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Gestern — 18. April 2025Haupt-Feeds

ASSAD : Le marché local tire la croissance avec +107% de chiffre d’affaires au T1 2025

18. April 2025 um 12:43

La Société L’Accumulateur Tunisien ASSAD a publié ses indicateurs d’activité du 1er Trimestre 2025 :

– Pour le 1er trimestre 2025, notre chiffre d’affaires global a connu une augmentation de 42,1% comparé à la même période de 2024, passant de 19,1 à 27,2 millions de dinars.

– Au cours du 1er trimestre 2025, le chiffre d’affaires local a augmenté de 107,2% passant de 6,9 MDT à 14,3 MDT.

– Le chiffre d’affaires export a augmenté de 5,6% par rapport au 1er trimestre de l’année dernière ; passant de 12,3 MDT à 13,0 MDT.

– La production du trimestre enregistre une hausse de 17,9% par rapport au 1er trimestre 2024.

– Les investissements de la période ont été de l’ordre de 0,4 MDT.

– L’endettement total de la société a diminué de 18,0% par rapport au 31-03-2024 et se situe désormais à 80,4 MDT.

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Le Tunindex clôture jeudi 17 avril en territoire positif

17. April 2025 um 17:30

Le marché boursier a clôturé la séance de jeudi 17 avril en territoire positif, avec une légère progression du Tunindex de 0,02 %, à 11 107,25 points dans un volume soutenu de 9,4 MDT, selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Poursuivant son ascension, le titre ASSAD s’est placé au top line. L’action de l’accumulateur tunisien s’est appréciée de 3,3 % à 2,480 D dans un volume garni de 691 mille dinars.

Le titre DELICE HOLDING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du champion national des produits laitiers a gagné 3,2 % à 23,440 D. La valeur a amassé des échanges de 375 mille dinars sur la séance.

Du côté des baisses, le titre BTE a accusé une régression de 4,4 % à 6,880 D. L’action de la banque mixte a brassé un volume limité de 4 mille dinars sur la séance.

Mal orienté, le titre CELLCOM s’est délesté de 4,4 % à 1,760. L’action a été échangée à hauteur de 19 mille dinars sur la séance.

Le titre BNA a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de la banque publique s’est effritée de 2,7 % à 9,250 D en alimentant le marché avec des capitaux de 1,8 MD.

Avec TAP

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Firas Ben Ahmed Becha devient actionnaire de référence chez Assad avec 5,004 % du capital

15. April 2025 um 09:38

L’investisseur tunisien détient désormais 5,004 % du capital de la société L’Accumulateur Tunisien Assad, selon un communiqué boursier publié le 14 avril 2025.

Cette participation résulte de l’acquisition de 10.926 actions supplémentaires, s’ajoutant aux 1.190.112 titres déjà en sa possession. Il détient ainsi un total de 1.201.038 actions. Le même communiqué indique que l’investisseur prévoit de poursuivre ses achats d’actions et envisage de présenter sa candidature pour intégrer le conseil d’administration de l’entreprise. Par ailleurs, la société L’Accumulateur Tunisien Assad a enregistré une progression de 12,9 % de son chiffre d’affaires en 2024, atteignant 100,54 millions de dinars, contre 89,09 millions à la fin de l’année 2023.

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Que reste-t-il de la dissuasion iranienne?

15. April 2025 um 07:05

Au cours de l’année écoulée, la capacité de dissuasion de l’Iran s’est érodée alors qu’Israël n’a pas hésité à déployer ses capacités militaires contre Téhéran. Le régime iranien se retrouve aujourd’hui face à deux choix: soit risquer le tout pour le tout pour acquérir l’arme nucléaire soit se soumettre à la volonté de Tel-Aviv et de Washington. La République islamique traverse la phase la plus difficile depuis sa création en 1979.

Imed Bahri

Dans un article publiée par le magazine américain The National Interest, John Allen Jay, analyste politique et directeur exécutif de la John Quincy Adams Society for Foreign Policy Scholars aux États-Unis, estime que la puissance de dissuasion de l’Iran semblait suffisante avant avril de l’année dernière car la République islamique possédait une plateforme quadrilatérale capable de répondre aux menaces israéliennes et américaines. 

