés, des produits structurés etc. A la bourse de Tunis, nous traitons uniquement des produits cash.

Pour résumer, l’absence d’incitations n’aide pas et ne favorise pas l’émergence d’un marché d’obligations vertes. D’autre part, nous n’avons pas encore de catégorie d’investisseurs qui accepteraient un rendement moindre par conviction parce que l’obligation est verte. Deux éléments qui ne plaident pas en faveur de l’émergence d’un marché d’obligations vertes : pas d’institutionnels publics qui encouragent et pas d’investisseurs qui accepteraient un rendement moindre.

La Bourse de Tunis manquerait-elle de profondeur parce que tous les pans de l’économie nationale n’y sont pas représentés, qu’ils soient traditionnels ou nouveaux ?

Là vous abordez un peu la taille de la bourse et l’étroitesse de son offre en termes de diversité sectorielle ce qui nous renvoie à ce vous avez évoqué tout à l’heure à savoir qu’il y a des pays dotés de places boursières beaucoup plus importantes que nous alors qu’ils ont démarré bien après nous.

C’est justement parce que beaucoup de secteurs ne sont pas représentés à la Bourse de Tunis qui ne reflète pas la cartographie réelle de l’économie nationale. Plus de la moitié de la capitalisation boursière est tirée par les banques, alors que bien d’autres secteurs économiques qui pèsent dans notre PIB n’ont pas été introduits à la bourse et n’y sont pas cotés.

Je cite tout ce qui est énergie et mine, tout ce qui est télécoms, tout ce qui est agriculture et tourisme, plusieurs industries de taille dans des secteurs importants.

  • Il y a des pays qui ont instauré les introductions en bourse obligatoire pour les grandes entreprises dont l’efficience économique a été prouvée.

Si je prends le cas de la France, la bourse s’est développée sous le mandat d’un gouvernement socialiste avec Pierre Bérégovoy qui a œuvré pour l’introduction en bourse des entreprises à participations publiques. A la Bourse de Paris, il y a eu l’introduction de France-télécoms, à la Bourse d’Arabie saoudite l’introduction de STC (Saudi Telecom Company). On a même prévu des primes pour que les Saoudiens s’intéressent à la bourse pour offrir les titres STC avec une belle revalorisation pour que l’investisseur apprécie son investissement à la bourse.

Après la STC, l’Arabie Saoudite a fait la même chose avec Aramco devenue la plus grande capitalisation boursière du Monde. Presque toutes les bourses de la région ont des opérateurs télécom cotés et aussi des acteurs dans l’énergie et le pétrole. Il y a une autre catégorie d’entreprises qu’on trouve sur les marchés financiers. Ce sont les utilities, toutes les entreprises d’intérêt public sont très souvent cotées.

Introduire des entreprises publiques en bourse reviendrait-il à les privatiser ?

Bien sûr que non. On pense qu’une entreprise cotée doit être forcément publique, ce qui n’est pas le cas bien entendu. Les entreprises publiques cotées vont tout simplement être soumises aux obligations des cotées, à savoir la publication des états financiers et des indicateurs trimestriels, soit une transparence et une régularité de l’information qui va devenir publique. Coter les entreprises publiques permet de faire profiter ces entreprises de six avantages au moins qui sont :

