Face à la fin du régime portugais et à la hausse du coût de la vie, Hammamet séduit une nouvelle génération de retraités italiens autonomes et bien dotés.
Ils sont discrets, mais bien là. Plus d’un millier de retraités italiens ont choisi, entre 2019 et 2023, de transférer leur résidence fiscale en Tunisie, selon un rapport de l’INPS publié hier par Corriere della Sera. Une migration silencieuse, mais révélatrice, dans un paysage post-retraite européen en recomposition.
Le profil de ces migrants de l’âge mûr a changé : plus jeunes, majoritairement des hommes (61 % en 2023), anciens fonctionnaires ou cadres, ils partent non plus pour des raisons familiales ou historiques, mais par arbitrage économique et climatique. La Tunisie, et plus particulièrement Hammamet, coche plusieurs cases : coût de la vie modéré, climat stable, proximité géographique et fiscalité avantageuse.
Depuis la suppression du régime portugais en 2024, la Tunisie a gagné en attractivité. À Hammamet, près de 4 000 retraités italiens vivraient désormais à l’année, selon des estimations croisées, représentant une part non négligeable des quelque 6 000 Italiens présents dans la ville.
L’impact est visible mais mesuré. Pas de “Little Italy” fermée sur elle-même : les retraités italiens s’intègrent, rénovent des maisons anciennes, fréquentent médecins privés, commerces de proximité, ou clubs bilingues. La fiscalité tunisienne, quant à elle, reste avantageuse : 80 % des pensions exonérées, imposition effective pouvant descendre à 5 % dans certains cas.
Pour la Tunisie, cette présence est source de devises stables, dans un contexte où l’euro reste précieux. Mais le pays ne semble pas encore structurer de politique claire d’accueil. Contrairement au Maroc, aucune agence nationale ne supervise ce flux, ni n’anticipe ses effets secondaires sur le logement ou les services de santé.
Si Hammamet n’est pas (encore) la nouvelle capitale des retraités européens, elle en incarne les prémices. Une géographie douce du vieillissement, portée par des choix individuels, des ajustements fiscaux, et une mer qui reste à portée de regard.
La saison touristique bat son plein à Hammamet, et les nouvelles sont encourageantes pour le secteur. Selon des professionnels du secteur, une hausse des réservations estimée entre 20 et 30 % par rapport à l’année précédente, qui était déjà considérée comme une année de référence.
Les hôteliers affirment avoir redoublé d’efforts pour offrir une expérience optimale : renforcement de la formation du personnel, amélioration continue des services disponibles 24h/24, et coordination avec les autorités locales pour garantir un environnement propre et sécurisé, rapporte Mosaique FM.
Si les marchés traditionnels comme la France, l’Angleterre ou encore l’Algérie sont de retour, c’est le touriste tunisien qui domine les statistiques. Il représente à lui seul plus de 45 % des réservations dans la région, confirmant son rôle moteur dans la relance du tourisme local.
Du côté des visiteurs, les retours sont globalement positifs. Plusieurs touristes ont confié se sentir à l’aise et bien accueillis, tout en soulignant la beauté naturelle de la Tunisie et la diversité des activités proposées dans les hôtels.
Un été prometteur donc, qui confirme que Hammamet reste l’un des piliers de l’offre touristique tunisienne, portée autant par les marchés étrangers que par une clientèle locale fidèle.
Ce soir-là, au Calypso de Hammamet, l’ambiance était électrique, la foule dense, et les poches vulnérables. Un iPhone 14 glisse entre des mains peu scrupuleuses. Les propriétaires, loin de céder à la panique, dégainent leur meilleure arme : Life360, une appli familiale qui géolocalise en temps réel. Premier appel : échec. Fausse promesse. Faux rendez-vous. Vrai vol.
Alors, cap vers le poste. Mais cette fois, la police ne sourit pas poliment. Elle agit. Patrouille déclenchée, sirènes coupées, cartes GPS à la main, les agents se lancent dans une filature digne d’un polar technologique. À chaque arrêt du signal, ils notent, croisent, recoupent. Le smartphone trace l’itinéraire, la police suit. Une enquête 2.0 à travers Hammamet.
Premier point de chute : rien. Deuxième adresse : une maison cossue, une Audi déjà signalée. Bingo. Confronté à la double pression – géolocalisation implacable + présence policière – le détenteur du téléphone opte pour la reddition molle : il tend l’appareil en murmurant l’éternel alibi « je l’ai trouvé par terre ».
Pas de plainte, pas de scandale. Mais une leçon discrète : quand citoyens connectés et police connectable se rencontrent, les voleurs n’ont qu’à bien se tenir.
Le 9 juillet 2025, l’aéroport d’Enfidha-Hammamet a accueilli le vol inaugural de la compagnie AIR HORIZONT. Cette liaison directe en provenance de Porto renforce les connexions entre la Tunisie et le Portugal, à l’ouverture de la saison estivale.
