Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 03. Dezember 2024Haupt-Feeds

Blanchiment d’argent: deux mandats de dépôt contre Borhene Bssaies et Mourad Zeghidi

03. Dezember 2024 um 16:41

Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis a émis deux mandats de dépôt à l’encontre des journalistes Borhene Bssaies et Mourad Zeghidi, dans le cadre de soupçons liés à un blanchiment d’argent.

Selon Mosaïque FM, le parquet de la même juridiction avait ordonné l’ouverture d’une enquête sur ces deux journalistes pour des allégations de blanchiment d’argent.

Toujours selon la même source, en mai dernier, le parquet avait également émis des mandats de dépôt contre les deux journalistes dans une autre affaire, liée à des accusations relevant de l’article 24 du décret n° 54.

L’article Blanchiment d’argent: deux mandats de dépôt contre Borhene Bssaies et Mourad Zeghidi est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Femmes et Villes Durables : améliorer l’accès à l’eau et la gestion des ressources

03. Dezember 2024 um 16:23

La municipalité de Kairouan, Cities Alliance et le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères organisent une conférence de presse le 5 décembre 2024 à Kairouan pour présenter les avancées du projet Femmes et Villes Durables à KairouanFinancé par la France et lancé en 2023, le projet Femmes et Villes Durables vise à accompagner les municipalités dans la région Afrique du Nord – Kairouan (Tunisie), Figuig (Maroc) et Sebkha (Mauritanie) – pour promouvoir une gestion urbaine plus inclusive des ressources en eau et des risques liés au changement climatique, en tenant compte des impacts spécifiques sur les femmes.

Cette rencontre sera l’occasion de mettre en lumière les progrès réalisés, les défis rencontrés et les solutions innovantes adoptées dans le cadre de ce programme. Elle offrira également un espace de réflexion sur les perspectives futures du projet et son rôle dans le renforcement du leadership féminin dans les processus décisionnels liés à la gestion urbaine.

A Kairouan, depuis le lancement du projet, plusieurs actions concrètes ont été mises en œuvre, mobilisant plus de 360 citoyens depuis septembre 2023 pour participer activement à diverses initiatives :

  • Cartographie des Majels : identification et analyse des systèmes traditionnels de conservation de l’eau utilisés dans les foyers locaux.
  • Ateliers participatifs : analyses participatives axées sur l’implication des femmes dans la gestion de l’eau et leurs besoins spécifiques et co-création des projets pilotes améliorant l’autonomisation des femmes dans la gestion de l’eau.
  • Renforcement des capacités : sessions de formation dédiées à la conservation de l’eau et à la gestion durable des ressources hydriques à l’attention des femmes et les acteurs de l’autorité locale.

Lors de la conférence, Cities Alliance dévoilera un rapport comparatif mettant en lumière les résultats de l’analyse des défis et des opportunités liés à l’autonomisation des femmes dans la gestion de l’eau à Kairouan.

En outre, une visite sur le terrain au jardin municipal de Kairouan sera organisée. Réhabilité dans le cadre du projet, ce jardin sera transformé en espace public inclusif et durable, répondant aux besoins actuels en matière de gestion et d’accès à l’eau, en particulier pour les femmes. Lors de cette visite, les parties prenantes présenteront un récapitulatif détaillé des réalisations accomplies dans la première phase du projet Femmes et Villes Durables.

Le réaménagement du jardin intègre des solutions novatrices pour la gestion des ressources hydriques, telles que la réutilisation des Majels pour la conservation de l’eau et la conservation des eaux pluviales. La visite permettra aux participants de découvrir le site et d’échanger sur les opportunités futures et les perspectives offertes par ce projet novateur.

 Perspectives futures

Lancé en mai 2023 pour une durée de 2 ans et demi, le projet continuera d’accompagner les municipalités partenaires dans le renforcement des capacités locales. À travers des modules de formation, des échanges entre villes et des initiatives de co-création, le projet aspire à instaurer des approches inclusives et durables dans la gestion des ressources urbaines. Le projet travaille également avec les autorités locales pour développer des politiques urbaines durables et intégrées qui soutiennent les objectifs de durabilité et d’égalité de genre.

D’après communiqué

L’article Femmes et Villes Durables : améliorer l’accès à l’eau et la gestion des ressources est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’UBCI s’engage avec la startup Kumulus pour répondre aux défis de l’eau et la réduction de la consommation du plastique

03. Dezember 2024 um 16:13

Face aux défis croissants liés au stress hydrique et à la pollution par les bouteilles d’eau en plastiques, l’UBCI réaffirme son engagement en faveur de solutions durables. Avec le lancement de son partenariat avec la startup Kumulus, la banque franchit une nouvelle étape dans sa stratégie environnementale en faveur de ses employés et de ses clients.

 

Vendredi 29 novembre, l’UBCI a dévoilé l’installation de machines Kumulus dans plusieurs de ses sites, une innovation technologique capable de produire de l’eau potable directement à partir de l’air. Ce projet s’inscrit dans une démarche ambitieuse de sensibilisation à l’écoresponsabilité auprès de ses collaborateurs et de ses clients pour la réduction de l’utilisation des bouteilles en plastique.

 

Le fonctionnement de la machine repose sur un procédé ingénieux : l’air ambiant est refroidi pour générer des gouttelettes d’eau, qui sont ensuite filtrées, minéralisées, et stockées dans un réservoir garantissant leur pureté et fraîcheur. Chaque machine peut produire entre 20 et 30 litres d’eau potable par jour, offrant ainsi une alternative pratique et écologique à l’eau conditionnée.

 

L’UBCI ambitionne de déployer ces machines dans plusieurs sites à travers le pays, consolidant ainsi son rôle de pionnier en matière de développement durable et son soutien aux startups tunisiennes. À travers ce partenariat, la banque espère inspirer un changement durable dans les pratiques environnementales, tout en contribuant à la préservation des ressources naturelles.

