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Gestern — 12. August 2025Haupt-Feeds

Le Festival de Hammamet fait ses adieux à Fadhel Jaziri, sur les notes de paix du groupe malien Ngoni Ba

12. August 2025 um 10:18

La fin de cette édition exceptionnelle rime  avec des calibres de la chanson mondiale. Ainsi, Bassekou Kouyaté et son groupe Ngoni Ba, qui nous viennent directement du Mali, ont fait l’effet d’une bombe pour les mélomanes présents. Parmi le public, une poignée sont connaisseurs, les autres sont partis à la découverte et sont  sublimés.

La musique fait voyager et les virtuoses du N’goni le savent et l’appliquent si bien. Les musiciens de ce soir, à l’honneur, manient à la perfection le Luth traditionnel, « la N’goni », répandue au Mali et dans toute l’Afrique de l’ouest, de quoi ravir les amoureux de la musique exotique, ici ressentie dans toute sa splendeur. La musique traditionnelle africaine fait rage : habits traditionnels, sons inédits, prestations scéniques remarquables ont fusionné sur scène, donnant lieu à un concert des plus mémorables. Bassekou Kouyaté, la star leader, tient les rênes d’un spectacle de haut volet, entouré des siens : sa femme, son fils et de ses proches, qui ensemble, perpétuent la tradition musicale, innovent, propulsent pour le monde, leur savoir-faire musical ancestral. Depuis 2005, les Ngoni Ba n’ont cessé d’évoluer.

Quoi de mieux que le morceau « Kanougnon » pour inaugurer une évasion sonore des plus éclectiques voire inédite. Suivie d’ « Abe Soumaya », « Ngoni fola », sans oublier, « Djadje », « Kanto Kelena » et pour finir en beauté « Wela Cuba » pour conquérir le public.

Le joueur de calebasse/batterie est le petit frère de Bassekou Kouyaté. Les sonorités subsahariennes interprétées tirent leurs forces de cet instrument magique, envoûtant pour le public.

Kouyaté a remporté plusieurs « BBC Awards » pour son premier album, « Segu Blue », a été nominé aux « Grammy Awards » pour son album « I Speak Fula » et a donné des centaines de concerts à travers le monde, en partageant la scène avec des musiciens tels que Paul McCartney, John Paul Jones, ou encore Bono.

Ce soir, ne manquez pas la soirée OSOOL et leur répertoire distingué pour un voyage sonore tuniso – jazzy. Il s’agit de l’avant-dernier concert de cette édition.

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« Au violon » : le dernier hommage scénique à Fadhel Jaziri au Festival International de Hammamet

11. August 2025 um 11:58

La date du 10 août 2025 a été marquée par la représentation exceptionnelle de « Au Violon » de feu Fadhel Jaziri, qui vient de nous quitter le 11 août 2025, quelques heures après ce clap de fin scénique. Une dernière représentation offerte à Hammamet avant l’éternel voyage.

Cette récente création prend les allures d’un couronnement, celui d’une carrière prolifique de plus de 50 ans consacrée au théâtre, au cinéma et à la musique.

L’homme de théâtre, pionnier des arts en Tunisie et dans le monde arabe, signe une œuvre profonde, hybride, lyrique, qui fait échos chez les férues du théâtre depuis son avant-première phare aux Journées Théâtrales de Carthage (2024). Au fil des représentations, jusqu’à celle programmée au FIH, l’œuvre n’a cessé de muter. Jaziri a voué sa vie au 4ème art jusqu’au dernier souffle … avec ce dernier spectacle. 

« Au violon » mêle, théâtre et musique, acteurs et musiciens sur scène, afin de raconter un récit qui oscille entre l’intime et le public, le citoyen et la patrie. La création raconte l’histoire de la Tunisie, reflète un cheminement personnel, et prend la forme d’un testament bouleversant. 

Dans un décor épuré, Fadhel Jaziri a mis en scène dans « Au violon », un violoniste vieillissant, autrefois membre de l’orchestre national, qui se remémore les grandes heures de sa vie musicale, entre espoirs, désillusions et souvenirs fragmentés. Ce personnage fictif solaire, humain, devient le miroir d’une Tunisie en constante mutation, traversée par des bouleversements politiques, sociaux et artistiques. Ce saut dans le temps est grandement vécu par un luthiste et deux violonistes, dont l’un est l’époux d’une prétendue chanteuse célèbre.