Une première arrivée saluée en grande pompe
Mercredi soir, un avion Boeing 737-400 de 149 places s’est posé sur le tarmac d’Enfidha. Il s’agissait du tout premier vol opéré par AIR HORIZONT entre Porto et la Tunisie. Pour l’occasion, les équipes de l’aéroport ont organisé une cérémonie officielle, marquant le lancement de cette nouvelle ligne.
Une liaison hebdomadaire pour l’été
La compagnie assurera un vol chaque mercredi, du 9 juillet au 10 septembre 2025. Cette fréquence répond à une demande ciblée : faciliter l’accès à la Tunisie pour les touristes portugais durant les vacances. Ce choix s’inscrit dans une volonté conjointe de dynamiser le trafic vers la côte tunisienne.
Un signal fort pour le secteur aérien
Avec cette nouvelle desserte, AIR HORIZONT devient la deuxième compagnie à relier le Portugal à Enfidha, après TAP Air Portugal. Cela montre une confiance croissante des transporteurs européens dans le potentiel touristique tunisien.
Un impact attendu sur le tourisme local
Grâce à ce vol, les régions du Sahel et du Cap Bon devraient attirer davantage de visiteurs. Ces deux zones, très appréciées par les touristes européens, bénéficient ainsi d’une meilleure accessibilité. En plus de soutenir l’activité touristique, cette liaison contribuera à renforcer l’économie régionale.
Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,2 sur l’échelle de Richter a été enregistrée ce mercredi 11 juin 2025 à 14h57 (heure locale) dans le golfe de Hammamet, situé dans le gouvernorat de Nabeul.
L’information a été confirmée par l’Institut national de la météorologie (INM), qui précise que les premières analyses menées par ses stations sismologiques ont permis de localiser l’épicentre du tremblement de terre à la latitude 36,20° Nord et à la longitude 11,06° Est.
Aucune victime ni dégât matériel n’a été signalé à ce stade. Ce type de secousses reste relativement fréquent dans la région, bien que de faible intensité.
L’aéroport international Enfidha-Hammamet a accueilli, le 19 mai 2025, son premier vol direct en provenance de Dublin, marquant l’ouverture officielle d’une nouvelle liaison entre la Tunisie et l’Irlande. Le vol, opéré par TUI Airlines Nederland, sera assuré une fois par semaine jusqu’au 15 septembre 2025, à bord d’un Boeing 737-800 de 189 places.
Les passagers ont été accueillis dans une ambiance festive par les équipes de TAV Tunisie, gestionnaire de l’aéroport, avec fleurs et banderoles de bienvenue. Cette nouvelle ligne représente un pas important dans la diversification des marchés touristiques vers la Tunisie, selon TAV, qui souligne l’importance stratégique du marché irlandais.
Ce lancement confirme le rôle croissant de l’aéroport Enfidha-Hammamet comme plateforme clé pour le développement du tourisme tunisien.
La 8ème édition du Festival Cinétoile, Cinéma sous les étoiles revients cette année du 24 au 29 août 2025 sous le ciel étoilé de Nabeul et Hammamet.
Entre courts métrages venus des quatre coins du monde et rencontres inspirantes, les nuits seront étoilées au Site Archéologique de Neapolis, au Fort de Hammamet et au Centre Culturel de Neapolis
Les organisateur ont par ailleurs dévoilé l’affiche officielle de la 8ème édition du Festival Cinétoile, C conçue par l’artiste Shawki Boukef :
« Cette œuvre poétique et symbolique reflète l’âme du festival : l’horizon marin, la lumière des étoiles et l’ouverture sur le monde à travers le court métrage. Entre vagues et coquillages, le regard perçant de la mouette nous invite à un voyage cinématographique unique, là où la mer rejoint l’écran et où chaque nuit s’illumine d’histoires venues des quatre coins du globe ».
L’auteur, spécialiste marocain du tourisme, raconte dans le post Facebook que nous reproduisons ci-dessous, sa découverte d’une Tunisie accueillante, hospitalière et résiliente. Ainsi que la joie de vivre des Tunisiens, «un peuple travailleur qui connaît la valeur de l’effort et l’éducation qui doit impérativement aller avec.» En lisant son récit de voyage, nous nous sommes rappelés du célèbre adage «Quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console». (Photos Rachid Boufous).
Rachid Boufous
Je suis parti en Tunisie il y a un mois à l’invitation d’amis tunisiens. C’était la première fois que je mettais les pieds au pays de Hannibal, Bourguiba et de la Harissa. J’ai eu envie de partager ce périple avec vous, car ce voyage ne m’a pas laissé indifférent. En voici les impressions et le ressenti…
En ce jour béni, je prends ma voiture vers 11h et me dirige vers l’aéroport Mohammed V de Casablanca d’où je dois prendre l’avion vers Tunis aux alentours de 14h. L’aérogare de Casablanca a sévèrement besoin d’être mis à niveau. Le hall est toujours aussi désert. Une odeur d’égouts te prend à la gorge dès l’entrée. Encore des regards d’assainissement mal siphonnés.