Le premier côté de cette plateforme quadrilatérale est l’arsenal de missiles balistiques, de missiles de croisière et de drones de l’armée de l’air du Corps des gardiens de la révolution iranienne (CGRI) qui était prêt à frapper n’importe où dans la région. Cet arsenal a été utilisé pour répondre à l’assassinat par les États-Unis du commandant de la Force Al-Qods du CGRI, le général Qassem Soleimani, en 2020, pour frapper des éléments de l’Etat islamique (EI) en Syrie et pour mener des attaques moins connues contre des emplacements de séparatistes kurdes, qui étaient considérés comme des refuges des services de renseignement israéliens dans la région du Kurdistan irakien.

Le deuxième côté est son réseau de groupes armés au Moyen-Orient notamment les Houthis au Yémen, le Hezbollah au Liban, les groupes de volontaires chiites d’Afghanistan et du Pakistan et les groupes armés chiites en Irak et en Syrie.

Le troisième côté est représenté par les opérations secrètes, qualifiées de terroristes. Grâce à ses services de renseignement et parfois en coopération avec le Hezbollah, l’Iran était en mesure de bombarder des bâtiments et d’assassiner des personnalités hostiles dans le monde entier. Par exemple, le Hezbollah a répondu à l’assassinat par Israël de son défunt dirigeant Abbas Musawi en 1992 en bombardant son ambassade à Buenos Aires.

Enfin, le quatrième côté est sa capacité à stopper le flux des approvisionnements en pétrole brut de la région du Golfe arabique vers les marchés mondiaux via le détroit d’Ormuz, par lequel transitent environ un cinquième des approvisionnements mondiaux en pétrole et un cinquième de ses approvisionnements en gaz naturel liquéfié. L’Iran menace donc constamment de fermer le détroit en réponse à toute attaque visant son territoire. Et il dispose déjà d’une force navale et de missiles capables d’atteindre cet objectif.

Affaiblissement des les mandataires iraniens dans la région

Tout cela fournissait à l’Iran un moyen de dissuasion raisonnable Et les États-Unis, plus préoccupés par la Chine et l’Ukraine que par le Moyen-Orient, n’ont pas directement frappé l’Iran (à l’exception de l’assassinat de Qassem Soleimani et même cela s’est produit en Irak, pas en Iran). Washington a également eu recours occasionnellement à une force limitée contre les mandataires iraniens en Irak et en Syrie. Il ne voulait pas mener une bataille majeure contre les mandataires de l’Iran et certainement pas contre l’Iran lui-même.

En même temps, la dissuasion iranienne était partielle. Israël a transformé la Syrie en champ de bataille en frappant les lignes d’approvisionnement iraniennes du Hezbollah à des centaines de reprises. Toujours en Syrie, l’aviation israélienne a pilonné durant l’été 2024 les sites des Gardiens de la révolution et du Hezbollah. A travers ses services de sécurité, l’Etat hébreu a également déjoué à plusieurs reprises des opérations secrètes iraniennes. Il a mené avec succès de nombreuses opérations en Iran qui ont contribué à entraver son programme nucléaire mais n’ont pas réussi à arrêter complètement ce programme. Il lui a également été impossible de frapper ouvertement l’Iran ou de bombarder son programme nucléaire en raison d’une combinaison de facteurs tels que la force des fortifications nucléaires iraniennes, la crainte d’une réponse de Téhéran et de provoquer la colère des États-Unis.

Cependant, 2024 a vu la destruction d’une grande partie du système de dissuasion iranien, les frappes israéliennes ayant brisé de nombreux piliers de la dissuasion iranienne. Tout aussi important, la volonté d’Israël de prendre des risques a considérablement augmenté. Il a bombardé un consulat iranien à Damas, assassiné le chef du Hamas Ismaïl Haniyeh à Téhéran dans une résidence des Gardiens de la révolution et lancé une série d’attaques contre les dirigeants du Hezbollah y compris l’assassinat de son chef Hassan Nasrallah puis de son successeur potentiel Hachem Safieddine ainsi que de trois généraux des Gardiens de la révolution ce qui laisse désormais l’Iran extrêmement vulnérable.