Musicalement, la création est dense : elle s’ouvre sur « Shahrazade » de Korsakov. Au fil des évènements, d’autres morceaux comme ceux d’Oum Kalthoum « Enta Omri » et un autre de Mohamed Abdelwaheb ou de Naâma, séduisent les plus mélomanes des spectateurs présents. Le personnage central de la pièce se remémore sa jeunesse et spécialement de ses années au conservatoire de musique de Tunis, autrefois dirigé par Ahmed Achour. « El Rachidia » occupe aussi ses souvenirs. Un hommage est rendu à un professeur tchèque qui lui a enseigné un morceau de Beethoven « Claire de Lune ».

La nostalgie exprimée dans cette pièce prend vie sur scène dans une succession d’évènement marquants, de créations et de personnalités, qui ont fait et défait les 60 ans de la Tunisie : Mohamed Driss et son « Mourad III », Habib Boularès, Fredj Chouchane, Ridha Kalai, Zoubeir Turki et les chansons de l’egyptienne, Leila Mourad, le chanteur et compositeur italien, Adriano Celentano, les célébrités qui sont passées par la Coupole d’El Menzah, à l’instar d’Oum Kalthoum, Sabah, Abdel Halim Hafez… La troupe de musique de la Radio Nationale sous la direction de Ben Algia, Sayed Chatta venu d’Egypte, le chanteur espagnol Julio Iglesias, Hédi Jouini, Hédi Guella etc. Sans oublier les succès du Nouveau Théâtre « Arab » et « El Awada ». Puis la guerre du Golfe, la destitution de Bourguiba et l’arrivée au pouvoir de Ben Ali. « Nouba », « El Hadhra », et pour finir, la révolution et son fameux « Dégage » à Ben Ali. 

La musique dans « Au Violon » alimente la mémoire collective avec comme fil conducteur une histoire attachante et une narration qui capte de bout en bout. Les interprètes sont Ichraq Matar, Slim Dhib, Ilyes Blagui, Mahdi Dhaker, Lotfi Safi et Ghaith Nafati.

Cette dernière œuvre englobe tout ce qu’a créé l’artiste : accomplissements, œuvres diverses incontournables, projets. Le grand Fadhel Jaziri a évoqué toute une époque, celle dont il était le témoin. L’histoire, ses tournants et ses tourments y sont grandement étalés, avec une saisissante maîtrise.

Créée contre contre l’oubli, « Au Violon » a la vocation d’une archive qui compile une vie monumentale, truffée de succès, de réussites, et totalement consacrée aux arts et à la culture. Son départ, qui a coïncidé avec sa représentation à l’amphithéâtre de Hammamet, résonne  comme un dernier cadeau à un festival et à une scène qu’il chérissait particulièrement. Ce lieu magique, à qui il a consacré une immense partie de ses accomplissements, vivra désormais à sa mémoire et à celles et ceux qui l’ont traversé avant de partir vers l’éternité.

Le comité directeur du festival présente ses plus sincères condoléances à sa famille et à la scène artistique et culturelle tunisienne et arabe.

Fadhel Jaziri envoûte Hammamet avec une fresque théâtrale et musicale

Von: La Presse
11. August 2025 um 08:26

La soirée du 10 août 2025, dans l’écrin du Centre culturel international de Hammamet (CCIH), a pris des allures de road movie à travers le temps avec la dernière création de l’homme de théâtre Fadhel Jaziri. Avec Au Violon, il a offert bien plus qu’une pièce : une fresque vivante et bouleversante, un récit lyrique et vibrant qui parle autant au cœur qu’à la mémoire collective.

Présentée en avant-première lors de la 25 édition des Journées théâtrales de Carthage (JTC 2024), l’œuvre a évolué au fil des représentations pour arriver, dans sa nouvelle version, au Festival international de Hammamet dans le cadre de sa 59 édition. Mêlant théâtre et musique, acteurs et musiciens, Au Violon raconte une histoire qui oscille entre l’intime et le collectif, entre le destin d’un homme et celui d’une patrie. À la fois récit personnel et témoignage historique, la création tisse un lien fort entre mémoire individuelle et histoire nationale.