  • l’entreprise cotée va atteindre un niveau de communication régulier avec le grand public ce qui l’oblige à être transparente, observée, surveillée et suivie. Il y a des états financiers semestriels et annuels et également des indicateurs trimestriels qui donnent une idée sur l’évolution de l’activité, les investissements, les marges, les engagements bancaires etc. ;
  • le deuxième avantage est la gouvernance. Dans les entreprises cotées on doit séparer le conseil d’administration du management. Chacun joue son rôle. Le conseil d’administration trace les orientations stratégiques dictées par l’actionnaire et contrôle le management pour l’atteinte de ses objectifs, et le management doit se concentrer sur les objectifs à atteindre et on ne doit pas s’immiscer dans sa politique de gestion ;
  • le troisième avantage est la comparabilité. Quand une entreprise est cotée, ses titres vont être comparés avec de multiples valeurs boursières y compris dans d’autres pays aussi. Cela va permettre au conseil d’administration d’ajuster ses politiques, d’évaluer le management de l’entreprise et de vérifier si ses ratios sont dans les standards internationaux ou non ;
  • le quatrième avantage est la valorisation de l’actif de l’Etat. Aujourd’hui, personne n’est capable de définir combien vaut telle ou telle entreprise publique, en revanche quand elle est cotée on lui donne une valeur boursière et cela permet de valoriser l’actif de l’Etat à tout moment ;
  • le cinquième objectif est d’offrir à ces entreprises une autonomisation financière, un accès à une nouvelle source de financement qui est le marché financier. A titre d’exemple, on peut commencer par les émissions d’emprunt obligataires et réduire leur poids sur le budget de l’Etat ;
  • le sixième objectif est celui de donner à la bourse plus de volume, plus de représentativité des secteurs, plus de poids, une meilleure attractivité de gros investisseurs locaux et étrangers et faire en sorte qu’elle soit plus visible sur les radars des principaux outils d’investissement à l’international.

Il y a eu l’expérience d’une Tunisair cotée et cela n’a été  pas le meilleur des exemples

Je ne veux pas parler d’une entreprise plus que d’une autre. Est-ce qu’aujourd’hui les entreprises cotées sont soumises aux même règles ? Est-ce qu’il y a une réelle séparation entre le conseil d’administration et le management ? Est-ce qu’il y a des décisions prises par la tutelle ou non ? Est-ce qu’elles sont toujours d’ordre économique ? Est-ce que le poids des décisions sociales d’une entreprise n’affecte pas ses performances ? Est-ce qu’on peut tolérer qu’une entreprise mette des années pour publier ses performances financières? Ce sont des questions qu’il faut poser.

Il ne faut pas incriminer la bourse parce qu’une entreprise n’a pas été le bon exemple pour l’investisseur, pour la bourse ou pour elle-même. Il ne faut pas casser le thermomètre quand on a de la fièvre. La bourse est le thermomètre des entreprises, parce que c’est le lieu de rencontre des acquéreurs et des vendeurs.

  • La bourse est le thermomètre des entreprises, parce que c’est le lieu de rencontre des acquéreurs et des vendeurs.

Ce sont les acquéreurs et les vendeurs qui décident de la valeur qu’ils attribuent à une société et en tant que bourse, nous sommes le thermomètre des entreprises, nous ne sommes pas la source de la maladie.

Si une entreprise se porte bien ou va mal, il ne nous revient pas de statuer sur l’augmentation ou la baisse du titre. Nous sommes là pour gérer un marché d’actions et donner une valeur. L’offre et la demande sont décidées par des investisseurs que nous ne connaissons même pas. Les ordres sont anonymes, et ce sont des ordres sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir. Seuls les traders connaissent l’identité des vendeurs et des acheteurs.

Justement pour revenir à l’encouragement de l’introduction à la bourse des grandes entreprises publiques, que doit faire l’Etat pour les encourager à entrer en bourse ?

Il y a des pays qui ont instauré les introductions en bourse obligatoire pour les grandes entreprises dont l’efficience économique a été prouvée, et qui sont aujourd’hui prospères et transparentes.

Je prends l’exemple des GAFA aux Etats-Unis, où Google, Facebook, Ali baba ont été obligés de s’introduire en bourse, par force de loi. En Inde, Tata, important groupe industriel, y a été obligé par la loi.

Il y a plusieurs critères qui mènent à la prise de décision. Ils peuvent être la taille, le niveau d’engagement, le nombre d’actionnaires ou encore le secteur d’activité. Le benchmarking a montré qu’il y a plusieurs types de réglementations qui obligent les entreprises à s’introduire en bourse.

Nous avons un vieux texte en Tunisie, qui date de 2006, ce n’est pas un texte de loi, c’est une circulaire de la Banque centrale, qui stipule qu’à partir d’un engagement bancaire de 25 millions de dinars, ce qui n’est pas énorme, une société ou un groupe d’entreprises doit soit se faire noter par une agence de notation soit être cotée en bourse.