D’après communiqué

L’article L’UBCI s’engage avec la startup Kumulus pour répondre aux défis de l’eau et la réduction de la consommation du plastique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Les partenaires du programme AGC renforcent les PME tunisiennes face aux crises

03. Dezember 2024 um 15:05

Les résultats du programme AGC « Appuis de la Gestion des Crises pour les PME ’s en Tunisie » ont été célébrés lors d’une cérémonie de clôture organisée en présence du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie et de partenaires clés, parmi lesquels des représentants de l’écosystème industriel et des chefs d’entreprise.

Lancé pour accompagner les petites et moyennes entreprises (PME) tunisiennes dans la gestion des crises et des défis économiques, le programme AGC a permis d’intervenir auprès de 101 entreprises, représentant divers secteurs industriels. Il fait partie d’une collaboration entre le programme SCORE, mis en œuvre par l’Organisation Internationale du Travail (OIT), le projet « Croissance Qualitative pour l’Emploi », financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européenne (UE). Il est mis en œuvre par la GIZ Tunisie, en partenariat avec le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

Une dynamique collaborative pour des résultats concrets

Le programme s’est distingué par une approche participative, impliquant les employeurs, les salariés et des experts nationaux issus majoritairement des structures d’appui publiques. Cette méthode a permis de développer des solutions adaptées, basées sur les besoins réels des entreprises. À travers des formations pratiques et des outils concrets, les entreprises ont été soutenues dans l’amélioration de leur organisation interne, la réduction des risques au travail et l’adoption de pratiques plus efficaces.

Des chiffres qui témoignent du succès 

  • 95 % des PME ont instauré des mécanismes de dialogue social et de coopération interne, renforçant leur organisation et leur capacité à résoudre les problèmes.
  • 59 % des entreprises ont réalisé des économies de coûts grâce à des pratiques plus efficaces et durables.
  • 94 % des participants se déclarent satisfaits de la qualité des formations. Tandis que 95 % des formateurs ont été salués pour leur professionnalisme.

M. Adnane Zidane, Directeur General de la Direction Générale de l’Infrastructure Industrielle et Technologique (DGIIT) et représentant du Ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, a salué lors de l’événement de clôture l’impact du programme AGC. « Le programme AGC a permis de soutenir une centaine d’entreprises en quête en résilience. En renforçant leurs capacités à surmonter les crises, les PMEs se positionnent comme des acteurs essentiels du développement économique de la Tunisie. Le succès d’AGC repose sur une vision commune : des entreprises résilientes, capables de s’adapter et de prospérer. Ces réalisations témoignent du potentiel immense des PME tunisiennes lorsque l’accompagnement est ciblé et concret », affirme-t-il.

Un héritage durable

Grâce à AGC, de nombreuses entreprises disposent désormais des outils nécessaires pour pérenniser les changements amorcés. Les résultats obtenus montrent que le renforcement des capacités de gestion, couplé à une meilleure organisation, contribue à améliorer non seulement la performance économique, mais aussi les conditions de travail.

Plusieurs entreprises ont pu témoigner de leurs expériences avec AGC. Ainsi, Mme Loubna Jabeur de l’entreprise bénéficiaire TUNITEX a déclaré : « Le module SCORE Plan de continuité des activités (PCA) nous a permis d’identifier et de gérer les risques critiques. Ce qui a stabilisé nos opérations dans une période difficile. »

Quant à M. Walid Ben Amor, Président de la Pratique électronique, il a souligné : « Nous avons non seulement optimisé nos processus internes; mais également renforcé la communication au sein de nos équipes. Ce qui a conduit à une meilleure réactivité face aux défis quotidiens. »

Enfin, M. Ghribi de COFICAB a exprimé la satisfaction du groupe en ajoutant : « AGC nous a permis d’identifier des opportunités d’amélioration que nous n’aurions pas envisagées auparavant. Aujourd’hui, nos pratiques sont plus durables. Et nous voyons les résultats tant sur le plan de la productivité que sur celui de la satisfaction des employés. »

Un engagement collectif pour l’avenir

La cérémonie de clôture a été l’occasion de célébrer non seulement les résultats du programme; mais aussi l’engagement des partenaires pour continuer à soutenir l’innovation et la résilience des entreprises tunisiennes.

D’après communiqué

L’article Les partenaires du programme AGC renforcent les PME tunisiennes face aux crises est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’UGTT renouvelle son appel à la reprise du dialogue social

03. Dezember 2024 um 14:23

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a renouvelé son appel à la reprise du dialogue social en tant qu’« acquis national et pilier de tout progrès, développement, et démocratie ». Et ce, dans un communiqué publié par son bureau exécutif à l’occasion de la commémoration du 72ème anniversaire de l’assassinat du leader Farhat Hachad.

Le syndicat a appelé à des négociations sociales sérieuses et responsables pour améliorer les salaires, développer la législation du travail et revoir les charges fiscales afin de protéger les droits des travailleurs et de remédier à la détérioration du pouvoir d’achat des salariés, face à la suppression des subventions et à la hausse des prix des produits et services de base et de consommation.

L’organisation a exprimé son attachement au dialogue sérieux, d’une part, pour sauver les services publics tels que l’éducation, la santé, le transport, qui connaissent « un grand effondrement et une importante détérioration »; et d’autre part, pour améliorer les institutions publiques dans toutes les activités et tous les secteurs, maintenir leur pérennité et assurer leur efficacité et compétitivité.

L’UGTT a également souligné son attachement au système de subventions des produits de base pour faire face à la dégradation des salaires.

Le syndicat a affirmé son rejet de toutes les formes d’emploi précaire, appelant à régler les situations de dizaines de milliers de salariés, à l’application de tous les accords conclus, en particulier les accords du 6 février 2021 et du 15 septembre 2022, et à l’annulation de la circulaire n° 21, qui continue à perpétuer la violation des droits syndicaux.

Il a appelé à la nécessité d’ouvrir un nouveau cycle de négociations dans la fonction publique et le secteur privé et de procéder à une révision périodique. Et ce, afin d’améliorer le pouvoir d’achat et les conditions de travail et de protéger les droits des retraités.

D’autre part, le syndicat a souligné son rejet absolu du ciblage des droits et libertés, dont en premier lieu le droit syndical, et le droit de grève. De même qu’il a réitéré la demande de retrait du décret 54.