Dans un décor épuré, Fadhel Jaziri met en scène un violoniste âgé, ancien membre de l’orchestre national, qui replonge dans les grandes heures de sa carrière musicale, traversée d’espoirs, de désillusions et de fragments de mémoire. Personnage fictif, à la fois éclatant et profondément humain, il devient le miroir d’une Tunisie en perpétuelle mutation, marquée par les bouleversements politiques, sociaux et artistiques. Le récit se nourrit des interventions d’un luthiste et de deux violonistes, dont l’un partage sa vie avec une célèbre chanteuse imaginaire.

La bande sonore est riche et évocatrice : elle s’ouvre sur Shéhérazade de Rimski-Korsakov, puis enchaîne avec des classiques d’Oum Kalthoum, Mohamed Abdelwahab, Naâma ou Leila Mourad. Les souvenirs du protagoniste le ramènent au Conservatoire de Tunis, alors dirigé par Ahmed Achour, à l’institution El Rachidia, et à un professeur tchèque qui lui fit découvrir Clair de Lune de Beethoven.

La nostalgie prend corps dans une vaste fresque retraçant soixante ans d’histoire tunisienne et de figures marquantes : Mohamed Driss et Mourad III, Habib Boularès, Fredj Chouchane, Ridha Kalai, Zoubeir Turki, Adriano Celentano, Hédi Jouini… sans oublier les passages légendaires d’Oum Kalthoum, Sabah et Abdel Halim Hafez à la Coupole d’El Menzah. Porté par Ichraq Matar, Slim Dhib, Ilyes Blagui, Mahdi Dhaker, Lotfi Safi et Ghaith Nafati, le spectacle rend aussi hommage aux grandes pages du théâtre tunisien, avec des œuvres telles que Arab, El Awada, El Hadhra ou encore Nouba.

Cette soirée intense s’est achevée pour céder la scène, ce soir, à une escale musicale aux couleurs du Mali, avec le chanteur iconique Bassekou Kouyaté et son groupe Ngoni Ba.

Cheb Mami, R. Kelly, Polanski… Jusqu’où pardonner les artistes condamnés ?

10. August 2025 um 15:43
L’artiste algérien Cheb Mami a mis le feu au Festival International de Hammamet (FIH) le 8 août 2025, avec un concert de raï électrisant. Le théâtre de plein air du centre culturel international, archicomble, a vibré toute la soirée sous l’énergie du roi de la scène algérienne.