La zone internationale a été soignée par contre. Les toilettes aussi. Pour une fois on peut pisser sans que ça sente la rose pourrie… toutefois pour prendre l’avion nous sommes obligés de prendre un bus, les couloirs télescopiques sont réservés à des vols plus «prestigieux» pourquoi donc autant d’investissements pour rien…!
L’aéroport de Tunis est beau mais vieux
Le vol se passe bien. L’avion est complet. Il dure 2h30. Il peut durer moins mais les c… d’Algérie ont décidé de nous emmerder en nous interdisant le survol de leur espace aérien. Pas grave, nos pilotes rattrapent le retard dans le ciel même s’ils sont obligés de traverser une partie de l’Espagne, de la France et de l’Italie. Nous arrivons s à l’heure à Tunis.
Les files sont fluides, la policière me demande tout de même le nom de mon père. À quoi bon ? Le mien de pater il a 85 ans et je ne pense pas que la policière tunisienne lui plaise, vu que c’est un laideron, je connais ses goûts quand même…!
L’aéroport de Tunis est beau mais vieux. Le hall est plein à craquer des gens qui attendent leurs familles.
Je retrouve mon ami Hannibal qui m’attend à la sortie. Il me fait le tour de la côte tunisienne avant de m’emmener m’installer à Gammarth, la station chic de Tunisie. L’autoroute est très bien.
Tunis a besoin d’une bonne mise à niveau urbaine, mais elle reste propre.
Les Tunisiens savent ce qu’est le tourisme
Durant mon séjour j’ai visité plusieurs hôtels. Des 4 et 5 étoiles. 5 au total : 2 hôtels 5* et 3 hôtels 4*, et je peux dire sans exhaustive et juste ce que j’ai vu à Gammarth, à Hammamet, La Marsa et à Tunis, trois villes différentes, nous sommes très loin au Maroc d’atteindre le niveau de services offert en Tunisie en matière d’hôtellerie et de tourisme.
Malgré nos 17 millions de touristes, nous n’arrivons pas au niveau des Tunisiens, malgré leurs problèmes économiques et politiques. Ils n’auraient pas les problèmes conjoncturels actuels, je vous jure qu’ils nous dépasseraient allègrement.
Les Tunisiens savent ce qu’est le tourisme. Ils ont très bien compris ce qu’il faut faire pour accueillir le touriste, vip ou de masse.
D’abord la propreté des chambres, des espaces, des plages et des restaurants. Ensuite le service, impeccable et ne nécessitant pas des armées de gens qui ne savent pas faire grand-chose comme chez nous. Il faut venir en Tunisie pour comprendre, que nous faisons fausse route en matière de tourisme au Maroc.
Chez nous on accueille des millions de touristes, en Tunisie ils les reçoivent au vrai sens du terme. Ça fait mal de dire cela car j’avais l’idée fausse que l’on recevait très bien au Maroc. Un grande fausse idée.
Les Tunisiens ont réussi l’éducation et la citoyenneté
Les Tunisiens ont réussi là où nous avons échoué : l’éducation et la citoyenneté. Sans cela on a beau inventer des concepts hôteliers, ça ne marchera pas. Les gens continueront à venir certes au Maroc, mais ils ne reviendront pas. Les leurres touristiques que sont Marrakech, Agadir ou Tanger ne doivent pas nous éloigner de la réalité touristique de notre pays.
Un exemple : la plage. Les hôtels ont des accès directs à la plage avec le respect des mises à distance réglementaire, mais vous ne voyez pas toute la faune qui vient lécher les espaces hôteliers. Pas de nanas de niqab, ni de vendeurs de glaces frelatés, ni de photographes à chameaux, ni de gilets jaunes, ni de locataires de parasols et de transats. Tu n’as pas de pollution visuelle qui vient te gâcher la vue ou l’environnement.
Je passe une bonne partie de ma vie dans les hôtels au Maroc dans le cadre de mon travail. Je suis habitué à loger dans des hôtels 4 et 5 étoiles et même moins, partout au Maroc en bord de mer, comme dans les villes intérieures. Je voyage aussi pas mal à l’étranger notamment en Europe. J’observe et je vois, mais je préfère comparer que ce qui est comparable. Le Maroc et la Tunisie sont comparables en matière de tourisme. On a démarré au même moment le développement touristique au milieu des années 60. À un moment, la Tunisie a fait le choix du tourisme de masse quand le Maroc a fait le choix du tourisme vip. Mais Djerba est similaire à Agadir en termes de tourisme de masse avec des séjours à bas prix pour clientèle de classes moyennes européennes. Les services et accueils y sont pareils. Mais là où nous avons «merdé» au Maroc c’est l’accueil des touristes vip en hôtels 5 étoiles.