Avec TAP

L’article L’UGTT renouvelle son appel à la reprise du dialogue social est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Météo : nuages et orages ce 3 décembre 2024

03. Dezember 2024 um 07:38

L’Institut national de la météorologie prévoit, pour mardi 3 décembre 2024, des nuages ​​parfois denses avec des orages sur les zones côtières du nord.

Les températures seront comprises entre 18 et 23 degrés, en passant par 15 degrés sur les hauteurs de l’ouest.

L’article Météo : nuages et orages ce 3 décembre 2024 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Kaïs Saïed favorise la coordination entre politique économique et monétaire

02. Dezember 2024 um 23:06

Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu cet après-midi, lundi 2 décembre 2024, au palais de Carthage, Fethi Zouhair Nouri, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie.

Lors de cette rencontre, le président a rappelé que la loi régissant le statut de cette institution publique nécessite une révision et souligne que l’un des principaux objectifs de cette institution est de garantir la stabilité des prix et la stabilité financière pour atteindre les objectifs économiques de l’État, y compris la croissance et l’emploi.

Kaïs Saïed a insisté sur l’importance d’une coopération harmonieuse entre toutes les institutions de l’État, affirmant que la politique monétaire doit être en adéquation avec la politique économique. Il a précisé qu’il ne devrait y avoir qu’une seule politique d’État, même si plusieurs institutions existent.

De plus, il a souligné le rôle crucial du Comité des analyses financières pour s’assurer qu’il remplit efficacement ses fonctions assignées.

L’article Kaïs Saïed favorise la coordination entre politique économique et monétaire est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Gestern — 02. Dezember 2024Haupt-Feeds

Réunion entre exportateurs d’huile d’olive et banques : financement pour la saison 2024/2025

02. Dezember 2024 um 19:56

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh, a déclaré qu’une réunion aura lieu avec les exportateurs de l’huile d’olive  et les banques pour faciliter le financement et la promotion de la saison oléicole 2024-2025.

Dans le cadre du suivi de la saison oléicole à Kairouan, Ben Cheikh a noté que cette réunion vise à alléger les défis financiers auxquels sont confrontés les professionnels du secteur et à apporter une dynamique au marché.

Réuni avec les autorités régionales, Ben Cheikh a passé en revue les problèmes auxquels sont confrontés les agriculteurs et les propriétaires des huileries à kairouan. Il s’agit des problèmes liés à la récolte, à la baisse des prix et autres difficultés de financement.

Le ministre a rappelé, à cette occasion, les mesures prises, notamment l’augmentation de la subvention du stockage de l’huile pour les agriculteurs et propriétaires des huileries.

Il a souligné que cette subvention vise à encourager le stockage dans les entrepôts de l’office national de l’huile et les propriétaires des huileries jusqu’à ce que les indices mondiaux s’améliorent.

Avec TAP

L’article Réunion entre exportateurs d’huile d’olive et banques : financement pour la saison 2024/2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le magistrat Hamadi Rahmani maintenu en liberté

02. Dezember 2024 um 19:42

Le doyen des juges d’instruction près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, lundi, de maintenir en liberté le magistrat Hamadi Rahmani, annonce l’avocat Ayachi Hammami, membre du comité de défense.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Hammami a expliqué que son client a été renvoyé pour enquête suite à six plaintes portées contre lui par l’ancien président de la Cour de cassation, Tayeb Rached, sur fond de publications via réseaux sociaux.

Il a souligné que son client ne va pas comparaître devant le tribunal, car il est juge et bénéficie à ce titre d’une immunité sur la base de la décision du tribunal administratif rendue le 9 août 2022.

Cette décision a ordonné de suspendre la décision de révocation émise contre Rahmani et autres juges.

Me Hammami a ajouté que la défense a également demandé au juge d’instruction de renvoyer le dossier de son client devant le Conseil supérieur provisoire de la magistrature, lequel, a-t-il précisé, est le seul habilité à statuer sur les questions disciplinaires, dont les demandes de levée de l’immunité des juges.

Avec TAP

L’article Le magistrat Hamadi Rahmani maintenu en liberté est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

PLF 2025 : Adoption d’un article permettant à la BCT d’accorder à l’Etat des facilités de 7 milliards de dinars au début de 2025

02. Dezember 2024 um 17:30

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) a adopté, lundi, un article permettant à la Banque centrale de Tunisie (BCT) d’accorder, au début de l’année prochaine, des facilités à l’Etat d’une valeur de 7 milliards de dinars pour financer le budget de l’Etat au titre de l’année 2025.

Cette proposition présentée par la ministre de Finances Sihem Boughdiri Nemsia, lors d’une plénière consacrée à l’examen des articles supplémentaires relatifs au projet de la loi de finances (PLF) 2025, a été adoptée avec 86 voix pour, 15 voix contre et 18 abstentions.

En vertu dudit article, la BCT peut accorder des facilités au trésor public, d’une valeur plafonnée à 7 milliards de dinars sans intérêt. Ces facilitées seront remboursées sur 15 ans, dont trois années de grâce, en attendant la signature d’un accord entre le ministre chargé des finances et le gouverneur de la BCT qui fixera les méthodes de déblocage et de remboursement des facilités accordées.

Nemsia a souligné que le besoin de financement de la part de la BCT, au début de 2025, est expliqué par plusieurs raisons, dont, notamment, la décélération du rythme de recouvrement enregistrée au cours du 1er trimestre de chaque année, face au besoin d’honorer les engagements financiers, sous forme de service de la dette, lequel est estimé à 9 milliards de dinars au cours du 1er trimestre 2025.

Elle a ajouté que lors de l’élaboration du projet de budget de l’Etat au titre de l’année 2025, l’action a été focalisée sur le renforcement des ressources propres pour limiter le recours à l’endettement et maîtriser le déficit primaire du budget.