Pendant une heure trente, l’artiste a enflammé le public sous les applaudissements d’une foule conquise. Le concert, une incontestable
réussite, a même laissé certains spectateurs sur leur faim : nombreux étaient ceux à souhaiter une performance plus longue, estimant que la
durée était insuffisante au regard de l’excellente ambiance. D’autant que c’était son premier passage sur une scène tunisienne depuis 2014.
Pourtant, derrière cette euphorie collective plane une question épineuse : peut-on, ou doit-on, dissocier l’artiste de ses erreurs judiciaires ?
Le 4 juillet, lors de la conférence de presse dédiée à l’annonce du programme du festival, Néjib El Ksouri, directeur du Festival International
de Hammamet, a défendu la participation de Cheb Mami, malgré les critiques d’une organisation féministe. Dans une déclaration exclusive à
Mosaïque FM, il a estimé que l’exclusion permanente de l’artiste n’était pas justifiée, arguant que le débat autour de sa condamnation pour
violences conjugales en 2009 n’avait plus lieu d’être. El Ksouri a rappelé que le festival choisit ses artistes en fonction de leur parcours musical, de leur valeur artistique et de la qualité de leur spectacle, précisant que la justice française, après l’avoir condamné à cinq ans de prison (dont il a purgé une partie), lui avait accordé le droit de reprendre sa carrière.
Le mouvement féministe tunisien Ena Zeda a condamné cette invitation, y voyant une banalisation des violences faites aux femmes, et a appelé au boycott du concert. L’ombre de l’affaire qui a marqué la carrière de Cheb Mami n’a jamais cessé de planer. En 2009, le chanteur avait été condamné en France à cinq ans de prison pour « violences volontaires » et « tentative d’avortement forcé » sur son ex-compagne, avant de bénéficier d’une libération anticipée en 2011. Cet épisode avait provoqué son retrait temporaire de la scène et divisé son public : si certains ont boycotté son retour, d’autres estiment qu’après avoir purgé sa peine, il mérite une seconde chance.
Le cas de Cheb Mami n’est pas isolé. De nombreuses célébrités ont vu leur carrière ébranlée par des condamnations pour violences contre les
femmes. Le chanteur R. Kelly, emprisonné à vie pour trafic sexuel, a été effacé des plateformes musicales et des mémoires. À l’inverse, des artistes comme Mike Tyson, reconnu coupable de viol dans les années 1990, ont retrouvé une forme de rédemption médiatique, transformant leur image grâce au cinéma ou à la télévision.
Le cinéma offre aussi des exemples ambivalents. Roman Polanski, condamné pour viol sur mineure en 1977 et toujours sous le coup de plusieurs accusations, continue de réaliser des films primés, défendu par une partie du milieu artistique au nom de la séparation entre l’homme et l’œuvre. À l’opposé, Johnny Depp, après un procès très médiatisé pour violences conjugales – où il a aussi été reconnu victime de diffamation –, a vu certaines de ses collaborations hollywoodiennes suspendues, malgré un retour en grâce auprès d’une partie du public.
Ces exemples soulèvent une question récurrente : la justice suffit-elle à « laver » une réputation, ou certaines fautes sont-elles indélébiles ? Entre boycott, réhabilitation et indifférence, la réponse varie selon les cultures, les époques… et le poids médiatique des artistes.
À Hammamet, Cheb Mami a chanté, souri et fait danser. Le public, lui, semblait avoir choisi : pour la grande majorité, c’est la musique qui
prime. Mais la polémique persiste. Faut-il boycotter un artiste condamné ayant purgé sa peine, au nom de la morale, ou accepter qu’un homme puisse se reconstruire après la justice ?
Nous ne prétendons pas apporter une réponse définitive ni nous ériger en donneurs de leçons. Le débat dépasse le cas de Cheb Mami et
interroge notre rapport à l’art, à la culpabilité et à la possibilité du pardon. En quittant la scène, le chanteur a remporté une bataille symbolique et artistique. Mais la guerre des consciences, elle, reste ouverte.

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Le quatuor féminin espagnol Las Migas au Festival de Hammamet

Von: Yusra NY
29. Juli 2025 um 22:55

Le quatuor féminin espagnol Las Migas se produira demain mercredi 30 juillet 2025 au Festival international de Hammamet

Fondé à Barcelone en 2004, ce quatuor féminin espagnol réinvente le flamenco en le mêlant au jazz, à la « Bossa nova » et à la musique gitane. Porté par la diversité de ses origines, Las Migas brille sur les scènes les plus prestigieuses d’Espagne et d’Europe.

Chapeauté par la guitariste Marta Robles, le groupe célèbre la puissance des femmes et leur unicité à travers une musique métissée, qui chante la liberté et qui est teintée de sonorités pop, country et urbaines.

Communiqué

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Hammamet s’apprête à vibrer : 36 spectacles, 33 soirées, 15 pays à l’honneur

Le rideau se lèvera le 11 juillet 2025 sur la 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH), qui se tiendra jusqu’au 13 août au Centre Culturel International de Hammamet. Placée sous le signe de la diversité et de la création, cette édition – organisée sous le slogan « Continuous Vibes » – proposera 36 spectacles répartis sur 33 soirées, avec des artistes venus de 15 pays des cinq continents.

La soirée d’ouverture sera marquée par la présentation de « Ragouj », adaptation scénique de la série télévisée ramadanesque éponyme. Mise en scène par Abdelhamid Bouchnak, sur une composition musicale de Hamza Bouchnak, la comédie musicale réunira un orchestre de 40 musiciens et des chorégraphies signées Oumaima Manaï. Cette première soirée rendra hommage au rappeur Kafon (Ahmed Laabidi), figure emblématique de la scène musicale tunisienne, récemment disparu.

Le FIH 2025 promet une programmation musicale éclectique, mêlant tarab classique, jazz, raï, flamenco, gnawa, électro, salsa, musiques africaines, symphonique et pop urbaine. Le public pourra retrouver de grands noms comme Lotfi Bouchnak, Saber Rebai, Balti, Ghazi Ayadi (Tunisie), Wael Jassar (Liban), Cheb Mami (Algérie), Nass El Ghiwane (Maroc), Noel Kharman (Palestine), Naïka (Haïti-France), Yuri Buenaventura (Colombie) ou encore Bassekou Kouyaté (Mali).