Cette circulaire n’a jamais été appliquée et si un jour on érige cette disposition en une loi, en augmentant le niveau d’engagement parce que devenu trop bas et avec d’autres niveaux et critères, cela donnera profondeur et diversité à la bourse et lui permettra de mieux contribuer au financement de l’économie, préserver notre tissu économique et éviter des surprises et des risques systémiques qui peuvent affecter le fonctionnement de l’entreprise à cause de facteurs endogènes ou exogènes.

Qu’en est-il de la capitalisation boursière ?

La capitalisation boursière est très faible et ne représente que 18% du PIB alors qu’elle est supérieure à 30% dans les pays qui nous ressemblent et peut même atteindre les 50%. Cet état des choses prouve que l’offre produit que nous avons n’est pas très attractive et n’est pas diversifiée.

Si nous avons une capitalisation boursière tirée à plus de 50% par le secteur bancaire, si ce dernier est fragilisé ou est en crise, cela se répercute sur l’indice et les performances de la bourse parce que l’offre et la diversification des produits ne permet pas de réduire le niveau du risque boursier.

Cela étant, ce que je viens de dire est purement théorique, parce qu’historiquement, la bourse de Tunis a toujours réalisé de belles performances sur les moyens et longs termes.

Cette année, nous sommes à plus de 13% de croissance, donc même si le TMM est encore à 8%, nous nous situons dans un territoire positif de rendement et il reste encore des opportunités. Ceci alors que l’épargne nationale a baissé considérablement. Une épargne nationale tirée par les institutionnels qui en représentaient à peu près la moitié et les particuliers qui représentaient l’autre moitié.

  • Cette année, nous sommes à plus de 13% de croissance, donc même si le TMM est encore à 8%, nous nous situons dans un territoire positif de rendement.

Celle des institutionnels en grande partie était, fut un temps, tirée par les entreprises publiques qui étaient excédentaires avec une trésorerie excédentaire placée et permettait de constituer une bonne thésaurisation et puis l’épargne des particuliers qui s’est trouvée érodée par un niveau d’inflation assez important et ce, sur les 15 dernières années, donc il n’y a pas beaucoup de possibilités d’attirer cette épargne-là ou ce qu’il en reste à la bourse.

Un autre facteur important est que l’épargnant, bon père de famille n’est pas initié à la gestion du risque boursier et dans ce cas, soit il fait confiance à un courtier, un acteur boursier et lui confie cette épargne soit on lui propose des produits garantis.

Malheureusement, l’absence de produits dérivés et garantis à la bourse, inciterait cet investisseur prudent, à aller plutôt vers des produits monétaires, un placement d’épargne ou des placements à terme dans des banques, ou à l’assurance vie, qui offre également la sécurité et la garantie de la rémunération avec un taux minimum de rendement, chose que la bourse ne peut pas faire. La Bourse est un bon moyen de faire fructifier l’argent à condition d’adopter les bonnes stratégies d’investissement mais aussi d’être prêt à prendre des risques.

Entretien par Amel Belhadj Ali

 En bref : 

Bourse de Tunis

  • Création : Fondée en 1969, pionnière dans la région.
  • Faiblesses :
    • Capitalisation boursière faible (18% du PIB contre 30-50% dans des pays similaires).
    • Manque de diversité sectorielle (50% de la capitalisation tirée par les banques).
    • Réglementation dépassée, limitant les produits financiers innovants.
  • Chiffres Clés : Croissance de 13% en 2024 malgré un TMM de 8%.
  • Solutions Proposées :
    • Moderniser la réglementation pour accueillir des produits structurés.
    • Encourager l’introduction en bourse d’entreprises publiques et diversifier les secteurs.
    • Offrir des incitations fiscales pour développer les obligations vertes.
  • “La Bourse est un thermomètre, non la source de la maladie.” — Bilel Sahnoun
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Bourse : Le Tunindex débute la semaine dans le rouge

16. Dezember 2024 um 18:04

Le marché boursier a entamé la semaine du mauvais pied. Le benchmark a glissé lundi de 0,1 % à 9902,2 points, dans un modeste volume de 4,6 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre TUNISAIR s’est offert la plus forte hausse de la séance. Sans faire l’objet de transactions, l’action du transporteur national a gagné 2,7 % à 0,380 D.