La ministre a indiqué que le premier trimestre de chaque année enregistre une décélération du rythme de recouvrement en comparaison avec les autres trimestres, étant donné que les délais des déclarations, telle que la déclaration de l’impôt sur les sociétés (I/S) sera exigible à la fin du mois de mars de chaque année, en plus de recouvrement provenant de l’amnistie qui aura lieu durant les 6 premiers mois de l’année.

La Tunisie a eu recours, au cours des années précédentes, à l’endettement auprès de la BCT, durant les années 2020 et 2024, pour qu’elle soit en mesure d’honorer ses engagements financiers, et ce conformément aux dispositions de l’article 25 de la loi n° 2016-35 du 25 avril 2016, portant fixation du statut de la BCT.

Avec TAP

L’article PLF 2025 : Adoption d’un article permettant à la BCT d’accorder à l’Etat des facilités de 7 milliards de dinars au début de 2025 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bourse de Tunis : Le Tunindex clôture lundi en territoire positif (+0,009%)

02. Dezember 2024 um 17:17

Dans un volume de 5,9 MD, le TUNINDEX a clôturé la séance de lundi, 2 décembre 2024, en territoire positif (+0,09 % à 9874,65 points). L’indice de référence a ramené, ainsi, sa performance depuis le début de l’année à +12,85 %, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre OFFICEPLAST s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de la société a progressé de 3,9 % à 1,070 D faisant savoir que la valeur a drainé un modeste volume de 8 mille dinars sur la séance.

Le titre TELNET s’est retrouvé parmi les plus fortes hausses. L’action de la valeur technologique a signé un bond de 2,9 % à 6,320 D, amassant un volume d’échanges de 117 mille dinars.

Le titre STIP a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un maigre volume, l’action, a poursuivi sa descente reculant de 2,5 % à 2,700 D.

Le titre STB a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action de la banque étatique s’est délestée de 2 % à 2,920 D notant que la valeur a amassé un flux réduit de 13 mille dinars.

Le titre ONE TECH HOLDING a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de la holding a alimenté le marché avec un flux de 2,6 MD. La valeur a terminé la séance sur une avancée de 1,3 % à 9,600 D.

Avec TAP

L’article Bourse de Tunis : Le Tunindex clôture lundi en territoire positif (+0,009%) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

PLF 2025 : le gouvernement prévoit des emprunts à la BCT

02. Dezember 2024 um 16:44

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a repris, lundi matin, l’examen des articles du projet de la Loi de Finances pour l’année 2025 en présence de la ministre des Finances Sihem Boughdiri Nemsia, qui a fait état de retrait des propositions faites par son département concernant les articles 9, 44, 46, 47, 53, 70 et 100.

Elle a, par la même occasion, présenté la proposition relative à l’élaboration d’un article relatif à l’amnistie fiscale et douanière, qui vise la régularisation des dettes fiscales.

La ministre a également proposé d’ajouter un article supplémentaire relatif aux montants à mobiliser tout au long de l’exercice 2025. D’autant plus que l’État devra honorer ses engagements financiers. Tout en précisant que la Tunisie doit rembourser des dettes publiques de plus de 24,6 milliards de dinars, durant l’année 2025.

Elle a fait savoir à ce propos que, étant donné que les ressources mobilisables auprès de marché local ne permettent pas de couvrir les besoins de financement au titre du budget 2025, le ministère proposerait le recours à des emprunts auprès de la Banque centrale de Tunisie (BCT), à l’instar de ce qui s’est passé en 2020 et 2024.

D’après elle, cette intervention de la part de la BCT serait exceptionnelle et nécessiterait une autorisation législative. D’où la nécessité d’ajouter un nouvel article dans le projet de la Loi de Finances 2025.

Cet article devrait autoriser la BCT à accorder des facilités au Trésor public de l’ordre de 7 milliards de dinars, sans intérêts. Cet emprunt serait remboursé sur 15 ans, dont trois années de grâce. La séance a été suspendue à la demande du président de l’ARP, afin de présenter cette proposition sous forme écrite aux députés avant de passer au vote.

Avec TAP

L’article PLF 2025 : le gouvernement prévoit des emprunts à la BCT est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Atelier régional sur l’économie circulaire à Tunis (2-5 décembre 2024)

02. Dezember 2024 um 12:56

L’économie circulaire et les défis des changements climatiques auxquels fait face la région du Maghreb, est la thématique d’un atelier régional, dont les travaux ont démarré, lundi, à Tunis et se poursuivront jusqu’au 5 décembre 2024, avec la participation d’une vingtaine de journalistes de Tunisie, Maroc et Algérie et d’experts et représentants de structures intervenantes.

Organisé à l’initiative du Réseau des journalistes africains spécialisés en développement durable et en changement climatique « Afrique 21 », cet atelier s’attaque en particulier à la question de l’adaptation des économies régionales, des productions et de la société de consommation face aux effets du changement climatique, de la désertification et de l’aridification des terres.

Les journalistes de divers médias seront initiés aux principes et concepts de l’économie circulaire, un vecteur de transition écologique et de réduction de la pression sur les ressources naturelles, surtout de la région du Maghreb, l’une des plus exposées au monde à la menace du dérèglement climatique.

En effet, le Maghreb n’est pas la seule région qui gagnerait à développer ce créneau d’économie circulaire, puisque la majorité du système économique dans le monde actuel est basé sur une utilisation linéaire excessive des matières premières. Ce modèle n’est plus soutenable à long terme face aux défis environnementaux et climatiques d’une planète aux ressources limitées, estiment les organisateurs de cet atelier.

L’économie circulaire se présente ainsi, comme une alternative qui aidera à préserver les ressources et l’environnement et aussi la santé. Elle permettra également, le développement économique et industriel des territoires et la réduction des pertes et gaspillages, dans un contexte de plus en plus compliqué lié aux effets du changement climatique.

A l’échelle africaine, l’Union africaine et la Conférence ministérielle africaine sur l’environnement ont reconnu la circularité comme un domaine d’intérêt pour les programmes de relance respectifs qu’elles ont lancés à la suite de la pandémie de Covid-19 (le plan de relance continental connu sous le nom de « stimulus vert »). Plusieurs pays africains ont également intégré l’économie circulaire dans leurs contributions déterminées au niveau national (CDN) et certains, dont la Tunisie sont en train d’élaborer des plans d’action nationaux pour l’économie circulaire.