Les Tunisiens nous donnent une grande leçon d’humilité
Comparativement, ce que j’ai vu en Tunisie, les hôtels 4 étoiles dépassent de très loin nos meilleurs hôtels 5 étoiles et je n’exagère pas. Il faut les visiter pour voir la différence criante entre nos deux pays. Les chambres sont propres, la clim est mise dans toutes chambres, le personnel est d’une gentillesse renversante, le service est impeccable au petit-déjeuner, le service de plage aussi. Tout se passe sans prise de tête et on n’a pas besoin de crier pour passer commande et on n’attend pas éternellement sa commande non plus. Et pourtant les Tunisiens ne sont pas satisfaits de leur niveau d’accueil en ce moment. Ils me parlent de l’époque de Ben Ali et de l’ambiance de fête qu’il y avait à l’époque. J’ose à peine croire qu’ils ont été meilleurs que maintenant, mais je les crois. Et puis j’ai découvert la joie de vivre des Tunisiens et surtout leur gentillesse. Pas de prise de tête, pas de m’as-tu-vu, pas de chichis, pas de hogra, et surtout pas de «pétage au-dessus du cul».
Les Tunisiens riches ne le montrent pas. Ils n’ont pas besoin. Ils ont la richesse du cœur et ça leur suffit. C’est l’avantage d’un peuple travailleur qui connaît la valeur de l’effort et l’éducation qui doit impérativement aller avec.
Une grande leçon d’humilité que celle que nous donnent les Tunisiens. Ils sont malheureux comme pas possible de ce qui leur arrive depuis la révolution de 2011. Ils ont beaucoup perdu, en dynamisme, en pouvoir d’achat, mais aussi en assurance. Ils sont loin les Tunisiens fiers de leurs réussites et qui pouvaient toiser tout le monde arabe du haut de leur performances sociales ou en matière de liberté des femmes. Ils n’en reviennent pas quand je leur dis que je suis ébloui par leur pays que je trouve merveilleux et qu’ils ont une chance inouïe d’être ce qu’ils sont à travers leur éducation et leur sens de la famille et des relations sociales.
La preuve : ma venue en Tunisie coïncide ce lundi avec une cérémonie à laquelle tiennent les Tunisiens : l’annonce des résultats du baccalauréat. Toutes les familles dont les enfants ont réussi au bac font des fêtes chez elles et c’est un ballet incessant de gens qui viennent féliciter les lauréats et surtout boire un verre en famille, à la bonne franquette et sans chichis. Comme plusieurs enfants de la bourgeoisie tunisienne ont réussi cette année, je suis invité à plusieurs soirées dans la même soirée. Et je peux vous dire que les Tunisiens savent recevoir et surtout faire la fête. On me présente des banquiers, des médecins et des ingénieurs. Plusieurs hommes d’affaires et d’industriels aussi. De vraies fortunes, pas des pique-assiettes comme chez nous. Des gars qui sont à la tête de véritables empires en Tunisie et ailleurs dans le monde, mais dont la modestie les ferait passer chez nous à des «nobody». Finalement je crois que c’est chez nous que les fortunes sont très surévaluées…
Tunisie, grâce à son peuple très résilient, redémarre doucement
La Tunisie a connu de terribles années depuis le «printemps arabe» qui a démarré justement par l’immolation d’un vendeur ambulant, le fameux Bouazizi. Un pays jadis prospère sous les dictatures de Bourguiba et de BenAli et qui a depuis, sombré dans une disette économique sévère, qui dure encore. Mais la Tunisie grâce à son peuple justement, très résilient, redémarre doucement, même si beaucoup de cerveaux tunisiens brillants migrent de plus en plus, vers le pays qui leur parle le plus : le Maroc. C’est un drame pour la Tunisie qui n’arrive pas à retenir ses meilleurs talents, c’est une très grande opportunité pour le Maroc. Mais au-delà de tout ce qui se passe en Tunisie, le Maroc ne doit pas abandonner nos frères tunisiens. On se doit d’aider ce pays que l’on aime et qui nous aime depuis toujours. À commencer par la nomination d’un grand ambassadeur. Le dernier en date, Tarik n’a pas beaucoup brillé. Il faut dire qu’il n’avait aucune expérience diplomatique et qu’il s’était contenté d’exister au sein de l’USFP, pas vraiment le gabarit adéquat pour un pays aussi sensible que la Tunisie…
En ce moment précisément on ne doit pas abandonner la Tunisie, malgré toutes les déclarations de son président ou de sa proximité toxique avec l’Algérie…
Quant à mes amis tunisiens je les ai convaincus de venir investir dans l’hôtellerie au Maroc, on y a grandement besoin d’entrepreneurs, d’où qu’ils viennent, et surtout de notre chère Tunisie…
Chez TAV Tunisie, on estime que cette initiative représente une première étape vers un modèle aéroportuaire plus durable, où le bien-être humain et la préservation de la planète vont de pair.