L’Iran peut-il continuer à ignorer les menaces américaines ?

John Allen Jay estime que la capacité de dissuasion du CGRI ne semble plus être ce qu’elle était. L’attaque contre Israël avec des missiles balistiques, des missiles de croisière et des drones sous le nom de code True Promise en avril 2024 n’a entraîné que des dégâts mineurs car Israël et ses alliés ont intercepté avec succès la plupart des missiles et des drones. Cela a incité Téhéran à lancer une deuxième attaque utilisant des missiles balistiques, qui a entraîné la mort accidentelle d’un Palestinien en Cisjordanie. 

Dans le même temps, les opérations True Promise I et II n’ont pas réussi à empêcher Israël de cibler le Hezbollah libanais et des cibles iraniennes en Syrie au cours de l’année écoulée.

Le pouvoir dissuasif des mandataires de l’Iran dans la région s’est également érodé. Bien que les Houthis aient affronté avec succès les États-Unis pendant des mois, leur contribution à la guerre contre Israël a été limitée même leur campagne pour entraver les exportations vers Israël n’a conduit qu’à une légère augmentation des prix en Israël.

L’Iran a perdu la puissance de dissuasion que le Hezbollah libanais lui avait apportée au fil des ans, ce dernier ayant perdu l’essentiel de sa force dans sa récente guerre contre Israël. Alors que Hassan Nasrallah est sorti victorieux de sa guerre contre Israël à l’été 2006, il est sorti de la guerre la plus récente tué par un bombardement israélien de son quartier général dans la capitale libanaise Beyrouth. Israël affirme avoir détruit 30% des capacités de missiles du Hezbollah. L’effondrement du régime du président syrien Bachar Al-Assad a également rendu extrêmement difficiles les tentatives de l’Iran de fournir des armes au Hezbollah.

Enfin, les anciens outils dont dispose l’Iran pour faire face aux menaces américaines et israéliennes ne sont plus efficaces et sont incapables de dissuader Washington et Israël de l’attaquer comme ce fut le cas il y a plus d’un an.

Le régime iranien n’a donc d’autre choix que de risquer d’ignorer les menaces du président américain Donald Trump et d’Israël et de poursuivre son programme nucléaire dans l’espoir d’obtenir une bombe nucléaire avant que son territoire ne soit attaqué ou d’accepter une solution diplomatique qui implique de renoncer à son rêve nucléaire.

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Occupation israélienne du sud syrien | Le règne de la violence

13. April 2025 um 08:44

Ces dernières semaines, Israël a étendu son occupation du sud de la Syrie commencé dès les premières heures de la chute du régime du président Bachar Al-Assad. L’État hébreu cherche à étendre son contrôle sur les zones frontalières, notamment Quneitra et Deraa. Il a mené des frappes aériennes et des incursions terrestres qui ont fait des victimes civiles, déplacé des centaines d’habitants, tué de nombreux agriculteurs et cherché à semer la discorde au sein du tissu social syrien notamment entre les Druzes et le reste de la population. 

Imed Bahri

Le média israélien 972 Magazine a consacré une enquête aux opérations militaires israéliennes menées en Syrie et surtout dans le sud. L’enquête revient également sur la résistance de la population locale notamment dans les zones rurales.

Le journal rappelle d’abord qu’Israël a mené 600 attaques au cours des huit premiers jours de ses opérations militaires contre la Syrie, ciblant d’anciennes positions de l’armée syrienne ainsi que des villes à travers le pays, de Lattaquié et Homs à la campagne de Damas. Les forces terrestres ont également avancé de 20 kilomètres à l’intérieur du territoire syrien, établissant neuf bases militaires et des infrastructures dans les territoires occupés.

Les forces israéliennes ont commencé à occuper la ville de Rasm Al-Rawadi dans la campagne de Quneitra le 8 décembre 2024, le jour même de la chute de Bachar Al-Assad, prenant d’assaut des maisons, détruisant certaines d’entre elles et forçant des centaines d’habitants à quitter leurs domiciles. 