Toutefois, le rythme de transition vers des modèles plus écologiques est très lent. Selon le dernier rapport « Circularity Gap report » ou « Rapport sur l’écart de circularité », qui met en lumière la nécessité de restructurer nos modèles économiques, en seulement 6 ans (de 2018 à 2023), l’humanité a utilisé plus d’un demi-trillion de tonnes de matériaux. « Cette quantité représente 28% de l’ensemble des matériaux consommés par l’humanité depuis le début du 20ème siècle ».

Cette consommation excessive est principalement attribuable à quatre systèmes mondiaux : l’alimentation, l’environnement bâti, les biens manufacturés et la mobilité, selon le même rapport.

Pour les organisateurs de cet atelier (Réseau Afrique 21, ministère de l’Environnement, l’Union européenne (Programme d’appui aux médias en Tunisie/PAMT), la GIZ (Projet d’appui à la gouvernance environnementale et climatique pour une transition écologique en Tunisie), le Forum national d’adaptation au changement climatique (FNAC) et l’ambassade de Suisse à Tunis), initier les médias aux concepts de l’économie circulaire aiderait à vulgariser et à sensibiliser le public à la nécessité de rationaliser la consommation et de muter vers des pratiques plus écologiques. Il s’agit également d’attirer l’attention des politiques publiques et des initiatives privées sur cette alternative de circularité doublement bénéfique sur le plan économique et environnemental.

À l’ouverture de l’atelier, le secrétaire général de l’association Africa21, Julien Chambolle a déclaré, « notre programme qui compte aujourd’hui plus de 850 journalistes bénéficiaires dans 43 pays d’Afrique a pour objectifs d’aider les journalistes à développer une expertise de base sur les enjeux du développement durable, à leur donner accès à des sources d’informations primaires de haute qualité, à des experts internationaux, aux organisations acteurs de la mise en œuvre des ODD et en particulier les organisations internationales ». « Il s’agit aussi de leur offrir des opportunités comme par exemple l’organisation de délégations pour couvrir les grands événements internationaux comme c’était le cas l’an passé à la COP 28, et ce grâce au soutien de la Banque africaine de développement ».

En plus des interventions d’experts, des visites à des projets d’économie circulaire en Tunisie sont programmés dans le cadre de cette formation.

Avec TAP

L’article Atelier régional sur l’économie circulaire à Tunis (2-5 décembre 2024) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Bulletin environnement de décembre 2024

02. Dezember 2024 um 12:44

En parlant d’environnement, Kerkennah préserve son patrimoine culinaire et culturel

Pour mettre en valeur le riche patrimoine matériel et immatériel de l’archipel de Kerkennah, des associations de Béni Khedache, Djerba (gouvernorat de Médenine), Tozeur et Sfax ont participé à « la “Caravane de la Route de la Gastronomie en Tunisie”, qui a démarré le 29 novembre et se poursuit jusqu’au 1 er décembre 2024, à l’initiative de l’association « Tawassoul Al-Ajyal » de Sfax et le réseau des associations de la Route de la Gastronomie en Tunisie.

Cet événement est organisé dans le cadre de la deuxième édition du Festival de la Route de la Gastronomie du Poulpe, un événement initié l’an dernier par l’association Tawassoul Al-Ajyal.

Des acteurs clés du développement, des composantes de la société civile et des professionnels des secteurs touristique, culturel et agricole, en plus de pêcheurs et artisans, ont pris part aux travaux de cette manifestation, dont l’objectif est de préserver et promouvoir les traditions locales.

La création de routes gastronomiques s’inscrit dans le cadre du projet Renforcement du tourisme durable en Tunisie, soutenu par l’agence de coopération allemande GIZ et cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme Tounes Wijhetouna ».

Les institutions financières sur la voie de la décarbonation

Un deuxième atelier de renforcement des capacités intitulé « Empreinte carbone et décarbonation des institutions financières-IFs », a été organisé, jeudi, 28 novembre 2024, par le Conseil Bancaire et Financier, le Ministère de l’Environnement et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Des acteurs clés du secteur bancaire et financier, notamment des représentants des ministères, des institutions bancaires, des compagnies d’assurance, des SICAR ont, été initiés au calcul de l’empreinte carbone de leurs portefeuilles financiers. Il s’agit de renforcer leurs capacités autour des principes méthodologiques du calcul des empreintes carbone des institutions financières, étape essentielle pour comprendre et réduire leur impact sur l’environnement.

Kraten (Kerkennah): Les chalutiers continuent de détruire les fonds marins de l’archipel

Les côtes nord de l’archipel de Kerkennah enregistre depuis plusieurs semaines l’afflux d’un grand nombre de chalutiers qui procèdent au dragage du fond au mépris de toutes les considérations légales, écologiques et socioéconomiques, a dénoncé l’Association Kraten de développement durable, de culture et de loisirs dans un communiqué.

L’association, qui a recueilli les témoignages de plusieurs pêcheurs artisanaux à ce propos, a réitéré son appel aux autorités locales et nationales à intervenir pour mettre fin à cette pratique interdite par la loi et qui met en danger le fond marin des îles. Cette pratique constitue également, une menace pour les sources de revenus des pêcheurs artisanaux. Des correspondances ont été adressées, dans ce sens par l’association aux autorités y compris la présidence du gouvernement.

Pour elle, en dépit de multiples alertes lancées « l’Etat continue à faire la sourde oreille face aux préoccupations des marins-pêcheurs et des violations quotidiennes de la loi ».

La situation environnementale se dégrade au quotidien à Kerkennah et l’impact est catastrophique sur les habitants, estime l’association. « Après la disparition de l’éponge depuis quelques années et l’extermination en cours de la poulpe dont la pêche en dehors de la saison continue, les chalutiers continuent la pêche à la drague provoquant la désertification totale des fonds marins au nord de l’archipel » a ajouté l’association, tirant la sonnette d’alarme sur les violences sociales qui peuvent découler de la disparition des sources de revenus des habitants de ces îles.