Dans le cadre de ses engagements en faveur du développement durable, de l’amélioration de la qualité de vie au travail et de l’optimisation des services au sein de ses aéroports, TAV Tunisie annonce l’installation de plusieurs machines Kumulus Water à l’aéroport international Enfidha-Hammamet.
Cette initiative s’inscrit dans une politique RSE ambitieuse visant à proposer une alternative écologique, économique et durable à la consommation d’eau en bouteille. Grâce à cette technologie innovante, l’humidité de l’air ambiant est captée, filtrée, minéralisée, puis transformée en eau potable — sans aucun raccordement au réseau hydraulique. Chaque machine peut produire en moyenne 30 litres d’eau potable par jour, permettant de :
-Réduire significativement la consommation de plastique à usage unique ;
-Limiter les émissions de CO₂ liées au transport et à la logistique de l’eau ;
-Garantir un accès permanent à une eau fraîche, saine, certifiée et minéralisée ;
-Favoriser l’hydratation et le bien-être des employés de l’aéroport.
« Ce projet illustre parfaitement notre volonté d’intégrer des solutions innovantes et responsables au sein de nos infrastructures. Nous sommes fiers de contribuer activement à la protection de l’environnement, tout en améliorant le quotidien de nos collaborateurs », a déclaré Mélanie Lefebvre.
Lors de la cérémonie, les participants ont assisté à un atelier de présentation (« onboarding »), suivi de démonstrations pratiques et d’une dégustation d’eau Kumulus dans les espaces de détente du personnel. Une animation ludique sous forme de quiz a également permis de sensibiliser les collaborateurs aux enjeux liés à l’eau et à la durabilité.
Dans les prochains jours, l’aéroport international de Monastir Habib-Bourguiba sera également équipé de machines Kumulus Water, confirmant ainsi la volonté de TAV Tunisie d’étendre cette démarche durable à l’ensemble de ses plateformes aéroportuaires.
Kumulus Water, start-up franco-tunisienne fondée à Paris, est aujourd’hui reconnue au niveau international pour ses solutions innovantes d’eau atmosphérique. Lauréate de plusieurs prix prestigieux (EBRD, SelectUSA, VivaTech), elle collabore déjà avec des partenaires majeurs tels que Sanofi, l’IFC, World Bank Group, PWC ou encore plusieurs ONG internationales.
Le rideau se lèvera le 11 juillet 2025 sur la 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH), qui se tiendra jusqu’au 13 août au Centre Culturel International de Hammamet. Placée sous le signe de la diversité et de la création, cette édition – organisée sous le slogan « Continuous Vibes » – proposera 36 spectacles répartis sur 33 soirées, avec des artistes venus de 15 pays des cinq continents.
La soirée d’ouverture sera marquée par la présentation de « Ragouj », adaptation scénique de la série télévisée ramadanesque éponyme. Mise en scène par Abdelhamid Bouchnak, sur une composition musicale de Hamza Bouchnak, la comédie musicale réunira un orchestre de 40 musiciens et des chorégraphies signées Oumaima Manaï. Cette première soirée rendra hommage au rappeur Kafon (Ahmed Laabidi), figure emblématique de la scène musicale tunisienne, récemment disparu.
Le FIH 2025 promet une programmation musicale éclectique, mêlant tarab classique, jazz, raï, flamenco, gnawa, électro, salsa, musiques africaines, symphonique et pop urbaine. Le public pourra retrouver de grands noms comme Lotfi Bouchnak, Saber Rebai, Balti, Ghazi Ayadi (Tunisie), Wael Jassar (Liban), Cheb Mami (Algérie), Nass El Ghiwane (Maroc), Noel Kharman (Palestine), Naïka (Haïti-France), Yuri Buenaventura (Colombie) ou encore Bassekou Kouyaté (Mali).
Le théâtre tunisien occupera une place de choix avec quatre créations majeures, dont « Mère des pays » de Hafedh Khalifa, une fresque historique sur Abou Zakaria El Hafsi, « Ad Vitam » de Leila Toubel, « Au violon » de Fadhel Jaziri, et « La Dame de Kerkoine » de Wajdi Gaidi et Houssem Sahli, qui revisite l’histoire punique en langue phénicienne.
Le spectacle « Arboune » d’Imed Jemaa viendra explorer la condition de l’artiste dans l’après-Covid. D’autres projets contemporains novateurs, comme « Sinouj Odyssey » de Benjemy, « Osool » de Yacine Boularès, et « 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » de Mohamed Ali Kammoun, illustrent l’ouverture du festival à l’innovation artistique.
Une soirée spéciale intitulée « Symphonica » rendra hommage à des icônes de la chanson française telles que Dalida, Aznavour et Édith Piaf, avec les voix de la Tunisienne Zeineb Oueslati et du Français Philippe Cavaillé.