Le titre SIAME a affiché un beau parcours sur la séance. L’action du spécialiste des appareillages électriques a grappillé 2,3 % à 3,5 D. La valeur a amassé des échanges de 133 mille dinars sur la séance.

Le titre ASTREE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action de la compagnie d’assurance adossée au groupe BT a reculé de 4,5 % à 41,970 D. La valeur a été transigée à hauteur de 7 mille dinars, seulement, sur la séance.

Le titre UIB a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action de la filiale du groupe SOCIETE GENERALE a régressé de 2,1 % à 22,410 D, en générant un flux réduit de 36 mille dinars.

Le titre AMEN BANK a chapeauté le palmarès des échanges. L’action du bras financier du groupe PGI a alimenté le marché avec des capitaux de 853 mille dinars. La valeur a terminé la séance sur une note quasi stable (-0,06 %) à 35,890 D.

Démarrage de négociation d’une ligne de BTA à partir du 18 décembre

16. Dezember 2024 um 09:17

La Bourse de Tunis a annoncé aujourd’hui qu’une ligne de BTA sera négociable à partir du 18  décembre 2024.

Le Code ISIN de la ligne de BTA est TNI5BPOGW9F1, sous le libellé BTA 9,89% Juin 2033, son taux d’intérêt est de 9,89%. Elle a un nominal de 1000 Tnd et sa date de jouissance va du 13 décembre 2024 au 13 juin 2033.

 

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La STIP annonce le report des bénéfices à l’exercice 2023

13. Dezember 2024 um 10:55

L’Assemblée générale ordinaire de la Société tunisienne des industries de pneumatiques (STIP), tenue le 15 novembre 2024, a pris acte du résultat bénéficiaire de l’exercice clos le 31 décembre 2023, qui s’élève à 613 905,647 dinars.

Les actionnaires présents ou représentés de la STIP ont unanimement décidé de reporter l’intégralité de ce bénéfice à l’exercice 2023.

Par ailleurs, les actionnaires ont décidé d’allouer au président du Conseil d’administration des jetons de présence pour l’ensemble de sa contribution au titre de l’exercice 2023.

Ils ont fixé le montant net global de ces jetons à deux-cent-mille (200 000) dinars.

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Le marché boursier continue de baisser dans un faible volume d’échanges

12. Dezember 2024 um 17:36

Le marché poursuit sa descente. L’indice vedette a enchaîné une deuxième séance consécutive dans le rouge, se dépréciant de 0,07 % à 9892,1 dans un faible volume de 3,1 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse “Tunisie Valeurs”.

Le titre ASSAD s’est offert la palme des hausses. L’action de l’accumulateur tunisien s’est appréciée de 2,9 % à 0,700 D, dans un flux anémique de 2 mille dinars.

Le titre AMI a terminé la séance sur une note d’optimisme. L’action de l’assureur a signé une progression de 2,4 % à 2,180 D. La valeur a amassé des échanges de 116 mille dinars sur la séance.

Dans le rouge, le titre STIP a abandonné 3,1 % à 2,810 D. L’action du spécialiste en pneu n’a pas fait l’objet de transactions sur la séance.

Le titre OFFICEPLAST n’a pas réussi à se distinguer sur la séance.

L’action a reculé de 2,6 % à 1,140 D. La valeur a drainé des échanges limités de 2 mille dinars sur la séance.

Le titre SFBT a chapeauté le palmarès des échanges avec un flux de 313 mille dinars. Le cours de l’action du spécialiste en boissons gazeuses et alcoolisés s’est effrité de 0,25 % à 11,760 D.

Bourse de Tunis : Le marché perd du terrain, clôture à 9899,1 points

11. Dezember 2024 um 16:51

Le marché a perdu du terrain (-0,5 %) clôturant la séance, de mercredi, à 9899,1 points. La séance a été marquée par une accélération du rythme des échanges. Une enveloppe de 16,5 MD a été transigée sur le marché, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Les volumes ont profité de la bonne dynamique des titres WIFAK BANK et CARTHAGE CEMENT.