Les interventions du Fonds de dépollution étendues à l’économie verte, bleue et circulaire

Les interventions du Fonds de dépollution sont désormais étendues à l’économie verte, bleue et circulaire, en vertu d’un amendement de l’article 58 du projet de Loi de finances 2025 (PLF).

Cet article a été adopté, jeudi, 28 novembre 2024, par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), avec 89 voix pour, 5 abstentions et 24 voix contre, et ce dans le cadre des plénières réservées à l’examen du PLF 2025.

L’article amendé prévoit la mise en place d’une ligne de financement pour accorder des prêts à moyen et long terme à des conditions favorables aux jeunes entrepreneurs et aux entreprises, pour financer, créer et développer des projets dans le domaine de l’économie verte, bleue et circulaire.

Une dotation de 20 millions de dinars sur les ressources du « Fonds de dépollution » sera allouée à cette ligne, dont la gestion sera confiée aux banques dans le cadre de conventions conclues avec le ministère des Finances et le ministère de l’Environnement.

Le Fonds de Dépollution est un fonds spécial du trésor créé en vertu de la loi n° 92/122 du 29 décembre 1992, portant loi des finances pour la gestion 1993. Le FODEP a pour principales missions d’encourager les entreprises à réaliser des projets visant à protéger l’environnement contre la pollution occasionnée par leurs activités, ou les inciter à mettre en place des projets de réhabilitation et d’amélioration du rendement épuratoire des installations de dépollution déjà existantes.

Hackathon méditerranéen de la jeunesse pour l’eau

Le Hackathon méditerranéen de la jeunesse pour l’eau aura lieu du 25 au 28 février 2025, à Fès au Maroc, à l’initiative de l’Union pour la Méditerranée (UpM). Il est ouvert aux jeunes innovateurs ressortissants des Etats membres de l’UpM âgés de 18 à 35 ans. Ces jeunes doivent être intéressés par « la conception des solutions créatives pour relever les défis et saisir les opportunités liés au Nexus Eau-Énergie-Alimentation-Écosystèmes (WEFE) », selon l’UpM.

Il s’agit de former des équipes composées de 2 à 3 membres, prêtes à réfléchir et à identifier des solutions pour des problématiques urgentes liées à l’eau, à l’énergie, à l’alimentation et aux écosystèmes. Les trois meilleurs projets seront sélectionnés le dernier jour et bénéficieront d’un soutien technique et financier dans les mois suivants.

L’équipe gagnante recevra 3 000 euros (environ 9 963,8 dinars), tandis que les deux équipes finalistes recevront chacune 1 000 euros (environ 3 320 dinars). Les équipes lauréates bénéficieront également d’un mentorat continu pour perfectionner et développer leurs solutions, garantissant un impact durable.

Les candidatures par équipe doivent être soumis avant le 13 décembre 2024.

De nouveau, les lobbyistes du fossile fortement présents à la Conférence du climat

Une forte présence des lobbyistes des énergies fossiles a été constatée à la 29e Conférence des Parties (COP29) sur le climat, qui s’est déroulé à Bakou en Azerbaijan, du 11 au 22 novembre 2024.

Selon la coalition d’ONG « Kick Big Polluters Out », pas moins de 1 773 lobbyistes liés à ce secteur ont participé cette année à la Conférence de l’ONU sur le climat, un chiffre qui suscite l’inquiétude des acteurs engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique.

La prolifération des lobbyistes issus des énergies fossiles au sein des COP est une tendance qui ne cesse de croître. En 2023, leur nombre à Bakou dépasse même les délégations nationales, à l’exception de celles de l’Azerbaïdjan, du Brésil et de la Turquie.

Ces représentants pourraient éclipser les voix des pays les plus vulnérables au changement climatique. À titre d’exemple, la délégation combinée des dix nations les plus exposées aux effets climatiques (Tchad, Îles Salomon, Niger, Micronésie, Guinée-Bissau, Somalie, Tonga, Érythrée, Soudan et Mali) compte seulement 1 033 délégués, bien moins nombreux.

Textile: Seulement 0,3% des matériaux utilisés proviennent de sources recyclées

Seulement 0,3 % des matériaux utilisés par l’industrie textile mondiale proviennent de sources recyclées, et il n’y a pratiquement pas de recyclage de textile à textile, constate le rapport Circularity Gap Report Textiles récemment publié par l’organisation d’impact Circle Economy et la Fondation H&M.

L’industrie textile mondiale, y compris la mode et les textiles d’intérieur, consomme 3,25 milliards de tonnes de ressources chaque année pour produire des articles de plus en plus éphémères. Seulement 0,3 % de ces matériaux proviennent de sources recyclées, principalement des bouteilles en plastique.

L’utilisation de textiles recyclés dans la production reste minime, tandis que les fibres synthétiques dérivées du pétrole, comme le polyester, gagnent du terrain et représentent désormais 63 % des matériaux utilisés pour fabriquer nos vêtements, selon ce même rapport, qui appelle à une action urgente pour réduire l’impact environnemental de l’industrie en adoptant les principes de l’économie circulaire tels que la réutilisation, le recyclage et la « slow fashion ».

L’un des principaux obstacles à la circularité des textiles est la surproduction de vêtements bon marché, de qualité médiocre et essentiellement synthétiques, les marques de grande distribution sortant aujourd’hui jusqu’à 24 collections par an.

L’industrie textile est devenue l’une des plus grandes consommatrices de ressources, ce qui entraîne des dommages environnementaux dans le monde entier.

Le rapport estime que le secteur contribue pour près de 3,5 % aux émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) liées au changement climatique, pour 5 % à la surcharge en nutriments qui perturbe les écosystèmes marins et d’eau douce, et pour 3,5 % à la pénurie d’eau.

L’économie circulaire gagne en popularité, mais manque d’action. Les rapports sur l’écart de circularité ont fourni une analyse et une théorie cruciales sur l’état mondial de la circularité depuis 2019.