Le festival s’achèvera le 13 août, date symbolique de la Journée nationale de la femme tunisienne, avec un concert de Nabiha Karaouli en hommage à la femme, dans un esprit tarabique et engagé.
Cette année, les billets sont exclusivement disponibles en ligne, via le site officiel du festival : festivaldehammamet.com
PROGRAMME
11 juillet : « Ragouj – Le Spectacle » – Abdelhamid Bouchnak et Hamza Bouchnak (Tunisie)
12 juillet : « La Nuit Des Chefs » – Théâtre de l’Opéra de Tunis – Pôle Musique et Opéra – L’Orchestre Symphonique Tunisien (Tunisie)
13 juillet : Hind Ennaira (Maroc) – Djazia Satour (Algérie)
14 juillet : Naïka (Haïti – France)
15 juillet : RUST (Syrie / Liban) – Alsarah and The Nubatones (Soudan)
16 juillet : » Mère des pays » – Hafedh Khalifa (Tunisie)
17 juillet : « Jathb » (Tunisie) – Soudeni (Tunisie)
18 juillet : « Ad Vitam » de Leila Toubel (Tunisie)
19 juillet : Yuri Buenaventura (Colombie)
20 juillet : Noël Kharman (Palestine)
21 juillet : « Sinouj – Odyssey » Benjemy (Tunisie)
22 juillet : « Dialogue des cordes 2 » Kamel Ferjani (Tunisie)
23 juillet : Addict Ameba (Italie)
24 juillet : Siilawy (Jordanie)
25 juillet : « 24 Parfums – Les Etoiles Symphoniques » Mohamed Ali Kammoun (Tunisie)
26 juillet : Wael Jassar (Liban)
27 juillet : Nass El Ghiwane (Maroc)
28 juillet : « La Dame de Kerkoine » Wajdi Gaidi et Houssem Sahli (Tunisie)
29 juillet : Al Shami (Syrie)
30 Juillet : Las Migas (Espagne)
31 juillet : Lotfi Bouchnak (Tunisie)
1 er Août : « Habit Zamani » Ghazi Ayadi (Tunisie)
2 août : Saber Rebai (Tunisie)
3 août : Robyn Bennett (USA / France)
4 août : Balti (Tunisie)
5 août : Koum Tara (Algérie / France)
6 août : « Arboune » Imed Jemaa (Tunisie)
8 août : Cheb Mami (Algérie)
9 août : Sinfonica – Spécial Tubes Français (Tunisie / France)
Le basculement est désormais chiffré. Selon de nouveaux chiffres publiés hier par Il Messaggero, la Tunisie s’impose comme la deuxième destination préférée des retraités italiens à l’étranger, derrière l’Espagne. Une tendance amorcée il y a quelques années, mais qui prend aujourd’hui une dimension structurelle, notamment dans la ville côtière de Hammamet.
Hammamet concentre une part significative de cette communauté, avec plus de 4 000 retraités italiens recensés – soit environ 8 % de la population locale. Un chiffre qui confirme l’attractivité fiscale de cette ville et la consolidation d’une forme de migration grise, ni économique ni humanitaire, mais fiscale.
Une fiscalité taillée sur mesure
La législation tunisienne autorise une exonération de 80 % du revenu de pension perçu de l’étranger. Seuls 20 % sont imposables, selon un barème progressif dont l’impôt maximal ne dépasse pas 35 %. Le chef de famille bénéficie également d’une déduction supplémentaire.
Mais l’atout le plus stratégique de la Tunisie reste l’exception qu’elle constitue pour les anciens fonctionnaires italiens. Alors que ces derniers ne peuvent généralement pas bénéficier de la défiscalisation dans d’autres pays européens (Portugal, Espagne, etc.), ils en bénéficient en Tunisie. Résultat : 63 % des retraités italiens installés à Hammamet en 2023 sont issus de la fonction publique.
La chute du Portugal, la montée de la Tunisie
Le phénomène s’inscrit dans un rééquilibrage régional. Longtemps en tête, le Portugal a supprimé son régime fiscal spécial en 2024, entraînant une chute de plus de 80 % des nouveaux arrivants italiens. Le pays reste encore premier en valeur totale de pensions versées (157,4 M€), mais c’est un effet d’inertie.
Désormais, ce sont la Tunisie, l’Espagne, la Roumanie et l’Albanie qui se partagent les nouveaux flux. Ces deux derniers pays proposent des systèmes très attractifs : exonération totale en Albanie, et forfait de 10 % sur les pensions étrangères en Roumanie.
L’installation croissante des retraités étrangers en Tunisie – concentrée sur des zones comme Hammamet, Sousse ou Monastir – alimente la demande immobilière et stimule certains segments de l’économie locale, notamment les services médicaux, paramédicaux et touristiques à l’année.