Le titre CIMENTS DE BIZERTE s’est placé au Top Line. Sans faire l’objet de transactions, l’action de la cimenterie publique s’est bonifiée de 2,3 % à 0,450 D.

Le titre SOTETEL continue à susciter l’intérêt des investisseurs. L’action du spécialiste des réseaux de télécommunications a signé une avancée de 1,6 % à 6,900 D, en drainant un flux de 111 mille dinars.

L’hémorragie se poursuit pour le titre STIP. Dans un volume dérisoire de mille dinars, l’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie s’est délestée de 4,3 % à 2,9 D.

Le titre CARTHAGE CEMENT a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. Pénalisée par un mouvement de prise de bénéfices, l’action du cimentier a reculé de 3,6 % à 2,150 D. La valeur a animé le marché avec des échanges de 5,3 MD.

Le titre WIFAK a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de l’unique banque islamique de la cote a terminé la séance sur une note morose (-0,2 % à 8,7 D), en alimentant le marché avec des capitaux de près de 8 MD.

Bourse Tunis : Négociation de l’emprunt TLF 2024-2

10. Dezember 2024 um 17:19

L’emprunt « TLF 2024-2» sera négociable en Bourse à partir du 11/12/2024 (groupe 21). Les principales caractéristiques de l’emprunt précité sont exposées dans le tableau ci-après:

Bourse de Tunis: Carthage Cement en tête des échanges, essoufflement des valeurs immobilières

10. Dezember 2024 um 17:11

Dans un marché peu animé (un volume de 1,5 MD), le TUNINDEX a clôturé la séance de mardi sur une légère hausse de 0,2 % à 9945,7 points, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre STIP s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans générer d’échanges, l’action du producteur de pneus s’est appréciée de 4,5 % à 3,030 D.

Le titre SOTEMAIL s’est bien comporté sur la séance. L’action du spécialiste en carreaux céramiques et grès porcelaine a affiché une embellie de 4,3 % à 2,690 D. La valeur a mobilisé un flux de 3 mille dinars sur la séance.

Le titre HANNIBAL LEASE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du loueur a enregistré une régression de 4,5 % à 7,070 D. La valeur a été transigée à hauteur de 9 mille dinars, seulement sur la séance.

Le titre ESSOUKNA a été mal orienté sur la séance. L’action du promoteur immobilier a reculé de 4,4 % à 1,530 D. La valeur a amassé un volume très limité de 3 mille dinars sur la séance.

Le titre CARTHAGE CEMENT a été le titre le plus échangé sur la séance. L’action de la cimenterie publique s’est accaparée des capitaux de 180 mille dinars. La valeur a pris 0,5 % à 2,230 D.

Bourse de Tunis : légère baisse du benchmark et faibles volumes enregistrés

09. Dezember 2024 um 17:12

Le marché boursier entame la semaine du mauvais pied. Le benchmark a glissé, lundi, de 0,16 % à 9924,31 points. En l’absence de transactions de bloc, les volumes restent faibles, se montant à 3,4 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre STB s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de la banque étatique s’est bonifiée de 5% à 2,970 D, dans un maigre flux de 74 mille dinars.

Le titre TUNISAIR s’est, également, bien comporté sur la séance. Sans faire l’objet de transactions, l’action de la compagnie aérienne a gagné 2,8 % à 0,380 D.

Le titre BTE a accusé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action a reculé de 2,3 % à 3,820 D notant que la valeur a drainé des échanges de mille dinars seulement.

Le titre AMEN BANK a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action a baissé de 1,4 % à 35,900 D faisant savoir que la valeur a été transigée à hauteur de 129 mille dinars sur la séance.

SFBT a été la valeur la plus dynamique de la séance. L’action a légèrement baissé de 0,3 % à 11,820 D. La valeur a alimenté le marché avec des capitaux de près de 350 mille dinars.

 

 

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