Avec TAP

L’article Bulletin environnement de décembre 2024 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

WAM Morocco 2025 : le Maroc, leader des industries de nouvelle génération

02. Dezember 2024 um 10:17

WAM Morocco 2025 mettra à l’honneur l’industrie avancée, les pratiques durables, la logistique de nouvelle génération et l’innovation en intelligence artificielle pour impulser la croissance industrielle.

KAOUN International, créateur de GITEX, lance WAM Morocco 2025, avec l’appui concerté du ministère de l’Industrie et du Commerce, de la CGEM et de l’AMDIE.

Le World Advanced Manufacturing & Logistics Expo & Summit (WAM Morocco) fera son entrée à Casablanca avec l’objectif de propulser l’industrie manufacturière florissante du Maroc vers des secteurs de nouvelle génération.

L’événement est soutenu par le ministère de l’Industrie et du Commerce, ainsi que par ses partenaires stratégiques que sont la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) et l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE).

WAM Morocco vise à diversifier la base industrielle du pays, favoriser l’émergence de nouveaux secteurs et stimuler le développement des capacités pour une croissance durable.

Prévu du 28 au 30 octobre 2025 à la Foire internationale de Casablanca (FIC), WAM Morocco est organisé par KAOUN International, l’organisateur de GITEX GLOBAL, le plus grand et influent Salon mondial dédié à la technologie et à l’intelligence artificielle; ainsi que de GITEX Africa au Maroc – le plus grand événement technologique et dédié aux startups du continent.

Le Maroc s’appuie sur des bases solides dans les secteurs de l’automobile et de l’aéronautique, dynamisés par des projets tels que la Fez Smart Factory et la Stratégie Nationale des Ports 2030, dotée d’un budget de 600 millions de dollars. Ces initiatives ont attiré des investissements étrangers conséquents.

Le Maroc est devenu le plus grand exportateur automobile non européen vers l’Europe. De plus, il occupe une place importante dans le secteur aéronautique, avec des exportations totalisant 2,2 milliards de dollars, au service de grands clients tels que Boeing et Airbus. Les récentes avancées en matière de fabrication et de logistique placent le Maroc sous les projecteurs internationaux, au moment où il se prépare à accueillir WAM Morocco.

Le Ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a salué cette initiative en ces termes : « WAM Morocco représente une étape importante dans le parcours du Maroc pour devenir l’un des principaux pôles de fabrication avancée en Afrique et dans le monde. Participer à cet événement met en lumière l’engagement de notre nation envers l’innovation, la résilience économique et le leadership industriel. En réunissant des expertises mondiales et locales, nous créons un environnement où l’innovation technologique et les pratiques durables peuvent prospérer, propulsant notre pays et le continent vers un avenir prospère et axé sur la technologie ».  

Trixie LohMirmand, PDG de KAOUN International, organisateur de WAM Morocco et de GITEX Africa : « WAM Morocco est une manœuvre stratégique et puissante pour le Maroc, accélérant la notoriété du pays et du continent dans les industries de haute technologie et offrant un accès sans précédent aux capacités technologiques mondiales. En réunissant les meilleurs talents de l’innovation, de l’investissement et de la collaboration, WAM Morocco s’apprête à déclencher une nouvelle vague de révolution industrielle en Afrique, ouvrant la voie à une croissance accélérée sur la scène mondiale ».

Un programme ambitieux pour accompagner la transformation industrielle

WAM Morocco se veut un levier pour la vision du Maroc, avec pour objectif de devenir un pôle de fabrication durable et compétitif à l’échelle internationale. Le salon mettra en avant les dernières innovations en fabrication et technologies de nouvelle génération, telles que l’intelligence artificielle, l’informatique quantique, l’impression 3D, la blockchain et la réalité mixte. Parmi les événements phares, on retrouvera WAP (World Advanced Packing, Printing, and Plastic Technologies), WARM (World Advanced Rubber & Metal Industrial Technologies) et WASIM (World Advanced Sustainable Manufacturing), chacun dédié à promouvoir l’innovation et l’excellence dans son domaine.

En capitalisant sur les succès de l’industrie marocaine, WAM Morocco ambitionne de consolider la position du pays en tant que leader de la fabrication avancée, en s’appuyant sur l’intelligence artificielle, les technologies de pointe et les pratiques durables. Le salon favorisera les partenariats public-privé, attirera les investisseurs étrangers et encouragera le renforcement des capacités locales. Avec pour objectif de créer un impact économique pérenne et de renforcer le rôle du Maroc comme moteur de l’industrie high-tech durable en Afrique.

Chakib Alj, président de la CGEM, a exprimé son soutien en mettant l’accent sur l’importance de la collaboration public-privé : « Cet événement dépasse le cadre d’une simple exposition ; c’est une plateforme cruciale pour les entreprises marocaines, notamment les PME, pour s’ouvrir à l’international, collaborer avec des leaders mondiaux de l’innovation et établir des partenariats qui accéléreront notre développement industriel. En réunissant startups et grandes entreprises locales avec des pionniers internationaux, nous jetons les bases d’une croissance durable, d’une compétitivité accrue et d’une résilience économique renforcée. Nous appuyons pleinement cette initiative et anticipons des retombées économiques significatives pour le Maroc et l’Afrique dans son ensemble ».

Avec communiqué

L’article WAM Morocco 2025 : le Maroc, leader des industries de nouvelle génération est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le PLF 2025 régularise la situation des puits agricoles profonds

02. Dezember 2024 um 10:09

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté, lors d’une plénière tenue dimanche après-midi, au palais de Bardo, et consacrée à l’examen du projet de loi de finances « PLF 2025 », un article supplémentaire relatif à la régularisation de la situation des puits agricoles profonds (majels) non autorisés et à la simplification des démarches administratives en vigueur.

Cet article stipule une régularisation des puits agricoles profonds fonctionnant par l’énergie électrique et solaire. En effet, la régularisation de ces puits est soumise à un contrôle technique qui prend en considération le débit d’eau à partir du puits et la superficie de la terre agricole utilisée afin de préserver la nappe phréatique.

Selon les députés, cette loi assurera la continuité du travail dans le secteur agricole et mobilisera des recettes supplémentaires à la trésorerie de l’Etat.