La région de Aïn Draham va voir s’implanter un nouvel hôtel arborant le brand La Badira. Détails du projet.
La Badira étend sa toile: après Hammamet, un nouvel établissement portant la même appellation est en cours de construction à Aïn Draham.
Il s’agit de l’ancien hôtel Les Chênes, propriété de la CTAMA qui a confié sa réalisation à Mouna Ben Halima, propriétaire de La Badira à Hammamet, qui l’exploitera lors de son ouverture en gestion pour compte sous l’appellation Les Chênes by La Badira.
Le site de l’ancien établissement a totalement été rasé; il est actuellement en pleine reconstruction pour en faire un hôtel de charme de 28 chambres avec 11 suites familiales de 4 lits et 4 autres très grandes suites de prestige notamment avec jacuzzi privatif, cheminées, etc.
L’avancement du chantier du futur Badira à Aïn Draham (juin 2025).
Le projet devrait accueillir ses premiers clients au premier trimestre 2026. Sa gestionnaire souhaite préserver la mémoire de l’établissement d’origine et recherche dans cette optique notamment des photos d’époque.
La renaissance de l’hôtel Les Chênes – qui est situé à 704 mètres d’altitude et dont l’origine remonte à l’année 1907- s’inscrit dans la foulée de la remise en exploitation d’un autre hôtel tout aussi mythique de la région, à savoir La Forêt qui a officiellement rouvert ses portes récemment après rénovation complète.
L’hôtel aura une capacité de 28 clés.
A Aïn Draham, ce renouveau hôtelier intervient dans le cadre d’une dynamique qui s’accélère dans le périmètre de cette zone forestière dont l’offre est complétée par un certain nombre de maisons d’hôtes de qualité (Dar Monia, les Chaumières de Aïn Draham…) qui participent à permettre à la région de renouer avec un caractère touristique qui était le sien il y a plusieurs décennies, à savoir une destination nature et immersive tout au long de l’année.
Pour rendre hommage à Leïla Menchari, l’hôtel La Badira à Hammamet a décidé de réaliser une suite spécifique en son nom. Plus encore, cet appartement reprend les références artistiques de celle qui était surnommée La Reine Mage.
On ne célèbrera jamais assez l’empreinte de Leïla Menchari; pour l’artiste iconique qu’elle était et pour son engagement en faveur de la valorisation de l’artisanat tunisien, notamment dans les fameuses vitrines de la maison Hermès à Paris qu’elle sublimait par ses créations originales.
Quelques-unes des vitrines d’Hermès reconstituées en miniature, oeuvres de Leila Menchari.
Artiste solaire et engagée, Leïla Menchari avait fait aussi de la ville de Hammamet un refuge, une source d’inspiration infinie, un dialogue silencieux entre l’art et la mer. Aujourd’hui, l’hôtel La Badira lui consacre une nouvelle suite que Mouna Ben Halima, maîtresse des lieux, s’est empressée de faire rayonner. « Nous avons voulu célébrer l’héritage de Leïla Menchari à travers un espace qui lui ressemble, alliant élégance, authenticité et poésie », explique-t-elle, soulignant que « cette suite est une invitation à découvrir Hammamet sous un nouveau jour, à travers les yeux d’une artiste qui l’a tant aimée.»
Cette opération s’inscrit dans le cadre des actions liées au 10e anniversaire de l’hôtel. Cette suite Legend de 160 m² complète ainsi une série de 6 grandes suites avec piscines privées dédiées à une figure illustre ayant marqué l’histoire et contribué au rayonnement international d’Hammamet, chacune dédiée, en plus de Leila Menchari, à Paul Klee, George Sebastian, Wallis Simpson, Claudia Cardinale et Jean Cocteau.
Successions d’hommages
Cette suite n’a pas vocation à être une simple chambre d’hôtel où l’on vient pour dormir ou se relaxer, contempler la plage et la mer. C’est un écrin vivant, vibrant des couleurs de Leïla Menchari, de son image et de ses souvenirs. Chaque détail évoque son regard unique sur le patrimoine, qu’elle savait magnifier sans jamais le figer. Le décor incite à la contemplation et à la méditation.
En guise d’accueil, et avant même de pénétrer dans la suite, dans le hall d’entrée, le nom de Leïla Menchari trône magistralement, telle une dédicace murale, aux côtés de 5 de ses vitrines miniatures reprenant fidèlement le travail qu’elle avait réalisé pour le compte d’Hermès.
Le subtil mélange de matériaux nobles, de couleurs chatoyantes et les éléments de l’artisanat tunisien qui la composent renvoie vers l’âme de l’artiste. Un travail de restitution et de mémoire réalisé par deux décoratrices tunisiennes, Arlette Zouaoui et Chebilya Sayah Kaouel.