Le théâtre tunisien occupera une place de choix avec quatre créations majeures, dont « Mère des pays » de Hafedh Khalifa, une fresque historique sur Abou Zakaria El Hafsi, « Ad Vitam » de Leila Toubel, « Au violon » de Fadhel Jaziri, et « La Dame de Kerkoine » de Wajdi Gaidi et Houssem Sahli, qui revisite l’histoire punique en langue phénicienne.

Le spectacle « Arboune » d’Imed Jemaa viendra explorer la condition de l’artiste dans l’après-Covid. D’autres projets contemporains novateurs, comme « Sinouj Odyssey » de Benjemy, « Osool » de Yacine Boularès, et « 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » de Mohamed Ali Kammoun, illustrent l’ouverture du festival à l’innovation artistique.

Une soirée spéciale intitulée « Symphonica » rendra hommage à des icônes de la chanson française telles que Dalida, Aznavour et Édith Piaf, avec les voix de la Tunisienne Zeineb Oueslati et du Français Philippe Cavaillé.

Le festival s’achèvera le 13 août, date symbolique de la Journée nationale de la femme tunisienne, avec un concert de Nabiha Karaouli en hommage à la femme, dans un esprit tarabique et engagé.

Cette année, les billets sont exclusivement disponibles en ligne, via le site officiel du festival : festivaldehammamet.com

PROGRAMME

  • 11 juillet : « Ragouj – Le Spectacle » – Abdelhamid Bouchnak et Hamza Bouchnak
    (Tunisie)
  • 12 juillet : « La Nuit Des Chefs » – Théâtre de l’Opéra de Tunis – Pôle Musique et Opéra – L’Orchestre Symphonique Tunisien (Tunisie)
  • 13 juillet : Hind Ennaira (Maroc) – Djazia Satour (Algérie)
  • 14 juillet : Naïka (Haïti – France)
  • 15 juillet : RUST (Syrie / Liban) – Alsarah and The Nubatones (Soudan)
  • 16 juillet :  » Mère des pays » – Hafedh Khalifa (Tunisie)
  • 17 juillet : « Jathb » (Tunisie) – Soudeni (Tunisie)
  • 18 juillet : « Ad Vitam » de Leila Toubel (Tunisie)
  • 19 juillet : Yuri Buenaventura (Colombie)
  • 20 juillet : Noël Kharman (Palestine)
  • 21 juillet : « Sinouj – Odyssey » Benjemy (Tunisie)
  • 22 juillet : « Dialogue des cordes 2 » Kamel Ferjani (Tunisie)
  • 23 juillet : Addict Ameba (Italie)
  • 24 juillet : Siilawy (Jordanie)
  • 25 juillet : « 24 Parfums – Les Etoiles Symphoniques » Mohamed Ali Kammoun (Tunisie)
  • 26 juillet : Wael Jassar (Liban)
  • 27 juillet :  Nass El Ghiwane (Maroc)
  • 28 juillet : « La Dame de Kerkoine » Wajdi Gaidi et Houssem Sahli (Tunisie)
  • 29 juillet : Al Shami (Syrie)
  • 30 Juillet : Las Migas (Espagne)
  • 31 juillet : Lotfi Bouchnak (Tunisie)
  • 1 er Août : « Habit Zamani » Ghazi Ayadi (Tunisie)
  • 2 août : Saber Rebai (Tunisie)
  • 3 août : Robyn Bennett (USA / France)
  • 4 août : Balti (Tunisie)
  • 5 août : Koum Tara (Algérie / France)
  • 6 août : « Arboune » Imed Jemaa (Tunisie)
  • 8 août : Cheb Mami (Algérie)
  • 9 août : Sinfonica – Spécial Tubes Français (Tunisie / France)
  • 10 août : « Au violon » Fadhel Jaziri (Tunisie)
  • 11 août : Bassekou Kouyaté and Ngoni Ba (Mali)
  • 12 août : « Osool » (Tunisie / France)
  • 13 août : Nabiha Karaouli (Tunisie)

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