Ils ont, également, affirmé que cette mesure permettra aux petits agriculteurs de s’intégrer dans le secteur organisé en attendant la promulgation du Code des eaux.

Dans sa réponse aux interventions des députés, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, a estimé que ce projet relève du Code des eaux et non pas de la loi de finances.

Et d’expliquer que cette mesure ne générera  pas de recettes importantes pour l’Etat, car les montants proposés sont très faibles par rapport à ce qui est prévu dans le Code des eaux.

Avec TAP

L’article Le PLF 2025 régularise la situation des puits agricoles profonds est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Wael Chouchane à Kairouan pour s’enquérir de l’état d’avancement du projet solaire photovoltaïque

02. Dezember 2024 um 09:26

Le secrétaire d’État auprès de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane, a effectué, dimanche 1er décembre, une visite dans le gouvernorat de Kairouan où il a pris connaissance de l’état d’avancement du projet de construction de la centrale solaire photovoltaïque de la région.

Le projet, situé à El-Moutbasta, dans la délégation de Kairouan-nord, constitue l’un des cinq projets attribués en 2019 par le gouvernement dans le cadre de la première phase du programme de production d’électricité à partir d’énergie renouvelable. Laquelle phase concerne l’installation de 500 mégawatts à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sur des sites à Sidi Bouzid (50 mégawatts), Tozeur (50 mégawatts), Kairouan (100 mégawatts), Gafsa (100 mégawatts) et Tataouine (200 mégawatts).

M. Chouchane a, à cette occasion, mis l’accent sur l’importance de cette centrale et de sa contribution, une fois entrée en exploitation, à la réduction du coût de l’énergie et à la réalisation des objectifs nationaux de transition énergétique. Tout en insistant sur l’impératif de respecter le calendrier fixé pour l’achèvement des travaux.

Pour sa part, Donia Mejri, représentante d’AMEA Power, l’entreprise émiratie en charge du projet, a souligné l’engagement sociétal de l’entreprise, annonçant l’intention de réaliser des projets de développement au profit des zones environnantes, tels que l’installation de panneaux solaires dans les écoles et les centres de santé de base et l’achat d’équipements médicaux.

Avec TAP

L’article Wael Chouchane à Kairouan pour s’enquérir de l’état d’avancement du projet solaire photovoltaïque est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Au Caire, Mohamed Ali Nafti rencontre la communauté tunisienne en Egypte

02. Dezember 2024 um 09:20

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a rencontré, dimanche 1er décembre 2024, des membres de la communauté tunisienne résidant en Egypte. Et ce, à l’occasion de la visite qu’il effectue pour participer à la Conférence ministérielle sur la réponse humanitaire à la Bande de Gaza, qui a lieu le 2 décembre 2024 au Caire.

Au cours de cette rencontre, le ministre s’est informé des conditions de séjour et des préoccupations de la communauté tunisienne, soulignant l’attention particulière qu’accorde le président de la République aux Tunisiens à l’étranger, ainsi que l’attachement du ministère des Affaires étrangères à l’amélioration de la qualité des services fournis par les missions diplomatiques et consulaires dans les différents pays du monde.

Dans ce contexte, il a passé en revue les diverses initiatives visant à moderniser les services consulaires offerts aux membres de la communauté. Tout en mettant l’accent sur l’importance du rôle de la communauté tunisienne dans la contribution à l’effort national de développement et au rayonnement de l’image de la Tunisie dans son environnement régional et international

 Enfin, il a appelé à plus de solidarité et de cohésion entre les membres de la diaspora, lit-on dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Avec TAP

L’article Au Caire, Mohamed Ali Nafti rencontre la communauté tunisienne en Egypte est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le premier prix des HR Awards 2024 décerné à COFICAB

02. Dezember 2024 um 09:13

COFICAB, entreprise spécialisée dans la conception et la fabrication de câbles automobiles, a décroché le premier prix de la 11ème édition des « HR Awards 2024 », organisée par l’Association des responsables en formation et de gestion des ressources humaines dans les entreprises (ARFORGHE). Et ce, en récompense de l’engagement des entreprises tunisiennes en matière de droits humains et de durabilité.

Lors d’une cérémonie tenue le 29 novembre à Tunis, les entreprises DRÄXLMAIER Tunisie – spécialisée dans les équipements intérieurs automobiles – et BIC BIZERTE – spécialisée dans les articles de papeterie – ont remporté le 2ème prix. Alors que le troisième prix a été attribué à ROSENBERGER Tunisia – entreprise spécialisée dans les solutions de connectivité optique.

Les « HR Awards 2024 », initiative soutenue par la GIZ dans le cadre du projet « Initiative pour la solidarité mondiale – Initiative for Global Solidarity » ou IGS -, encouragent une gestion proactive des ressources humaines. Avec un accent particulier sur la diligence raisonnable, levier clé pour garantir la conformité aux standards internationaux et répondre aux défis mondiaux en matière de droits humains et de durabilité environnementale.

Les entreprises qui ont participé aux « HR Awards » passent par un processus d’évaluation méthodique mené par un comité d’experts. Après une phase de candidature ouverte, un audit approfondi est réalisé pour analyser leurs pratiques en matière de gestion des ressources humaines et leur alignement avec les normes internationales.

Lancé en 2013, l’événement « HR Awards » a évolué au fil des ans, intégrant des catégories variées, allant de la gestion des talents à la digitalisation des ressources humaines. Chaque édition met en lumière les innovations et les stratégies qui placent les collaborateurs au cœur de la croissance des entreprises.

Créée en 1976, l’ARFORGHE rassemble des professionnels des ressources humaines issus de divers secteurs d’activité. Depuis plus de 45 ans, l’association œuvre à valoriser la fonction RH dans les entreprises tunisiennes, qu’elles soient publiques ou privées. Elle mène des initiatives visant à moderniser et à optimiser la gestion des ressources humaines, favorisant ainsi une performance organisationnelle durable.

Avec TAP

L’article Le premier prix des HR Awards 2024 décerné à COFICAB est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