« Une de nos bases de travail a été l’ouvrage de Leïla Menchari “Les Vitrines Hermès, Contes nomades” où sont décrites toutes ses vitrines qui sont des pures merveilles du point de vue de la composition, de l’originalité et de la création », explique Arlette Zouaoui, qui ajoute: « Nous avons voulu mêler couleurs vibrantes, objets rares et ce sens si aigu du théâtre qu’elle projetait dans les espaces réduits où elle s’exprimait ».
Dès l’entrée dans la suite, c’est une onde de couleurs chatoyantes qui subjugue le visiteur. A commencer par cette table en mosaïque de marbre aux thématiques maritimes (poissons, vagues et branches de corail, avec des incrustations de pierres semi-précieuses dont des lapis-lazuli pour rappeler le bleu de la Méditerranée et bucoliques) réalisée par un autre artiste, Mehdi Benedetto, qui eut l’occasion de collaborer avec Leïla Menchari en son temps.
Le décor renvoie vers la mer qui éclaire déjà tout le salon de sa lumière. Dans la continuité de la table, une œuvre de l’artiste tunisienne Sinda Belhassen trône magistralement dans la pièce avec ses branches de coraux et algues marines en 3D.
Deux autres grands tableaux aux tons pastel de la même artiste, inspirés par les croquis de Leïla Menchari et réalisés avec des matériaux naturels évoquant les jardins d’Hammamet, sont placés de part et d’autre de la table à manger.
La présence d’une selle de cheval ne laisse pas indifférent. Posée dans un angle du salon, elle interpelle le visiteur curieux de savoir quel rapport avec Leïla Menchari. Le lien existe bien-sûr puisqu’il s’agit d’une manière de dire que cette dernière faisait elle-même broder des éléments de sacs pour Hermès par un artisan des souks de Tunis.
Dans un des angles de la suite se trouve une selle traditionnelle, entièrement brodée à la main au fil d’argent, avec des motifs colorés. A droite, une suspension en verre soufflé tunisien rappelant l’atmosphère des palais anciens de l’époque du beylicat.
La chambre à coucher, une ode à la tradition tunisienne
Ce qui attire le regard en entrant dans la chambre tout d’abord, c’est la tête de lit avec son contour décoratif en bois connu sous l’appellation, hanout hajjem datant du XVIIème siècle. Son bois sculpté et incrusté de miroirs rappelle les décors des mille et une nuits.
Dans l’axe, un tableau typiquement tunisien fixé sous verre évoque les amours d’Antar et Abla, les « Roméo et Juliette de la littérature arabe », comme les décrit Amin Maalouf.
Face au lit, un panneau décoratif est inspiré de la vitrine « Les vagues de marbre » de Leïla Menchari, très joliment décrite dans le livre « Leïla Menchari, la Reine Mage », édité par Hermès chez Actes Sud.
Cette suite se complète par une terrasse spacieuse, baignée de lumière. Face à l’horizon infini, une mer azur, bercée par le doux clapotis des vagues.
Là, en toute intimité, la piscine privée ajoute à la fraîcheur, au confort absolu et l’élégance. Un écrin exclusif où le luxe se vit au rythme du soleil, entre ciel et mer et qui renvoie vers un jardin, celui de Dar Henson, la maison de Leïla Menchari à Hammamet, immortalisé.
L’aéroport international d’Enfidha-Hammamet annonce le lancement de ses tout premiers vols de la Omra, marquant ainsi une nouvelle ère dans la facilitation du voyage vers les Lieux-Saints pour les pèlerins.
Dans un communiqué de presse, la direction de l’aéroport souligne que cette initiative stratégique, fruit d’un partenariat étroit avec Saudia Airlines et Kounouz Travel, témoigne de l’engagement de l’aéroport à miser sur la proximité pour répondre davantage aux besoins et aux exigences des pèlerins dans toutes les régions du pays, mais aussi pour promouvoir une offre de transport aérien moderne, sûr et confortable, répondant aux attentes d’une clientèle en quête d’excellence.
Les premiers vols entre Enfidha et Djeddah (JED) sont programmés le jeudi 20 et vendredi 21 mars 2025, alors que les vols retour Médine (MED)-Enfidha sont programmés le mardi 8 et le mercredi 9 avril 2025.
Les vols Enfidha et Djeddah (JED) et Médine (MED)-Enfidha s’effectueront à bord d’appareils Airbus A330 de dernière génération, offrant une capacité comprise entre 360 et 426 sièges.
Ces avions, équipés des technologies les plus récentes, assurent non seulement un confort de vol inégalé mais respectent également les normes internationales les plus strictes en matière de sécurité aérienne, garantissant une expérience de voyage sereine et efficace.
« Au-delà de l’enrichissement de son réseau, l’ouverture de ces lignes confirme la volonté l’aéroport d’Enfidha-Hammamet de se positionner comme un véritable hub aérien régional, attractif capable d’offrir des solutions de transport qui incarnent l’excellence et l’innovation au service du tourisme religieux et du développement régional » souligne encore le communiqué.