Ali Al-Ahmad, un ancien du village âgé de 65 ans, a rapporté que les soldats ont défoncé des portes, fouillé des maisons et en ont démoli certaines puis ont rassemblé de nombreuses familles dans une école abandonnée. Ces pratiques militaires israéliennes se sont poursuivies au cours des quatre derniers mois et le nombre des habitants déplacés du village est estimé à environ 350 personnes. Les forces israéliennes ont également saisi leurs terres à des fins militaires.

Israël prêt à rester en Syrie indéfiniment

L’enquête du média israélien note que malgré les déclarations de l’armée selon lesquelles sa présence en Syrie est temporaire, les faits sur le terrain indiquent le contraire. Il y a une intention de maintenir cette occupation. Le ministre israélien de la Défense Israël Katz a même déclaré que l’État hébreu était prêt à rester en Syrie indéfiniment.

L’avocat Mohammed Fayyad, un militant des droits de l’homme arrêté et agressé par les forces israéliennes en janvier pour avoir révélé leurs opérations, a déclaré: «Les responsables militaires israéliens pénètrent souvent dans les villages dans des véhicules civils blancs pour collecter des données et mener des enquêtes statistiques sous prétexte de fournir une aide humanitaire»

Il a également révélé les pratiques pernicieuses israéliennes: «Ils nous offrent de la nourriture, des médicaments, de l’électricité et du travail après nous avoir tout pris. Ces derniers mois, ils ont proposé à plusieurs reprises aux habitants locaux au moins 75 dollars par jour pour construire des infrastructures pour les bases militaires mais les habitants rejettent toute intervention visant à diviser la Syrie».

Dans le village d’Al-Rafid, près de Quneitra, les habitants ont été confrontés à des actes de violence répétés de la part des forces israéliennes. Ils ont déraciné des arbres de plus de 100 ans, ouvert le feu sur quiconque tentant de s’approcher d’un terrain saisi et tué deux jeunes hommes conduisant une moto et portant un pistolet pour protéger le bétail.

Bader Safi, enseignant et habitant du village a déclaré à 972 Magazine: «Les soldats attaquent nos terres plusieurs fois par jour et les saisissent de force. Mon ami a perdu ses terres et vit maintenant chez moi. Je l’entends pleurer tous les jours parce qu’ils lui ont volé ses terres, sa maison et tout ce qu’il possède».

Les druzes rejettent «l’aide» israélienne

Évoquant le rejet de l’occupation par les habitants, Cheikh Abu Nasr, 70 ans, originaire de la ville d’Al-Rafid, a dit: «C’est notre terre. Nous y cultivons des vignes et des figues et nous ne reconnaissons pas l’État occupant. Les nouvelles forces gouvernementales syriennes ne sont pas venues à notre secours et nous sommes seuls ici mais nous resterons sur nos terres même si quelqu’un d’autre nous gouverne». 

Israël a cherché à exploiter la présence de la communauté druze dans la ville de Jaramana, dans le sud de la Syrie, pour justifier son intervention militaire d’autant plus que certains membres de la communauté servent dans l’armée israélienne.

Cependant, l’avocat Makram Obeid, a nié les déclarations de l’armée israélienne selon lesquelles le gouvernement syrien avait attaqué la communauté et a assuré au journal israélien que les incidents étaient des affrontements individuels et non liés à une menace directe du gouvernement.

De son côté, la communauté druze a rejeté l’aide israélienne, estimant que l’intervention d’Israël vise à inciter à la discorde entre les composantes de la société syrienne. L’universitaire Farid Ayash de Damas a expliqué que l’intervention d’Israël élargit le fossé entre les Druzes et les autres Syriens et accroît les troubles dans les pays voisins, ce qui sert ses intérêts.

972 Magazine conclut que les Syriens sont unanimes dans leur résistance à la présence israélienne rapportant les propos de Mohammed Fayyad: «Le sud de la Syrie préservera sa dignité et nous avons des principes clairs. Nous ne voulons pas une répétition des événements de 1967 et nous ne voulons pas abandonner nos maisons et nos terres».

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